En mai 2001, une étonnante découverte a été faite par Advanced Digital Communications (ADC), une entreprise canadienne chargée de cartographier le fond marin des eaux territoriales cubaines. La lecture sonar a révélé 2.200 pieds plus bas des pierres disposées selon un motif géométrique qui ressemblait beaucoup aux ruines d'une ville. Une équipe de chercheurs canadiens et cubains ont découvert les restes de ce qui peut être une ville antique. En utilisant un équipement vidéo et des radars sophistiqués au large des côtes l'ingénieur Paulina Zelitsky, et son mari, Paul Weinzweig, ont trouvé des mégalithes "d'un genre que vous pouvez trouver à Stonehenge ou à Chicken Itza au Mexique."
Ils montrent des formes très distinctes et des dessins symétriques de type non-naturel. L'âge précis du site sous-marin est également inconnu, bien que les archéologues cubains aient excavé en 1966 une structure terrestre mégalithique sur la côte ouest, à proximité de la nouvelle découverte sous-marine, qu'on dit dater de 4000 ans avant Jésus Christ. "Sur la base de données géologiques, nous spéculons que ces structures ont au moins de 6 à 10.000 ans". Plus vieilles que la Samarie et les Pyramides Egyptiennes. Une pyramide sous-marine a été mesurée à 35 mètres de haut. History Channel a fait une mise à jour qui inclut Linda Moulton Howe. Il est prouvé qu'un bouleversement gigantesque s'est produit sur Terre il y a 8000 ans, de gigantesques inondations ont recouvert une grande partie de la Terre, des millions d'animaux, et de gens ont été tués *. Les inondations ont soulevé des terres de centaines de mètres le long de la côte Sud-Américaine et englouti d'autres régions comme cette zone au large de Cuba.
En 2002, d'autres relevés ont été pris, ainsi que quelques photos, mais des problèmes financiers ont stoppé les investigations.
Les années suivantes, les efforts ont été consacrés, du côté de l'Etat cubain, sur les recherches terrestres et notamment découvrir l'ancienneté archéologique de l'arrivée de l'homme sur Cuba. En 2005, des relevés archéologiques démontraient l'ancienneté de l'occupation de l'île par des humains, en 2006 des traces, écriture et artéfacts mayas y étaient aussi découverts...
En ce qui concerne les ruines au large de l'île, la principale incrédulité des scientifiques "officiels" (même si les découvreurs en sont aussi !) provient de la profondeur de ces dernières : + de 600 mètres de profondeur : on estime qu'au mieux, la mer s'est élevée de 200 mètres sur ce côté Est des Amériques, à la dernière fonte des glaces. On en est là à l'heure actuelle : plusieurs géologues et les découvreurs pensent que la ville était sur un plateau plus en hauteur, mais que les séismes et glissements de terrains l'ont fait glisser beaucoup plus bas... De plus, les courants et les bans de sables bougent souvent dans la région, recouvrant ou découvrant des zones au hasard... comme pour Yoganumi, beaucoup d'argent et de volonté pour réussir à prouver quoi que ce soit...
Plusieurs images au sonar et en vidéo des endroits concernés
* Key West qui est connue comme étant le point le plus au sud des États-Unis, est à la fois une île et une ville. Le visiteur qui arrive dans la ville peut voir une grosse borne en forme d’obus à l’angle de South Street et Whitehead Street qui marque le point le plus au sud que les touristes peuvent atteindre. Dans les faits, des terrains militaires sont encore plus au sud, mais ne sont pas ouverts aux civils et le véritable point le plus au sud des États-Unis se trouve être « Ballast Key » une petite île qui est un domaine privé. Cette région des Keys fut habitée par les Indiens Calusa bien avant l’arrivée des Européens. Le premier historiquement connu comme tel, étant l’Espagnol Juan Ponce de Leon en 1521. À l’époque, les Espagnols ont donné à Key West le nom de « Cayo Hueso » ce qui signifie littéralement, la « baie ou la crique aux os ». En effet, des ossements humains jonchaient le terrain et l’on ne sait si cela était les restes d’un champ de bataille ou d’un cimetière... (ou d'un ancien tsunami !).
MAJ 27-10-2012 : Un fidèle lecteur de ce site m'a envoyé un nouveau lien concernant cette mystérieuse cité éventuellement engloutie sur les contreforts de Cuba (merci à lui et heureux de découvrir ainsi l'un de mes lecteurs). En cherchant des nouvelles de MmePaulina Zelitsky, et de son mari, Paul Weinzweig, j'ai pu trouver des liens récents en anglais ou espagnol relatant le fait que, faute de contrats supplémentaires avec l'Etat Cubain (en difficulté financière comme une grosse partie de la planète), elle et son mari ont dû s'éloigner et partir sur d'autres projets et financements. Ils affirment toujours qu'il y a une cité engloutie et qu'ils en ont les preuves formelles, qu'ils voudraient bien aller repêcher des artéfacts qui s'y trouvent certainement, mais qu'un tel projet coûte au minimum deux millions de dollars pour pouvoir être pris au sérieux, alors que personne n'a les fonds... voici une nouvelle vidéo, afin de ne pas oublier cette découverte de presque 10 ans (!) :
Pologne : étrange statuette déterrée dans les Carpates
En marchant dans un champ dans l'un des villages de Podkarpacie, la Voïvodie des Basses Carpates polonaises, un archéologue de Wielkopolska a découvert le fragment d'une figurine en argile d'environ 7 mille ans, représentant possiblement un "homme", (YH : ou un "dieu", ou un "démon", un "alien"...).L'archéologue Piotr Alagierski a passé ses vacances dans le village de Kosina en Podkarpacie. Lors d'une promenade de dimanche dans un champ cultivé, il a trébuché sur un fragment de 7 centimètres d'une figurine anthropomorphe en argile cuit. La plupart de la tête, du torse et d'une partie du bras clairement façonnés ont survécu jusqu'à notre époque - selon les informations fournies au PAP par le chercheur.
" Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'un monument au niveau national - l'une des plus anciennes représentations d'un "humain" dans notre pays. Les découvertes similaires de cette période sont très rares " - a noté l'archéologue lors d'une entrevue avec le PAP. " Le style dans lequel la figurine a été faite est surprenant. Elle ressemble à des figurines similaires de la Slovaquie et de la Roumanie " - a expliqué le découvreur. (YH : comme celles de la très ancienne culture Vinça par exemple, dont j'ai déjà parlé, et qui ressemblent + a des êtres reptiliens ou "Gris" visibles ailleurs qu'à des humains...)
Et bien, suite aux dernières nouvelles, témoignages de réels médecins péruviens et ce qui semble de plus en plus être une confirmation d'anciens témoignages (on peut remonter au minimum au crash d'ovni de mai 1953 à Kingman en Arizona, USA pour les concordances, voir Roswell ou autres en 1947 !) et l'évidence que de telles séries de hasards et de témoignages à travers le temps sont difficiles à contrer, y compris les témoignages de militaires maintenant à la retraite. Il devient évident que les autorités américaines ont voulu garder secrètes leurs interactions et rétroingénieries aliens le plus longtemps possible, mais que c'est bien une technologie récente, internet, qui est en train de les empêcher de maintenir ce secret plus longtemps...
Un premier hommage a fait l'objet d'un article ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-personnalites-guy-mouny.htmlGuy-Claude Mouny était un écrivain français qui s'est mit à l'écriture assez tardivement, vers ses 59 ans. Membre de l'ORSEM en tant que Colonel, il a affirmé lui-même avoir eu des rapports très suivis avec les services secrets lors de sa carrière professionnelle, et que c'est certains papiers et rapports, ainsi que son goût des mystères non élucidés (il a été aussi en rapport avec l'Ufologie), qui l'avaient incité à devenir écrivain. Dans la préface du livre « Le Secret de François 1er » de son ami Didier Coilhac, il avouait avoir eu pour ami le Comte de Marenches, ancien Directeur Général du SDEC, (le Service de Documentation Espionnage et Contre Espionnage). Il déclara laconiquement à la radio « Ici et Maintenant » : « J'ai roulé avec le SDEC… ». Egalement auditeur de l'IHEDN, l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale : il en avait fondé la section marnaise. On retrouve des membres de l'IHEDN comme auteurs du fameux rapport Cometa qui statuait sur les Ovnis. De hautes personnalités bien informées concluaient que les ovnis étaient des engins volants à la provenance inconnue. L'hypothèse extraterrestre était discrètement présentée comme la plus plausible. Comme on pouvait s'y attendre, ce texte fut sévèrement jugé par certains officiels qui n'y participaient pas.Ses enquêtes l'ont finalement convaincues qu'il touchait du doigt une certaine vérité, ce qui l'a poussé à écrire sans relâche et chaque année sur des sujets très proches. Né à Reims en 1930, il est mort dans la nuit du 14 juillet 2007. Il était également Commandeur de l'Ordre National du Mérite.
Anomalies dans la Baltique: les news du printemps 2016
La page originale est longue à charger, et pour cause... beaucoup d'images et de vidéos !... je publierai donc maintenant les news sous formes de billets moins gros en taille et si vous voulez revoir l'intégralité de cette passionnante aventure, patientez pour le chargement de cette page ! : http://www.sciences-fictions-histoires.com/pages/ecrits/les-anomalies-de-la-mer-baltique.html
MAJ du 08-05-2016 : Une très longue pause donc depuis les dernières nouvelles hivernales de février 2015, celles du printemps de mai 2015 et la dernière de l'été 2015. Tout simplement parce que, malgré le succès de la série télévisée incluant un reportage sur l'anomalie de la Baltique et les interviews filmées des protagonistes (documentaire dans "The Unexplained Files Saison 202"que vous avez pu voir dans un autre article (en vf) avant qu'il soit enlevé par Dailymotion à la demande de la chaîne l'ayant diffusé (mais pas assez rediffusé !))... bien que ces documentaires sont en train de faire le tour du monde et des diverses chaînes de beaucoup de pays, les choses se sont vite tassées et il n'y a pas vraiment eu de suite positive à tout ceci, omit une possibilité ouverte avec... la Russie. Je vais en parler tout de suite, car cela provient d'une intervention de Denis Asberg sur Facebook. Vous vous souvenez de la possible découverte de l'épave d'un ancien sous-marin russe en 2015 ? Et bien les choses semblent se concrétiser car le 19 avril 2016 s'est tenue une première réunion d'expertise au Ministère des Affaires Etrangères de Suède, avec l'équipe Océan X et les Russes, au sujet de l'enquête sur le sous-marin russe.
Le 19 Avril 2016 a eu lieu au département des Affaires étrangères de la Suède une première série de consultations d'experts sur l'étude du sous-marin russe "Som" ( "Poisson-Chat") qui a coulé dans les eaux territoriales suédoises au cours de la Première Guerre mondiale.
Le côté russe était représenté lors des négociations par une délégation de la Société géographique russe avec le directeur du Centre Sergey Fokin pour les recherches sous-marines de pointe. Le côté suédois était représenté par le ministère des Affaires étrangères, le Ministère de la Justice, la Garde côtière et l'entreprise de plongée sous-marine "Ocean X Team".
Au cours de la discussion, ils ont confirmé l'intérêt d'une enquête d'une nature intergouvernementale des deux parties au sujet du sous-marin "Som" en raison de sa grande importance humanitaire et pour la mémoire de l'Etat russe et de l'Histoire russo-suédoise.
En attendant une décision du conseil d'administration du comté de Stockholm, qui est habilité à accorder des droits exclusifs pour récupérer les objets sous-marins abandonnés, il a été discuté lors de ces préliminaires des questions de niveau concernant l'enquête sur l'objet. Entre autres choses, c'était à propos de l'identification finale du sous-marin et l'évaluation de sa condition physique actuelle pour toute récupération et d'autres mesures.
À la suite de ces discussions, les parties ont convenu d'un échange tripartite entre la Société géographique russe, la Garde côtière et la société "Ocean X Team" des informations techniques sur les résultats de l'enquête sous-marine de l'été 2015.
Les parties ont convenu qu'ils devraient préparer des propositions pour un plan de travail conjoint pour la prochaine réunion de consultation, qui est prévue pour la seconde moitié du mois de mai 2016.
" Nous avons déjà identifié le sous-marin, mais la partie russe veut faire sa propre détermination pour veiller à ce que ce soit vraiment le sous-marin "Som" ", a déclaré Dennis Åsberg. Selon lui, l'expédition est susceptible d'avoir lieu en mai. Ensuite , il sera décidé quand et comment la mise en œuvre effective de l'opération de sauvetage devrait être menée. Un processus qui a fait ses preuves pour être long. " Notre objectif commun est de sauver le sous-marin, mais quand cela se produira, il est actuellement incapable de répondre. De nombreuses parties sont impliquées dans le processus, ce qui est la raison pour laquelle il a fallu attendre si longtemps ", a déclaré Dennis Åsberg. " Comme il a été précédemment dit au public, l'équipe Ocean X va faire partie de la récupération du sous-marin. Avant d'être transporté vers la Russie, l'idée est que l'épave sera transportée sur une barge au port de Norrtälje. On ne sait pas quand et si cela se produira. Il y a un grand intérêt pour ce trésor historique. Notre objectif est qu'il peut être récupéré cet été " dit -il.
Toujours un certain manque de chance, il semble que les négociations tournent mal pour l'équipe Océan X d'après le dernier message de l'équipe sur son site en date du 05-05-2016 :
" 05/05/2016 - Au sujet de la décision du bureau administratif du comté de ne pas notifier sa décision à Ocean X Équipe AB de "droits exclusifs pour sauver" le sous-marin existant "Som".
La raison de la décision pour l'Équipe Ocean X appliquée pour les droits exclusifs de récupération est de protéger les intérêts de la société dans sa trouvaille (car selon la loi suédoise, le découvreur d'un objet marin abandonné en devient le propriétaire...). L'objectif a toujours été que le sous-marin et son équipage soit récupéré puis remis aux autorités russes. Ocean X Team n'a en aucune manière l'intention de demander de l'argent au gouvernement russe. Le financement de la reprise se fera avec l'aide des intérêts privés russes et devrait déjà être fixé avant de commencer toute récupération.
Ocean X Équipe AB a engagé la société américaine de sauvetage "Resolve Marine" et "Nicholas Sloane" (chef de sauvetage de la Costa Concordia) en tant que leaders du sauvetage. Ils produiront les plans de récupération définitifs et répondront au soulèvement du sous-marin au plus haut niveau professionnel.
Ocean X Équipe AB avec son partenaire Ixplorer a recherché le contact avec les autorités russes quelques jours après la découverte du sous-marin, et l'a fait à plusieurs reprises par la suite, sans recevoir de réponse. Ocean X Team a également signalé la découverte aux autorités suédoises et sérieusement exécuté les mesures requises en vertu de la pratique actuelle (des découvertes marines).
À l'heure actuelle, étant donné les déclarations de la partie russe que le sous-marin sera récupéré afin d'être mis en place dans un musée en Russie (sur lequel toutes les parties sont d'accord), mais que cela doit être sous les auspices russes. Au lieu d'accueillir un partenariat avec Ocean X équipe et Ixplorer, ce que nous avons constamment cherché avec les autorités russes, apparait maintenant du côté russe plutôt une intention de se battre pour le droit de récupérer le sous-marin. Un contrat avec le gouvernement russe vaut plus d'argent pour la personne qui reçoit la mission que si l'opération de sauvetage était financée par des intérêts privés. Nous supposons également que le purement politique vaut beaucoup plus pour obtenir de mener à bien le sauvetage d'un tel élément historiquement intéressant que le sous-marin "Som".
Les arguments d'Ocean X Team se référant à assurer sa position de trouveurs et «propriétaire» du sous-marin est dans les documents comme suit :
La découverte a été Immédiatement annoncée au ministère russe de la Défense et à l'ambassade à Stockholm à ce sujet. En vertu du droit suédois, le futur propriétaire d'un objet ou des biens perdus, doit le communiquer directement, et il n'a pas affirmé sa participation dans les trois mois à se prononcer découvreur.
La loi sur les objets (sjöfynd) et les biens perdus parle des biens abandonnés et qu'un volontaire pour ces produits peut faire valoir ses droits de propriété sur eux. Dans ce cas, le sous-marin "Som" git intacte au même endroit depuis 100 ans. Ni l'ancien Empire russe, ni l'Union soviétique ou la Fédération de Russie au cours de ces 100 ans ont affirmé "leur" droit au sous-marin de quelque façon que ce soit. Sa position (200 mètres) a été connue dans les archives russes depuis 1916, mais il n'y a pas eu de tentatives précédentes pour localiser et sauver le sous-marin de faites. Si 100 ans ne peuvent être considérées comme un abandon, comment cela se traduit lorsque la définition est «abandonné» ?
La Fédération de Russie est responsable de l'ancien État soviétique, mais pas de l'Empire russe. C'est une question très complexe, mais qui a été décidée dans la Douma (24 Décembre 2004 № 5871p-P12).
Plusieurs arguments ont été mentionnés dans l'avis du conseil d'administration concernant la demande de l'Equipe Ocean X pour "les droits exclusifs pour le sauvetage."
Le propos de Ocean X Team n'est en aucun cas d'être reconnu pour avoir des droits ou la propriété du sous-marin, qui sera remis aux autorités russes lorsque la récupération sera terminée.
Nous souhaitons toujours que les autorités russes reconnaissent l'équipe Ocean X et Ixplorer en tant que leaders du processus de récupération, et de collaborer à travers les frontières au lieu de, actuellement, saper et verrouiller.
La Documentation sur le sujet peut être obtenue sur demande par courriel. "
On continue les news avec un rappel sur une petite vidéo tournée par l'équipe en novembre 2015 pour dire que... l'aventure continuait pour Océan X et qu'ils ne baissaient pas les bras, malgré le manque de subventions et de vraies découvertes récentes... l'équipe est équipée maintenant d'un rover sous-marin de haute performance :
On y voit une vidéo et des illustrations tirées des sonars et scans de l'époque et on peut y lire que pour : " Kyle Kingman (géologue de la mer) c'est très certainement un paléosol, que Tom Flodén (géologue de la mer) pense que ce pourrait être un nodule de Manganèse d'une taille énorme, que pour Andreas Olsson (archéologue de la mer) c'était tout à fait certainement une chose faite par l'homme vu ce qu'il a vu des films du sonar "blueview" et des vidéos et que tous les autres scientifiques ont des différentes théories... "
sonofmabarker
En 2014, il avait été dit que le disque dur d'un ordinateur portable, contenant la mosaïque complète de scans "blueview" de l'anomalie et plusieurs photos et films inédits, avait été malheureusement abîmé... ce disque dur est actuellement en mode restauration par des professionnels et quelques images ont déjà pu être récupérées. Elles sont de mauvaises qualités mais des connaisseurs les améliorent comme ils peuvent, en voici quelques-unes, avec l'originale en premier et la version améliorée (par notre ami Christophe Guégan de la page francophone) en-dessous :
ici un endroit où la structure de l'anomalie ressemble à une coulée de magma fondu... mais on rappelle qu'il n'y a pas de volcan (à priori) dans la Baltique ou le Golfe de Botnie...
Il s'agit ici de l'endroit visible où l'anomalie se sépare nettement de son "socle" sur laquelle elle repose...
Un endroit de l'anomalie comportant une structure physique différente du reste...
On note tout de même que, physiquement, certaines structures de l'anomalie ne semblent pas inhabituelles dans cette région soumise à la pression de la glace durant des millénaires (ce qui est indéniable mais n'enlève pas obligatoirement le caractère unique ou intéressant de l'anomalie : comment se présenterait par exemple un objet naturel (pierre, argile, quartz ou même ambre), amélioré ou sculpté, récolté ou "miné" par l'homme préhistorique, après le passage de la glace dessus ?...) :
Ceci est un exemple de ce qui est trouvable dans le Golfe de Botnie, il s'agit ici d'un petit dépôt d'oxihydrate de ferromanganèse ayant subit la pression de l'érosion glaciaire est étant altéré physiquement. C'est pour cela que certains scientifiques pensent que l'anomalie pourrait être le plus grand de cette sorte de dépôt de matière altérée et relativement rare de part le monde.
Sur cette page à part, lien ci-dessous, vous trouverez toutes les photos originales des scanners et sonars fournies par l'équipe, ainsi que plusieurs travaux et analyses photos de fans ou de spécialistes essayant d'aider à la compréhension des anomalies. Vous y trouverez aussi les travaux de MaxitsMax qui s'est manifesté ici pour montrer son travail, ainsi que les miens et beaucoup d'autres. J'y ajouterai des données sur d'autres théories (constructions anciennes, Atlantide, etc...) par la suite.
Inde : Découverte de nouvelles peintures étranges du néolithique
Région de Chhattisgarh, les gravures et peintures rupestres sont des dizaines
Bien avant que les Sumériens aient inventé la première forme connue de rédaction pour raconter leurs histoires remarquables sur le cosmos et les êtres extraterrestres, il y a environ 5 500 ans, les premiers humains de Chhattisgarh, en Inde, avaient déjà peint leurs propres aliens et rencontres avec des OVNI à l'intérieur des murs de leurs grottes.
Le patrimoine culturel prolifique de Chhattisgarh se trouve dans le centre de l'Inde. L'endroit est un pôle d'attraction touristique pour ses sites archéologiques, ses temples antiques, de magnifiques cascades, des grottes et des peintures rupestres préhistoriques qui datent d'environ 10 000 ans en arrière.
Ces fameuses peintures rupestres ont confondu les experts dans la région de Charama Kanker dans Chhattisgarh, parce que certaines des images taillées vues dans des grottes vers les villages de Chandeli et Gotitola ressemblent étroitement à la façon dont les personnages exotiques et les OVNI modernes ressemblent. C'est ce qui rend les peintures et gravures rupestres très déconcertantes aux yeux des gens. Les dessins ne montrent pas une image claire du nez et de la bouche de la figure étrange et dans certaines images, ils semblent être vêtus d'un costume semblable à ceux de l'espace. L'archéologue JR Bhagat estime que cette représentation par les premiers humains d'images exotiques dans leurs sculptures préhistoriques suggère que des êtres extraterrestres pourraient leur avoir rendu visite, ou que les peuples préhistoriques de Chhattisgarh avaient une imagination très extrême. Les personnages semblent également être armés d'une lance suivant certaines images. Les peintures rupestres montrent aussi un objet avec trois trains d'atterissage qui semblent très proche de la façon dont nous décrivons les ovnis modernes. Pendant ce temps, le Département d'Archéologie de Chhattisgarh demande l'aide de la National Aeronautics and Space Administration (NASA) et l'Organisation indienne de recherche spatiale pour une étude approfondie des sculptures exotiques et comprendre les images avec un point de vue d'experts.
Certains villageois ont trouvé un lien spirituel avec les peintures rupestres de 10 000 ans et des prières d'adoration qui leur a été offertes. D'autres résidents racontent des histoires de leurs ancêtres du "peuple Rohela" qui signifie "ceux de petite taille." Ces êtres ont visité les gens de Chhattisgarh à l'aide d'un vaisseau volant de forme ronde, et ils ont emporté avec eux une ou deux personnes du village qui ne sont jamais revenues. Les gens de Chandeli et Gotitola croient que les peintures rupestres sont les représentations du peuple Rohela qui montrent l'arrivée de leurs ancêtres des étoiles dans le passé.
Les peintures rupestres sont fabriquées à partir de pigments naturels qui sont demeurés inaltérés, et ont survécu pendant des milliers d'années. Il y a tellement d'étranges peintures rupestres dans le monde entier, représentant des entités inconnues, et elles sont tous dignes d'être contrôlées et étudiées par les mains d'experts et, espérons-le, avec une explication de fond pour les vraies histoires qui sont derrière ces pièces magnifiques de l'ancien art.
Ces peintures ne sont vraiment pas uniques mais mystérieuses tout de même :
Les sites de ROCK ART DE CHHATTISGARH
(Notez que les peintures sont bien conservées, même si elles sont aspergées par de l'eau pour mieux les voir)
Chhattisgarh (une partie du Dakshin Kosal), l'Etat nouvellement créé du Madhya Pradesh, a une identité géographique et culturelle distincte qui est partagée par six Etats voisins, à savoir., l'Uttar Pradesh, le Jharkhand, l'Orissa, l'Andhra Pradesh, le Maharashtra et le Madhya Pradesh. L'Etat a un grand avantage comparatif dans les ressources humaines et naturelles inexploitées. Ses ressources naturelles en énergie, les minéraux, les forêts, la terre et l'eau sont parmi les plus riches du pays. Ses ressources humaines constituent un vaste réseau de connaissances et de compétences spécifiques à l'économie. L'état regorge de richesse du patrimoine culturel, d'antiquités archéologiques (allant de paléolithique à la période historique), des monuments et des sites d'art rupestre. Cependant, la plupart des sites d'art rupestre n'ont pas été suffisamment explorés jusqu'à présent. Le ministère de la Culture et de l'archéologie du Gouvernement de Chhattisgarh se lance dans un certain nombre de projets qui apportent la culture et le patrimoine archéologique du pays à l'avant de l'arène nationale et internationale et aussi améliore indirectement l'industrie du tourisme. Dans le présent article, une tentative a été faite pour mettre les importantes découvertes d'art rupestre de cette région en perspective et d'essayer de les interpréter en termes d'abondance, d'âge, de diversité, de style, ses implications environnementales, relation homme-animal, etc. Toutefois, les données disponibles à l'heure actuelle sont très maigres.
La première découverte de l'art rupestre dans le Chhattisgarh a été faite en 1910 par CW Anderson, un ingénieur dans les chemins de fer du Bengale / Nagpur, bien secondé par le juge en chef de Wellington (1910-1913). La mention de ces travaux, en particulier à Singhanpur en Raigarh Dist., a été faite en 1918 (Anderson, 1918) et par la suite dans quelques publications. Il a été suivi par les travaux de P. Brown (1923 a, b; 1953), A.N. Dutta (1927), M. Ghosh (1932), LP Pandey (1933), DH Gordon (1939), JP Gupta (1960, 1967), P. Mitra (1961) et SK Pandey, (1969) et VS Wakankar (1973), ajoutant considérablement à nos connaissances sur l'art rupestre dans ce domaine. Cependant, aucun travail sérieux n'a été entrepris à ce sujet dans le Chhattisgarh au cours des deux dernières décennies, à la lumière de nouvelles techniques d'étude, qui sont devenues disponibles au cours des dernières années.
Chhattisgarh est très riche en peintures rupestres âgés du Mésolithique à la période historique et comme on l'a dit ci-dessus, certaines des peintures rupestres remontent même à la période préhistorique. Beaucoup de peintures rupestres jettent un éclairage intéressant sur les modes de vie et l'art de l'homme primitif. De loin les sites les plus prolifiques d'art rupestre dans l'état de Chhattisgarh sont situés dans le district de Raigarh à Singhanpur, Kabra Pahar, Basnajhar, Ongna, Karmagarh, Khairpur, Botalda, Bhanwarkhol, Amargufa, Gatadih, Siroli Dongri, Bainipahar etc. Certains des ceux-ci étaient déjà connus et quelques-uns ont été découverts au cours de deux ans de sondages dans la région. Sur la plupart des sites, il y a des images de serpents, des oiseaux, des éléphants, des bovins à bosse, des buffles sauvages, des sangliers, des cerfs, des rhinocéros, des figures humaines, des sirènes, des scènes de chasse, des dessins géométriques, des scènes de l'activité agricole et des scènes de danse en plusieurs couleurs qui ont été établis. Dans le quartier de Kanker, certaines des peintures rupestres se trouvent dans les abris de Udkuda, Garagodi, Khairkheda, Kulgaon, Gotitola etc. Dans ces abris, des figures humaines, des figures animales, des palmidés, des charrettes à bœufs, etc sont généralement représentés. Les sites d'art rupestre de Ghodsar et Kohabaur dans le quartier de Koria sont également dignes de mention. Ceux-ci ont des peintures de personnages humains, des dessins d'animaux, des scènes de la vie de tous les jours, généralement peintes en blanc. Au Chitwa Dongri (Ciudad-Juarez Dist.), il y a une description intéressante d'une silhouette humaine chinoise montée sur un âne, des images de dragons et celles de scènes agricoles sont représentées. En plus des sites mentionnés ci-dessus, Limdariha dans le district de Bastar et Sitalekhni, Oogdi dans le district de Sarguja ont également donné plusieurs peintures rupestres intéressantes. Il y a plusieurs sites, probablement au nombre de plus de cinquante, allant généralement du Paléolithique moyen à la période historique, situés dans l'État de Chhattisgarh, mais ceux-ci attendent la documentation et la recherche proprement dite. Une liste de contrôle des sites d'art rupestre par district, avec des caractéristiques importantes (avec photos) est donnée ci-dessous (voir lien), qui devrait fournir un terrain de base à de nouvelles recherches sur l'art rupestre du Chhattisgarh.
Originally posted by lostinspace
Andrew Collins just e-mailed me a few minutes ago!
It was very kind of him to explain the situation to me.
This is what he said.
"Hi, There is no conspiracy, simply human necessities. Paulina Zelitsky and Paul Weinzweig held out as long as possible for the best possible deal on world rights to release pictures and video footage of what had been found. I know, I was involved with the deal from Random House, and was to have ghost written the accompanying book, which would have been accredited to them (I was chosen since the agent working on the project was working with me also, and I had just released GATEWAY TO ATLANTIS, which pinpointed Cuba as the site of the main island of Atlantis). The figure on offer was six figures in pounds sterling (based on a sliding scale of what had been discovered), but Paulina Zelitsky and Paul Weinzweig refused the offer, wanting even more to fund their future expeditions. They hoped that NatGeo would top the offer. However, when finally the pair released video footage of what they had found it was deemed both of poor quality and not what was hoped, and since Zelitsky and Weinzweig had run out of money, a stalemate ensued. No further footage could be got, so the Random House offer (which they could have taken) was withdrawn. I have no idea what offer NatGeo made, but I suspect it was afterwards withdrawn also.
Zelitsky and Weinzweig had to go back to what they know best – treasure hunting and vessel salvage, and no one has heard from them since. They have simply vanished off the map.
Story ends.
This said, I firmly believe that prehistoric archaeology does await discovery off Cuba, and hopefully within the next year I will take part in a major expedition to identity suspected structures off both the north and south coasts of the island.
Cuba is by far the best candidate for Atlantis’s flag ship, and one day hopefully we will be in a position to prove that.
What exactly Zelitsky and Weinzweig discovered remains a mystery. Whether artificial structures, ballast from Russian submarines or natural features, we might never know. All theories are possible.
Regards,
Andrew Collins"
It looks like Paulina Zelitsky and Paul Weinzweig lost their chance at some funding for more exploration at the MEGA site. Too bad they didn't take the first offer. They may have found some good evidence if they went with Random House. If anyone is going to find undeniable facts about a sunken city near Cuba, in the near future, it will be Andrew Collins. "
Email response that Ats member lostinspace got on 7/30/2008 from Andrew Collins, who wrote the book Gateway to Atlantis. Instead of a conspiracy, another possibility which is more boring but just as sad is that they just missed their opportunity for funding to go back to the site. So it could have been another case of bad timing, stifling bureaucracy, and judgmental people who weren't too open minded or interested in this discovery.