Mexique : Teotihuacan, un radiesthésiste français avait déjà trouvé le tunnel en 2015
Ce qu'il se passe est assez incroyable, car un sous-terrain détecté à distance (sur carte et en France) en 2015 par un radiesthésiste français vient d'être effectivement découvert par les archéologues mexicains...
J'ai pu joindre mon ami Albert Fagioli, qui avait fait cette découverte grâce à ses dons en 2015, et même en novembre 2014 selon son blog, et avait d'ailleurs joint le gouvernement mexicain à l'époque pour l'informer, et il n'était pas encore au courant de cette information annoncée par l'INAH et dans un article de National Geography il y a moins d'une semaine. Inutile de vous dire son enthousiasme devant la confirmation, une nouvelle fois, de son talent de radiesthésiste. Albert Fagioli n'en est en effet pas à son coup d'essai car il a déjà les attestations de découvertes de cavités secrètes, sous-terrains moyenâgeux, etc, dans plusieurs lieux de France, et il a déjà fait la une de la presse de provinces françaises. Il m'a aussi raconté ses problèmes de reconnaissance sur sa plus grosse "affaire" du moment : la fameuse île au trésor d'un grand pirate historiquement connu, qu'il affirme avoir découvert et dont il doit bientôt publier un livre explicatif...
Annoncé d'abord dans l'International Business Times, la découverte n'est bien entendu pas attribuée à Albert Fagioli, bien qu'il ait conservé les preuves de ses courriers envoyés en 2015 à l'Etat mexicain... Mais il faut dire aussi que cette découverte n'est pas encore physique, car effectuée à l'aide d'instruments techniques modernes, une forme de détecteurs utilisant un système de tomographie à résistivité électrique qui génère des images du sous-sol. (Cela pourrait rappeler les détecteurs utilisés par les français, l'ingénieur Crespy et l'historien Thierry Jamin pour trouver des salles souterraines à Machu-Picchu au Pérou...).
La pyramide de la Lune à Teotihuacan, un aspect étonnamment moderne architecturalement parlant (Crédit : National Geography)
Le tunnel en question se trouverait sous la Pyramide de la Lune, second plus grand édifice de cette ville antique après la pyramide du Soleil. D'après les archéologues à l'origine de cette découverte (et qui se seraient probablement inspirés des plans envoyés par Mr Fagioli - voir mon article de 2015), le tunnel constitue le reflet des immenses monuments du peuple de Teotihuacan et représente l'enfer tel qu'imaginé par les croyances de la civilisation précolombienne. Il s'agit à mon avis d'affirmations un peu prématurées en l'absence de réelle visite des lieux, il faut aussi noter que Mr Fagioli avait détecté 3 salles encore inconnues sous la Pyramide de la Lune en question. On connaît encore assez peu la civilisation de Teotihuacan et son origine, ancienneté, même si l'on sait qu'elle a précédé de plusieurs siècles les Aztèques, qui ont par la suite occupé le site, faussant ainsi probablement les datations.
D'après les signaux, le tunnel s'étend de la place centrale, connue sous le nom de Plaza de la Luna, à la pyramide voisine, de la Lune. Situé à environ 10 mètres de profondeur, il ressemble à d'autres tunnels découverts récemment, comme le tunnel mis au jour sous le temple du Serpent à plumes.
El hallazgo se logro mediante una tomografía de resistividad eléctrica. Foto: Melitón Tapia, INAH.
Pour l'heure, personne n'a pu accéder au tunnel ; des archéologues de l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique (INAH) utilisaient ce procédé de tomographieà résistivité électrique pour réaliser des mesures de conservation sur la place centrale lorsqu'ils sont tombés par hasard sur le tunnel (hum...).
Las imágenes preliminares sugieren una cavidad recta a diez metros de profundidad. Les images préliminaires suggèrent une cavité rectiligne à 10 mètres de profondeur. Imagen proporcionada por Denisse Argote, INAH.
D'après l'étude de restes humains découverts sur les sites funéraires (voir l'étude des découvertes du début du 21ème siècle ci-dessous), la pyramide de la Lune était dédiée aux sacrifices humains ainsi qu'à d'autres rituels (déductions purement académiques et sans preuves réelles d'une relation précise avec cette pyramide de la Lune !). On ignore pour l'instant quelle utilisation était faite du tunnel ; les archéologues envisagent de mener davantage de recherches afin de déterminer les raisons de sa construction et de savoir s'il abrite d'éventuels artefacts. Autrement dit, une ouverture est recherchée, sinon un trou sera planifié...
C'est une équipe d'experts dirigée par le Docteur en Géophysique, Denisse Argote Espino, rattaché à la Direction des études archéologiques INAH qui a confirmé cette découverte. Le spécialiste a dit que les images préliminaires suggèrent qu'un tunnel droit à une dizaine de mètres de profondeur joindrait le centre de la place à la pyramide de la Lune. Cependant, il a dit qu'il était nécessaire de traiter plus de données pour obtenir une meilleure définition des caractéristiques en-dessous de la surface. Les premières images analysées montrent un conduit obstrué. Bien que les résultats finaux seront prêts dans les mois à venir, vous pouvez déjà prévoir que, comme la Pyramide du Soleil et le temple de Quetzalcoatl, la Pyramide de la Lune pourrait avoir un tunnel souterrain.
L'archéologue Verónica Ortega, directeur adjoint technique du site archéologique de Teotihuacan, a déclaré que, si cela est confirmé, la fonction du tunnel aurait pu d'émuler le monde souterrain, l'endroit où est recréé l'origine de la vie, les plantes et la nourriture, donc on peut dire que son utilisation était strictement à caractère rituel, de faire des cérémonies des cycles agricoles.
Le docteur en études mésoaméricaines a noté que les résultats de l'étude pourraient permettre de mieux comprendre le discours symbolique au sujet de dessous la surface (le monde souterrain mythique).
Cette recherche dans la Cité des Dieux, se joint aux programmes d'études dans le domaine archéologique conduit par le ministère de la Culture et de l'INAH, comme annoncé il y a quelques semaines lors de la présentation de l'avancée de la recherche sur le Temple Ehécatl dans le grand Temple de Tenochtitlan, dirigé par le secrétaire de la Culture, Maria Cristina Garcia Cepeda, et le directeur général de l'INAH, Diego Prieto.
L'archéologue Verónica Ortega a déclaré que le fait que le tunnel soit dans un contexte scellé par le peuple de Teotihuacan lui-même, donne la possibilité de trouver de nouvelles preuves de l'organisation rituelle, mais aussi social et politique, de sorte qu'il sera possible de faire des comparaisons entre ce conduit et possiblement avec ceux qui sont en cours d'exploration sous la Pyramide du Soleil et le Temple du Serpent à plumes, à la recherche d'une meilleure compréhension de la signification de la ville et la façon dont ses dirigeants ont pu réunir plus de 100 mille habitants, dont beaucoup d'étrangers.
Il a dit qu'une fois que les résultats finaux seront disponibles, l'étape suivante consistera à explorer la cavité trouvée dans la Plaza de la Luna, que cette occasion a été perdue avec la Pyramide du Soleil, quand, dans les années soixante-dix du siècle dernier, l'archéologue Jorge Acosta, découvreur de ce tunnel situé dans ce bâtiment, malheureusement, avait découvert qu'il avait été pillé dans l'antiquité, probablement par les Aztèques au début du XVIe siècle. Dans ce cas, le tunnel avait été fermé et retrouver ses recherches serait une priorité.
L'expert dit qu'il faudrait attendre les résultats de l'étude afin de déterminer son orientation précise et la relation entre la place et la Calzada de los Muertos. Il est également important de le lier avec quelques-unes des phases de construction du bâtiment (Pyramide de la Lune), qui pourrait correspondre à l'un des premiers, vers 100 Avant JC.
Il dit que l'étude révélera s'il y ad'autres canaux autour de la pyramide,parce que l'année dernière quelques modifications de fosses particulièrement importantes et des canaux rituels liés ont été détectés dans le sous-sol.
« Ces éléments indiquent que, avant la construction de la pyramide existait une sacralisation de l'espace, car il a été trouvé des pierres vertes mégalithiques en face du bâtiment, qui étaient très précieuses pour les teotihuacanos et très susceptibles de faire partie d'un discours rituel beaucoup plus large, bien qu'à l'heure actuelle, on ne sait pas si elles ont une possible relation avec le tunnel ».
Pour l'étude, le Dr Denisse Argote a été assisté par une équipe d'ingénieurs géophysiciens de la Faculté de génie et de l'Institut de Géophysique de l'UNAM. Parmi les chercheurs sont le Dr Andrés Tejero, Gerardo Cifuentes, Alejandro Garcia, Esteban Hernández et René Chávez.
La tomographie électrique consistait à injecter un courant électrique dans la résistivité de mesure du sous-sol, en fonction de la variété de matériaux présents dans le champ. L'injection de courant électrique est réalisée au moyen d'électrodes: un courant d'alimentation et d'autres servent à mesurer la différence de potentiel, qui est enregistré par un dispositif appelé Syscal Pro Actuellement les données sont traitées pour créer des modèles 3D et 2D...
Argote Espino a souligné l'importance de travailler plus avec de techniques géophysiques dans des projets archéologiques, qui aident à résoudre les problèmes qui autrement coûteraient plus de temps et d'argent.
La pyramide de la Lune, située à l'embouchure nord de l'avenue des Morts dans Teotihuacan Zone archéologique, se compose de sept phases de construction. La première a commencé à être construite en 100 avant JC et successivement des agrandissements ont été faits jusqu'à 450 après JC lorsque la dernière étape a été construite.
Teotihuacán est une ville à l'histoire complexe dont une grande partie reste à découvrir. Avec plus de 125 000 habitants, elle était l'une des plus grandes villes du continent américain à son apogée, voir même du monde entier...
Sous un abri, les archéologues de l'INAH utilisent leurs appareils. Al obtener los resultados definitivos, el siguiente paso será explorar la cavida hallada. Foto: Melitón Tapia, INAH.
Les études modernes sur la pyramides de la Lune de Teotihuacan :
Une étude passionnante et des conclusions étonnantes (pour la période considérée). Je ne peux personnellement m'empêcher de me questionner sur les origines de ces rituels liés au Cosmos et au Temps, à la Création de l'Univers : serait-ce la preuve cachée d'une influence extérieure, de la réelle visite de ces "Dieux" venus du ciel ?
En tout cas, cette étude des dépôts rituels nous démontre que ce peuple utilisait un système de grille très élaboré (ayant aussi servi à la construction complète de la cité), les points cardinaux géographiques étaient respectés, mais aussi le nord magnétique !
" Des fouilles intensives menées dans la Pyramide de la Lune à Teotihuacan entre 1998 et 2004 ont abouti à la découverte de l’Enterrement 6, qui renferme douze individus et de nombreux animaux prédateurs, pour la plupart attachés et sacrifiés. Les restes de squelettes étaient accompagnés de riches offrandes suivant une stricte liturgie et des schémas calendaires et cosmologiques précis. Cet article décrit le contenu et la configuration spatiale de ce dépôt rituel spectaculaire datant de la Période classique ancienne, ainsi que son contexte architectural et chronologique. L’Enterrement 6 est comparé aux dépôts similaires mis au jour, non seulement dans la Pyramide de la Lune, mais aussi au Grand Temple de Tenochtitlan. Finalement, on discute les implications de la signification religieuse des rituels d’agrandissement de temples à Tenochtitlan, vus comme des cérémonies qui répliquaient la création de l’univers ".
" En conclusion, je voudrais proposer l’interprétation suivante pour la Pyramide de la Lune. Cette structure reproduit la configuration spatiale de l’univers et de sa transformation dans le temps. De plusieurs manières différentes, ce temple représente et renferme le monde même.
Les dépôts rituels que nous avons analysés nous montrent que, durant les agrandissements successifs de la pyramide, des cérémonies étaient menées, évoquant l’acte originel de création de l’univers. Au cours de ces rites, les actes des hommes imitaient les actions cosmogoniques des dieux. En d’autres termes, pour les habitants de Teotihuacan, la création de ce temple équivalait à créer l’univers et le temps. Je pense qu’on peut sans exagérer appliquer la même interprétation à la cité dans son ensemble ".
Notons qu'Albert Fagioli, outre cette découverte de tunnels et cavités sous la Pyramide de la Lune de Teotihuacan, a aussi fait l'objet d'un autre article à l'occasion de ses recherches à Carcassonne, mais aussi dans l'Aude et dans la région de Rennes-Le-Chateau et de ses mystères, et qu'il a également écrit un livre sur ses recherches du Trésor du duc d'Enghien.
On peut aussi signaler son étude faite à la demande de Dominique Jongbloed sur de possibles cavités supplémentaires au niveau de la "pyramide de Bosnie" ou des souterrains Ravne. On sait que le souterrain a été prouvé et exploré (sans pouvoir définir son origine et ancienneté précise), mais il semble que les talents de Mr Fagioli aient bien détecté des cavités en 2014 mais que la dernière expédition n'ait pu avoir accès au lieu par manque de temps, une prochaine expédition serait prévue en septembre 2017, dont l'un des objectifs sera de repérer les points éventuellement détectés à distance par Mr Fagioli...
(Extrait du rapport EPR 2 de Dominique Jongbloed, dans lequel ce dernier infirmait plutôt l'existence de plusieurs pyramides en ce lieu, n'en conservant éventuellement qu'une mais confirmant les souterrains)
Mais le cheval de bataille actuel de notre ami radiesthésiste est bien, depuis début 2015, sa découverte sur le papier de la fameuse île au Trésor du pirate écossais William Kidd (pendu par les britanniques sans avoir dévoilé sa ou ses cachettes). Il en est absolument certain, et il a même pu obtenir certains documents allant dans son sens, mais certains blocages aux niveaux financier (c'est bien sûr à l'autre bout du monde !), politiques et concurrences, font que les choses n'ont pour l'instant pas abouti. Mais il a prévu de sortir prochainement tout un livre sur sa découverte... j'aurai peut-être prochainement l'occasion d'en parler plus profondément avec Mr Fagioli...
Présents dans le pays maya de la péninsule du Yucatan, au Mexique, existent des milliers de puits appelés cénotes, qui sont des effondrements karstiques de calcaires et/ou roches volcaniques. Les Mayas utilisaient certains des puits uniquement comme sources d'eau, mais d'autres étaient considérés comme sacrés, les raisons de ces distinctions étant encore obscures.
Le plus connu des cénotes sacrés mayas est le puits de Chichen-ltza, qui est également une grande ville dont le nom signifie "l'embouchure du puits de l'Itza". Le cénote de Chichen-ltza, un «lieu de sacrifices» dans lequel des êtres humains et des objets de toutes sortes ont été jetés en tant qu'offrandes à Chac, dieu de la pluie et de l'eau, a d'abord été exploré par Edward H. Thompson, un consul américain, entre 1904 et 1907, lors de la première exploration sous-marine effectuée.
Le bord du puits est à 27 mètres au-dessus de l'eau, il a de 16 à 18 mètres de profondeur, sous lequel se trouvent environ 10 mètres de limon et de boue. Avec un diamètre d'environ 60 mètres et des murs inclinés vers l'intérieur, le puits est difficile à descendre.
La plupart des objets récupérés par Edward Thompson sont allés au Peabody Museum of Archaeology and Ethnologie de l'Université de Harvard, Etats-Unis. Certains des artefacts, remontés à la surface, indiquent que les Mayas ont collaboré avec des tribus aztèques au nord et à l'ouest de la vallée du Mexique, et aussi loin qu'avec des indiens du sud-est de la Colombie, du Costa Rica et du Panama.
ci-dessus, ce pendentif en or du puits de Chichen-ltza mexicain symbolise un Dieu-oiseau jouant de la flute. Un nez saillant couvre toute la largeur du visage et des rangées de spirales qui flanquent sont supposés représenter des ailes, alors que des spirales inversées représentent des yeux divins. Le style suggère le travail des métallurgistes indiens Quimbaya en Colombie où le pendentif a probablement été fait. (suppositions des archéologues). Photos and drawings from the book 'Chichen-ltza and Its Cenote of Sacrifice", by Alfred M. Tozzer, Peabody Museum, Harvard University, U.S.A.
Babylone : une tablette trigonométrique 1000 ans plus ancienne que celle de Hipparque
Après de longues études, des scientifiques de Sydney (University of New South Wales - UNSW) ont découvert le but d'une célèbre tablette d'argile babylonienne de 3700 ans, révélant qu'elle est la table trigonométrique la plus ancienne et la plus précise au monde, éventuellement utilisée par les anciens scribes mathématiques et architectes pour calculer la façon de construire des palais et des temples et construire des canaux.
La nouvelle recherche montre que les Babyloniens, héritiers de Sumer, après certaines lois astronomiques, ont aussi battu les Grecs sur l'invention de la trigonométrie - l'étude des triangles - de plus de 1000 ans et révèle une ancienne sophistication pour les mathématiques insoupçonnée jusqu'ici. A ce train, on va imaginer que toutes les découvertes mathématiques attribuées aux anciens Grecs (ici c'est bien les "inventions" de Hipparque et de Pythagore qui sont remises en question !) ne pourraient être en fait que des recopies d'anciennes découvertes Sumériennes et Babyloniennes (voir Harapéennes quand on voit la qualité et sophistication des constructions de la civilisation de l'Indus...).
Connu sous le nom de Plimpton 322, la petite tablette a été découverte au début des années 1900 dans ce qui est maintenant le sud de l'Irak par le négociateur en antiquités, archéologue, universitaire, diplomate Edgar Banks, la personne sur laquelle le personnage de fiction Indiana Jones a été basé.
Elle comporte quatre colonnes et 15 lignes de nombres écrites dans le script cunéiforme de l'époque en utilisant un système de base 60 ou sexagesimal...
A gauche: Le Dieu Marduk de Babylone – à droite: La tablette Plimpton 322, vieille de 3700 ans, exposée dans la Rare Book and Manuscript Library à Columbia University de New York. Credit: UNSW/Andrew Kelly
Un autre mystère arménien a été daté de 7500 ans avant le présent au minimum, probablement plus. Il s'agit d'un site mégalithique en cercle assez semblable physiquement que le Stonehenge britannique, sauf qu'il est beaucoup plus ancien, et assez typique de cette civilisation probablement mondiale et inconnue qui a dressé et taillé des pierres, parfois de très grandes dimensions, un peu partout dans le monde entre la fin du pléistocène et la moitié du néolithique ou même les débuts de l'âge du fer selon les régions...
Voici le septième volet (et dernier pour l'instant) d'une série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites). Il ne s'agit que des anciens et très anciens géoglyphes présents autour du monde, les géoglyphes modernes et artistiques (en Australie par exemple) ne sont pas traités...
Voici le cinquième volet d'une nouvelle série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites).
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