Bon, après un bon résumé de ce que nous savions à la mi janvier 2017, après les réponses de début décembre 2016 puis certaines interviews de Thierry Jamin sur diverses plateformes du web, dans le 4ième article dont le lien est au-dessus, il y a eu plusieurs nouvelles informations.
Lire la suite ci-dessous:
Dont une longue conversation de 3 heures sur skype avec l'historien-géographe explorateur, devenu archéologue par expérience (mais qui est toujours accompagné par un archéologue diplômé officiel lors des expéditions, comme l'exige les règlements péruviens). Thierry Jamin m'ayant demandé de ne pas révéler les diverses informations données lors de cette longue conversation, je respecterai bien sûr ma promesse, mais voici les nouveaux éléments fournis sur la page facebook de Thierry, ainsi que quelques éléments qu'il m'a autorisé à révéler ici...
Tout d'abord, l'explorateur, accompagné de quelques membres de son équipe, a pu enfin avoir un contact direct avec les huaqueros, sans l'intermédiaire (Paùl), dans un hotel de La Paz, la capitale administrative de la Bolivie donc, en "terrain neutre". Inutile de dire qu'ils sont maintenant formellement identifiés. Afin de protéger les reliques déjà prélevées sur le site et le site même, un accord a dû être passé, des paroles données sur la confidentialité des identités accordées. Les huaqueros ont promi de leur côté de "lâcher" complètement le site, dès qu'ils auront estimé avoir tiré suffisamment d'avantages financiers avec... c'est une nouvelle assez moyenne, avec la dispersion probable de certains artefacts dans des collections privées, mais les pilleurs ont compris la valeur des objets trouvés et les prix ont grimpé (il est question de 200000 $ à 500000 $ pour une plaque métallique spéciale, etc...), mais ils ne trouvent plus d'acheteurs locaux maintenant, vu les tarifs... (à priori). Pour répondre aux questions légitimes de certaines personnes, il a été aussi confirmé que les autorités péruviennes sont parfaitement au courant de la situation. Elles ont adopté une attitude prudente et conservatrice afin de préserver au mieux les intérêts de l'Etat péruvien et des artefacts, du site trouvé. Il faut bien comprendre que beaucoup de découvertes en Amérique Latine ont été faites (Macchu-Picchu qui a été pillée au 19ème siècle et autres sites importants même au 20ème siècle en sont des exemples) par des non-scientifiques et des huaqueros, et les scientifiques sont toujours arrivés par la suite pour rendre les choses publiques... cette découverte ne sort donc pas du "cadre" habituel des nombreuses découvertes faites chaque année au Pérou ou dans les pays voisins... c'est malheureux pour certaines découvertes importantes, de certaines données qui sont "loupées" ou perdues par l'inconscience de ces "esclaves de l'argent", mais c'est bien la réalité du monde dans lequel nous vivons... Vous verrez aussi dans l'interview de Thierry Jamin que ces huaqueros (dont le chef a une certaine réputation à maintenir, car il a participé à plusieurs recherches officielles avec de célèbres archéologues bien reconnus !) ont déjà découvert, il y a 10 ans, des artefacts étranges, dont une main avec trois doigts, et un crâne comportant trois yeux, dont un au front... qui ont tous été vendus à l'époque... Il faut aussi savoir que la momie intacte de la petite fille, princesse inca, a été facilement vendue à un collectionneur italien... et que des japonais sont en ce moment même en train d'étudier l'authenticité d'une plaque à mémoire de forme (vendue un demi-million de dollar !) pour une entreprise nippone... Bon, il s'agit du témoignage de pilleurs de tombes, bien sûr, on peut relativiser et douter, mais on peut tout de même se poser la question, d'autant plus que Thierry Jamin, offusqué par les choses, n'hésites pas trop à en parler librement...
Le récit de la découverte du site est en partie différent de celui donné par l'intermédiaire (qui n'avait pas obtenu toutes les réalités de la part des huaqueros), surtout pour le début : Voilà la véritable découverte racontée par les pilleurs : " Ils fouillaient comme souvent le désert sableux, à l'aide de grandes barres métalliques plongées dans le sol, à la recherche de tombes ensevelies et intactes. L'endroit (un peu mieux cerné maintenant grâce aux recoupements) est situé un peu en hauteur, au niveau des plateaux montagneux, prémisses de la Cordière des Andes (et donc non pas dans le désert proche de l'océan). Subitement, une barre rencontre un obstacle souhaité, le lieu est fouillé et il se révèle rapidement être une salle intacte, une sorte de caveau ou de vestibule. En creusant plus, ils font une découverte étonnante : au font de la salle se trouve une porte scellée. Ils tentent d'ouvrir cette porte par plusieurs moyens, avec une réaction thermique usuelle (essence + eau) puis ils poussent fortement cette paroi de pierre et, au bout d'un moment, celle-ci s'enfonce un peu, puis revient vers eux, comme si elle pivotait après leur poussée, un mécanisme ayant été débloqué. Ils réussissent ainsi à l'ouvrir, tombent sur un escalier qui mène à une tombe. En fait ils découvrent la momie parfaitement conservée d'une petite fille inca (entre 10 à 12 ans). Tellement bien conservée dans ce désert très sec qu'ils ont l'impression de voir un enfant dormir (rien à voir avec la momie abîmée mais intacte de la jeune fille de 16 ans trouvée il y a quelques année en haut d'une montagne du Pérou, ni au petit garçon wari-inca en Argentine découvert dans la glace d'une autre montagne). Une enfant probablement issue de la noblesse inca, car elle est habillée de magnifiques vêtements et ils trouvent des bijoux dans ses cheveux et plusieurs objets (poteries probablement) en forme d'offrandes dans la tombe... qui est construite de pierres solides. A noter qu'ils y trouvent aussi la momie d'un homme portant des petites moustaches et quelques poils au menton. Pensant qu'ils sont sur la piste d'un potentiel trésor inca, ils continuent de déblayer les lieux et c'est ainsi qu'ils ont découvert le premier sarcophage. L'histoire rejoint ainsi celle déjà révélée dans le quatrième article, tout en ajoutant qu'ils annoncent aussi qu'il y a d'autres portes pas très loin de l'endroit où ils ont trouvé le second sarcophage (ou coffre de pierres), qu'ils n'ont pas ouvertes encore, car ils ont peur d'un piège, une grosse pierre ressortant au-dessus de cette sorte de vestibule où se trouve plusieurs portes... Les huaqueros seront tellement surpris de l'ampleur de leur découverte qu'ils n'en parleront pas du tout pendant plusieurs mois... pas avant janvier 2016 tout au moins.
D'après les pilleurs, le site ressemble fortement à une pyramide ensevelie ou cachée dans une montagne naturelle de forme pyramidale (une pyramide semi-artificielle (adobe ?) donc comme celles qui ont déjà été découvertes et datées de l'époque Nazca, comme à Cahuachi par exemple), ou un temple composé de multiples galeries. Ils ont probablement trouvé une entrée secrète, cachée depuis de nombreuses années par les incas ou autre ethnie locale selon la période (ou même les périodes), mais il doit exister d'autres entrées à cette structure. Ils ont bien trouvé deux "sarcophages" ou grands coffres de pierre, avec un nombre impressionnant d'objets, y compris certains trouvés sur le sol ou sur des sortes de "bancs" ou rebords de pierres entourant les salles : un peu comme des salles de musée antiques ! Le nombre donné par les pilleurs est maintenant énorme, car ils parlent d'au moins 1000 objets, dont beaucoup de petite taille, avec plusieurs gravures en pierre ou en quartz bleu et des petites boules métalliques. La découverte semble assez proche de ce qui a été trouvé au Mexique, à Ojuelos de Jalisco notamment (attribués aux Aztèques probablement par erreur de contexte local : les archéologues, faute de mieux, attribuent souvent des objets difficiles à identifier à la culture qui a occupé un lieu en dernier... sans se préoccuper de civilisations précédentes, ou de commerce, ou de pillages...), avec des objets de nature assez proche.
Vous avez pu découvrir cette nouvelle relique en pierre ou en quartz ramenée par Thierry Jamin début février, dans mon article sur la culture de Vinça... pour ceux qui me suivent ! Ces reliques seront révélées petit à petit par l'équipe afin de répondre sereinement aux questions et aussi pouvoir les étudier et les analyser au mieux. Cette figurine est assez proche des figurines découvertes il y a quelques années au Mexique...
Absolument tous les objets déplacés du site par les pilleurs ont été photographiés et ces photographies ont été montrées à Thierry Jamin, ainsi que quelques pièces amenées comme preuves. A force de négociations, plusieurs nouveaux objets, tant biologiques que des figurines gravées, ont pu être ramenés par l'explorateur et son équipe. J'ai eu l'honneur de voir toutes ces nouvelles reliques le 2 février dernier donc, mais j'ai attendu la révélation de Thierry Jamin de la nouvelle relique biologique ramenée (un corps entier mesurant 38 centimètres environ, assez proche de la première, sans l'être entièrement toutefois !) et étudiée aussitôt par les médecins de Cuzco... Il y aurait aussi une grande main à trois doigts comme celle déjà examinée, mais encore reliée à l'avant-bras, et donc avec son articulation complète...
Mais auparavant, de nouvelles photos de reliques, données par les pilleurs, étaient apparues sur la page Facebook de l'explorateur, les voici :
Les poils dépassant de ces yeux obliques semblent bien êtres des cils (la possibilité de foetus semble s'éloigner)
Cette tête coupée, même si elle a aussi une toute petite bouche, un petit nez, de grans yeux et pas d'oreilles ni pilosité, semble aussi plus "ronde", moins allongée que les autres... Questionné, Thierry Jamin se demande s'il ne s'agit pas de restes d'expériences génétiques, d'un labo antique dont certains résultats d'expériences ont été préservés...
Une étonnante nouvelle momie donc (voir la définition d'une momie créée artificiellement par les anciennes cultures dans un dictionnaire !), comportant certaines similitudes avec les précédentes déjà montrées (tête, mains et orteils), mais aussi de grosses différences, principalement une cage thoracique énorme (13 paires de côtes) et des membres (bras et jambes) comportant 4 os (2 chez l'être humain, les primates et la majorité des animaux terrestres...), sans articulations visibles (peut-être enlevés lors de la momification ?) et aussi sur la main gauche, deux implants ou plaques tout à fait ronds, au dos et dans la paume de la main...
Début février 2017, Thierry Jamin déballe l'un des nouveaux artefacts récupérés et, équipé de gants, me les montre, entre autres cette étonnante entité biologique de 38 centimètres momifiée... (voir l'extrait vidéo dans l'interview ci-dessous).
La main gauche vue de près, on distingue bien l'implant rond disposé juste sur son dos...
La main retournée avec un autre implant rond disposé au niveau de la paume... la jambe en premier plan laisse voir tout de même une sorte de pli ou petite jointure.
Et voici, en bonus (et merci à Thierry Jamin et son équipe) et pour les lecteurs, lectrices de ce site et les internautes de la chaînes Youtube S.F.H., ainsi que de la page Facebook de S.F.H., une interview de Thierry Jamin en date du 10 février 2017, dans laquelle il répond à quelques questions et révèle de nouvelles choses... en attendant les publications et études des nouvelles reliques ramenées de la confrontation d'avec les huaqueros (qui feront l'objet de nouvelles vidéos et explications)... On parle bien d'un minimum de 1000 artefacts biologiques, de pierres et de métal maintenant, la probabilité d'un "fake" monté par quelques individus en quelques mois devient assez... loufoque, même pour le meilleur sceptique orné de grosses œillères depuis des années... mais, par respect (bien que ce ne soit pas souvent réciproque), laissons les analyses se dérouler normalement et la vérité, quelle qu'elle soit, apparaître au grand jour... Dans cette interview qui nous conte en détail la façon dont les huaqueros ont découvert le site (voir plus haut), on apprend aussi que les mêmes personnes (le chef étant une personne ayant une certaine réputation au Pérou, qui a travaillé avec de vrais archéologues très connus, qui a vendu de vrais vestiges précolombiens à des personnalités politiques connues du Pérou ou du Brésil...) ont fait la découverte il y a une dizaine d'année d'une huaqua inca (temple ou pyramide) près de la côte péruvienne, et qu'ils y ont trouvés déjà à l'époque une grande main équipée de trois doigts, mais aussi un crâne étrange pourvu de trois yeux (un au front), qu'ils ont revendu déjà à l'époque à un collectionneur privé (tout comme la momie de la petite princesse inca découverte fin 2015 a été revendue à un collectionneur italien...). Le haquero a annoncé aussi (mais difficile de savoir si c'est vrai ou juste pour tenter de faire monter les enchères) qu'il est en contact avec des japonais représentant une grande entreprise, qui est prête a acheter une plaque métallique à mémoire de forme (et qui émettrait une luminosité bleue la nuit) pour 500000 $... Il est à noter aussi que ce haquero, qui a une forte connaissance des choses déjà découvertes (secrètement ou non) dans ces régions, pense que ces objets découverts pourraient faire partie d'expériences pratiquées par les anciens peuples ou même plus probablement par des entités non-humaines... (croisements génétiques, hybridations, tests sur l'être humain, des animaux et eux-mêmes...). En tout cas, ces entités pourraient bien être à l'origine d'une grande partie de l'Histoire de l'Humanité, les perspectives, si cela est confirmé bien sûr, sont immenses, tant du point de vue historique, scientifique que religieux bien évidemment...
Avec à nouveau mes excuses pour la qualité moyenne de cette vidéo tournée en direct de Cuzco, Pérou via Skype... Comme l'interview de début décembre 2016 sur le même sujet, cette vidéo sera sous-titrée (non seulement pour les mal-entendants) en français (Ajoutés le 16-02-2017), puis en anglais et espagnol. - : https://youtu.be/R9adZ8R70NU
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
Jean-Marc Leduc
Le 12/02/2017
Merci beaucoup de nous donner toutes ces infos et éléments complémentaires.
Quelle aventure ! :-)
yveshLe 13/02/2017
Je pense que nous sommes tous aussi surpris de cette accumulation de découvertes, et nous ne sommes pas au bout de nos surprises si on en croit ces huaqueros...