Nous en étions à peu près arrêtés au 10 avril lors du dernier article, avec l'annonce de la réception des échantillons par le premier labo. Cet article vous propose donc un aperçu de ce qui est arrivé depuis ces trois dernières semaines et surtout une assez longue conversation du 1er mai avec Thierry Jamin, qui fait un peu ce résumé de trois semaines et aussi une mise au point sur les derniers événements.
Voici donc la vidéo de cette conversation assez longue avec Thierry Jamin. La connexion avec le Pérou étant assez mauvaise sur Skype, j'ai préféré optimiser un peu l'image en réduisant un peu la taille de la vidéo, l'essentiel étant que le son soit assez bon. Je tâcherai, dans la mesure de mon temps disponible, de sous-titrer cette vidéo en français, anglais et espagnol :
Le premier laboratoire, spécialisé dans l'ADN et les analyses archéologiques a donc bien confirmé avoir reçu les échantillons envoyés, ainsi que le deuxième, il y a quelques jours. Un soucis est apparu pour le troisième laboratoire dont l'équipe Inkari n'a eu aucune confirmation de réception. C'est ennuyeux car ce laboratoire est l'un des principaux, avec une expertise très reconnue pour ses analyses très complètes, y inclus le C14. Thierry Jamin va donc devoir très rapidement se rendre dans ce pays pour quelques jours, avec de nouveaux échantillons, et y rester quelques jours vu la distance. Il faut noter qu'il s'agit d'échantillons biologiques et que les passages en douanes, selon les pays, peuvent être assez bloquants pour de tels échantillons et selon les lois en vigueur dans ces pays. Il peut même se produire des mises en quarantaine pour de longues périodes parfois... Le nécessaire va donc être fait rapidement car plus le temps passe et plus les résultats vont être retardés, et la nécessité d'avoir trois résultats pour respecter les normes scientifiques classiques est importante.
Après des examens pratiqués par plusieurs médecins sur une momie complète (voir le 8ème article), ce sont deux nouveaux médecins, les Docteurs Julio Espejo Torres et David Hermosa Gongora, deux spécialistes en radiologie, qui livrent leur analyse de 3 nouvelles mains avec 3 doigts, dont 2 présentent un implant métallique. Globalement, pour eux, ce n'est pas humain...
Vous verrez, dans ma conversation avec Thierry Jamin, nous abordons très rapidement les dernières découvertes faites par Mario et son équipier, dans le site. Il y a la mention d'une anecdote disant que ce coéquipier, alors qu'il était en train de creuser le sol d'une salle à la recherche de nouveaux artefacts, a senti une présence et s'est retourné, surpris, pour entrevoir rapidement ce qu'il a décrit comme une femme, qui a disparu aussitôt... mais nous abordons aussi rapidement la découverte d'une momie très bien conservée, en position assise à la façon des nasca ou paracas, qui a été décrite comme un être hybride féminin (mi humaine mi "Gris" avec une tête très allongée), avec des cheveux et mesurant 1m70. Thierry en avait déjà un peu parlé lors de son passage mi-avril chez BTLV, dont cette chaîne a diffusé d'ailleurs cet extrait :
Nous faisons aussi rapidement mention d'autres propos de Thierry Jamin au sujet de la découverte de plusieurs momies de type féminin (il y aurait aussi au moins 2 types de races différentes sur le site), dont l'une aurait été enceinte lors de son décès (présence probable d'un fœtus donc) et porterait un type d'implant métallique inédit : deux petits disques reliés par une barre, au niveau de la poitrine. On parle aussi de feuilles de métal ou même d'or à l'intérieur du ventre d'une momie... On parle aussi de la présence d'un grand disque de métal argenté planté dans une paroi du site. Tout ceci demeure assez imprécis car cela fait partie des révélations réservées par les chaînes américaines qui sont arrivées à Nasca avec Jaime Maussan et son équipe de tournage pour sa chaîne Tercer Milenio, c'est à dire les chaînes National Geographic et Gaïa. Ces dernières ont pu donner de l'argent à Mario pour la récupération de quelques nouveaux artefacts, ainsi que la prise d'autres échantillons qui vont donc aller aussi dans d'autres laboratoires aux USA. Et une nouvelle prise de contact va intervenir en mai, avec l'apport de suffisamment d'argent pour acheter TOUS les artefacts actuellement en possession de Mario. La négociation pour l'accès au site n'a malheureusement pas pu aboutir, Mario assurant qu'il n'a fait qu'effleurer ce dernier et qu'il y reste un très grand nombre de choses à y découvrir. Une vidéo a montré Mr Maussan pilotant un drône au-dessus des lignes de La Palpa, une sorte de reconnaissance aérienne... On signale que les lignes de La Palpa seraient plus anciennes que celles de Nasca, d'au moins 1000 ans, éventuellement faites donc par les Paracas ou encore d'autres populations anciennes présentes sur les lieux. Les traces des plus anciens hommes au Pérou ont été enregistrées à - 20.000 ans d'après certaines découvertes récentes (- 40.000 ans au Brésil)... officiellement...
Il semble que mercredi 26 avril, une découverte importante ait eu lieu et que cela a convaincu complètement non seulement Jaime Maussan, mais aussi les autres chaînes de télévision, de la réalité des choses et de leur nature. Tout va donc être fait pour que, en juin 2017, une semaine avant la sortie des documentaires en cours de montage par National Geo et Gaïa, une conférence internationale soit montée à Lima pour qu'une révélation globale des découvertes et de toutes les analyses ADN et C14 soit faite, en duplex avec New-York à priori et Mr Maussan... Peu de choses à dire sur les tournages qui ont eu lieu à Nasca et autres, bien sûr, et l'émission du 30 avril de Tercer Milenio sur le sujet n'a pas dévoilé grand chose non plus, sinon que tout le monde avait été convaincu de la réalité des reliques et de leur origine non terrestre. Mr Maussan a même ajouté sur sa page Facebook une image très révélatrice ! :
Exactement au même moment, un faux hasard car il était au courant de la visite de Mr Maussan et des chaînes américaines, Paùl (Krawix999 en fait), qui a continué à faire "cavalier seul" (avec la secte Alpha y Omega dont il se revendique ?), a publié coup sur coup deux vidéos : il s'est fait invité d'urgence par une petite chaîne de télévision péruvienne pour y faire des "révélations" sans preuves aucune (alors qu'il affirme depuis janvier 2017 avoir envoyé plus d'une vingtaine d'échantillons à travers le monde (et gratuitement ^^)) affirmant que les momies de Mario (et surtout celles de l'Institut Inkari bien sûr !) étaient vraies, mais des fabrications par les Nascas ou Paracas ou Incas (des précolombiens pour résumer) à base d'humains et d'animaux... Il en profite pour accuser Thierry Jamin de le savoir depuis longtemps, ainsi que le jeune médecin ayant fait les premiers examens, mais de l'avoir caché. Il accuse même semble-t-il de la revente d'artefacts à l'étranger. Vous avez la preuve dans mes premiers articles et interviews de Thierry Jamin que c'est entièrement faux, car ce dernier a en effet tout de suite dit, en parlant de la tête coupée prêtée par Paùl, en décembre/janvier, que celle-ci contenait du coton, que c'était étrange, et que ce coton allait être analysé d'ailleurs... Il n'est donc pas impossible que ce soit Paùl qui ait volontairement trafiqué ses momies (et sa main à trois doigts) mais son manque de connaissance en la matière rend ceci très peu probable, à moins qu'il n'ait eu de l'aide. Quant aux autres allégations, inutile de vous dire que Mr Maussan a dit le contraire, que tous les artefacts achetés resteraient au Pérou, pour le peuple péruvien et pour leur étude localement... Il y a aussi une deuxième vidéo où un médecin (anonyme) ferait des examens et utiliserait un spectrographe pour tenter d'analyser la matière de la petite momie apportée par Paùl. On se demande si ce médecin et les accompagnateurs ne sont pas membres de cette secte mais passons, les paroles affichées sont intéressantes : il s'agit de protéines (c'est donc bien biologique) et il y aurait éventuellement de la matière végétale avec 80% de résine ou d'ambrosite et d'autres matériaux pas trop annoncés. On peut donc en effet soit s'interroger sur la nature des montages (attestés comme "anciens" par Paùl) pour la momification de ces artefacts : ceux-ci par Paùl et la secte avec de la résine moderne facilement décelable, ou par des embaumeurs possédant des pratiques peu connues (mais c'est en Amérique du Sud qu'existent les plus vieilles momies au monde (7000 ans), ou encore par de la matière végétale se transformant en ambre (ce qui met aussi des millénaires...). Quoiqu'il en soit, aucune preuve, aucun résultat d'analyses ne vient apporter le moindre appui à ces affirmations, qui sont à l'évidence un coup de bluff au moment de la visite des chaînes américaines. Et, pas de chance pour Paùl, les momies vendues par Mario à l'Institut Inkari se révèlent être très complètes, non trafiquées (pas de coton ou d'ouvertures étranges faites au tournevis comme par Paùl !) à priori, en tout cas rien de tel décelé par de réels médecins qui ont fourni leurs noms...
Et pour répondre à certains détracteurs, le gouvernement péruvien a décidé dans un premier temps de ne pas considérer des artefacts biologiques "aliens" ou considérés comme tels dans une "dénonciation", comme étant des vestiges archéologiques soumis aux lois sur la protection des vestiges. Il n'y a donc pour l'instant aucune loi empêchant les ventes/achats et même sorties du territoire de ces artefacts (mais Thierry Jamin veut tout de même l'empêcher du mieux qu'il peut)...
Thierry Jamin assure qu'il est maintenant sûr à 100% de la nature "hors Terre" de ces momies, ainsi que les récents visiteurs (des mexicains, un médecin russe de l'Université de St-Petersbourg, des américains...). D'autres objets seront montrés au public avant cette conférence de juin.
Information importante : Avant même la rencontre avec Thierry Jamin, Mario avait prit une sorte d'assurance au cas où il aurait des problèmes : il a fourni des données et des artefacts a un groupe d'amis qu'il connaissait. Ces derniers ont donc aussi d'autres objets provenant du même site, et seraient à même de prendre le relais au cas où un problème arriverait avant la conférence de juin 2017, à Mario ou à l'équipe Inkari. Ces derniers se sont fait un peu connaître avec deux articles et des photos sur un site associatif, et avec la présentation de quelques momies. Et ils parlent de 2000 momies entières et intactes et pièces diverses en leur possession... Nous en parlons aussi un peu dans notre conversation, voici le lien du site qui parle de ce deuxième groupe d'anonymes, qui se nomment los “Guardianes de Atok Marka” et qui possède donc également d'autres artefacts ! C'est dire si le nombre d'objets est important... Selon les articles ci-dessous, publiés par l'APU, une association d'ufologues péruviens, les « Gardiens de Atok Marka » ont en leur possession plus de 2000 pièces, qui comprennent des êtres momifiés qui sont entre 7cm jusqu'à 3 mètres de haut, dont les restes ont été observés et touchés soigneusement par des chercheurs de l'APU, précisant que tout a été momifié, les os et les tissus mous, par le passage du temps et les conditions dans lesquelles ils ont été trouvés. Toutes ces pièces ont été enlevés clandestinement d'une galerie souterraine située sous le désert de Ica, région plus précisément de la province Nasca dans le sud de la région. Selon la version des « Gardiens de Atok Marka », ces restes ont été pris d'un lieu sacré, qui a été protégé par les anciens esprits tutélaires pendant des milliers d'années, et n'avait jamais été localisé par le travail archéologique fait à différents points de la province nasqueña... Il est précisé aussi que le Directeur de l'APU, le Dr Anthony Choy (visible sur les photos), et Rafael Mercado attendent les résultats d'une série d'analyses commandées à une institution spécialisée, pour avancer sur ce cas important, et reprendre contact avec le groupe en possession des artefacts... :
Notez que la découverte de tels crânes dans le site du Pérou est assez extraordinaire, car ils ressemblent exactement au même crâne nommé "Star Child", enfant des étoiles, trouvé au Mexique au siècle dernier, en 1930, et qui avait été jugé unique et probablement issu d'une maladie par la science ! Un groupement avait tenté de l'étudier depuis 1999, quand il avait été retrouvé... un groupement évidemment "assommé" par les sceptiques de tous poils, qui agissent toujours à contre-sens de l'Histoire, comme pour de nombreux inventeurs ou découvreurs, Galilée parmi les plus connus, mais par exemple, le découvreur de la fameuse grotte ornée préhistorique d'Altamira, Marcelino Sanz de Sautuola, au 20ième siècle, eut aussi à batailler quelques années avant de voir les sceptiques avouer leur défaite...
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
OTOOSAN
Le 02/05/2017
Il conviendrait de faire des prélèvements dans les sols vierges des prochaines excavations pour datation et ADN puisque maintenant il est possible de trouver de l'adn dans les boues et poussières
yveshLe 03/05/2017
Tant que le site est encore aux mains des huaqueros (pilleurs de tombes), ce ne pourra être fait... La conférence de juin 2017 et l'annonce des résultats des analyses et la passation des données et reliques aux autorités devraient libérer le site et faire avancer les choses de ce côté.