La guérison au toucher et à distance suite - L'Homme Spirituel Page 4
Voici la suite du dossier "L'Homme Spirituel" dont vous trouvez les débuts dans les liens ci-dessous. Il est possible que d'autres articles ayant des connexions avec ce thème soient ajoutés par la suite dans ce nouveau dossier/répertoire :
Nous avons donc déjà vu dans les pages précédentes que certains de nos sens (sinon tous) interagissent beaucoup plus profondément avec notre environnement humain ou non qu'on n'en est conscient et que ce n'est pas facilement mesurable scientifiquement, d'où la lenteur des progrès en la matière d'ailleurs. De la même manière que ce que les scientifiques englobent dans le terme "instinct", l'interaction profonde de ces sens au niveau atomique et purement physique est acceptée dans son principe (comment un aveugle pourrait-il continuer à ressentir son environnement sinon ?, par exemple) mais la science limite les possibilités de ces interactions au "visible" encore à l'heure actuelle, surtout par instinct elle-même, sur l'inconnu et le nombre de choses à découvrir encore sur le domaine des ondes de toutes natures, domaines et énergies (la physique plus largement). Et oui, l'être humain et sa spiritualité sont évidemment extrêmement liés, comme toute matière vivante animée, avec l'ensemble de la structure de l'univers physique (connu et inconnu) qui permet que cette matière et énergies existent, même temporairement.Nous allons voir aussi que ces possibilités s'exercent au-delà du simple soin et "pansement" local, en ce qui concerne le sens du toucher notamment, qui permet par une expérience prolongée de la pratique et un bon apprentissage (le don est un cadeau supplémentaire), de développer des interactions très profondes avec les objets (baguettes du batteur, os, tendons et muscles, nerfs, etc...), y compris à l'instinct et à distance... ces interactions commencent à être prouvées et étudiées scientifiquement, mais elles rappellent encore beaucoup trop pour la "vieille école" les anciens "rebouteux", "guérisseurs" sortis tout droit du moyen-âge, avec un pourcentage élevé de charlatans... et pourtant les preuves de guérisons par simples appositions des mains ou même sans toucher, à quelques centimètres de distance, ont été de tout temps vues, depuis des centaines d'années... on peut aussi bien sûr se poser la question de savoir jusqu'à quel point l'effet "placebo" agit, bien sûr (et au-delà d'une guérison ou même du médical) :
Mais ces interactions subtiles sont discernables aussi tous les jours, apparaissant comme "normales" et non surprenantes car " allant de soi", mais, quand on réalise que ces interactions ne sont pas si "naturelles" que ça, qu'il faut soit un don inné, soit une longue pratique accompagnée très généralement d'empathie et de sensibilité aux ondes, on constate effectivement le phénomène et son "merveilleux"... on commence ci-dessous par ces évidences qu'on ne trouve pas obligatoirement "extraordinaires" ou comme étant des "preuves" d'un phénomène plus étendu et profond qu'on ne le pense, et pourtant...
Tous ces témoignages proviennent de sites facilement consultables et libres d'accès et proviennent bien souvent de spécialistes et de témoins directs. Tous les liens des témoignages cités sont visibles en bas de cet article. Commençons avec le témoignage intéressant d'un musicien, d'un batteur parlant de l'interaction particulière d'un pro avec son outil principal... :
" Témoignage de Frédérick Rimbert, Batteur
La pratique de la batterie.
Pour jouer de la batterie, il faut savoir être, à la fois passionné, indépendant et coordonné. En effet, la pratique de cet instrument nécessite de faire quatre gestuelles à partir de ses deux mains et deux pieds et donc, en quelque sorte, de savoir raconter « des histoires » différentes de façon totalement coordonnée.
Pour produire le « roulement » (succession de coups de baguette) désiré, il faut savoir maîtriser son geste et sa baguette. Concernant le geste, deux compétences sont nécessaires à maîtriser : la précision et la justesse :
- La précision décrit la technique du geste,
- et la justesse, l'énergie que l'on met dans ce geste.
Pour obtenir des résultats, durant sa formation, le batteur devra savoir prendre son temps, et travailler de manière relâchée. En effet, pour progresser et obtenir un certain niveau dans sa pratique, le batteur doit savoir «bien commencer », c'est à dire adopter les bons gestes et la bonne posture.
Pour être détendu, le batteur, en préambule, doit savoir s'asseoir. Car son équilibre conditionnera sa décontraction et celle-ci permettra la fluidité et la flexibilité de ses gestes.
Il devra commencer lentement, être patient et concentré. Travailler lentement exige beaucoup de soi. Il est en effet plus facile de jouer vite, car la vitesse compense et masque les imperfections. C'est l'erreur dans laquelle s'engouffre le débutant, et la raison pour laquelle il sera très vite limité dans ses possibilités et sa pratique. En batterie, la vitesse et la beauté d'un roulement est toujours le produit de sa précision et de sa justesse.
Les registres de la nuance ou de l'intensité devront donc être investis uniquement lorsque le registre technique est maîtrisé. Car, à rechercher l'intensité avant la maîtrise technique, l'étudiant « forcera » son apprentissage et limitera alors sa progression et ses possibilités.
L'apprentissage de la batterie se fait selon trois étapes majeures, comme l'on apprend à écrire :
1. Le pratiquant devra tout d'abord apprendre et répéter la technique. Celle-ci représente son vocabulaire.
2. L'entraînement lui permettra ensuite de coordonner ces techniques entre elles. Suivant son bagage technique, il sera capable d'interpréter « les histoires des autres ».
3. Une fois la technique maîtrisée, le pratiquant pourra alors « créer » ses propres histoires.
Dans l'histoire de la batterie, trois personnages ont marqué leur temps et sont aujourd'hui autant de références : Sanford Augustus Moeller, Georges Lawrence Stone et Billy Gladstone.
Georges Lawrence Stone (1885-1967) apprit la batterie auprès de son père. Il apprit notamment une technique, transmise de génération en génération : le « free stroke » (coup libre). Cette technique, toujours utilisée de nos jours, est basée sur les principes de physique harmonisant les mouvements des mains avec la nature. Cette technique utilise le rebond de la baguette pour augmenter sa propre vitesse d'exécution. Georges L. Stone a écrit en 1935 la méthode d'entrainement « Stick Control », qui est aujourd'hui la méthode la plus vendue au monde.
Là où les méthodes « classiques » utilisaient l'énergie du poignet pour produire l'effet de la baguette, Stone expliquait alors l'importance de démultiplier l'effet du poignet en utilisant une autre énergie : celle de la baguette elle-même.
En effet, pour Stone, la force utilisée par le poignet ne devait servir qu'à imprimer une direction à la baguette, mais devait ensuite laisser la baguette revenir par elle-même. Ce « coup libre » permettait au poignet d'utiliser un minimum d'énergie, l'essentielle étant produite par la baguette.
Sanford Augustus Moeller est né en 1880 et décédé en 1960. Il a appris le tambour auprès de soldats qui revenaient de la guerre de Sécession et continuaient à jouer. Il fut impressionné par la capacité de ces anciens soldats, pour certains âgés de plus de 80 ans, à jouer avec puissance et vitesse et ce, pendant des heures.Sanford A. Moeller remarqua alors, en les observant, la relation qui pouvait exister entre le relâchement dans le mouvement et sa vitesse d'exécution.
La technique Moeller se caractérise par le « Whipping Motion » (coup de fouet). Ce mouvement de « coup de fouet » générait une gestuelle décontractée et un son fluide. Mais, S.A Moeller n'a pas réellement inventé cette technique. La clef qu'il a découverte est que la puissance provient du mouvement plutôt que de la force musculaire. La technique Moeller, bien que jouée de manière totalement détendue, génère une grande masse d'énergie : elle est basée sur la décontraction et le rebond, si chers à Stone et son « free stroke ».
Une des applications courantes de la technique « coup de fouet » de Moeller est le « Pumping Motion » (mouvement de pompe). En effet, cette technique permet, grâce à un geste continu d'obtenir plusieurs coups enchaînés. Une seule impulsion du poignet permet alors de produire jusqu'à quatre ou cinq rebonds : autant de « coups gratuits », économisant le batteur dans son travail.
Quant à Billy Gladstone (1892/1961), il était un inventeur créatif et un constructeur d'instrument, mais il était aussi célèbre pour sa technique de caisse claire. Il contribua fortement à l'enrichissement de ces techniques. À force d'observations, il impliqua l'utilisation des doigts (Fingers control) dans le jeu et en fit un élément fondamental au contrôle du rebond de la baguette.
Les meilleurs disciples de ces grands maîtres étaient, pour les plus connus, Jim Chapin et Joe Morello, respectivement élèves de S.A Moeller et G.L Stone. Ils sont devenus a leur tour détenteur de ce savoir et ont passé leur existence à délivrer et de faire perdurer ces techniques et approches. Ils ont largement contribué à influencer et enrichir la panoplie du jeu du batteur d'hier, d'aujourd'hui ainsi que celui de demain.
Tous deux, aujourd'hui également récemment disparus, nous ont fait prendre conscience que la combinaison de ces 3 procédés offrait un bagage technique complet doté d'une remarquable efficacité, et ont tracé ce chemin qu'empruntent les plus grands batteurs.
Aujourd'hui, le dépositaire de ces concepts est Dom Famularo, personnage charismatique, élève de Joe Morello et Jim Chapin. Il est considéré par la profession comme le Grand Ambassadeur de la Batterie dans le monde (Drumming's Global Ambassador).
Ce grand batteur pédagogue enseigne ce savoir et tous ces secrets, et transmet également sa passion de la batterie à tous à toutes à travers le globe.
Pour progresser dans cette voie, l'entraînement nécessite de respecter six principes :
S'exercer à ressentir l'énergie de la baguette afin de pouvoir travailler avec elle. Utiliser la baguette sans la serrer, ce qui permet d'utiliser l'énergie de cette dernière sans la contredire. Prendre du temps pour poser les bases, en acceptant que la vitesse sera le produit de sa technique et de son travail. Jouer le coup (mettre de l'intention dans son geste). Laisser la baguette agir (utiliser le rebond). Et surtout… se détendre !
Ces trois méthodes ont un autre point commun : peut être le plus important, parce que le plus fondamental. Elles ont ouvert sur une méthode respectant le corps (dans son fonctionnement et ses contraintes) et lui permettant de s'exécuter avec une liberté de mouvement maximale. Ainsi, en intégrant l'anatomie du corps dans leur modèle, ils ont développé son autonomie.
En pensant une méthode qui libère le corps plutôt qu'une méthode qui le contraint, ils ont permis au pratiquant de jouer à «moindre tension » et à «moindre dépense» (énergie). Leur méthode nous a alors appris que c'est parce que la technique respecte le corps que le corps peut réaliser et respecter la technique.
En ce sens, leur approche a apporté bien plus plus qu'une fluidité et une endurance supplémentaires à la pratique : elle a permis, à chaque batteur qui l'utilise, de jouer de façon plus « naturelle », et donc plus personnelle.
Les voies que nous invitent à suivre Moeller, Stone et Gladstone sont celles qui permettent au technicien d'accéder à la liberté. C'est parce que l'artiste accepte le monde et ses contraintes qu'il peut s'en libérer… commencer à jouer et prendre du plaisir.
Frédérick Rimbert
Batteur et fondateur de « Drumming Lab » - www.drumminglab.com
Site : www.domfamularo.com
Témoignage de James de Lavayi, Artiste peintre
Créer, c’est s’appuyer sur 3 choses :
- La technique
- L’empathie
- L’écoute
La technique est essentielle, car elle est la base pour créer. Elle inclut la façon d’utiliser la matière, le maniement du geste et la nature du support où l’idée sera projetée.
L’empathie est l’intéressement à toute chose (nature, matériaux, spiritualité, etc…). L’empathie apporte la connaissance « en profondeur » du sujet qui permet de sublimer la technique.
L’écoute permet d’analyser la demande : si la demande est simple, le travail doit être simple. Si la demande est complexe, le travail doit simplifier.
Créer, c’est permettre à la technique d’aller à l’essentiel. Une création est une synthèse d’images, de couleurs, de sons, de sens et de sentiments qui viennent à la vie et s’ordonnent entre eux par le pouvoir de la technique.
L’empathie et l’écoute doivent « habiter » la technique. Et la technique est le geste qui permet à l’idée de prendre forme. En ce sens, l’empathie et l’écoute sont plus que des qualités complémentaires à la technique, elle sont celles qui permettent d’acquérir un « geste naturel » et de donner une « âme » à son geste.
L’empathie et l’écoute introduisent de la respiration et de l’ouverture dans la technique : elles font rentrer dans le geste le « monde qui nous entoure ».
Créer, ce n’est pas reproduire le sujet, c’est savoir être le sujet pour pouvoir l’exprimer…
L’empathie et l’écoute permettent de ne pas s’enfermer dans la technique et de ne pas enfermer la technique elle-même.
Lorsque que l’on bloque sur un sujet, c’est parce que l’on a envie de trop bien faire les choses plutôt que de laisser les choses bien se faire. Cela signifie que le peintre s’est préféré à sa création…
L’artiste devra alors laisser le travail « respirer ». En prenant du recul, il cessera d’agir pour « redécouvrir » l’ensemble : le travail pourra alors revenir à l’essentiel, et la création pourra reprendre son cours…
James de Lavayi
Artiste peintre
Entretien avec Alain Sebert, Ostéopathe
L'ostéopathie est une médecine qui se veut à la fois préventive et curative. Elle est essentiellement fondée sur des techniques manuelles visant à la conservation ou la restauration de la mobilité des tissus garantissant ainsi un bien-être physique, psychologique et énergétique.
Pour illustrer la pratique de l’ostéopathie, on pourrait prendre l’exemple suivant :
Lorsque que nous passons une porte et accrochons, au passage, la manche de notre veste dans la poignée, deux solutions s’offre alors à nous :
1. Passer en force, et tirer sur sa manche jusqu’à ce que la poignée… ou la manche cède.
2. Reculer, retirer sa manche de la poignée de la porte et continuer son chemin.
Cette deuxième solution est, pour l’ostéopathie, plus intéressante car elle propose une solution plus rapide (bien que plus longue en distance parcourue par le bras), plus économe et plus sûre (protection).
En ostéopathie, la mobilité d’une structure (osseuse) ou d’un tissu, et par conséquent son amplitude de mouvement, renseigne sur sa qualité et ses capacités. Une structure bloquée est une structure limitée dans son mouvement. Libérer une structure, c’est lui permettre de retrouver un mouvement ample et lent. Et, paradoxe apparent de la nature, c’est lorsque le mouvement devient ample et lent qu’il assure son meilleur développement (vitesse, puissance et adaptabilité).
Lorsque que la mobilité d’une structure ou d’un tissu est réduite, les conséquences s’illustrent à trois niveaux :
1. L’amplitude du mouvement est réduite, ce qui impacte nécessairement la mobilité de la personne, et donc sa capacité à pouvoir agir ou se déplacer.
2. La réduction d’amplitude oblige la personne à compenser de deux manières : soit en forçant sur cette structure limitée, soit en surinvestissant d’autres structures et tissus périphériques : ces 2 stratégies sont extrêmement coûteuses en énergie, car elles placent le corps en « effort permanent ».
3. Une articulation bloquée est une articulation qui se protège. Elle limite son mouvement, car la direction qu’on lui impose lui semble « à risque » pour son intégrité .En effet, nous avons tous vécu une situation où nous nous sommes bloqués le cou ou le dos suite à un mouvement brusque ou imprévu. Nous avons tous considéré alors que ce blocage ou cette contracture était le dommage. Au contraire, un blocage musculaire se met toujours en place pour éviter un dommage plus sérieux et irréversible, (articulaire ou osseux par exemple).
Dans la pratique de l’ostéopathie, une articulation bloquée indique toujours une articulation « sous contraintes ». En ce sens, ajouter une pression supplémentaire afin de pouvoir la libérer est un non-sens. A l’image de la manche dans la porte, ce passage « en force » ne peut produire qu’une résistance, voire une rupture de la structure ou du tissu bloqué.
Pour pouvoir aider le corps à retrouver sa mobilité et son efficacité, il ne faut donc surtout pas « forcer » l’articulation ou le tissu, mais, bien au contraire, la libérer de ses contraintes.
Chaque personne étant unique par son histoire, ses rythmes et sa constitution, la solution est alors tout autant dans les mains du praticien que dans le corps lui-même. Il ne sert donc à rien de forcer pour débloquer la situation, il faut aider le corps à trouver sa solution.
Ce dernier point est essentiel et constitue un des fondements de notre approche : le corps d’une personne connaît « a-priori » sa mobilité et les conditions de son efficacité. S’il est bloqué, c’est parce qu’il subit une ou des contraintes trop importantes. Et sous pression de ces contraintes, il perd alors ses repères, et donc la connaissance de ce qui lui permet de bien fonctionner.
Enfin, l’indicateur qui permet à l’ostéopathe de mesurer la réussite de son action est l’énergie que le corps émet lorsque la structure ou le tissu se dégage. En effet, une intervention réussie libère toujours une source de chaleur (énergie) qui nous indique que la structure ou le tissu se dégage et retrouve « son mouvement » : un mouvement naturel, ample, efficace et sûr.
Nos pensées et nos intentions influencent-elles la réalité ?
Explications avec la journaliste scientifique américaine Lynne Mc Taggart.
" Nos pensées et nos intentions auraient-elles la capacité d’influencer la réalité ? De changer notre vie et celle des autres ?
D’après de nombreuses expériences scientifiques en physique quantique, cette idée ne semble plus irrationnelle.
Et si nos pensées exerçaient une influence sur la réalité physique ? Et si la vigueur de nos intentions, focalisées sur ce que l’on souhaite vraiment, avait le pouvoir d’induire de véritables changements dans notre vie et de façonner le monde qui nous entoure ? Le Secret, best-seller de Rhonda Byrne, traduit en quarante-six langues, évoquait déjà en 2008 la loi de l’attraction de la pensée. Selon l’auteure, il suffit de visualiser l’objet de nos désirs et d'être convaincu qu’on l’aura pour qu’un message soit alors envoyé à l’Univers, qui se débrouillera pour réaliser notre souhait dans n’importe quel domaine : amour, santé, bonheur mais aussi pouvoir, argent, biens matériels, etc. Une recette simpliste, généreusement saupoudrée de « magie » et de « new age », un peu dure à avaler pour les plus cartésiens – qui taxèrent ce livre de « tissu de mensonges » -, et trop difficile à digérer pour les plus ouverts d’esprit– qui reprochèrent à l’auteure de mélanger ambitions matérialistes et spiritualité.
La même année pourtant, Lynne Mc Taggart, auteure à succès de réputation internationale, journaliste scientifique américaine primée et figure de proue parmi ceux qui se consacrent à l’étude de la conscience humaine, publie un ouvrage révolutionnaire, intitulé La Science de l’intention, dans lequel elle démontre, expériences et données scientifiques à l’appui, que la pensée dirigée ne serait pas une simple croyance et pourrait bien influencer la réalité.
A en croire différentes conclusions de recherches sur la conscience humaine dans le domaine de la physique quantique, menées par d’éminents scientifiques du monde entier -comme le physicien Fritz-Albert Popp de l’Institut international de biophysique ou le Dr Gary Schwartz, professeur de psychologie, de médecine et de neurologie à l’université de l’Arizona -, il semblerait, en effet, que ce potentiel sommeille en chacun de nous.
« Les plus récentes études de l’effet de l’esprit sur la matière, précise la journaliste, semblent indiquer que l’intention a des effets variables qui dépendent de l’état du sujet, ainsi que du moment où il émet une pensée et de l’endroit où il se trouve. L’intention a déjà été employée dans maints domaines, notamment pour guérir les maladies, modifier des processus physiques et influencer des événements. Il ne s’agit pas d’un don spécial mais d’une compétence apprise et aisément enseignée. En réalité, nous utilisons tous déjà l’intention dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne. »
Concrètement, qu’est-ce qu’une pensée ?
De nombreuses expériences semblent indiquer que notre conscience n’est pas enfermée dans notre crâne, mais semble être une « substance » qui irradie hors des limites du corps physique. Une énergie ordonnée capable de traverser l’espace et le temps. « On sait aujourd’hui que les pensées sont une forme d’émission de biophotons - ces particules de lumière porteuses d’énergie émises par tous les organismes vivants : plantes, animaux, êtres humains. Elles créent une énergie qui émane de nous en permanence, explique la journaliste scientifique. Le fait d’orienter ses pensées vers un objectif précis – ce que les scientifiques appellent « l’intention » ou « l’intentionnalité » - semble produire une énergie assez puissante pour transformer la réalité physique. »
Comment la pensée pourrait-elle influencer la réalité ? L’intention serait-elle une flèche d’information et d’énergie décochée par notre conscience et envoyée à l’Univers ?
« Cela suggère qu’il y a un moyen par lequel l’information est transférée et que le guérisseur, comme d’autres personnes d’ailleurs, est capable de se connecter à quelque chose de plus grand, quelque chose qui nous dépasse, qui va véhiculer la pensée », assure Marilyn Schlitz, chercheuse et présidente de l’Institut des Sciences Noétiques aux Etats-Unis. La physique quantique a, en effet, permis de mettre en évidence ce qu’on appelle le « champ du point zéro ». Un champ généré par les incessants mouvements d’énergie entre les milliards de particules subatomiques, composants de la matière de taille inférieure à celle d’un atome. Un champ auquel l’ensemble de la matière dans l’Univers est connectée grâce à de continuels échanges d’énergie.
Lynne Mc Taggart présentait déjà dans son livre, Le Champ de la cohérence universelle, le concept d’un Univers interconnecté, étayé par des hypothèses scientifiques très sérieuses permettant de lever partiellement le voile sur certaines énigmes humaines passionnantes, allant de la médecine alternative – comme les thérapies énergétiques et l’acte de guérison à distance par exemple - aux perceptions extrasensorielles – comme l’intuition, la télépathie, les précognitions, etc. « L’acte de guérison à distance, explique Lynne Mc Taggart, est essentiellement un acte de pensée, une intention de guérir. Si c’est la jambe gauche qui doit être soignée, c’est vers elle que le guérisseur va envoyer l’intention en la dirigeant de manière précise. Comme beaucoup de physiciens quantiques, je suis convaincue que les guérisseurs, dans un « hyperétat » d’intense concentration sont capables d’exploiter ces pensées, pour en créer qui soient très cohérentes et énergisées, et de les projeter, peu importe la distance. Nous ne comprenons pas totalement ces mécanismes. Mais le modèle des biophotons nous permet de saisir que nous envoyons en permanence des instructions à l’Univers sous forme de rayonnements. Les guérisseurs, même à distance, sont, je pense, capables de rendre opérantes ces instructions en vue d’obtenir la guérison. »
Le magnétiseur Jean-Luc Bartoli confirme cette hypothèse : « L’intention au fond c’est quoi ? C’est de la compassion, c’est de l’amour que tu envoies à ton prochain. Moi, je dis tout le temps : ma main c’est le prolongement de mon cœur. Les passes magnétiques ne sont que de l’habillage technique dans le sens où l’intention pourrait suffire. Et pour moi, c’est exactement ce qui explique pourquoi cela marche à distance. »
Le pouvoir de la pensée et de l’intention a déjà été observé dans de tout autres circonstances. Au cours d’une étude américaine appelée « Love Study », impliquant plusieurs couples, l’un des partenaires devait envoyer à distance des pensées de guérison et de compassion à son partenaire malade. Aussi incroyable que cela puisse paraître, on a constaté une corrélation significative entre l’activité physiologique de celui qui émettait ces pensées et l’activité physiologique de celui qui les recevait. Sans le savoir, ce dernier réagissait instantanément. On a même observé, entre les deux partenaires, plusieurs phénomènes de synchronie entre différentes parties de leur corps: leurs ondes cérébrales, leurs rythmes cardiaques, les réponses galvaniques de leur épiderme…
Ce que des siècles de vision mécaniste nous ont appris à considérer comme irrationnel serait en train de devenir parfaitement plausible dans le monde quantique ! Nous nagerions donc dans un gigantesque champ d’énergie, dont nous faisons partie intégrante, et par lequel nous pourrions recevoir et envoyer de l’information, comme l’intention de guérir ou d’être guéri.
« Scientifiquement, explique le Dr Thierry Janssen, ancien chirurgien aujourd’hui psychothérapeute, des études nous ont permis de mieux comprendre la matière dans ces états les plus subtils. Notamment que deux photons ou biophotons jumeaux séparés peuvent continuer de communiquer. Il est intéressant de se dire que la matière, depuis la création du monde, est un grand continuum et que ce sont ces liens qui créent le vivant. J’aime cette phrase du Professeur Linus Pauling, prix Nobel de chimie et Prix Nobel de la paix qui disait : « La vie, ce n’est pas les molécules mais les liens qui existent entre elles. » Si l’on explore cette voie-là, on comprend mieux pourquoi deux individus séparés peuvent communiquer au niveau de l’intention, obtenir des effets sur la santé de l’un et de l’autre... Ces phénomènes de guérison à distance posent d’ailleurs une question très dérangeante pour l’esprit occidental : quels sont ces liens qui nous relient les uns aux autres, et qui relient tous les éléments du vivant ? »
« En s’envoyant et en recevant de l’énergie, précise Lynne Mc Taggart, les particules subatomiques créent, le temps d’un battement de paupière, des particules virtuelles. Ce petit échange ne représente pas beaucoup d’énergie, environ un demi-watt. Mais lorsqu’on additionne toutes les particules subatomiques qui font cet échange d’énergie à travers tous les éléments de l’Univers, on arrive à une quantité d’énergie inimaginable. Ce champ d’énergie géant, nous y sommes tous connectés, même aux plus lointains confins de l’Univers. Nous devons nous concevoir nous-mêmes comme autre chose qu’un ensemble d’éléments solides. Je ne suis pas seulement un paquet de cellules différent du vôtre. A un niveau quantique, nous sommes, vous et moi, comme des petits nœuds sur la même corde, nous faisons partie d’un immense champ d’énergie auquel nous sommes tous reliés : c’est cela, la réalité qui nous englobe. Nous envoyons en permanence de l’information à ce champ. Et c’est aussi par ce moyen que nous pouvons recueillir de l’information. C’est un réseau géant. »
La Science de l'intention, Lynne McTaggart - Editions Ariane (Mars 2008 ; 416 pages)
Un Ostéopathe de métier qui complète ses soins par guérison à distance, Mr Alain Sébert. Témoignages :
Le secret de la thérapie énergétique ou guérison à distance est la science de l'intention.
Un chercheur, Elmer GREEN a démontré dans ses recherches qu'une énorme émission d'énergie électrostatique a lieu durant le processus de guérison.
Le physicien William Tiller, de l'université Stanford, découvrit que, durant la concentration lors d'un travail de guérison à distance, les pensées dirigées créent une énergie physique mesurable, peu importe la distance.
SCWARTZ fit plusieurs études qui firent la preuve qu'une intention dirigée se manifeste sous la forme d'une énergie tant électrostatique que magnétique.
" Au départ sur la demande de mes proches et de mon vétérinaire, j'ai été amené à soigner des animaux d'une manière traditionnelle c'est à dire manuellement. Puis j'ai été sollicité pour tenter cette thérapie énergétique sur les animaux. Dans un premier temps je pensais que cela n'était pas possible car chez l'homme ma méthode devait sans doute bénéficier de l'aspect psychologique et l'effet placebo de ma prise en charge de leur problème. En fait, contrairement à toute attente, la méthode est aussi fiable chez les animaux ; quelques éleveurs peuvent en témoigner !!! " - Mr Sébert.
Philippe Guégan : interview sur les soins de Mr Sébert. "Je me suis bloqué le genou gauche suite à une torsion lundi en ratant un saut, cela me gênait au travail pour tous mes appuis. J'attends toujours deux jours pour voir l'évolution, comme rien ne s'améliorait, j'avais des douleurs dans les deux jambes suite à un mauvais positionnement et un équilibre désaxé, j'ai donc contacté Mr Sébert, qui est intervenu à distance mercredi après midi. C'est incroyable j'ai su quand il est intervenu, pourtant il m'avait bien dit qu'il le ferait le mercredi, mais sans préciser l'heure. J'ai immédiatement senti une lourdeur au genou gauche, et en me levant de table, j'avais la sensation d'avoir un positionnement totalement différent. J'avais ce message en rentrant.. " vous aviez un blocage du genou gauche et une petit lésion au ménisque interne côté droit ". Il m'a demandé de ménager mon genou pendant quelques jours, le temps à l'organisme de retrouver son équilibre original, car je suis en posture debout 10 heures par jour. Ce matin j'ai pu faire mes 8 km sans soucis... "
" Voici dons un rapide topo de mes séances à distance, je donne juste les symptômes ressentis et le diagnostic.... :
1- Ce fut Tommy le lapin qui se trouve en Belgique soit 1200 km de distance, et qui souffrait d'une bézoard qui devait nécessiter une intervention, diagnostic travail sur les tensions abdominales pour rétablir la digestion, ce lapin n'a pas été opéré.
2- Mal au côté gauche récurent et continu : diagnostic Blocage de la 10ème vertèbre dorsale (première expérience pour moi)
3- Main enflée suite à un gros choc aucune évolution en plusieurs jours : diagnostic Blocages de petits os du poignet et de nombreuses contusions.
4- Aucun symptômes : diagnostic Aucun blocage travail énergétique
5- Mal au rein et omoplate droit et mal à la mâchoire suite à un choc latéral : diagnostic Déséquilibre des temporaux, blocage de la première lombaire droite
6- Mal au genou gauche suite à une grosse torsion : diagnostic Blocage du genou gauche et une petite lésion du ménisque interne gauche
" Je lui ai demandé ses sensations (à Mr Sébert) et le fait est que quand il se concentre, se crée une connexion et il ressent les tensions, blocages ou autres, il m'a dit par exemple que pour ma main, au cabinet, il n'aurait pas pu agir si efficacement, sur le blocage des petits os du poignet si, mais sur les hématomes non, cette méthode a permis de résoudre les deux simultanément, même s'il se trouvait en Grèce à ce moment là sur une chaise longue en bord de mer... "
" Ci joint la preuve par l'image : 1 jour avant, le lendemain, deux jours plus tard. Autant toutes les autres fois les blocages furent internes, cette fois le changement est plus que visible, alors qu'en une semaine rien n'y faisait, pour cette intervention, Mr Sébert se trouvait en Grèce soit 3000 km de distance... " :
" Cette fois entre mon Ostéo (Mr Sébert) et mon père... ayant subi une intervention suite à une déchirure rétinienne, sa vison a totalement disparue, j'ai dans un premier temps contacté Mr Sébert, lui demandant si la méthode pouvait être efficace pour ces pathologies. Il m'a répondu ne pas connaitre ces symptômes, il a néanmoins accepté gracieusement de tenter une séance, sans assurance aucune. Mon père n’ayant eu aucune amélioration en 8 jours, il avait du passer un scanner, un fond de l’œil, etc... sans que rien n'apparaisse d'anormal, mais le stress gagnait et il me fallait tenter quelque chose. Le lendemain de l'intervention (de Mr Sébert), son œil s'est mis à couler sans raison alors qu'il ne l'avait jamais fait, une seconde séance deux jours plus tard à amélioré la vison tant et si bien que son acuité visuelle était revenue à 5/10... malheureusement une nouvelle hospitalisation à du être pratiquée suite à un décollement rétinien qui découle parfois d'une déchirure, tout c'est bien passé, et le premier contrôle suivi d'un second montre que tout va bien. Mr Sébert à donc travaillé son œil à distance en pratiquant un drainage et en supprimant les tension oculaires. Mon père souffrait aussi de sa sciatique, depuis mardi dernier il ne ressent plus rien, il m'a dit ce jour ne plus avoir de douleurs à la nuque sans en connaitre les raisons. Mr Sébert m'a dit qu'il avait trouvé un blocage à la base du crâne et au bassin pouvant entraîner des douleurs aux épaules et à la sciatique. Je ne lui avait parlé que du nerf sciatique, or la cause se trouvait ailleurs. Ce qui est surprenant aussi, c'est l'absence d'effet placebo, puisque mon père ignore tout de ces interventions et ne comprends pas les raisons pour lesquelles il se porte mieux... toutes ces séances se sont soldées par une guérison rapide et durable. "
" Mr Sébert m'a confié d'ailleurs que lors de ses premières expériences, il ressentait des choses troublantes, n'y croyant pas lui même et se demandant s'il ne perdait pas la tête, puis de fil en aiguille, il a soigné les animaux de ses proches, puis ses proches, puis des relations de ses proches, etc etc. Le cas le plus éloigné qu'il m'a confié se trouvait à New York (5500km), ce qui prouve que la distance est totalement étrangère à cette thérapie. C'est vrai que pour moi mes deux cas les plus éloignées ont été de 800 km et 3000 km, cela semble incroyable de raisonner ainsi et tellement anti-cartésien que l'on se demande parfois si l'on ne rêve pas. Mais je suis en mesure de t'assurer que je ressent les bienfaits réels, c'est comme si je me trouvais en séance sur place à la différence que personne n'est présent... "
MAJ 17-05-2014 : " Très récemment, en mai 2014, un nouveau témoignage a été reçu : " (...) suite à un mal de bras récurent, et un cou très sensible, je lui ai juste décrit ces symptômes, rien de plus, or hier après midi, j'avais de fortes tensions à la nuque et des douleurs à l'épaule gauche, soudainement vers 18h, tout s'est estompé brutalement. J'ai reçu un message de Mr Sébert à 20h05 qui me dit ceci " vous aviez un blocage de la base du crâne et un blocage de la vertèbre c1 " je ne lui ai jamais parlé d'un mal à la nuque, juste d'un choc que je me rappelais à l'épaule gauche, je lui ai répondu que j'avais ressenti cette amélioration brutale vers 18 h, il m'a répondu " je suis intervenu vers 18 h ". Je ne me souvenais plus avoir tourné la tête trop brutalement la semaine passée et j'avais mis cela sur le compte d'un torticolis .... je suis scotché. Ce matin, RAS, plus rien de rien, aucune douleur, la zone sensible du cou est indolore, le bras nickel."
- Témoignages de Philippe Guégan à Yves Herbo, l'auteur de cet article.
Différents noms, mais les mêmes voies, avec le "Healing" et un exemple parmi de plus en plus d'autres, au hasard le site de Anne-Chantal Misson :
“ En thérapie psychocorporelle depuis plusieurs mois, j’ai bénéficié des soins énergétiques prodigués par Anne-Chantal. J’ignorais absolument tout du Healing et c’est avec une certaine curiosité et aussi quelques doutes que j’ai participé aux premières séances.
J’ai immédiatement ressenti les bienfaits des soins. En effet, plutôt habituée aux traitements classiques, j’ai d’abord goûté à une expérience physique et émotionnelle profonde, une rencontre inattendue et intime avec mon corps. J’ai aussi concrètement constaté, à plusieurs reprises, la guérison spontanée de diverses douleurs physiques. Au fil des rencontres, j’ai pu percevoir une amélioration de mon équilibre général et de mes relations, un authentique apaisement. Enfin, le Healing est un précieux soutien dans le cadre de ma grossesse, parfois source de petits maux contre lesquels la médecine habituelle est impuissante.
Grâce à une écoute attentive et sans jugement, Anne-Chantal donne un soin extrêmement personnalisé, répondant au mieux et au plus vite aux difficultés du moment. Ces expériences constituent un guide dans ma vie quotidienne dont je ne pourrais plus me passer.”
Laurence, Avocate, Belgique
“Mon healing avec Anne-Chantal a commencé avec une vague énergétique qui a parcouru tout mon corps. Après le healing, je me sentais très calme, magnifiquement ancrée et harmonisée avec la nature. Depuis, je me sens bien, en harmonie avec mon époux et je n’ai plus de douleur pendant les menstruations.” (Healing à Distance)
Tina S, Biologiste, Allemagne
Yves Herbo : d'autres témoignages et précisions seront éventuellement ajoutés en mise à jour sur cette page et ce sujet particulier. Mes pensées m'ont dirigées souvent vers le passé et l'avenir en traitant ces dossiers particuliers : les légendes chinoises sur une race venue des étoiles et qui apprenait et transmettait la guérison à distance d'abord par exemple, puis la baisse d'énergie qui a donc créé les soins plus proches et au toucher, tout en continuant à utiliser les canaux énergétiques du vivant (acupuncture, etc) dans la préhistoire et jusqu'à nos jours... avec des "pics" de légendes, de "magie" et de déités tout au long de notre Histoire... le futur se dessine journellement sous nos yeux et toutes les publications de pointe actuelle - et ceci, le "peuple" ne s'en rend pas encore compte - portent sur des probabilités et découvertes accentuant cet extraordinaire fait : nous sommes bien effectivement tous reliés en permanence et immortellement dans ce champs énergétique universel et notre conscience est bien plus que nos simples pensées d'un corps et d'un moment temporel et provisoire... Une autre page concernera ce qu'on appelle de nos jours le "Chaneling", qui a plus de mal à apporter des preuves de son existence... sans pouvoir être écarté.
Sayhuite est un site archéologique précolombien situé à Abancay, une province de la région péruvienne du centre-sud d'Apurímac. Ce site a été daté de la période de l'Empire Inca mais il ne reste plus grand chose de l'époque des Incas car les conquérants espagnols ne trouvaient aucun intérêt à conserver quoique ce soit. On sait aussi que les Incas ont envahi la région vers le 15ème siècle après J.-C. et ont assimilé les peuples locaux, comme partout où se peuple conquérant s'est imposé, avant d'être lui-même conquis par les conquistadors...
Le site en question ne présente pas un très grand intérêt archéologique car peu de vestiges subsistent en surface, ou alors ils sont enterrés profondément et aucune fouille n'est envisageable sans traces d'une plus ancienne civilisation locale, bien que ce soit une possibilité citée par plusieurs chercheurs.
Les seuls intérêts locaux relevés par les chercheurs sont cette sculpture mystérieuse nommée Monolithe Sayhuite et, dans les environs, d'autres grands blocs gravés et sculptés de structures mystérieuses ayant subi des dégâts considérables et tout aussi inexpliqués...
Sur ce Monolithe Sayhuite se trouvent plus de 200 dessins soigneusement gravés en formes de reptiles, de félins, de crustacés et de grenouilles, qui sont entourés de terrasses, d'étangs, de rivières, de tunnels et de canaux d'irrigation. Le but exact et la signification derrière ces fonctionnalités reste un mystère. Nous allons donc montrer ces structures et parler des diverses hypothèses avancées pour expliquer ce monolithe en particulier et même les blocs environnant.
Le monolithe Sayhuite (Source: AgainErick / CC BY SA 3.0)
Venezuela : Découverte de grands pétroglyphes de 2000 ans
Une équipe de chercheurs de l'University College London a annoncé la découverte de gravures rupestres repérées dans l'ouest du Venezuela. Selon les experts, quelques pétroglyphes inclus sont parmi les plus grands jamais enregistrés dans le monde. Les pétroglyphes récemment cartographiés, comprennent des représentations d'animaux, d'humains et de rituels culturels. Comme le rapporte Phys Org , certaines gravures sont considérées comme datant d'environ 2000 ans. Huit groupes d'art rupestre gravé ont été enregistrés sur cinq îles dans les rapides de la rivière Orinoco. Selon les experts, un panneau fait304m² et contient au moins 93 gravures individuelles dont la plus grande mesure plusieurs mètres de long. Encore plus impressionnant, un autre pétroglyphe représentant un serpent à cornes mesure plus de 30 mètres de long. Les chercheurs de l'University College London ont cartographié les pétroglyphes dans la région d'Atures Rapids, dans l'État d'Amazonas au Venezuela, qui, selon les prêtres jésuites, a toujours été la patrie du peuple des Adoles...
Sur cette immense paroi gravée de multiples pétroglyphes (les principaux sont ici mis en avant par les scientifiques mais tous ne le sont pas), on constate la grandeur des gravures grâce à l'échelle mentionnée. Grands pétroglyphes trouvés dans l'ouest du Venezuela. Vue aérienne oblique du panneau ouest sur Picure, avec superposition interprétative des gravures principales. (Image: Dr Philip Riris )
Du Col de Vence aux Andes : recherches de Manu Alteirac
Manu Alteirac est un contact et correspondant depuis plusieurs mois de la Toile Web, et en particulier sur les réseaux sociaux. Le temps et des échanges amicaux ont fini par établir une bonne confiance envers notre honnêteté intellectuelle reciproque et un attrait commun pour la Vérité avec un grand V. C'est dans cette perspective que Manu m'a confié il y a plusieurs semaines (comme à d'autres) certains documents concernant son long travail de recherche à l'aide de l'imagerie satellitaire (Google Earth bien sûr, mais il y en a d'autres), sur les géoglyphes de la Cordillère des Andes et notamment ceux visibles dans les régions de Nasca-Palpa, mais pas seulement. Vous trouvez ci-dessous, avec son autorisation, certains de ces documents, en sachant qu'ils ne sont qu'un tout petit pourcentage de ses recherches, qui doivent faire l'objet d'une publication officielle sous la forme d'un livre, lorsqu'il le jugera bon.
Tout d'abord, et pour répondre à ma question " Tu ne t'es intéressé qu'à la Cordillère des Andes ? ", il m'a répondu qu'il y avait des choses très intéressantes aussi dans des régions désertiques telles que le Sahara par exemple, mais qu'il était lui-même surpris des anomalies bien visibles au niveau imageries satellitaires (pas sur le terrain) au niveau du Col de Vence en France ! :
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