Mon correspondant et partenaire radiesthésiste Albert Fagioli, dont j'ai parlé plusieurs fois sur ce site (voir les liens ci-dessous) m'a récemment indiqué son bon espoir de voir une porte s’entrouvrir sur une recherche locale, en Égypte donc, de ses découvertes ou confirmations possibles de souterrains et salles secrètes cachés sur le plateau de Gizeh, sous les pyramides et le Sphinx donc. L'occasion pour moi donc de revenir sur ses travaux très intéressants, qui rejoignent d'ailleurs ceux d'autres chercheurs, également cités dans mes précédents articles sur ce vaste sujet.
" Quatre salles souterraines au niveau du Sphinx (Albert Fagioli) "
Voici les principaux souterrains et salles souterraines se trouvant sous le Sphinx et juste à côté :
Il y aurait deux salles souterraines intactes (inviolés). Celles se trouvant sous les deux avant-pattes du Sphinx.
Deux tombeaux de QUI ?
Apparemment il pourrait s'agir de celui d'un homme dans la quatrième salle (D) et celui d'une femme dans la troisième (C)...
L'avenir nous le dira...
En ce qui concerne la localisation de quatre nouveaux tombeaux dans la Vallée des Rois...Dont l'un comporte un long corridor d'au moins 100 mètres de long...Ne seront pas publiés pour le moment...L'exclusivité pour les responsables de la Culture Égyptienne, pour éviter le pillage de celle-ci...
" Voici le travail de recherche à distance concernant les vestiges se trouvant sous le plateau de Gizeh. (28 janvier 2014) (Albert Fagioli) "
Depuis son entretien du 1 avril 2014, avec le professeur Amal El Sabban de l'ambassade d'Egypte à Paris, Mr Fagioli n'a pas eu de nouvelle de la part des autorités de la Culture Égyptienne pour pouvoir vérifier ces travaux à distance au niveau du plateau de Gizeh. Il s'agit de confirmation avec l'aide de son dowser, comme il l'a déjà fait sur plusieurs sites ici en France.
Il a localisé les principaux souterrains et salles souterraines sous le plateau de Gizeh...Il y a certes de nombreux autres puits et cavités, mais se sont les principaux d'après lui...
Par contre il n'a pas localisé de départ du côté EST du plateau de Gizeh.
Trois départs de souterrains depuis le plateau de Gizeh, un vers le nord, un autre vers l'Ouest et l'autre vers le Sud.
En ce qui concerne les souterrains allant vers l'Ouest et le Sud, il n'a pas fait de recherche pour connaître les points terminaux de ceux-ci. Par contre il a réalisé des recherches concernant le souterrain qui part vers le Nord...Il a transmit son rapport à l'Ambassade d'Egypte à Paris...Pour celui-ci il arrive pas très loin de la fameuse pyramide détruite découverte récemment, au Nord du plateau de Gizeh (sur le côté gauche de celle-ci). Mais ce souterrain continue sa route encore plus au Nord et il passe à un moment sous l'un des bras du Nil...
Peut-être que les responsables de la Culture Égyptienne voudront que Mr Fagioli confirme la présence de ces souterrains ou salles souterraines en plaçant des cônes en plastique tout le long ceux-ci !!!
Les croquis du plateau de Gizeh de Athanasius Kircher (1601-1680) et du Père Joannes Ciampinus (1633-1698)
Deux croquis concernant le plateau de Gizeh, quasiment identiques (repris par le père Joannes Ciampinus)...
S'agit-il de l'animal se trouvant sur le tombeau ???
Je vous laisse interpréter ces dessins...mais regarder le croquis publié précédemment de Johann baptiste Homann...sur celui-ci on voit bien le dessin du Sphinx...
Très prochainement sur ce blog, les travaux de Mr Fagioli concernant le réseau principal se trouvant sous le plateau de Gizeh et le Sphinx.
Avec une exclusivité sur l'endroit où il pourrait y avoir le tombeau "" HARMAKHIS ""... Si ce n'est pas son tombeau...alors qui pourrait être enterré dans cette salle souterraine... (un autre personnage avec un masque de " FAUCON ")
Il faudra passer par 3 salles souterraines pour atteindre ce tombeau...Qui pourrait être difficile d'accès...
A suivre donc suivant les avancées des recherches sur le plateau de Gizeh, Mr Fagioli restant en contact. En attendant, voilà une série de vidéos très intéressantes sur le sujet du décodage des codes secrets égyptiens par Alain Fréda :
La Grande Pyramide a -t-elle livré tous ses secrets ?
Le décryptage des Codes Secrets égyptiens est la traduction inédite de nombreux cryptogrammes chiffrés, révélant sur les trésors pharaoniques de manière répétitive, les mesures originelles de la pyramide dite de Khéops relevées par l'Institut d'Egypte ! Dissimulées là ou personne ne pouvait les imaginer, elles se décryptent évidemment en coudées égyptiennes, mais aussi en mètres !
Les grands Hiérophantes des sanctuaires auraient-ils connu le système métrique ? Les preuves sont accablantes ! Les prêtres, détenteurs d'un Grand Secret, ont composé d'étonnantes tables de calcul comparables au système additif courant des égyptiens. Vous découvrirez qu'ils se sont évertués à laisser à la postérité une Cabale chiffrée et annonciatrice.
Né en 1950 à Nice, Alain Fréda, s'est toujours passionné pour les civilisations disparues. Féru d'égyptologie, il se rendit dans la vallée du Nil pour mener des investigations. Ses recherches lui feront vite deviner que l'origine de la religion remonte à l'Egypte prédynastique.
Cette vidéo a pour but de sensibiliser le grand public et les chercheurs d'une découverte qui pourrait-être importante. A voir absolument. La bande musicale est superbe.
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
Pazoozoo
Le 29/09/2014
Vivement la suite!
Cordialement.
yveshLe 29/09/2014
J'espère qu'il y en aura une effectivement, mais même Mr Fagioli commence à être aussi fatigué que moi par l'inertie complète des "autorités culturelles" tant françaises qu'égyptiennes en l’occurrence, et le manque de moyens général... les banksters et les politiciens continuent allègrement de ruiner tout le monde mais c'est rien, il faut continuer à les soutenir, eux... pas les citoyens...