L'Atlas national US sera retiré des services le 30 Septembre 2014
Annonce - L'Atlas national US sera retiré de services 30 Septembre, 2014 - via USGS
" Cette année, nous combinons l'Atlas national des États-Unis avec Le Plan National pour fournir une source unique pour l'information géospatiale et cartographique des USA. Cette transformation se déroule à simplifier l'accès à l'information sur le Programme National Geospatial de l'US Geological Survey (USGS). Le Budget d'austérité de l'USGS a contraint notre organisation à privilégier son rôle civil de la cartographie et consolider ses investissements de base.
Notre organisation continuera sa longue histoire de fournisseur de cartes topographiques et autres informations géographiques en offrant une gamme d'échelles et de niveaux d'information géospatiale sur sa Map Viewer nationale et par le produit des États-Unis Topo. À la suite de cette conversion dans une source unique et intégrée pour l'information géospatiale et cartographiques, nationalatlas.govsera retiré du service le 30 Septembre 2014.
Nous reconnaissons que ne pas avoir le même accès à l'information sur la population, l'économie, les infrastructures, les ressources naturelles, l'environnement, le gouvernement, et l'histoire de la Nation, organisés pour l'affichage sur les cartes nationales et régionales, peuvent constituer un fardeau pour les clients de l'USGS. S'il vous plaît, profitez des mois restants pour parcourir et télécharger tout ce que vous avez besoin de l'Atlas National...
Nous apprécions les lecteurs de l'Atlas National et voulons rendre cette transition aussi facile que possible. Nous avons affiché plus d'informations sur la disponibilité future des produits et des services de l'Atlas National.
il me semble que n'importe quelle démocratie digne de ce nom désignerait une commission indépendante pour établir qu'il n'y ait pas de disparitions (ou modifications) de données historiques volontaires ou non de la part d'un pouvoir temporel à l'occasion de ces transferts de données importantes, ce qui n'est pas le cas du tout...
Ceci n'est qu'un exemple des multiples réaménagements historiques organisés par des pouvoirs historiquement provisoires, mais qui ont le pouvoir de le faire...
Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 01-07-2014
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
Turquie : Les cités antiques demi-englouties d'Apollonia et d'Aperlea
C'est un endroit protégé et interdit de toute plongée sous-marine depuis 1990 et pourtant absolument pas fouillé et laissé aux caprices de la nature. L'île de Kekova, également appelée Caravola,est une île turque qui a donné son nom à toute cette région de Lycie sur 260 km² et où l'on trouve les antiques cités de Simena (Kalekoy), Dochiste (Apollonia), Theimussa (Ucagiz) et Aperlai. L'île en elle-même ne fait que 4,5 km², située au sud de la ville de Simena et n'est plus habitée depuis longtemps. Sur le versant septentrional de l'île se trouvent les ruines partiellement englouties par la mer de l'antique cité d'Apollonia, détruite par un fort séisme au 2ème siècle. Reconstruite en partie par les byzantins, elle fut rapidement complètement abandonnée à cause des incursions arabes.
L’île est interdite à la visite car elle abrite un grand nombre de sites archéologiques qui n’ont pas encore été fouillés, seul l’accès par la mer à la baie de Tersane est autorisée. La plongée bouteille et en apnée sont également interdites sur le site. Les intérêts principaux de la visite sont la beauté du site naturel et la curiosité que représente la cité engloutie d'Apollonia (ne pas confondre avec la ville antique du même nom en Libye), intéressant que si vous le faite en kayak car vous pouvez passer directement au-dessus des ruines et les voir grâce à l'eau transparente. Une partie de la cité fut submergée dans l’antiquité, lorsque suite à un tremblement de terre, le sol c’est abaissé de 4 ou 5 mètres. Les ruines immergées se trouvent actuellement à 1 ou 2 mètres de profondeur. Au-dessus, sur l’île, vous pourrez apercevoir également les vestiges de bâtiments antiques.
Le site d’Aperlai se situe dans une crique bien protégée en bord de mer que vous pouvez atteindre à partir d’Ucaguiz par la Lycian Way mais le chemin est plus long (environ 10 km). Au V siècle av. JC, c’était la cité lycienne la plus importante de la côte. Les autres sites lyciens que vous visiterez dans le secteur dépendaient de cette cité. La partie basse de la ville a été submergée suite à des mouvements tectoniques comme l’atteste encore de nos jours un sarcophage à demi-immergé. Outre une vue magnifique sur la crique, vous pourrez y découvrir les vestiges du mur d’enceinte et ses tours de la cité antique réhabilités à l’époque byzantine, un théâtre, de nombreux sarcophages type carène de bateau renversée avec sculptures, des églises byzantines édifiées sur la base de bâtiments antiques, des antiques citernes.
Tout le monde a plus ou moins entendu parler de Nibiru, ou d'Hercolubus, Nemesis, Perséphone, ou encore de la ou les planètes X... ces dernières étant d'ailleurs un terme générique inventé vers la fin du 19ème siècle par les astronomes pour indiquer d'éventuelles planètes de notre système solaire encore à découvrir à l'époque. Il est bon de rappeler de temps en temps que la première planète à être appelée "planète X" a été Neptune, mais aussi Pluton, avant leurs découvertes officielles... car ces planètes avaient bien été "découvertes" par les calculs et grâce à leur influence gravifique, bien avant leur observation visuelle grâce aux télescopes...
Dans les mythologies, surtout celles des babyloniens et des sumériens d'ailleurs, il est question d'une planète Nibiru (ou Hercolobus, voir les deux ou les trois si on parle aussi de Nemesis) qui posséderait une très lente orbite autour du Soleil puisqu'elle ne s'en approcherait que tous les 3.600 ans (ou 26.000 ans environ suivant les versions...), provoquant dans tout le système solaire des bouleversement catastrophiques. Cette orbite particulière expliquerait d'ailleurs les cycles d'extinction de la vie sur Terre, mais aussi les glaciations/réchauffements et même la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter - une ancienne collision avec une planète située auparavant sur cette orbite... on peut ainsi dire qu'il y a autant de versions possibles que d'auteurs ou même traducteurs d'écritures anciennes ou textes anciens... Une chose est pourtant certaine, c'est que cette ou ces planètes sont bien citées dans plusieurs textes très anciens, et à priori par plusieurs auteurs et à des époques différentes - ces textes réunissent donc effectivement certains attributs qui sont acceptés pour d'autres textes, visibles dans nos livres d'Histoire, sans beaucoup plus de preuves d'ailleurs...
Déjà, une comparaison des rapports de la NASA et ce qui est lisible dans la presse et les médias d'il y a un an laisse apparaîtreune forte distorsion et mauvaise interprétation de la part des médias... En effet, il s'agissait d'un rapport sur les premières analyses des données transmises par le laboratoire spatiale WISE de la part de la NASA... qui avait bien affirmé plusieurs années auparavant (lors du lancement de WISE), que les millions de données transmises par WISE mettraient probablement DE NOMBREUSES ANNEES a être analysées et pour pouvoir envisager avoir une idée un peu plus précise des nombreux objets circulant dans notre système solaire, astéroïdes ou planètes, comètes... il était plutôt question de deux à quatre ans APRES LA FIN des transmissions de WISE et même de NEO-WISE (puisque le labo a été spécialisé après sur la détection des astéroïdes)... Or, la fin des transmissions de WISE n'a eu lieu que fin 2013, ce qui fait que toutes les données n'ont même pas encore été analysées... et mieux encore, la NASA a également admis que les techniques dans l'ultra-violet et infra-rouge utilisées par WISE ont été améliorées depuis, et qu'il est possible que ces nouvelles techniques pourraient permettre de détecter des objets encore invisibles par WISE, notamment dans les ceintures lointaines des comètes...
Et mieux encore, la NASA a aussi expliqué, en complément, que même s'il était assez improbable qu'une autre planète de la taille de Jupiter par exemple, puisse exister dans notre système solaire, au-delà de l'orbite de Pluton, il était possible qui y existe des planètes intermédiaires, c'est-à-dire des Super-Terres par exemple, des astres de 4 à 10 fois la taille de la Terre donc, indétectables par WISE par leur manque de luminosité ou cachées derrière des nuages cométaires ou de poussières... de plus, on a vu, en observant d'autres systèmes stellaires plus éloignés, que notre modèle "accepté" de la création des systèmes stellaires, dont le nôtre...n'était pas fiable, et que des planètes pouvaient être créées dans des disques d'accrétions beaucoup plus étendus qu'imaginés jusqu'à présent...
Bon, nous avons donc plusieurs astronomes ou astrophysiciens qui ont calculé qu'une ou même deux planètes X devraient se trouver au-delà de l'orbite de Pluton puisqu'elle(s) perturbe(nt) les orbites de mini-planètes connues (comme Sedna, ou 2012VP113) et des orbites d'astéroïdes et comètes connues...
Mais il y a aussi d'autres découvertes surprenantes, qui viennent en corrélations avec ces fameuses planètes X : la découverte de nombreuses planètes errantes, sans étoile apparente pour tourner autour, et qui semblent filer à toute vitesse dans l'espace ! (mais il y a peut-être aussi des planètes très très excentriques, tournant tellement loin autour d'une étoile qu'on ne l'a pas identifiée avec certitude !
Et aussi la confirmation de l'existence de cette fameuse Matière Noire, qui pourrait aussi parfaitement expliquer pourquoi WISE ni personne n'a encore pu "voir" ces fameuses planètes X, y compris dans notre propre système solaire ! :
Cette modélisation réalisée en 2007 par des astrophysiciens de l'Université de Stanford illustre la présence de matière noire (taches brillantes) qui serait contenue dans les galaxies satellites de notre Voie Lactée. Crédits : Université de Stanford
(Extrait) : " C'est en 2009 qu'une étude dirigée par l'astrophysicienne Sukanya Cakrabarti (Institut de Technologie de Rochester, États-Unis) prédisait l'existence d'une galaxie naine jusqu'ici non détectée, qui serait située juste à côté de notre galaxie (vous pouvez lire un résumé de cette étude et des travaux ultérieurs menés par cette équipe sur ce même sujet ici : "New technique could pinpoint Galaxy X"). Une galaxie est composée de millions ou de milliards d'étoiles et de planètes, rappelons-le... Cette galaxie, principalement constituée de matière noire, cette hypothétique forme de matière indétectable car n'émettant aucun rayonnement, dont l'existence était à l'époque postulée, à cet endroit, par les chercheurs de l'Institut de Technologie de Rochester, en raison de "rides" repérées dans la partie externe de notre galaxie. Des rides dont ces scientifiques faisaient l'hypothèse qu'elles étaient causée par l'influence gravitationnelle de cette galaxie.
Or maintenant, ces mêmes chercheurs de l'Institut de Technologie de Rochester pensent avoir découvert cette fameuse "galaxie X". Des travaux publiés le 5 février 2015 dans la revue Astrophysical Journal Letters.
En analysant les données recueillies par les installations de l'Observatoire européen austral, ces astronomes ont découvert l'existence de quatre jeunes étoiles situées à 300 000 années-lumière de la Terre, et dont ils pensent qu'elles appartiennent à cette galaxie naine dont ils avaient postulé l'existence en 2009 : "J'ai décidé de regarder si nous pouvions trouver cet objet. Il s'agissait d'une prédiction difficile à tester car l'endroit était proche du plan de notre galaxie, par conséquent difficile à observer à l'aide d'un télescope optique. Ces jeunes étoiles sont probablement la signature de cette galaxie qui avait été prédite. Elles ne peuvent pas appartenir à notre galaxie car le disque de la Voie Lactée s'achève à 48 000 années-lumière", explique Sukanya Cakrabarti dans un communiqué publié par l'Institut de Technologie de Rochester.
Cette galaxie naine invisible aux yeux des télescopes optiques, mais détectable par les yeux infrarouge du télescope VISTA de l'Observatoire européen austral, serait majoritairement constituée de matière noire, cette forme de matière indétectable dont les récents travaux de la mission Planck ont montré qu'elle constituerait pas moins de 25.9% du contenu de l'univers (lire sur le Journal de la Science "Planck révèle de nouveaux secrets sur l'enfance de l'Univers"), ce qui contribuerait à expliquer pourquoi sa détection aurait été si difficile.
Pour contextualiser ces nouveaux travaux, il nous faut signaler ici que de nombreux astronomes font depuis longtemps l'hypothèse que les grandes galaxies sont entourées de petites galaxies naines analogues à celle qui aurait été détectée par Sukanya Cakrabarti et ses collègues. Majoritairement constituées de matière noire dont par définition échappant à toute détection directe, leur influence gravitationnelle n'en serait pas moins considérable. Sur ce point, se reporter à l'image ci-dessus, produite en 2007 par des astronomes de l'Université de Harvard (États-Unis).
Si, comme la mission Planck le prouve, la Matière Noire constitue près de 26% de toute la matière de notre univers, il y a donc une forte probabilité qu'elle soit également présente dans notre propre système solaire et, pourquoi pas, sous la forme d'une ou plusieurs planètes X non encore détectées, mais qui ont bien une influence gravifique calculable (et calculée d'ailleurs apparemment par certains...). Il ne faut pas oublier non plus que WISE a même découvert récemment d'autres systèmes stellaires voisins, dont tout un système stellaire, très proche du notre puisque c'est un voisin, seulement visible dans l'infra-rouge... et même probablement un troisième astre caché...
Voici une série de vidéos sur le thème Nibiru, attention, comme je l'ai déjà dit, il ne faut pas croire tout ce que disent les médias, ni prendre à la lettre ce que disent les scientifiques, mais encore moins ceux qui en rajoutent sans aucune preuve réelle... ceci est juste à titre informatif et c'est à votre propre cerveau d'analyser les choses, pas celui des autres...
Canaries et les Guanches : des Atlantes, des Cro-Magnons Aryens ou des Celtes ?
Très ancienne gravure sur roche aux Canaries - datations impossibles
Ce n'est pas la première fois que je vous parle des îles Canaries et de ses mystérieux habitants originaux, les Guanches, mais des recherches supplémentaires (et toujours en cours) sont évidemment toujours nécessaires, tant qu'une avancée significative vers la solution aux énigmes n'est pas établie, si elle peut être établie un jour, d'ailleurs...
Cet article est donc dans le prolongement de ces autres chapitres concernant cette quête particulière sur des îles ou cités englouties et de leurs peuples (ayant survécus ou non) :
Ces nouvelles recherches dans les bibliothèques et sur internet m'ont menées à nouveau du côté des Canaries, et même sur la trace des nazis, suite à certains passages de livres en parlant et de photos historiques disponibles dans certaines vieilles archives.
Ainsi, un peu comme Indiana Jones dans sa quête de l'Arche Perdue, il s'avère que les idéologues nazis étaient également convaincus que les Canaries étaient non seulement des vestiges de l'antique Atlantide, mais que les natifs de ces îles étaient des survivants des grands atlantes. Les premiers directeurs de l'Académie des Sciences Nazies, Ahnenerbe, avaient tendance à exacerber la droiture et valeur des aborigènes can-aryens, qui avaient résistés tant de temps aux conquistatores espagnols, et même défait l'armée espagnole lors d'une bataille. Aussi, dès 1939, ils organisèrent une expédition aux Canaries, menée par le Docteur Huth, un universitaire expert en religions qui parlait sept langues, dont l'hébreu. Huth, comme H. Pringle, avait lu tout ce qui était disponible sur la préhistoire des Canaries et en avait conclu que les natifs canariens étaient : " membres d'une lignée pure et non polluée par la Race Nordique, qui avaient bien préservés les anciennes pratiques Aryennes jusqu'au 15ème siècle "...
Tout aussi convaincu de ça était son accompagnateur nazi, l'archéologue Docteur Fischer, président de l'université de Berlin, et le premier chercheur à avoir discuté et démontré les lois de Mendel dans le croisement des races, avec Wolffel et l'autre spécialiste des races, le Docteur Schwidesky, assurant qu'étudier les restes des Guanches feraient parti des meilleures recherches aux Canaries pour Ahnenerbe.
Ils voulaient prouver que les canariens d'origine étaient des purs cro-magnons, comme les Aryens, et qu'il s'agissaient de beaux hommes et femmes, du type nordique, et réaffirmeraient ce qu'ils disaient sur les temps anciens. Ils disaient " regardez, cette jeune fille des Canaries ressemblait à n'importe quelle fille d'une ville comme à Baden, de Westphalie ou Hesse. Ces allemands ont en fait fondé l'Ecole d'Archéologie à l'Université de La Laguna, où ils sont restés longtemps, avec les fonds donnés par Himmler, et ont écrits de nombreux articles pendant la guerre sur " la Psychologie Raciale ", publiés dans le journal de l'Ahnenerbe...
Le plus intéressant est que ces nazis sont rejoints par le philologiste Dominik Wölfel, autrichien, qui est tout de même l'auteur de "Monumenta Lingae Canariae", la meilleure étude à ce jour du langage des arboricoles canariens, écrite dès 1933, et qui enregistre la découverte de Runes Nordiques dans le ravin de Guayadeque à Grand Canarie. Ces scientifiques allemand connaissent probablement la saga islandaise, la Eyrbyggiasaga, qui raconte l'histoire d'un marin d'une île nordique dont le bateau est transporté jusqu'aux Canaries par une énorme tempête et qui se retrouve, vers l'an 1000, comme chef aborigène à Grand Canarie...
Dans une nouvelle découverte étonnante dans les jungles du Mexique, les archéologues ont mis au jour deux anciennes cités mayas, y compris des temples en ruines d'une pyramide, des restes de palais, un tunnel en forme de bouche de monstre, un terrain de jeu de balles, des autels et d'autres monuments de pierre, selon une nouvelle édition de Discovery News. En fait, l'une des villes avait été trouvée il y a des décennies, mais toutes les tentatives de dégagement avaient échoué. L'autre ville était auparavant inconnue et est une découverte nouvelle, un éclairage nouveau sur l'ancienne civilisation Maya.
One of the cities featured an extraordinary facade with an entrance representing the open jaws of an earth monster. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Le Chef d'expédition Ivan Sprajc, du Centre de recherche de l'Académie slovène des Sciences et des Arts (ZRC SAZU), a expliqué que la découverte a été facilitée par des photographies aériennes de la forêt tropicale du Yucatan central dans l'État de Campeche, au Mexique. Certaines anomalies ont été constatées dans la végétation épaisse de la forêt et une équipe a été envoyée pour enquêter sur place.
Les archéologues ont été stupéfaits de découvrir une ville entière dans une zone située entre les régions de Rio Bec et Chenes s'étendant sur plus de 1800 miles (et où aucune structure n'avait été trouvée jusqu'à présent !), qui se caractérisent par leur architecture classique datant d'environ 600 à 1000 de notre ère.
Bien qu'une ville avait d'abord été trouvée par l'archéologue américain Eric Von Euw dans les années 1970, qui a produit des documents et des dessins de ruines mayas, l'emplacement a été perdu et toutes les tentatives de relocalisation de la ville, qu'il appela Lagunita, avaient échoué jusqu'à maintenant.
Šprajc encontró el año pasado estelas en la zona de Chactún. Foto: Especial
L'une des caractéristiques les plus impressionnantes de la cité maya est l'énorme porte d'entrée monstre-bouche (représentée dans l'image sélectionnée), qui représente une divinité de la terre maya de la fertilité. " Ces portes symbolisent l'entrée d'une grotte et, en général, à l'aquatique souterrain, lieu d'origine mythologique du maïs et demeure des ancêtres ", a déclaré Sprajc à Discovery News.
Au-delà de la porte d'entrée, Sprajc et son équipe ont rencontré un grand temple pyramidal mesurant 65 pieds (20 mètres) de hauteur, ainsi que les ruines d'un complexe de palais organisé autour de quatre grandes places. À proximité, ils ont trouvé de nombreuses sculptures en pierre et plusieurs autels, tous gravés avec des reliefs et des inscriptions bien conservées.
The remains of a temple pyramid in the ancient Mayan city of Lagunita. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
L'une des inscriptions a été analysée par épigraphiste Octavio Esparza Olguin de l'Université nationale autonome du Mexique, qui a révélé que les hiéroglyphes notent la date du 29 Novembre de l'an 711 et se réfèrent à un "seigneur de 4 k'atuns" (un k 'atun est une période de 20 ans, 80 ans donc). Toutefois, malheureusement, la section de texte qui aurait noté le nom du règnant n'est pas suffisamment claire pour être lue.
The hieroglyphic inscription dated to 29th November, 711 AD. Credit : Ivan Sprajc / Discovery News
Les archéologues ont également trouvé 10 stèles (grands Arbres de pierre sculptés) et trois autels (moyennes pierres circulaires) qui présentaient des reliefs bien conservés et des inscriptions hiéroglyphiques. Une tablette maya découverte raconte une lutte de pouvoir. - Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Encore plus étonnante que la redécouverte de Lagunita, il y a aussi le fait que Sprajc et son équipe sont également tombés sur un autre ensemble de ruines antiques à proximité, qui était jusque-là inconnu, y compris un temple pyramidal, un autel, et de grandes acropoles entourées de trois temples. Ces structures ressemblent à une autre ville maya, qu'ils ont maintenant nommé Tamchen («puits profond»), après avoir trouvé plus de trente chultans, des chambres souterraines profondes utilisées pour recueillir l'eau de pluie.
Plus de 30 chultuns ont été trouvés sur le site. Ce sont des chambres souterraines en forme de bouteille, en grande partie destinés à la collecte des eaux pluviales. " Plusieurs chultuns étaient exceptionnellement profonds, allant aussi loin que 13 mètres (43 pieds) ", a déclaré Sprajc. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Stone structure from the previously unknown city, which has since been named ‘Tamchen. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Bien qu'il semble que les deux villes aient existé en même temps pendant au moins une partie de leur existence, il est évident que Tamchen pourrait avoir été créée avant Laguinita, avec des structures liées à une période pré-classique tardive (300 avant JC - 250 après JC).
Sprajc a expliqué que les deux villes " ouvrent de nouvelles questions sur la diversité de la culture maya, le rôle de ce domaine étant largement inexploré dans l'histoire profonde des Mayas, et ses relations avec les autres entités politiques.".
" Selon l'archéologue Octavio Esparza, plusieurs de ces monuments ont été réutilisés dans les derniers temps, peut-être entre la fin de l'époque classique jusqu'à la fin ou au début de la postclassique.
« Ces gens ne savaient pas la signification de ces monuments, puisque certaines des stèles ont été trouvées à l'envers ; cependant, ils savaient qu'ils étaient importants et les adoraient ", a déclaré l'expert.
Avec Chactún, Lagunita et Tamchén détiennent plusieurs éléments inhabituels, ce qui représente un défi pour la recherche future dans le domaine archéologique inconnu du Campeche oriental.