Escroqueries dans la Gestion immobilière - MAJ 7
Le 1 allée des marronniers au premier plan, le 2 derrière. Il y avait des marronniers sur tous les espaces verts derrière les petites barrières.
Cet article est un appel à l'aide et à la justice. Tous ces faits sont réels et il y a de nombreuses preuves l'attestant. Nous avons eu confiance envers le système judiciaire civil français pour réaliser et contrer ces utilisations frauduleuses de lois douteuses passées à l'aide de jurisprudences ou décrets (hors Parlement) par des détenteurs douteux de pouvoirs anormaux. Nous avons eu tord. Il est évident qu'il est impossible d'avoir confiance en une justice gangrénée par la mafia et les politiques, les intérêts individuels et les fausses valeurs (l'argent et la notion de profit).
Il faut bien préciser ici que moi et ma famille ne sommes pas les seuls concernés par cette même escroquerie plus ou moins accompagnée (en fermant les yeux ?) par les administrations de deux communes parisiennes, et par la "justice". Il s'agit d'une résidence de trois tours de 10 et 11 étages (le dernier étage était à l'origine réservé à des séchoirs individuels) et ce grave problème que je dénonce aujourd'hui concerne donc plusieurs centaines de personnes (4 appartements de 3 ou 4 pièces par étage).
C'est une assez longue histoire, et complexe. Il est probable qu'une majorité d'intervenants dans ses différents volets n'ait pas fait l'effort de vraiment la comprendre et de réaliser les origines et manipulations orchestrées dans cette affaire. Je vous demande donc de la patience devant cette longue suite de faits, même devant parfois des détails à priori sans intérêt : c'est un tout et l'ensemble de ce qu'il se passe dans cette petite résidence est, j'en ai bien peur, le reflet de ce qu'il se passe très souvent au niveau de la gestion de ces parcs immobiliers gérés par des entreprises (subventionnées par l'Etat et donc aussi par les mêmes locataires, en plus !) bien souvent liées à des pratiques anti-sociales, voir mafieuses... et qui utilisent de "bonnes" lois et jurisprudences pour faire monter artificiellement (et sans arrêt) le prix du mètre carré...
Voilà donc les faits dans leur intégralité, ils sont le reflet de l'entière vérité, et je ne suis pas le seul à pouvoir en témoigner. Nous avons pu également obtenir un bon nombre de preuves et de documents évidents, qui ont été ignorés par la "justice". Tous ces preuves (avec les noms ou données identitaires cachés pour respecter les droits) sont disponibles et j'en afficherai en cours ou à la fin de cet article (qui n'a pas encore de fin d'ailleurs étant donné que le problème n'est absolument pas résolu), mais le temps pour y enlever les noms propres de gens que je ne peux citer publiquement est long. Ces documents sont en tout cas consultables chez moi (plusieurs quittances de loyers et copies de jugements prouvant mes dires sur la manipulation des juges par l'OGIF et ses défenseurs, preuve de la tentative de corruption par proposition de paiement d'équipement au noir, témoin de manœuvres douteuses et de non augmentations de certains loyers au même endroit, preuves de non mises au normes électriques et au gaz et des dégâts occasionnés par les travaux et sa vétusté dans l'appartement, preuves des accusés de réception de l'OGIF de mes recommandés auxquels ils n'ont jamais répondu... témoin direct aussi de plusieurs évènements : Mr Godron n'était pas de ma famille avant cette année 2013 (mariage cet été avec ma fille) et a été témoin dès 2002 des troubles occasionnés...). Je n'ai personnellement rien à cacher à part une protection minimum de ma vie privée.
Pour retracer l'ensemble de cette affaire, je suis obligé de partir du tout début : mon arrivée au Plessis-Robinson, avec ma femme (à l'époque) et ma fille Delphine (8 ans à l'époque) en août 1992. Contexte : je travaillais depuis 1982, comme employé puis cadre-maison, pour le compte de Thomson-CSF et différentes filiales (Airsys Bagneux, SODETEG), devenue de nos jours Thales, et comme plusieurs dizaines d'employés par an dans ce groupe, j'ai fait appel aux 1% social logements de l'entreprise Sodeteg où je m'étais fait muté en 1990, pour obtenir ce logement. Je précise tout de suite que la tâche de gestion du 1% logement était dévolue à l'époque à la secrétaire principale de notre PDG, Mme L. Le parc immobilier de Thomson-CSF était très important évidemment (énorme entreprise internationale, leader sur plusieurs marchés (armement entre autres)) et j'ai vu des petits pavillons avec jardin partir pour des ingénieurs/cadres avec plus de moyens que ma famille, bien entendu. Mon choix se portait donc sur un assez bel appartement bien clair, situé au 9ème étage d'une de ces trois tours. L'école pour Delphine n'était pas très loin et c'était un plus, ainsi que la meilleure proximité du centre Thomson/Sodeteg où je travaillais à l'époque (Clamart, La Boursidière, et Meudon la Forêt) mais c'est en fait la vue très belle en hauteur sur toute la banlieue sud-est qui a emporté le choix final, l'appartement en question étant tout de même vieux et refait qu'à moitié...
Notez qu'à l'époque (1992), ce sont des francs et non des euros...
Autre particularité importante et non sans conséquences : la résidence est coupée en deux entre deux communes, Chatenay-Malabry avec une tour et Le Plessis-Robinson avec 2 tours. Une voie privée nommée allée des marronniers, à cause à l'évidence des nombreux arbres de ce type qui en font en grande partie le tour (barrée et accessible uniquement pour aménager/déménager et pour les pompiers) fait le tour de la résidence et ne délivre que ces trois tours et cette résidence, les box. Il n'y a donc que 3 adresses possibles pour l'allée des marronniers, le 1, le 2 et le 4 (à Chatenay-Malabry la dernière).
- Lors de notre première visite, l'appartement n'était pas fini d'être rénové. Trois ou quatre ouvriers s'évertuaient alors à reboucher avec du plâtre une grosse fissure transversale dans le mur de soutien (pourtant en béton armé) de la cuisine/salon. Je m'en inquiétais auprès de Mr R., gardien de l'OGIF à l'époque, et celui-ci me rassurait en affirmant que cela ne se verrait plus et que n'importe comment, il n'y avait pas de séismes à Paris en plaisantant. Plus tard, lors de l'état des lieux, le représentant de l'Immobilière Familiale (pas d'OGIF à l'époque) mentionne bien que plusieurs pièces, tapisseries et peintures sont jugées en bon état malgré les 20 ans passés et non refaites, alors que les refaites sont mentionnées en très bon état. Une fenêtre de la chambre principale ne ferme pas mais Mr R. refuse de la mentionner en affirmant qu'elle devrait fermer en insistant (mais un collant d'emballage empêche son ouverture), que des travaux pour les fenêtres et d'autres sont prévus pour 1998 et qu'il y a une garantie décennale à respecter, etc... il mentionne juste des volets cassés à remplacer (qui ne le seront pas avant longtemps !) et un meuble-sous-évier de cuisine vieux de 20 ans mais en bon état (hum !), bien qu'il y manque des planches et un système de fermeture (qui n'a jamais été fourni)...
Pris par le réaménagement qui dure assez longtemps (assez pris aussi par mon travail à Sodeteg en pleine réorganisation), et dans la mesure où les double-rideaux que nous avions posés devant la fenêtre mal fermée me l'ont faite oublier, nous sommes encore dans quelques cartons en décembre quand il commence à faire un peu frais dans notre chambre et que je tente de fermer cette fenêtre pour de bon. J'enlève donc cette bande de scotch d'emballage endurcie et enroulée sur elle-même pour coincer le supérieur gauche de la fenêtre un peu entrouvert. Et je remarque immédiatement que c'est plutôt le bois de la fenêtre qui s'est tordu sur son pourtour supérieur gauche (infiltration d'eau ?)... et que j'ai beau essayer, il n'y a rien à faire pour refermer la fenêtre correctement... Prévenu, le gardien, Mr R., viendra innocemment vérifier la chose (mais je ne peux que supposer qu'il était au courant, d'où sa manœuvre pour que cela ne soit pas marqué dans l'état des lieux) mais se contentera de me prévenir qu'il faudrait sûrement que je patiente pour les changements de fenêtres car il a déjà prévenu son siège de plusieurs problèmes de fermetures de fenêtres et de volets, que c'était prévu (?) mais sans date précise...
Je ne me souviens plus à quelle date au juste, mais je sais avoir mentionné des choses concernant ces problèmes anormaux dans le livre des réclamations disponible alors à la loge du gardien... sans aucune réponse d'ailleurs avant le changement des fenêtres... en 2003 !... 11 ans donc avec une fenêtre de chambre principale qui ferme mal... que j'ai pu recolmater comme j'ai pu bien sûr, mais je ne peux vraiment pas dire que Mr R. ait été le gardien préféré que j'ai connu dans ma vie...
J'écris et mentionne de nombreuses anomalies dans le livre de réclamations du gardien, dont la loge est située à l'époque au 4 allée des marronniers à Chatenay, dont la grosse fissure vite réapparue et les problèmes aux volets et fenêtre... jamais eu de réponses malgré plusieurs visites au gardien représentant de l'Immobilière Familiale à l'époque... sourd et muet... J'ai téléphoné plusieurs fois à l'époque mais j'ai eu à chaque fois une interlocutrice différente qui affirmait s'en occuper... mais non. Je précise ici tout de suite que j'ai commencé à avoir des problèmes de santé peu après la coupe du monde de football et que des soucis supplémentaires personnels se sont ajoutés.
- Années 1996-1998 : la commune de Chatenay-Malabry est en faillite et les impôts locaux des habitants du 4 allée des marronniers sont augmentés à l'extrême (rediminueront par la suite, MAIS PAS LES LOYERS, pourtant obligatoirement impactés par ces hausses anormales de taxes locales...). L'immobilier enchaine puisque c'est lié et les propriétaires de logements, ainsi que tous bailleurs font monter les prix pour payer leurs propres impôts et taxes qui ont augmenté (au détriment bien sûr de ceux qui n'ont rien à faire monter pour eux à part des dettes...)
http://www.liberation.fr/libe-3-metro/1996/10/07/-_184747
- Année 1999, je suis en procédure de divorce à l'amiable d'avec ma femme et le jugement accorde la séparation : dès 1999 mon ex-femme part donc à son nouveau domicile à B et donne un avis de départ (jugement de domiciliation) au gardien représentant l'Immobilière Familiale (Mr DS à priori) comme nous l'avons toujours fait (loyer, correspondances pour le bailleur), et je reste avec ma fille à garde dans le 4 pièces. Séparation confirmée légalement en 2000.
- Pas très sûr de la date (voir avec facture retrouvée récemment) mais en 1999, nous avons été obligés de changer par nous-mêmes le système complet de fermeture d'une fenêtre d'une chambre : le système, trop vétuste, s'était brisé, et c'était en plus la fenêtre où le système de blocage des volets n'existait plus (ces derniers étaient liés par des ficelles)...
- Divorce définitif en 2001 et là j'avoue n'avoir pas fait attention si un changement de bail avait été fait entre temps ou pas : L'Immobilière Familiale a subitement disparue entre temps et aucun travaux n'a été fait contrairement aux promesses et elle n'a pas changé le bail, le prolongeant tacitement bien que mon ex-épouse ne soit plus là.
- vers 2000-2001, c'est donc l'OGIF qui reprend le relais de l'Immobilière Familiale, alors que l'état de ces immeubles et l'environnement (les grosses résidences en face avec des tours identiques sont devenues HLM...) auraient dû inciter à une destruction ou une réhabilitation vers des logements sociaux du type HLM. Surtout que la population est essentiellement composée d'employés et petits cadres d'entreprises et qu'il n'y a pas de professions libérales ou de "docteurs" implantés dans la résidence... et que le Plessis-Robinson est censé être un modèle en matière de logements sociaux puisque c'est une ville-test !... mais l'OGIF est plutôt incitée par ses intérêts situés à Chatenay-Malabry à priori car elle gère aussi l'ensemble de l'immeuble situé juste à côté, Ave de Robinson et d'autres logements dans cette ville...
A la même période, mes problèmes de santé s'accentuent et, à l'indication d'un ami assez proche (à l'époque), je vois discrètement un professeur en Belgique. Discrètement car je suis en plein divorce, que le travail a une grosse pointe (rachat/fusion d'une grosse société et déménagement !) et que ma fille est dans ses années de bac. Mais c'est une autre histoire personnelle, qui a bien sûr détourné également mon attention, temps et réactions pendant longtemps, mais qui ne concerne pas notre sujet principal.
- 2001 : La ville de Chatenay-Malabry est l'une des plus endettées de France et les choses ne peuvent qu'empirer : elle prend au fil du temps des emprunts très toxiques des banques américaines JP MORGAN, GOLDMAN SACHS et BANK OF AMERICA (entre autres) pour un montant total de 16 864 000 €, avec un surcoût de 15.67% en moyenne, remboursables avant 2026, 2029, etc... ! (2 642 000 € qui augmentent sans arrêt, les taux varient de 8.56% à 23,23% suivant les crédits !)... au même moment, les augmentations d'impôts locaux (rabaissés légèrement suite à ces emprunts) ont entraîné et entraînent toujours des augmentations de loyers par ricochet car les bailleurs et propriétaires répercutent toujours les augmentations de taxes sur les mêmes locataires (augmentations de loyers qui, je le rappelle ici, font par retour réaugmenter les impôts locaux (au bénéfice de la mairie donc et surtout de ses banquiers) puisque la valeur du mètre carré augmente automatiquement avec les loyers... regardez vos quittances d'impôts locaux, le détail indique la valeur de votre logement en mètres carrés, servant comme une base de calcul (qui augmente donc chaque année avec les augmentations automatiques de loyers au 1er janvier...). Et oui, voilà une réalité dont on ne parle surtout pas quand on parle de liberté, d'égalité, de fraternité : quand les pouvoirs affirment décréter une taxe pour tous, les propriétaires de biens et les actionnaires les font en réalité payer à leurs moutons, quand les pouvoirs autorisent les propriétaires et bailleurs à augmenter chaque année les loyers et charges automatiquement d'un côté, non seulement elle ne s'assure pas du tout que les citoyens puissent obtenir cette même augmentation (négociables éventuellement chaque année et par corporations bien séparées), mais en plus elle accorde aux plus pauvres et démunies des aides moindres que ces-mêmes augmentations aux propriétaires et bailleurs... et en plus, ces augmentations de salaires, de loyers et de taxes reviennent de toute façon en grande partie (y compris les "aides" diverses et subventions) dans les caisses de l'Etat via les TVA et taxes diversifiées de plus en plus...
Le Plessis-Robinson, curieusement et alors qu'il ne me semble pas qu'il y ait eut mention d'un besoin urgent d'argent, tombe dans les bras de la peu scrupuleuse banque de GOLDMAN SACHS en... 2001 pour un emprunt de 1 364 000 € remboursable en 2016 avec un surcoût estimé de 83 000 € à l'époque...
Preuves, regardez les emprunts toxiques (encore récemment 2010) de la commune de Chatenay-Malabry, et ceux du Plessis-Robinson en zoomant sur la carte sur la banlieue sud : http://labs.liberation.fr/maps/carte-emprunts-toxiques/#Communes-0071962
http://h16free.com/2012/12/19/19604-prets-toxique-et-incompetence-crasse-des-politiciens
Juste pour info et affirmation : ce genre de bidouilles potico-financières sur le dos du peuple sans distinction est criminel en soit et mène inévitablement à ce qui se multiplie dans une société menée par l'argent : http://www.leparisien.fr/reactions/informations/chatenay-malabry-menace-d-expulsion-il-se-retranche-chez-lui-11-07-2013-0.php
- Fin 2001 : Ma fille Delphine rencontre Mathieu Godron, jeune technicien vivant à l'époque dans les Yvelines et leur affinité fera qu'il finira par passer plus de temps chez moi, pour venir s'y installer définitivement en 2003 suite à des différents avec sa famille à l'époque.
- Mi 2002 : je quitte définitivement le groupe Thalès, en licenciement économique pour refus de mutation en province officiellement, pour tenter de me soigner d'après les indications du spécialiste (qui décède lui-même plus tard dans un accident). Très peu d'IRM et de techniques de haute pointe disponible à mon niveau en Europe, ce qu'on m'indique à Houston au Texas semble adapté à ce que je veux dans tous les cas : détection éventuelle et destruction immédiate si nécessaire, sans soins destructeurs chimiques ou radiatifs. Je ne pourrai aller aux USA et à Houston que plus tard (le 1er février 2003, une date tragique d'ailleurs !), à cause de la logistique financière et du temps d'absence qui ne peut être trop long (ma fille ne peut pas payer de loyer ou signer en mon absence...).
- 2003 : deux ouvriers d'entretien sonnent à la porte, envoyés par l'OGIF et son gardien (pas de nom à l'époque, nous avons juste un "chef des gardiens", Mr L. au niveau OGIF, mais localement, il s'agit déjà de Mr P. et de sa femme). Ils sont venus faire l'entretien courant des joints et robinets (contrairement d'ailleurs à ce qui est marqué dans mon bail) et j'en profite pour signaler une petite fuite provenant du joint du robinet d'eau chaude de la cuisine. Il s'agit d'un jeune apprenti et d'un ouvrier vétéran. Je les laisse quelques minutes car j'ai la visite d'un ami (T. H.) mais quand je reviens les voir, je surprend l'apprenti, à quatre pattes sous l'évier avec une pince monseigneur, en train de resserrer violemment la bague au-dessus du siphon de l'évier. On entend un gros crac mais rien ne se passe et les deux ouvriers s'en vont assez précipitamment... j'essaie aussitôt le robinet en principe réparé mais dès que j'ouvre l'eau au grand, une grosse fuite se déclare juste au-dessus du siphon dont le tuyau vient d'être brisé... et je n'arrive pas à rattraper les ouvriers évidemment... Je me souviens maintenant avoir eu au téléphone Mme P. immédiatement pour qu'elle intervienne. Le plombier remontera me voir, un homme du type maghrebin, qui niera que quiconque ait touché en-dessous du lavabo (me disant même qu'il n'a pas le droit - alors que c'est le contraire légalement !)... ce crime (car il en s'agit bien d'un) a entraîné des conséquences encore existantes en 2013 ! et nous sommes restés de mars à juin 2003 sans évier de cuisine du tout à cause de la mauvaise foi de la part de l'OGIF (aucune réponse à mon recommandé !) et de ses représentants gardiens... ce sera le chef des gardiens, Mr L. à l'époque, qui prendra l'initiative de faire réparer et changer (avec du plastique) une partie de la vieille plomberie en ruine... à cause de mes appels répétés et après une intervention du Maire du Plessis-Robinson auquel j'avais dû écrire pour avoir un petit appui... a ce jour en avril 2013, le meuble en bois qui date de 40 ans n'a pas supporté cette fuite de 2003 et ses pieds s'évasent, vermoulus et le meuble s'écroule (plus de joint possible entre lui et le mur) mais l'OGIF contacté il y a 3 ans refuse de répondre par écrit (toujours) : les gardiens m'ont proposé un partage du coût au noir de leur propre meuble (qui fait parti du bail !) (600€ par moitié) sur un post-it manuscrit avec un autre courrier de l'OGIF, réponse a une demande d'info pour le gaz (preuve donnée aux avocats et aux débats (en principe mais nous n'avons jamais pu voir un écrit de ces débats !) mais ignorée).
- Fin 2003 : les fenêtres sont enfin changées après 11 ans de promesses... mais les fissures s'élargissent un peu partout dans tous les appartements... surtout en hauteur. Ma voisine d'en face à l'époque (le mari travaille chez Bouygues) devient folle à cause des multiples fissures qui émaillent son appartement... ils partiront d'ailleurs avant même les travaux. Important : les volets déroulants sont enfermés dans un gros coffre en plastique (moche) qui fait la largeur des double-fenêtres et 20 cm de largeur : ils ont tous été montés A L'INTERIEUR des logements, enlevant autant de M2 utilisables (mais toujours payés en loyer et impôts locaux depuis !) à chaque logement (7 fenêtres avec ces coffres pour le mien)...
- Autrement dit, la valeur de cet ensemble et de ces logements aurait dû diminuer avec évidence en l'absence de tout travaux et en application de la vétusté et leurs loyers avec... ce qui n'a jamais été le cas bien évidemment... il semble bien que les juges sont toujours prêts à accorder une augmentation des valeurs (même fausse) dans l'immobilier plutôt que l'inverse, sans aucune réalité et en contradiction totale avec les lois de la nature et de la physique... les choses sont laissées à l'abandon et en ruine mais ne diminuent pas de valeur mais par contre, il suffit de mettre une "rustine" à l'immobilier pour qu'il augmente de 50 %... : c'est de l'abus et de l'escroquerie de base, tout simplement, et il y a trop de décisionnaires qui sont à la fois juges et parties... combien de juges et politiques sont locataires ????
- En 2003, le Maire du Plessis-Robinson, Mr Pemezec a adressé un courrier à l’Ogif l’intimant d’effectuer les travaux en retard (en précisant qu’il l’avait déjà réclamé à l’Immobilière Familiale) - j’en ai une copie.
Les travaux principaux n’ont commencé qu’en 2005, avec comme premier objectif pour l’OGIF d’éliminer certains services inclus dans les baux de l’époque : disparition des vides-ordures, non remplacement puis finalement disparition des jeux et jardins pour enfants (le 1er au niveau du « bac à sable » (avec sable non prévu et inchangé) actuel a vu ses jeux disparaître par non remplacement bien avant que l’OGIF ne supprime officiellement les jardins d’enfants. La plupart des marronniers de la cité (qui ont donné son nom à l’allée) ont été enlevés par l’OGIF et non remplacés…j’ai un courrier de l’OGIF, signé du chef des gardiens de l’époque, qui affirme que les disparitions de ces services (inclus dans les loyers et charges), vont engendrer une diminution de charges… personnellement, je n’ai vu qu’une augmentation régulière des charges au niveau de la quittance de loyer et une diminution des ajustements annuels de charges, toujours en ma défaveur…
Octobre 2003 : L’OGIF prévient enfin qu’elle va entamer une partie des travaux (une partie seulement sur tout ce qu’il y a de retard d’après la loi), dans les 6 prochains mois (2004 donc). (pièce 10). Dans ce courrier, il est aussi fait mention de la disparition des vides-ordures, afin de réduire les charges. Ce qui est faux car les charges n’ont pas cessé d’augmenter considérablement (voir les pièces sur les ajustements annuels de charges).
2004 : ravalement, changement (enfin !) des fenêtres et volets. Malgré le ravalement, on constatera après un affaiblissement au niveau du balcon, ainsi que la détérioration de la pierre au-dessus du balcon. (pièce 11).
2005 : travaux de peintures des halls et cages d’escaliers (parties communes - hors appartements).
L’OGIF a enfin procédé (ou fait semblant ?) en 2005-2006 à des travaux d’étanchéité du toit du parking souterrain, derrière le 2 marronniers, qui présentait de larges fuites d’infiltration d’eau et de calcaire sur les voitures y stationnant (y compris la mienne)… Travaux non finis en 2013 ! : il y a encore à l’heure actuelle des fuites d’eau et de calcaire sur les toits de certaines voitures (l’OGIF, suite à plainte à mon assureur a fait poser en 2006, comme à d’autres, des plaques de tôles (en principe provisoires) sur les plafonds au-dessus des voitures, sans procéder à de réelles réparations définitives de ce parking… d’ailleurs l’eau et le calcaire commencent à s’écouler des tôles (j’ai à nouveau quelques tâches blanches sur la peinture arrière de ma voiture) et je pense qu’avec les intempéries qui ne vont pas manquer de venir, ça ne va pas arranger les choses…
- 2005 : je repréviens moi-même (écrit et signé sur une quittance de loyer si ma mémoire est bonne) du fait que je suis divorcé depuis 2001 et que le fiancé de ma fille, Mathieu Godron, vit chez moi à titre gratuit question logement. En 2006, le nom de mon ex-femme est enfin enlevé des quittances de loyers (preuve apportée lors des débats) mais l'OGIF ne propose pas de nouveau bail et feint d'ignorer les choses à ce sujet, et n'a jamais voulu répondre à mon courrier de 2003... (copie apportée lors des débats)...
Pour finir, l’OGIF a accéléré son programme d’augmentation générale des loyers de la résidence sans aucune justification réelle, à part le contexte que voici : La commune de Chatenay-Malabry a été mise en redressement suite à sa faillite il y a quelques années (les habitants de Chatenay pourront me confirmer l’année, que je pense être 1997-1998 - au moment des décisions d'attributions de plans de logements sociaux). Les conséquences ont été rapides pour les habitants de Chatenay-Malabry : augmentations énormes des taxes locales, des loyers et charges… L’OGIF en a donc profité dès 2008 je pense (ou 2005-2006 et les lois Sarkozy citées par l'OGIF qui ont, en quelque sorte, invalidé les protections sociales liées aux 1% patronaux et à mon appartement et des autres ?) pour tenter et réussir par tricheries à aligner les loyers de toute sa résidence (qu’ils appellent « Chatenay », alors qu’il n’y a qu’une tour (celle du gardien et des transmetteurs Bouygues sur son toit) à Chatenay, les deux autres étant au Plessis-Robinson, sur les loyers pratiqués à Chatenay-Malabry.
Contre toute logique (mais il y a des doutes parfaitement exprimés, y compris dans la presse et sur internet, sur l’intégrité de certains juges du Tribunal d’Antony…), l’OGIF a présenté des références de loyers pratiqués essentiellement à Chatenay-Malabry, alors que dans la résidence même, se trouvaient obligatoirement un nombre conséquent de loyers aux même prix que ceux contestés par l’OGIF, et les tribunaux ont tous été en faveur de ce dernier, essentiellement à cause de ces fausses informations, ces tricheries mafieuses, voir des complicités politiques ou d'entreprises liées au bâtiment…
2008 : mise aux normes électriques (très en retard). Un encadrement en carreaux de la baignoire dans la Salle de bains empêche la mise à la terre de la baignoire. Cet encadrement ne m’appartient pas, je ne suis pas demandeur des travaux, ni propriétaire : je dis au travailleur de voir avec l’OGIF (seul maître d’œuvre), mais il déclare avoir des délais et ne pas avoir le temps. Je refuse de signer la fiche qu'il me tend. C'est un très grand personnage et très puissant et il se met presqu'en colère mais part devant ma détermination. Il reviendra plus tard (je n'arrive plus à me souvenir si c'était le même jour ou un autre), accompagné de tous les ouvriers, d'un contrôleur de Véritas et d'un représentant de l'OGIF (le responsable des travaux ?). Grosse pression donc de la part de 7 personnes (de mémoire) qui me demandent de signer et de laisser faire les travaux. Je demande juste à l'assemblée que quelqu'un m'amène un papier signé par l'OGIF autorisant cette destruction pour l'autoriser, mais on me répond que non. Point. Je déclare donc que je ne peux signer ou accepter quoique ce soit au niveau de la baignoire et de son coffrage qui ne m'appartiennent pas puisque en même temps, j'en prendrais la responsabilité, et moi seul... Devant mon refus réitéré, le grand technicien (qui fait le plombier et tous les métiers du bâtiment puisqu'il est d'ailleurs toujours présent dans les divers travaux de la résidence) se met en colère et me met sa fiche dans les mains, un stylo et me crie dessus de signer sa fiche, que la baignoire soit faite ou pas. Devant la menace et l'immobilité du groupe, je prends sa fiche et gribouille une signature sur le mur vertical, et j'ajoute en-dessous le texte "NON MIS AUX NORMES". Il se met encore plus en colère et froisse le papier que je lui ai tendu. Quelqu'un le calmera je pense et je ne me souviens plus trop de la fin de cette entrevue qui m'a fortement surpris à l'époque. Ils partiront et, malgré mes remarques aux mêmes représentants ou fournisseurs de l'OGIF et aux gardiens, je n'en entendrais plus parler avant que je le fasse (en vain et dans l'indifférence) auprès de mes avocats et de la court civile... Les normes électriques ne sont toujours pas appliquées à ce jour (09-2013) dans la Salle de Bain... je précise qu'on m'a toujours déconseiller de faire mention de cette scène dans la mesure où j'étais absolument seul contre sept "ennemis", mais dans la mesure où les détails ont fini par ce préciser à force de faire appel à ma mémoire et où je suis certain de la vérité, et que j'ose espérer qu'au moins un employé travaillant pour Véritas ne soit pas un "ennemi" avec intérêt (quoique Véritas a intérêt a donner éventuellement de bons contrôles pour être rémunéré...), je ne vois pas de raison de ne pas en parler ici.
- en 2008 et 2009, quelques voisins (dont le mien à gauche, Mr Rt) viennent me voir pour tenter de comparer leurs loyers au mien devant leur réception de nouveaux baux avec augmentations très conséquentes (peu sont augmentés de 50 € par mois question salaire alors que la loi autorise de le faire aux bailleurs (alors qu’ils bénéficient déjà d’augmentations annuelles automatiques sans rien faire - scandaleux) ! C'est d'ailleurs criminel en soi d'autoriser des augmentations supérieures à l'inflation et aux augmentations des minimas sociaux, surtout en période de crises incessantes... point...). Mais il s'agit d'un trois pièces et il ne peut le comparer trop avec notre quatre pièces (bien qu'il soit évident qu'il n'y ait pas plus de 30 à 50 € de plus en loyer pour cette pièces en plus, et que tous les loyers des trois pièces sont identiques, comme tous ceux des quatre pièces, à l'époque...). D'ailleurs, curieusement, nous ne recevons rien du tout de notre côté (ni les 4 pièces apparemment) car d'autres personnes ayant un trois pièces (au 6ième étage *) nous demande également le service de comparer leurs loyers au notre (ce que nous faisons en vain puisqu'ils ont un trois pièces - du même prix que celui de Mr. R.* d'ailleurs, notre voisin, mais il s'est apparemment enfui vers la même époque, laissant ses meubles, devant les augmentations de loyers excessives pour un retraité seul... Nous n'avons plus aucune nouvelle de notre côté de cette histoire, un peu isolés peut-être en haut de la tour... et par les plans machiavéliques de l'OGIF qui "dispatche" discrètement les augmentations de loyers entre les trois tours et les 3 pièces/4 pièces...
* = Nous avons récupéré comme preuve formelle les montants exacts des loyers de ces deux familles habitant dans notre tour des logements identiques (avec d'autres), via les pièces apportées aux débats lors des jugements civils
Début 2009, je préviens les gardiens que le meuble sous-évier, ainsi que l’évier de cuisine et la plomberie liée, sont vétustes et que le meuble s’affaisse de plus en plus, menaçant d’entraîner le lourd double-évier dans sa chute. J’ai même la représentante de l’OGIF sur la résidence au téléphone à ce sujet, et je lui parle des dégâts occasionnés par l’apprenti, non réparés pour ma part. Elle me dit qu’elle ne connaît pas le chef des gardiens de l’époque qui a réparé (donc reconnu les tords de l'OGIF), qu’il n’y a pas eu plainte à l’époque et que donc pour elle, ça n’a pas existé (Mr le Maire du Plessis-Robinson qui était intervenu, appréciera…). Pour finir, l’OGIF, consciente de sa responsabilité mais ne voulant pas payer le remplacement d'un objet inclus pourtant dans le bail (et restant dans l'appartement) et vétuste de 40 ans, propose un arrangement discret et sans factures par l’entremise des gardiens. (pièce 12).
Autres travaux en 2009 : suppression du bac à sable et des jeux pour enfants (pour économiser des charges ! pour qui ?). Subite maladie des marronniers (hum) et abattage de la majorité des marronniers et arbres de la résidence (sans remplacement) en face des deux tours situées au Plessis-Robinson (un hasard ?) et le parking du 2. Installation de portes d’entrées d’immeuble avec interphone et clé magnétique (non demandée par les résidents). été 2009 : Installation de barrières aux 2 entrées principales de la résidence : ce matériel a dû coûter très cher… et n’a jamais été mit en fonction jusqu’à présent (+ d'un an : septembre 2010 !). Pour info, je n'arrive plus, ou avec beaucoup de difficultés, à ouvrir cette barrière avec la clé magnétique en juillet. Je ne suis pas le seul car un ouvrier tente de régler l'ouverture de la barrière et c'est lui qui me l'ouvre d'ailleurs : j'en profite donc pour faire changer la pile à une mercerie de Chatenay proche et elle ouvre au quart de tour quand je reviens... mais, la semaine d'avant le 15 août 2013, je suis bloqué un moment devant la barrière par le même ouvrier, en train de creuser au marteau-piqueur devant, Mr P. le gardien à ses côtés... je pense que la barrière est à nouveau en panne, bien qu'avec mon changement de pile, celle-ci s'ouvrait même de loin encore récemment... on m'ouvre... mais à mon retour, ma clé magnétique avec sa pile neuve ne fonctionne plus... ou presque plus : il faut que j’insiste 10 minutes et que je place ma voiture à un seul endroit 'lisible" maintenant pour ouvrir la barrière... je me suis absenté seulement deux jours cet été pour aller voir mon père en province : je pars la semaine d'après le mercredi matin, en mettant encore 10 minutes pour réussir à ouvrir la barrière "automatique" (impossible a manœuvrer à la main), avec de la chance apparemment (pour une fois !)... quand je reviens jeudi soir, plus de barrière du tout ! Celle-ci a été apparemment arrachée ou découpée à raz par des gens voulant rentrer chez eux, mais le gardien a choisi de faire ses travaux de barrière juste avant de s'absenter lui-même...
Du 31/08/2009 au 06/01/2010 : remplacement des 3 ascenseurs des tours : notre tour au 1 marronniers (9 étages) est totalement privée d’ascenseur pendant près de 3 mois ! Aucune déduction des charges n’a été effectuée pour cette période, en infraction avec l’article 1724 du code civil. (que j’ai mentionné en vain lors du 1er jugement).
L’OGIF a enfin commencé à remplacer les vieux gros radiateurs (mais qui fonctionnaient très bien chez moi : il fait + froid maintenant !), après avoir remplacé les chaudières au fuel par des chaudières au gaz de ville. Mais ces remplacements ont curieusement été très étalés dans le temps : la majorité sont fait seulement à l’occasion d’un changement de locataire. Commencés dès 2005 en nombre calculé (11 par an de provisionné seulement - j’ai les chiffres transmis par l’OGIF lors des procès) ces changements de radiateurs duraient encore en 2011 ! L’OGIF m’a envoyé une assignation en mai 2010 car il trouvait mon loyer sous-évalué (c’est un comble quand on pense qu’ils osent comparer ces vieux logements a des logements neufs ou refaits à neuf, alors que le mien, en 1992 quand j’y suis entré, n’a vu que deux de ses pièces repeintes et retapissées (les + petites) et la peinture de la cuisine refaite pour masquer principalement une grande fissure qui traverse un mur porteur (fissure qui est réapparue seulement deux ans après mon entrée !). La plupart de mes voisins à l’époque se sont plaints également de ces fissures récurrentes dans les étages supérieurs des tours, ainsi qu’en extérieur sur le balcon… personnellement, je les ai toujours, y compris sur le balcon (une fissure est réapparue récemment sur un morceau du balcon, réparé lors des derniers travaux, mais l’immeuble n’est pas très récent…). J’ai le mur mitoyen du salon et de la cuisine qui présente une fissure (non pas de la peinture, mais bien du mur), un mur qui se déforme (il gonfle) entre deux chambres et des fissures aux plafonds des chambres.
- en mai 2010 donc, l'OGIF m'envoie un courrier avec un nouveau bail (comportant le nom de mon ex-femme !) et surtout une proposition d'augmentation de loyer assez énorme pour mes pauvres moyens : aucune réelle augmentation du pouvoir d'achat depuis 10 ans mais plutôt une diminution constante, alors qu'à l'inverse, tout doit augmenter selon le cercle destructeur de cette société décadente...
- En août 2010, les gardiens affolés et "gênés" appellent pour m'informer que mes radiateurs doivent être changés. Estimant ne pouvoir interdire des travaux du bailleur, plusieurs ouvriers sont donc attachés à changer en catastrophe et en une journée l'ensemble de mes radiateurs. Sur ce fait, ils sont d'ailleurs assez brutaux et des trous assez importants sont agrandis entre certaines cloisons (photos) mais les radiateurs sont changés. Je signe donc une réception des radiateurs à l'un des ouvriers, daté d'août 2010 et je remarque que le nom de l'entreprise de la fiche sur laquelle je signe comporte l'adresse du 4 allée des marronniers : l'adresse de l'immeuble de l'appartement du gardien (la loge a elle été déménagée entre-temps dans une résidence attenante à la notre et aussi gérée par l'OGIF (50 Avenue de Robinson) !!
Début septembre 2010, je reçois une convocation officielle à une Commission de Conciliation qui se tient dans une semaine et à l'autre bout du département (Nanterre) ! Je ne suis pas en très bonne forme physique à l'époque (j'ai eu le pied droit en partie écrasé par un accident domestique stupide (comme toujours) et j'ai du mal parfois à rester debout ou marcher) mais je pars donc (un peu juste en temps et après une nuit blanche à ressasser le sujet), et tente, devant la forte circulation de l'A86, de rejoindre Nanterre directement par le sud et l'A14 je pense, qui passe par un tunnel où il y a personne car il est payant... mais c'est complètement immobilisé bien avant et je suis coincé un moment... plus tard, je me retrouve sans trop le savoir sur la route menant au tunnel payant, que je paye donc (comme si j'étais riche : encore des "aides" récupérées automatiquement par l'Etat...) et j'arrive en vue du plateau de Nanterre lorsque je me faits prendre en léger excès de vitesse (- de 10) aux jumelles par un gendarme (et re-pas de chance ou hasard douteux !), alors que je sortais de l'autoroute à 110 km/heure et que j'ai bien freiné en voyant un subit panneau à 90 et 70 plus loin... il a dû me prendre pile sur le panneau ou était mal positionné par rapport à moi (je rappelle que Thomson où j'ai travaillé (Bagneux) fabrique et à fabriqué beaucoup de radars de toutes sortes, y compris pour la police, et que je pourrai en redire sur la fiabilité des radars...dont je n'ai reçu aucune preuve d'ailleurs). Je recevrai donc une petite amende (allez-y, je suis riche...) en plus de cette visite à la Préfecture, un voyage de 1h30... je trouvais difficilement dans ce dédale le parking et, en plus de mon déjà retard, les contrôles intensifs et la queue à l'entrée de la préfecture n'arrangeaient pas les choses : quand je trouvais enfin la bonne salle dans le dédale de la préfecture, la secrétaire de la Commission m'empêchait d'entrer (pourtant il s'agissait bien d'une affaire de l'OGIF qui était aussi conciliée là, je l'ai entendu (d'ailleurs, ce 9 septembre 2010, il y avait plusieurs personnes attaquées par l'OGIF aux commissions) car mon tour était dépassé et que les représentants de l'OGIF pour mon cas étaient déjà repartis... malgré mes protestations et mon dossier avec photos, le fait que mon ex-femme divorcée soit encore sur ce nouveau bail, rien n'y fait et la secrétaire accepte de noter ma présence (donc mon excuse) et me dit que la commission n'a pu dire que l'augmentation de 40% de loyer indiquée au minimum était trop élevée à leur avis... point final.
Vers novembre 2010, de mémoire, quelqu'un sonne à la sonnette de l'appartement, le temps que j'aille ouvrir, personne, l'ascenseur se referme déjà... plus tard, je découvre un pli dans ma boîte aux lettres mentionnant qu'un huissier est venu et a déposé en mon absence (!!) une assignation à aller retirer à l'office des huissiers, à Montrouge ! Avec un coût assorti de 80 € de mémoire (voir sur le document)... la suite est au niveau des "jugements"...
Nous irons tous les trois, ma fille, Mathieu Godron et moi-même dans l'agence de la Matmut à Antony pour convenir d'une assistance juridique, dans la mesure où je cotise à cette aide avec l'assurance de l'appartement et voiture fin 2010 pour obtenir un avocat nommé par la Matmut. Le jugement sera repoussé à la demande de la défense de l'OGIF jusqu'au 15-12-2011.
L’adversaire a été (le 13 octobre 2011) obligé de donner certaines pièces intéressantes pour appuyer sa plaidoirie pour le (1er) jugement du 15 décembre 2011. Ces pièces supplémentaires (des jugements précédents de personnes ayant comme moi refusé cette escroquerie déguisée et qui n’auraient pas dû perdre !) m’ont apporté confirmation de ce que je soupçonnais et avait déjà trouvé : La grande majorité des logements de la résidence (beaucoup de 1% logement d’entreprises) étaient exactement dans les mêmes prix question loyers et charges (qui sont en principe réparties) jusqu’en 2008… jusqu’à ce que l’OGIF, ne respectant pas l’esprit de la loi de 1989 mais son seul intérêt, profite des augmentations de loyers à Chatenay-Malabry (dûes essentiellement à la hausse des taxes locales envers les propriétaires et bailleurs (sic)) pour faire augmenter individuellement les loyers (et en en proposant des plus chers aux nouveaux entrants, que les travaux extérieurs soient finis ou non). L’OGIF a notamment triché en ne proposant comme références comparatives aucun ou peu de loyers comparables de la résidence ou même au Plessis (alors majoritaires !), mais essentiellement des loyers de Chatenay-Malabry (plus chers, on sait pourquoi), dans des logements d’immeubles de 4 étages refaits à neufs ou d'entrées récentes… Il y avait effectivement, dans la résidence de trois tours et pendant ces assignations, des logements parfaitement comparables, y compris en loyers ! - je ne dirai bien sûr pas les noms des personnes concernées, mais j’ai bien trouvé dans les jugements de quelques personnes ayant perdu (injustement) face à l’OGIF et à un tribunal abusé par de fausses informations, des loyers de : 551,23 € aux 1 et 4 allée des marronniers, des loyers de 558,98 € au 1 allée des marronniers et 1 loyer à 550,85 € au 4 allée des marronniers… et grâce au dossier d'un autre voisin, nous en avons encore d' autres... il s'agit bien de plus de 100 appartements (donc familles) qui ont vu leur valeur augmenter complètement artificiellement et sans aucune justification réelle à l'aide de logements cités systématiquement depuis 2008 - et encore en 2013 dans mon jugement avec les mêmes lieux !) comme étant comparables alors que la preuve a été faite qu'ils ne l'étaient pas : moins de 4 étages pour 100% dès logements "comparatifs", tous dans le secteur huppé et classé de la Vallée aux Loups et à + d'un km, refaits à neufs ou ne correspondant pas sur l'ancienneté d'occupation... les textes ne sont pas respectés par les juges dans leur intégralité, bien volontairement...
- Nous avons perdu le premier jugement (alors qu'il a été fait mention d'une erreur de date et donc d'une erreur de procédure flagrante, qui a entraîné à notre connaissance, et exactement pour le même motif, des annulations pures et simples des procédures identiques lors de précédents jugements ou lors de conciliations). Nous avons également apporté les preuves (avec photos datées) et expertises, que les travaux attestés par l'OGIF n'avaient pas été faits dans les temps, ni même finalisés (toujours pas aux normes électriques et de gaz en avril 2013 !), et avaient occasionné des dégâts. Et également que les soi-disant loyers apportés par l'OGIF via l'OLAP (des références mentionnant des logements tous en Bon Etat - il y a plusieurs références suivant les états proposés par l'OLAP et elles ne sont pas toujours comparables légalement, mais les tribunaux n'en tiennent même pas compte !) sont pour la plupart distants de plus d'1,5 km et sans comparaisons visibles et constatées (photos datées, témoins) par rapports aux textes de loi (il n'y a pas que le prix du m² qui compte, surtout quand ce prix a été monté par tricheries ou erreurs/complicités !). Et ce n'est pas parce que un bailleur ou un propriétaire rattrape enfin son retard en travaux OBLIGATOIRES que la valeur d'une habitation doit automatiquement augmenter (alors qu'elle n'a pas diminué avant !)... une défense jeune et complètement laxiste de la part de mon assureur qui n'a même pas défendu les photos et preuves d'une manipulation sur plusieurs logements voisins par rapport à des logements lointains.