Mais un tout nouvel article, accompagné de nombreuses photographies, vient d'être publié par des scientifiques dans la célèbre revue spécialisée Livescience, que je m'empresse de traduire devant son intérêt certain et qui confirme plusieurs autres données.
" 400 mystérieuses structures de pierre anciennes découvertes en Arabie Saoudite
Des structures en pierre mystérieuses que les archéologues appellent «portes», en raison de leur ressemblance avec les portes de campagne à l'ancienne, ont été découvertes en Arabie Saoudite. - Crédit: Google Earth
Près de 400 mystérieuses structures en pierre remontant à des milliers d'années ont été découvertes en Arabie Saoudite, de plus, quelques-unes de ces formations murales recouvrent ou sont recouvertes par d'anciens dômes de lave, rapportent les archéologues.
Beaucoup de murs en pierre, que les archéologues appellent «portes», parce qu'ils ressemblent à des portes de champ à l'ancienne d'en haut, ont été trouvés dans des zones d'une région du centre-ouest de l'Arabie Saoudite appelée Harrat Khaybar.
Les archéologues impliqués dans la recherche ne sont pas sûrs du but, ni même de l'âge exact de ces structures...
Découvertes principalement par des images satellites, quelques-unes des portes sont en réalité situées sur le côté d'un dôme volcanique qui jadis crachait de la lave basaltique, mais d'autres ont été recouvertes par la lave, ont découvert des chercheurs.
Les portes existent dans un certain nombre de formes et de tailles différentes. Certaines des portes, que les archéologues appellent des portes de «type I», contiennent un mur avec des tas de roche aux extrémités du mur. Deux portes de type I, construites côte à côte, peuvent être vues sur cette image avec d'autres portes.
Les portes " sont construites en pierre, les murs sont faits en dur et bas ", a écrit David Kennedy, professeur à l'Université de Western Australia, dans un article qui sera publié dans le numéro denovembre de la revue Arabian Archaeology and Epigraphy. Les portes " semblent être les plus anciennes structures créées par l'homme dans le paysage ", a noté M. Kennedy, ajoutant que " aucune explication évidente de leur objectif ne peut être discernée ".
La plus petite des portes s'étend sur 43 pieds (13 mètres), tandis que la plus longue est longue de 1 519 pieds (518 mètres), ou plus long qu'un terrain de football de la NFL. Beaucoup ont de multiples murs en pierre qui, dans certains cas, forment un dessin rectangulaire; certains des autres, appelés portes de type «I», ont seulement un mur de pierre avec des tas de pierre à chaque extrémité.
Un autre groupe de portes. La plus longue porte de cette image est d'environ 950 pieds. Les raisons pour lesquelles les portes sont regroupées sont inconnues. Les portes ont tendance à être situées dans des champs de lave qui sont inhospitaliers pour la vie humaine. Cependant, il y a des milliers d'années, ces zones auraient été plus humides et auraient contenu plus de vie.
Les "cerfs-volants", les "roues" et d'autres types de structures en pierre se sont généralement révélés être construits au-dessus de ces murs semblables à des portes, suggérant que les portes sont antérieures à ces structures en pierre, a déclaré Kennedy. Les restes de coulées de lave sont également parfois trouvés sur le dessus des portes, ce qui indique que les portes sont également plus âgés que certains des flux, ajoute Kennedy.
D'autres types de structures en pierre ont également été trouvés en Arabie Saoudite. Souvent, ces structures en pierre sont construites au-dessus ou même à l'intérieur des portes. Cela suggère que les portes sont plus anciennes que les autres structures en pierre. Cette image montre une porte qui a une structure triangulaire en pierre avec des tas de pierre qui mènent à une structure en pierre en forme d’œil de bœuf (peut-être une tombe).
La plupart des portes ont été découvertes grâce à des études par satellite, et aucun travail archéologique sur le terrain n'a été effectué. Cependant, dans les années 1980, avant que les portes ne soient découvertes, les volcanologues Vic Camp et John Roobolont cartographié une zone du Harrat Khaybar comprenant un dôme de lave orné de portes et d'autres structures en pierre. Ce dôme de lave est situé près d'un dôme de lave plus grand, appelé Jabal Abyad, qui signifie «montagne blanche» en arabe.
photo de deux autres portes prises par Vic Camp dans la région de "Harret Khaybar" dans les années 1980. Les restes d'une coulée de lave peuvent être vus très près d'elles. La coulée de lave peut recouvrir partiellement une troisième porte. Camp note que les coulées de lave ont tendance à couvrir les portes et autres structures en pierre, quelque chose qui suggère que les portes sont plus anciennes que les coulées de lave.
Les dômes de lave ne sont plus actifs, a dit Camp, ajoutant que dans le passé, la lave basaltique recouvrait certaines des structures en pierre, y compris les portes.
Jabal Abyad, Saudi Arabia -- Cette image du dôme de lave qui a des portes sur elle a été prise dans les années 1980 par Vic Camp. Le dôme de lave plus grand derrière est appelé "Jabal Abyad" un nom qui signifie "montagne blanche" en arabe. Les dômes de lave ne sont plus actifs bien que dans le passé la lave de basalte ait coulé d'eux. Two lava domes are exposed in this photo of the high central vent system of remote Harrat Khaybar, a large basalt plateau in western Saudi Arabia. The light-colored dome in the right background is composed of a felsic rock called comendite. Its name, Jabal Abyad, means white mountain. The lower portion of Jabal Abyad contains a previously unknown site of obsidian used to make Paleolithic tools. The dome in the foreground is composed of a more maficrock type, called hawaiite. The flanks of the hawaiite dome are marked by neolithic stone walls. The basaltic lava in the foreground flowed over these stone monuments, indicating that the flow is younger than the neolithic walls. Photo by Vic Camp.
" Nous voyons plusieurs zones où les laves plus jeunes sont dépourvues de telles structures [en pierre], bien qu'entourées par plusieurs [structures en pierre] ", a déclaré Camp à Live Science. L'une des structures en pierre est partiellement recouverte de lave durcie, montrent des photographies. Camp estime que certaines des portes autour du dôme de lave ont été construites il y a environ 7 000 ans.
Le travail de terrain archéologique est nécessaire pour déterminer ce que sont les portes et de quand, exactement, elles datent, a dit Kennedy.
Travis Hearn, assistant de recherche à l'Archive photographique aérienne pour l'archéologie au Moyen-Orient , a contribué à l'article de journal; et Kennedy a également travaillé avec des membres de l'équipe du désert, un groupe de citoyens saoudiens qui ont été les premiers à cartographier certaines des structures en pierre et à visiter certains des sites...
La région "Harret Khaybar", où se trouvent de nombreuses portes, contient de nombreuses cheminées volcaniques. - Photo ISS NASA
L'étude des portes a pris une certaine urgence car le développement moderne menace ou a déjà détruit certains d'entre elles. Cette porte existait encore en février 2012, mais elle a été détruite à la fin de 2015. En plus de l'enquête par satellite, des travaux archéologiques sur le terrain doivent être faits pour déterminer exactement quel âge ont les portes et quel but elles ont pu avoir.
Cités englouties, données compilées - MAJ 19-08-2014
Dwarka, Inde
Comme on le sait avec de plus en plus de fiabilité et de précisions, l'être humain et ses civilisations ont connu dans le passé des bouleversements souvent catastrophiques, non seulement liés aux migrations de peuples envahissant les autres et guerres de territoires, mais le plus souvent liés aux bouleversements climatiques dus aux périodes glaciaires-interglaciaires et aux éruptions volcaniques, séismes et tsunamis (qui sont souvent des conséquences de précédents événements eux-mêmes). Tous ces bouleversements, souvent méconnus, sont découverts de nos jours et apportent un éclairage nouveau sur des disparitions de civilisations ou même d’ethnies humaines et races animales du passé. Un grand nombre de ces données réapparaissent d'endroits aujourd'hui sous les eaux et nous font comprendre et réaliser l'immensité réelle des territoires ainsi perdus et engloutis, et la probabilité que certains territoires aient bien été habités par des milliers, voir des millions d'individus à certaines périodes. L'un de ces énormes endroit disparu est bel et bien en train d'être redécouvert au nord de l'Europe avec la civilisation du Doggerland et ses probables annexes englouties vers l'Ecosse et la Scandinavie. Mes réflexions me font pour l'instant penser que les anomalies récemment découvertes dans la Mer Baltique (attention, ce dossier a commencé en 2012 !) font bien partie de la même période que cette civilisation du néolithique du Doggerland et qu'il s'agit de territoires et paysages possiblement terraformés par l'homme...
Commençons donc déjà cette compilation de données avec celles déjà présentes sur ce site en ordre dispersées, je me propose de les réunir par océans/mers et par coordonnées des parallèles géographiques classiques (adaptable) - notez bien qu'il s'agit de cités ou ruines englouties par les eaux, mais aussi par la jungle parfois ou les boues volcaniques, les sables et également parfois dans des lacs ou fleuves, il est aussi question de vestiges sur des îles...
Retrouvez l'intégralité de ce dossier mis à jour, composé de liens d'articles documentés avec photos et/ou vidéos et cartes au niveau des PAGES ou via ce lien :
Une pierre d'Ica montrant un animal (crapaud ou grenouille, mais les yeux ni les pattes arrières n'y ressemblent pas ?) possédant quatre pattes avec trois doigts
Les pierres gravées d'Ica sont classifiées de diverses façons selon les chercheurs et surtout entre ceux qui refusent de remettre en question des faits établis par la science, en oubliant que des choses très établies à une période peuvent être complétées et même annulées par d'autres découvertes (ce qui se produit très régulièrement car la science est composée essentiellement de théories non figées à 100%, souvent incomplètes ou valables temporairement) et ceux qui ont l'esprit plus ouvert et pour lesquels aucune preuve ne peut réellement figer une science ou une connaissance, dans la mesure ou les lois universelles ne sont pas obligatoirement figées dans le temps et peuvent se modifier. Et aussi le fait que toutes les théories ne peuvent imaginer ou prouver qu'une autre réalité (prouvée des années plus tard) ne rentre pas en conflit avec ces mêmes théories prouvées donc temporairement. Le meilleur exemple est le changement presque radical actuel de la position de la science officielle sur la probabilité de l'existence de civilisations extra-terrestres assez nombreuses dans l'univers, mais aussi pour un autre exemple très récent sur l'acceptation récente de la science sur l'étude mesurable de la possibilité de la survie de la conscience après la mort du corps. Et j'en rajoute une couche quand on entend de très sérieux physiciens diplômés théoriser sur la possibilité que notre univers ne soit en fait qu'une énorme simulation informatique (presque un jeu vidéo !) d'un ancienne civilisation extra-terrestre qui recrée ainsi artificiellement son histoire et ses ancêtres (nous !)... et cette théorie est émise par de très sérieux scientifiques qui, en étudiant les collisions de particules (à l'aide de très puissants ordinateurs-machines à calculer), affirment y découvrir des codes et même des "bugs" mathématiques proches de ce qu'on peut voir dans nos propres codes informatiques...
Bon, je ne cautionne pas spécialement une hypothèse ou un "clan" par rapport à un autre, mais je pense au moins que, pour l'Histoire, ces données font partie des choses à conserver, connaître et compiler éventuellement avec d'autres données... car c'est aussi comme ça que la science peut avancer, non seulement par des comparaisons de données diverses, mais aussi justement par le mélange de plusieurs sciences et connaissances - les nôtres étant probablement trop "cloisonnées" ou "spécialisées" pour appréhender finement certaines réalités, qui nous échappent donc... Nous allons donc commencer par l'historique de ces découvertes (rapidement car il y a eu des livres entiers déjà sur le sujet !), puis la visualisation de certaines de ces pierres, et nous discuterons de certaines hypothèses et contre-hypothèses avant d'en formuler d'autres, sans fermer la porte à toute idée, car c'est obligatoirement improductif et même obscurantiste en final...
Arabie Saoudite : un étonnant site de 10000 ans étudié
Des chercheurs du département d'archéologie de l'Université de York, en Grande-Bretagne, étudient actuellement un site archéologique en Arabie Saoudite, dans la région de Tabouk près de la Mer Rouge, datant de l'âge de pierre, il y a environ dix mille années.
Selon leprofesseur Geoff Bailey, un expert en archéologie arabe, " l'installation est considérée comme l'un des sites archéologiques parmi les plus rares dans le monde, et qui soulève de nombreuses questions scientifiques autour de lui ", tel que rapporté par l'Agence de presse saoudienne, SPA.
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