Une petite compilations d'archives trouvables sur internet sur le thème de l'archéologie mystérieuse, interdite ou parallèle. Tout n'est bien sûr pas à prendre à la lettre, l'archéologie étant surtout une science d'interprétations étayées ou non, mais certains faits ont bien été vérifiés et avérés, certaines recherches ont bien modifié l'Histoire, qui n'est pas figée comme une certaine logique le voudrait...
Voici une découverte de taille! La tombe d'Osiris où le culte des mystères égyptiens fut pratiqué, Hérodote en parla, les grands philosophes grecs y furent initiés, les secrets de la vie s'y révélèrent avec silence. Sa tombe est située sur le plateau de Gizeh, combien de secret cache donc ce plateau ?
Archéologie mystérieuse - La Cité perdue de Krishna 2/2
Dwaraka ! Ville magique et splendide de la grande épopée Hindoue, le Mahabharata ! Oubliée et perdue pendant plus de 5000 ans, la revoilà sortie des eaux où un symbole et une histoire mythique viennent nous rappeler d'où l'on vient, notre histoire a été volée (voir ci-dessous):
Tenochtitlan :
Comment fut fondée la capitale des Aztèques, Tenochtitlan-Mexico. Une histoire où les faits, parfois mal connus, sont teintés de légendes, à commencer par le long pèlerinage du peuple aztèque, premier fondateur de la cité. La prophétie de Huitzilopochtli : Le mot « aztèque » signifie « personne qui vient de Aztlán ». Aztlán serait une île dont la localisation n’a pu être établie avec certitude. On pense qu’elle a dû se trouver quelque part dans le centre-ouest du Mexique, probablement dans les états de Michoacán ou de Nayarit.
Les aztèques étaient polythéistes. Leur principale divinité s’appelait Huitzilopochtli, le dieu soleil. Un jour, Huitzilopochtli ordonna à son peuple d’aller bâtir un royaume sur des terres nouvelles. Il leur donna comme consigne d’aller explorer les contrées de l’est et de construire une cité à l’endroit précis où ils apercevraient « un aigle dressé sur un nopal, dévorant un serpent, les ailes déployées ».
Codex Mendoza - Le symbole de Tenochtitlan au centre, surmonté de l'aigle aux ailes déployées.
C’est ainsi que, forts de ces indications, nos amis aztèques abandonnèrent Aztlán et commencèrent leur pèlerinage, à la recherche de ce fameux aigle. La route fut longue, très longue, certains prétendent que le pèlerinage aurait duré 165 ans !!! Bien entendu, les aztèques s’arrêtèrent périodiquement, construisirent des villes, se sédentarisant pendant quelques années avant de reprendre leur chemin. Parfois ils durent s’en-aller de force, chassés par les tribus voisines qui ne supportaient pas leurs coutumes barbares. Ce voyage interminable fut également à l’origine de conflits internes, entre ceux qui voulaient rester fidèles à la prédiction de Huitzilopochtli et continuer à chercher le signe annoncé par leur dieu, et ceux qui souhaitaient s’établir une fois pour toute. L’un des conflits les plus importants eut lieu à Coatepec, dans la vallée de Mexico, donnant lieu à une bataille entre ceux que l’on pourrait appeler les « fidèles » et ceux que l’on pourrait appeler les « rebelles ». Les fidèles gagnèrent la bataille et changèrent le nom de leur peuple en « Mexicas ».
On estime que c’est le 26 juillet 1325 que les Mexicas virent se réaliser la prophétie. Ils aperçurent l’aigle sur un îlot au milieu du lac Texcoco. La région était hostile et marécageuse, mais la consigne divine étant ce qu’elle était, c’est là qu’ils fondèrent ce qui allait devenir la capitale de l’immense empire aztèque, México-Tenochtitlan. « Tenochtitlan » signifie « lieu de tunas sur la pierre », la tuna étant le fruit du nopal.
Les Mexicas nouèrent des alliances avec deux des villes les plus proches, Texcoco et Tlacopan, qui furent les prémices d’une longue série de conquêtes militaires. Vers 1500, les aztèques étaient le peuple le plus puissant de la Mésoamérique, et Tenochtitlan faisait partie des plus grandes villes du monde. D’après les estimations, elle devait compter entre 150 000 et 250 000 habitants. Le système politique des Mexicas était celle d’une monarchie élective : un conseil se chargeait d’élire l’empereur, lequel recevait un pouvoir absolu et sans restrictions.
Plan de México-Tenochtitlan réalisé par Friedrich Peypus (1485–1534), probablement à partir d’un dessin réalisé par un homme d’Hernan Cortes. On retrouve le symbole de l'aigle sur le drapeau mexicain.
Les chroniqueurs espagnols racontèrent, à l’époque de la conquête, que Tenochtitlan était une cité très bien organisée, partiellement construite sur l’eau (un peu à la manière de Venise), parfaitement symétrique (un fonctionnaire était spécialement chargé d’approuver et de superviser toute nouvelle construction) et propre (environs 1000 personnes s’occupaient de l’entretien). Les aztèques durent en outre redoubler d’ingéniosité afin de mettre en place des cultures dans un environnement qui n’était pas vraiment favorable au départ. Ils furent en particulier capables de cultiver à même la surface du lac, grâce à un système de parcelles de terre soutenues par des pilotis. https://www.la-vida-au-mexique.com/fondation-mexico-tenochtitlan/
Mésopotamie - Les origines de notre civilisation
La Bibliothèque d'Alexandrie
Perse - un monde oublié
Babylone - un monde oublié
ARCHÉOLOGIE. Une étrange anomalie sur l'os de l'Homme de Tourville
Cet os appartenait à un individu, pré-Néandertalien, qui vivait il y a entre 236.000 et 183.000 ans. Il porte une anomalie en forme de crête. Pourquoi ? La réponse de Bruno Maureille, paléoanthropologue, directeur de recherche (CNRS, Inrap).
Archéologie : Artefacts, Spirales impossibles
Archeologie Presence Des Extraterrestres 1/2
Archeologie Presence Des Extraterrestres 2/2
L' Archéologie interdite : de l'Atlantide au Sphinx (Par 1)
Des découvertes récentes laissent penser que le Grand Sphinx de Gizeh, en Egypte, daterait de plus de dix mille ans avant notre ère, soit plusieurs milliers d'années avant la plus ancienne civilisation connue de l'histoire humaine. Mais comment a-t-on pu réaliser ce tour de force architectural à une époque aussi reculée. En Amérique du Sud, les inscriptions laissées par la civilisation toltèque révèlent d'incroyables connaissances astronimiques et mathématiques. Comment un tel savoir est-il apparu chez un peuple qui ignorait l'usage de la roue? Utilisées par les marins du XVe siècle, les antiques cartes de Pri Re'is comportent des tracés d'une précision inconnue en ces temps. D'après quelles sources ont-elles été établies? Passant en revue de nombreux faits troublants et toujours inexpliqués par l'archéologie officielle, Colin Wilson démontre que l'humanité et la culture pourraient être bien plus anciennes qu'on ne l'imagine.
L' Archéologie interdite : de l'Atlantide au Sphinx (Part 2)
Yves Herbo, Sciences-Faits-Histoires, 25-12-2014, MAJ vidéos 05-2019
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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