Auvergne, France : un autre alignement de monolithes découvert par hasard
Si je parle d'un "autre" alignement de monolithes en Auvergne, c'est bien qu'il y a dans les archives du 19ème siècle des mentions sur l'étude de deux groupes de monolithes du côté de Montluçon... monolithes sur et reliant les actuelles communes de Saint Martinien et de Quinssaines...
Plusieurs magazines, journaux et sites internet ont publié récemment sur cette découverte annoncée fin août 2019 par l'INRAP (Institut national des recherches archéologiques préventives), avec cependant une affirmation probablement fausse en ce qui concerne le fait que ce serait le premier et unique alignement découvert en Auvergne et le Centre de la France (YH : je rappelle tout de même ici que la Région Centre est au nord de la Région Auvergne-Rhone-Alpes, et que ce sont bien trois villages du Cher qui revendiquent ce titre (avec des stèles géographiques), pour un dans l'Allier. Et pour d'autres, c'est Bourges... bon, peu importe d'ailleurs car le plus grave est cette fausse idée de Gaulois étant à l'origine des menhirs et dolmens - ce cher Obelix est un détournement (ou raccourci de plusieurs milliers d'années) de l'Histoire !). Je vais d'abord parler de cette découverte annoncée fin août, qui est bien entendu extraordinaire et riche archéologiquement parlant, puis je parlerai des groupes de monolithes découverts près de Montluçon (en Auvergne donc !) et décrits dans un ouvrage du début du 19ème siècle et aussi mentionnés lors des comptes-rendus archéologiques du Congrès archéologique de Moulins en 1834... En vous disant tout de suite que pratiquement tous ces monolithes ont disparu depuis (tout comme au moins un autre alignement dans le Jura)... ce qui explique probablement cette annonce de l'INRAP.
J'ajouterai que si les célèbres alignements de Carnac en Bretagne sont de loin les plus célèbres en France, il en existe d'autres, dans le Jura, dans les Cévennes et en Corse. En fait, il est assez probable qu'il en existait un peu partout en France et en Europe... sans parler d'autres pays lointains comme le Japon ou le Moyen-Orient !
De plus, il y a d'autres études récentes qui montrent bien des alignements de monolithes (et visibles du ciel) dans la région, j'en parlerai aussi, même s'ils sont moins spectaculaires, et semblent délimiter des territoires de tribus ou anciennes communautés... avec probablement aussi des monolithes disparus ou enterrés, débités pour servir aux constructions ou autres...
La récente découverte : Dans le cadre des travaux d’élargissement de l’autoroute A75, par la société APRR, une équipe de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) a découvert une série d’alignements de menhirs à Veyre-Monton, entre Clermont-Ferrand et Issoire.
Les fouilles qui se sont déroulées sur 1,6 hectare, ont révélé une trentaine de monolithes, de 1,60 m entre novembre 2018 et mai 2019.
« Ces menhirs forment un alignement plus ou moins rectiligne s’étirant sur 150 m dans l’emprise de la fouille. Ils sont bordés d’un autre alignement de gros blocs de pierre, dans la continuité duquel cinq pierres composent un ensemble en fer à cheval alors que six blocs, régulièrement espacés, forment un cercle de 15 m de diamètre », détaille la responsable scientifique de la fouille Ivy Thomson qui a travaillé avec une dizaine d’archéologues sur le chantier.
Alignement de menhirs et cairn de Veyre-Monton. Crédit Denis Gliksman, Inrap - (cliquer pour agrandir l'image).
Comme d'autres monuments en France, dont Belz dans le Morbihan où une cinquantaine de menhirs ont été mis au jour en 2006, les menhirs de Veyre-Monton ont été abattus afin de les faire disparaître du paysage : « Poussés dans de grandes fosses, parfois mutilés ou recouverts de terre, ces monolithes ont fait l’objet de gestes iconoclastes, sorte de condamnation peut-être liée à quelque changement de communauté ou de croyances » suppose Ivy Thomson. YH : Dans la mesure où il n'y a pas pour l'instant de datations en ce qui concerne cette disparition volontaire, il pourrait tout aussi bien s'agit de l'action concertée de l'Eglise Chrétienne (qui a construit des chapelles au-dessus des anciens sites "païens" (avec possiblement toujours des menhirs et dolmens ensevelis dessous), a récupéré certains monolithes pour leurs constructions, transformés certains monolithes en croix ou apposé des croix au-dessus de certains monolithes. Et quand ces lieux n'étaient pas utiles ou récupérables, ils étaient détruits et enterrés. Les paysans ont aussi beaucoup pratiqué l'ensevelissement ou le retrait de monolithes dans leurs champs (et réutilisations pour leurs constructions), partout en France et en Europe, (et encore probablement actuellement...), appuyés d'ailleurs par les religieux et l'éducation nationale qui n'a jamais sensibilisé les jeunes sur ce sujet.
Lire la suite ci-dessous :
Cet ensemble évoque de prime abord les grands monuments mégalithiques armoricains, celui de Carnac notamment, mais il s’insère dans un dense maillage d’expressions mégalithiques présentes dans toute l’Europe occidentale. YH : et ailleurs... et notons que cet alignement auvergnat a un axe Nord-Sud et les plus grands menhirs sont principalement en haut de pente au nord, les plus petits, moins espacés, au sud.
Sculpture menhir de Veyre-Monton Crédit Nina Parisot, INRAP (cliquer pour agrandir l'image).
Une statue anthropomorphe. Au sein de l’alignement principal, l’un des menhirs se distingue par la nature calcaire de sa roche et par le fait qu’il soit sculpté. « Il s'agit d'une statue anthropomorphe, confirme Ivy Thomson, on distingue une éminence arrondie qui fait office de tête, posée sur deux épaules sommairement dégrossies. Sous les seins, on peut deviner des enlèvements symétriques, très érodés qui ressembleraient à des avant-bras posés sur l'abdomen». Cette statue menhir est, actuellement, le seul exemplaire connu en Auvergne. YH : mais pas unique en France. Cette configuration d'avant-bras posés sur l'abdomen ressemble à de nombreuses statues découvertes dans le monde entier, y compris sur l'île de pâques et le très ancien site préhistorique de Gobekli Tepe en Turquie actuelle...
Statues de l'île de Pâques en haut, statue-pilier de Gobekli Tepe en bas
Sépulture monumentale. Le cairn de 14 m de long et 6,5 m de large (monticule de pierres fait par l’homme), est construit autour d’une tombe. Cette sépulture accueille les restes d’un homme de grande taille. Son corps était protégé par un réceptacle de bois aujourd’hui disparu. Au vu de leurs dimensions, certains de ces blocs peuvent correspondre à des menhirs déplacés, voire volontairement fragmentés. Sa hauteur d'origine n'est pas précisée, car il a été arasé à un moment ou l'autre de l'Histoire. Aucun objet, aucun bijou n'a été retrouvé qui aurait permis d'identifier ou de dater l'heureux propriétaire du cairn. Pour connaître son âge, il faudra attendre une datation au carbone. Une attente de 4 mois, car le laboratoire de Lyon a plus urgent à dater.
La sépulture accueille les restes d’un homme de grande taille. Crédit Denis Gliksman. (cliquer pour agrandir l'image).
Des pierres aux origines multiples ? 30 tonnes de pierres, transportées sur quelques kilomètres, ont été nécessaires à l’édification du cairn. Les menhirs de basalte proviennent de différentes origines. Leur poids inférieur à la tonne, n’implique pas forcément de prouesse technique pour leur transport. Entre autres hypothèses, « on peut envisager que différentes communautés aient contribué à l’alignement en acheminant des pierres provenant de leur territoire. Deux des sites d’extraction possibles, les plateaux du Crest et de Corent, sont d’importants lieux d’occupation durant le Néolithique et la Protohistoire », explique le communiqué de l’Inrap. YH : voir la récente découverte sur le plateau de Corent avec le lien ci-dessus).
Au premier plan, les restes d'un homme. Crédit : Inrap (cliquer pour agrandir l'image).
Chronologie à préciser. Alors que les sites archéologiques d’habitat livrent des objets qui permettent de définir précisément leur période d’occupation, le site de Veyre-Monton est pauvre en la matière. La chronologie précise des occupations demeure par conséquent à établir sur la base d’analyses à venir, en particulier par le radiocarbone, que ce soit sur le squelette de l’individu occupant le centre du cairn ou sur les rares restes de faune. Pour l’heure, les éléments de comparaison permettent de situer l’occupation principale du site au sein d’une période couvrant plusieurs millénaires, du Néolithique à l’âge du Bronze. « Entre -800 et -4000 ans », murmure Ivy Thomson après avoir été repoussé dans ses retranchements. Les monolithes ont été transportés dans les locaux de l’Inrap à Clermont. Les archéologues ont désormais deux ans pour les étudier et notamment réaliser la datation. Avant d’être un jour présenté aux Puydômois.
Monolithe de calcaire encore partiellement dressé, fragmenté sur place. Crédit Denis Gliksman, Inrap - (cliquer pour agrandir l'image)
Deux groupes de monolithes (menhirs) ont été décrits par le Docteur Bataillon dans un ouvrage publié au début du 19ème siècle, ces monolithes étant situés sur et entre les communes de Saint-Martinien et de Quinssaines (vers Montluçon donc, en Auvergne, Allier). Mr Georges de Soultrait en reparle lors des comptes-rendus archéologiques du Congrès Archéologique de Moulins en 1834...
Mes recherches ne font pour l'instant état que d'un seul de ces monolithes qui aurait survécu depuis le 19ème siècle : Un grand monolithe de 4 mètre 60 encore décrit sur des sites internet, situé à Saint-Martinien, sans aucune photo trouvable. C'est assez étonnant et fait un peu penser à une certaine obstruction locale, peut-être pour cacher le fait que ces alignements aient été enlevés volontairement par ces communes au 20ème siècle, pour une réutilisation ou par des agriculteurs... Je ne veux accuser personne mais il y a de quoi avoir des soupçons, surtout quand on voit la mentalité très "fermée" de certaines communautés locales (avec le même problème du côté de... Glauzel, manifestement...).
Extrait du 24ème congrès archéologique de France (Moulins 1834) :
" Quoi qu'il en soit, M. de Soultrait parle des pierres celtiques, ou soi-disant telles, qu'il a examinées aux environs de Montluçon, dans les communes de Quinssaines et de St.-Martinien ; ces pierres énormes forment surtout deux groupes dans lesquels M. le docteur Baraillon, (qui a publié, au commencement de ce siècle, un ouvrage sur les antiquités des départements de l'Allier et de la Creuse, dans lesquels, dit-il, M. Baraillon a vu beaucoup de choses. L'orateur annonce avoir été moins heureux et avoir constaté seulement la présence de blocs de pierres, évidemment portés là par les hommes, à une époque quelconque, pour une raison ou pour une autre; et avoir vu sur deux de ces blocs de petites cavités oblongues et peu profondes, pratiquées au ciseau, et disposées sur une même ligne; il avoue ne pouvoir rien proposer pour l'explication de ces cavités. M. de Caumont montre à l'Assemblée plusieurs dessins de monuments celtiques qui lui ont été communiqués par M. Desrosiers. M. le comte de l'Estoille dit que ces dessins sont l'œuvre du docteur Dufour, antiquaire zélé, qui parcourut et étudia les monuments du Bourbonnais à la fin du XVIIIéme siècle et au commencemenl du XIX ".... "
Localisation et itinéraire vers :Menhir de savernat à St-Martinien : Notons que ce menhir décrit comme étant le menhir de Savernat se situe bien entre St-Martinien et Quinssaines : " Mégalithe de 4 mètres de haut et plusieurs mètres de long semble avoir été dressé volontairement. Lors de fouille, des fragments d’une urne funéraire en verre bleuté ont été découverts ce qui laissent à penser qu’il y avait là d’anciennes sépultures. " : voir la carte et lien ci-dessous :
Ajout de dernière minute : j'ai trouvé ce document daté de 2018, et qui concerne Quinssaines, où il est bien question de monolithes en nombre... et qui risquent de disparaître suite à cette nouvelle implentation en cours (document long à charger) :
Si les estimations ont recensé plus de 7 740 dolmens et menhirs en France, on aurait géolocalisé 340 mégalithes en région Centre. Les estimations sont que ces chiffres ne représentent plus que 40% des monolithes ayant existé en France...
Les recherches de Quentin Leplat : " Tout commence, comme souvent, par un questionnement simple : quelle est la raison de l’emplacement étonnant des petites chapelles auvergnates de Brionnet ou de St-Floret, au pied du massif volcanique du Sancy ? Ces monuments trônent au-dessus de la vallée… pourquoi les a-t-on construits en de pareils endroits ? Pour la vue imprenable ? Pour se rapprocher du soleil ? Et s’il existait une toute autre explication ? Et si ces chapelles avaient été construites sur l’emplacement de monuments encore plus anciens, comme les dolmens ou les menhirs, par exemple ?
En s’appuyant sur les principes de la première architecture monumentale découverts pas Howard Crowhurst (chercheur britannique vivant près de Carnac) Quentin Leplat nous partage dans son film ses dernières découvertes, dont une première constatation de taille : l’emplacement des mégalithes dans la région n’a pas été choisi en vain… au contraire, leur implantation résulte d’un plan extrêmement bien pensé où il semble qu’aucun détail ne fut laissé au hasard. L’organisation spatiale des dolmens et des menhirs sur tout le territoire repose sur des principes géométriques simples mais d’une très grande finesse, et le niveau de précision avec lequel ces constructions furent réalisées dépasse celui des scientifiques du 19ème siècle… nous commençons à peine à pouvoir l’apprécier à sa juste valeur à l’aide de nos outils modernes. En tentant d’apporter des réponses à sa question initiale, l’auteur nous entraîne dans une enquête fabuleuse à travers l’espace et le temps… à ses côtés, nous découvrons que les chapelles les plus importantes de la région furent bâties à l’époque selon les mêmes principes et le même degré de précision que les structures mégalithiques. Pourtant, ce degré de précision n’était pas censé exister à cette époque… les cartes de Cassini, datant du 16ème siècle, nous en fournissent d’ailleurs la preuve. À vrai dire, seuls les peuples ayant érigé les dolmens et les menhirs avaient démontré jusqu’ici un tel niveau de compétences et un tel savoir-faire dans l’organisation spatiale des monuments sur d’aussi longues distances. "
C'est lors d'un meeting scientifique qui s'est déroulé en décembre 2018 qu'une publication importante, concernant Gunung Padang, est passée assez inaperçue pendant les fêtes.
Après des années de fouilles et de recherches scientifiques, la nouvelle publication du Dr géologue Danny Hilman Natawidjaja (Indonesian Institute of Sciences) vient étoffer ses précédentes analyses sur l'artificialité d'une grande partie du site...
Voici le résumé de cette publication accompagnée d'un PDF plus bas : " Le site archéologique du mont Padang est connu depuis la fin du XIXe siècle comme ayant un complexe mégalithique au sommet. Nos études prouvent que la structure ne couvre pas seulement le sommet mais qu’elle enveloppe également les pentes sur une superficie d’au moins 15 hectares.
Des études géophysiques complètes combinant des méthodes de radar de pénétration du sol (GPR) et de résistivité multicanal, une tomographie sismique complétée par des données de carottage et des fouilles archéologiques, montrent par ailleurs que les structures sont non seulement superficielles mais enracinées plus profondément. Les structures ne sont pas construites en une fois, mais consistent en plusieurs couches de périodes consécutives.
La couche la plus élevée de la surface est constituée de piles horizontales de roches en colonnes basaltiques formant des terrasses en escalier et décorées par des arrangements exotiques de colonnes rocheuses dressées formant des murs, des chemins et des espaces.
La deuxième couche, qui avait été précédemment interprétée à tort comme une formation rocheuse naturelle, enfouie à 1 à 3 mètres sous la surface du sol, est un remblai de plusieurs mètres d'épaisseur consistant en un agencement plus compact et plus avancé de roches en colonnes similaires dans une matrice à grains fins.
cet artefact, nommé " Kujang " par les Sundanais, a été découvert à 3 mètres de profondeur, à la limite du sol de la seconde couche, a été daté à entre 9770 et 9550 ans avant maintenant calibrés.
La troisième couche est également un arrangement artificiel de fragments de roche avec des types variés allant jusqu’à environ 15 mètres de profondeur. La troisième coucherepose sur une langue de lave fracturée et massive. L'enquête révèle également des preuves de grandes cavités ou chambres souterraines.
Les résultats de la datation préliminaire au radiocarbone indiquent :
Motza, Israel, découverte d'une cité préhistorique MAJ 08-2019
Reportage par Ilan Rosenberg et Ari Rabinovitch - Nir Elias
MOTZA, Israël (Reuters) - Une énorme colonie préhistorique découverte près de Jérusalem par des archéologues israéliens offre un nouvel aperçu du développement des civilisations à la fin de l'âge de pierre. La métropole, vieille de 9 000 ans, découverte lors d'une enquête menée avant la construction d'une nouvelle autoroute, est l'une des plus grandes jamais découvertes, a déclaré mardi l'autorité israélienne des antiquités.
L'équipe a estimé que 2 000 à 3 000 personnes y vivaient, ce qui correspondrait à une ville par rapport aux normes modernes. Il couvrait des dizaines d'acres près de l'actuelle ville de Motza, à environ cinq kilomètres à l'ouest de Jérusalem.
Avant la découverte, on pensait généralement que toute la région était inhabitée au cours de cette période, au cours de laquelle les gens délaissaient la chasse pour leur survie pour adopter un mode de vie plus sédentaire comprenant l'agriculture.
Japon: Analyse ADN d'une femme Jomon âgée de 3 800 ans
Plus de deux décennies après que les chercheurs aient découvert les restes d'une "femme Jomon" âgés de 3 800 ans à Hokkaido, au Japon, ils ont finalement déchiffré ses secrets génétiques.
Et il s'avère que, de ce point de vue, elle a l'air très différente des habitants du Japon d'aujourd'hui. La femme, qui était âgée à sa mort, avait une tolérance élevée à l'alcool, contrairement à certains Japonais modernes, a révélé une analyse génétique. Elle avait également une peau et des yeux moyennement foncés et une possibilité accrue de développer des taches de rousseur.
Étonnamment, l'ancienne femme partageait une variante du gène avec des habitants de l'Arctique, une variante qui aide les gens à digérer les aliments riches en gras. Cette variante est présente dans plus de 70% de la population arctique, mais elle est absente ailleurs, a déclaré le premier auteur de l'étude, Hideaki Kanzawa, conservateur de l'anthropologie au Musée national de la nature et des sciences à Tokyo.
Cette variante fournit une preuve supplémentaire que le peuple Jomon a pêché et chassé des animaux marins et marins gras, a déclaré Kanzawa.
" Les habitants d'Hokkaido Jomon se livraient à la chasse [non seulement] d'animaux terrestres, comme le cerf et le sanglier, mais aussi à la pêche en mer et à la chasse au phoque à fourrure, aux otaries de Steller, aux otaries, aux dauphins, au saumon et à la truite ", a déclaré Kanzawa. " En particulier, de nombreux vestiges liés à la chasse aux animaux marins ont été mis au jour sur le site de Funadomari ", où la femme Jomon a été retrouvée.
Qui est la femme Jomon ?
Questions / Réponses
Aucune question. Soyez le premier à poser une question.