A l'occasion de l'annonce d'un grand nombre de conférences (avec la diffusion en certains endroits du film) concernant les recherches et ce documentaire de Patrice Pouillard (Jayan Films), s'appuyant sur les expériences professionnelles de plusieurs scientifiques ou spécialistes, j'ai décidé d'en parler ici, ce site étant aussi une plate-forme culturelle de libre expression, liberté que certains voudraient revoir mise en cause, sous couvert de fake-news ou de complotisme modernes, alors que ces choses ont existé pratiquement dès l'invention de la presse (et que les complots politiques ou historiques font bien 80% de notre Histoire connue - qui ne retient d'ailleurs pratiquement que ça, les périodes de paix étant... assez inintéressantes !).
On n'est pas obligatoirement d'accord avec toutes les hypothèses présentées dans ce documentaire (il est même impossible d'ailleurs d'être d'accord avec tout et tous, y compris la science, qui se trompe aussi assez souvent quand on compare ce qu'on appris à l'école et les réalités d'aujourd'hui), mais il y a indéniablement des choses très intéressantes (la connaissance des propriétés acoustiques, et même de propriétés magnétiques a été démontrée très sérieusement par des scientifiques en Amérique Latine, par exemple). Et ce sont aussi de magnifiques images et paysages, qui méritent à eux seuls une visualisation de ce documentaire, qui pose plus de questions que de réponses, comme souvent.
Voici pour commencer la liste des conférences organisées pour les mois de mars et avril 2020, conférences où il sera possible de débattre et poser des questions, un descriptif du film et des images sont proposées plus bas :
Nagarjuni - Cliquez pour agrandir l'image - Crédit : Jayan films
Voir la suite ci-dessous :
J'ai bien sur visualisé ce film, ainsi que plusieurs interviews de chercheurs et spécialistes professionnels (disponibles en bonus dans les dvd ou plateformes) et, en plus de magnifiques images de lieux tout autour de la planète, il pose la question sur l'existence ou non, dans des temps reculés, d'une civilisation mondiale ayant des capacités spirituelles et techniques bien plus élaborées que nous le pensons actuellement. En fait, si on y réfléchit même avec une logique prudente, le fait établi que notre espèce est bien apparue il y a au minimum 300 000 ans (découvertes récentes au Maroc), et notre espèce a évolué sur une période énorme en tant que chasseur-cueilleur, héritant des connaissances sur l'utilisation de la pierre de ses prédécesseurs et les améliorant. Cette période s'établie à l'heure actuelle donc de -300 000 ans à environ - 10 000 ans AV. J.-C. selon les endroits du monde (ce processus de néolithisation varie entre peut-être 10 000 ans av. J.-C. en Mélanésie et 2 500 ans av. J.-C. en Afrique subsaharienne. Certains chercheurs considèrent que les développements de 9000-7000 av. J.-C. dans le Croissant fertile sont les plus importants). Les raisons profondes de cette subite néolithisation, après une si longue période de temps, sont encore inconnues dans les faits. On sait pourtant que les chasseurs-cueilleurs, quelques milliers d'années plus tôt, utilisaient et moissonnaient déjà des céréales sauvages. Puis, subitement dans certaines régions (le Croissant fertile, Anatolie principalement, mais aussi Asie pour d'autres denrées), l'agriculture et l'élevage sont apparus, se sont intensifiés et se sont répandus dans le monde.
Beaucoup de chercheurs supposent une raison climatique, liée à la fin de la dernière glaciation, ce qui est mis en doute par d'autres chercheurs de part le fait qu'à cerveau égal (le processus et durée menant d'un homme archaïque (-300 000 ans) à l'homme moderne (-210 000 ans actuellement ?) sont encore inconnus, mais une telle mutation peut se faire très rapidement selon certaines études, et encore plus rapidement dans les temps passés qu'actuellement (http://lhommeenquestions.museedelhomme.fr/fr/homme-continue-t-il-evoluer-genetiquement-1). Le problème aussi, c'est que les chasseurs-cueilleurs en question n'ont pas fait que subir la dernière glaciation, mais celle d'avant aussi : une telle "néolithisation" aurait-elle pu donc se produire (sous d'autres formes) dans des temps bien plus reculés, amenant à une civilisation mondiale plus élaborée spirituellement et techniquement, mais ayant été effacée au cours du temps (catastrophe, problèmes génétiques ou autres) ?. Ou même, certains de nos cousins encore plus anciens avec lesquels nous nous sommes croisés ensuite (néandertal, denisovien et autre encore inconnu mais détecté peut-être en Afrique de l'ouest récemment ?) auraient-ils pu évoluer vers une telle civilisation, qui aurait disparue ? On sait maintenant que ces cousins génétiques étaient en fait d'une intelligence comparable à la nôtre et capables de grandes choses (l'art néandertalien est maintenant reconnu, ainsi que des constructions élaborées découvertes en France). Une chose est également très étonnantes, et provenant des études des symboles, pétroglyphes et gravures préhistoriques : on trouve quasiment les mêmes dans plusieurs parties du monde, extrêmement éloignées souvent les uns des autres. Et ces peintures attribuées à l'homme moderne (les néandertaliennes sont plus anciennes) remontent en grande partie à environ 45 000 ans pour les plus anciennes identifiées (Indonésie pour l'instant), alors que les "Vénus", ces statuettes représentant la "déesse-mère" remontent à plus de 38 000 ans pour la plus ancienne connue à ce jour, et ont été trouvées tant en Afrique qu'en Europe et Asie. Le symbolisme est apparu plus tard à priori, mais on le trouve à l'identique pratiquement dans le monde entier, y compris les Amériques.
Quoiqu'il en soit, les choses évoluent de plus en plus dans le même sens et de nombreux scientifiques commencent à admettre cette possibilité, honnêtement. Je pense personnellement qu'une telle civilisation mondiale a bien existé (les théories sur des petits groupes de chasseurs-cueilleurs divisés en tribus ne reposent sur pas grand chose en fait), et que cette civilisation, utilisant principalement le bois et certains travaux de pierres archaïques ayant évoluée dans le temps, a disparu lors d'une catastrophe touchant son point central, mais a pu donner des bribes de ses savoirs spirituels et techniques, non seulement à ses survivants probables, mais au reste du monde, petit à petit. Le chamanisme mondial est un héritage de ses connaissances spirituelles et probablement liées aux ondes diverses, naturelles et apprises sur une grande durée, le travail de la pierre et du bois est logiquement un héritage également. Bon, passons des suppositions au film en question.
Barabar - Cliquez pour agrandir l'image - Crédit : Jayan films
Le film propose de vous faire voyager de l'île de Paques à l'Inde en passant par l'Egypte, le Pérou, la Bolivie, la Turquie, la Grèce et le Cambodge. La question prioritaire est bien : Sommes-nous vraiment la première civilisation avancée de la Terre ?
" C'est la question qu'on peut et qu'on doit sérieusement se poser face aux incohérences et aux contradictions des hypothèses courantes, aux études in situ, aux résultats des relevés de terrain obtenus par l'utilisation de techniques de pointe (rugosimètre, SCAN 3D, LiDAR), ainsi qu'aux étonnantes similitudes architecturales et symboliques de certaines sociétés anciennes. Au cours de ce film haletant, une enquêtrice interroge scientifiques, ingénieurs et experts afin de comprendre ".
Les sites sont tous étudiés ou visités, mais une attention particulière est apportée aux grottes étonnantes de Barabar et de Nagarjuni, en Inde. Une partie de ces grottes est étonnamment lisse pour du granit, celles-ci étant considérées comme les plus anciennes de l'Inde. Elles auraient été réalisées entre le IIIème et le IIème siècle avant notre ère, soit il y a environ 2300 ans, par le peuple Maurya, dirigé à l'époque par le roi Ashoka. Le problème est que les archéologues, faute de mieux, n'ont pu se baser que sur quelques inscriptions gravées à l'entrée de trois d'entre elles. Il y a 7 grottes artificielles sur les sites de Barabar et de Nagarjuni à proximité, et sont situées dans la région de Makhdumpur du District de Jehanabad, Bihar, Inde, 24 km au nord de Gaya. Il existe deux autres grottes très anciennes, se trouvant à Rajgir et à proximité, nommées Son Bhandar et Sitamarhi, qui n'ont pas d'inscriptions Maurya, mais partagent avec les grottes de Barabar une structure similaire et une finition de granite poli. Notons tout de suite que les archéologues, partout dans le monde, ont trouvé de nombreuses preuves de réutilisations de grottes et sites, de la préhistoire à nos jours, ce qui est très logique en soi.
En l'absence de données archéologiques sur les sites, la seule solution est donc de supposer que ces inscriptions (de piètre qualité et creusées directement dans le gratine après un travail de polissage de moins bonne qualité que les intérieurs) ont été faites juste après la finition de ces grottes artificielles, et à s'en référer à l'histoire assez connue du roi Ashoka et successeurs. Notons aussi que ces grottes sont uniques en Inde. Le géologue et ethno-minéralogiste Erik Gonthier était aussi sur place lors de cette visite de trois jours, et nous apprend, au sujet de ce granit présent dans les grottes, possède des duretés variables (échelle de Mohs) relatives à ses trois composants habituels : 2.0 à 4.0 pour le mica, 6.0 à 6.5 pour le felspath et 7.0 pour le quartz, soit un peu au-delà de la dureté de l'acier trempé, qui s'émousse rapidement lorsqu'on l'utilise pour tailler cette roche. Après, tout est une question de proportions de ces espèces minérales distinctes, ce qui prévaut aussi pour la couleur générale de cette roche. " Cela influe aussi et bien évidemment sur les manières de travailler la matière première " dit Mr Gonthier. Ce qui est confirmé par la suite par le Compagnon tailleur de pierre Jean-Louis Boistel (interviewé dans l'un des bonus du film) : ce genre de travail ne s'improvise pas et nécessite de passer maître dans la taille d'une roche dure et hétérogène comme l'est le granit, donc de nombreuses années de pratique. On ne taille pas avec la même facilité un minéral de dureté 4 comme le mica le plus dur, qu'un de dureté 7 comme le quartz, pourtant conjointement liés dans le granite. La question serait donc aussi de comprendre pourquoi de tels maîtres en la matière auraient passé des années à apprendre (et par qui ? - une hypothèse des années 1980 serait que cette pratique (et ces grottes possiblement ?) aurait été amenée par les artisans de Alexandre le Grand en 330 av. J-C et le déplacement d'artistes et de techniciens Perse et Perso-Grecs, lors de la conquête. Et dans tous les cas, cette pratique disparaît aussi après la chute des Maurya éventuels (qui n'existaient pas encore en -330 et ont disparu vers - 185), comme si tout savoir avait disparu avec eux à ce sujet. Notons que l'archéologue John C. Huntington admet que les datations et attributions à Ashoka ne sont que des hypothèses plausibles et non une certitude. Ainsi, on trouve dans la grotte de Karan Chopar d'autres inscriptions que celles de l'entrée, réalisées, selon les spécialistes, plusieurs siècles après le règne d'Ashoka - et on ne peut parler de plusieurs siècles en ce qui concerne les Maurya d'ailleurs ensuite: C'est dans l'usage de graver des inscriptions sur les parois d'une grotte sans en être l'auteur. Sachant que, historiquement, Ashoka a envoyé des émissaires dans toute l'Inde (et Nepal aussi) graver ses édits sur les piliers et monuments (et répandre le Bouddhisme), il se pourrait que toutes les premières inscriptions n'aient rien à voir avec les réels auteurs de ces grottes !
Barabar - Cliquez pour agrandir l'image - Crédit : Jayan films
Je passerai sur le fait que plusieurs de ces grottes sont inachevées ou comportent un travail bien moins soigné, comme si des tentatives d’imitations avaient été faites, en vain. Les explications historiques à ce sujet ne correspondent pas à toutes ces grottes inachevées. La visite de plusieurs de ces grottes est passionnante et impressionnante. Lors des études de mesures et de rugosité, Mr Erik Gonthier utilise d'abord son rugisomètre et deux télémètres lasers mais s'aperçoit assez rapidement d'un problème : les parois ne sont pas strictement verticales, mais inclinées selon un angle de moins de 3°, ce qui ne se voit pas à l’œil nu : ceci explique l'absence total d'écho dans cette grotte. Mais aussi que l'utilisation des télémètres lasers ne peuvent donner un résultat précis, puisque cet angle génère obligatoirement une imprécision sur la paroi d'en face, les appareils étant eux-même légèrement penchés. La seule solution pour effectuer son travail professionnel rigoureusement, est de faire des scans 3D de toutes ces 5 grottes polies comme des miroirs. Long travail de trois à cinq séances de vingt minutes chacune pour chaque grotte. Ce travail est uniquement composé de points déterminés par les impacts des lasers balayés dans toutes les directions, afin d'obtenir un scan en trois dimensions analysable. Ce genre de travail est effectué par plusieurs équipes scientifiques dans le monde, afin de pouvoir reconstituer en 3D d'anciennes ruines ou temples par exemple, y compris sous l'eau pour certaines cités englouties reconstituées ainsi (Pavlopetrie par exemple).
Les conclusions provisoires, car d'autres analyses et études doivent être faites sous peu, sont que ces salles ont été creusées dans du granite, une roche aussi dure que l'acier trempé et donc très difficile à travailler. On sait que les Maurya avaient probablement les outils et capacité de le faire, mais certainement pas à un degré de précision tel que relevé sur ces parois lisses comme le verre, puisque ces premières analyses, qui vont être affinées par d'autres, montrent déjà un écart étonnant de 2 mm à 7 mm seulement...
Les voûtes de ces grottes sont des portions exactes de cylindres et si on les compare au seul porche bouddhiste (attribué logiquement aux Mauryas) présent, les grottes sont largement supérieures géométriquement : ce porche est peu précis et désaxé, sans aucune commune mesure avec la précision des grottes achevées, verticalement symétriques. Leurs parois sont précisément alignées dans un même plan de part et d'autre des ouvertures, ce qui est un véritable exploit, sur lequel s'extasient les tailleurs de pierre chevronnés. Les surfaces sont partout aussi lisses qu'une vitre, même dans des angles extrêmement fins. Jamais plus dans l'Histoire la prouesse que constitue la réalisation de ces cinq grottes ne sera égalée, ni dans l'Inde, qui en a pourtant taillé de nombreuses durant les siècles suivants, ni nulle part ailleurs sur la planète jusqu'à présent, ce qui soulève de nombreuses questions. Quels outils permettent d'obtenir une telle planéité sur plusieurs mètres carrés de parois, sachant que le poli n'intervient qu'une quinzaine de microns avant finition ?
Barabar - Cliquez pour agrandir l'image - Crédit : Jayan films
Dès lors, on peut s'interroger sur la raison d'être d'une telle précision, dans ce qui ne serait que des "salles de méditations" ? D'autres part, Jean-Louis Boistel indique que la réalisation d'un poli miroir nécessite beaucoup de lumière pour sa réalisation (et ces grottes sont très sombres). Le problème des torches, hormis l'intensité insuffisante de la lumière qu'elles émettent est qu'elles produisent de la suie, qui devrait se voir sur les surfaces, et consomment en outre de l'oxygène. A cette suie en suspension dans l'air vient s'ajouter la très fine poussière de silice émise par la taille du quartz, responsable d'une maladie mortelle appelée silicose (YH : dont mon grand-père est mort d'ailleurs, à l'âge de 57 ans). Comment a-t-on ventilé ces grottes afin d'évier la suffocation de ces ouvriers (ou maîtres tailleurs) hautement qualifiés et probablement les meilleurs de leur temps ? Si tel était le cas, alors ces chefs d’œuvres ne seraient pas isolés et ces prouesses auraient été reconduites dans les grottes suivantes. Mais si on suit la réflexion de John C. Hutington dans l'exécution postérieure de Lomas Rishi, compte tenu des observations concernant les négatifs d'enlèvement, les techniques étaient déjà perdues à cette date, car la grotte est ratée et n'aurait en aucun cas pu être achevée.
Autrement dit, les mesures au rugosimètre affichent seulement quelques microns d’écart en moyenne : ces surfaces sont quasiment planes, comme une vitre, dont l’écart moyen se situe entre 0,001 et 0,002 micron ! - Barabar - crédit Jayan films
Mais la question la plus troublante reste probablement qu'un tel niveau de maîtrise étant impensable au premier coup, où se trouve donc "l'enfance de l'art", les essais et prototypes préalables ayant permis de l'atteindre ? (YH : c'est aussi un peu le problème de l'invention de la roue : elle apparaît apparemment subitement, bien formée et efficace, en bois, vers le IV millénaire avant notre ère, sans aucun prototype ou ébauche découvert à ce jour, à part éventuellement des jouets trouvés dans des tombes en Mésopotamie, Egypte et Amérique du sud bien plus tard (sensé ignorer d'ailleurs la roue) !). Est-il raisonnable d'envisager qu'un peuple décide de réaliser des grottes artificielles et que du premier coup, il atteigne la perfection, pour aussitôt la perdre ?
Au regard de l'extraordinaire technicité de réalisation de ces grottes, de la très légère inclinaison des parois qui neutralise l'écho et du respect des dimensions de chacune, ces grottes semblent avoir des fonctions précises. Ainsi, selon des tests et des relevés effectués sur place, l'emploi et l'utilisation de fréquences sonores apparaissent aux chercheurs comme centrales et évidentes. Plongé dans la pénombre de ces grottes, le moindre son vous envahit tout entier. De manière empirique, en se déplaçant à l'intérieur des chambres, on observe des effets très particuliers de propagation et d'amplification des fréquences. Mr Gonthier s'est employé à rechercher les "nœuds sonores". Ces endroits particuliers où l'acoustique créé des sortes d'hallucinations auditives, pour tenter de donner une image d'une chose difficile à décrire.
Selon le dépouillement des données du sonomètre dans les grottes Karan Chopar, Vadathika et Gopika, ces trois chambres paraissent accordées sur une même gamme de fréquence. Ce genre de chose nécessite une investigation plus poussée, car cela pourrait démontrer le préalable d'une science théorique élaborée, qui aurait permis de concevoir ces volumes avec des formes et des dimensions particulières qui, une fois réalisées, résonneraient sur une certaine gamme de fréquences désirées, à la manière de caisses de résonance d'instruments de musique. Des effets définis dès la conception de ces grottes. Attention, ce n'est pas une création technique à l'aide de l'acoustique obligatoirement (quoique voir les études sur la lévitation acoustique ci-dessous), mais de l'acoustique volontairement créé à l'aide de techniques de précision et de volumes. De plus, selon l'Histoire connue, les Mauryas n'ont jamais été préoccupés par le chant et par la musique (YH : mais le bouddhisme et ses gongs éventuellement par la suite).
Les propriétés acoustiques de certains monuments ont bien été mesurées par des scientifiques. Inutile de vous parler des propriétés acoustiques des théâtres grecs anciens, par exemple, qui ont été étudiées depuis longtemps et prouvées, de même pour la Rome antique. Par exemple ci-dessous, entre de nombreux articles scientifiques :
Les chercheurs, scientifiques et experts ayant participés ou interviewés à l'occasion de ce film sont : Graham Hancock (Journaliste, écrivain et chercheur, sur Gobekli Tepe (Turquie), le Temple d'Edfou (Egypte) et la période du Dryas Récent), Jean-Louis Boistel (Tailleur de pierres, sculpteur statuaire et médiéviste, sur le taillage de pierres et la difficulté de conception et réalisation de murs polygonaux), Matthias Butter (Hublot, Directeur de la recherche et du développement, sur le génie du mécanisme d'Anticythère), Malku Aribalo (Chercheur, Historien des sites du Pérou, Chaman, écrivain et enseignant, sur l'Histoire du Pérou), Yanis Bitsakis (Physicien, Historien des sciences et Techniques, sur Anticythère et la Grèce), Pascal Waringo (Maître artisan, Compagnon maçon du Tour de France, Expert du médiéval, sur les mesures médiévales), Christopher Dunn (Ingénieur, écrivain, chercheur sur les constructions des pyramides, temples et statues d'Egypte), Bleuette Diot (Historienne, Conférencière, écrivain et chercheuse, sur les civilisations anciennes), Quentin Leplat (Chercheur, sur la métrologie dans les constructions anciennes) et la participation physique de Erik Gonthier (Géologue et Ethno-minéralogiste au Musée de l'Homme (Paris), lithicien).