D'abord découvertes en 1992, les grottes de Longyou sont une série de grandes cavernes artificielles situées dans la province du Zhejiang, en Chine. Jusqu'à présent, 24 grottes ont été trouvées, tous sculptées à la main. Rien n'est connu sur ceux qui les ont construites. Malgré leur taille et l'effort nécessaire pour leur création, aucune trace de leurs constructeurs ou même de leur existence ne peut être située dans le dossier historique.
En Juin 1992, un villageois du nom de Wu Anaïs, a décidé de pomper l'eau dans l'une des grottes connues localement, révélant la première des nombreuses grottes artificielles dans la région. Après 17 jours de pompage, assez d'eau avait été retiré pour révéler la grotte, dont plusieurs stèles, confirmant ainsi l'idée qu'elles ne sont pas des réservoirs naturels du tout, mais plutôt faites pour l'homme. Le sol de la grotte occupe plus de 2.000 mètres carrés, avec le point de la grotte le plus haut à plus de 30 mètres. Les quatre stèles de la grotte 1 sont réparties symétriquement. Suite à cette découverte,il a continué à pomper encore quatre grottes pour finir par constater qu'elles portaient tous les mêmes marques sur les murs et les plafonds :
Chacun de ces grottes est couverte, du sol au plafond, de lignes parallèles qui ont été ciselées sur pratiquement toutes les surfaces. L'effet donne un modèle uniforme à travers les grottes, ce qui aurait nécessité une immense main-d'œuvre et des heures interminables pour le créer.
Selon Yang Hongxun, un expert de l'Institut archéologique de l'Académie chinoise des sciences sociales, " Au-bas de chaque grotte, les anciens constructeurs n'étaient pas en mesure de voir ce que les autres faisaient dans la grotte suivante. Mais l'intérieur de chaque caverne devait être parallèle à celle de l'autre, ou bien la paroi était perforée à travers. Ainsi, l'appareil de mesure aurait dû être très avancé (technologiquement). Il doit y avoir eu une certaine planification à l'avance sur les tailles, les lieux, et les distances entre les grottes ".
Des Nouvelles Grottes mégalithiques mystérieuses découvertes en Chine
Avril 2014 : De nouveaux rapports des médias chinois sur un nouveau site mégalithique important qui comprend 48 anciennes grottes creusées mystérieusement, découvertes au sommet d'une colline de 3000 mètres carrés dans Comté Zhongxian, sur la municipalité de Chongqing du Sud-Ouest de la Chine.
Les grottes sont séparées par de larges chambres, avec une moyenne de 1,5 mètre de hauteur et un mètre de largeur variant sur huit à 30 mètres carrés. Certaines d'entre elles contiennent des installations qui ressemblent à des bassins, des fourneaux et des sculptures murales de tigres et de lions.
Les archéologues ont déclaré que les structures sont si mystérieuses qu'aucune littérature ne les a signalé. Les populations locales ont déjà vécu dans des grottes. Leur temps de construction et leur utilisation ne sont pas encore connus, mais certains archéologues ont proposé qu'ils remontent à la Dynastie Han (de 206 avant JC à 220 après) ou la dynastie des Tang (618-907 après JC).
YH : on note tout de même la très petite taille des habitants ayant utilisé ces structures...
Parfois appelé le plus grand labyrinthe de la Chine, Guyaju est une ancienne maison de grottes située à environ 92 kilomètres (57 miles) de Pékin.
Aucun enregistrement précis sur celle--ci n'a jamais été trouvé, on ne connaît pas ses origines exactes. La maison a été taillée dans les falaises escarpées surplombant Zhangshanying ville. Le complexe de la maison intrigante a plus de 110 chambres de pierre, et est la plus grande habitation troglodytique jamais découverte en Chine.
De chaque côtédesfalaises abruptes, des maisons en pierreadjacentes, rectangulairesetcarrées, grandes et petites, ont été construites. Les maisonssont de taille variable, deplus de 20mètres carrésà3-4mètres carrés. Certaines sontliées entre ellesperpendiculairement, tandis que d'autressont reliéeshorizontalement. Certaines disposent d'unechambre individuelle,alors que certaines ont2-3chambres communicantes. Des marches de pierre, etdes échellesde pierresont utilisées pour relierlesétagesde toute unemaison defalaise. Des Pierreschandeliers, des cheminées en pierre, des placards, et des salles à mangerdans les grottes, des fenêtres et desportes sont tout ce qui reste comme traces deleursanciens habitantsmystérieux. Certaines maisonsont été construites avec des kangs, une sorte delitqui peut être chauffépar le baspar temps froid.
Le plusfascinantestune maison en pierrede 2 étages, avec sixpiliers de pierrefinementgravésla soutenant. Dansla maison, il y a une ailecontenantune petite pièce avecune table en pierre, des chaises de pierre, etun litdepierre taillée. Cette chambredepierreingénieusementconstruiteestaupoint le plus hautde la maisonde la falaise, etest supposée avoir étéla résidenced'un chefun moment. Debout sursonétage supérieur, les touristes peuvent voirun superbe panorama surles environs.
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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