Voici le texte intégral du document reçu, avec les liens inclus, j'ai ajouté quelques images du calendrier aztèque (plus joli que les stèles mayas) pour illustrer (certaines peuvent s'agrandir) :
" Nous sommes en train de vivre actuellement une situation inédite avec la crise du coronavirus et vous devez avoir d’autres chats à fouetter. Mais j’aimerais attirer votre attention sur une potentialité encore plus grave et imminente.
En effet, j’y réfléchis depuis plusieurs années et j’ai longtemps hésité à en faire part de mes conclusions à qui que ce soit, mais comme le terme est maintenant très proche, je me sens le devoir moral de vous alerter par rapport à la fin annoncée du calendrier maya, celle-là même qui avait, à tort, été prédite pour le 21 décembre 2012.
Je suppose que vous recevez tous les jours beaucoup de courrier d’« illuminés » qui pensent détenir la vérité ultime sur une multitude de thèmes et plus spécifiquement par rapport à la date de la fin des Temps, mais j’espère que vous prendrez quand même le temps de lire mon argumentation jusqu’au bout, car il me semble qu’elle se base sur des éléments solides et factuels.
En effet, il y a une forte probabilité, à mon avis, pour que le calcul déterminant la fin du calendrier maya pour le 21 décembre, sur la base de la corrélation GMT, ait été erroné et que la fin du grand cycle maya des 13 Baktuns soit encore à venir, et tout soudain, à savoir pour le 3 Kankin de l’année en cours, c’est-à-dire le 14 avril 2020.
A l’appui de cette hypothèse, je pense avoir décelé deux erreurs conceptuelles relativement évidentes dans les bases de ce système de corrélation GMT (Goodman, Martinez, Thompson), qui sert à convertir les dates mayas en dates grégoriennes. L’impact de ces erreurs modifie considérablement le résultat du calcul et retarde potentiellement d’un peu moins de 7 ans et demi le terme du Grand Cycle calendaire maya, dit des 13 Baktuns par rapport au calcul initial réalisé par Thompson.
Bizarrement, personne n’a relevé ces erreurs jusqu’ici, probablement parce qu’on a fait une confiance aveugle à l’expertise d’un archéologue chevronné comme Thompson, reconnu par ses pairs comme LA REFERENCE ABSOLUE en ce qui concerne le calendrier maya. Et en effet, son système de corrélation s’était avéré, de l’avis général, nettement supérieur aux autres tentatives de corrélation précédentes. Cette opinion a même été confortée encore, après 2012, par les résultats des tests au carbone 14 réalisés en 2014 par D. J. Kanett sur des linteaux en bois gravé trouvés sur le site maya de Tikal et visant à départager entre eux le système de corrélation calendaire GMT et ceux de ses principaux concurrents. La datation obtenue par la corrélation GMT ne s’est pas révélée en elle-même tout à fait parfaite, à savoir en décalage d’une quinzaine d’années en amont de la date moyenne révélée par les tests au carbone 14, mais elle était nettement supérieure à celles dérivées des systèmes concurrents, qui étaient au mieux à 200 ans de la cible.
Notons cependant qu’en tenant compte des corrections au système GMT que je propose ci-dessous et qui compensent ses erreurs supposéees, la date dérivée des tests au carbone 14 matche pile poil, cette fois, avec les dates dérivées des inscriptions gravées, après conversion en date grégorienne sur la base de la corrélation GMT (corrigée), la date issue de cette corrélation étant alors de 13 ans plus ancienne. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3623374/
Car il apparaît qu’en dépit de cette excellence relative du système de corrélation GMT, la pertinence de certaines de ses bases constitutives est remise en question par la prise en compte d’éléments factuels contradictoires, livrés par un témoignage d’époque et de source quasi-directe (via un prêtre maya de haut rang). Un compte rendu, tout à fait explicite, sur le fonctionnement du calendrier maya, celui de l’évêque espagnol De Landa, auteur, en 1566, d’un ouvrage incontournable sur la culture maya, consacre en effet une cinquantaine de pages à la description circonstanciée de leur calendrier (Relacion de Las Cosas de Yucatan). Or, le fonctionnement du calendrier maya tel qu’il y est décrit diverge considérablement du modèle fonctionnel adopté par Thomson comme base de son système de corrélation calendaire. https://archive.org/stream/relationdeschose00land#page/n7/mode/2up
Une première base constitutive probablement erronée, à mon avis, de ce système de corrélation GMT consiste à faire intervenir, pour le Compte Long, des années Tuns de 360 jours au lieu d’années solaires de 365,24 jours.
Or, s’il est établi que les années Tuns (brutes) du Compte Long duraient effectivement 360 jours ou 18 mois de 20 jours, les archéologues occidentaux ont extrapolé, à tort selon moi, qu’elles étaient ensuite combinées telles quelles avec le calendrier rituel, c’est-à-dire comptées bout à bout de façon continue, induisant alors une avance de 5 jours et quelques heures par an par rapport à l’année solaire. Cela déterminait une durée des Katuns de 19 ans et 9 mois environ au lieu de 20 ans, et pour la période finale du cycle des 13 Baktuns, suivant la conquête espagnole, pour 24 Katuns ou 480 Tuns de 360 jours, une durée de 473 ans et 40 jours au lieu de 480 ans, à compter depuis la date maya 11.16.0.0.0 (Compte Long) et 13 Ahau 8 Xul (Compte Court), correspondant à la fin d’un Katun 13 Ahau (et fin d’une roue des 13 Katuns) et au 2 novembre (julien) 1539 du calendrier chrétien. Cette date historique, formulée doublement dans les calendriers maya et julien, était inscrite dans une chronique Xiu, d’où le calcul de la (fausse) date du 21 décembre (12 novembre (grégorien) + 40 jours) de l’année 2012 (1539 + 473 ans).
Pourtant, en analysant les quelques rares documents mayas traitant d’astronomie qui nous sont parvenus, plusieurs études scientifiques ont conclu avec certitude que les Mayas connaissaient très exactement la durée de l’année solaire à 365,24 jours et peut-être même encore plus précisément. Pourquoi, dès lors, compter les années par tranches de 360 jours et induire un décalage systématique de 5 jours et quelques par an par rapport à l’année solaire, alors que le but d’un tel système de compte des années à long terme aurait dû être, bien évidemment, comme pour nous aujourd’hui, de déterminer le nombre exact d’années solaires écoulées entre le présent et des dates historiques éloignées dans le passé ou l’avenir. Car il s’agit de faire correspondre facilement entre elles des dates de l’année civile, sans avoir à produire des calculs d’équivalence très compliqués pour retrouver cette date dans l’année. Ce qui signifie, selon moi, que l’année Tun, base du Compte Long maya, était très vraisemblablement corrigée, d’une façon ou d’une autre, à hauteur de l’année solaire et qu’elle durait en fait 365,24 jours.
Telle aurait dû être, a minima, la conclusion des archéologues, même en l’absence de preuves ou d’éléments indiquant comment les Mayas combinaient, à l’époque classique, le Compte Long et le Compte Court. Mais, comme à l’époque de la conquête espagnole, le Compte Long n’était plus utilisé, il était difficile de reconstituer son fonctionnement a posteriori. En l’absence d’éléments tangibles en faveur de manipulations mathématiques sur le Haab et sur le Compte Long pour adapter leur rythme de défilement respectif à celui de l’année solaire, ce qui est évident, selon moi, pour des raisons purement pratiques, ils ont estimé plus avisé de considérer que les Mayas utilisaient ces deux calendriers de façon brute, sans aucune manipulation d’aucune sorte, pour les combiner tels quels avec le calendrier religieux Tzolkin de 260 jours, qui est lui, effectivement, sacré et non manipulable.
La manipulation de l’année Tun de 360 jours du Compte Long pour la calibrer sur l’année solaire est pourtant possible d’une manière très simple, en interrompant tout bonnement le décompte du Compte Long après le 360ème jour de l’année et 20ème jour du 18ème mois « normal », puis en le reprenant au premier jour de la nouvelle année civile Haab. Le Compte Long aurait été ainsi suspendu durant les 5 ou 6 jours (lors des années bissextiles mayas) du mois supplémentaire appelé Wayeb, signifiant repos ou vacance du Haab, ce qui n’empêche pas le temps de faire son œuvre et de continuer à se dérouler durant les jours restants.
Les années Tuns ainsi corrigées auraient permis de prendre en compte facilement et sans risque d’erreur des années solaires et de les intégrer simplement dans un système vigésimal (en base vingt) en mettant une unité dans l’avant-dernière colonne à l’échéance de chaque 20ème jour, les mois civils mayas étant composés de 20 jours et le même jour revenant à la fin de chaque mois. Une fois les 18 mois de l’avant dernière colonne (exception au compte vigésimal) complétés, une unité est alors ajoutée à l’antépénultième colonne (celle des Tuns), puis le compte est interrompu pour l’année, durant le mois extra-numéraire du Wayeb, avant de reprendre au premier jour de la prochaine année civile Haab, ce qui permet la complétion exacte d’une année solaire dans le cadre du Compte Long, sans introduire dans le compte de fraction de mois très difficile à gérer dans le cadre d’un système numérique en base 20. La colonne des Tuns est ensuite complétée jusqu’à 20, ce qui donne un Katun de 20 Tuns, soit en fait 20 ans exactement. Il en est de même pour la colonne des Katuns, ce qui donne des Baktuns de 400 ans et pour la colonne finale, celle des 13 Baktuns, dont la somme fait alors exactement 5200 ans, ce qui correspond également à 20 Roues calendaires de 260 ans (Compte Court), constituée chacune de de 5 faisceaux de 52 ans. Contrairement au système calendaire tel qu’il apparaît dans les manuels d’histoire ou sur Wikipédia, ce système-ci est totalement cohérent d’un point de vue mathématique et numérologique. Relevons enfin que ce cycle de 5200 ans n’est peut-être que la partie finale d’un cycle de 13'000 ans constituant un cycle de création ou « soleil » maya.
L’évêque De Landa affirme d’ailleurs (p.235 du PDF), conformément à la logique de cette hypothèse d’une année Tun corrigée à hauteur de l’année solaire, que les Mayas « arrêtaient le compte des jours après 27 treizaines et 9 jours (27 x 13 + 9 = 360), SANS COMPTER LES [JOURS] SUPPLEMENTAIRES … ». Ils énuméraient les jours mayas de 1 à 13, puis reprenaient le compte à 1 et ainsi de suite, ce qui permet 260 combinaisons différentes possibles avec les 20 jours mayas et donne un calendrier cyclique religieux de 260 jours (Tzolkin).
Heureusement pour nous , il est très aisé de corriger la corrélation de cette erreur en considérant simplement que 24 Katuns ou 480 Tuns équivalent à 480 ans, à compter du 12 novembre 1539, ce qui nous mènerait alors au 12 novembre 2019, soit 480 ans jour pour jour à partir de la date d’origine du système (1539 + 480 = 2019).
Mais il ne faut pas oublier que ce Compte Long vigésimal était compté sur la base du calendrier rituel avec lequel il était imbriqué, à savoir sur le défilement répété des 20 jours du Tzolkin, associé à des jours Haab chaque fois différents, selon un cycle de 52 ans, une même paire se représentant alors pour débuter un nouveau cycle. Le calendrier rituel, calendrier d’usage quotidien, constituait ainsi des cycles de 52 ans nommés Faisceaux mayas, 5 faisceaux formant ensemble une Roue calendaire de 260 ans, dite des 13 Katuns (13 x 20 ans), aussi qualifiée de Compte Court, le seul en vigueur à l’époque de l’arrivée des Espagnols au Yucatan, au 16ème siècle. Il n’était plus associé, alors, avec le Compte Long, comme à l’époque classique. C’est Thompson qui a décidé de ressusciter le Compte Long et de l’associer au Compte Court pour reconstituer le système calendaire à long terme, tel qu’il fonctionnait à l’époque maya classique, pour en faire la base de son système de corrélation calendaire.
Or, seconde erreur probable commise par Thompson, impactant également le fonctionnement de son système de corrélation, ce calendrier rituel était censé fonctionner, selon lui (et la quasi-totalité de ses collègues archéologues ou historiens avant et après lui !), sur la base d’une année civile Haab de 365 jours pile, c’est-à-dire sans correction d’un jour bissextile tous les 4 ans. Cela aurait, dans ce cas, induit une dérive de 24 jours par siècle de ce calendrier (à vocation agricole, entre autres (?)) au fil des saisons. Or, la description du calendrier maya par l’évêque Diego De Landa, en 1566, mentionne clairement (p.203 du PDF) la présence d’années bissextiles mayas tous les 4 ans et dénie toute dérive du calendrier civil, donnant même des tabelles de correspondance jour pour jour entre le calendrier maya et le calendrier julien. De plus, le cycle de base de ce calendrier (dit lustre maya) est de 4 ans, un même jour dit porteur d’année se profilant comme premier jour de l’année civile tous les 4 ans (13 x 4 = 52 ans), ce qui en fait un système idéal pour déterminer facilement une année bissextile tous les 4 ans, car il suffit de décider que toutes les années Kan, par exemple, seront bissextiles.
Enfin, la présence d’un cycle calendaire de 260 ans permet très simplement une correction encore plus fine de la correction bissextile systématique de type julien (365,25 jours), en ajoutant 2 jours par période de 260 ans, car 2 jours : 260 = .0077 jours. En effet, 365,25 jours – 0,0077 jours = 365,2423 jours, à 1/10’000ème de la durée astronomique exacte de 365,2422 jours, alors même que notre correction grégorienne actuelle se contente d’une approximation à 3/10’000ème à 365,2425 jours. On ne peut exclure totalement une coïncidence fortuite entre le choix par les Mayas de la durée de leurs cycles calendaires et celles des périodes mathématiquement nécessaires à une correction parfaite et simple de l’année dite vague de 365 jours, mais celle-ci paraît statistiquement hautement improbable.
Tout porte donc à croire, à mon avis, que les Mayas comptaient sur le long terme en années solaires exactement comme nous et que les années Tuns et Haab, dûment corrigées, doivent être comptées comme des années solaires de 365,2423 jours.
L’erreur 2 se cumulant avec celle de l’erreur 1, il reste encore, pour parvenir à l’échéance véritable du calendrier maya, à corriger la base du Compte Long, le Compte Rituel, qui a, lui-aussi, défilé trop vite, en raison de la non-prise en compte du jour bissextile maya par le Compte Rituel brut, soit au rythme de 365 jours pile par an au lieu 365,2422 jours, ce qui implique une avance supplémentaire de 116 jours supplémentaires prise par le compte rituel brut par rapport à son rythme normal, à rajouter à cette date. Puis il s’agit de rajouter encore les 40 jours induits par le défilement du Compte Rituel brut, qui faisait dériver la date civile (dans l’année) du 12 novembre 1539 (date d’origine de la corrélation GMT) au 21 décembre (2012). Sauf que la date de départ, le 13 Ahau 8 Xul, correspond au 10 novembre grégorien selon les tables de conversion calendaire de Landa, ce qui donne finalement 156 jours à rajouter au 314ème jour ordinal de l’année 2019 : 314 + 156 – 365 = le 105ème jour de l’année 2020. Finalement, il faut peut-être retrancher encore un jour pour tenir compte du retard d’un jour du fait de la prise en considération par les Mayas d’une année approximée à 365,2423 jours au lieu de la durée exacte de l’année solaire de 365,2422 jours sur une période de plus de 10'000 ans. Nous obtenons donc le 104ème jour de l’année ordinaire ou le 105ème jour de 2020, année bissextile chrétienne, soit le 14 avril 2020, ce qui correspond alors parfaitement au 3 Kankin maya, selon les tabelles de conversion de De Landa entre calendrier civil maya et chrétien (p.257).
Et cela est tout à fait logique, car le Compte Rituel dûment corrigé de l’année vague doit nécessairement donner une date civile finale correspondant à ces tabelles de conversion calendaire, puisqu’il était parfaitement calibré sur l’année solaire, selon De Landa qui nous assure dans ses écrits que « …chez les Yucatèques, le premier [jour] de l’année était INVARIABLEMENT le 16ème jour de notre mois de juillet (26 juillet grégorien), premier de leur mois Pop… » (p.237). (https://archive.org/stream/relationdeschose00land#page/236/mode/2up)
C’est ce qui justifie la présence de ces tables de conversion entre dates de l’année civile maya et année civile julienne, qui couvrent les pages suivantes (p.244-311) et qui n’auraient eu AUCUN SENS si ces dates avaient varié d’année en année, en l’absence de correction de correction bissextile, suivant la thèse incontestée de l’archéologie officielle sur le calendrier maya, telle qu’elle apparaît dans tous les manuels d’histoire et donc, sur Wikipédia.
Si l’on en croit plutôt le compte-rendu de De Landa lui-même sur le calendrier maya, tel qu’un prêtre maya de haut rang le lui a expliqué, il suffit de consulter ces tabelles de conversion pour obtenir la date finale (dans l’année) du calendrier maya, soit l’équivalent julien de la date civile maya, 3ème jour du mois de Kankin, ce qui nous donne le 4 avril julien ou le 14 avril grégorien. Cela ne nous indique évidemment pas la bonne année, mais suivant le raisonnement exposé ci-dessus, le 14 avril 2020 paraît constituer un très bon candidat. Il est d’ailleurs difficilement concevable, de mon point de vue, qu’il ne se soit trouvé personne, en 2012, pour contester la pertinence de la date du 21 décembre sur la base de ces tables de conversion calendaire, qui étaient déjà facilement accessibles à l’époque…
Ainsi, dûment corrigée des erreurs conditionnées par les défauts de la corrélation GMT originale, la date finale du calendrier maya, elle-même déduite d’une part par déroulement du calendrier maya brut jusqu’à son terme et gravée telle quelle sur deux stèles mayas, le 13.0.0.0.0 4 Ahau 3 Kankin, semble devoir correspondre vraisemblablement au 14 avril 2020.
Bien sûr, il n’y a pas plus de raisons de s’inquiéter d’une éventuelle fin du monde qu’on en avait en 2012, mais la mise en place d’un tel compte à rebours (AU JOUR PRES) par les Mayas ou plutôt par leur « dieu » Kukulkan, à l’origine de ce calendrier, selon leur tradition, pourrait tout de même dériver de l’expérience d’un cataclysme cyclique déjà vécu et subi par ses ancêtres (atlantes ??) et dont il aurait voulu nous prévenir de la prochaine occurrence, connaissant précisément sa périodicité exacte.
J’ai réussi à faire passer ce message sur un site dédié à l’eschatologie chrétienne à audience limitée et plutôt fermée aux prophéties extra-chrétiennes, alors même que certaines prophéties occidentales ou chrétiennes pourraient corroborer cette date ou du moins cette période.
Néanmoins, j’aimerais pouvoir accéder à une audience plus scientifique ou au moins pseudo-scientifique via votre blog ou du moins, vous soumettre mon argumentation. J’ai essayé de contacter Nuréa-TV directement, puis plusieurs intervenants liés à la chaîne, qui auraient pu s’intéresser potentiellement à cette problématique. Mais mes courriers sont restés lettre morte.
J’espère qu’en vertu du confinement, vous avez plus de temps à disposition pour lire vos mails et que ces informations vous parviendront au moins, quitte à ce que vous les considériez comme non-pertinentes. C’est un peu pour moi comme de jeter une bouteille à la mer. Le cas échéant, vous aurez été prévenu.
Michelange (mon pseudo usuel)."
Je rappelle encore une fois que les calendriers mayas sont constitués de cycles qui recommencent en permanence, on ne peut donc pas parler de "fin du monde" mais de fin de cycle et renouveau...
Voici pour comparer un site qui parle des calculs effectués précédemment et même un système intégré pour calculer votre date de naissance ou autres, et dont sont issues d'ailleurs les images ci-dessus :
http://aevigiran.over-blog.com/article-la-fin-d-un-monde-le-calendrier-maya-et-le-calcul-de-votre-date-de-naissance-113683353.html
https://icalendrier.fr/calendriers-saga/calendriers/maya/ - et un autre montrant le calendrier Maya et les stèles...
Yves Herbo, Sciences-Faits-Histoires, 05-04-2020