Par Yves Herbo : Il existe une culture très peu connue, quasi oubliée et remontant à un âge inderterminé, qui s'est implantée dans trois régions se trouvant de nos jours au Turkménistan, en Ouzbékistan et en Afghanistan. En fait, nous ne connaissons même pas son nom mais les scientifiques la dénomment "BMAC" pour Bactria-margiana archaeological complex, en français Complexe archéologique bactro-margien... Certains archéologues ont fini par lui donner le nom de Civilisation de l'Oxus. Cette civilisation n'a été découverte et "déterrée" par les Russes que dans les années 1950, mais la surprise a pourtant été de taille à l'époque (mais peu répandue à cause de la Guerre Froide) puisque les sites de cette civilisation sont gigantesques et n'avaient jamais été atteints pour cette période à cet endroit (le plus équivalent se situant plus à l'Ouest avec la culture toute aussi mystérieuse et ancienne de Namazga) : le moindre site couvre 10 hectares et la ville de Gonur Tepe en couvre 28 à elle seule !
Gonur Tepe pris d'avion
Probablement dirigée par une élite éclairée et puissante, très unie, toutes les cités sont construites sur le même modèle : Le centre-ville était formé par une forteresse formant souvent un quadrilatère presque carré flanqué de tours de garde à chacun de ses angles. Le reste de la cité s'organisait autour de ce centre. Ces cités comportaient des quartiers d'habitation, ainsi que des zones où étaient regroupés les artisans. Autour de ces grands centres gravitait un ensemble de petits villages mesurant pour la plupart moins de 3 hectares, plutôt tournés vers l'activité agricole, et ne comportant aucun ouvrage défensif spécial. La plupart de ces cités sont datées des mêmes moments, il y a un peu plus de 4.000 ans, mais on en a encore découvert une récemment, Adji-kui. Les autres villes en dehors de Gonur Depe se nomment Kelleli et Taip dans la partie Margienne puis un peu plus tard la cité de Togolok, Sapalli-depe, Dashly-depe dans la partie Bactriane (les deux parties sont séparées et liées à de grands courts d'eau) puis un peu plus tard la cité de Djarkutan.
Il y a 4000 ans, la «civilisation perdue» de la Margiane a donc construit une grande ville nommée Gonur Tepe (ou Depe) qui était une la plaque tournante au carrefour de nombreuses cultures. Là,ils ont inventé le zoroastrisme (le premier enregistrement d'un monothéisme/dualisme, qui a également vénéré les quatre éléments primordiaux classiques et l'Alchimie) et ont mené ce vaste réseau de cultures pendant ce qu'on a appelé "le plus heureux moment dans l'histoire du monde".
Lire la suite ci-dessous :
Etonnant mais ils peignaient les murs de leurs habitations, comme nous...
Cette culture a des liens indéniables (en plus de celle proche de Namazga) avec la civilisation de l'Indus, avec celles de la Mésopotamie et avec l'Elam, mais on ignore dans quels sens ont eu lieu les migrations et apports ! Le fait qu'on ait trouvé des objets culturels très proches au Balouchistan pourraient faire d'eux les ancêtres des Indo-Aryens, avant qu'ils n'arrivent dans la Vallée de l'Indus donc. Mais d'autres spécialistes pensent que les Indo-Aryens, nomades, n'ont fait que passer et profiter de cette culture et de ses apports avant de s'installer plus au sud donc...
Plus tard y naît la culture Yaz, au début de l'Âge du Fer (ca. 1500-1100 Avant JC). Aucune sépultures liées à cette culture n'ont jamais été trouvées, et cela a été considéré comme une preuve de la pratique zoroastrienne des excarnations ou des soi-disantes funérailles célestes.
Il existe un temple dans l'actuelle Ashkabad au Turkménistan avec l'inscription "mehriyan" ou "lieu de Mithra". Le personnage de Mithra Leontocephaline est resté énigmatique. Mais si vous considérez ses origines comme étant dans les quatre éléments et les quatre "Royal Signs" persans du zodiaque, il est clair que ce personnage à tête de lion peut représenter gracieusement ceux-ci : Lion, FEU (tête de lion), Scorpion, EAU (le serpent enroulé - le Scorpion a également été symbolisé par un serpent chez les égyptiens, babyloniens et les mythes persans), Aquarius, AIR (corps de l'ange), et tout en haut, au sommet, Taurus, TERRE (en tant que chef / monde / terre d'un taureau stylisé). La symbologie Mithra/Leontocephalous est une ancienne forme de réalisation des quatre éléments à travers la précession des équinoxes et donc, de l'astrologie sidérale et de l'Alchimie en elle-même ! La symbologie de Leontocephaline ne provient-elle pas de la terre qui est maintenant, de nos jours modernes le Turkménistan ? Le personnage est bien sûr debout ou planant dans l'air sur le globe terrestre.
Erekhsha, l'archer géant divin
La frontière entre l'Iran et le Turkménistan a été déterminée par "une flèche tirée surnaturellement dans l'air" comme indiqué dans l'antiquité persane. « Quand Manouchehr et Afrasiyab ont été déterminés à faire la paix et de fixer la frontière entre l'Iran et Turan (Turkménistan), " il était stipulé que Arash (Erekhsha) devrait gravir le mont Damavand, et de là s'acquitter d'une flèche vers l'est ; et que le lieu sur lequel la flèche était tombée devraient former la frontière entre les deux royaumes. Arash (Erekhsha) est alors monté sur la montagne, et lancé vers l'est une flèche, son vol s'est poursuivi depuis l'aube du jour jusqu'à midi, quand elle est tombée sur les rives de la Jeyhun (l'Oxus). "
Historiquement, la pratique funéraire favorite des peuples de cette vaste région d'Asie centrale était l'excarnation (mise à disposition des corps à l'air ouvert) sur des "tours du silence".
La société moderne du 19ème siècle de Turkménistan est considérée comme l'une des plus répressives sur la Terre. C'est en opposition diamétrale avec l'essence même de l'élément de l'air, cela peut être considéré comme "l'ombre de l'Air". L'élémental AIR représente l'intellect, la communication, la planification, l'organisation, l'écriture, les langues et l'enseignement, ainsi que le commerce et le Voyage. L'Ancien Turkménistan était un important centre de commerce sur l'ancienne Route de la Soie reliant l'Est à l'Ouest...
Notons que Gobekli Tepe, un point catalyseur ancien de 12.000 années de la civilisation est juste à l'ouest et à la même latitude que Gonur Tepe et ce point du Turkmenistan !
Le Cratère de gaz Darvasa au Turkménistan qui crache son gaz naturel et qui brûle depuis 1965 !
Notons aussi qu'une équipe d'experts internationaux a déterminé que le Turkménistan doit avoir la deuxième ou éventuellement la première plus importante réserve de gaz naturel dans le monde ! (AIR, l'état gazeux de la matière !). Une région qui intéresse donc du beau monde...
Tant la mer d'Aral au nord que la mer Caspienne à l'ouest de la région sont en assèchement total...
Statuette "Princesse de Bactriane", début du IIe millénaire av. J.-C., Louvre - Wikipedia-Fr
Voici un extrait d'un documentaire sur la ville de Gonur Tepe :
Voici des extraits d'un texte de l'archéologue Antoine Gigal :
Dans la Bactriane-Margiane* le Complexe archéologique (BMAC), vous pouvez trouver dans cette culture de l'âge du Bronze de l'Asie centrale, datant de 2300-1700 Avant JC et située aujourd'hui au Turkménistan, dans le delta de l'ancienne rivière Murghab, au sud-est du Turkestan donc, une ville incroyable nommée: "Gonur Tepe".
Magnifique ceinture en or fin...
Ce site incroyable a été documenté par l'archéologue greco-russe Viktor Sarianidi. Il y a découvert un palais, la ville fortifiée par une enceinte ancienne en brique, et des temples avec des autels du feu dédiés à la religion zoroastrienne. Le Dr.Sarianidi l'a déclaré comme étant la 5ème plus ancienne civilisation de la terre et non seulement une culture, mais une civilisation perdue.
D'autres chercheurs ont trouvé une similitude incroyable entre les structures, l'architecture de la ville, les artefacts de l'âge du bronze avec les dessins qui peuvent être trouvés dans des tissages turkmènes. Regardez donc ! A vous de décider...
Ceci indique un niveau supérieur de sophistication quant à leur conceptualisation de leur propre civilisation, un sens profond dans leur vie quotidienne même, avec de nombreux niveaux de compréhension en fonction de votre éveil de conscience et de votre niveau de connaissance...
Le dr Sarianidi considère Gonur comme la "capitale" du complexe de la Margiane pendant tout l'age de bronze. Il a découvert des murs de fortification impressionnants, des portails, des temples et palais.
La cité de Gonur Tepe
Mais aussi de vastes systèmes d'irrigation que j'étudie pour leurs éventuelles similitudes avec ceux que j'explore depuis des années en Egypte, dans le Fayoum et le delta...
Gonur, une hache de cérémonie en argent - artefact
On a retrouvé aussi à côté des modèles de chars à deux roues datant de 3000 ans avant JC... Le dr Sariadini a trouvé également des bassins avec des traces de cannabis, de pavot et d'éphédrine. Selon lui, cette découverte renforce la théorie selon laquelle ce sont les ingrédients de la Soma et il explique que ce n'était que pour l'utilisation de certains prêtres pendant des cérémonies religieuses très restreintes. La Soma, qui est mentionnée dans le Rig Veda ou haoma (dans les livres avestiques) était une boisson rituelle bien connue censé donner l'immortalité... Selon le saint livre zoroastrien de l'Avesta, la boisson appelée le Haoma représente une divinité qui peut guérir toutes les souffrances...
Gonur, artefact
Maintenant ce que j'ai trouvé est que, dans la langue avestique le mot: "Hauma" a survécu dans le milieu persique en tant que "Hom" et que les Perses utilisent la phonétique "Ha" au lieu de "Sa" et dans leur langue ils ont appelé cet élixir de vie: Parahoma ou Pharaoma... Pharaon + Ma, et Ma dans les pays africains est un suffixe anciens signifiant toujours: un liquide ou un fluide... alors faisons-nous face la boisson sacrée des pharaons? Je pense vraiment que nous ne sommes pas très loin de l'élixir de vie égyptien... Et puis aussi quelque chose que j'ai trouvé très intéressant, c'est que dans la biologie moderne, ils ont appelé le corps cellulaire, c'est-à-dire la partie centrale d'un neurone: soma (du grec σῶμα, ce qui signifie «corps», ou pericaryon)... et la traduction du nom grec: "pericaryon" est la suivante: "autour du noyau"... n'est-ce pas ce que nous trouvons dans la conception de l'architecture particulière de la ville ?... et la Soma dans la biologie moderne donne aussi le potentiel d'énergie pour l'être humain et il est le centre pour le renouvellement des cellules... Vous pouvez imaginer: je continue l'écriture de mon livre sur le plus ancien elexir de vie!
Gonur, artefact
Crédit texte (extraits) : Antoine Gigal, Fevrier 2012
** Bactriane = nom grec aujourd'hui: Balkh + Margiane: nom grec de la Margu Persique, la capitale du Turkménistan aujourd'hui Merv.
References:
Bakels, C.C. 2003. “The contents of ceramic vessels in the Bactria-Margiana Archaeological Complex, Turkmenistan.”in Electronic Journal of Vedic Studies, Vol. 9. Issue 1c (May 2003)
Décidément, les origines de l'être Humain (avec un grand H car on parle logiquement de ses ancêtres quand on parle des origines) deviennent de plus en plus discutées et complexes avec la science moderne, les nouvelles découvertes et avancées des techniques archéologiques et de datations... En effet, après la découverte récente de nombreux outils de pierre (et donc logiquement attribués à un hominine) dans les Philippines (Asie), datés de 700 000 ans, mais malheureusement sans traces d'ossements liés, la même chose s'est produite en Chine, mais avec des datations allant jusqu'au triple par rapport aux Philippines !...
Il s'agit ici des plus anciens artefacts et outils de pierre découverts en-dehors de l'Afrique, trouvés par une équipe chinoise dirigée par le professeur Zhaoyu Zhu de l'Académie chinoise des sciences, accompagné par le professeur Robin Dennell de l'université d'Exeter. Les outils ont été découverts dans une localité appelée Shangchen dans le sud du plateau de Loess en Chine. Les plus anciens sont datés de 2,12 millions d'années, et sont donc plus anciens de 270 000 ansque les ossements et les outils en pierre de 1,85 million d'années de Dmanisi, en Géorgie, qui étaient auparavant la première preuve d'une Humanité en dehors de l'Afrique. En effet, il est estimé depuis des décennies que le premier à avoir quitté l'afrique dans la famille des Homo (qui exclue les Australopithèques par exemple), est probablement l'Homo Erectus (bien que ce soit contesté et que des traces d'Homo Habilis hors d'Afrique existeraient aussi !). Mais est-ce une bonne déduction, finalement ? car l'Homo Erectus africain est maintenant plus récent que l'asiatique...
Cette nouvelle publication scientifique (dans Nature du 11-07-2018 et dans un communiqué de presse de l'Université d'Exeter) remet en fait beaucoup plus de choses en question... :
La région de la découverte, leplateau de Loess en Chine
céramique tayronas, de curieuses similitudes avec l'art antique chinois
Voici, en tant que données archéologiques complétant les compilations de datas sur les civilisations préhistoriques ou antiques disparues, des informations sur un site situé en Amérique Latine dont je n'avais pas encore parlé. Il ne s'agit pas de découvertes récentes mais ces endroits, suite aux difficultés d'accès géographiques, ethniques ou politiques, conservent toujours de nos jours une grande part de mystères. En fait, en cherchant des données plus récentes, on s'aperçoit aisément du manque de fouilles profondes et de recherches véritables de preuves originales de la fondation de ce site et de véritables datations basées sur des éléments concrets, même si les autorités colombiennes affirment que des archéologues ont pu fouiller le site pendant 30 ans, on sait aussi que seuls 10% de celui-ci l'a été réellement !...
D'autant plus que "Ciudad Perdida" ou la "Cité Perdue" colombienne, a été découverte par des huaqueros en 1972 et révélée à la science et au public qu'en 1975, laissant la pègre des pilleurs de tombes vider en partie de ses trésors en or et joyaux les vestiges de cette petite ville précolombienne, comme d'ailleurs beaucoup de sites amérindiens... Il s'agit pourtant d'un site et d'une culture absolument unique dans tout le continent sud-américain, comme nous allons le voir :
Ciudad Perdida, Colombie, Gavin Rough from Waterloo, Canada - CC BY 2.0
Sayhuite est un site archéologique précolombien situé à Abancay, une province de la région péruvienne du centre-sud d'Apurímac. Ce site a été daté de la période de l'Empire Inca mais il ne reste plus grand chose de l'époque des Incas car les conquérants espagnols ne trouvaient aucun intérêt à conserver quoique ce soit. On sait aussi que les Incas ont envahi la région vers le 15ème siècle après J.-C. et ont assimilé les peuples locaux, comme partout où se peuple conquérant s'est imposé, avant d'être lui-même conquis par les conquistadors...
Le site en question ne présente pas un très grand intérêt archéologique car peu de vestiges subsistent en surface, ou alors ils sont enterrés profondément et aucune fouille n'est envisageable sans traces d'une plus ancienne civilisation locale, bien que ce soit une possibilité citée par plusieurs chercheurs.
Les seuls intérêts locaux relevés par les chercheurs sont cette sculpture mystérieuse nommée Monolithe Sayhuite et, dans les environs, d'autres grands blocs gravés et sculptés de structures mystérieuses ayant subi des dégâts considérables et tout aussi inexpliqués...
Sur ce Monolithe Sayhuite se trouvent plus de 200 dessins soigneusement gravés en formes de reptiles, de félins, de crustacés et de grenouilles, qui sont entourés de terrasses, d'étangs, de rivières, de tunnels et de canaux d'irrigation. Le but exact et la signification derrière ces fonctionnalités reste un mystère. Nous allons donc montrer ces structures et parler des diverses hypothèses avancées pour expliquer ce monolithe en particulier et même les blocs environnant.
Le monolithe Sayhuite (Source: AgainErick / CC BY SA 3.0)
En fait de chasseurs-cueilleurs, on sait maintenant que les Natoufiens étaient encore plus anciens que supposés (-15000 ans avant maintenant étant devenu le minimum), qu'ils s'étaient répandus et étaient restés (ne demeurant "nomade" qu'entre ses sites privilégiés) sur un vaste territoire comprenant Israël, la Jordanie, le Liban et la Syrie de -15000 ans à -11500 ans. Et que c'est l'un des premiers peuples à avoir construit des maisons. Cette nouvelle étude sur ce peuple a été faite à partir d'un nouveau site découvert en Jordanie, une étude qui remet en cause une théorie d'expansion à partir d'une région centrale (située en Galilée) grâce à des datations précises du site...
On peut aussi rappeler que ce peuple était probablement mené par des chamanes (l'extraordinaire tombe d'un chamane féminin, une guérisseuse, a été découverte) et qu'il enterrait ses morts sur des lits de fleurs et avec des couronnes de fleurs autour de la tête... on est bien loin des tribus guerrières imaginées (probablement faussement) par des anthropologues et des scénaristes trop influencés par l'histoire de notre propre civilisation guerrière...
IMAGE: PROFESSEUR ELISABETTA BOARETTO ET DR TOBIAS RICHTER. AU PREMIER PLAN SE TROUVE UN FOYER NATOUFIEN À SHUBAYQA, EN JORDANIE. CRÉDIT: L'INSTITUT WEIZMANN DES SCIENCES
Venezuela : Découverte de grands pétroglyphes de 2000 ans
Une équipe de chercheurs de l'University College London a annoncé la découverte de gravures rupestres repérées dans l'ouest du Venezuela. Selon les experts, quelques pétroglyphes inclus sont parmi les plus grands jamais enregistrés dans le monde. Les pétroglyphes récemment cartographiés, comprennent des représentations d'animaux, d'humains et de rituels culturels. Comme le rapporte Phys Org , certaines gravures sont considérées comme datant d'environ 2000 ans. Huit groupes d'art rupestre gravé ont été enregistrés sur cinq îles dans les rapides de la rivière Orinoco. Selon les experts, un panneau fait304m² et contient au moins 93 gravures individuelles dont la plus grande mesure plusieurs mètres de long. Encore plus impressionnant, un autre pétroglyphe représentant un serpent à cornes mesure plus de 30 mètres de long. Les chercheurs de l'University College London ont cartographié les pétroglyphes dans la région d'Atures Rapids, dans l'État d'Amazonas au Venezuela, qui, selon les prêtres jésuites, a toujours été la patrie du peuple des Adoles...
Sur cette immense paroi gravée de multiples pétroglyphes (les principaux sont ici mis en avant par les scientifiques mais tous ne le sont pas), on constate la grandeur des gravures grâce à l'échelle mentionnée. Grands pétroglyphes trouvés dans l'ouest du Venezuela. Vue aérienne oblique du panneau ouest sur Picure, avec superposition interprétative des gravures principales. (Image: Dr Philip Riris )
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