Le Pic d`Adam est l'un des grands défis du Sri Lanka (ancien Ceylan) pour les vacanciers actifs avec l'envie de vaincre. Sri Pada, ou Adam's Peak est sacré pour les quatre groupes religieux au Sri Lanka - les bouddhistes, les hindous, les musulmans et les chrétiens. L'empreinte de géant dans la partie supérieure est diversement revendiquée comme une empreinte soit de Bouddha, Shiva, Adam, ou de Saint-Thomas, l'apôtre chrétien qui prêchait dans le sud de l'Inde.
Cette montagne 2234 m de haut, est visitée par des milliers de fidèles et un flot continu de voyageurs en transit de Décembre à Avril. La montée est le meilleure défi de la nuit et au sommet de la montagne, vous pourriez être récompensé par l'un des plus beaux levers de soleil en Asie et une vue à couper le souffle d'en haut. De plus, au lever du soleil, un phénomène (peut-être dû aux brumes matinales ?) fait que l'ombre de la montagne, au lieu de se découper sur le sol comme les autres, est visible dressée dans le ciel, un peu comme une pyramide.
Le phénomène de la pyramide dans le ciel au Sri Lanka est souvent photographié...
Dans le Temple construit au sommet, protégeant une grotte sacrée, se trouve une empreinte de pied géante, revendiquée comme ayant été faite par Bouddha, Shiva, Vishnu ou Adam. Elle mesure près de 2 m de long, la hauteur de Sidna Adam, bien sûr, était d'environ 42 mètres... Sidna Adam est venu ensuite à la rencontre de Hawa qui est descendue à Djeddah. Ils se rencontrèrent à Mouzdalifa (Mekka). Source : Dr Choukri Abou Khalil, historien de l'Islam). Cette légende islamique relate qu'Adam, après avoir quitté le Jardin d'Eden, passe par l'Inde et construit ou passe par le Pont d'Adam ( dont j'ai déjà parlé ici : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/le-pont-d-adam-rama.html ) pour rejoindre le Pic qui prend son nom et où il est condamné à se repentir pendant 1000 ans, immobile sur une jambe...
Wikipedia : Il est situé au sud-ouest de l'île, dans le district de Ratnapura, à une quarantaine de kilomètres au nord-est de Ratnapura. La petite ville de Nuwara Eliya, dans le district voisin, sert souvent de base à son ascension.
Les pèlerins hindous font l'ascension des milliers de marches qui mènent au sommet de façon à l'atteindre pour le lever du soleil et voir la forme triangulaire de son ombre balayer la campagne environnante. Cette ascension dure plusieurs heures et se fait généralement plutôt au mois d'avril.
Au sommet de la montagne, on trouve, creusée dans la roche, une cavité de presque deux mètres, censée être une empreinte de pas. Les hindouistes y voient la trace du passage de Vishnu, ou encore de Çiva. Les musulmans prétendent qu'il s'agit de l'empreinte que fit le pied d'Adam, lorsqu'il est sorti du Jardin d'Éden, dont l'île de Ceylan est très proche, et tomba sur Terre, ce qui explique le nom donné à la montagne (il aurai été condamné a rester sur un seul pied durant 1000 ans a cet endroit !). On prétend aussi qu'il s'agit de l'empreinte de pied de Bouddha, de Shiva ou de Saint Thomas.
Cette empreinte est déjà citée dans les écrits de Marco-Polo et est une des plus anciennes et Sacrée qui soit. La tradition Bouddhiste la plus ancienne assure que l'empreinte visible n'est pas l'originale mais cache la véritable empreinte qui serai dessous, imprimée dans une émeraude géante !
La Babhavad Gita, texte sacré et perle de sagesse de l'Inde, raconte que Rama (que certains assimilent à Sidna Adam) parti sauver son épouse Sita, enlevée par un démon, et emmenée au Sri Lanka.
Lorsqu'il arriva au point de l'Inde le plus proche du Sri Lanka et qu'il dû traverser l'océan, Hanuman et son armée de singes prirent des rochers sur lesquels ils gravèrent le nom de Rama et les jetèrent dans l'eau. Les rochers se mirent automatiquement à flotter, formant un pont, ce qui permit à Rama de traverser et d'aller chercher sa bien aimée, lui qui refusait préalablement de vider l'océan de son eau afin de préserver les créatures qui y vivent.
Cette légende une fois encore se montre des plus troublantes lorsque l'on observe une vue satellite de l'endroit, qui est aujourd'hui appelé ''Adam's Bridge'', le pont de Rama, et qui relie spécifiquement , en adéquation avec la légende, l'île de mannar au sri-lanka, et Rameshwaram en inde, lieu sacré par excellence. Ce n'est pas la première fois que les légendes nous montrent des facettes mystérieuses a la lumière de la science.
Cette histoire est censé s'être déroulée durant le tredha yuga (Qui débutât environ 1,700,000 années auparavant.... une broutille). En effet, un phénomène évident, qui a été souligné à plusieurs reprises dans les recherches scientifiques, à partir du 19ème siècle, est la frappante ressemblance entre la culture préhistorique Tēri (rouge limon et monticules de gravier) de la pointe sud du Tamil Nadu avec celle du Sri Lanka. (Selon Noons, Zeuner, Deraniyagala et une foule d'autres chercheurs). C'est d'ailleurs la problématique de l'identité et de la participation Tamoul dans la culture et l'histoire du Sri Lanka, qui pour des raisons évidentes, ne seront pas traitées ici.
"Le Sri Lanka n´était pas une île au temps de ses premiers habitants. Il y avait un pont terrestre dans la région de Cetu ou Adams Bridge, qui relie aujourd'hui le Tamil Nadu au Sri Lanka, par l'intermédiaire duquel les animaux et les humains sont allés et venus. Les traces géologique font penser que ce pont terrestre a disparu il y a juste cinq à huit mille ans.
Même ensuite, les contacts par les eaux peu profondes reliés par une chaîne de bancs de sable ne peuvent être exclus, ainsi qu´il était possible dans la limite des moyens technologiques primitifs. Le moment exacte du premier habitat humain n'a pas encore été déterminé avec précision, même si les dates on suppose que c´était il y a 70.000 ans ou plus. Mais un phénomène évident, qui a été souligné à plusieurs reprises dans les recherches scientifiques, à partir du 19ème siècle, est la frappante ressemblance entre la culture préhistorique Tēri (rouge limon et monticules de gravier) de la pointe sud du Tamil Nadu avec celle du Sri Lanka. (Selon Noons, Zeuner, Deraniyagala et une foule d'autres chercheurs)."
Selon le Mahavamsa, la Grande Chronique du Sri Lanka, la projection de l’image de Bouddha a visité le Sri Lanka en 550 avant notre ère et a posé un pied au nord de la ville royale (Anuradhapura) et l’autre au sommet de la montagne (Sri Pada ou pic d’Adam).
Au XIe siècle de notre ère, le monarque régnant, le roi Vijayabahu Ier, monta pour la première fois au sommet du pic avec son armée. Au XIIIe siècle, le roi Panditha Parakrama Bahu Ier monta au sommet du pic et décida d’en faciliter l’accès aux pèlerins. Marco Polo visita l’endroit au XIIIe siècle et Ibn Battuta un siècle plus tard. Sous le règne du roi Magha, les bouddhistes furent persécutés et les moines fuirent en grand nombre dans les pays voisins tels que la Birmanie, la Thaïlande et le Laos. Pour continuer le culte de l’empreinte du pied de Bouddha, le Sri Pada, ils en firent des répliques qu’ils installèrent dans des temples à l’étranger.
C’est ainsi que le culte du Sri Pada se répandit dans l’Asie du Sud-Est et s’est poursuivi sans interruption depuis le XIIIe siècle. À leur retour, les moines rapportèrent ces répliques dans les temples du Sri Lanka et le culte de Sri Pada, par le biais de copies à échelle réduite, devint populaire dans le pays. Au fil des siècles et jusqu’à aujourd’hui, le pic d’Adam n’a cessé de prendre de l’importance en tant que lieu de culte.
"copie" de l'empreinte dans autre Temple- Pic d'Adam
Etudes scientifiques sur le Pic et sa région :
Les études géologiques, paléontologiques, archéologiques ont prouvé ceci :
- il y a 2 millions d'années, toute la région a souffert d'une forte déflagration volcanique proche et un nuage de cendres s'est déversé et a recouvert des kilomètres carrés pendant au moins six mois.
- de nombreuses grottes ont été découvertes dans les couches laissées par ces dépôts volcaniques et leurs traces d'occupations humaines datent d'au moins 35 000 ans (Mésolithique) avant maintenant.
- Plusieurs écrits et légendes (the Mahavamsa (Anon. 545 BCE–1758 CE). Historically, the Travels in India and Ceylon (393–414 CE) by the Buddhist monk Fa Hien records his visit to Adam's Peak and his interpretation of the origin of the footprint. Other famous travellers who visited the Peak and left written testimonies are Marco Polo (13thcentury) and Ibn Battuta (14thcentury).) mentionnent aussi bien le Pont que le Pic d'Adam.
- les critères archéologiques et les datations des plus anciens villages trouvés amènent à considérer des dates de -17 600 à -16.000 ans pour les premières sédentarisations et 13,000–14,000 ans avant maintenant pour la domestication et la culture des plantes locales (-15000 pour le riz).
- l'empreinte en elle-même, ou quoi que ce soit, ne peut être datée, on sait juste que la roche date de deux millions d'années, date des dépôts de cendres et laves.
Le phénomène de l'empreinte du Pic d'Adam du Sri Lanka filmé en 2014
MAJ 02-12-2019 : Le même phénomène d'une pyramide dans le ciel observé et photographié en Suisse, mais également en Roumanie :
Des allures de Gizeh s'invitent durant les mois hivernaux à Spiez (BE), lorsque le Niesen, du haut de ses 2360 mètres d'altitude, projette une ombre pyramidale parfaitement symétrique sur la ville et le lac de Thoune. (Photo: Twitter/@STMediaCh / MySwitzerland)
Ce phénomène, visible de mi-novembre à fin janvier, prend vie lorsque le soleil disparaît derrière le sommet aux alentours de 14 heures. Dès sa réapparition sur le flanc ouest, celui-ci décline en suivant la pente.
Chaque année, au début de mois d’août, deux phénomènes optiques spectaculaires, rares dans le monde et uniques en Roumanie, se produisent au lever du soleil, sur le sommet Toaca du massif Ceahlău.
Une des surprises étonnantes offertes par la nature est une ombre tridimensionnelle gigantesque, un véritable et magnifique hologramme projeté sur la vallée de Bistricioara. Au fil du temps, les observateurs du phénomène lui ont donné le nom de l’Ombre de la pyramide, l’Ombre spatiale ou la Pyramide holographique. Ils ont constaté que la forme de pyramide devient parfaite chaque année le jour de 6 août, 49 jours après le solstice d’été. L’ombre pyramidale parfaite prend naissance ce jour-là suite à la composition des ombres des formations de relief de la zone. Le sommet Toaca, sous les rayons du soleil, venus de l’Est, a une ombre en forme de triangle isocèle, comme tout autre matin de l’année. Les rochers de Piatra Ciobanului (Pierre du Berger), Piatra Vulcanului (Pierre du Volcan) et Panghia, placés plus en bas, étant plus petits que le sommet Toaca, ont d’autres ombres, prolongées. Le phénomène dure plus de 80 minutes; la pyramide holographique s’aplatie et à la fin elle disparaît à mesure que le soleil monte sur le ciel.
Les observateurs du phénomène magique ont constaté que pour que celui-ci ait lieu, quelques conditions spécifiques doivent être accomplies :
- le soleil doit se lever dans une certaine position pour que les ombres mentionnées se superposent parfaitement;
- le côté est du ciel, d’où se lève le soleil, doit être dégagé, sans nuages qui obturent les rayons de lumière, de sorte que les ombres puissent se former;
- il faut qu’il existe un « écran de projection »: l’espace où se forme l’image tridimensionnelle doit être chargé d’aérosols (des particules solides très fines) et de l’eau en suspension (brouillard, nuages) avec une petite densité, qui permette le passage de la lumière.
L’hologramme est tout à fait spécial s’il se produit aussi la fluorescence de l’oxygène (c’est-à-dire lorsqu’il émet de la lumière sous l’influence des rayons ultraviolets), de sorte que l’image composée est bleuâtre et les faces de la pyramide ont des nuances différentes.
Le phénomène a été photographié ou filmé aussi les jours qui précédent la date de 6 août. Il a été observé un mouvement des ombres qui, selon le déplacement du point du lever du soleil, s’unissent et ensuite se séparent.
Parfois, même dans d’autres jours de l’année a lieu la réfraction des rayons solaires autour des formes qui se trouvent sur la sommet Toaca – ainsi apparaît aussi l’image ombrée de la personne qui regarde le phénomène, entourée par un aura multicolore, comme un arc-en-ciel sphérique.
Même si le phénomène en lui-même est expliqué par les lois de l’optique, il existe aussi des aspects reliés pas encore très clairs, ce qu'on pourrait nommer une suite de coïncidences, ou synchronicités. Le sommet Toaca, par sa forme, son emplacement et ses dimensions représente en lui-même un mystère. Il a l’aspect d’une pyramide avec une base carrée, figure qui se forme très rarement naturellement. L’aspect, les dimensions et la position des formes de relief font en sorte que les ombres s’unissent si précisément exactement au moment du lever du soleil, justement le jour où les Daces fêtaient le Soleil, ont fait en sorte que ceux qui ont étudié le phénomène se demandent s’il existe une liaison entre le sanctuaire dacique qui aurait existé en Ceahlău et l’hologramme. Ainsi est apparue aussi le questionnement suivant lequel les habitants de l’antiquité de ces contrées auraient pu modeler la montagne, pour que le phénomène optique soit parfait. Les conditions astronomiques, géométriques (le sommet Toaca et les rochers sont disposés exactement aux endroits adéquats), météorologiques (la saison où les conditions atmosphériques sont adéquates pour que le phénomène optique puisse avoir lieu), des études géologiques, ainsi que des légendes qui disent que le Ceahlău aurait été fait suite à une demande céleste, ont donné naissance à l’idée qu’il se peut que ce massif ne soit pas créé (totalement) par la nature.
Dans la même période du calendrier, il se produit encore un phénomène optique, plus mystérieux et plus élevé. Suite au jeu des lumières et des ombres des premières minutes du lever du soleil, l’ombre du sommet Toaca se projette sur le ciel sous la forme d’une colonne de lumière qui semble jaillir de la montagne et se perde dans l’infini du ciel. Dans ce court intervalle il apparaît qu’entre le ciel et la terre s’ouvre un chemin sacre, de lumière, une Voie Céleste. Certains chercheurs du phénomène expliquent l’apparition de cette « voie » par le fait qu’à travers le sommet Toaca semble passer un des axes énergétiques de la planète Terre.
Ces phénomènes mystérieux, des sui generis hiérophanies, représentent une des raisons pour lesquels le Ceahlău a été considéré par les Daces comme un endroit sacré, une porte de communication avec le Divin. Il est resté jusqu’à présent une montagne sacrée et endroit de pèlerinage, étant la seule montagne de Roumanie qui a un patron. Il est fêté le 6 août, lorsque les Daces célébraient le Soleil, la lumière, le Divin et lorsque dans le calendrier chrétien c’est la fête de la Transfiguration.
La montagne sainte est fascinante aussi pour les roumains de nos jours. Selon la presse locale, le mois d’août 2014 plus de 2000 touristes ont monté sur Ceahlău pour contempler ravis les mystérieux phénomènes.
Conformément à une légende populaire, entre ceux qui se rencontrent sur la montagne Ceahlău s’établissent des liaisons subtiles pour toujours. Une autre légende dit que les bergers de l’antiquité ne montaient pas plus haut d’une certaine altitude, pour ne pas déranger les saints qui vivrait au sommet de la montagne...
L'île au Trésor du Capitaine William Kidd par Albert Fagioli
J'ai déjà eu plusieurs fois l'occasion de parler des recherches de Albert Fagioli, tant pour ses recherches historiques (Le testament du duc d'Enghien Le secret du fabuleux trésor de Marthille) que pour ses recherches dans de multiples églises, cathédrales et chateaux de cryptes cachées, en utilisant à la fois les archives historiques et ses indéniables dons, puisqu'il est considéré comme l'un des meilleurs radiesthésistes français. Rappelons brièvement que la radiesthésie est toujours considérée comme une pseudo-science par la grande majorité des scientifiques, mais que des progrès ont été effectués par le Docteur es Sciences en physique - mathématiques, Ingénieur E.S.C.I.L., Jacques Ravatin qui a travaillé en axiomatique quantique et en mathématiques, et a démontré via la radionique que les ondes de forme ne sont pas des "ondes" au sens de la physique classique mais un phénomène d'émergence dû aux formes à partir du concept de champ de cohérence. Pour Ravatin, la radiesthésie n'est pas un processus divinatoire mais une méthode d'exploration de l'existence dite « sans repères ». Une possible approche d'une perception du "quantique" ou d'une "nouvelle physique" utilisée par le cerveau humain à son insu ou non, mais qui pourrait démontrer aussi des latences du règne animal encore présents dans l'Homme, ce qui serait après tout assez logique...
Le nouveau livre d'Albert Fagioli vient de sortir ce mois après 7 années de recherches, et un an et demi de décalage dû à la pandémie mondiale. " L'île aux 20 coffres. Le trésor du capitaine Kidd enfin dévoilé. Enfin son second livre est sorti après presque 7 années de travail acharné. Depuis sa découverte de la vraie île au trésor du capitaine William Kidd en novembre 2014. Travail en radiesthésie et dans les archives du monde entier et dans de nombreux livres… Il dédicace ce livre à son père décédé en 1988 (il aurait été fier de son fils) et à sa mère. Sans oublier sa femme et son fils et toutes les personnes qui l’ont soutenue pendant toutes ces recherches."
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La description du livre " Le 23 mai 1701, le capitaine de marine William Kidd, convaincu de piraterie et de meurtre, est pendu sur le quai des exécutions à Londres. Dans les derniers jours de son procès, il avait proposé, sans succès, d’échanger sa vie sauve contre l’incroyable révélation du lieu où il a caché son fabuleux trésor de 100 000 Livres Sterlings. Plus de 10 millions en euros d’aujourd’hui.
Depuis trois siècle, l’histoire du trésor caché de Kidd enflamme les esprits des curieux et des aventuriers du monde entier. Les écrivains Robert-Louis Stevenson (« L’île au trésor ») et Edgar Allen Poe (« Le scarabée d’Or ») se sont emparés de la légende. Mais ce n’est pas une légende, car de nombreuses expéditions se sont lancées à la recherche du trésor mythique dans les Caraïbes, les îles de l’Atlantique et de mer de Chine.
Qui n’a rêvé de décrypter de vraies cartes au trésor ? C’est à ce voyage qu’Albert Fagioli vous convie. Il a mené un long travail de recherche personnelle, il a consulté des archives du monde entier, il a analysé les cartes anciennes, il a utilisé les techniques de l’archéologie sensorielle dont il est un des spécialistes français. Albert Fagioli a identifié, le premier, le lieu où est enfoui le fabuleux « trésor aux 20 coffres », dans une petite île au large de la Thaïlande. Des marques du capitaine ont été découvertes récemment sur des rochers de l’île. "
Le livre comporte plusieurs photos, ainsi qu'une post-face de... moi-même, Yves Herbo, car j'ai effectué également quelques recherches sur William Kidd et raconté en détail son Histoire dans un article qui a eu beaucoup de succès auprès de spécialistes (avec beaucoup de photos et vidéos) :
Voici le septième volet (et dernier pour l'instant) d'une série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites). Il ne s'agit que des anciens et très anciens géoglyphes présents autour du monde, les géoglyphes modernes et artistiques (en Australie par exemple) ne sont pas traités...
Voici le cinquième volet d'une nouvelle série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites).
Voici le quatrième volet d'une nouvelle série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites).
Voici le troisième volet d'une nouvelle série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites). Je vais donc parler de, et montrer ces gigantesques énigmatiques oeuvres d'art pour certains, cultes aux anciens dieux venus du ciel pour d'autres, témoignages de connaissances ancestrales liées aux astres célestes et à l'agriculture pour encore d'autres... et, comme ma qualité et imagination d'écrivain d'anticipation passionné d'Histoire ancienne me le permet, au contrario d'une science frileuse qui vit de ses théories mal remises en question, je me permettrai donc quelques hypothèses, englobant, vous vous en doutez, la possibilité et même probabilité (la mémoire étant une denrée non périssable pouvant faire abstraction du temps comme de l'espace matériel) d'une grande civilisation mondiale perdue physiquement mais non spirituellement... (je rappelle que, contrairement à ce qu'affirment certains scientifiques, l'écriture n'est pas absolument nécessaire pour que certains faits soient transmis à travers les générations : les mythes et légendes transmises oralement, par dessins et signes en sont des exemples évidents, sans compter la probabilité de l'existence d'une mémoire ancestrale (via l'ADN ?) quand on met en relation (par exemple) la notion de "licorne" en liaison avec la découverte récente d'un animal préhistorique y ressemblant, contemporain de l'homme préhistorique bien avant l'invention de l'écriture...
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Commentaires
1
lamine
Le 14/06/2013
Trés interressant
2
djemal
Le 15/12/2012
Un grand MERCI pour toutes ces informations .je fais des recherches precisemment sur adam et je dois l`avouer il m`a ete tres difficile de reunir certains indices . il me manqait une datation qui corrobore celle a laquelle je suis arrive et c`est chose faite maintenant .Encore un grand MERCI ET..bon vent pour la suite de votre voyage