Equateur : LE RÉSEAU SOUTERRAIN DE LOS TAYOS - Up 03-06-2018
Un des lieux souterrain habitable des plus complexes de l’humanité, avec une histoire incroyable mais qui est bien pour moi un des lieux aux mêmes caractéristiques que le monde souterrain sous certaines parties du plateau de Giza (Egypte),(du moins pour certaines caractéristiques: Immenses blocs de calcaire, immensité de certaines salles taillées, réseau artificiel et naturel de couloirs, présence de fleuves en surface et sous terre….etc), un lieu qui a sans doute permis à certains de survivre et de préserver certaines connaissances pendant des catastrophes terrestres.
En tout cas l’entrée impressionnante que vous voyez ci-dessus, qui s’aborde par un puit de 65m de profondeur conduisant à des passages spacieux sur 5 km environ de longueur, atteignant jusqu’à 240 m de profondeur, n’est pas l’entrée du réseau souterrain censé renfermer le trésor du royaume perdu des Andes: le Tawantinsuyu (En Quechua les 4 régions des 4 régions unies) regroupant plusieurs territoires Andins: En Equateur, Pérou, Bolivie, Argentine, Colombie et Chili… Il y a plusieurs entrées différentes et plusieurs portions du réseau souterrain qui sont cloisonnées, dont une entrée sous le fleuve Pastaza (plutôt que sous le fleuve Coango proche) qui semble être davantage le lieu où en 1946, à l’âge de 16 ans, serait entré Petronillo Jaramillo,le vrai découvreur de l’histoire qui y aurait vu une partie de ce trésor. En effet, aprés avoir été accepté par les indiens Shuar (appelés:”Les Invincibles” car ni les Incas ni les Conquistadors n’eurent raison d’eux) qui gardent jalousement les lieux par ailleurs inextricables, il aurait vu une sorte de bibliothèque de milliers de plaques en métal, chaque plaque pesant environ 20 kg, avec des dessins géométriques, des inscriptions, le tout sur des sortes de rayonnages. Il y aurait vu une deuxième bibliothèque, celle ci composée de plaques polies translucides et gravées également, posées sur des sortes de tréteaux dorés et des centaines de statues représentant des animaux, des insectes et des hommes montrant tout l’éventail d’émotions possible, des barres de métaux de différentes formes avec des jouets et des piles d’or alluvionnaire, des instruments pour faire des bijoux, des portes scellées recouvertes de pierres semi-précieuses (peut-être des tombes) et un sarcophage d’une matière translucide contenant un grand squelette humain recouvert à la feuille d’or... :
Moritz-Hall-1976
C’est par lui que l’explorateur Argentino-Hongrois “Juan” Moricz eût les renseignements et à son tour essaya d’y entrer en lançant une expédition en 1969. Moricz était poussé par une certitude à la fois curieuse et intéressante : D’abord il revendiquait qu’une vision globale de l’Histoire était nécessaire, ce en quoi il avait parfaitement raison. Ensuite :Que les survivants des Andes arrivèrent en Mésopotamie entre 8000 et 7000 Avant JC sur des bateaux en balsa, que dans la province d’Azuay (En Equateur : région 4500m au dessus du niveau de la mer), cette région andine, les noms sumériens de Ur, Umir, Mosul, sont légione et que l’ancien sumérien serait une dérivation du proto-Magyar (le Scythe), le tout approuvé par de nombreux docteurs en université, mais tous Hongrois… Moricz clama qu’il réussit à y entrer, y découvrit de l’or, des inscriptions curieuses et une bibliothèque de métal, ce que raconta Von Däniken en 1973 dans son livre : ”L’or des Dieux” où il relate sa rencontre avec Moricz. Cependant pour des raisons obscures Moricz nia sa rencontre avec Däniken par la suite, jetant ainsi curieusement le discrédit sur Däniken et son travail. Pourtant en 1975 le formidable ingénieur écossais Stan Hall avec le soutien d’une douzaine d’Institutions et l’astronaute américainNeil Armstrong, rencontre Moricz cette année là et décide une grande expédition en 1976 pour Los Tayos...
L’astronaute Neil Armstrong dans la Grotte de los Tayos en 1976 ; Photo: www.goldlibrary.com
Au cours de cette expédition qui dura 18 mois avec de nombreux scientifiques et une centaine de soldats, on découvrit 400 nouvelles espèces de plantes, une tombe datant de 1500 Avant JC, un réseau souterrain artificiel et naturel impressionnant mais pas trace du trésor en question. C’est que Hall n’avait pas encore rencontré Petronillo Jaramillo pour lui indiquer la bonne entrée du bon réseau souterrain. Cependant plus tard après qu’en 1996Jaramillo rencontra enfin Hall et qu’une nouvelle expédition fut projetée pour 1998, l’équatorien meurt assassiné en 1998, un jour où il portait une forte somme d’argent sur lui. Hall ne se démonte pas et fait une expédition avec le fils de l’équatorien : Mario Petronio Jaramillo en 1998 pour juste reconnaître les lieux, essayer de faire une carte pour y revenir. Il ne trouva pas d’entrée intéressante. Il retourna en mai 2000 et en janvier 2005 se sentant vieillir (il mourut récemment) et étant fatigué des paperasseries administratives et du manque de solidarité humaine, il donna les coordonnées de ce qu’il pense être la bonne entrée à tous ceux désirant chercher davantage : 77°47’34″Ouest et 1°56’00″ Sud.
Petronillo Jaramillo et Stan Hall 1996, Photo : Stan Hall.
Aujourd’hui l’explorateur Stan Grist est sur les traces de Hall et a bien identifié que l’entrée devait se trouver au nord de Los Tayos sous la rivière Pastaza.
Ce qui est très intéressant c’est que Hall qui s’intéressait à beaucoup de choses, avait découvert des micro-diamants au nord du volcan Pichincha à 4200md’altitude, découverte témoignée par le géologue Dr Tim Coates et Dr Robert Dourding alors que les géologues du monde entier pensaient qu’il était impossible que l’on trouve des diamants en Equateur. Les compagnons de Hall pensent qu’il s’agit de diamants explosés lors de l’éruption en plein jour, du volcan à l’Ouest de Quito et que cela donna naissance à l’expression andine :”larmes du soleil”. Or pour certains experts les nano-diamants sont la marque d’une grande déflagration, car on en retrouve par exemple sur une couche de sédiments correspondant à 12,800 ans, avec des marques de très fortes températures et pression en Amérique là où des Paléo-Américains : les Clovis, disparurent totalement du jour au lendemain.
Stan Hall sur les pentes du volcan. Photo: Stan Hall et l'endroit probable de l'entrée sous la rivière
Sources : Article en hommage à l’explorateur Stan Hall par Gigal Antoine
De haut à gauche à en bas à droite : D'énormes blocs taillés encastrés dans la roche en altitude : travail non humain, la salle de la Tombe, des artefacts trouvés en 1976, la plaque en or de Padre Crespi avec sa langue inconnue, trouvée dans ce vaste réseau avec d'autres objets (voir mes articles sur l'Equateur)...
MAJ 13-06-2014 : Une sculpture de la déesse Hator-Inanna trouvée par le Padre Crespi est très étonnante, en voici une comparaison avec une peinture égyptienne :
Leur proche apparence ne peut laisser beaucoup de doutes sur des visites de navires égyptiens très tôt dans l'Histoire en Equateur et probablement d'autres zones. La provenance de la cocaïne dans plusieurs momies égyptiennes antiques en serait ainsi probablement expliquée...
En espagnol malheureusement seulement, voilà une longue entrevue avec Gastón Fernández Borrero en 1996 sur la Cueva de los Tayos. Pour rappel, Mr Borrero a été l'un des membres officiel de l'expédition de Juan Moricz sur les lieux en 1969... et son témoignage est donc à prendre en considération :
Facebook : https://www.facebook.com/pages/Teorias-Karra/292702197472917 - BLOG de Teorias Karra; http://teorias-karra.blogspot.com Entrevista a Gastón Fernández Borrero, uno de los miembros de la primera expedición oficial de Juan Moricz a la cueva de los Tayos en 1969...
LA CUEVA DE LOS TAYOS par Jaime Rodriguez
Pagina oficial en Facebook : Siguenos clic "ME GUSTA": https://www.facebook.com/pages/Teorias-Karra/292702197472917 - BLOG de Teorias Karra; http://teorias-karra.blogspot.com. La Cueva de los Tayos se encuentra en la República del Ecuador, en la provincia de Morona Santiago, Cantón Limón Indanza. En las faldas septentrionales de la Cordillera del Cóndor, a una altitud aproximada de 800 metros, en una zona montañosa irregular se sitúa la entrada “principal”, o mejor dicho la conocida, al mundo subterráneo de la Cueva de los Tayos. El acceso consiste en un túnel vertical, una suerte de chimenea con unos 2 metros de diámetro de boca y 63 de profundidad. El descenso se realiza con un cabo y polea. De allí, un verdadero laberinto se abre al explorador por kilómetros de misterio, que deben ser recorridos en la más absoluta oscuridad.
Une visite au Padre Crespi de son vivant :
En complément, voici une intervention de Michael Cremo - L' histoire Interdite de l'archéologie
Dans son livre Histoire secrète de l'espèce humaine, il recense différentes découvertes anachroniques remettant en question la théorie de l'évolution et l'histoire évolutive des homininés.
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
Philippe
Le 10/06/2018
J'aime bien ce passage.
"Hall ne se démonte pas et fait une expédition avec le fils de l’équatorien : Mario Petronio Jaramillo en 1998 pour juste reconnaître les lieux essayer de faire une carte pour y revenir. Il ne trouva pas d’entrée intéressante. Il retourna en mai 2000 et en janvier 2005 se sentant vieillir (il mourut récemment)"
D'apres Von Daniken on apprend que Mario Petronio Jaramillo est mort par balle en Mai 1998, en laissant un fils de 14 ans.
Donc en 2005 ca ne peut etre que le fils qui y retourne, mais qui se sent vieillir a l'age de .... 14 + 7 = 21 ans ! :)
Non, vous n'avez pas du tout compris : Mario Petronio Jaramillo est le fils de Petronillo Jaramillo, et meurt bien assassiné en 1998, juste après être revenu de l'expédition... on ne parle ensuite que de Hall, qui y retournara en 2000 et 2005 (sans aucun Jaramillo) et qui se sent vieillir en 2005... et mourra d'ailleurs après...
2
bobterminator
Le 24/07/2012
Passionnant ! Quelle aventure !
yveshLe 24/07/2012
Cette histoire est ce que j'appelle un "dessus d'iceberg"... les légendes sur le Tawantinsuyu et de ce pays souterrain relié par plusieurs entrées cachées ont trouvé une étrange confirmation avec ce réseau, ainsi que d'autres détectés par des géomètres... les quelques pays qui participent à "l'année 2012" et ses révélations vont peut-être nous en dire plus le moment venu à ce sujet...