Au large de l'une des îles Kerama, Japon, à une profondeur de 27 à 33 mètres maintenant, se trouve un dédale de structures pierreuses dénommé le labyrinthe de Kerama, constitué de cercles de rocs, on n'a pu déterminer encore s'il s'agit de phénomènes d'érosions naturels ou de structures travaillées et taillées dans la roche. On sait que cette terre était pour la dernière fois au-dessus du niveau de la mer il y a environ 10.000 ans. La disposition de ces pierres sont à rapprocher aux ruines de l'île d'Andros aux Caraïbes, à "l’œuf centre du monde" de l'île de Pâques ou encore aux structures sous-marines de Yonaguni ou des Bahamas, vers Bimini...
Mais il y a encore d'autres choses :
Des trous circulaires symétriques sont au sommet d'un plateau qui s'étale entre 5 et 20 mètres sous l'eau, proche de la côte d'Aguni. Il est très possible que ces trous aient été des puits, lorsque le sommet du plateau était au-dessus de l'eau... :
Des îles ont souvent été employées comme cimetières dans le passé, il est possible aussi que ces trous soient d'antiques tombes, ce qui expliquerait le fait que certains possèdent deux chambres, une verticale en bas, et une horizontale sur le côté : la manière la plus simple pour un deuxième enterrement dans le même espace sans déranger le premier.
Même si cet endroit commence à devenir un attrait touristique indéniable, les plongées aventureuses et les études scientifiques éventuelles sont rendues assez risquées pour les non-avertis à cause de bandes de requins ayant réquisitionné les grottes sous-marines...
Ces fonds marins étaient donc à l'air libre vers -10.000 ans Avant JC... à l'époque des fameux peuples préhistoriques Jomon...
Les Aïnous : Un peuple au Japon... 1000 ans avant les japonais. C'est vers - 1300 Avant JC que les Aïnous s'installent à Hokkaidō au Japon actuel, mais aussi dans les régions russes aujourd'hui telles que les îles Kouriles, l'île de Sakhaline et le sud de la péninsule du Kamtchatka. Ils sont donc installés au Japon 1000 ans avant que le peuple de Wa, les ancêtres des japonais d'aujourd'hui (peuple Yamato issu des Wa). Une chose est certaine : les Aïnous actuels (encore quelques milliers alors qu'ils ont dû se cacher ou cacher leurs origines très longtemps à cause du racisme) ne ressemblent pas aux japonais :
Morphologiquement, les Aïnous ne ressemblent pas aux Japonais. Bien que leur peau soit cuivrée comme celle des Asiatiques, leur morphologie rappelle celle des Aborigènes d'Australie : ils sont plus grands, leur carrure et pilosité sont plus affirmées, leur peau est plus claire, leur visage est moins lisse, leur arcade sourcilière est développée, et leurs yeux ne sont pas bridés. Les publications d'Alfred Smith Bickmore (American Museum of Natural History et American Journal of Science, 1868) ont fait état de ces caractéristiques physiques, les associant alors au type caucasien, à partir des thèses de l'anthropologue allemand Erwin Bälz (1849-1913). L'anthropologue canadien Reginald Ruggles Gates (1882-1962) a ensuite soutenu la thèse d'origines australoïdes (tels que les Andamanais) et mongoloïdes (peuples de langues tibéto-birmanes). Les études génétiques récentes apportent de nouvelles informations quant à leurs relatifs les plus proches. Les Aïnous sont le seul peuple de la période Jōmon à ne pas avoir subi de brassage génétique avec les peuples de la période Yayoi, arrivés plus tard de la péninsule Coréenne. De ce fait, ils sont proches des habitants des îles Ryūkyū (Yonaguni), qui sont aussi issus des peuples Jōmon et ont été peu mixés avec les peuples Yayoi. Les Japonais sont issus du mélange entre Jōmon et immigrants de Corée.
Certains scientifiques ont avancé le fait que les Aïnous descendent d'un groupe ethnique préhistorique qui aurait aussi engendré les aborigènes d'Australie. Cette hypothèse se base sur la découverte d'ossements de la période Jōmon datant d'il y a 10 000 ans. Ces ossements possèdent un faciès semblable à celui des peuples d'Australie et de Nouvelle-Guinée. Le géographe français Jean Delvert avançait que l'architecture des maisons traditionnelles des Aïnous (sur pilotis, avec des cloisons végétales) étant proche de celle des anciennes habitations proto-Malaises, une origine des Aïnous dans le sud-est asiatique n'est pas à exclure.
Les tests génétiques effectués sur les Aïnous montrent qu'ils font partie de l'Haplogroupe D du chromosome Y3. Or cet haplogroupe est rare et n'est retrouvé en quantité significative qu'au Tibet et dans les îles Andaman ce qui suggère une parenté avec certains peuples tibétains, mais également australoïdes.
Mais il y a aussi un fort mélange avec un peuple sibérien, les Nivkhes ou Guiliaks (qui parlent la langue nivkhe), dont ils partagent en partie la langue (qui est un isolat unique et retrouvé nulle part ailleurs)... - pour en savoir plus sur cet ancien peuple particulier :
Un nivkhe - chasseur - Selections from National Anthropological Erchives, Domaine public
MAJ 09-2019 : Les Aïnous n'ont été reconnus comme un peuple à part entière, avec son ethnie, sa langue, sa culture et sa religion qu'en 2007 par le Japon...
YH : Les études génétiques qui ont été faites sur certaines populations de Nouvelle-Guinée, concernées par leurs afiliations à l'Haplogroupe D (comme Denisovien !) ont démontrés que ces populations morphologiquement proches des Aborigènes Australiens, Guinéens, Aïnous, Nivkhes possèdent jusqu'à 6% d'ADN de Homo Denisovien, originaire de Sibérie mais s'étendant possiblement il y a des millénaires jusqu'au sud-est Asiatique et sur les terres maintenant englouties du sud au nord de l'asie de l'est, dont les Philippines, Nouvelle-Guinée, Indonésie en partie, Australie et au-delà selon les âges, larges de la Corée, et de la Mer de Chine et du Japon, dont toutes îles (de Taïwan aux iles russes au nord) en sont les sommets encore émergés. Cet ancien cousin encore bien mystérieux s'était répandu de la Sibérie (Altaï) jusqu'au sud-est asiatique (Tibet inclus avec des possibles crânes denisoviens découverts récemment) et probablement jusqu'au nord du Japon il y a entre - 500 000 et - 20 000 ans. Il n'est bien sûr pas probable que la grotte de Denisova découverte en 2010 soit justement le lieu des origines des Denisoviens, mais bien un site partagé tant par les néandertaliens que les denisoviens, et pendant des dizaines de milliers d'années d'après les âges des différents restes découverts, comme il devrait y avoir d'autres sites, qui restent à découvrir (il n'est pas impossible d'ailleurs que certains sites connus ne soient pas néandertaliens ou sapiens, mais denisoviens.
Les savants du 19ème siècle avaient donc pour certains supposés l'existence d'un groupe préhistorique spécifique ayant comme descendants les aborigènes australiens et ces autres ethnies citées plus haut, ceux du 20ème siècle ont plutôt privilégié l'origine africaine des aborigènes australiens (et des ethnies de couleur noire du sud-est asiatique), mais la découverte de Homo Denisovien (et d'un hybride néandertalien/denisovien surtout), pourrait relancer le débat sur les réelles origines de toutes ces ethnies aux morphologies très spécifiques (les arcades sourcilières très développées en étant la plus visible...).
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
Tout le monde a plus ou moins entendu parler de Nibiru, ou d'Hercolubus, Nemesis, Perséphone, ou encore de la ou les planètes X... ces dernières étant d'ailleurs un terme générique inventé vers la fin du 19ème siècle par les astronomes pour indiquer d'éventuelles planètes de notre système solaire encore à découvrir à l'époque. Il est bon de rappeler de temps en temps que la première planète à être appelée "planète X" a été Neptune, mais aussi Pluton, avant leurs découvertes officielles... car ces planètes avaient bien été "découvertes" par les calculs et grâce à leur influence gravifique, bien avant leur observation visuelle grâce aux télescopes...
Dans les mythologies, surtout celles des babyloniens et des sumériens d'ailleurs, il est question d'une planète Nibiru (ou Hercolobus, voir les deux ou les trois si on parle aussi de Nemesis) qui posséderait une très lente orbite autour du Soleil puisqu'elle ne s'en approcherait que tous les 3.600 ans (ou 26.000 ans environ suivant les versions...), provoquant dans tout le système solaire des bouleversement catastrophiques. Cette orbite particulière expliquerait d'ailleurs les cycles d'extinction de la vie sur Terre, mais aussi les glaciations/réchauffements et même la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter - une ancienne collision avec une planète située auparavant sur cette orbite... on peut ainsi dire qu'il y a autant de versions possibles que d'auteurs ou même traducteurs d'écritures anciennes ou textes anciens... Une chose est pourtant certaine, c'est que cette ou ces planètes sont bien citées dans plusieurs textes très anciens, et à priori par plusieurs auteurs et à des époques différentes - ces textes réunissent donc effectivement certains attributs qui sont acceptés pour d'autres textes, visibles dans nos livres d'Histoire, sans beaucoup plus de preuves d'ailleurs...
Déjà, une comparaison des rapports de la NASA et ce qui est lisible dans la presse et les médias d'il y a un an laisse apparaîtreune forte distorsion et mauvaise interprétation de la part des médias... En effet, il s'agissait d'un rapport sur les premières analyses des données transmises par le laboratoire spatiale WISE de la part de la NASA... qui avait bien affirmé plusieurs années auparavant (lors du lancement de WISE), que les millions de données transmises par WISE mettraient probablement DE NOMBREUSES ANNEES a être analysées et pour pouvoir envisager avoir une idée un peu plus précise des nombreux objets circulant dans notre système solaire, astéroïdes ou planètes, comètes... il était plutôt question de deux à quatre ans APRES LA FIN des transmissions de WISE et même de NEO-WISE (puisque le labo a été spécialisé après sur la détection des astéroïdes)... Or, la fin des transmissions de WISE n'a eu lieu que fin 2013, ce qui fait que toutes les données n'ont même pas encore été analysées... et mieux encore, la NASA a également admis que les techniques dans l'ultra-violet et infra-rouge utilisées par WISE ont été améliorées depuis, et qu'il est possible que ces nouvelles techniques pourraient permettre de détecter des objets encore invisibles par WISE, notamment dans les ceintures lointaines des comètes...
Et mieux encore, la NASA a aussi expliqué, en complément, que même s'il était assez improbable qu'une autre planète de la taille de Jupiter par exemple, puisse exister dans notre système solaire, au-delà de l'orbite de Pluton, il était possible qui y existe des planètes intermédiaires, c'est-à-dire des Super-Terres par exemple, des astres de 4 à 10 fois la taille de la Terre donc, indétectables par WISE par leur manque de luminosité ou cachées derrière des nuages cométaires ou de poussières... de plus, on a vu, en observant d'autres systèmes stellaires plus éloignés, que notre modèle "accepté" de la création des systèmes stellaires, dont le nôtre...n'était pas fiable, et que des planètes pouvaient être créées dans des disques d'accrétions beaucoup plus étendus qu'imaginés jusqu'à présent...
Bon, nous avons donc plusieurs astronomes ou astrophysiciens qui ont calculé qu'une ou même deux planètes X devraient se trouver au-delà de l'orbite de Pluton puisqu'elle(s) perturbe(nt) les orbites de mini-planètes connues (comme Sedna, ou 2012VP113) et des orbites d'astéroïdes et comètes connues...
Mais il y a aussi d'autres découvertes surprenantes, qui viennent en corrélations avec ces fameuses planètes X : la découverte de nombreuses planètes errantes, sans étoile apparente pour tourner autour, et qui semblent filer à toute vitesse dans l'espace ! (mais il y a peut-être aussi des planètes très très excentriques, tournant tellement loin autour d'une étoile qu'on ne l'a pas identifiée avec certitude !
Et aussi la confirmation de l'existence de cette fameuse Matière Noire, qui pourrait aussi parfaitement expliquer pourquoi WISE ni personne n'a encore pu "voir" ces fameuses planètes X, y compris dans notre propre système solaire ! :
Cette modélisation réalisée en 2007 par des astrophysiciens de l'Université de Stanford illustre la présence de matière noire (taches brillantes) qui serait contenue dans les galaxies satellites de notre Voie Lactée. Crédits : Université de Stanford
(Extrait) : " C'est en 2009 qu'une étude dirigée par l'astrophysicienne Sukanya Cakrabarti (Institut de Technologie de Rochester, États-Unis) prédisait l'existence d'une galaxie naine jusqu'ici non détectée, qui serait située juste à côté de notre galaxie (vous pouvez lire un résumé de cette étude et des travaux ultérieurs menés par cette équipe sur ce même sujet ici : "New technique could pinpoint Galaxy X"). Une galaxie est composée de millions ou de milliards d'étoiles et de planètes, rappelons-le... Cette galaxie, principalement constituée de matière noire, cette hypothétique forme de matière indétectable car n'émettant aucun rayonnement, dont l'existence était à l'époque postulée, à cet endroit, par les chercheurs de l'Institut de Technologie de Rochester, en raison de "rides" repérées dans la partie externe de notre galaxie. Des rides dont ces scientifiques faisaient l'hypothèse qu'elles étaient causée par l'influence gravitationnelle de cette galaxie.
Or maintenant, ces mêmes chercheurs de l'Institut de Technologie de Rochester pensent avoir découvert cette fameuse "galaxie X". Des travaux publiés le 5 février 2015 dans la revue Astrophysical Journal Letters.
En analysant les données recueillies par les installations de l'Observatoire européen austral, ces astronomes ont découvert l'existence de quatre jeunes étoiles situées à 300 000 années-lumière de la Terre, et dont ils pensent qu'elles appartiennent à cette galaxie naine dont ils avaient postulé l'existence en 2009 : "J'ai décidé de regarder si nous pouvions trouver cet objet. Il s'agissait d'une prédiction difficile à tester car l'endroit était proche du plan de notre galaxie, par conséquent difficile à observer à l'aide d'un télescope optique. Ces jeunes étoiles sont probablement la signature de cette galaxie qui avait été prédite. Elles ne peuvent pas appartenir à notre galaxie car le disque de la Voie Lactée s'achève à 48 000 années-lumière", explique Sukanya Cakrabarti dans un communiqué publié par l'Institut de Technologie de Rochester.
Cette galaxie naine invisible aux yeux des télescopes optiques, mais détectable par les yeux infrarouge du télescope VISTA de l'Observatoire européen austral, serait majoritairement constituée de matière noire, cette forme de matière indétectable dont les récents travaux de la mission Planck ont montré qu'elle constituerait pas moins de 25.9% du contenu de l'univers (lire sur le Journal de la Science "Planck révèle de nouveaux secrets sur l'enfance de l'Univers"), ce qui contribuerait à expliquer pourquoi sa détection aurait été si difficile.
Pour contextualiser ces nouveaux travaux, il nous faut signaler ici que de nombreux astronomes font depuis longtemps l'hypothèse que les grandes galaxies sont entourées de petites galaxies naines analogues à celle qui aurait été détectée par Sukanya Cakrabarti et ses collègues. Majoritairement constituées de matière noire dont par définition échappant à toute détection directe, leur influence gravitationnelle n'en serait pas moins considérable. Sur ce point, se reporter à l'image ci-dessus, produite en 2007 par des astronomes de l'Université de Harvard (États-Unis).
Si, comme la mission Planck le prouve, la Matière Noire constitue près de 26% de toute la matière de notre univers, il y a donc une forte probabilité qu'elle soit également présente dans notre propre système solaire et, pourquoi pas, sous la forme d'une ou plusieurs planètes X non encore détectées, mais qui ont bien une influence gravifique calculable (et calculée d'ailleurs apparemment par certains...). Il ne faut pas oublier non plus que WISE a même découvert récemment d'autres systèmes stellaires voisins, dont tout un système stellaire, très proche du notre puisque c'est un voisin, seulement visible dans l'infra-rouge... et même probablement un troisième astre caché...
Voici une série de vidéos sur le thème Nibiru, attention, comme je l'ai déjà dit, il ne faut pas croire tout ce que disent les médias, ni prendre à la lettre ce que disent les scientifiques, mais encore moins ceux qui en rajoutent sans aucune preuve réelle... ceci est juste à titre informatif et c'est à votre propre cerveau d'analyser les choses, pas celui des autres...
Dans une nouvelle découverte étonnante dans les jungles du Mexique, les archéologues ont mis au jour deux anciennes cités mayas, y compris des temples en ruines d'une pyramide, des restes de palais, un tunnel en forme de bouche de monstre, un terrain de jeu de balles, des autels et d'autres monuments de pierre, selon une nouvelle édition de Discovery News. En fait, l'une des villes avait été trouvée il y a des décennies, mais toutes les tentatives de dégagement avaient échoué. L'autre ville était auparavant inconnue et est une découverte nouvelle, un éclairage nouveau sur l'ancienne civilisation Maya.
One of the cities featured an extraordinary facade with an entrance representing the open jaws of an earth monster. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Le Chef d'expédition Ivan Sprajc, du Centre de recherche de l'Académie slovène des Sciences et des Arts (ZRC SAZU), a expliqué que la découverte a été facilitée par des photographies aériennes de la forêt tropicale du Yucatan central dans l'État de Campeche, au Mexique. Certaines anomalies ont été constatées dans la végétation épaisse de la forêt et une équipe a été envoyée pour enquêter sur place.
Les archéologues ont été stupéfaits de découvrir une ville entière dans une zone située entre les régions de Rio Bec et Chenes s'étendant sur plus de 1800 miles (et où aucune structure n'avait été trouvée jusqu'à présent !), qui se caractérisent par leur architecture classique datant d'environ 600 à 1000 de notre ère.
Bien qu'une ville avait d'abord été trouvée par l'archéologue américain Eric Von Euw dans les années 1970, qui a produit des documents et des dessins de ruines mayas, l'emplacement a été perdu et toutes les tentatives de relocalisation de la ville, qu'il appela Lagunita, avaient échoué jusqu'à maintenant.
Šprajc encontró el año pasado estelas en la zona de Chactún. Foto: Especial
L'une des caractéristiques les plus impressionnantes de la cité maya est l'énorme porte d'entrée monstre-bouche (représentée dans l'image sélectionnée), qui représente une divinité de la terre maya de la fertilité. " Ces portes symbolisent l'entrée d'une grotte et, en général, à l'aquatique souterrain, lieu d'origine mythologique du maïs et demeure des ancêtres ", a déclaré Sprajc à Discovery News.
Au-delà de la porte d'entrée, Sprajc et son équipe ont rencontré un grand temple pyramidal mesurant 65 pieds (20 mètres) de hauteur, ainsi que les ruines d'un complexe de palais organisé autour de quatre grandes places. À proximité, ils ont trouvé de nombreuses sculptures en pierre et plusieurs autels, tous gravés avec des reliefs et des inscriptions bien conservées.
The remains of a temple pyramid in the ancient Mayan city of Lagunita. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
L'une des inscriptions a été analysée par épigraphiste Octavio Esparza Olguin de l'Université nationale autonome du Mexique, qui a révélé que les hiéroglyphes notent la date du 29 Novembre de l'an 711 et se réfèrent à un "seigneur de 4 k'atuns" (un k 'atun est une période de 20 ans, 80 ans donc). Toutefois, malheureusement, la section de texte qui aurait noté le nom du règnant n'est pas suffisamment claire pour être lue.
The hieroglyphic inscription dated to 29th November, 711 AD. Credit : Ivan Sprajc / Discovery News
Les archéologues ont également trouvé 10 stèles (grands Arbres de pierre sculptés) et trois autels (moyennes pierres circulaires) qui présentaient des reliefs bien conservés et des inscriptions hiéroglyphiques. Une tablette maya découverte raconte une lutte de pouvoir. - Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Encore plus étonnante que la redécouverte de Lagunita, il y a aussi le fait que Sprajc et son équipe sont également tombés sur un autre ensemble de ruines antiques à proximité, qui était jusque-là inconnu, y compris un temple pyramidal, un autel, et de grandes acropoles entourées de trois temples. Ces structures ressemblent à une autre ville maya, qu'ils ont maintenant nommé Tamchen («puits profond»), après avoir trouvé plus de trente chultans, des chambres souterraines profondes utilisées pour recueillir l'eau de pluie.
Plus de 30 chultuns ont été trouvés sur le site. Ce sont des chambres souterraines en forme de bouteille, en grande partie destinés à la collecte des eaux pluviales. " Plusieurs chultuns étaient exceptionnellement profonds, allant aussi loin que 13 mètres (43 pieds) ", a déclaré Sprajc. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Stone structure from the previously unknown city, which has since been named ‘Tamchen. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Bien qu'il semble que les deux villes aient existé en même temps pendant au moins une partie de leur existence, il est évident que Tamchen pourrait avoir été créée avant Laguinita, avec des structures liées à une période pré-classique tardive (300 avant JC - 250 après JC).
Sprajc a expliqué que les deux villes " ouvrent de nouvelles questions sur la diversité de la culture maya, le rôle de ce domaine étant largement inexploré dans l'histoire profonde des Mayas, et ses relations avec les autres entités politiques.".
" Selon l'archéologue Octavio Esparza, plusieurs de ces monuments ont été réutilisés dans les derniers temps, peut-être entre la fin de l'époque classique jusqu'à la fin ou au début de la postclassique.
« Ces gens ne savaient pas la signification de ces monuments, puisque certaines des stèles ont été trouvées à l'envers ; cependant, ils savaient qu'ils étaient importants et les adoraient ", a déclaré l'expert.
Avec Chactún, Lagunita et Tamchén détiennent plusieurs éléments inhabituels, ce qui représente un défi pour la recherche future dans le domaine archéologique inconnu du Campeche oriental.
Un phénomène circulaire étonnant apparaît au large de la Croatie
Plusieurs rapports étranges sont parvenus de plusieurs îles au large de la Croatie depuis plusieurs jours, au point que des chaînes de télévision se sont intéressées au phénomène, effectivement visible par avion mais aussi du sol. Une successions de cercles tourbillonnants d'eau sont apparus à la surface de la mer entourant les îles de l'archipel de Kornati, de Premuda, de Dugi Otok et Molata. Tous ces cercles ont un diamètre d'environ 50 mètres et sont à égale distance de la côte mais aussi les uns des autres. Ils ont été découvert officiellement par des plongeurs de l'association écologique Sunce de la ville de Split, qui vérifiaient la flore et faune marine locale.
Les habitants de Kornati s'interrogent sur la provenance de ces cercles, certains postulant déjà que ce n'est pas d'origine terrestre. La plupart des cercles, 28 ou même plus, ont été repérés sur la côte ouest de l'île de Dugi Otok, tous de même taille. Les cercles sont à la même distance de la côte et les uns des autres. Tous sont à une profondeur de 20 mètres ou plus et ont un diamètre de 50 mètres. Les biologistes ont d'abord pensé que ce pourrait être causée par la pêche à la dynamite interdite ou des recherches de pétrole et de gaz, mais les experts en explosifs et de la recherche sous-marine ont rejeté cette option. Il y a aussi d'autres spéculations.
Selon certains témoins et photos, des cercles étranges apparaissent également dans le ciel, dessinés dans les nuages, et il pourrait y avoir un lien avec l'astrologie ou des extra-terrestres. Les scientifiques de l'Institut de géophysique de Zagreb rejettent évidemment la théorie sur les ovnis extraterrestres et ils vont immédiatement commencer à chercher des causes plus terrestres sur les apparitions de ces cercles.
D'après les observations, on sait que la mer de Posidonia oceanica est une mer d'herbe endémique de la Méditerranée. Le Biologiste Mosor Prvan de l'Association Sunce, un organisme environnemental sans but lucratif qui d'abord remarqué les cercles, n'a trouvé aucune explication pour le phénomène. " Nous avons d'abord vu les cercles sur des photos aériennes en 2013 tout en travaillant sur un projet de cartographie des habitats dans les îles de Unije, Susak et Srakane ", a déclaré Prvan à Mashable. "C'est un mystère. Il ne pousse rien au milieu de ces cercles. Juste du sable " a indiqué le biologiste Mosor Prvan. En effet, à l’intérieur de ceux-ci, la Posidonie de Méditerranée (espèce de plantes à fleurs aquatiques) ne pousse absolument pas alors qu’elle est présente juste à côté du cercle. ". D’après Mosor, ce phénomène serait le fait de l’homme. Il compte d’ailleurs procéder à des analyses chimiques pour tirer l’affaire au clair.
L'archipel croate de Kornati
Yves Herbo : je note personnellement, à la vision de certaines images satellite de l'endroit, qu'il s'y trouve un effondrement géologique évident d'une grosse partie de l'ancienne côte de cette île sous l'eau, et, en zoomant, on a l'impression de déceler sur l'ancienne côte plusieurs structures très (trop ?) symétriques et à angles droits... illusion d'optique peut-être, mais nombre de maisons et anciens villages ont été engloutis lors de ras-de-marées ou séismes, volcanisme dans toute la Méditerranée... d'un autre côté, on constate aussi une montée en puissance actuelle du volcanisme et de l'activité tectonique... un autre lien possible. D'autres possibilités seraient des remontées de gaz ou le réchauffement climatique qui provoquerait des modifications chimiques locales de la flore peu profonde de la mer près des côtes...
Le phénomène serait comparé par certains à des cercles de culture d'herbe aquatique, en symétrie avec certains cercles apparus dans les champs sur terre (voir ci-dessous en Californie) ou même sur la glace...
" A Monterey, dans la Salinas Valley, deux amis ont affirmé avoir été témoins d'un phénomène étrange après avoir vu des flashs lumineux près d'un champ avant que des cercles ne se dessinent au sol. La zone a été sécurisée. "
Source vidéo : Phénomène étrange en Californie : de grands cercles dans un champ après des flashs lumineux
Notons aussi qu'un phénomène de "circlegrass" était apparu dans la Mer Baltique, et a été récemment expliqué par l'utilisation de substances chimiques provenant d'usines ! :
Les " anneaux féeriques " du Danemark expliqués ? Les Cercles mystérieux de la mer Baltique ne sont pas aussi "Aliens" que les gens ne le pensent.
The “fairy rings” were first photographed in 2008 by tourists. The circles made another appearance in 2011. University of Southern Denmark
" Alors que la Terre est pleine de petits mystères, voici un phénomène inexpliqué que nous pouvons rayer de la liste : les biologistes au Danemark ont mis au pointune raison scientifique pour expliquer les étranges "anneaux de fées" trouvés dans les eaux peu profondes de la mer Baltique.
Les cercles, d'abord photographiés en 2008 par les touristes perplexes, ont frappé l'imagination des visiteurs et des utilisateurs de l'Internet aussi bien, ce qui a donné certaines théories sauvages sur l'origine des anneaux. Sont-ils des cratères de bombes de la Seconde Guerre mondiale ? Des indentations laissés par des vaisseaux extraterrestres?
Il s'avère que le phénomène apparemment extraterrestre a des origines plutôt banales. Une équipe de chercheurs de l'Université du Danemark du Sud et de l'Université de Copenhague ont identifié un certain type de plantes marines, appelée zostère, comme étant la cause des mystérieux "anneaux de fées" du Danemark.
" Cela n'a rien à voir avec des cratères de bombes ou des marques d'atterrissage pour des aliens," ont déclaré les biologistes Marianne Holmer de l'Université du Danemark du Sud et Jens Borum de l'Université de Copenhague dans un communiqué. " Ni avec les fées, qui dans les temps anciens ont obtenu le blâme pour des phénomènes similaires sur la terre, les anneaux de fées dans les pelouses étant un exemple bien connu ". (YH : mais les usines toxiques beaucoup moins à priori à l'époque !)
Les chercheurs disent que la zostère pousse dans de grands cercles, par une expansion radiale vers l'extérieur du centre. L'herbe à l'extérieur du cercle est la plus récente et la plus forte de la zostère marine, et l'herbe dans le centre est plus faible et plus ancienne.
Dans leur étude, publiée dans la revue de biologie marine, les scientifiques expliquent comment la boue toxique contenant du sulfure, une substance toxique pour la zostère marine, est prise dans les feuilles des plantes. Comme elle s'accumule, elle commence à étouffer et tuer les zostères. L'herbe dans le centre, qui est la plus faible, meurt en premier, laissant une bordure d'herbe sur le bord extérieur de l'aire de la zostère marine.
" La plupart de la boue est lavée par le stérile fond crayeux, mais comme des arbres piègent le sol sur une colline exposée, les plantes zostère piègent la boue", ont noté les chercheurs. " Et donc, il y aura une forte concentration de boue riche en sulfure parmi les plantes de zostères. "
La mystérieuse civilisation de l'Indus - 2012 - MAJ 06-2015
Mohenjo-Daro, Pakistan/Inde : Comme à Pompéï, plusieurs corps calcinés ont été retrouvés enfouis, reposants tels quels dans les anciennes rues.
Ce site constitue un véritable mystère, affirment les archéologues, qui auraient juré, avant la découverte de Mohenjo-Daro, qu’aucune véritable civilisation n’avait pu exister dans la vallée de l’Indus, au Pakistan, il y a environ 4 500 ans. Depuis 1921, une succession de découvertes dont la cité d’Harappa puis celle de Mohenjo-Daro ont prouvé l’existence d’une culture jusqu’alors inconnue.
La civilisation de la vallée de l’Indus a inventé une écriture à ce jour indéchiffrée (YH : mais plus ou moins traduite maintenant sous les dénominations "phonétique archaïque" ou "proto-sanscrit") et a manifestement marqué la culture indienne. Mais, le plus grand mystère reste l’abandon de ces cités et la disparition de cette civilisation.
Harappa-Pierre industrielle
En 1921, des fouilles débutèrent à Harappa. Les archéologues mirent au jour les maigres vestiges d’une grande cité.
En 1922, un archéologue indien qui cherchait les vestiges d’un ancien temple bouddhiste, mis au jour à 640 km d’Harappa les ruines d’une civilisation protohistorique. C’est une véritable métropole qui sortit de terre. Mohenjo-Daro, la « colline des morts », fait toujours l’objet de recherches mais aussi de vives controverses. Mais qui était cette civilisation restée si longtemps dans l’ombre ?
Harappa
Il faut imaginer un peuple qui a vécu sur un immense territoire. Ce peuple parlait une langue qui nous est inconnue et utilisait une écriture que nous n’avons toujours pas réussi à déchiffrer.
Cette civilisation a construit de grandes villes divisées en quartiers mais avec une logique qui nous échappe.
En effet, nous n’avons retrouvé ni temples, ni palais. Les premiers habitants de la vallée de l’Indus ont commencé à édifier des villages vers le VIIe millénaire avant notre ère.
Puis, entre 3 200 et 1 800 ans avant notre ère, de grandes villes s’épanouirent. C’est entre 2 700 et 2 600 ans avant notre ère que furent édifiés les imposants murs d’enceinte d’Harappa.
Harappa
Les chercheurs ont d’abord pensé que cette civilisation était constituée de colonies provenant de Mésopotamie. Mais, les fouilles ont révélé que ce peuple avait ses caractéristiques propres. Pour l’instant, faute de nouveaux indices, officiellement la plus ancienne civilisation indienne est née sur les rives de l’Indus tout comme l’Egypte s’est développée sur les rives du Nil :
(voir la suite ci-dessous) :
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