2009 : Un tombeau est découvert et contient la momie d'un enfant de la noblesse de la dernière époque de Nasca. Avec la momie se trouvaient des bijoux en or, en argent et en pierres précieuses.
Payer pour maintenir un gardien sur place pendant 27 ans, de sa poche, s'est révélé utile pour l'archéologue italien Giuseppe Orefici, directeur du projet Nasca. Non remboursé par ses superviseurs en Italie ni par l'état péruvien (honteusement, mais tout à fait prévisible), c'est grâce au dévouement de l'italien au complexe religieux de Cahuachi, une grande ville non habitée en permanence mais entièrement consacrée aux cérémonies liées à l'enterrement des nasca, une ville étendue en adobe, avec d'innombrables pyramides enterrées, que la découverte a pu être faite.
Reconstitution de Cahuachi (partielle)
Découverte lors d'une fouille récente, la momie d'une jeune prêtresse, un membre de l'élite, a été datée de entre 300 et 450 Après J.C., avec plusieurs objets précieux. Il s'agit de la période la plus importante, l'apogée, de ce qu'on suppose être la plus grande ville en adobe du monde, si elle n'avait pas été enterrée entièrement vers 550... (YH : Je rappelle ici que la civilisation Nasca - héritière/continuité de la culture Paracas - est estimée avoir évolué pendant au moins 900 ans, entre - 200 Avant JC et 700 Après J.C)...
Cahuachi complètement enterrée, visible en 1952 d'avion
Selon Orefici, la jeune fille doit avoir été importante. Elle devait avoir entre 12 et 14 ans à son décès et a été retrouvée dans une série de chambres entre la Grande Pyramide et ce qu'on appelle la Pyramide d'Orange. Le bâtiment aurait formé un petit temple qui avait 4 colonnes qui maintenaient son toit. Cette tombe dénote donc fortement avec les habituelles tombes en forme de simples trous, dans lesquels les nasca étaient ensevelis en position assise et entourés par plusieurs tissus et cordes (fargos)...
Cahuachi de nos jours, partiellement déterrée et reconstituée
Les archéologues ont dû enlever une couche composée de feuilles et d'épis de maïs, puis trois couches ou planchers de roseaux (bambou) et de cordes en feuilles de pacae, qui recouvraient l'inhumation. Le corps semblait avoir été peint et trouvé avec une vertèbre supplémentaire ajoutée (YH : C'est ici l'un des mystères entourant les pratiques des cultures précolombiennes au Pérou). Elle avait également des avant-bras légèrement déformés, apparemment quelque chose qu'elle se serait elle-même infligé par le maintien des bras étendus verticalement pendant de longues périodes de temps - peut-être à la suite de ses prières. Elle était enveloppée dans un tissu finement tissé qui avait des motifs d'orques (épaulards) trouvés dans le Pacifique Sud et qui contenait des têtes de flèches d'obsidienne.
Mais les objets les plus impressionnants sont les bijoux trouvés dans le tombeau. Parmi ceux-ci en particulier, se démarque un anneau de nez doré spectaculaire serti d'argent, qui a été retrouvé sur son nez lorsqu'il a été découvert. On a également trouvé des colliers et des bracelets de coquilles spondylotiques précieuses parmi d'autres objets précieux.
Curieusement, il y avait aussi des douzaines de têtes d'oiseaux de proie avec leurs becs attachés fermés avec de fines cordes, quelques-uns accompagnés de leurs corps entiers. On a également trouvé un certain nombre d'articles en céramique, finement décorés avec des motifs géométriques.
La découverte a été emmenée dans la ville de Nazca où elle est étudiée par l'anthropologue et physicienAndrea Drusini de l'Université de Padoue. Pendant ce temps, Oferici continuera à payer le gardien du site lui-même, la seule façon de garantir la préservation des temples où des découvertes probablement plus spectaculaires seront faites - par les archéologues, et non par des pilleurs de tombes...
En tout cas, après la mort de cette très jeune prêtresse, la situation des nascas se détériora (climat ? séismes ? envahisseurs ?) et la ville fut entièrement ensevelie volontairement et la culture et la religion prenaient un autre tournant, visible dans les poteries et céramiques...
Yves Herbo : La civilisation Nasca est maintenant étudiée depuis de nombreuses années, ses 800 à 1000 ans d'existence ont été divisés en 4 grandes parties, elles-mêmes sous-divisées en 9 parties liées aux céramiques et diverses poteries découvertes sur les lieux. Bon, les poteries et autres objets culturels sont les seules choses sur lesquelles les archéologues peuvent s'appuyer pour leurs hypothèses, en l'absence d'écriture ou de symboles reconnaissables par notre propre culture, et bon nombre de ces scientifiques (pas tous) admettent que la logique et les connaissances de la science moderne, méthodologies, peuvent se tromper dans les approches et protocoles divers, qui peuvent être valables ponctuellement et localement sans pouvoir être généralisés devant l'absence (et c'est souvent le cas dans les Amériques, à cause des pilleurs de tombes, huaqueros et les collectionneurs liés) d'un contexte établi. En effet, des poteries et objets trouvés sur les lieux, de part les mélanges, pillages et asservissements de populations et cultures parfois éloignées, physiquement et/ou temporellement, peuvent facilement tromper les archéologues sur leurs origines et fabrication (et ceci est aussi valable ailleurs, entre autres en Europe et les régions de nomades anciens). Néanmoins, hormis deux périodes distinctes (les périodes 5 et 7 à 9 liées aux poteries - malgré l'assimilation par les Huaris/Incas vers 600, des poteries nasca ont été datées de 755), une grande continuité des figures (géométriques ou animalières, anthropomorphes) présentes sur un grand nombre de céramiques fait que la "touche" nasca est bien reconnaissable. Et, de l'avis même des spécialistes, leur mystère (non résolu) réside toujours dans le systématisme des figures géométriques (dont on en retrouve certaines dans les fameuses lignes de Nasca), mais aussi des systématismes moins remarqués par les scientifiques (ou moins mentionnés) : le nombres de doigts et orteils dessinés pour un grand nombre d'animaux et de personnages à priori humains : le nombre 3 est assez évident et constant sur l'ensemble de la durée de la culture en question, sauf justement pour la période intermédiaire de 100 ans (entre 450 et 550 après J.C) qui a suivi la disparition et l'ensevelissement de la cité, suite à une possible révolte survenue vers 450, et la dernière période, où des mains et orteils normaux avec leurs 5 doigts sont visibles aussi, avant la disparition complète de la culture nasca (absorbée par les Huaris puis les Incas d'après les archéologues, de 600 à 750...). On peut s'étonner de la propension des nasca à vouloir en quelque sorte "cultiver" certaines anomalies ou différences physiques avec l'être humain "classique". Car on ne parle pas seulement de leur art étrange, montrant des êtres affublés de membres aux trois doigts, de corps cerclés ou bardés de serpents (têtes) ou d'hommes aux têtes de jaguar, de condors ou reptiles, mais aussi des nombreuses têtes humaines coupées découvertes dans beaucoup de lieux. Des collections de têtes trépanées, avec un trou au front et suspendues par une corde enserrée dans ce trou. Et le fait qu'il ne s'agissait pas obligatoirement d'ennemis, mais bien de nascas, sacrifiés à un dieu méconnu par les archéologues. En effet, ces derniers se basent essentiellement sur les poteries et dessins d'animaux trouvés, pour supposer que les dieux des nascas étaient... des animaux (avec trois doigts d'ailleurs pour beaucoup)...
Pour Cahuachi, la cité inhabitée, on note aussi que beaucoup de poteries trouvées par exemple dans les nombreuses tombes, typiquement de meilleure qualité que celles pour un usage quotidien, sont peintes avec des animaux et desfigures hybrides humain-animal, en particulier des félins, des singes, des oiseaux, des lézards et des araignées aux visages humains. Les textiles étaient souvent enterrés à l'intérieur de grands pots en céramique. Les images tissées ou parfois peintes sur le tissu montrent des thèmes similaires à la décoration de la poterie, ainsi que des scènes de récoltes abondantes et de l'agriculture. De nombreux textiles ont des bordures représentant des crânes humains fixés. Deux découvertes extraordinaires sont une seule longueur de tissu mesurant 7 mètres sur 60 mètres et un magasin de 50 robes pour femmes. Ces dernières ont des images de colibris très semblables à celles décrites dans les célèbres géoglyphes des lignes de Nazca à travers le sol du désert voisin. Enfin, dans une zone spécifique de Cahuachi, peut-être un atelier de tissage, des fouilles ont trouvé divers instruments et outils utilisés pour fabriquer des textiles tels que des broches, des colorants, des fils de coton et des métiers.
Le plus grand monticule, connu sous le nom de «Grand Temple», se compose de six ou sept terrasses faites en terre au sommet d'une colline naturelle et contenues dans des murs de soutènement en briques d'adobe. Il atteint une hauteur de 30 mètres. Outre les tombes dans son intérieur, il y a aussi des petites chambres dans lesquelles on a découvert un grand nombre de flûtes d'argile, indiquant que la musique était une partie importante des cérémonies de Nazca. Le tombeau le mieux conservé se trouve dans un autre monticule et est désigné sous le nom de "Salle des messages". Il contient un autel central entouré de colonnes supportant un toit. Les murs sont décorés avec des images inscrites de flûtes et de visages aux rayons lumineux.
Bien que beaucoup de tombeaux de Cahuachi aient été pillés, les découvertes occasionnelles de sépultures intactes ont révélé des momies enveloppées dans des textiles fins. Certaines de ces momies - des hommes, des femmes et des enfants - montrent des signes d'avoir été sacrifiées. Les individus étaient des gens de Nazca, et non-pas des ennemis capturés par exemple, et ils présentent des caractéristiques typiques des inhumations andines comme un crâne perforé, l'élimination de la langue et en la plaçant dans une poche, des excréments dans la bouche et des yeux et des lèvres scellés à l'aide d'épines de cactus. Certaines tombes contiennent aussi des preuves de sacrifices d'animaux.
Cahuachi a été abandonnée à partir du milieu du 6ème siècle CE, peut-être en raison du changement climatique alors que l'environnement local devenait encore plus aride. Les tremblements de terre, aussi, ont peut-être contribué au déclin du centre. Il est intéressant de noter que le nombre de géoglyphes créés à cette époque a augmenté (d'après les poteries datées trouvées), indiquant peut-être le besoin urgent d'aide divine pour faire face à la crise. Les monticules ont été systématiquement couverts de terre et l'abandon de Cahuachi a été planifié et délibéré. Le site a continué à recevoir des offres votives et des sépultures pendant des siècles, indiquant cependant que les peuples locaux ont continué à attribuer un caractère sacré à Cahuachi longtemps après la disparition de la culture de Nazca.
Il est intéressant aussi de noter que ailleurs, au Mexique par exemple avec les Aztèques, on retrouve également ces dessins de "dieux" possédant des trois doigts ou trois orteils, comme ci-dessous avec un extrait du Codex Tuleda :
Bien que la présence rare d'une vertèbre supplémentaire chez certains êtres humains ait été remarquée et étudié par la science dès le 19ème siècle (voir la publication du Dr G. Papillault en 1898 par exemple, trouvable sur internet), la rareté du phénomène (expliqué en partie par le médecin français par une présence anormale de muscles encerclant certaines lombaires, apparus probablement lors de la phase fœtus des cadavres d'adultes étudiés (tous plus grands en taille que la moyenne), fait que cette distinction est toujours très méconnue de nos jours. Aucune étude génétique n'étant disponible, on peut s'interroger (à partir de l'étude de 1898) sur la possibilité d'un reliquat génétique d'une "queue" dans le génome humain, un héritage de la lointaine période liée aux primates dont descendraient Homo Sapiens selon les paléontologues et anthropologues. Quoi qu'il en soit, un très récent article sur la découverte, coïncidence étrange, dans un cimetière péruvien, d'un nombre conséquent de ce type d'anomalie, au même endroit, relance le mystère de cette vertebre supplémentaire mentionnée avec insistance par l'anthropologue découvreur de la prêtresse de Cahuachi... et sur certains soupçons de manipulations, voir "chirurgie étrange" (en relation possible avec celle des Jivaros pas si loin - les réducteurs de têtes) ou même "copulations hors nature" affichés par certains dessins et pétroglyphes des régions paracas-nasca... Des pratiques "culturelles" mêlant donc les hommes et les animaux... ou les hommes et les dieux nascas si on suit les ethnologues et scientifiques dans leurs thèses sur la déification de certains animaux par les nascas...
Nouvelle découverte publiée le 27 avril 2017 dans le très sérieux magazine Forbes : " Un état extrêmement rare de la colonne vertébrale, dans lequel une vertèbre lombaire supplémentaire est présente, a récemment été découvert dans près d'un cinquième des corps enterrés dans un ancien cimetière péruvien. Cette condition génétique héréditaire serait-elle le résultat d'une consanguinité ? Des recherches sur le site de la vallée de la Moquegua de Rio Muerto au Pérou, un cimetière associé à Tiwanaku et datant de 500 à 1100 après J.-C., ont été présentés lors de la conférence de l'Association américaine des anthropologues physiques de la semaine dernière par Sara K. Becker de l'Université de Californie, Riverside et ses collègues. Ils ont trouvé 14 cas de sixième sacralisation lombaire - à la fois la présence d'un os supplémentaire dans le bas du dos et la fusion de cet os avec le sacrum à l'arrière du bassin. Alors que l'anatomie humaine normale comprend 7 vertèbres cervicales, 12 thoraciques et 5 lombaires, il n'est pas rare d'avoir un os supplémentaire, de ne pas avoir d'os dans la colonne vertébrale ou de voir une légère différence dans l'arrangement des vertèbres. Ce qui se produit habituellement est un «décalage» vertébral - par exemple lorsque la dernière vertèbre inférieure du bas devient «sacralisée» et fusionne au moins partiellement avec le sacrum. Des fusions irrégulières comme celles-ci peuvent causer de la douleur une fois que la personne atteint l'âge adulte.
Sixth lumbar sacralization in a middle-aged female from Rio Muerte, Tiwanaku, Peru. - Sara K. Becker / UC Riverside
Becker et ses collègues notent que la présence d'une sixième vertèbre lombaire est rare - moins de 10% chez les humains contemporains et associée à des différences dans les gènes Hox, qui contrôlent l'organisation le long de l'axe tête-à-queue d'un organisme. Pour avoir à la fois la présence d'une sixième vertèbre lombaire et la sacralisation de cette vertèbre, ils écrivent, est si rare que cela n'existe pas dans la littérature clinique sauf de façon anecdotique. Au cimetière de Rio Muerto, les chercheurs ont trouvé 14 personnes atteintes de cette maladie rare. Sur ces 14, huit étaient probablement des hommes et cinq étaient des femmes. L'un était un subadulte dont le sexe ne pouvait être déterminé. L'âge de la mort allait de 12 à 60 ans. Fait intéressant, Becker et ses collègues ont constaté que tous ces individus ont été enterrés de la même manière que le reste de la population, " ce qui peut signifier que les gens ne se rendaient pas compte qu'ils avaient cette condition ". D'autre part, s'ils connaissaient leur condition, " ils l'ont peut-être considéré comme normale ". Comme la plupart des personnes sont mortes au début de l'âge adulte, elles n'ont pas souffert, très probablement, de la douleur associée à la sacralisation de la vertèbre.
Sixth lumbar sacralization in a teenaged male from the site of Rio Muerto, Tiwanaku, Peru. - Sara K. Becker / UC Riverside
En raison de la rareté de cette condition, Becker et ses collègues concluent que « ces taux élevés de L6 avec sacralisation indiquent un degré de parenté génétique héréditaire entre ces 14 sépultures ». Une des façons dont les conditions rares deviennent importantes dans un groupe est, bien sur, la consanguinité. Alors que Becker et ses collègues ne savent pas encore si une consanguinité s'est produite, ils ne peuvent pas non plus rejeter cette hypothèse.
Peut-être plus important encore, ce trait peut rendre plus facile pour les archéologues des enquêtes sur les modèles de migration dans la région. Un site voisin a une fréquence de deux individus sur 31 avec une sixième sacralisation lombaire, commenté par Becker et ses collègues par : " pourrait indiquer une sorte d'interdépendances ou d'inter-mariages dans une même famille dans la région de Rio Muerto, ainsi que dans la région coloniale plus large ". Les chercheurs envisagent d'étudier ce modèle de parenté génétique par l'analyse de l'ADN à l'avenir.
Un autre très grand mystère de Cahuachi et des nasca a été déterré en 1952. Cette année, " les fouilles américaines de Cahuachi mirent au jour un tissu aux proportions extraordinaires, enterré dans un tumulus : quelque soixante mètres de long, cinq mètres et demi de large – chiffres approximatifs, la pièce ayant été détériorée par les fouilles. Ce tissu soulève beaucoup de questions : comment et pourquoi fut-il fabriqué ? Pourquoi fut-il enterré ? Quelle était sa fonction ? Si les réponses précises manquent, on peut en tout cas formuler quelques considérations pratiques. Tout d'abord, la quantité de fil de coton nécessaire à sa confection – 30 000 mètres environ – pose le problème de l'approvisionnement et du transport ; il aurait fallu cinq ans pour filer cette quantité de matière. Il est évident que ces tâches n'ont pas pu être exécutées sans une forme particulière d'organisation du travail, sous des modalités proches de celle de la m'ita, des corvées communautaires typiques du monde andin.
D'autre part, il ne suffit pas de filer, il faut encore tendre les fils, les mesurer, tenir cette énorme et lourde chaîne pesant au moins cent cinquante kilos, replier les parties tissées, maintenir la même tension… Le métier, à l'échelle du textile, devait avoir de grandes dimensions et être posé horizontalement. Il est vraisemblable – et des détails techniques le prouvent – que l'élaboration de l'étoffe était réalisée par divers tisserands. Nous savons que de tels tissus servaient à revêtir des morts et des choses sacrées, lesquelles pouvaient prendre des formes diverses, aussi bien des montagnes que des pierres, ou autres éléments du relief. (YH : Je n'ai pas trouvé de preuves de ceci).
Le fait même d'avoir trouvé le tissu géant à Cahuachi pose le problème de ce site. Situé autour des seules sources d'eau, on a pensé qu'il était le lieu de convergence de pèlerinages ; ainsi a-t-on interprété l'utilisation d'esplanades, encore visibles dans le sable, comme lieux de rassemblement en vue de rituels. Tout près de là, comme nous l'avons mentionné, se trouvent des marques sur le sol (YH : dont les fameuses lignes de Nasca et Palpa…) ".
De nombreux pétroglyphes sont encore découverts dans le désert et les plateaux pré-andins, au-dessus des lignes de Nasca et Palpa... Certains y cherchent des réponses mais le mystère s'accentue, car on y découvre aussi des êtres étranges avec trois doigts, des figures géométriques et autres figures probablement liées aux mythes andins...
Bon, entre les vertèbres supplémentaires, les mains et pieds aux trois doigts, les trépanations, momifications, pratiques médicales élaborées, collections de têtes coupées et autres hybridations humains/animales dessinées, lignes et dessins dans le désert, pétroglyphes étranges, les mystères des Nazcas sont loin d'être élucidés...
Irak : La cité de Natounia identifiée par deux reliefs d'un roi
et par sa topographie
Figure 6.A) Ici, nous voyons le 'sanctuaire' (A) Rabana; (B) un escalier sur le site ; (C) pointes de flèches en fer ; et (D) autel (écailles = 1 mètre)(Crédit image : Rabana-Merquly Archaeological Project ; Antiquity Journal Ltd.)
Nichée dans une vallée ombragée par les montagnes du Kurdistan irakien se trouve une ancienne forteresse que les archéologues pensent être (une partie de) la ville royale perdue de Natounia, basée sur la découverte de reliefs rocheux finement sculptés représentant un ancien chef, selon une nouvelle étude.
La forteresse, connue sous le nom de Rabana-Merquly, faisait autrefois partie de l'empire parthe (également connu sous le nom d'empire arsacide), qui a existé entre 247 avant JC et 224 après JC. Les Parthes étaient des ennemis acharnés de l'Empire romain et ont mené diverses batailles contre eux pendant plus de 250 ans. Aujourd'hui, de nouvelles recherches sur cette forteresse vieille de 2 000 ans suggèrent qu'elle servait de centre régional à l'empire.
Au cours d'une récente expédition, une équipe internationale d'archéologues a découvert des reliefs rocheux jumeaux aux deux entrées de la colonie, située au pied du mont Piramagrun dans les montagnes du Zagros. Selon les chercheurs, les reliefs correspondants représenteraient un roi d'Adiabène, un royaume qui faisait partie de l'empire parthe. - Voir la vidéo associée à ce lien et qui montre l'étude sur les reliefs rocheux en question.
Fouillées en 2009 et 2019, les forteresses jumelles de Rabana-Merquly sont situées sur le versant ouest du mont Piramagrun, l'un des massifs les plus importants des monts Zagros. Une caractéristique déterminante de ces colonies adjacentes sont leurs reliefs rocheux correspondants, à peu près grandeur nature, représentant un souverain en costume parthe, qui flanquent l'entrée des deux sites. Derrière les murs d'enceinte, plusieurs structures ont été enregistrées, dont une citadelle et un complexe de sanctuaires. La zone intra-muros combinée dépasse 40 hectares. Basé sur le style des sculptures en relief et la culture matérielle de leurs colonies intra-muros associées, l'occupation est datée du début du premier millénaire après JC. Les enquêtes à Rabana-Merquly sont une collaboration entre l'Université de Heidelberg et la Direction des antiquités de Sulaymaniyah.
Une vue aérienne d'une forteresse censée faire partie de la cité perdue de Natounia, y compris la colonie (A) Merquly ; et le bâtiment (B) "caserne". (Crédit image : Rabana-Merquly Archaeological Project ; Antiquity Journal Ltd.) - cliquer pour agrandir la photo
" Sur la base de la tenue vestimentaire du personnage, en particulier de son chapeau, nous pensons que la forteresse a été construite par la dynastie régnante d'Adiabène près de la frontière orientale du royaume ", a déclaré le chercheur principal de l'étude, Michael Brown, chercheur à l'Institut de préhistoire, protohistoire. et Archéologie du Proche-Orient de l'Université de Heidelberg en Allemagne. "Les reliefs rocheux jumeaux sont de rares exemples de monuments quasi grandeur nature de souverains de la période parthe, et ils nous permettent de relier la forteresse à ceux qui l'ont construite."
Le fossile d'un grand hominidé inconnu de 1,5 Million d'années étudié en Israel
Une vue de dessus (a), arrière (b), bas (c) et avant (d) de la vertèbre découverte à 'Ubeidiya (Crédit image : Dr Alon Barash)
Une nouvelle étude datée du 02 février 2022 parle de l'analyse d'un fossile de vertèbre d'un hominidé inconnu découvert en Israël. Une vertèbre vieille de 1,5 million d'années d'une espèce humaine éteinte découverte en Israël suggère que les humains anciens ont peut-être migré d'Afrique en plusieurs vagues, selon cette nouvelle étude.
Bien que les humains modernes, Homo sapiens, soient maintenant les seuls membres survivants de l'arbre généalogique humain, d'autres espèces humaines parcouraient autrefois la Terre. Des travaux antérieurs ont révélé que bien avant que les humains modernes ne quittent l'Afrique il y a environ 270 000 ans, des espèces humaines aujourd'hui disparues avaient déjà migré d'Afrique vers l'Eurasie il y a au moins 1,8 million d'années, au début du Pléistocène ( 2,6 millions à 11 700 ans), l'époque qui comprenait la dernière période glaciaire.
Les scientifiques avaient débattu de la question de savoir si les anciens humains se sont dispersés d'Afrique lors d'un événement ponctuel ou en plusieurs vagues. Maintenant, les chercheurs ont découvert que ce dernier scénario est plus probable, basé sur une vertèbre récemment analysée d'une espèce humaine inconnue. " Avec environ 1,5 million d'années, la vertèbre est la plus ancienne preuve à ce jour d'anciens humains en Israël ", a déclaré à Live Science l'auteur principal de l'étude Alon Barash, paléoanthropologue et anatomiste humain à l'Université Bar-Ilan en Israël.
L'os a été découvert sur le site préhistorique d'Ubeidiya dans la vallée du Jourdain, le deuxième site archéologique le plus ancien hors d'Afrique. Le site comprend non seulement d'anciens artefacts en pierre ressemblant à ceux trouvés sur des sites d'Afrique de l'Est, mais également une riche collection d'ossements d'animaux appartenant à des espèces disparues telles que les chats à dents de sabre et les mammouths.
Le site de 'Ubeidiya(Crédit image : Emil Alagem/Autorité des antiquités d'Israël)
En 2018, après avoir réexaminé des os initialement déterrés à Ubeidiya en 1966, les scientifiques ont découvert ce qui semblait être une vertèbre du bas du dos d'un hominidé, le groupe qui comprend les humains, nos ancêtres et nos plus proches parents évolutifs.
" C'est formidable de voir de nouvelles découvertes provenant d'anciennes collections comme celle-ci ", a déclaré John Hawks, paléoanthropologue à l'Université du Wisconsin-Madison qui n'a pas participé à l'étude. " Cela montre qu'il reste toujours quelque chose à trouver même lorsque les archéologues pensent avoir tout fait."
Après que les chercheurs ont comparé la vertèbre avec celles d'une gamme d'animaux - tels que des ours, des hyènes, des hippopotames, des rhinocéros, des chevaux, des gorilles et des chimpanzés - qui vivaient autrefois dans la région d'Ubeidiya, l'équipe a conclu que l'os provenait d'une espèce éteinte du genre Homo. (Il n'y a pas suffisamment de données sur cet os pour révéler s'il appartenait à une espèce connue d'humain disparu.)
Sur la base de la taille, de la forme et d'autres caractéristiques de l'os, les chercheurs ont estimé qu'il appartenait à un enfant de 6 à 12 ans. Cependant, ils ont estimé qu'à la mort, l'enfant aurait mesuré environ 5 pieds 1 pouce (155 centimètres) et pesé environ 100 à 110 livres (45 à 50 kilogrammes) - aussi gros qu'un enfant moderne humain de 11 à 15 ans. En d'autres termes, cet enfant aurait eu la tête et les épaules plus grands que ses homologues modernes.
Mexique: les mystérieuses dalles de San Miguel Ixtapan
Crédit ARX Project
Le ARX Project vient d'annoncer la récupération et le transport réussies de la plus grande des dalles de pierre mégalithique de la région de San Miguel Ixtapan, dont les fragments ont été trouvés dans un ranch à quelques kilomètres du site archéologique au début de 2021.
Toute l'opération a été coordonnée par l'archéologue Victor Osorio, directeur du site archéologique de San Miguel Ixtapan, et l'association ARX, en collaboration avec l'Institut national mexicain d'anthropologie et d'histoire (INAH) et le Sec retaire de la culture de l'État du Mexique.
Comme le précise les fondateurs de l'ARX Project, Le projet a été lancé en 2020 dans le but de fournir une approche multidisciplinaire à l'étude du passé antique. Ils travaillent en partenariat avec des institutions gouvernementales et non gouvernementales pour faire progresser notre connaissance de l'histoire humaine et des origines de la civilisation. C'est une organisation à but non lucratif basée au Mexique qui est soutenue par le travail et la passion de ses associés, ainsi que par la générosité et les contributions de nos sponsors, publics et privés. Les fondateurs sont : Marco M. Vigato, italien vivant au Mexique, a étudié à Harvard et à l'université Bocconi de Milan. Il fait des recherches sur les civilisations anciennes en tant que chercheur indépendant depuis 15 ans. Il est un expert de la Méso-Amérique ancienne, ainsi qu'un contributeur régulier au magazine en ligne Ancient Origins et à divers autres journaux et podcasts imprimés et en ligne. Il est également l'auteur d'ouvrages et de publications sur divers sujets d'histoire et de préhistoire liés aux origines de la civilisation. Ludovic Celle, français vivant à Oaxaca, est diplômé en architecture de l'école d'architecture de Grenoble. Il est illustrateur spécialisé en architecture depuis 12 ans, depuis 2017 avec un focus sur la visualisation précolombienne et l'investigation iconographique. Sa reconstruction 3D détaillée de la ville postclassique zapotèque de Mitla lui a valu des éloges dans le domaine archéologique. Son enquête centrale est le vaste monde des conceptions de frettes étagées à travers le continent américain. Alexandre Tokarz, Polonais vivant à Mexico, a fréquenté le California College of the Arts à San Francisco où il a obtenu un baccalauréat en architecture. Il a passé plusieurs années à travailler au Danemark avec Bjarke Ingels Group, Henning Larsen Architects et 3XN Architects. Par la suite, il a obtenu une maîtrise ès arts en architecture de l'Arkitektskolen Aarhus au Danemark. Avec son propre studio de design, il a construit de nombreux projets au Mexique, notamment en participant aux efforts de reconstruction après le tremblement de terre du 19 septembre 2017. Leur équipe est composée d'experts de différentes disciplines, notamment des archéologues, des géophysiciens, des spéléologues, des architectes, des ingénieurs, des photographes et des artistes numériques.
Une composition photographique des près de 14 dalles de pierre mégalithiques connue du site de San Miguel Ixtapan. Source : Marco M. Vigato
Leur site internet se centralise sur ce résumé : " La question de l'origine de la civilisation mésoaméricaine a intrigué des générations d'archéologues, d'historiens de la culture et d'anthropologues. Les Olmèques, qui ont prospéré entre 2 500 et 400 av. JC.
Depuis le début des années 1990, cependant, une nouvelle hypothèse a émergé selon laquelle la civilisation mésoaméricaine n'est pas apparue isolément, mais dans le cadre d'un réseau complexe d'interactions commerciales régionales qui ont favorisé les échanges culturels et la diffusion de styles artistiques similaires ainsi que la poterie, la pierre et techniques de travail des métaux dans une vaste zone entre l'ouest du Mexique, l'Amérique centrale et l'Amérique du Sud.
Ces contacts ont certainement profité du vaste réseau fluvial de l'ancien Mexique et du Guatemala, en particulier le long des rivières Balsas et Usumacinta, où se trouvent certains des premiers centres de la civilisation mésoaméricaine en dehors de la côte du golfe du Mexique.
En adoptant une vision panaméricaine du développement de la civilisation dans les Amériques, notre mission est de documenter la mosaïque complexe d'influences culturelles qui ont façonné la période formatrice et classique de la civilisation mésoaméricaine.
Nos méthodes combinent l'exploration traditionnelle avec l'utilisation des dernières technologies en imagerie aérienne et satellite pour aider à démêler le grand puzzle des origines mésoaméricaines, en cartographiant et en documentant les couloirs commerciaux et les centres originaux de civilisation des Amériques. "
Et les sites étudiés sont : Mitla, Oaxaca, Étude et exploration géophysiques - San Miguel Ixtapan, Une influence andine au centre du Mexique ? - Tamoanchan, Cités perdues des hauts plateaux du centre du Mexique et Mictlan, Exploration souterraine de Teotihuacan (Tunnels et grottes).
Nous nous intéressons ici au Projet San Miguel Ixtapan, dont les énormes dalles gravées de formes géométriques découvertes récemment reflètent une étonnante similitude avec les structures proches du Lac Titicaca en Bolivie, surtout celles de Puma Punku.
Vue de la partie fouillée du site archéologique de San Miguel Ixtapan, dans l'État de Mexico. Crédit Marco M. Vigato
" Au cours du siècle dernier, des dizaines de dalles de pierre mégalithiques sculptées d'origine et de fonction inconnues ont été découvertes dans le sud de l'État de Mexico et au nord de Guerrero, principalement autour du petit site archéologique de San Miguel Ixtapan.
Les fouilles menées à San Miguel Ixtapan à partir de 1995 ont révélé de nombreuses structures archéologiques, dont une grande pyramide, un terrain de balle mésoaméricain et un escalier monumental construit d'énormes blocs de basalte. Ils ont également découvert une chambre mystérieuse sur un côté de la pyramide principale qui, pour des raisons inconnues, avait été rituellement enterrée dans l'antiquité sous une couche de plâtre et de stuc de 2 mètres (6 pieds) d'épaisseur. La chambre contenait deux énormes dalles mégalithiques couvertes de motifs géométriques complexes et plusieurs idoles dans une pose particulière de bras croisés. La découverte a montré hors de tout doute que les dalles étaient en effet des artefacts anciens et non coloniaux fabriqués avec des outils en métal.
Crédit ARX Project
Déjà dans un article de 1959, l'anthropologue américain Charles R. Wickeavait décrit de nombreuses dalles mégalithiques similaires de l'Hacienda voisine de Guadalupe, remarquant leur grande similitude avec les styles artistiques et architecturaux sud-américains. "
Des tablettes gravées de Stonehenge de 5000 ans analysées
Faces supérieures des plaques de craie gravées de la région de Stonehenge. Crédit image : Davis et al ., doi : 10.1017/ppr.2021.13.
Une équipe d'experts de Wessex Archaeology a analysé quatre anciennes plaques de craie de la région de Stonehenge, dans le sud de l'Angleterre. Leurs résultats placent les plaques dans la première partie du 3e millénaire avant notre ère, ce qui, avec l'identification de motifs individuels, permet de reconsidérer les artefacts et les dessins dans le corpus de l'art néolithique dans les îles britanniques. Comme nous venons tout juste d'entrer dans le 3ème millénaire après JC, ces plaques de craie ont donc environ 5 000 ans, tout en sachant maintenant que certaines des pierres de Stonehenge datent en fait " d'une plage de 6980 ± 2120 av. J.-C. à 1900 ± 20 après J.-C., la grande erreur reflétant les distributions de doses équivalentes hétérogènes à âge mixte. Les échantillons dans les remblais primaires des quatre trous de pierre échantillonnés ont des combinaisons pondérées, suggérant une date de construction probable de 3 530 ± 330 avant JC (5,55 ± 0,33 ka) du henge d'origine." https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/stonehenge-une-imitation-d-un-monument-plus-ancien.html
La craie a fourni un matériau des plus attrayants pour la gravure depuis d'innombrables générations. Il offre des surfaces qui peuvent être lissées, permettant aux conceptions d'être esquissées, retravaillées, modifiées ou effacées en conséquence.
La matière est irrésistible ; des exemples récents incluent un insigne de régiment sculpté par des membres du régiment de Liverpool Pals pour documenter leur présence dans une tranchée d'entraînement de première ligne de la Première Guerre mondiale à Perham Down dans la plaine de Salisbury, dans le Wiltshire.
Les exemples les plus spectaculaires de craie gravée préhistorique concernent un petit nombre d'objets portables, principalement les trois Folkton Drums, Folkton, North Yorkshire et deux plaques carrées d'une fosse du Néolithique tardif, la Chalk Plaque Pit près d'Amesbury, Wiltshire.
Les Folkton Drums et les plaques de craie fournissent collectivement les exemples les plus fréquemment illustrés d'art gravé sur craie de Grande-Bretagne.
De plus, deux autres plaques de craie fragmentaires sont maintenant connues de la région de Stonehenge : un exemple brisé de Butterfield Down, Amesbury et un autre fragment de Bulford, à seulement 7 km de Stonehenge.
« La fosse à plaques de craie, découverte en 1968, a été l'une des découvertes les plus importantes de l'art de la craie du néolithique tardif en Grande-Bretagne, et au cours des cinq dernières décennies, nous avons vu des plaques supplémentaires découvertes dans la région de Stonehenge qui ont aidé l'étude », a déclaré le Dr. Bob Davis, ancien agent principal de projet chez Wessex Archaeology.
Faces supérieures des plaques de craie gravées de la région de Stonehenge. Crédit image : Davis et al ., doi : 10.1017/ppr.2021.13. - Cliquer pour agrandir.
Egypte : l'un des 6 anciens Temples Solaires découvert ?
Les universitaires pensent qu'en combinaison avec une architecture nouvellement découverte, les preuves indiquent que le site est l'un des rares temples du soleil. Crédits National Geographic, Windfull Films, MCPR
Les archéologues égyptiens ont trouvé la preuve qu'ils fouillaient un ancien temple solaire rare, le troisième jamais découvert et le premier à être découvert en 50 ans.
Ces temples ont été construits pour les pharaons alors qu'ils étaient encore en vie pour accorder aux dirigeants le statut de dieu, contrairement aux pyramides qui garantissaient qu'ils étaient également des dieux dans l'au-delà.
On pense que seulement six ont été construits et jusqu'à présent, seuls deux ont été trouvés, mais maintenant les archéologues creusant sous les restes de l'un des temples solaires connus à Abu Gorab, au nord de la localité archéologique égyptienne Abusir, ont trouvé la preuve d'un troisième.
En creusant sous les vestiges du temple du soleil construit par Nyuserre Ini, un pharaon qui a régné pendant 24 à 35 ans à la fin du 25ème siècle avant JC pendant ce qu'on appelle la cinquième dynastie, il a été révélé une base plus ancienne.
Il était fait de briques de boue, ce qui suggérait qu'un autre bâtiment existait auparavant.
Le Dr Massimiliano Nuzzolo, professeur adjoint d'égyptologie à l'Académie des sciences de Varsovie, a commenté : " Nous savions qu'il y avait quelque chose sous le temple de pierre de Nyuserre. " Le fait qu'il y ait une entrée aussi énorme indiquerait un nouveau bâtiment. Alors, pourquoi pas un autre temple solaire, l'un des temples solaires manquants ? "
Lorsque plus de débris ont été enlevés, les archéologues ont vu une base de deux pieds d'un pilier de calcaire blanc.
Une collection de jarres de bière remplies de boue a ensuite été découverte dans les fondations, ce qui, selon les chercheurs, est la preuve que le site était un temple, car il s'agissait d'une offrande rituelle dans les lieux les plus sacrés.
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