Les calottes polaires martiennes sont couvertes en surface d’une fine couche de glace carbonique mais on en ignorait jusqu’ici l’origine précise. Les données de la sonde MRO prouvent pour la première fois que des chutes de neige carbonique se produisent sur la surface de Mars. Ce phénomène, qui pourrait expliquer la présence de la glace sèche à ses pôles n’est pour le moment connu que sur la Planète rouge
Jean-Dominique Cassini a semble-t-il découvert les deux calottes polaires de Mars. L’astronome né en Italie, fraîchement naturalisé français, les a dessinées pour la première fois en 1666. Mais ce n’est qu’en 1964 que le chercheur soviétique V. Morov a identifié deux bandes d'absorption à 1,4 et 2 micromètres, c'est-à-dire dans le proche infrarouge, dans des spectresobtenus sur Terre concernant la calotte polaire nord de Mars. Il s’agissait de bandes moléculaires caractéristiques de la glace d'eau. Les observations ultérieures, que ce soit à nouveau à partir de la Terre ou avec les missions martiennes, ont confirmé ces mesures.
Chaque calotte polaire présente une épaisseur de 1 à 3,5 km et est constituée de glace d'eau permanente, stockée dans les terrains polaires lités. Plus précisément, la calotte martienne permanente nord est épaisse de 3 km pour 1.000 km de diamètre, tandis que la calotte permanente sud, moins étendue, n'a que 400 km de diamètre (son épaisseur réelle est mal connue). Les volumes de ces deux calottes sont comparables (?) et on estime qu’elles contiennent à elles deux autant d’eau que l'inlandsis groenlandais. Pour compléter le tableau, il existe par endroit au sud une fine couche de glace carbonique permanente d’environ 10 m d’épaisseur. Au nord, la couche de glace carbonique est saisonnière et ce n’est qu’en hiver qu’elle se forme avec une épaisseur estimée à environ 1 m.
MRO confirme Mars Express et la présence de nuage de glace sèche
L’origine de ces couches de glace carbonique faisait débat jusqu’à aujourd’hui. L'atmosphère martienne est composée à 95,3 % de CO2, d’un peu d'azote et d'argon, et de 0,03 % d'H2O sous forme de vapeur d'eau. Compte tenu des températures très basses qui peuvent exister sur Mars, la glace carbonique pouvait très bien se former par sublimation inverse du gaz carbonique, se condensant directement en glace sèche. Autre hypothèse : l’existence de chutes de neige carbonique, mais dans les deux cas, cela restait à prouver.
Il semble que la question soit désormais partiellement tranchée si l’on se réfère à une publication récente dans le Journal of Geophysical Researchpar un groupe de planétologues ayant utilisé les mesures de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (MRO).
Les chercheurs ont analysé la lumière infrarouge émise par des nuages à différentes altitudes au-dessus du pôle sud de Mars. L’instrument Mars Climate Sounder (MCS), employé pour réaliser les mesures, fait partie des six instruments embarqués à bord de MRO. Avec les spectres qu’il fournit, il est possible de déterminer des températures dans ces nuages et surtout la taille et la concentration des particules présentes. Pendant l’hiver martien 2006-2007, MCS avait tourné son regard vers des nuages persistants de 500 km de diamètre au-dessus du pôle austral ainsi que vers des nuages éphémères et de plus petites tailles à des latitudes un peu plus hautes.
Les mesures ont montré qu’il s’agissait bien de nuages constitués de cristaux de glace sèche (Mars Express avait déjà permis des découvertes similaires) et surtout que ces cristaux étaient assez grands pour donner lieu à des chutes de neige carbonique pendant le temps de vie des nuages. On sait donc qu’au moins une partie des couches de glace carbonique du pôle sud doivent résulter de ces chutes de neige. Cela pourrait expliquer pourquoi il existe une couche permanente de cette glace au pôle austral de Mars.
Les météorologistes sont de plus en plus circonspects sur la situation climatique actuelle. " La persistance de cette situation devient vraiment peu commune. C’est un peu comme si nous étions revenus avant 1988 (avant la phase d’accélération du réchauffement climatique). Reste à savoir s’il s’agit simplement d’un cycle passager ou si nous changeons réellement d‘époque. Tout le monde se pose la question et personne n’a la réponse. Sachez toutefois que si l’Europe Occidentale connaît un temps très frais et très humide, ceci est loin d‘être le cas dans l’Est et le Sud-est du continent. " - " A Paris, la journée d’hier (24-05-2013) a été la plus froide pour une dernière décade du mois de mai depuis l’ouverture de la station météo de Montsouris en 1872, mais également et probablement depuis le début des mesures de températures à Paris à la fin du 17e siècle ! (La température moyenne était de 7,2°C contre 8,6°C le 28 mai 1961) " (Guillaume Séchet, Météorologiste et présentateur météo).
Tornade en Mozelle le 23-05-2013
Lorraine, Saint-Avold - 23-05-2013
Je pense personnellement qu'il est urgent pour l'Europe de l'Ouest, ses dirigeants et scientifiques, de se pencher sérieusement sur toutes les données convergeantes, les diverses possibilités de leurs origines et toutes leurs conséquences logiques pour le continent. La météo et l'étude seule du climat et de ses actions sur la planète ne suffisent manifestement pas à une analyse réaliste de la situation. Les dernières découvertes et données nous prouvent de plus fortes interactions du Soleil et de son magnétisme que prévues, des rayons cosmiques particuliers agissant sur l'atmosphère et ses nuages, une oscillation actuelle de la Terre bien plus au sud que la norme, des détournements sporadiques du Golfe Stream, un volcanisme devenant exacerbé par endroits et un nombre de séismes puissants plus élevé que toutes les normes enregistrées jusqu'à présent (des séismes ayant déplacé d'énormes masses continentales (le Japon vers l'Est et l'abîme, le Chili, Haiti, l'Indonésie et Philippines notamment...) de plusieurs mètres réels. On peut se poser finalement la question de savoir si ces forts déplacements de masses ne causent pas en fait à force un subit réajustement de rotation, d'inclinaison de la planète, et par de ce fait enclanche une réaction en chaîne de multiples réajustements de masses par des déplacements rapides de continents et créations de nouvelles fosses/montagnes, mais aussi bien sûr de fortes modifications climatiques dûes aux réajustements de latitude (ce qui expliquerait la congélation subite des mammouths sibériens constatées par exemple). On nous rassure en disant que les continents et sols se déplacent sur des millions d'années, mais l'étude de plusieurs surfaces sous-marines semblent au contraire démontrer que certaines masses continentales se seraient déplacées extrêmement vite, et plutôt en quelques siècles que millions d'années...
Mini tornade Orgeval-Yvelines-19-05-2013
La probabilité de réajustements de masse de la planète n'est pas la seule explication logique bien sûr mais l'une des convergeances évidentes quant au problème d'habiter sur une planète ayant une forte activité tectonique (réajustements de masses en permanence à cause du magma liquide interne et du noyau solide aussi) ajouté à celui de la modification climatique (non naturelle puisque industrielle) dû à l'être humain et sa propre activité. Il est moins douteux maintenant que de tels réajustements pourraient avoir suffit à provoquer plusieurs extinctions massives du monde vivant, sans pour autant faire intervenir les astéroïdes ou comètes (qui sont un risque supplémentaire). Et il est aussi probable que les grands événements du passé tels que la rupture de la Pangée, les modifications énormes d'atmosphère et de climat constatés dans la préhistoire soient les conséquences d'une accumulation aux mêmes périodes de phénomènes naturels, de cycles, habituellement plus dispercés et étalés dans le temps. Notre convergeance actuelle de phénomènes naturels (système solaire dans un nuage de particules plus denses depuis quelques années et pour plusieurs années, position du soleil (changement d'ère astrologique), cycle volcanique important et ajout de la pollution industrielle humaine. Tout ceci enclanchant les fontes de glaciers/banquises constatées, qui à leur tour entretiennent et accélèrent même le déplacement des masses rocheuses...
Mini tornade Orgeval-Yvelines-19-05-2013
Ces modifications pourraient donc modifier considérablement et durablement les conditions météo locales, mais aussi y provoquer, le temps des réajustements physiques des masses d'air (l'anticyclone des açores par exemple ne remonte plus du tout autant qu'avant, la depression polaire elle descend plus bas et est plus large qu'avant, etc...) des extrêmes sur toutes ces latitudes fortement affectées (cyclones/tempêtes/tornades/pluies diluviennes/neige/froid/sécheresses/canicules) et perdant en partie leurs saisons et climats tempérés...
L'instabilité était très marquée jeudi après-midi 24-05-2013 sur le Nord-Est de la France. Outre la neige à basse altitude (notre article), une tornade a été observée dans le ciel de Moselle près de Saint-Avold, plus précisément sur la commune de Macheren
Maintenant, même si notre planète tourne un peu comme une toupie en train de ralentir (et c'est le cas !), il est assez probable qu'un réajustement dans "l'autre sens", un rééquilibrage vers l'axe moyen de la planète existant depuis des milliers d'années, se fasse à un moment ou l'autre, à moins que la fonte des glaces ne déséquilibre définitivement la rotation actuelle de la Terre dans une position de plus en plus "toupie", de plus en plus penchée vers le Soleil au Nord. J'ai lu hier qu'un scientifique incistait fortement sur la nécessité de tenter de sauver la banquise arctique (à des fins de sauvegarde de la vie aussi) et je pense qu'il a entièrement raison, mais que c'est difficile à faire ! En effet, la fonte de la banquise arctique provoque plusieurs phénomènes actuellement, et simultanément : remontées fortes de méthane au niveau de la sibérie et fonte des sols, échappements de gaz et bactéries préhistoriques en Sibérie, Canada, Chine, d'asphaltes au Canada, modifications des côtes sous-marines, remontées de terres englouties ou affaissements d'autres, etc... Il est clair que la fonte du poids énorme des glaces sur les terres ont de multiples conséquences qui peuvent se décaler dans le temps mais qui sont irréversibles quand elles se produisent. Une accélération du mouvement ascendant des socles Scandinaves et Canadiens semble inéluctable devant la fonte de l'Arctique : des iles et côtes englouties réapparaissent d'un côté alors que d'autres s'enfoncent sous terre ou eau ailleurs. L'activité séismique et volcanique de toutes ces régions augmente logiquement également. Les courants marins ET atmosphériques sont modifiés d'après de nombreuses analyses publiées.
Vosges-23-05-2013
Que peut faire l'être humain devant ces convergeances, ces accumulations de signes ? D'abord informer et s'informer, c'est toujours utile de ne pas être surpris au cas où, et de pouvoir expliquer/rassurer ceux qui "tombent des nues". Ensuite, ceux qui sont censés être payés pour anticiper les problèmes économiques (assurances par ex.) dans leur propre intérêt, devraient proposer des mesures de sauvegardes beaucoup plus élevées de certaines régions selon leur densité d'habitation humaine : normes sismiques à revoir, zones inondables remontant à plusieurs milliers d'années, plans d'évacuation de masse, entraînement et préparation de la population aux extrêmes, création de digues, arrêt des centrales à énergie mal situées, développement et constitution d'équipe de secours de quartiers, distributions d'instructions et de kits de survie, surveillance accrue du sous-sol (mines/failles, inondations souterraines, nappes,...),... etc...
L'Humanité ne peut pas faire grand chose contre les phénomènes extrêmes mais son intelligence lui permet d'anticiper et de "voir venir" par l'étude et la reflexion. L'argent n'a pas et de doit pas intervenir dans ce processus sous peine de le retarder. Et il est question de reflexe ici pour l'humanité, de constat et de réaction à avoir, pas de megotage financier ou de notion de bénéfice... et l'Europe semble bien être l'un des continents à devoir réagir parmis les premiers... climatiquement parlant...
Bonjour je me nomme MILTORAN et je viens ici sous mon pseudo vous raconter mon aventure hors du commun qui m'apporte régulièrement la preuve que nous devons conserver en nous un grand esprit d'ouverture, de tolérance et de respect...
...Nous avons tous à un moment ou à un autre de notre existence été confrontés à des événements, des histoires, des faits qui ont servi de base aux fondements de nos valeurs ou nos doutes...
Il arrive parfois que ces aventures possèdent à elles seules la capacité de faire s'ébranler en un instant nos convictions intimes les plus profondes.
Je vis actuellement cette remise en question et je viens ici vous faire part de mon expérience extraordinaire.
Le sujet a déjà fait l'objet de plusieurs articles sur ce site (voir les liens en bas), mais les grands médias et la science officielle (à cause d'articles pessimistes de la NASA sur ses propres travaux de recherches non fructueuses à l'aide de la sonde WISE) avaient préféré rejeter la possibilité de l'existence d'une neuvième planète, et une géante en plus, dans notre système solaire... (par exemple voir ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/environnement-planete-terre/les-mauvaises-interpretations-des-medias-suite-au-rapport-wise-nasa.html).Mais il ne faut pas oublier que la science officielle et les très grands astronomes des années 1970 rejetaient également par exemple la possibilité qu'une petite planète comme Pluton puisse posséder un ou plusieurs satellites... et pourtant, l'Histoire a prouvé le contraire depuis, comme pour tant d'autres fausses affirmations scientifiques passées !
Cette fois, c'est le très sérieux The Astronomical Journal qui a publié un article scientifique de deux astronomes américains, Mike Brown (le découvreur de la mini-planète Eris) et Konstantin Batygin, du California Institute of Technology. Article repris par tous les grands médias et journaux de la planète (Le Monde, Le Parisien, Science et Vie, etc...), y compris les mêmes qui affirmaient encore il y a quelques mois que l'existence de cet astre était purement et simplement impossible, en s'appuyant sur une étude incomplète de la NASA (Wise) en 2013...
Même si le corps céleste n'a pu être encore aperçu via l'un des télescopes géants, les scientifiques sont quasiment certains de fournir des preuves de l'existence de la 9e planète du Système solaire et de leurs calculs d'ici cinq ans car selon eux, la probabilité d'une erreur est de 0.007%... Les astronomes envisagent de se rendre à cette fin à l'Observatoire japonais Subaru des îles Hawaï. Les calculs des astronomes sont basés sur l'étude des évolutions du champ gravitationnel d'autres astres qui présentent des anomalies répertoriées déjà par d'autres scientifiques, comme la mini planète Sedna par exemple.
Source : Science Magazine
Les calculs démontreraient qu'il s'agit d'un corps de la taille de Neptune à peu près, c'est-à-dire 10 fois plus massive que la Terre, et qu'elle posséderait une orbite elliptique très inclinée par rapport à celle de notre planète, et avec une période de révolution de 15.000 ans environ. C'est à dire qu'elle ferait le tour du Soleil et des huit autres planètes sur cette période très longue...
D'après Mike Brown, ce corps, baptisé "planet nine", serait né comme les autres planètes du système solaire il y a environ 4,5 milliards d'années et sa composition chimique serait probablement proche de celle de planètes gazeuses comme Uranus et Neptune. Cette nouvelle simulation informatique collerait vraiment très bien avec les orbites étranges et très elliptiques d'au moins 6 astres qui sont alignées dans la même direction. Ces configurations très improbables, 0,007 chance sur 100 selon les astronomes ayant publié l'étude, restaient mystérieuses jusqu’à ce que Mike Brown et Konstantin Batygin les expliquent parfaitement en ajoutant une grosse planète dans le système qui, tel un berger, ramènerait son troupeau dans la même direction régulièrement... Au plus près du Soleil, elle passerait à quelques centaines de fois la distance Terre-Soleil et au plus loin, plus d’un millier de fois cette distance (UA). Et mettrait de dix mille à vingt mille ans pour faire le tour du Soleil, alors que par exemple, Pluton met deux cent cinquante ans. La confiance des chercheurs est renforcée par le fait que leur modèle prévoit pour d’autres astres des orbites étranges, perpendiculaires au plan du système solaire, déjà observées.
Une nouvelle planète, dix fois plus grosse que la Terre, a t-elle été découverte par les astronomes américains ? Les orbites particulières de deux familles de transneptuniens, ici en magenta et en bleu, semblent le montrer. Si la nouvelle planète existe, elle tournerait sur l’orbite représentée en jaune. Document Brown/Batygin/Caltech (source Science et Vie).
Alors, peut-il s'agir de Nibiru, ou Nemesis ou Hercolubus, le nom d'une planète mythique donné par quelques très anciennes civilisations ? La période de révolution autour du Soleil, très longue, est en tout cas troublante car précisée depuis de nombreuses années par les traducteurs de différents textes (y compris sumériens et romains), mais aussi cette orbite très elliptique et donc ovale, amenant ce gros corps à se rapprocher régulièrement... pour provoquer diverses catastrophes gravitationnelles et/ou climatiques (extinctions) selon la configuration de son approche par rapport aux autres planètes géantes du système notamment... (car tous ces corps tournent en permanence autour du Soleil, à différentes vitesses et orbites, les positions de ces corps autour du Soleil sont donc à chaque fois différentes lors de ces rapprochements millénaires (de la planète X), ainsi que les forces gravitationnelles : cela pourrait être un début d'explication également pour les diverses extinctions du vivant sur notre planète, qui ne correspondent pas vraiment à des cycles réguliers, tout en se produisant néanmoins de façon répétitive, mais irrégulièrement...). Et ne vous laissez pas prendre par la théorie des astronomes qui supposent qu'il s'agit d'une planète de taille, masse (poids) et chimie semblable à Neptune, sans l'avoir encore vue : comme nous le savons sur notre propre planète, comme dans l'espace, la taille n'a rien à voir avec le poids : il existe des étoiles nommées naines brunes ou rouges qui sont très petites mais pèsent un poids considérable (d'où puits gravitationnels importants), tout comme les étoiles qui s'effondrent sur elles-mêmes pour créer un trou noir ou équivalent... Rien ne prouve que cet astre lourd (les calculs le démontrent, ou il y a plusieurs astres proches les uns des autres) soit réellement une "Neptune" comme on nous le dit : il peut s'agir d'une naine brune très sombre, d'un trou noir de taille moyenne, d'un gros amas d'astéroïdes sombres ou même (des physiciens semblent avoir prouvé leur existence) d'astres composés d'anti-matière ou de matière noire et donc invisibles pour l'instant encore... les théories "extinctions répétitives" ou encore "cycles glaciations, inter-glaciations non réguliers" seraient évidemment plus facilement concernées par ce type d'astre, qui "colle" bien sûr par plusieurs coïncidences aux mythes liés à Nibiru...
Rappelons aussi que, début 2015, dans une étude publiée par le journal «Monthly notices of the Royal astronomical society letters», des chercheurs assuraient «qu'au moins deux planètes» se trouvaient au-delà de Neptune. Ils appuyaient leur déduction sur l'étude de la trajectoire d'une douzaine d'objets transneptuniens. Ces objets présentent «des paramètres orbitaux inattendus» qui «laissent croire que des forces invisibles altèrent leur distribution orbitale», expliquait alors l'astrophysicien Carlos de la Fuente Marcos. «Nous considérons que l'explication la plus probable est que d'autres planètes inconnues existent au-delà de Neptune et Pluton», estimait le chercheur. «Leur nombre exact est inconnu, car nos données sont limitées, mais nos calculs suggèrent qu'il y a au moins deux planètes, et probablement plus, aux confins de notre système solaire», ajoutait-t-il.... Leurs travaux sont donc rejoints en partie par ceux des astronomes américains... : source : http://www.leparisien.fr/sciences/deux-nouvelles-planetes-autour-du-soleil-le-point-pour-s-y-retrouver-20-01-2015-4462685.php
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
Une autre façon de voir les océans. " Mon Dieu, nous n'avons jamais vu ça avant " ont dit les scientifiques. SAN DIEGO, Californie - Il est étonnant que personne ne l'ait repéré avant. Superposé sur tous les océans de la planète, il existe un motif en grille des courants. Pourtant, ce qui les provoque est un mystère.
Global east-west ocean velocities (cm/s) Image: Maximenko et. al
Entre 1992 et 2003, Peter Niiler de la Scripps Institution of Oceanography à San Diego, en Californie, et ses collègues ont recueilli des données provenant de plus de 10 000 bouées dérivantes dans l'océan, où elles ont été suivies par satellites. Comme prévu, les mouvements des bouées ont été influencés par les courants mondiaux connus, qui sont entraînés par le vent et par les différences de température et de salinité de l'eau de mer.
Mais quand l'équipe a analysé les données, il est apparu que quelque chose avait influencé subtilement les chemins des bouées. Il s'est avéré qu'il y avait des bandes alternées d'eaux courantes vers l'Est ou l'Ouest, un peu comme des tapis roulants parallèles. Niiler rappelle sa réaction: " Mon Dieu, nous n'avons jamais vu ceci avant."
Les mesures par satellite ont montré que les interfaces entre les courants adjacents ont tour à tour entraîné de faibles pics et des creux du niveau de la mer. Lorsque l'équipe s'est penchée sur cette variation à l'échelle mondiale, ils ont constaté que des bandes de 150 kilomètres de large couvraient à peu près tous les océans.
Pour confirmer que ces courants étaient réels, l'équipe a entrepris de les mesurer directement dans deux régions de l'est du Pacifique. « Leur existence est si surprenante que nous avons dû prouver d'abord qu'ils ne sont pas un artefact de données satellitaires », explique Nikolai Maximenko de l'Université de Hawaii. Effectivement, ils ont enregistré les courants circulant dans des directions opposées àenviron 40 mètres par heure (Geophysical Research Letters, DOI: 10.1029 / 2008GL033267). C'est plus lent que les courants océaniques les plus connus auparavant, ce qui peut expliquer pourquoi les flux en rayures sont restés inconnus jusqu'à présent. " Seul un canoéiste très paresseux remarquerait l'effet », dit Maximenko.
Les flux s'étendent jusque dans le fond de l'océan, et les frontières entre les courants sont alternativement associés avec des pics et des creux de température ainsi qu'au niveau de la mer. Cela donne à penser que leur influence se situe sur des processus tels que le flux des nutriments et de l'énergie autour des océans, mais cela n'a pas encore été prouvé, dit Niiler.
Quelles sont les causes des flux rayés (striped flows) restent une énigme. « Ils sont un nouvel aspect fascinant de la circulation de l'océan, mais la recherche est encore sur les mécanismes conduisant à leur formation», explique Geoff Vallis du Geophysical Fluid Dynamics Laboratory à l'Université de Princeton.
Il souligne que des tendances analogues existent dans les flux atmosphériques sur d'autres planètes, par exemple, Jupiter. Savoir si des effets similaires sont en jeu ici n'est pas clair, dit-il.
" Chaque bande est d'environ 200 km de large et elles sont orientées à peu près est-ouest (en moyenne). Dans l'hémisphère nord, elles semblent être orientées plus du sud-ouest-nord-est à un angle de 13 degrés, tandis que dans l'hémisphère sud, elles sont plus proches du nord-ouest-sud-est à un angle de 9 degrés.
La découverte de ces bandes était difficile parce qu'elles ont des caractéristiques très subtiles qui se superposent sur beaucoup de courants océaniques, la topographie et les champs de température. Les bandes ont des vitesses d'autour de 1-1.5 cm / seconde, tandis que les principaux courants océaniques se déplacent souvent à 40-50 cm / seconde. Le changement de hauteur de la surface de la mer d'une bande à l'autre est d'environ quatre centimètres-monde, la hauteur moyenne de la surface de la mer varie de un à deux mètres. De même, la température à une profondeur de 100 mètres variaient de 12 degrés Celsius dans un domaine d'étude, tandis que les écarts entre les bandes sont d'environ un degré celcius.
Alors, comment ont-ils trouvé ces bandes ? Essentiellement, ils ont juste filtré des caractéristiques plus importantes à l'échelle du territoire. La plupart des changements de hauteur de mer, de la vitesse et de a température se produisent sur des milliers de kilomètres. En utilisant deux passes de puissants filtres consécutivement, l'équipe a été en mesure d'éliminer les grandes caractéristiques de l'échelle.
Ces bandes sont intéressantes pour un certain nombre d'autres raisons. Pour une part, elles persistent sur au moins 700 mètres de profondeur sur la base des données de profil de température. Dans une autre tournure intéressante, la vitesse dans les bandes ne suit pas toujours l'orientation des rayures.
Enfin, alors que la cause exacte de ces caractéristiques est inconnue à l'heure actuelle, elles sont présentes dans le modèle de circulation générale de l'océan fonctionnant sur le supercalculateur Earth Simulator au Japon. En exécutant le même passage de puissant filtre sur la sortie du modèle, ils ont réussi à isoler les mêmes caractéristiques qu'ils ont vu dans les données sur l'océan.
Il y avait quelques différences avec les observations, comme les données du modèle dans l'hémisphère nord, qui ont un espacement plus large (450 km de largeur vs 400 km), et les bandes du modèle ont été seulement inclinées de cinq degrés. Dans l'hémisphère sud, le modèle a montré une meilleure adéquation aux données avec une largeur de 375 km modélisée et une inclinaison de sept degrés (par rapport à 400 kilomètres et neuf degrés dans les données). Enfin, alors que nous n'avons pas mesuré suffisamment profondément pour vérifier ces données, le modèle suggère que ces caractéristiques sont cohérentes à tous les niveaux des océans.
La cause précise de ces bandes reste un mystère, bien que les auteurs ont quelques idées sur la question. Ils suggèrent que les bandes peuvent être causées par une forme d'ondes d'inertie connues comme les ondes de Rossby qui sont entraînées par la force de Coriolis. Elles peuvent être un phénomène plus général, aussi, comme d'autres ont comparé ces bandes aux bandes de nuages qui sont observées dans l'atmosphère de Jupiter.
Géophysiques Research Letters, 2008 DOI: 10.1029 / 2008GL033267
Notons que cette équipe est aussi l'une des premières à signaler des îlots et des "continents" de débris de plastiques et autres dans les océans, en liaison avec les courants :