Astreapproche

Nouvelle alerte planétaire ?

yvesh Par Le 08/02/2014 2

Dans Astronomie-Espace

Nouvelle alerte planétaire ?

Astreapproche

Suite à une super-novae, un astre énorme se dirigerait-il vers le Soleil à toute vitesse ?

Cela fait déjà de nombreuses années que plusieurs scientifiques très sérieux soupçonnent la présence encore invisible d'un astre accompagnant le Soleil a des distances variables sur la durée (éventuellement une lourde naine brune ne reflétant pas la lumière), ou encore une ou plusieurs mystérieuses planètes X. Encore en 2012, un astronome, Rodney Gomes, a présenté officiellement des calculs informatiques poussés prouvant l'existence d'un corps inconnu dans notre système solaire. Et l'année 2014 est à peine démarrée que les alertes se multiplient, la dernière provenant de l'observatoire d'Austin aux USA...

Mais faisons un rapide récapitualtif des diverses théories (hors recherches anciennes de Pluton, la première planète X a avoir été recherchée) - :

En 1978, Richard Harrington et Thomas Van Flanders (deux astronomes de l'observatoire de la Marine US, à Washington) établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations, provenant vraisemblablement de l'attraction gravitationnelle émanant d'un mystérieux corps céleste, encore non identifié, lequel corps céleste fut dès lors surnommé : Planète X. Cette mystérieuse planète aurait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (en tant que satellites de Neptune). Selon un rapport (établi en août 1988, par Harrington, à l'observatoire naval des États-Unis), la Planète X, qui ferait trois à quatre fois la taille de la Terre, aurait été piégée, par le Soleil, dans une orbite très excentrique, très inclinée (30 degrés) sur l'écliptique, avec une périodicité de 3 300 à 3 600 ans. En 1992, ces mêmes scientifiques affirmèrent qu'il existait bien une 10e planète intruse dans le Système solaire.

En janvier 1981, un astronome, du National Radio Astronomy Observatory, déclara que des irrégularités avaient été constatées dans l'orbite de Pluton, ce qui laissait supposer l'existence d'une planète encore inconnue au sein du Système solaire.

En 1984, Richard A. Muller, travaillant à l'université de Californie à Berkeley, émit L'hypothèse Némésis, décrivant l'extinction périodique des espèces, sur Terre, par des pluies de comètes. L'année suivante, en 1985, D. Whitmire, J. Matese et Luis Walter Alvarez (qui en parla la première fois en 1979 dans un article évoquant la disparition des dinosaures par un impact d'un astéroïde) émettent la « théorie Némésis », subodorant l'existence d'une « étoile ou planète tueuse », qui reviendrait, périodiquement, avec son essaim de météorites, pour semer déluge et extinction, dont celle des dinosaures... l'étoile Némésis : une hypothétique planète X.

En 1987, un diagramme – publié dans l'ouvrage New Science and Invention Encyclopediamontrait la position des sondes Pioneer 10 et Pioneer 11, par rapport à deux corps célestes officiellement non répertoriés : un soleil éteint, situé à 537 unités astronomiques, ainsi qu'une planète inconnue, sise à 0,05 UA du soleil. La même année, la NASA reconnut officiellement l'existence de cette dernière ; cette information fut répercutée dans Newsweek, rapportant ainsi que la NASA mentionnait l'hypothèse afférente à l'existence de cette planète. Le communiqué en question mentionne, in extenso : « La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une dixième planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du Soleil ». Il convient cependant de noter que, à ce jour, cette hypothèse n'a pas pu être définitivement validée.

En 1988, AA Jackson et RM Killen ont étudié la stabilité de la résonance de Pluton avec Neptune en plaçant des "Planètes X" hypothétiques avec différentes masses et à différentes distances de Pluton. Les orbites de Pluton et Neptune sont en résonance 3:2, ce qui empêche leur collision ou même fermer toute approche, quelle que soit leur séparation dans l'abscisse Z. Il a été constaté que la masse de l'objet hypothétique devait dépasser 5 masses terrestres de briser la résonance et l'espace des paramètres est assez grand et une grande variété d'objets aurait pu exister au-delà de Pluton, sans perturber la résonance. Quatre orbites test d'une planète trans-plutonien ont été intégrés en avant pour quatre millions d'années afin de déterminer les effets d'un tel corps sur la stabilité de la résonance 3:2 Neptune-Pluton. Les planètes au-delà de Pluton avec des masses de 0,1 M et 1,0 masses terrestres en orbite à 48,3 et 75,5 UA, respectivement, ne perturbent pas la résonance 3:2. Les planètes d'essai de 5 masses terrestres avec demi-grands axes de 52,5 et 62,5 UA perturbent les quatre millions d'années libration de l'argument du périhélie de Pluton.

John Matese et Daniel Withmire ont essayé de trouver une planète située dans le nuage d'Oort à partir de 1985. Entre 1985 et 1999, ils vont publier leurs calculs. En 1999, une théorie alternative de John Murray de l'Université Ouverte et John Matese, Patrick Whitman et Daniel Whitmire de l'Université de la Louisiane à Lafayette, propose qu'une planète environ 3 fois plus massive que Jupiter se serait fait capturer par le Soleil et se situerait à 30 000 ua. Sa température de surface serait inférieure à -240 °C. Cette théorie a été proposée suite à la détection de plusieurs comètes à l'orbite perturbée. Cette capture pourrait avoir une base théorique avec la théorie des planètes noires.

En analysant les orbites de 13 des comètes du nuage d'Oort, Murray estime avoir détecté les signes indicateurs d'un objet massif qui seul les aurait fait dévier. Il déclara « Même si je n'ai que 13 comètes qui sont analysées en détail, l'effet est assez concluant. J'ai calculé qu'il y a seulement environ une chance en 1 700 qu'elle soit due au hasard38. » Matese quant à lui a calculé 82 comètes et il a eu le même résultat avec 25 % d'entre elles.

En 2001, un rapport de Science News titra : l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée… bien au-delà des neuf planètes connues, un objet aussi massif que Mars pourrait avoir fait partie du Système solaire et pourrait bien s'y trouver encore.

En 2003, l'astronome Alessandro Morbidelli, de l'observatoire de la Côte d'Azur, déclara qu'il s'attendait à ce qu'une planète soit découverte, avec une orbite très allongée, dont la période pourrait se compter en milliers d'années. En effet, on a observé que la ceinture de Kuiper semble s'arrêter brusquement. Cela révèlerait qu'une planète, de la taille de Mars, se serait formée dans cette région, au début du Système solaire, voire qu'elle aurait nettoyé, à mesure qu'elle grossissait, l'extérieur de la ceinture.

En 2003, (90377) Sedna fut découverte. Elle dispose d'une orbite extrêmement excentrique qui n'est pas influencée par Neptune ou par un autre corps du système solaire interne, car elle est trop éloignée. Cependant, cette orbite a intrigué Matese qui décida de poursuivre ses calculs avec l'aide de Rodney Gomes et Jack Lissauer. Les caractéristiques de l'orbite de Sedna pourraient confirmer la théorie d'une autre planète éloignée et excentrique dans la zone externe du système solaire. D'autres corps ayant une orbite excentrique renforcent cette théorie, comme 2000 CR105 ou 2006 SQ372.

Pour la plupart des astronomes, il est très difficile d'imaginer que Sedna ait pu maintenir une telle orbite excentrique et elliptique durant ces derniers milliards d'années. La mécanique céleste impose que cette excentricité s'use progressivement au fil du temps et que le corps céleste finisse par avoir une orbite circulaire. Donc « il est logique de supposer que Sedna démontre ainsi l'existence probable d'une force d'attraction inconnue au sein du Système Solaire, vraisemblablement un compagnon obscur du Soleil ». Donc, il subirait une perturbation gravitationnelle périodique avec cet autre objet qui empêcherait l'orbite de Sedna de reprendre une forme normale. John Matese continua après ses recherches sur ce corps hypothétique. Ce dernier publia un communiqué en avril 2010.

Selon Ciel et espace de mars 2008, une planète de la taille de la Terre aurait des chances d'exister dans la zone externe du Système solaire, au-delà de la ceinture de Kuiper. L'existence de cette planète est proposée par Patryk Lykawka, de l'université de Kobe au Japon, et Tadashi Mukai.

D'après des simulations numériques, une planète de la taille de la Terre resterait à découvrir et vers 2014, nos télescopes pourraient la détecter. Ce scénario est confirmé par des Japonais (université de Kobe), des Allemands (université de Tübingen) et des Italiens mais pas par les Français.

Le diamètre de Super-Pluton a été évalué, à partir des simulations, à 10 000 km (au minimum) et 16 000 km (au maximum). Son diamètre se rapprocherait donc de la Terre (12 756 km), et serait donc plus grand que tous les corps déjà découverts au-delà de Neptune. Elle pourrait donc être bien plus grande que les planètes naines49. Sa masse serait cependant plus faible que la masse terrestre. Elle est estimée entre 0,3 et 0,7 masse terrestre.

En comparaison des planètes du Système solaire, l'orbite de super-Pluton devrait être fortement inclinée par rapport au plan de l'écliptique (entre 20° et 40°). Les orbites des planètes sont quasi circulaires et coplanaires de l'écliptique (seule Mercure possède une orbite inclinée (7°) et excentrique (0,2) de manière significative). Alors que ce corps posséderait une orbite extrêmement excentrique, se situant au minimum à 80 ua (ce qui représente déjà une distance importante que peu d'objets épars connus atteignent) pour dépasser les 270 ua à son aphélie.

Plan

En 2012, selon une étude de Rodney Gomes, une planète de quatre fois la taille de la Terre pourrait se trouver au-delà de Neptune. Trop lointaine pour être facilement repérée par des télescopes basés sur Terre, la planète invisible pourrait être gravitationnellement influant sur les petits objets de la ceinture de Kuiper, aidant expliquer le mystère des orbites particulières de ces objets.

Astronome de l'Observatoire national du Brésil à Rio de Janeiro, Gomes a présenté ses modèles informatiques récemment achevés suggérant l'existence de la lointaine planète lors d'une réunion de l'American Astronomical Society à Timberline Lodge, Oregone, en mai 2012. Les astronomes qui ont assisté à l'exposé trouvèrent les arguments de Gomes convaincants, mais ils dirent que beaucoup plus de preuves sont nécessaires avant que la planète hypothétique puisse être considérée comme réelle.

Dans son étude, l’astronome a analysé les orbites de 92 objets de la ceinture de Kuiper dont Sedna, puis a comparé ses résultats à différentes simulations de leur distribution avec la présence et en l’absence d’une nouvelle planète. S’il n’y a aucun monde distant, conclut Gomes, les modèles ne produisent pas d’orbites suffisamment allongées pour six des objets étudiés.

Néanmoins, le diamètre de ce corps hypothétique n'est pas certain, et elle peut avoir de nombreuses tailles. Gomes pense qu’une planète de la taille de Neptune, environ quatre fois plus grosse que la Terre et située à environ 260 milliards de kilomètres du Soleil (soit 1500 fois la distance Terre-Soleil à peu près), pourrait être suffisante. Mais une planète de la taille de Mars ou la taille de la Terre avec une orbite très excentrique conviendrait également. Dans ce cas, la planète se trouverait occasionnellement à quelques 8 milliards de kilomètres de notre étoile. Gomes imagine qu’il pourrait s’agir d’une planète vagabonde éjectée de son système solaire, puis capturée par l’attraction gravitationnelle du Soleil. Ou celle-ci aurait pu se former beaucoup plus près de notre étoile, avant d’être éjectée au confin du système solaire.

Cependant, il sera très dificile de trouver ce corps car elle pourrait être très sombre et les calculs de Gomes ne permettent pas de déterminer la position de cette possible planète, elle pourrait se trouver n’importe où.

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/une-exoplanete-errante-reperee-a-100-annees-lumiere-de-la-terre.html

C'est maintenant du côté de l'Université d'Austin et d'un étudiant que l'alerte provient. D’après BPEarthwatch, dans une nouvelle vidéo, un étudiant de l’Université d’Austin a rapporté qu’un objet de la taille d’une planète s’approche de la Terre, après une observation avec le télescope Géant Mcdonald. Est-ce la vérité ou juste le fruit de son imagination de vidéaste ? - probablement un hoax pour beaucoup :

Mais notons que plusieurs nouvelles scientifiques affirment que les planètes Vénus et Jupiter auraient ralenti sur leurs orbites ! :

http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Could_Venus_be_shifting_gear

http://ircamera.as.arizona.edu/NatSci102/NatSci102/lectures/jupiter.htm

Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plan%C3%A8te_X,

Vidéo d'une entrevue de Bob Dean, réalisée en 2008 (il n'a jamais cru en "2012 l'apocalypse").

Maintenant, en 2014, on peut voir si ses prédictions se sont réalisées :

" Ça ne se produira pas du jour au lendemain. Vous allez voir une série d'événements géologiques se produire. Une augmentation de l'activité volcanique. Une augmentation des explosions solaires. Vous constaterez des orages et des cyclones plus violents qu'auparavant et aussi à des endroits ou il n'y en a pas eu depuis longtemps. La construction de ces désordres sera lente, mais tangible. ".  Bob Dean ne dit pas tout dans cette courte vidéo. Il faut mentionner aussi la mort de toutes sortes d'animaux, les changements climatiques sur les autres planètes aussi, et bien d'autres phénomènes inhabituels, comme les bruits de trompettes qui ont été entendus un peu partout dans le monde.

La vidéo complète de l'entrevue :

La transcription de cette entrevue :

http://projectavalon.net/lang/fr/bob_dean_nibiru_interview_transcript_fr.html

Source : http://bengarno.over-blog.com/categorie-12427054.html

L'université de Cornell ajoute que même notre lune a des écarts d'orbite.
Source :
 
Cette information est appuyée par l'institut de recherche (MIUR), à Bari (BA), en Italie 
Source :
 
Un rapport du Lawrence Berkeley Observatory = University of California
 
Un extrait de ce site :
" l’existence d’une dixième planète, la «Planète X», avec une masse
de 1 à 5 fois celle de la Terre, en orbite autour de 70 à 100 UA du soleil"
 
Department of Earth Sciences - le 26 février 1999
Source :
 
Provided by the NASA Astrophysics Data System
The location of Planet X
 
1999-10-07 - vu sur le site de la NASA
PUZZLE OF COMETARY ORBITS HINTS AT LARGE UNDISCOVERED OBJECT
Source :
 
" L'objet devrait être au moins aussi massif que Jupiter pour créer une perturbation gravitationnelle suffisamment importante pour donner lieu à l'effet observé "
 
L'ensemble de ces articles décrivent bien la recherche de cette fameuse pièce de puzzle qui nous manque pour que notre connaissance du système solaire soit correcte et pour expliquer les excentricités des orbites.
 
Vous constatez aussi que ce me sont pas Sitchin et Velikovsky qui ont inventé Nibiru,  ce sont nos connaissances en astronomie qui ont conclu à sa présence en observant les orbites des planètes , bien longtemps avant que Sitchin et Velikovsky ne commencent à écrire.
 
Velikovsky n'a fait que constater que les 10 plaies d'Égypte furent en réalité à l'échelle de toute la planète. Quand à Sitchin , il n'a fait que traduire des anciens textes sumériens. Velikovsky ne mentionns jamais Nibiru ou la planète X , ses écrits étant antérieurs à ceux de Sitchin.
L'orbite de la Planète X
 
Supposons un instant, le temps de ce court paragraphe, que Nibiru existe. Son orbite serait-elle à peu près ronde, donc toujours au-delà des limites connues de notre système solaire, ou son orbite ressemblerait-elle à celle d'une comète, faisant une courte intrusion dans notre système solaire avant de repartir d'ou elle est venue ?
 
Voici un indice - le déplacement de plus en plus rapide des pôles magnétiques de la terre.
Une image - 400 ans de déplacement des pôles magnétiques
File:Earth Magnetic Field Declination from 1590 to 1990.gif
 Source :
 
On observe les pôles magnétiques nord et sud se déplaçant vers la même direction et de plus en plus vite ces dernières années. C'est comme si notre terre était un aimant et qu'un autre aimant se rapprochait. Un enfant qui joue avec 2 aimants constate que plus il rapproche ses 2 aimants, plus l'interaction entre les 2 est grande. Donc, un autre aimant, une autre planète serait en approche. Donc, l'orbite du nouvel arrivant serait cométaire.
One of the most briliant astronomers in the world confirms that Hercolubus is very real and is coming.
MAJ 09-02-2014 : Il y aurait l'orbite de Nibiru/Hercolubus sur un billet de banque suisse, ainsi qu'une référence dans un billet iranien. Le dessin du billet suisse semble plutôt montrer une très comète pour ma part.
Hercolubus moyen

http://mutien.com/site_officiel/?p=1447

Yves Herbo-S-F-H-08-02-2014

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Commentaires

  • Abbeymazy

    1 Abbeymazy Le 18/12/2017

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