Science : Éruption solaire modérée M : la Terre y répond quand même !
Après une période exceptionnellement calme après les éruptions du mois précédent, le soleil a déclenché une éruption solaire le 17 mai dernier, mais les scientifiques sont maintenant intéressés par ce qu'il s'est passé sur Terre.
En réponse à l'explosion, les Neutrons ont éclairé l'ensemble du monde pour la première fois en six ans, en dépit qu'il ne s'agissait que d'une éruption de classe M, c'est à dire calme à modérée.
Cette "réponse" à une telle impulsion n'aurait pas dû arriver du tout. Maintenant, les scientifiques tentent de démêler ce qu'il s'est passé, et pourquoi notre planète a "pulsé" en réponse.
James Ryan, un astrophysicien au Centre UNH Space Science a dit: « Cette éruption solaire a été des plus médiocres et le CME associé était seulement un peu plus énergique. Et regardant optiquement, il a été remarquablement faible, il était, tout compte fait, d'un faible pourcentage d'événement solaire. "
Les scientifiques sont en train d'analyser les données en utilisant un satellite qui scanne une gamme de particules bizarres invisibles à d'autres engins spatiaux - Pamela, un vaisseau spatial européen dédié à l'observation des rayons de l'espace.
Lancé en 2006 et dédié à l'étude des rayons cosmiques, à peine deux semaines avant la plus récente des explosions, PAMELA a été upgradé pour se concentrer sur la physique solaire en raison de l'activité solaire de plus en plus en hausse.
Pendant des décennies, il y a eu un vif débat sur la possibilité que des processus complexes produisent des particules extrêmement énergétiques qui sont effectivement enregistrées sur le terrain : est-ce dû à l'onde de choc à l'avant d'un CME ou est-ce que les particules proviennent de l'éruption solaire elle-même ?
L'événement le plus récent permettra l'étude de l'évolution de l'éruption de faible à haute énergie sans interruption.
« Le satellite PAMELA nous fournit un pont qui n'a jamais existé auparavant», dit Ryan, « un pont entre les particules énergétiques solaires mesurées par d'autres engins spatiaux (en d'autres endroits) et les mesures qui sont faites sur le terrain par les moniteurs à neutrons, comme celles que nous avons exploité ici à Durham depuis des décennies. Remplir cette lacune a ouvert de nouvelles possibilités. "
Groenland : la NASA révèle l'effritement très élevée du sous-sol
Les scientifiques de la NASA et de l'Université de Californie, Irvine (UCI), ont constaté que les canyons sous les glaciers du Groenland plongeant dans l'océan sont plus profonds et plus longs qu'on ne le pensait précédemment, augmentant la quantité de la contribution estimée du Groenland à l'élévation du niveau de la mer.
" Les glaciers du Groenland sont susceptibles de se retirer plus rapidement et plus à l'intérieur que prévu, et pour beaucoup plus longtemps, selon cette très différente topographie que nous avons découverte ", a déclaré Mathieu Morlighem, un scientifique du projet associé UCI qui est l'auteur principal du mémoire de recherche. Les résultats ont été publiés dimanche dans la revue Nature Geoscience.
La perte de glace du Groenland s'est accélérée au cours des dernières décennies. Toutefois, les anciens modèles de la calotte glaciaire prédisait que l'accélération serait temporaire, parce que les glaciers regèleraient assez rapidement à nouveau sur un terrain plus élevé et se stabiliseraient. Les modèles avaient prévu que la contribution du Groenland à l'élévation du niveau de la mer serait donc limitée.
La nouvelle topographie de Morlighem montre une côte en lambeaux, l'effritement du sud du Groenland est marqué par plus de 100 canyons sous les glaciers qui se jettent dans l'océan. De nombreux canyons sont bien en dessous du niveau de la mer et dans leur taille jusqu'à 60 miles (100 km) à l'intérieur. Le terrain plus élevé, où les glaciers pourraient se stabiliser, est beaucoup plus loin de la côte que l'on pensait auparavant. La découverte remet en question l'idée que la récente perte de glace accélérée sera de courte durée.
Enseveli sous la calotte glaciaire du Groenland, le socle de la topographie du sous-continent a été estimé à l'aide de sondages radar à travers la glace. Cependant, la glace humide et fracturée le long de la côte sud a brouillé les sondages radar, aussi de larges pans de lit étaient restés invisibles. Pour surmonter ce problème, Morlighem et ses collègues ont conçu une technique de pointe pour créer une carte plus précise. La technique fait le meilleur usage de plusieurs types de données : les mesures d'épaisseur de la glace provenant de radars aéroportés, des données de radar d'interférométrie de satellites sur la vitesse et la direction du mouvement de la glac et les estimations des chutes de neige et la fonte de surface de la mer. En combinant les différents types de données, ils ont pu cartographier la topographie du lit le long des marges du Groenland avec une précision inégalée et détaillée.
" Nous avons été en mesure de faire un bond en avant dans notre connaissance de la topographie du lit sous les calottes glaciaires de la dernière décennie, grâce à l'avènement des missions telles que l'opération IceBridge de la NASA, en combinaison avec des données satellitaires sur la vitesse de ces calottes glaciaires qui sont nettes», a déclaré le co-auteur Eric Rignot de l'UCI et du Jet Propulsion Laboratory de la NASA (JPL) à Pasadena, en Californie.
" Mis ensembles, les documents montrent clairement que les calottes glaciaires de la planète contribuent beaucoup plus à l'élévation du niveau de la mer que les projections actuelles ne le montrent", a déclaré Rignot.
L'étude a utilisé des données synthétiques de la couverture radar recueillies en 2008-2009 par le Japanese Advanced Land Observing System Phased Array type L-band Synthetic Aperture Radar (ALOS PALSAR), le Canadian RADARSAT-1, le German TerraSAR-X, et le European Envisat Advanced Synthetic Aperture Radar (ASAR). Les taux d'amincissement de la glace ont été calculés à partir des données topographique aéroporté Mapper et ICESat de la NASA, et les données d'épaisseur de glace sont venus des campagnes aéroportées de la NASA de l'opération IceBridge.
New maps of the bedrock beneath Greenland’s ice sheet (right) have found long, deep canyons that are likely to cause ocean-feeding glaciers (left) to retreat faster and farther inland than previously thought. - Image Credit : NASA
L'Institute of Technology, Pasadena, Californie gère JPL pour la NASA.
Les météorologistes sont de plus en plus circonspects sur la situation climatique actuelle. " La persistance de cette situation devient vraiment peu commune. C’est un peu comme si nous étions revenus avant 1988 (avant la phase d’accélération du réchauffement climatique). Reste à savoir s’il s’agit simplement d’un cycle passager ou si nous changeons réellement d‘époque. Tout le monde se pose la question et personne n’a la réponse. Sachez toutefois que si l’Europe Occidentale connaît un temps très frais et très humide, ceci est loin d‘être le cas dans l’Est et le Sud-est du continent. " - " A Paris, la journée d’hier (24-05-2013) a été la plus froide pour une dernière décade du mois de mai depuis l’ouverture de la station météo de Montsouris en 1872, mais également et probablement depuis le début des mesures de températures à Paris à la fin du 17e siècle ! (La température moyenne était de 7,2°C contre 8,6°C le 28 mai 1961) " (Guillaume Séchet, Météorologiste et présentateur météo).
Tornade en Mozelle le 23-05-2013
Lorraine, Saint-Avold - 23-05-2013
Je pense personnellement qu'il est urgent pour l'Europe de l'Ouest, ses dirigeants et scientifiques, de se pencher sérieusement sur toutes les données convergeantes, les diverses possibilités de leurs origines et toutes leurs conséquences logiques pour le continent. La météo et l'étude seule du climat et de ses actions sur la planète ne suffisent manifestement pas à une analyse réaliste de la situation. Les dernières découvertes et données nous prouvent de plus fortes interactions du Soleil et de son magnétisme que prévues, des rayons cosmiques particuliers agissant sur l'atmosphère et ses nuages, une oscillation actuelle de la Terre bien plus au sud que la norme, des détournements sporadiques du Golfe Stream, un volcanisme devenant exacerbé par endroits et un nombre de séismes puissants plus élevé que toutes les normes enregistrées jusqu'à présent (des séismes ayant déplacé d'énormes masses continentales (le Japon vers l'Est et l'abîme, le Chili, Haiti, l'Indonésie et Philippines notamment...) de plusieurs mètres réels. On peut se poser finalement la question de savoir si ces forts déplacements de masses ne causent pas en fait à force un subit réajustement de rotation, d'inclinaison de la planète, et par de ce fait enclanche une réaction en chaîne de multiples réajustements de masses par des déplacements rapides de continents et créations de nouvelles fosses/montagnes, mais aussi bien sûr de fortes modifications climatiques dûes aux réajustements de latitude (ce qui expliquerait la congélation subite des mammouths sibériens constatées par exemple). On nous rassure en disant que les continents et sols se déplacent sur des millions d'années, mais l'étude de plusieurs surfaces sous-marines semblent au contraire démontrer que certaines masses continentales se seraient déplacées extrêmement vite, et plutôt en quelques siècles que millions d'années...
Mini tornade Orgeval-Yvelines-19-05-2013
La probabilité de réajustements de masse de la planète n'est pas la seule explication logique bien sûr mais l'une des convergeances évidentes quant au problème d'habiter sur une planète ayant une forte activité tectonique (réajustements de masses en permanence à cause du magma liquide interne et du noyau solide aussi) ajouté à celui de la modification climatique (non naturelle puisque industrielle) dû à l'être humain et sa propre activité. Il est moins douteux maintenant que de tels réajustements pourraient avoir suffit à provoquer plusieurs extinctions massives du monde vivant, sans pour autant faire intervenir les astéroïdes ou comètes (qui sont un risque supplémentaire). Et il est aussi probable que les grands événements du passé tels que la rupture de la Pangée, les modifications énormes d'atmosphère et de climat constatés dans la préhistoire soient les conséquences d'une accumulation aux mêmes périodes de phénomènes naturels, de cycles, habituellement plus dispercés et étalés dans le temps. Notre convergeance actuelle de phénomènes naturels (système solaire dans un nuage de particules plus denses depuis quelques années et pour plusieurs années, position du soleil (changement d'ère astrologique), cycle volcanique important et ajout de la pollution industrielle humaine. Tout ceci enclanchant les fontes de glaciers/banquises constatées, qui à leur tour entretiennent et accélèrent même le déplacement des masses rocheuses...
Mini tornade Orgeval-Yvelines-19-05-2013
Ces modifications pourraient donc modifier considérablement et durablement les conditions météo locales, mais aussi y provoquer, le temps des réajustements physiques des masses d'air (l'anticyclone des açores par exemple ne remonte plus du tout autant qu'avant, la depression polaire elle descend plus bas et est plus large qu'avant, etc...) des extrêmes sur toutes ces latitudes fortement affectées (cyclones/tempêtes/tornades/pluies diluviennes/neige/froid/sécheresses/canicules) et perdant en partie leurs saisons et climats tempérés...
L'instabilité était très marquée jeudi après-midi 24-05-2013 sur le Nord-Est de la France. Outre la neige à basse altitude (notre article), une tornade a été observée dans le ciel de Moselle près de Saint-Avold, plus précisément sur la commune de Macheren
Maintenant, même si notre planète tourne un peu comme une toupie en train de ralentir (et c'est le cas !), il est assez probable qu'un réajustement dans "l'autre sens", un rééquilibrage vers l'axe moyen de la planète existant depuis des milliers d'années, se fasse à un moment ou l'autre, à moins que la fonte des glaces ne déséquilibre définitivement la rotation actuelle de la Terre dans une position de plus en plus "toupie", de plus en plus penchée vers le Soleil au Nord. J'ai lu hier qu'un scientifique incistait fortement sur la nécessité de tenter de sauver la banquise arctique (à des fins de sauvegarde de la vie aussi) et je pense qu'il a entièrement raison, mais que c'est difficile à faire ! En effet, la fonte de la banquise arctique provoque plusieurs phénomènes actuellement, et simultanément : remontées fortes de méthane au niveau de la sibérie et fonte des sols, échappements de gaz et bactéries préhistoriques en Sibérie, Canada, Chine, d'asphaltes au Canada, modifications des côtes sous-marines, remontées de terres englouties ou affaissements d'autres, etc... Il est clair que la fonte du poids énorme des glaces sur les terres ont de multiples conséquences qui peuvent se décaler dans le temps mais qui sont irréversibles quand elles se produisent. Une accélération du mouvement ascendant des socles Scandinaves et Canadiens semble inéluctable devant la fonte de l'Arctique : des iles et côtes englouties réapparaissent d'un côté alors que d'autres s'enfoncent sous terre ou eau ailleurs. L'activité séismique et volcanique de toutes ces régions augmente logiquement également. Les courants marins ET atmosphériques sont modifiés d'après de nombreuses analyses publiées.
Vosges-23-05-2013
Que peut faire l'être humain devant ces convergeances, ces accumulations de signes ? D'abord informer et s'informer, c'est toujours utile de ne pas être surpris au cas où, et de pouvoir expliquer/rassurer ceux qui "tombent des nues". Ensuite, ceux qui sont censés être payés pour anticiper les problèmes économiques (assurances par ex.) dans leur propre intérêt, devraient proposer des mesures de sauvegardes beaucoup plus élevées de certaines régions selon leur densité d'habitation humaine : normes sismiques à revoir, zones inondables remontant à plusieurs milliers d'années, plans d'évacuation de masse, entraînement et préparation de la population aux extrêmes, création de digues, arrêt des centrales à énergie mal situées, développement et constitution d'équipe de secours de quartiers, distributions d'instructions et de kits de survie, surveillance accrue du sous-sol (mines/failles, inondations souterraines, nappes,...),... etc...
L'Humanité ne peut pas faire grand chose contre les phénomènes extrêmes mais son intelligence lui permet d'anticiper et de "voir venir" par l'étude et la reflexion. L'argent n'a pas et de doit pas intervenir dans ce processus sous peine de le retarder. Et il est question de reflexe ici pour l'humanité, de constat et de réaction à avoir, pas de megotage financier ou de notion de bénéfice... et l'Europe semble bien être l'un des continents à devoir réagir parmis les premiers... climatiquement parlant...
Et Sommaire en texte : News de l'Insolite - Le pouvoir des médiums, Un texte de Daniel Castille - Courrier des lecteurs - Truman Bethurum, "Le capitaine de la soucoupe était une femme"...Un texte de Ludovic Bonin - OVNI : Les preuves d’un COVER-UP, Une enquête exclusive de Pierre Fleming - Maître Philippe, Le thaumaturge de Lyon, Un texte de Pascal Cazottes - Sur la route avec... Dominique Moret, Une interview de La rédaction - La révélation des pyramides, Par l’informateur du film "La Révélation des Pyramides" - Planificateurs invisibles. Voyageurs du temps et réplication de l’ADN, Un texte de La rédaction - Le code subliminal des Illuminati 666 et 21/12, Un texte de Xavier Daniel - News des publications - Revue de presse...
Nous rappelons que le magazine TOP SECRET est ouvert à tous les chercheurs et ne prétend pas imposer sa vérité. La rédaction invite simplement ses lecteurs à se poser les questions qu’elle se pose, sans chercher à les conduire vers un postulat qu’elle aurait arrêté à l’avance.
TOP SECRET, édité par Eden Edition, organe de presse réellement indépendant, se veut un instantané de la recherche dans le domaine des énigmes et des mystères en tous genres, et donc un incitateur aux questionnements.
Dépêchez-vous de découvrir ce numéro pendant qu’il est encore facile de le trouver.
Si votre commerçant habituel ne connaît pas encore le magazine, vous pouvez lui demander de le commander aux NMPP avec la référence suivante : M 01857. Il devrait alors le recevoir au bout de 48 heures. Pour en savoir plus, voyez « Nos amis libraires ».
OVNI : Lettre au Scientific American, 18 Décembre 1886
MAJ 04-2015
L’une des questions les plus fréquemment posées dans l’ufologie est depuis combien de temps le phénomène OVNI existe. Cette ancienne lettre au rédacteur en chef de la revue Scientific American, bien que ne prouvant rien, semble se rapprocher fortement de certaines des observations et traces physiques les plus récentes, et bien documentées, par exemple le cas Cash-Landrum du 29 Décembre l980, près de Houston, au Texas. La lettre a été publiée dans le numéro 18 de Décembre 1886, de ce magazine.
Curieux phénomène AU VENEZUELA Pour le rédacteur en chef de la revue Scientific American :
Le bref compte rendu suivant d’un événement météorologique étrange récent peut être intéressant pour vos lecteurs, comme un ajout à la liste des excentricités électriques :
Pendant la nuit du 24 Octobre dernier (1886), qui était pluvieuse et orageuse, une famille de neuf personnes, dormant dans une cabane à quelques lieues de Maracaibo, a été réveillée par un bruit fort de ronflement et des couleurs vives, des lumières éblouissantes, qui ont brillamment illuminé l’intérieur de la maison.
Les occupants, complètement frappés de terreur, et croyant, comme ils le rapportent, que la fin du monde était arrivée, se jetèrent à genoux et commencèrent à prier, mais leurs dévotions ont été presque immédiatement interrompues par des vomissements violents, et des gonflements importants commencèrent à apparaître sur la partie supérieure de leur corps, et particulièrement visible sur le visage et les lèvres.
Il est à noter que les brillantes lumières n’étaient pas accompagnées d’une sensation de chaleur, mais il y avait comme un aspect de fumée (nuées ?) et une odeur particulière. (On peut aussi noter, pour ceux qui ont lu la Bible et l'Ancien Testament, que plusieurs descriptions des "nuées" entourant le Seigneur des Israéliens, l'Eternel, ainsi que les fortes odeurs de souffre, les "lumières" qui guident et les "ténèbres-nuées" qui obligent les gens a sortir de la Maison de l'Eternel, les brûlures et "pustules", par exemple, mais il y en a d'autres, correspondent à plusieurs faits reliés aux ovnis, y compris celui décrit ci-dessus...).
Le lendemain matin, les gonflements avaient disparu, laissant sur le visage et le corps de grandes taches noires. Aucune douleur particulière n’a été ressentie jusqu’au neuvième jour, quand la peau s’est détachée, et ces taches se sont transformées en virulentes plaies à vif.
Les cheveux de la tête sont tombés sur le côté qui se trouvait en-dessous du phénomène quand il s’est produit, le même côté du corps étant le plus grièvement blessé, dans les neuf cas.
Le fait remarquable de l’accident est que la maison n’a pas été touchée, toutes les portes et les fenêtres étant fermées à ce moment.
Aucune trace de foudre n’a par la suite été observée dans quelque partie du bâtiment que ce soit, et toutes les personnes souffrantes s’accordent à dire qu’il n’y avait eu aucune détonation, mais seulement le fort bourdonnement déjà mentionné.
Une autre circonstance concomitante est curieuse, c’est que les arbres autour de la maison ne montraient aucun signe de blessure jusqu’au neuvième jour, quand ils se sont soudainement desséchés, presque simultanément avec le développement des plaies sur le corps des occupants de la maison.
C’est peut-être une simple coïncidence, mais il est remarquable que la même sensibilité aux effets électriques, dans le même laps de temps, ait été observée chez les animaux et les organismes végétaux.
J’ai visité les malades, qui sont maintenant dans l’un des hôpitaux de cette ville, et bien que leur apparence soit vraiment horrible, il est à espérer que, dans aucun cas, les blessures ne soient fatales.
Warner Cowgill.
U. S. Consulat,
Maracaibo, Venezuela
17 novembre 1886