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Paracas skull with its red hair mini

Cranes allongés et Paracas : de nouvelles analyses ADN

Par Le 16/08/2016

Cranes allongés et Paracas : de nouvelles analyses ADN

 

Paracas skull with its red hair mini

A Paracas skull with its red hair. Credit: Brien Foerster

En 2014, des premières analyses ADN de plusieurs cranes de la tribu des Paracas, une tribu antique ayant précédé les Nasca dans la même région du Pérou, il y a plus de 2800 ans, avaient déclanché une forte controverse. Ces premières analyses avaient pourtant bien été faites et annoncées par un généticien, mais comme on l'a constaté à de nombreuses reprises, les scientifiques n'ont aucun problème quand ils annoncent des découvertes conformes aux dogmes (voir dictats !) établis dont il ne faut guère s'éloigner sous peine de... chasse aux sorcières digne du moyen-âge...

Mais quand le doute est semé et que l'Histoire prouve qu'aucune science ne peut être figée ni définitive, le Temps se charge souvent de remettre "une couche" et de répéter, amplifier les doutes et éléments de preuves (bien qu'une preuve scientifique ne soit pas non plus, on l'a vu plusieurs fois, une donnée définitive, mais bien souvent une preuve provisoire et locale !). 

J'ai écris ou traduit déjà plusieurs articles sur le sujet de ces cranes allongés (artificiellement ou non), et même sur des analyses du génome humain disant des choses très surprenantes, et ce nouvel article est en droite ligne des précédents, complétant un peu plus donc cette compilation de données apparues dans nos temps modernes, surtout celui-ci en ce qui concerne les premières analyses ADN de cranes allongés de Paracas :

http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/une-race-humaine-au-crane-allonge-une-autre-preuve.html

Vous trouverez tout en bas de cet articles des liens vers les autres données, qu'il est important de connaître pour ceux qui s'intéressent à ce sujet bien sûr très controversé (mais ce sont les sujets les plus intéressants aussi souvent !).

Structure espagne valencina mini

Tartessos ? Une structure antique de plusieurs cercles trouvée en Andalousie

Par Le 12/08/2016

Tartessos ? Une structure antique de plusieurs cercles trouvée en Andalousie

Structure espagne valencina mini

 

Une structure très étrange vient d'être trouvée dans le sud de l'Espagne, plus précisément en Andalousie, près de Séville, entre le fleuve Guadalquivir et la petite ville de Valencina de la Concepción. Très étrange car il s'agit d'un compexe de trois anneaux concentriques qui n'est pas sans rappeler certaines autres anciennes structures découvertes bien loin, dans d'autres pays (y compris la mystérieuse structure millénaire de Rogem Hiri en Syrie !, mais aussi des cercles liés à la culture de la terre dans le nord de l'Europe (et Oural), sans compter les structures pierreuses en cercle d'Afrique du Sud !)...

Les découvreurs ne semblent pas vouloir faire référence à la mystérieuse culture de Tartessos, pourtant bien connue en Andalousie, car ce dessin d'enceintes en forme de cercles concentriques n'est pas sans rappeler non plus les correspondances avec la description de la ville D'Atlantis, capitale de l'Atlantide de Platon... mais aussi plusieurs gravures du même type déjà découvertes tout autour de ce que les archéologues supposent être le lieu où se trouvait la civilisation méconnue de Tartessos, c'est à dire le long du fleuve Guadalquivir et de son delta, avec comme principaux points les actuelles villes de Séville, Huelva et Cadix. Je parlerai plus bas de Tartessos, qui reste l'une des plus mystérieuses civilisations de notre planète, pourtant située ici à deux pas, en Espagne...

Polynesiensroutes mini

Les Polynésiens en Californie il y a plus de 1000 ans

Par Le 05/08/2016

Les Polynésiens aussi en Californie il y a plus de 1400 ans

 

Polynesiensroutes mini

 

Deux autres preuves consolident le fait que des Polynésiens ont bien débarqué aussi en Amérique du nord, plus précisément en Californie du sud, au minimum 1000 ans avant que Christophe Colomb arrive sur la côte est... avec les preuves qui s’amoncellent sur leur probable débarquement en Amérique Latine encore plus tôt qu'en Amérique du Nord...

C'est donc une très vieille idée, qui date du 19ème siècle, qui semble de plus en plus confirmée par de multiples preuves...

La première de ces preuves consiste en la datation au carbone 14 recalibré d'une antique coiffure de cérémonie utilisée par les Indiens Chumash de Californie du Sud. La seconde implique la recherche effectuée par deux scientifiques de Californie qui suggèrent qu'un mot Chumash pour "planche de canot cousu" est dérivé d'un mot polynésien pour le bois, utilisé pour construire exactement le même bateau.

A l'époque (2005) les scientifiques, la linguiste Kathryn A. Klar de UC Berkeley et l'archéologue Terry L. Jones de Cal Poly San Luis Obispo, avaient du mal à obtenir que leur thèse sur des contacts entre les anciens Polynésiens et les Chumash soit publiée dans des revues scientifiques. Les Chumash et leurs voisins, les Gabrielino, étaient les seuls Indiens d'Amérique du Nord à construire des bateaux en planches-cousues, une technique utilisée dans les îles polynésiennes.

Ovni france lacchauvet 1952

OVNIs : ODH Docs Saison 2 - 2014

Par Le 02/08/2016

OVNIs : ODH Docs Saison 2 - 2014-2015-2016 - MAJ Ep. 28 - 02-08-2016 (FIN SAISON)

Gillest

 

ODH Docs Saison 2 - 2014-2015-2016 vous est présentée et est réalisée par Gilles Thomas. Il s'agit de reportages courts permettant de revenir sur les observations historiques d'OVNIs dans les régions visitées, avec quelques reconstitutions graphiques et de visiter. en même temps, beaucoup de lieux d'observations et d'admirer souvent le beau paysage français au passage. Beaucoup de cas peu connus du public néophyte actuel bien sûr puisqu'on remonte jusqu'aux années 50 pour certaines observations. Les quelques cas de Rencontres Rapprochées de différents types sont mentionnés. Très bien réalisé et intéressant.

Tunnel palenque mini

Un réseau de tunnels découvert sous la Pyramide Maya de Palenque

Par Le 31/07/2016

Un réseau de tunnels découvert sous la Pyramide Maya de Palenque

 

Tunnel palenque mini

Après ces longues années de fouilles sous la pyramide du Serpent à Plumes de la mystérieuse cité de Teotihuacán (Read more at https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/decouvert-il-y-a-11-ans-le-tunnel-de-teotihuacan-conserve-encore-des-secrets.html), ce sont maintenant des scans et l'exploration de petits robots qui confirment l'existence d'un réseau de tunnels hydroliques sous la tombe du Seigneur Maya Pakal de la cité de Palenque, en pleine jungle...

Tombe pacal palenque

Une reconstruction de la tombe de Pakal au Museo Nacional de Antropología, Mexique - Wikimedia Commons

Les archéologues, sur le site maya de renommée mondiale de Palenque au Mexique, ont fait une découverte surprenante sous le Temple des inscriptions, l'impressionnant monument funéraire construit pour le souverain Maya Pakal : des tunnels d'eau souterraine qui semblent avoir été créés comme un chemin symbolique pour guider Pakal vers la vie après la mort.

L'archéologue Arnoldo González Cruz, chef de projet à Palenque, a annoncé lors d'une conférence de presse que la découverte se compose de neuf canaux d'environ 17 mètres de longueur à travers lesquels circule de l'eau. Le canal est alimenté par une source et " révèle une ingénierie hydraulique complexe ".

Associated Press rapporte que Gonzalez Cruz estime que le tombeau et la pyramide ont été intentionnellement construits au-dessus de la résurgeance entre 683 et 702 AD, et que les tunnels ont été créés pour diriger l'eau dans la chambre funéraire et guider l'esprit de Pakal dans les " enfers ". La preuve provient de sculptures sur une paire d'ornements en forme d'oreilles en pierre, qui disent qu'un dieu " va guider les morts vers le monde souterrain, en les submergeant dans l'eau de sorte qu'ils y seront reçus ".

Tunnel palenque

Le tunnel a éyé découvert grâce au sonar et a été exploré par des robots. (INAH)

Le journal El Comercio rapporte de son côté que les canaux souterrains ont été découverts suite à l'utilisation d'un géoradar (scanner) dans le Temple des Inscriptions. Le coordonnateur du programme d'archéologie de l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique, Pedro Sánchez Nava, a déclaré que l'une des études a révélé des structures souterraines qui étaient dignes d'une enquête plus approfondie.


" Nous avons décidé d'étudier ces données et nous avons découvert qu'il y avait des canaux hydrauliques complexes sculptés directement dans la roche-mère, juste en dessous de la chambre funéraire de Pakal ", a déclaré Sanchez [via El Comercio].

Maya site of palenque

une partie de la cité de Palenque, Mexique Dennis Jarvis / Flickr

La grande ville maya de Palenque est encore cachée profondément dans les jungles du Mexique. Connue pour son architecture étonnante, ses temples tentaculaires, ses œuvres d'art et ses trésors, elle a attiré les explorateurs, les pilleurs de tombes et les archéologues ici depuis des siècles. Le Temple des Inscriptions se classe parmi les plus célèbres monuments du monde Maya et est l'une des plus grandes structures pyramidales mésoaméricaines connues. Le Temple a été construit spécifiquement pour être le monument funéraire de K'inich Janaab 'Pakal, souverain de Palenque au 7ème siècle après Jésus-Christ, dont le règne sur la zone a duré près de 70 ans. La construction de ce monument a été commandée par Pakal lui-même dans la dernière décennie de sa vie, et a été achevée par son fils et successeur K'inich Kan B'alam II peu de temps après 683 AD, d'après les reconstitutions historiques.

Temple des inscriptions palenque

Daniel Mannerich / Flickr

Le site se compose d'une structure "temple" qui se trouve au sommet d'une pyramide de huit gradins pour un total de neuf niveaux. Au sommet de la pyramide se trouve le temple qui est composé de deux passages divisés par une série de piliers, et couvert par un toit voûté. Tant le temple que la pyramide avaient une épaisse couche de stuc sur eux et qui avaient été peints en rouge, comme c'était courant pour de nombreux bâtiments mayas.

La découverte du sarcophage de Pakal au 20ème siècle a stupéfié le monde, et a été entourée de controverses depuis. L'entrée secrete de sa tombe a été découverte par l'archéologue mexicain Alberto Ruz Lhuillier en 1948 et il a fallu quatre ans pour déblayer les décombres de l'escalier menant à la tombe de Pakal. Ses restes squelettiques étaient encore couchés dans son cercueil, vêtu d'un masque de jade et de colliers de perles. La tombe elle-même est remarquable pour son grand sarcophage, richement sculpté, et les sculptures en stuc décorant les murs, qui représentent les lois de la transition vers la divinité et les figures de la mythologie maya.

Le symbolisme très discuté du couvercle du sarcophage est communément admis pour représenter Pakal sous la forme d'un des dieux du maïs issu du monde souterrain avec le symbole de l'Arbre de vie en arrière-plan. Cependant, tout le monde n'est pas d'accord avec cette interprétation. Une hypothèse plus alternative est que Pakal est représenté en train d'utiliser une sorte de machine ou de véhicule. Lorsqu'il est regardé sur le côté, Pakal semble actionner une série complexe de contrôles...

Sarcophage pakal palenque

Le couvercle imposant du sarcophage et sa mystérieuse sculpture, représentant pour certains un "Vimana" actionné par le Seigneur Pakal, pour d'autres un possible char le menant vers le monde souterrain... Asaf Braverman / Flickr

Les canaux d'eaux souterrains nouvellement découverts continuent d'être excavés et on espère que de nouvelles découvertes pourront jeter plus de lumière sur la vie et la mort de ce puissant souverain.

Dans cette petite vidéo (VO), vous pouvez voir certaines images de la progression des robots dans les canaux...

 

Sources : INAHAssociated Press, El Comercio, http://www.ancient-origins.net/news-history-archaeology/breaking-underground-tunnels-found-beneath-pakal-tomb-maya-site-palenque-020919?nopaging=1, Youtube

 

Yves Herbo traductions, Sciences et Faits et Histoireshttps://herboyves.blogspot.com/, 31-07-2016

Dolmen carregaldosal

Des observatoires astronomiques datés de 6000 ans en Europe

Par Le 28/07/2016

Des observatoires astronomiques datés de 6000 ans en Europe

Dolmen carregaldosal

Une grande étude publiée par une équipe d'astronomes britanniques fin juin 2016 révèle non seulement l'existence d'un système assez sophistiqué permettant une observation astronomique du ciel nocturne il y a plus de 6000 ans, mais aussi des liens probables avec un culte lié aux étoiles (ou une utilisation culturelle) et possible avec... l'Atlantide. Pour résumer, cette étude effectuée sur plusieurs mégalithes (Dolmens) de configuration spéciale, alignés précisément et situés au Portugal et en Espagne permet d'affirmer que ces structures ont été élaborées et alignées pour permettre l'observation certaines et isolée de l'étoile géante Alderbaran - celle qui se lève juste avant le lever du Soleil à un endroit précis, visé par les ouvertures de tous ces dolmens. Et quand on sait qu'Aldebaran est aussi la principale étoile de la constellation du Taureau, le lien avec l'Atlantide de Platon (qui cite le Taureau comme ayant une grande importance culturelle pour les Atlantes) est difficile à éviter. Beaucoup d'auteurs considèrent que la mystérieuse civilisation des constructeurs de mégalithes (qui ne sont pas des Gaulois ou des Celtes comme certains raccourcis historiques ont pu le faire croire pour certains) est née effectivement au Portugal et Espagne avant de remonter jusqu'en Grande-Bretagne où se trouve Stonehenge (l'un des Stonehenges plutôt), l'un de leurs chefs-d'oeuvre mégalithiques...

Ceci conforte également bien sûr le fait que ces constructeurs mégalithiques, ainsi que leurs mystérieuses connaissances astronomiques avancées et également sur celles des ondes et failles telluriques, soient des rescapés/survivants de la non-moins mystérieuse Atlantide, qui auraient débarqué en Espagne et Portugal ou encore proviendraient bien de ce lieu au sud de l'Espagne, appelé Tartessos (et considéré comme la plus ancienne civilisation européenne par les anciens Grecs eux-mêmes !), peut-être retrouvé récemment, et qui aurait été englouti par un raz de marée dans le Delta de Cadix (version Atlantide)... ou détruit par Carthage peut-être ! tout en sachant que cette civilisation semble être apparue subitement vers le début du néolithique, il y a 7 à 8000 ans à divers endroits... tous à proximité de la mer ou de cours d'eau pour les plus anciens...

 

Une équipe d'astronomes du Royaume-Uni étudie ce qui pourrait être décrit comme l'un des plus anciens outils d'observation astronomique, qui a été utilisé par les humains aux alentours de 4000 avant JC.

Carregal do salThe view towards the east from the Carregal do Sal megalithic cluster, at dawn at the end of April around 4,000 BC, as reconstructed using a Digital Elevation Model and Stellarium. Aldebaran, the last star to rise before the Sun, is rising directly above Serra da Estrela, the ‘mountain range of the star’.   FR : La vue vers l'est à partir du groupe mégalithique Carregal do Sal, à l'aube, à la fin de Avril vers 4000 avant JC, comme reconstitué à l'aide d'un modèle numérique d'élévation et de Stellarium. Aldebaran, la dernière étoile à se lever avant le soleil, monte directement au-dessus de la Serra da Estrela, la "chaîne de montagne de l'étoile".Image credit: Fabio Silva.

 

L'équipe de spécialistes en astronomie, dirigée par le Dr Fabio Silva de l'Université du Pays de Galles Trinity Saint David, estime que les couloirs d'entrée longs et étroits des tombes mégalithiques ibériques de la période du Néolithique moyen (estimations) peuvent avoir amélioré ce que ces premières cultures humaines pouvaient voir dans le ciel nocturne (un peu à la façon d'un telescope mais sans lentilles aidant fortement à améliorer la vision nocturne ou même lunaire).

L'idée de l'équipe était d'étudier comment une ouverture simple, par exemple une ouverture ou une porte, affecte l'observation des étoiles légèrement plus faibles.

Les scientifiques ont concentré leur étude sur les tombes à couloir, qui sont un type de tombe mégalithique composé d'une chambre de grosses pierres imbriquées et d'une longue entrée étroite.

Image 3987 2e carregal do sal

Photographs of the megalithic cluster of Carregal do Sal: (a) Dolmen da Orca, a typical dolmenic structure in western Iberia; (b) view of the passage and entrance while standing within the dolmens’ chamber: the ‘window of visibility;’ (c) Orca de Santo Tisco, a dolmen with a much smaller passage or corridor. FR : Photographies du groupe mégalithique de Carregal do Sal: (a) du Orca Dolmen, une structure dolméniques typique dans l'ouest Iberia; (b) vue du passage et de l'entrée tout en se tenant dans les dolmens de la chambre: la "fenêtre de visibilité" (c) Orca de Santo Tisco, un dolmen avec un passage beaucoup plus petit ou un corridor.  Image credit: Fabio Silva.

 

Ces espaces sont supposés avoir été sacrés, et les sites peuvent avoir été utilisés pour des rites de passage, où l'initié devait passer la nuit à l'intérieur de la tombe, sans lumière naturelle à part ce qui brille par l'entrée étroite encastrée et avec les restes des ancêtres de la tribu.

Ces structures pourraient donc avoir été les premiers outils astronomiques pour améliorer l'observation du ciel, des millénaires avant que les télescopes aient été inventés.

" C'est tout à fait surprenant que personne n'ait étudié à fond la façon dont par exemple la luminosité du ciel nocturne impacte ce qui peut être vu à l'oeil nu ", a déclaré le co-auteur Kieran Simcox, de l'Université de Nottingham Trent.

Les objectifs de l'équipe était de voir comment l'œil humain, sans l'aide d'un dispositif télescopique, pouvait voir les données de luminosité du ciel étoilé et leur couleur.

Seven stone antas

Seven-Stone Antas (Getty Images - Representational Image)

Les scientifiques ont l'intention d'appliquer ces idées sur plusieurs cas de tombes à couloir, comme le vieux dolmen de 6000 années "Antas Seven-Stone "au Portugal et aussi en Espagne.

" Les orientations des tombes semblent être en alignement avec Aldebaran, la plus brillante étoile de la constellation du Taureau ", a déclaré le Dr Silva.

" Pour chronométrer avec précision la première apparition de cette étoile dans la saison, il est essentiel de pouvoir détecter les étoiles au crépuscule."

" La première observation dans l'année de la réapparition d'une étoile après sa longue absence du ciel nocturne aurait pu être utilisée comme marqueur de saison, et pourrait indiquer par exemple le début d'une migration vers les pâturages d'été ", ont dit les astronomes.

" Ce moment précis aurait pu être considéré comme la connaissance ou la prévoyance secrète, seulement obtenue après une nuit passée en contact avec les ancêtres, dans les profondeurs d'une tombe à couloir, puisque l'étoile ne peut pas avoir été observable de l'extérieur ".

Cependant, les astronomes suggèrent que cela pourrait en fait avoir été le résultat de la capacité de l’œil humain à repérer des étoiles dans ces conditions crépusculaires, étant donné les petits passages d'entrée des tombes.

Le Dr Silva et ses collègues ont présenté leurs résultats fin juin 2016 à l'Assemblée nationale de l'astronomie 2016 à Nottingham, Royaume-Uni.

Fabio Silva et al. Arising and Laying Hidden Stars: their celestial dynamics and role in Neolithic Iberian Cosmology. NAM 2016

 

Sources : http://www.sci-news.com/astronomy/iberian-megalithic-tombs-lensless-telescopes-03987.html

http://www.dnaindia.com/scitech/report-scientists-say-6000-year-old-tombs-could-have-been-first-telescopes-2230995

 

Yves Herbo et traductions, Sciences et Faits et Histoires, http://herboyves.blogspot.com/, 28-07-2016

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