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Un atterrissage avec humanoide près de Marrakech
Un atterrissage avec humanoide près de Marrakech
2012- up 2015
Une enquête de Gérard Lebat, des Repas Ufologiques de Marrakech (2012), publiée avec son aimable autorisation :
Je recherchais une personne pour s’occuper de l’entretien d’une propriété. Je suis donc en contact avec beaucoup de gens, en règle générale des marocains ne parlant pas le Français, parlant même dans certains cas, que le « berbère » local. La tâche n’est donc pas facile et il me faut en générale une personne pour « traduire ». Ici, ces recherches se font essentiellement via le « téléphone arabe » c'est-à-dire les relations qui en parlent autour d’elles, ces derniers répercutant la nouvelle. On est ainsi amené à rencontrer d’innombrables personnes, habitant parfois très loin.
Au mois de Mars 2012, j’ai rencontré une personne, qui parlait le français convenablement, nous avons enconséquence longuement discuté. Nous avons évoqués de nombreux sujets et je lui ai à un moment parlé du fait que je m’intéressais à tout ce qui était mystérieux et qui touchait l’espace, le ciel, les étoiles et naturellement tout ce qu’on pouvait y observer, y compris des objets inconnus. Le mot « ovni » a ainsi été prononcé, ce dernier n’était pas inconnu de mon interlocuteur qui parfois regarde les chaînes de télévision en provenance de la France. J’évoquais sans détailler ce qu’était ce phénomène, les observations de points lumineux, les objets à terre et à très basse altitude. Brahim, un peu plus d’une quarantaine d’années, c’est le prénom de cette personne qui se présentait pour le poste recherché, sans toutefois en avoir les compétences, candidature qui ne pouvait donc pas convenir. Mais, il évoqua toutefois dans la conversation, le fait que son père, âgé aujourd’hui de 70 ans, avait été l’objet, dans les années 60 – 70, d’une bien étrange observation.
Bien, que généralement je n’aborde pas ce sujet ici, les habitants ont autre chose à faire que de s’occuper de ces sujets. Manger, trouver un peu d’argent, étant la principale préoccupation, surtout pour les habitants de la campagne qui ont bien souvent le minimum pour ne pas mourir de faim. Et pour le superflu, s’offrir une télévision par exemple, bien souvent d’occasion, si âgée et en aussi mauvais état apparent qu’on ne la ramasserait même pas en France dans une poubelle, ceci pour quelques dizaines d’euros, il leur faut économiser et faire de bonnes affaires. Mais pas facile à la campagne ou personne n’a d’argent. Il faut souvent monter à la ville, vendre à meilleurs prix ce qu’on a produit. La situation à la campagne est bien différente de la ville, ou ceux qui ont réussi, parviennent à vivre honorablement. Mais ce jour-là, Brahim était relativement bavard, il évoqua donc l’histoire qu’avait vécu son père : une nuit, réveillé par ses chiens, les chiens des voisins, souvent membre de sa famille, il se leva et regarda par la fenêtre. Il observa alors, à 70/100 m de lui environ, un objet qui était à terre et il a pu voir dans la nuit, une silhouette, pas plus grande qu’un enfant, qui se dirigeait vers l’objet, le contourna. Puis au maximum 2 minutes plus tard l’objet s’éleva lentement à la verticale, sans bruit, puis disparu à l’horizontal, tout en s’élevant dans l’espace, à une vitesse relativement élevée. (aussi rapide que les avions à réaction, type F16, à basse altitude, qui étaient présentés par les américains il y a quelques années ici à Marrakech, et dont certains ont survolés la régions.)
L’affaire me semblait intéressante, peu d’observation d’objets à terre au Maroc, quelques cas avec des entités aux abords, mais ici comme l’information ne circule pas facilement vers les médias, la situation est normale et elle est connue. D’autre part, pour un villageois de la campagne, il ne serait pas question d’aller raconter une telle histoire à la gendarmerie, qui d’autre part ne saurait pas quoi en faire. La peur du « gendarme » est ici très grande, synonyme de problèmes qui peuvent être très graves…
En conséquence, son père n’a jamais parlé de cela, sinon à sa famille proche, évoquant plutôt une apparitiond’un « signe » religieux pouvant apporter le malheur. Jamais le cas ne fut donc évoqué en détails, même dans le proche cercle familial et encore moins chez les voisins ou les personnes que peut rencontrer le témoin. Brahim, ne pouvait donc pas m’en dire plus, un objet vu par la fenêtre, une silhouette et l’objet qui a décollé.
Je tentais alors indirectement de lui demander s’il serait possible de rencontrer son père. Ou il habitait. Pour le lieu où se situait le domicile de cette personne, pas de soucis, un petit groupe de maisons, le père, les enfants proches des voisins, non loin de Tahanaout, une distance de cinquante kilomètres au maximum de mon domicile. L’objectif était évidemment de tenter d’en savoir plus sur ce cas. La rencontre n’est pas facile, le père est âgé, il habite la campagne et il n’évoque pas cette affaire, encore moins à un étranger. Arriver à deux ou trois personnes, étrangères à ce village, dans ce « bled » va faire « jaser » et que vont bien dire les habitants. Ici, on prend soin de sa personnalité au sein du village et on craint le « ce que vont penser les autres » ! Ce n’était donc pas gagné d’avance, mais, avec diplomatie, en rassurant Brahim sur le fait que jamais personne ne serait informé des identités, le fait que nous serions le plus discret possible lors de notre venue, sans matériel, ni même appareil photo et le plus rapide possible, j’ai tenté d’obtenir une entrevue avec son père.
Il est parti en me promettant de lui parler de mon intérêt pour cette observation et de demander à son père s’il accepterait de me parler. Je n’étais absolument pas convaincu qu’un jour j’aurai une réponse, ni même des nouvelles de Brahim.
Début Avril 2012, un appel téléphonique, surprise, c’est Brahim qui m’appelle. Il me dit que mes histoires d’ovni l’ont intrigué, qu’il avait parlé à plusieurs amis de ce phénomène et que plusieurs avaient fait des observations de lumières inconnues dans le ciel. Mais tous ces cas sont anciens, sans date précise et nous en avons déjà des dizaines de milliers, ce qui ne nous apporte rien de nouveau. Je n’entreprends donc aucune démarche sur toutes ces histoires imprécises en générale. Mais le plus important, c’est qu’il a eu l’occasion de voir son père et que ce dernier accepte de me rencontrer.
Nous convenons donc de nous rencontrer le Lundi 7 mai 2012 vers 10 h 00 au carrefour du village de Knine. (Environ 40 kms de Marrakech) Il s’agit du carrefour, sur la carte, entre la P2017 et la P2010. Ce village, n’est pas mentionné sur la carte, mais il est aujourd’hui important et le commerce y est actif. Le Lundi, dans cevillage, en contrebas, (à environ 1 km 500 du croisement) il y a un souk typique qui a encore conservé aujourd’hui son caractère campagnard.
RENDEZ-VOUS POUR ALLER RENDRE VISITE AU TÉMOIN
Le jour venu je suis sur les lieux du rendez-vous et je retrouve Brahim. C’est lui qui me traduira en Français, nous n’avons pas jugé indispensable pour raison de discrétion, de nous déplacer à plus de personnes. Nous poursuivons notre route, empruntant la P2010 qui rejoint Tahanaout et après quelques kilomètres, il nous faut emprunter une piste sur la gauche de la route, qui nous mène en direction de la montagne. Un kilomètre de piste, pas de soucis, on peu y aller en voiture, me dit Brahim……. Mais, au fil des minutes, la piste relativement bonne, l’hiver n’a pas été très pluvieux, les kilomètres s’additionnent !...... En bref, comme à l’habitude ici, un petit kilomètre qui en fait bien 5 chez nous….. et sur une piste, la route parait longue……. Mais après un bon quart d’heure de piste, j’aperçois un groupe de maisons en pisé (des habitations rudimentaires faites en terre, comme on en trouve partout dans la campagne marocaine) qui forment un petit ensemble. C’est là qu’habite mon père, me confirme Brahim.
Nous nous arrêtons devant un mur déjà bien usé par les années (les murs sont en terre, la pluie l’hiver les abimes essentiellement sur leur partie supérieure, ce qui demande un entretien constant) dans lequel une porte faite de bric et de broc, des planches de différentes origines et qui ont certainement plusieurs décennies, est percée. Dans le champ avoisinant, deux ânes, un mulet, paisiblement tentent de trouver quelques brins de paille pour se nourrir.
Après avoir arrêtée la voiture, ici pas de soucis pour les emplacements de stationnement, nous sommes seul, nous nous dirigeons vers la porte. Derrière, déjà les chiens aboient, entraînant dans ce « système d’alarme » efficace, les nombreux autres chiens de ce groupe d’habitation. Brahim pousse la porte, une petite cours, quelques moutons dans un coin, des poules, un coq et devant la maison un homme âgé, (il a 70 ans environ) le père de Brahim qui se prénomme Mohamed.
Raide, malgré les années et un travail difficile dans les champs qui ont usés son corps, sérieux et qui est loin de prendre notre arrivé à la rigolade, Mohammed nous accueil toutefois chaleureusement et est très heureux à la fois de recevoir la visite de son fils et de ma présence. Il nous invite à entrer, la pièce est simple, 3 m de large sur 6 m de long, dans laquelle sont installés au sol et sur le pourtour des tapis et des cousins. Il y a seulement une petite fenêtre, 80 cms par 80 cms pour ouverture ainsi que la porte. C’est suffisant pour éclairer la pièce. Le soleil monte à plus de 60° l’été (52 à l’ombre, il y a deux années), donc pour se protéger, les fenêtres sont rares et souvent petites. Nous prenons place, à terre, comme de coutume. (Pas de table, pas de chaise, pas de fauteuil, ici on n’a pas les moyens de s’offrir tout cela) Et rapidement, arrivant de dehors, (la cuisine est souvent située dansces maisons en terre, dans une pièce attenante, domaine des femmes) une personne âgée, sa femme et deux jeunes filles, deux de ses enfants encore à la maison. Elles nous apportent le thé à la menthe traditionnel, accompagné de pain, d’huile d’olive, de confiture, de gaufres paysannes, de lait et même des œufs cuits dûrs…….. un accueil traditionnel au Maroc, que ce soit à la ville ou à la campagne.
Les femmes se retirèrent et Brahim parle avec son père, en Arabe et en Berbère, traduisant de temps à autre certains passages de la conversation. Nous en arrivons à ce qui nous intéresse, la description de ce que Mohamed a observé. Replacer dans le temps ce fait n’est pas évident, c’était avant la naissance de Brahim, 1er point. Se référer à des éléments de l’actualité, c’est impossible, ici le temps s’écoulait à cette époque au fils des saisons, sans que la radio ni la télévision ne viennent perturber la vie paisible de cette famille. On peut au mieux replacer l’évènement vers 1967 – 1969 et au printemps, Mohamed se rappelle qu’il s’apprêtait à ramasser le blé (ici la récolte se fait en fin avril et en mai).
UN OBJET MATÉRIEL AU SOL
Il s’était couché la veille de son observation un peu après la tombée de la nuit ( pas d’électricité à cette époque, on vit ici au rythme du levé et du coucher du soleil) , après sa journée de travail dans les champs, à surveiller les moutons et les animaux qui ici son quasiment en liberté, allant et venant entre un petit enclos attenant à la maison, fait de pierres et de terre et la campagne environnante. Il s’était allongé dans la pièce où nous étions, sur les tapis avec sa femme. Les enfants, quant à eux dorment dans une autre pièce, sur les nattes posées à même la terre. Déjà à cette époque, Mohamed avait des chiens, deux semble t’il se rappeler. Ils dorment dans l’enclos dont les murs sont utilisés sur deux côtés pour les pièces composant l’habitation et la bergerie.
Vers 2 h 00 du matin, les chiens aboient longuement, ce qui réveille Mohamed. Comme les chiens persistent à aboyer, il se lève et sort dans la cours. Ils tentent de rassurer les chiens car il ne voit rien d’anormal, mais ces derniers continuent à aboyer, tout en courant sans cesse et rapidement dans le patio.
Devant cette insistance Mohamed se dirige vers la porte qui donne sur la piste. Il sort, fait quelques mètres à droite, puis à gauche, il observe. Rien d’anormal. Les chiens ont-ils vu un chat, un autre animal sauvage, c’est sa conclusion et il rentre dans la cour, tentant de calmer les chiens. Ils se taisent durant quelques minutes, mais une fois que Mohamed est rentré dans la chambre, ils recommencent à aboyer. Mohamed a alors l’idée de regarder par la fenêtre qui donne sur le derrière de la maison, la face opposée à la porte de sortie sur la piste, juste par sécurité, pour vérifier s’il ne voit personne sur ce côté de la maison.
Là, surprise, la lune éclairant assez bien la campagne (mais ce n’était pas « l’éclairage maximum » de la lune précise-t-il, en conséquence ce n’était pas la pleine lune et on ne voyait donc pas dans les meilleures conditions.) il aperçoit une masse sombre, qui brille légèrement comme si c’était de l’aluminium, mais un aluminium assez sombre, comme s’il avait déjà vieilli. Cette masse était grosse comme « une Fiat familiale », mais toutefois de forme « ronde et allongée ». Je note un maximum d’informations, traduites par Brahim, sur un bloc à l’aide d’un stylo. Je propose à Mohamed de me faire un croquis de l’objet. D’un geste de la main, il me fait comprendre que « non ». Je regarde Brahim qui me dit : « mon père ne sait pas écrire, ni lire et n’a jamais tenu de sa main un stylo. D’ailleurs, dans la maison, il n’y en a pas …. »
Je dessine alors grossièrement plusieurs formes, entre le rond et l’ovale, y mettant même des « carrés », me souvenant de cas de ce type. Il me désigne alors une forme ovale, relativement allongée, en conséquence plus allongé que l’observation d’un ovni à terre, de forme ovale mais avec une sorte de coupole, un peu comme à Valensole en 1967. Toutefois, tout ceci après plus de 40 années, ne peut être qu’approximatif, Mohamed, n’ayant pas évoqué cette histoire depuis au moins 20 ans, voir plus !
Et comment s’était-il posé à terre ? Sur des pieds, la masse ovale était-elle directement sur le sol composé ici de terre et de beaucoup de pierre ? Mohamed ne se souvient plus très bien, il réfléchit, il décrit l’objet comme étant à un peu prés 1 m du sol, posé sur une « sorte de tonneau » très sombre. Je traduis cela par un pied central qui ferait la grosseur d’un tonneau de 200 l, ainsi qu’il me confirme, d’un métal (ou autre ?) de couleur sombre, plus sombre que l’objet. Hauteur un mètre environ pour une largeur apparente de 70 cms.
Par comparaison avec un véhicule de type Berline, l’objet ne devait pas avoir une longueur supérieure à 5 m pour une hauteur de 2 m au point central de l’objet. Hauteur estimée et confirmée par le témoin, de la masse ovale, ce qui fait une hauteur maximal de 3 m à partir du sol.)
En regardant par la fenêtre, je me replace dans les conditions de l’observation, le sol est parsemé de nombreuses pierres, toutefois certains endroits, n’en comporte pas ou peu. La distance : on situe l’objet entre 80 et 120 m de la maison, du champ de vision par la fenêtre. En se replaçant sur les lieux mêmes, le témoin compte tenu de l’ancienneté de l’observation, ne peu situer à 10 ou 20 m près, l’endroit préci ou se trouvait posé l’objet.
L’objet ne présentait aucune porte, aucun hublot, aucun dôme et était parfaitement ovale, brillant seulement très légèrement. Il se détachait très bien malgré la nuit, car l’horizon est vide, pas ou peu d’arbres ou arbuste, des champs de blé et de légères collines à quelques kilomètre.
UN PERSONNAGE ÉTRANGE SE DIRIGE VERS L’OBJET
Ce qui a paru par contre le plus étrange, c’est que se dirigeait vers l’objet, un personnage qu’il assimila à des créatures dont on parle dans le coran, des Djinns qui viennent de l’au-delà, passent, disparaissent comme s’ils devenaient soudainement invisibles. Le personnage avait la grandeur d’un enfant de 15 ans, traduisons, pour ici, un enfant d’un mètre trente environ. Il était « maigre » et se déplaçait sur ses deux jambes. Il avait deux bras qui se balançaient semble-t-il le long du corps et une tête qui lui a parue énorme. Compte tenu de la faible intensité lumineuse, de la nuit, il ne peut détailler plus cet être, pour lui, seulement une silhouette noire qui se déplaçait, venant de notre maison et se dirigeant vers l’objet. Compte tenu de l’apparence de la créature, les vêtements étaient certainement peu épais, voir collants et n’avaient aucun rapport avec un scaphandre, une combinaison de cosmonaute, voir un gros manteau de laine !......
Il était alors à environ 5 - 6 m de l’objet, lorsqu’il le voit, il avançait en sa direction et une fois arrivé à deux mètres, il l’a alors contourné l’engin par la gauche. Il a alors à ce moment-là disparu derrière l’objet. Sa vitesse de déplacement était d’une allure normale de marche. Il s’attendait à voir apparaître à l’autre extrémité de l’objet, cette créature, mais ce ne fut pas le cas. Il n’avait jamais vu un tel objet, il ne savait pas ce que cela pouvait être, il a pensé à un voleur. Mais l’être ne transportait rien. Les chiens quant à eux continuaient à aboyer.
Sa femme s’était réveillée, mais ne s’est pas levé dans un premier temps. (La durée de l’observation étant de 2 à 3 minutes, le temps qu’elle émerge, qu’elle comprenne ce que Mohamed voyait, alors qu’il ne s’affolait pas, qu’il ne lui donnait pas de détail sur ce qu’il observait, elle n’a de fait rien vu). Quant aux enfants, pas de bruit, ils devaient dormir d’un profond sommeil. Mohamed, continue à observer, ne comprend pas, mais semble comme paralysé et n’entreprend aucune action. Il est parfaitement conscient, mais reste calme car pour lui aucun danger malgré qu’il n’ait jamais vu un tel engin.
L’OBJET S’ÉLÈVE EN DOUCEUR
Il y avait au plus 1,5 à 2 minutes que l’être avait disparu derrière l’appareil, que ce dernier se mit à s’élever lentement. On peut supposer que l’être à pénétré dans l’objet par la face opposée. Je lui demande ce qu’est alors advenu du pied sur lequel il reposait : il ne se rappelle plus, mais en l’air, l’objet avait bien une apparence ovale, sans rien en dessous.
Il s’est élevé ainsi durant quelques secondes, puis s’est arrêté à environ une dizaine de mètres de hauteur. (Imprécision toutefois sur cette hauteur, vu qu’il estime celle-ci à au moins trois maisons (une maison de terre fait au mieux 4 m de haut, ce qui nous donne une douzaine de mètre). L’objet était bien visible, car il se détachait sur le ciel dégagé. Il est resté ainsi immobile durant deux ou trois secondes et il est parti à l’horizontal, avec une élévation toutefois constante, vers le Nord Est, longeant ainsi l’Atlas en direction de l’Ourika. Sa vitesse était relativement rapide, l’objet ayant démarré instantanément à cette vitesse rapide, sans accélérer par la suite. Il a disparu en moins de trois secondes dans la nuit lointaine.
Cette scène s’est donc déroulée en environ deux minutes, sans qu’a aucun moment, Mohamed ne perçoive aucun bruit, aucun souffle, aucune modification de la chaleur environnante. Le tout s’est déroulé dans un calme parfait et il ne pouvait pas entendre du fait de l’éloignement, les pas de l’être sur le sol. Seul les aboiements des chiens étaient perceptibles, mais pas au point de couvrir un bruit éventuel de l’engin, du fait que ces derniers s’arrêtaient durant quelques secondes. C’est cette situation de calme qui a fait qu’il n’a pas paniqué, qu’il a observé, s’apprêtant toutefois à sortir pour voir la scène de plus près au moment ou l’objet a commencé à s’élever.
Il donne en deux mots la description de ce qu’il vient de voir, à sa femme, cette dernière est debout, mais ne comprend pas grand-chose à la situation, et il sort, décidé d’aller voir sur le lieu où l’objet s’était posé s’il ne restait pas quelque chose. Mais, il ne trouve rien, il fait sombre toutefois et on ne verrait pas un petit objet de couleur foncé au sol. Après avoir regardé à l’horizon, tout autour de lui, il rentre. Le lendemain matin, il ira ànouveau sur les lieux de l’atterrissage, mais il ne trouve aucune trace, ni même une emprunte. Toutefois, il admet avoir regardé grossièrement, si une emprunte légère dans le sol, sur la poussière, dans la terre était présente, il ne l’aurait pas vue.
ON EXAMINE LES FAITS
On examine les possibilités d’identification de cet objet. L’hypothèse de l’hélicoptère est envisagée, mais le fait qu’il n’y avait aucun bruit, à une aussi faible distance, on l’aurait entendu, on l’écarte rapidement. Il est vrai qu’à cette époque-là, Mohamed ne savait pas ce qu’était un hélicoptère, il n’en avait jamais vu. Un engin militaire secret : oui, lequel, nous sommes fin des années 60 et alors construire un tel engin qui n’émet aucun bruit, ce n’était pas réalisable. Nous ne trouvons aucune solution. La ressemblance avec les objets vus à Soccoro où à Valensole est toutefois frappante, c’est l’un des seuls points qu’on peut évoquer.
Le lendemain matin, la vie de Mohamed a repris, comme par le passé, il n’évoqua même pas cette affaire aux voisins, aux amis... il n’aurait pas su comment leur expliquer cela et on ne l’aurait pas cru… il a encore rêvé, Mohammed... Il n’en parlera qu’à quelques reprises, sans toutefois approfondir comme il l’a fait aujourd’hui avec nous, à certains de ses enfants. Il n’explique quant à lui, toujours pas son observation, il ne sait pas ce que c’était. Cela ne le perturbe pas, s’il a été témoin de cela, c’est grâce à la volonté d’Allah comme il nous répète… Il n’a ressenti aucun effet sur lui-même, pendant ou après l’observation et cela ne lui a causé aucune maladie... Jamais malade, il a toujours travaillé durement, dans ses quelques lopins de terre, qu’il cultive avec son mulet, ses ânes, tout comme il y a des siècles... Il fait encore à son âge chaque jour, de nombreux kms à travers la campagne, gardant son petit troupeau de montons. Ici pas de retraite, on travaille jusqu’à la mort et heureusement, lorsqu’ils le peuvent, les enfants aident un peu.
Déjà 14 h 30, je quitte alors Mohamed et je le remercie bien vivement du témoignage qu’il nous a apporté. Le thé à la menthe, le pain fait ici même, à la maison et tout ce que nous avons mangé fait que nous n’avons vraiment pas faim. Brahim décide de rester ici chez son père, quant moi, je reprends la piste en direction de la Route de Knine à Tahanaout, repensant constamment à cette expérience vécue au fin fond de la campagne pratiquement désertique Marocaine... Je me dis que des cas comme celui-ci, même certainement encore plus étranges, doivent exister en nombre ici au Maroc.
Ainsi qu’il a été promis, l’anonymat sera conservé, aucune photo prises sur les lieux et nous procédons à un photo montage pour les reconstitutions à partir de photos prises dans la région.
un-atterrissage-avec-la-presence-dun-humanoide-marrakech.pdf
Gérard LEBAT
Fondateur des Repas Ufologiques originaux.
Marrakech – Maroc V01 – 17 08 2012 - GERARD LEBAT – lebat1@aol.com
Merci Gérard Lebat pour cette belle enquête.
Relayé par Yves Herbo SFH 08-2012, up 10-2015
OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 09-10-2015
OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 09-10-2015
Soir OVNI dans le monde du 09-10-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
l'intervention de Rémy Fauchereau de l'AEPA, Stéphane, Jack Obin, veilleurs de la région Centre.
L'émission est en collaboration avec :
http://Sciences, Fictions, Histoires
http://ovnilanguedoc.canalblog.com/
http://www.sceau-archives-ovni.org/
http://rallumonsleciel.e-monsite.com/
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 10-10-2015
Des fragments de métal de Roswell analysés
Des fragments de métal de Roswell analysés
L'artefact qui a été analysé. Taille de l'échantillon d'environ 10 mm de long. Fin fragment coupé pour les tests. (Crédit photo: Frank Kimbler)
Au cours des dernières années, le géologue Frank Kimbler a découvert une vingtaine de fragments de métal près de l'emplacement du crash allégué d'un OVNI à Roswell en 1947. Son expérience dans le domaine, et son succès à trouver des objets là, a conduit à son apparition récente sur les canaux de National Geographic (NatGeo) qui montrent les Chasseurs d'Ovnis (émission TV).
Avec l'aide du Roswell International UFO Museum and Research Center, Kimbler a été en mesure d'avoir l'analyse isotopique effectuée sur l'un de ses fragments de métal de Roswell en 2010. Kimbler expliqué aux journalistes de Open Minds TV que les résultats ont montré que " soit le laboratoire a fait une erreur d'analyse ou cette matière n'est pas de la Terre ". Ben McGee, un chercheur et membre de l'équipe des Chasseurs d'Ovnis, a expliqué dans un blog de NatGeo ce message :
Quand il a été soumis à un test initial, les isotopes de magnésium présents dans l'un des fragments de métal de Kimbler ont semblé indiquer une empreinte digitale non-isotopique terrestre. Toutefois, sans autre épreuve, ces résultats pourraient aussi avoir été le résultat de la variabilité naturelle et statistique dans le processus analytique en laboratoire. Ainsi, alors que finalement la recherche n'a pas été concluante sur une découverte extraterrestre sans plus d'analyses, en communiquant l'idée d'isotopes élémentaires et leur rôle pouvant aider les scientifiques qui déterminent actuellement les matériaux géologiques d'origines extraterrestres, fait de ce segment une question importante !
Et Kimbler, qui enseigne la géologie et les Sciences de la Terre à l'Institut militaire du Nouveau-Mexique, est d'accord avec McGee. Il sait que la bonne science nécessite des tests complémentaires avant de tirer des conclusions.
Kimbler a dirigé l'équipe des Chasseurs d'Ovnis à travers la zone où il a eu le succès de trouver des fragments de métal dans le passé. Il a été heureux de participer à l'émission parce que, comme il le prétend, NatGeo a accepté de financer une analyse supplémentaire effectué sur son débris métallique inhabituel. Mais l'analyse n'a pas eu lieu. Dans une récente interview sur le site web Spacing Out !, Kimbler expliquait :
" National Geographic ne veut pas suivre la chaîne de sécurité des protocoles pour ça. Ils ont dit qu'ils ne pouvaient pas se permettre de me commanditer pour faire faire l'analyse. Je ne voulais pas leur donner un morceau de la matière à le faire détenir dans leur bureau pendant des journées entières, voire des semaines ou des mois... Ils ont dit que le laboratoire avait indiqué qu'ils avaient besoin d'un mois pour faire le test, et je sais que ce n'est pas vrai. Il leur faudrait peut-être un jour pour le calibrage, et un jour pour exécuter le test. Ca ne prend pas un mois pour le faire. "
Frank Kimbler (R) avec James Fox et Ryder de Chasing ovnis. (Crédit: National Geographic Productions de pétrole Chaînes / Snake)
Mais Kimbler est impatient de faire des tests supplémentaires sur son débris métallique, de sorte qu'il a fait un compromis. Il a dit, " Si nous pouvons signer des papiers et s'il y a des personnes qui peuvent signer à ce sujet... Je serai plus que ravi de le faire, mais devinez quoi? Ils ne le feront pas. "
Son expérience dans l'émission l'a laissé déçu que " tout cet aspect scientifique soit tombé à l'eau. " En tant que scientifique, il dit qu'il n'est pas investi dans un résultat ou un autre. Il explique : « De toute façon, je voulais un peu de science bien faite."
Kimbler a bon espoir qu'une autre émission sera présentée pour rendre obligatoire le test de contrôle de se produire, et de donner aux métaux l'attention qu'il sent qu'ils méritent.
Par Jason McClellan, traduction fr Yves Herbo
Visionnez l'entrevue complète avec Frank Kimbler ci-dessous :
Des ovnis Russes aquatique…et des créatures étranges…
Les ovnis Russes aquatique…et les créatures étranges…
2012 - MAJ 10-2015
Une gigantesque colonne d’eau rose surgit alors qu’une sphère de 60 m de diamètre émerge de la mer…
Le Centre de Recherche Ufologique russe a une collection d’observations “d’aspect liquides “.
Les dossiers secrets de la Marine russe contiennent beaucoup d’informations valables sur des observations d’ovnis. Les chercheurs militaires russes sont plutôt sérieux. Les dossiers sont largement inaccessibles, même après la chute de l’URSS.
Mr Krapiva s’occupait des lectures données par des vétérans des sous-marins nucléaires Soviétiques. Ils avaient servi dans le Nord de la Russie, dans des bases et installations navales secrètes. Quelques fois les lectures déviaient des présentations prévues, et beaucoup de captivantes histores furent racontées.
Sous-Marin :
Par exemple, les opérateurs sonars soviétiques “entendaient “ d’étranges cibles.
Le lieutenant commandant Oleg Sokolov informa confidentiellement les étudiants que pendant qu’il était en mission dans son sous-marin, il observa à travers le périscope un étrange objet a travers l’eau. Il ne fut pas capable de l’identifier parcequ’il le voyait à travers le système optique du périscope. Cette rencontre sous-marine eut lieu dans le début des années 60.
Sebastopol:
Il y a quelques années V.V Krapiva rencontra le professeur Korsakov de l’Université d’Odessa. Le professeur Korsakov lui raconta une conversation qu’il avait eu avec un ami a lui, un officier de la marine soviétique, qui avait servi dans la base navale de Sebastopol.
Dans les années 50, cet officier vit personnellement un ovni. L’objet se déplaçait vers le haut, a l’arrière de son croiseur de guerre. L’officier avait l’impression que l’objet avait surgi des profondeurs de la mer noire. Le professeur Korsakov a une photographie de l’objet.
illustration - reconstitution
Rapports de temoins:
En août 1965, l’équipage du navire a vapeur RADUGA, alors qu’il naviguait dans la mer rouge, observa un phénomène inhabituel. A deux miles de distance, une sphère ardente surgit de la mer et survola la surface de l’océan, l’illuminant. La sphère faisait soixante mètres de diamètre, et elle survolait la mer a une altitude de 150 mètres. Une gigantesque colonne d’eau rose surgit alors que la sphère émergée de la mer et s’écroula un moment plus tard.
En décembre 1977, pas très loin de l’île de Novy Georgy, l’équipage d’un chalutier, le VASILY KISELEV, observa aussi quelque chose de sensiblement extraordinaire. S’élevant à la verticale de l’eau se trouvé un objet en forme de beignet. Son diamètre était entre 300 et 500 mètres. Il volait sur place a une distance de 4 ou 5 kilomètres. La station radar du chalutier fut immédiatement rendue inopérante. L’objet survola la zone pendant 3 heures, et ensuite disparu instantanément.
Le témoignage d’Alexander G.Globa, un marin du GORI, un bateau citerne soviétique, a été publié dans le magazine Zagadki Sfinksa (numéro 3, 1992). En juin 1984, le GORI était en Méditerranée, a 20 nautiques de Gibraltar. A 16h00, Globa était en faction. Avec lui se trouvait le second du commandant S.Bolotov. Ils regardaient le côté gauche du pont quand les deux hommes observèrent un étrange objet polychromatique.
Quand l’objet fut a l’arrière, il stoppa soudainement. S.Bolotov était enthousiasmé, secouant ses jumelles et criant : ” c’est une soucoupe volante, une vraie soucoupe, mon dieu, vite, vite, regardes !”.
Globa regarda l’objet a travers ses jumelles (il lui rappela la partie haute d’une casserole). L’ovni luisait d’une brillance métallique grise. La partie la plus basse de l’appareil avait une forme ronde précise, son diamètre ne dépassait pas les 20 mètres. Autour de la partie basse, Globa observa des ” vagues “ de protubérances sur la plaque extérieure.
La base du corps de l’objet consistait en deux semi-disques, le plus petit au-dessus. Ils tournaient lentement dans des directions opposées. Sur la circonférence du disque le plus bas, Globa vit de nombreuses lumières, lumineuses comme des gouttes. L’attention du marin fut attirée par la partie supérieure de l’ovni.
Illustration - reconstitution
Elle semblait être complètement lisse et douce, sa couleur était jaune d’œuf et en son milieu Globa discerna un rond, une tache comme un noyau. Sur le bord de la partie inférieure de l’ovni, laquelle était clairement visible, se trouvait quelque chose qui ressemblait à un tuyau. Il brillait d’une lumière rose non naturelle, comme une lampe néon. Le haut du disque central était entouré par quelque chose en forme de triangle. Cela semblait bouger dans la même direction que le disque inférieur, mais a une vitesse plus lente.
Tout a coup, l’ovni sauta plusieurs fois, comme s’il était déplacé par une vague invisible.
Beaucoup de lumières illuminaient la portion de dessous. L’équipage du GORI essaya d’attirer l’attention de l’objet en utilisant le projecteur a signaux lumineux. A ce moment la, le capitaine Sokolovky était dans son bureau avec ses hommes. Ils regardaient intensément l’objet. Toutefois, l’attention de l’ovni fut détournée par un autre bâtiment, approchant l’autre bord. C’était un cargo arabe, en route pour la Grèce. Les Arabes confirmèrent que l’objet survola leur bateau.
Une minute et demi plus tard, l’objet changea sa trajectoire de vol. Les marins soviétiques l’observèrent alors qu’il traversait les nuages, apparaissant et disparaissant à nouveau. De temps en temps il brillait grâce aux rayons du soleil. Alors le vaisseau s’évanouit, comme une étincelle, et parti instantanément.
Observations militaires classifiées d’Extranéens et d’OVNIs...
Rencontres de militaires soviétiques avec des extranéens et des OVNI sous-marins. Ceci est un exemple de ce que l’on peut trouver dans des rapports officiels on ne peut plus sérieux de témoins responsables et sous autorités compétentes.
Le chercheur Paul Stonehill écrit qu’il existe de nombreux rapports soviétiques concernant des rencontres avec des objets étranges sous la mer. Durant l’été de 1982, Mark Shteynberg et le lieutenant-colonel Gennady Zverev dirigeant les entraînements périodiques des plongeurs de reconnaissance (hommes-grenouilles) des régions militaires du Turkestan et de Centre Asie. Les entraînements avaient lieux au lac Issyk-Kul, un lac profond dans la région des Ala-Taou Transiliens [NDT : 42°30'N par 77°30'E, près de la frontière chinoise].
Le général-major V. Demyanko, commandant le Service des Plongeurs Militaires des Forces du Génie du Ministère de la Défense, rendit à des officiers une visite impromptue. Il venait les informer d’un événement extraordinaire qui s’était produit en Sibérie. Des hommes-grenouilles avaient été confrontés à des nageurs sous-marins semblables à des hommes mais de grande taille (environ 3 mètres de haut) !
Ces nageurs, malgré l’eau glacée, étaient vêtus de combinaisons collantes argentées. Par 50 mètres de fond, ces êtres ne portaient pas d’appareils respiratoires, mais des casques sphériques masquant leurs têtes.
Alertés par ces rencontres, le commandant militaire local décida de capturer une de ces créatures. Dans cette intention, un groupe spécial de plongeurs poursuivit un des étranges nageurs. Lorsqu’ils tentèrent de la coiffer avec un filet, le groupe entier fut projeté par une force puissante hors des eaux profondes vers la surface.
Les hommes-grenouilles étaient en danger de mort, parce qu’ils leur auraient fallu observer des paliers de décompression. Tous les membres de cette malheureuse expédition furent atteints d’embolie gazeuse. Le seul traitement envisageable était de les placer en caisson de décompression. Malheureusement le seul disponible à proximité ne pouvait contenir que deux personnes.
On en serra cependant quatre dans le caisson, les trois autres périrent et les quatre devinrent des invalides.
Le général-major s’était précipité à Issyk-Kul pour prévenir contre toute semblable initiative casse-cou. Bien que le lac Issyk-Kul soit moins profond que le lac Baïkal, des créatures mystérieuses se trouvaient dans les deux.
Peu de temps plus tard, les militaires du Turkménistan reçurent un ordre du commandant en chef des Forces Terrestres. Il s’agissait d’une analyse détaillée des événements du lac Baïkal.
Les documents contenaient des rapports des Forces du Génie, énumérant les apparitions de créatures sous-marines dans de nombreux lacs, de disques géants et de sphères rentrant et sortant des lacs, de lumières puissantes provenant des fonds, etc. Les documents étaient classés très secrets et avaient pour objet “d’éviter les rencontres inutiles”. Mark Shteynberg était en service près du lac Sarez, dans les monts Pamir.
Ce lac a une profondeur d’environ un kilomètre et demi. Des radars sophistiqués ont suivi les satellites US SDI depuis cette région. Ces radars repéraient régulièrement des objets discoïdes qui plongeaient et disparaissaient dans le lac Sarez, puis refaisaient surface et décollaient.
Encore quelques histoires de l’est avec des géants…
La plus ancienne mention d’êtres géants est apparue dans les débuts des années 1900. Plusieurs garçons de Géorgie découvrirent une cave a l’intérieur d’une montagne, avec des squelettes de type humains complets. Chaque squelette faisait trois mètres de hauteur. Pour aller dans la cave, les garçons devaient plonger dans un lac. George Papashvili et sa femme se rappellent l’incident dans un livre publié a New York en 1925.
Vladimir Georgiyevich Ajaja est de nos jours une personnalité importante dans l’Association Ufologique russe. Mais il n’a pas toujours été un ufologue, et quand il en ai devenu un, il a gagné la colère du parti communiste comme tous ceux qui étudiaient des sujets interdits. Avec l’aide d’un copain haut placé dans la marine, il fut capable d’écrire une pièce a propos du triangle des Bermudes pour Nauka I Zhizhn, un magazine scientifique soviétique respecté.
Après tout, il était un chercheur marin qui, a de nombreuses occasions, avait étudié les profondeurs de l’océan atlantique a bord de sous-marin soviétique. Les autres océanologues soviétiques ne touchaient pas un sujet si “discutable “. Dans sa recherche d’information, deux sources l’aidèrent: Le livre de Charles Berlitz sur le triangle des Bermudes qui mentionnait les ovnis et le vice amiral Y.V Ivanov, chef de la Direction des Renseignements Maritimes. Ajaja trouva que les renseignements maritimes avaient depuis longtemps considérés les ovnis comme un sujet sérieux d’enquête.
Les efforts de Ajaja pour étudier et promouvoir l’ufologie en firent une cible pour la science bureaucratique et les fonctionnaires du parti. Son nom fut sali dans les médias soviétiques. Le travail d’Ajaja fut mis sur liste noire. Ses lectures furent proscrites. Il fut renvoyé de plusieurs travailles, et interdit de parler publiquement.
A nouveau, son ami de la marine l’aida a trouver un travail, et a écrire sur les ovnis, pour leur utilisation pratique. Dans sa brochure : ATTENTION :OVNIS, il statua que la vague d’ovnis en 1989, et qui durait toujours en 1991, quand elle fut publiée, avait balayé l’idéologie et les barrières de la censure qui étaient placées contre l’ufologie en URSS.
Mais à cause de ces années de silence, le pays n’était pas préparé au phénomène ovni. Donc il demanda l’aide de l’organisation SOYUZUFOTSENTR pour promouvoir l’enquête scientifique sur le phénomène ovni. Ajaja était convaincu que les responsables de la recherche ufologique de l’Académie de Sciences soviétiques évitaient de dire la vérité et bloquaient la recherche.
A.Gorbovsky, un historien soviétique publia un livre intitulé ” Enigmes de l’histoire ancienne “ dans le début des années 70. Pour beaucoup de gens, dans l’Union Soviétique, ce livre était une introduction au monde interdit de l’ufologie, du paleo-contact ( un terme russe pour l’hypothèse des anciens astronautes), et les mystères de notre histoire ancienne.
Gorbosky mentionna un incident qui prit place dans l’ancienne Méditerranée ou les gens observèrent un étrange véhicule sous les eaux et faisant surface à très grande vitesse. L’objet s’éjecta de lui-même de l’eau, et disparu peut après.
B.Borovikov chassa les requins dans la mer noire pendant des années. Alors quelque chose arriva et qui mit fin a son hobby. Plongeant dans la région de Anapa, il descendit à une profondeur de 8 mètres. Il vit des êtres géants s’élevant de dessous. Ils étaient comme laiteux, mais avec des faces humanoïdes, et quelque chose comme une queue de poisson.
L’être a la tête de ses compagnons vit Borovikov, et s’arrêta. Il avait des yeux bulbeux géants et des sortes de lunettes. Les deux autres le rejoignirent. Un deux tendit sa main, une main avec des membranes, vers le nageur. Tous approchèrent le plongeur, et s’arrêtèrent à petite distance. Alors ils tournèrent autour de lui, et nagèrent au loin. L’expérience de Borovikov fut publiée en 1996.
Source http://www.secret-realite.net/index.php?mod=articles&ac=commentaires&id=408 via http://investigationsoanisetoceanographiee.wordpress.com/2012/09/14/les-ovnis-russes-aquatique-et-les-creatures-etranges/
MAJ 10-2015 : Autres données compilées depuis 2012 sur le même sujet sur votre site Sciences-Faits-Histoires.com :
Une observation très bien documentée qui a des similitudes avec celle de Greifswald en Allemagne de l'Est, faite au dessus de Saint Petersbourg le 19 février 1997 à 15H15, enregistré par un étudiant caméraman, Yuri Arzamastsev depuis sa cuisine. L'officier chargé de l'enquête, le capitaine Pavel Syrchenko déclara : " Au moins trois vidéos différentes de cet événement ont été tournées depuis des points différents, confirmées par de nombreux témoins visuels, dont des contrôleurs du trafic aérien de l'aéroport voisin. La formation de lumières orangées fut observée en plusieurs endroits au dessus et aux alentours de St Petersbourg, l'observation filmée ici commence au dessus de la ville et dure une vingtaine de minutes. Elle fut vue par les contrôleurs aériens et même détectée par un pilote dans son avion sur la piste à ce moment là. " Le contrôleur aérien Victor Laktushin décrivit les lumières comme une formation changeante, qui était rejointe par d'autres lumières anormales. Il dessina la formation depuis sa tour de contrôle au fur et à mesure de ses changements de forme. On ne sait pas si elle fut détectée sur les radars. (YH : notez que l'hypothèse de premières lanternes asiatiques en Russie a été rejetée à cause des descriptions très précises). (voir le lien ci-dessous).
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-quelques-cas-russes.html
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/russie-2011-le-meme-ovni-deux-fois.html
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/un-echo-d-oani-sous-la-surface.html
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/les-oanis-un-petit-historique.html
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 09-2012, maj 10-2015
Un Extrait du Catalogue
Un Extrait du Catalogue "Humanoïdes" d'Albert S. Rosalès - 2010-2012
Up 10-2015
Un extrait du catalogue « humanoïdes » d’Albert S. Rosalès. Ce catalogue Mondial est unique en son genre et il est le plus complet qui existe au monde actuellement. Albert, qui travaille sur ce catalogue depuis de très nombreuses années, bénéficie de la collaboration de nombreux chercheurs qui au monde s’intéressent au dossier ovni. On peut consulter ce catalogue en anglais sur le net ( http://www.ufoinfo.com/humanoid/index.shtml ) ainsi que les différents numéros des journaux édités par Albert.
Cette traduction est de JM que nous remercions pour cet important travail qu’il compte poursuivre en fonction de son temps disponible. Nos plus vifs remerciements à Albert S. Rosalès de nous permettre cette reprise sur notre site.
Nous avons nous aussi signalé certains cas afin de compléter ce catalogue, si vous détenez de votre côté des informations encore inconnues d’Albert, n’hésitez pas à lui communiquer. Il s’agit d’un travail sérieux, Albert y consacre tous ses loisirs, le tout est mis à disposition de tous sur Internet, il s’agit d’une oeuvre totalement bénévole, sans recherche de » royalties ! ».
Ce catalogue reprend les cas tels qu’ils ont été rapportés. Chaque association locale, dans le monde, peut donc librement enquêter sur les cas situés dans leur secteur afin de compléter les informations recueillies. Les photos publiées le sont pour illustration et n’engagent nullement les auteurs.
(c) Copyrigth : La propriété littéraire et le contenu de cette page appartiennent à leurs auteurs et traducteurs qui n’acceptent aucune reproduction, extrait de ce qui figure sur cette page, sans leurs accords. Un accord a été donné à Gérard Lebat et ce dernier l'a transmis à Yves Herbo en 2012, avec l'accord des auteurs.
Infos envoyée à Sciences-faits-histoires.com et à Yves Herbo par G.Lebat pour relai et publication d'extraits (2012).
« Des récits incroyables…. de personnes tout à fait crédibles. » Dr. J. Allen Hynek (1972)
ALBERT ROSALES
Traduction J.M.
PREAMBULE
Les observations et les témoignages déjà relatés dans « Journal of humanoïds studies », se déroulant entre 2010 et août 2012, ne sont pas repris dans le cadre de cette compilation.
L’année 2010 fut très « occupée », 2012 s’est avéré être une année intéressante avec des cas divers de rencontres surprenantes. Prendrions-nous une importance plus grande dans le cosmos ?
Je pense que ce serra la dernière année durant laquelle je vais compiler les cas de rencontres. Je songe à d’autres projets à mettre en œuvre.
Toutes les publications du « journal of humanoïds studies » peuvent être enregistrées gratuitement sur le site Ufoinfo
Albert S. Rosalès.
2010
1/ Lieu : état du Maine (Lieu non précisé)
2010 (date imprécise) vers 2h00 du matin.
Un homme ayant rendu visite à sa mère eut l’idée d’aller voir un ami de longue date qui résidait à seulement 10 minutes de marche. Connaissant parfaitement le trajet, il avançait les yeux fermés, goûtant au calme et à la paix du soir. Lorsqu’une voix féminine presque « hypnotisante »dit « kevin, Kévin…. Nous sommes ici pour t’aider. Nous ne te ferrons aucun mal. Et ensuite tu te sentiras bien mieux ».
Il a ouvert les yeux et a été aveuglé par une lumière puissante. Il s’est habitué et a pu voir qu’il était dans une pièce, dans celle-ci deux « gris » très grands.
Il se souvient que l’endroit était de deux couleurs différentes. Le haut des murs et le sommet étaient de couleur pourpre, le fond de couleur bleue. Il y avait comme une ligne entre ces deux couleurs, un peu comme si elles coupaient la pièce en deux. L’éclairage semblait venir des murs.
Kévin a demandé aux étrangers si ils allaient lui faire mal, et surtout ce qu’ils allaient lui faire.
Ils ont répondu qu’ils allaient l’aider et le « fixer »( ?). Le témoin est certain que leur bouche n’articulait pas quand ils parlaient.
Il se souvient ensuite qu’un « gris » est venu se placer de chaque côté de lui et qu’ils l’ont placé contre un objet froid et emporté dans un « hall » à gauche de la première pièce.
Cet endroit était sombre, comme brumeux, nuageux, mesurait environ 40 pieds sur 50.
Durant son déplacement, il a pu voir sur sa droite un groupe de 7 à 8 autres « gris » grands et à côté d’eux une issue vers une autre pièce de couleur blanche. A côté se trouvait un autre groupe de 5 « gris ».
L’endroit était donc sombre, brumeux et mal éclairé. Les murs semblaient « dentelés » comme la lame d’une scie, une odeur de peroxyde ou d’ammoniaque flottait.
Arrivé dans la pièce, un « gris » a voulu le regarder dans les yeux. Il était si grand qu’il a dû se pencher pour fixer les yeux du témoin. Qui étrangement n’a senti aucune frayeur.
Soudain un des « gris », par derrière Kévin, a inséré un petit tube métallique dans le nez du témoin. Cela a fait un léger bruit. L’humanoïde avait de longs doigts, une petite bouche qui montait et descendait comme celle d’un poisson, mais il ne parlait pas.
Le témoin se souvient avoir crié à ce moment. Sans cesse il « entendait » dans son crâne une voix disant »Il va être OK. Nous sommes ici pour l’aider ».
C’était une voix douce et calme.
Il se souvient ensuite avoir été posé sans ménagement sur une table métallique et emmené dans un autre lieu. Surpris le témoin a commencé a se débattre. Il a donné des coups de pieds autour de lui. Un des « gris » est allé buter contre un mur avant de tomber. Les autres ont promptement reculé.
Puis il n’a plus de souvenirs. Il se retrouve au bord de la route sur laquelle il marchait. Il se sent fatigué, hagard. Une voiture de police passe près de lui l’officier le regarde mais ne s’arrête pas. Kévin regarde sa montre, il est 6 heure du matin, il a « perdu » presque 5 heures.
Il décrit donc les « gris » comme mesurant de 7 à 8 pieds de haut(2,3 mètres) , ayant de longs doigts, une fente pour la bouche et des yeux cernés de noir (comme un œil au beurre noir). Ils communiquaient entre eux et avec lui par télépathie.
Les couleurs à l’intérieur de l’OVNI étaient violettes, bleues, blanches. Le témoin avait un nez « brusqué », après cette mésaventure il avait le nez droit.
HC addendum : Source : http: // mufoncms.com /
Type : G
2.
Lieu ; Heiden, Pays-Bas
Date: 2010 (Sans précision) Dans la nuit
Le témoin est un jeune homme prénommé Soufian. (Impliqué sans doute dans d’autres cas). Il dort normalement et vers le milieu de la nuit, il commence a faire un rêve étrange.
Il se voit dans son lit, couché, une humanoïde féminine à côté de lui, à un mètre du lit ; grande mince elle se tient debout. Elle prote une sorte de robe ample, colorée. La peau de son visage est gris pâle, elle a de longs cheveux très clairs (blancs/blonds) qui descendent jusqu’en dessous de ses épaules. Elle parait douce avec la peau lisse. Soufian ne se souvient pas des traits de son visage. Ses bras et la partie inférieure de ses jambes, qu’il pouvait voir, semblaient humains.
Soufian a regardé la scène durant quelques secondes, puis sans prévenir, rapidement, l’entité s’est approchée et à « entré » ses mains dans la partie inférieure de la poitrine du témoin. Il a senti une atroce douleur, cette torture faisait d’autant plus mal que l’entité déplaçait ses mais dans la poitrine. Il semblait au témoin qu’elle lui broyait les côtes. Par la suite il a jugé que sa poitrine n’avait pas été ouverte mais que les mains de l’entité avaient pénétré au travers de sa peau. Il s’observait luttant contre la douleur, mais il pense que son corps était paralysé. La douleur a continué, il a tenté de crier mais il ne le pouvait. Il y avait un silence total. La « torture » a duré deux heures. Soufian pense que l’effet extrêmement douloureux a pu lui faire surestimer le temps.
Brusquement tout s’est arrêté, la dame a disparut et Soufian s’est réveillé brutalement. Malgré cet épisode traumatisant, il s’est rendormi rapidement.
Au réveil le lendemain le témoin s’est souvenu de ce rêve et a regardé ses côtes pour voir si des traces de coupures ou autres existaient. Il n’y avait rien.
Il est allé au travail comme d’habitude, la douleur dans les côtes a persisté encore avant de s’estomper. Même si il percevait quelques douleurs durant deux jours encore.
HC addendum
Source : Dave Hodrien, OVNI de Birmingham Groupe Type : G ?
3.
Lieu ; Michigan (emplacement exact non donné)
Date: février 2010 Heure : Tard dans la nuit
Le témoin, une femme, se préparait à aller se coucher quand en regardant par la fenêtre elle a aperçu une forme qui d’une certaine manière lui paraissait familière. L’objet était proche de la fenêtre et planait très près du sol.
L’OVNI était circulaire, le témoin pouvait observer de la lumière à l’intérieur qui lui permettait de distinguer les contours d’une silhouette noire qui n’était pas humaine. Sa tête étant vraiment trop grosse. La silhouette a dû remarquer le témoin, elle a bougé et l’engin s’est très rapidement élevé dans les airs.
HC addendum
Source : http: // mufoncms.com Type : A
4.
Lieu ; Athènes, Texas
Date: le 10 février 2010 Heure : 23:00-23:30
Le témoin a garé son véhicule, il revient de chez des amis. Des arbres entourent un ensemble de logements. Pour des raisons personnelles, il ne souhaite pas être vu rentrant chez lui. Il traverse donc la zone boisée. Mal lui en prit, il a senti une présence au-dessus de lui, sans savoir pourquoi il savait que c’était un OVNI.
Effrayé, il s’est mis à courir, mais un bruit étrange, une sorte de « tic » (twitching’ noise). Il est parti dans une autre direction et a entendu le même bruit. De sorte que finalement il tournait en rond. Il a été quasi immobilisé, il ne pouvait se déplacer que par saccades. Finalement il est tombé à genoux. A cet instant il a perçu une voix « Dieu lui disant de ne pas ouvrir les yeux. ». Il s’est senti léger, flotter, il s’est trouvé dans un appareil qu’il compare à un scanner. Lorsqu’il bougeait la tête il entendait comme le son d’une radio hors bande qui émet des bruits parasites. L’appareil faisait que ses cheveux étaient dressés sur sa tête.
Il était allongé à l’intérieur « du métier », il a entendu quelqu’un dire « il est encore vivant ». Une autre voix a dit « il avait besoin d’un transfert » Puis il entendit une série de chiffres. Que ceux-ci étaient très importants pour la recherche future sur les OVNI et qu’il pourrait les révéler sous hypnose.
Il estime l’incident à 15 minutes environ. Puis il a tant pleuré que sa chemise fut mouillée.
Quand il revint sur le sol il avait les bras tendu et il regardait le ciel. Le plafond était nuageux, il pouvait apercevoir quelques étoiles.
Le témoin a ajouté qu’»ils » avaient gratté la zone de son estomac a son avis pour prendre des échantillons d’ADN.
HC addendum
Source: http://mufoncms.com/ Type: G
5.
Lieu; Near Wakefield, England
Date: 31 mars 2010 Heure : 11:30 Du matin.
Le témoin qui a souhaité rester anonyme, a commencé à avoir des expériences étranges en 2009. A cette époque elle avait commencé une formation d’auxiliaire de vie. La semaine elle restait avec sa mère. C’était l’époque durant laquelle l’éruption volcanique en Islande avait fermé l’espace aérien en Europe. Le gouvernement avait profité de cette « aubaine » pour tester un drone.
Ces engins ne peuvent être essayé que sur des espaces déterminés et il était utile pour ces essais d’avoir les cieux libres de tout avion. Les essais avaient lieu a 50 miles de chez le témoin. Elle pouvait voir les formations de drones volant un peu a n’importe qu’elle heure de la soirée. Elle a remarqué aussi une autre présence étrange qui n’était pas un drone. Puis des rayons du genre laser vert sont furtivement apparus près des drones. Le témoin, curieuse de ces événements à fait des recherches sur ce phénomène. Consultant différents moteurs de recherches elle s’est rendu compte que lent, lourd, son « Mac » avait un fonctionnement curieux quelque soit le logiciel utilisé. Ayant parlé de ces étranges émissions de lasers, elle s’est aperçue que personne ou presque ne les avait vu.
Un couple de ses amis avait observé ces étonnantes lumières qui pénétraient incidemment par les fenêtres et même éclairaient les tapis.
Lorsqu’elle a demandé à des amis s’ils avaient vu les lumières, ils lui ont répondus qu’ils n’étaient là que depuis peu de jours qu’ils les avaient vu mais pensaient que cela venait de satellites et qu’ils avaient vu effectivement un groupe de 7 drones. Ils volaient haut mais beaucoup plus bas que les satellites.
Un soir le témoin rentrait chez sa mère, passant en auto devant une ruelle près du domicile maternel, elle crut y voir un individu étrange. Ces lieux étant peu soigné et très mal éclairé elle a pensé à un cambrioleur, peu de gens souhaitent s’y aventurer. Elle en parle à sa mère et par la fenêtre vérifie si l’individu s’en va.
Elle perçoit du bruit sans voir quoique ce soit. Curieuse, elle a regardé par la fente de la boîte à lettres (posée dans la porte d’entrée NDT). Elle a vu un homme très grand, maigre, qui se tenait derrière la voiture des voisins. Les yeux de l’individu étaient grands, noirs, bien qu’elle ne puisse pas les distinguer précisément. La peau du visage était ridée comme desséchée, juste posée sur les os. Il semblait se balancer lentement. D’un coup brusque elle a ouvert la porte, il n’y avait personne. Elle est retournée regarder par la fenêtre, personne !
Intriguée elle est retournée observer par la fente de la boite à lettres. Une auto est passée, l’individu a regardé passer le véhicule. Il a repris sa position initiale, une autre voiture est passée et il a fait le même mouvement.
Elle a dit à sa mère qu’elle sortait rapidement pour vérifier ce que faisait cet individu étrange. Mais il était parti.
Les émissions de lasers ont continuées. Un soir de retour à son domicile elle entend des bruits venant du grenier. Elle téléphone donc à la police qui vient aussitôt. Les bruits continuent. Les policiers localisent les bruits les plus forts vers une trappe située dans le plafond de la garde robe de la fille de la maison. Mais ils ne voient personne et ne voient aucun signe d’effraction par lequel quelqu’un aurait pu entrer.
Le dernier et le plus significatif des incidents est arrivé le 31 mars 2010 vers 11h30.
Le témoin allait à un rendez vous avec un client, lors « l’étrange » arriva.
Elle a quitté l’autoroute M1, juste au sud de Wakefield. Elle a téléphoné à son client pour le prévenir qu’elle avait 10 minutes de retard. Elle ne souhaitait pas faire un détour qui nécessitait une infraction à la signalisation. Elle voulait terminer son travail et rentrer chez elle. Devant elle un grand camion a dépassé deux grandes limousines aux vitres teintées. La première voiture s’est arrêtée. Trois hommes en costume noir sont sortis pour aller s’entretenir avec l’occupant du siège arrière de la seconde limousine. Le témoin devait attendre. Son téléphone sonna pour lui indiqué qu’elle venait de recevoir un sms. Elle a décroché, regardé l’écran, il n’y avait rien. Quand elle a relevé la tête les limousines étaient partie. Et il était une heure plus tard.
Elle avait de plus le souvenir d’une longue conversation avec un alien grand de couleur bleue. Elle était couchée et voyait le menton de l’alien au dessus de sa tête. Il avait de grands yeux noirs ovales pas de lèvres juste une fente en guise de bouche. L’étranger parlait sans bouger les lèvres. Ils ont discuté de la nécessité de sauver le monde, la paix devait s’installer rapidement. Elle devait faire quelque chose dans ce sens, que c’était son travail. Elle a demandé plus « d’outils » pour faire tout ce travail. Il a dit qu’ils verraient ce qu’ils pourraient faire.
Ce qui fut étonnant dans cette conversation fut qu’elles utilisaient des mots que l’auxiliaire de vie ne connaissait pas mais comprenait. Elle sait confusément qu’elle connaissait cette « étrangère », elle était à la fois « mère » et responsible de celle-ci. A aucun moyen le témoin ne s’est senti en état d’infériorité mais au contraire en position de responsible. Ellen n’a donc jamais eut peur. La chose qu’elle ignorait était « quand ce serait trop tard » pour faire la paix dans le monde.
Quelques mois plutôt, elle s’était querellée avec un ami, concernant les objectifs des Usa pour envahir l’Afghanistan. Elle avait répondu pour « les matières premières ». Son ami avait dit qu’il n’y avait rien à extraire dans ce pays.
Un peu après elle avait appris que le sous sol du pays recelait de l’or, du lithium, de l’argent en abondance.
Elle est finalement allé au rendez vous avec son client certaine que l’horloge de son téléphone était déréglée.
Arrivée a son rendez vous elle a vu la gêne de son client et s’est rendu compte que son pantalon était plein de sang. Elle était confuse et désorientée.
Elle est rentrée chez elle où ses proches l’ont aidé à se coucher. Les saignements se sont arrêtés le lendemain. Depuis le témoin n’a plus vécu de mauvaises mésaventures.
HC addendum
Source: direct email on file Type: G
6
Lieu; Montagne Rouanne, Tennessee
Date: le 17 avril 2010 Heure : soirée
Une femme conduisait sa voiture en compagnie de son fils pour se rendre dans son restaurant préféré, soirée d’anniversaire.
Ils arrivaient à deux rues de l’avenue où ils devaient se rendre quand ils ont vu comme une boule de lumière blanche venir vers eux. D’un cimetière voisin elle venait directement vers la grand route. Elle avançait vers eux comme si elle voulait entrer en collision. Comme cette chose étrange arrivait sur eux le témoin a pu la détailler mieux. Mi animal mi humain, une sorte de reptile avec des bras et des jambes humains. Il rampait très rapidement vers eux. La conductrice a espéré que « l’entité » quitterait la route et partirais dans les fourrés du bas côté pour éviter la collision. Mais non la « chose » à continuer à avancer rapidement vers eux. La femme a « écrasé » les freins. Pour éviter le choc l’ »entité » s’est envolée comme une tornade au dessus du véhicule.
Les occupants ont craint qu’il ne passe sous la voiture. Ils ont été secoués par cette apparition, terrifié d’avoir vu ce qu’ils certifient ne pas être de ce monde.
Ils continuent à le décrire comme un « alligator » ayant des bras et des jambes humains, le ventre blanc sur lequel il rampait. Durant cette rencontre le temps « semblait avoir ralenti ». Ils sont d’accord pour dire que cette rencontre était terrifiante, qu’ils avaient vu quelque chose de vraiment très maléfique.
HC addendum
Source : Fantômes et Blog de Monstre 9-17-2011
Type : E
7.
Lieu . Ville Océan, Maryland
Date: le 29 mai 2010 Heure: nuit
Excité, heureux d’être dans cette ville balnéaire, le témoin était sur une terrasse au premier étage d’une copropriété de 3 étages. Fumant une cigarette, il regardait les étoiles et les badauds, qui descendaient du troisième étage. Il regardait la constellation d’Orion. Il a vu une étoile filante qui partait à gauche de la ceinture d’Orion et descendait. L’étoile était très brillante. Il a pensé qu’elle terminait de bruler. Les gens qui descendaient ont traversé la rue et sont allé vers la plage.
Il est rentré chercher une autre cigarette avant de se coucher. Quinze minutes après l’observation de « l’étoile filante » il est ressorti. Il s’est assis confortablement et a remarqué une silhouette assise au patio du second étage de l’appartement en face du sien. Il a trouvé cela étrange car personne n’occupait cet immeuble en construction. Il a observé cette silhouette étonnante. Il était assis à la table, le bras gauche reposant dessus, ses jambes étaient croisées (Le témoin pensait qu’il s’agissait d’un homme). L’entité était grande, musclée, et ressemblait à un fantôme. Aucunes caractéristiques du corps ou du visage n’étaient visible et la tête était allongée. Le témoin ne pouvait croire qu’il était là immobile a fixer cette entité sans crier, ni bouger. Il était effrayé mais incapable de bouger.
Finalement pris de panique il est rentré dans son appartement, en fermant la porte vitrée il a vu que l’entité était encore là.
Le lendemain, il a tenté de savoir ce qui s’était passé là. Il y avait une table et quatre chaises.
HC addendum
Source : Mufon CMS Type : E ?
8.
Lieu.NYC, New York
Date : juin 2010 Heure: Tard dans la nuit
Le témoin (impliquée dans d’autres incidents) s’est réveillé au milieu de la nuit, elle était paralysée.
Elle pouvait déplacer les yeux, entendre, mais ne pouvait faire aucun mouvement.
Elle a perçut du bruit sur le côté gauche de sa chambre. Elle a tourné les yeux et a vu deux petites créatures grises qui communiquaient entre elles. Elle s’affolait et a voulu crié. A ce moment un troisième petit gris est venu en passant au travers de la fenêtre. Il tenait ce qui ressemblait à un masque. Encore plus effrayée elle a voulu encore crier. Aucun son ne sortait de sa bouche. Alors le petit gris qui tenait le masque l’a posé sur son visage. Le témoin a entendu alors comme des sirènes (ou des sonneries). Sans doute s’est elle évanouie. Elle n’a pas vu les entités sortir. Seule elle a pu enfin bouger ses membres.
HC addendum
Source: http://www.alienufotruth.com/sleep-paralysis-and-encounter/ Type: E
9.
Lieu Mertztown, Pennsylvanie
Date: été 2010 Heure: soirée
Un homme et son fils garent la voiture dans un endroit boisé. Un monstre ailé apparait et traverse la route en « glissant ». Il semblait si grand qu’il aurait pu emporter un homme sans difficulté. Lorsqu’une des ailes a frôlé le capot de la voiture les deux témoins se sont vite baissés. Le « monstre » avait une tête humaine, sans bec, des ailes semblables à celles des chauves-souris. Il mesurait 5 à 6 pieds (env. 2mètres) et l’envergure des ailes était facilement de 25 à 30 pieds (Près de 10 mètres), pas de plumes, la peau d’une chauve souris noir de jais. Il avait une queue maigrelette comme celle des rats qui est restée droite et mesurait 4 à 5 pieds (1, 1,5 mètres). La créature a fait un vol plané à 10 pieds du sol (3/4 mètres). Puis d’un fort battement des ailes il s’est élevé vers la forêt voisine. Le père pense que cette créature vit sous terre près d’une source d’eau chaude puisqu’elle ne possède pas de plumes.
HC addendum
Source : Fantômes et Monstres blog Type : E
10.
Lieu. Angleterre, emplacement non précisé
Date: juillet 2010 Heure : soirée
Le témoin était dans son bureau. Il travaillait sur son ordinaire quand il a aperçu un objet sombre à l’extérieur. Il a songé qu’un oiseau passait. Il a continué à travailler. Mais l’objet est revenu. Plutôt dans l’après midi il avait parlé d’OVNI. Il a pensé à se munir d’un appareil photo. Il a attendu que l’objet repasse devant la fenêtre pour prendre un cliché. Mais le déplacement était vraiment trop rapide.
Il s’est alors penché à la fenêtre pour tenter de prendre un bon cliché. Mais l’objet s’est envolé avant de repasser devant la fenêtre. Aucun son ne venait de l’objet.
Plus tard dans la soirée, il continuait à se demander ce qu’était cet objet. Il est allé au lit et il a vu comme dans une « transmission de pensée » quatre être debout autour de lui. Il ne pouvait distinguer leur visage. Il a vu que l’un d’eux entrait une longue aiguille couleur argentée dans son bras. Il ne pouvait se déplacer et n’a pas senti « la piqûre ».
Ensuite il a pu bouger, il a vu derrière lui ; il a vu une gigantesque lumière ronde.
Il n’a jamais oublié cette nuit, mais n’en a jamais parlé.
Le témoin a précisé que lorsque l’objet tournait autour de sa maison, il a pris une photo qui s’est avérée très médiocre. C’est cette nuit là que ne pouvant dormir, il a vu la lumière, puis les êtres autour de lui. Il confirme n’avoir pas vu leur visage. Ils étaient grands et lui ont fait songer à des docteurs qui lui auraient fait une prise de sang. Ensuite ils ont disparu. Durant ces moments il a constaté qu’il ne pouvait pas bouger. Le lendemain il a vu sur son bras une ligne rouge là où ils ont fait la prise de sang. La possibilité qu’ils reviennent le terrorise.
HC addendum
Source : OVNI de l’Yorkshire Société, http: // ufophenomenon.weebly.com/black-ufo-alien-bedroom-visitors.html Type : D ?
11.
Lieu. Minocqua, Wisconsin
Date: July 2010 heure : Tard dans la nuit.
Le témoin et son mari ont acheté une jolie maison toute proche d’un lac magnifique. Le jour du déménagement il a été convenu qu’elle partirait d’abord seule, que son mari et les enfants viendraient ensuite avec le reste du déménagement.
Elle est arrivée tard vers 22h, trop fatiguée pour décharger, elle est entrée dans la maison. Elle a jeté son sac sur le plancher et s’est allongée sur une chaise.
Elle se souvient très bien avoir éteint toutes les lumières, sauf celle de la cuisine. La maison était inoccupée depuis deux ans, complètement vide a l’exception de la chaise.
Elle s’est endormie très rapidement. Elle se souvient ensuite s’être réveillée brusquement. La nuit était noire, pas de lumière et ici pas d’éclairage public.
Elle a vue une lumière douce à environ 5 pieds (1,5 mètre) devant elle et 3 pieds au dessus du sol (1 mètre). Elle n’avait pas peur mais très intriguée elle se demandait ce que c’était.
La lumière a commencé à se déplacer verticalement dans la pièce, elle a vu apparaitre comme un bras et une main un peu comme si ils étaient passés aux rayons X. Le bras était plié. Le « bras se déplaçait avec un petit rougeoiement clair qui le suivait. Dans s a tête est apparu une sorte de cliquetis. Elle s’est levée brusquement et est allé allumer la lumière de la cuisine. L’apparition a disparu.
Elle était persuadée d’avoir laissé la lumière de la cuisine allumée. Pourquoi s’était elle éteinte ?? Ni l’ampoule, ni le fusible n’étaient abimé. Après cet incident, elle distinguait du coin de l’œil une sorte de voile qui allait vers la chambre du couple. Cela arrivait plusieurs fois par semaine mais personne d’autre qu’elle ne le voyait.
Une nuit elle regardait seule la télé, elle a vu se déplacer la boule de lumière. Elle l’a bien observée. Elle flottait à quelques pouces du sol, entré dans la chambre il a disparu. Le témoin a aussi photographié de nombreux orbes.
HC addendum
Source: Your True Tales—May 2011 Type: E?
12.
Lieu. Près d’East Liverpool, Ohio
Date : juillet 2010 Temps : 3h00. (Matin)
Le témoin rentrait avec sa petite amie, de Chester (Virginia). Ils était sur la route 68 entre East Liverpool (Ohio) et Midland (Pennsylvanie), le long de la rivière Ohio. Vers trois heures du matin comme un ange noir flottait devant le camion. Il avait environ 6 pieds de haut (2 mètres env.). Il a fait une manœuvre pour l’éviter. L’ange noir est parti vers la rivière. Le témoin voulait porter témoignage a la police mais son amie craignait qu’on les prennent pour des fous.
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Source: Phantoms and Monsters May 22 2011 Type: E
13.
Lieu . Près de Brisbane, Queensland, Australie
Date: juillet 2010 heure : soirée
Le témoin avait été, avec ses parents rendre visite à des amis dans leur résidence d’été.
Les adultes étaient partis acheter à manger, les jeunes dans la chambre jouaient à la « Playstation ». Le témoin a vu, du coin de l’œil, un mouvement à l’extérieur de la grande fenêtre, juste à droite du poste de télévision. En regardant, elle a été stupéfaite de voir une créature de taille moyenne, très pâle qui a vite été se cacher dans les buissons un peu plus loin. Les deux jeunes amies, un peu incrédules, ont décidé d’aller vérifier. Elles ont remarqué qu’elles ne percevaient aucun chant d’oiseau, ni de bruits d’insectes. A regret elles ont quitté l’endroit. Elles ont alors entendus un grondement. Les témoins se sont retournées et ont vu une sorte de « monstre ». Un « humanoïde », pâle, chauve, nu, il avait des yeux noirs comme le charbon,. Les témoins étaient paralysés par la peur. La créature avait des oreilles pointues, d’énormes dents, pas de nez, mais des trous à la place. Il grondait comme un chien. Il s’est volatilisé. Les témoins s’interrogeaient quand elles ont entendus la voiture des parents. Elles n’ont jamais raconté cette histoire.
HC addendum
Source: http://paranormal.about.com/od/demonsandexorcism/a/tales_11_06_09t.htm Type: E
14.
Lieu. Edge of the Universe Ridge, Fullerton, California
Date: 2 juillet 2010 Time: 23:00
Trois amis ont décidé d’aller promener à un endroit connu sous le nom de « Fullerton Trails ». Où ils voulaient prendre du cannabis.
(Les trois amis consommaient du cannabis) Au sommet de cet endroit il y a une vue exceptionnelle. Un peu plus loin une autre arrête rocheuse « The end of the Univers » est encore plus élevée. Il était tard, ils étaient fatigués, ils n’ont pas renoncé à leur projet de grimper là-haut. Cette arrête rocheuse commence dans une zone résidentielle, bordée d’arbres d’un côté, et d’une barrière de l’autre.
Ils sont parvenus sans trop de difficulté au sommet. Mais une odeur putride les a surpris. Comme si une charogne était en décomposition. Ils n’ont vu aucun cadavre. Ils ont commencé à prendre le cannabis. Ils admiraient le paysage du désert en dessous d’eux, ils parlaient de la fraicheur de la nuit. Ils ont entendu un bruit dans les buissons derrière eux. Ils ont naturellement pensé à un petit animal qui bougeait. Ils continuaient leurs occupations quand les bruits ont augmenté….
Des archéologues cubains découvrent des pierres taillées antiques
Des archéologues cubains découvrent des pierres taillées par des aborigènes
La Havane, (RHC).- Un groupe d’archéologues cubains ont découvert dans la zone protégée de Yara-Majayara, dans la province de Guantánamo, des centaines de pierres taillées par des aborigènes cubains. Il s’agit d’une sorte de calendrier.
Les archéologues ont fait cette trouvaille, considérée comme étant vitale pour la science, lorsqu’ils réalisaient des travaux sur le champ pour la confection du cadastre archéologique de la ville de Baracoa.
Les spécialistes ont fait savoir que les pièces trouvées ont des gravures représentant les 4 phases de la lune, ainsi que des figures d’animaux étroitement liés à des dieux adorés par ces indiens Taïnos.
Les archéologues considèrent que ces pièces doivent apporter des idées novatrices sur les gravures en pierre de la culture pré colombienne, car cette pratique en forme de calendrier n’était connue que dans les cultures Inca et Maya.
Dans la ville cubaine de Baracoa, plus de 200 sites archéologiques ont été trouvés jusqu’à présent.
http://www.cubarte-francais.cult.cu/paginas/actualidad/noticia.php?id=18997
MAJ 03-10-2015 : Un musée archéologique montrant quelques artefacts trouvés sur place a été ouvert. On peut y voir quelques reconstitutions (imaginées) de la vie des indiens locaux (les Taïnos) présents bien avant l'arrivée de Cristophe Colomb et des Espagnols, ainsi que quelques statuettes faites par les Taïnos et une tombe. Les Taïnos, dont on sait assez peu de choses, enterraient leur mort et procédaient à des rituels funéraires. On ne sait pas si les pierres taillées et gravées découvertes de calendriers sont issues des Taïnos ou de visiteurs Mayas ou Incas... ou autres, mais elles ont été trouvées à proximité de représentations animales des dieux des indiens locaux...
Photos prises au Musée archéologique de Baracoa.
Yves Herbo Traductions - S,F,H, 09-2012, Up 10-2015, 12-2018