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Nefertiti drawing

La momie de Nefertiti toujours cachée à Louxor ?

Par Le 15/10/2015

La momie de Nefertiti toujours cachée à Louxor ?

 

Nefertiti drawingNefertiti (Musée de Berlin)

 

La Reine à la beauté légendaire, Nefertiti, épouse du pharaon "hérétique" Akhenaton (également nommé Amenhotep IV (Aménophis IV en grec)), qui réussit l'exploit de convertir provisoirement l'Egypte antique au monothéisme en imposant un culte unique à Aton, Dieu du Soleil, exerça avec son mari un important rôle politique et religieux pendant plus de vingt ans (estimés) entre -1355 et -1337 avant Jésus-Christ. Autant il semble bien que la dépouille du roi Akhenaton ait bien été découverte (avec une identification génétique probable récemment, en 2010), autant la momie de la reine Nefertiti n'a jamais été trouvée et clairement identifiée (certains chercheurs pensent qu'il s'agit de la momie identifiée comme étant la " Younger Lady")...

C'est un archéologue britannique, Nicholas Reeves, qui a reçu en septembre l'autorisation officielle de la part des autorités égyptiennes de procéder à des fouilles à Louxor, dans la Vallée des Rois, pour vérifier sa théorie. Cette dernière repose sur certaines réalités historiques, même si la fin du règne du pharaon Akhenaton est très sombre et peu documentée. Car le décès d'Akhenaton est entouré de mystère. On ne sait ni quand ni les raisons de son décès, ses successeurs ayant tout fait pour effacer les traces du roi hérétique (avec martelage de son nom, destruction et mutilation de son sarcophage). Tout au plus peut-on dater de l’an XVII ou XVIII de son règne la dernière inscription qui le mentionne clairement. Certains chercheurs suggèrent également que l'éclipse totale de soleil du 14 mai 1337 av. J.-C. pourrait être concomitante avec sa mort. Des études récentes de son squelette (ou de celui qui lui est attribué) avancent l'hypothèse qu'il était atteint d'un trouble métabolique portant le nom de homocystinurie, les conséquences de cette maladie pouvant expliquer sa mort (assez jeune car il était monté sur le trône vers ses 16 ans).

Smenkhkarê, gendre et successeur d’Akhenaton après une probable corégence, meurt aussi mystérieusement à la fin d'un règne éphémère. Le pouvoir revient alors au fils cadet d'Akhenaton, alors âgé de 9 ans : Toutânkhaton, qui a épousé Ankhésenpaaton, la troisième fille d’Akhenaton. Avec la disparition d'Akhenaton s'éteint immédiatement le culte exclusif d'Aton. Au bout de trois ans, Toutânkhaton quitte Amarna, capitale de son père ; il adopte le nom de Toutânkhamon, restaure le culte des dieux traditionnels et rétablit le clergé dans les biens dont l’avait dépouillé le " l'hérétique Akhétaton ".

La tombe officielle d'Akhenaton a été aménagée dans la nécropole royale d'Amarna, sa nouvelle capitale. Découverte par des fellah à la fin du 18ème siècle, puis redécouverte en 1891, la tombe fut fouillée par Howard Carter en 1892, qui en releva les décors des parois accessibles pour le compte de l'Egyptian Exploration Fund. De 1893 à 1894, le tombeau a été fouillé par Alexandre Barsanti pour le compte du Service des antiquités égyptiennes, et dégagé des gravats qui l'encombraient, révélant son plan et découvrant les restes du sarcophage externe du roi ainsi que de son coffre à canopes et de nombreux fragments d'oushebtis au nom du roi, brisés en petits morceaux... L'ensemble de ces indices démontre que dans un premier temps, le roi a bien été inhumé dans la tombe qu'il s'était fait aménager dans sa nouvelle capitale. Après le retour à l'orthodoxie religieuse et (probablement) d'un premier pillage de la nécropole royale, le corps du roi a été déplacé et inhumé dans la tombe de sa mère dans la vallée des rois.

 

Pharaoh akhenatenBuste d'Akhenaton, musée égyptien du Caire.

En 1907, Davis et Ayrton fouillant dans la vallée des rois, mettent au jour la tombe KV55 qui contenait plusieurs restes de viatiques funéraires royaux de la fin de la XVIIIe dynastie, dont un grand sarcophage en bois doré dont les cartouches royaux ont été martelés, effaçant à jamais le nom de son propriétaire, et dont le visage en or a été arraché, défigurant la tête du sarcophage. Plusieurs autres objets portaient également des cartouches qui avaient été systématiquement effacés, signe caractéristique de la damnatio memoriae subie par les souverains amarniens au cours de la XIXe dynastie.

Le sarcophage contenait encore une momie réduite à l'état de squelette qui n'a pas été immédiatement identifiée. Des examens récents de ce squelette ont été menés de 2005 à 2009 par une équipe égyptienne dirigée par Zahi Hawass, permettant finalement par des analyses ADN de démontrer que ce corps était bien celui d'un fils d'Amenhotep III et de la reine Tiyi. Ces résultats révélés le 17 février 2010 à la presse et associés aux objets déjà découverts dans la tombe au nom d'Akhenaton, permettent de confirmer l'hypothèse qu'il s'agit bien des restes du roi.

Akhenaton a bien été momifié et a reçu une sépulture officielle dans la nécropole royale de sa capitale. Après avoir reposé une brève période dans son tombeau royal en Amarna, il a été déplacé avec les restes de son équipement funéraire dans la vallée des rois dans la KV55, probablement sous le règne de son fils Toutânkhamon.

Après le règne de ce dernier, la tombe a été ouverte et les objets aux noms du roi ont été délibérément saccagés. C'est à ce moment-là que le sarcophage royal a été abîmé et probablement ouvert afin de dépouiller la momie du roi des ultimes reliques permettant d'identifier son propriétaire, condamnation posthume à l'oubli et surtout interdiction de tout espoir de renaissance dans l'au-delà, ce qui représentait pour les Égyptiens la pire des punitions. Puis la tombe a été refermée et scellée à nouveau. La présence de ces sceaux sur le mur bloquant l'accès à la tombe indique que cet acte de désécration a donc été réalisé par ordre officiel et non par des pillards. Cet acte vient clore la campagne de damnatio memoriae qui a débuté sous le règne d'Horemheb et s'est achevée sous les premiers pharaons de la XIXe dynastie. Yves Herbo : notons tout de même qu'il y a une certaine contradiction ici avec le rapport officiel sur l'attribution du squelette à Akhenaton, qui mentionnerait et associerait donc des objets au nom du roi, découverts dans la tombe : pourquoi aurait-on martelé et effacé le nom du pharaon, ouvert et saccagé son sarcophage... si c'est pour y laisser des objets portant le nom qui a été effacé ? !... 

 

220px statueheadofnefertiti01Nefertiti (Musée de Berlin)

Mais tout ceci nous ramène à la Reine Nefertiti, qui n'était finalement pas la mère de Toutânkhamon, contrairement à ce que l'on a longtemps cru, de récente études de l'ADN de ce dernier prouvant qu'il était bien le fils d'Akhenaton, mais aussi celui d'une des sœurs de son père, dont l'identité n'est pas clairement établie (surnommée Younger Lady actuellement). L'épouse royale est finalement encore plus mystérieuse que son célèbre mari hérétique. En effet, L'origine de Néfertiti est incertaine. Même la date de son mariage et de sa montée sur le trône ne sont pas connues avec certitude, comme c’est le cas pour beaucoup d’autres données de cette époque. 

En l’an treize (ou quatorze ?) du règne d’Akhenaton (vers -1336 ?), Mérytaton remplaça sa mère comme grande épouse royale dans les cérémonies officielles, et, à partir de l’an quatorze, Néfertiti disparut de l’iconographie amarnienne. Sur quelques reliefs, son nom et son visage furent même martelés et remplacés par ceux de Mérytaton. Il n’est pas impossible qu’elle soit déjà décédée à cette date, d’après une hypothèse, de mort violente. Les raisons véritables de cette disparition subite nous échappent encore. Pour compliquer cette énigme, des sceaux de jarre à vin avec son nom qui porteraient comme indication : « l'an I de Néfertiti » ont été retrouvés dans le palais nord d'Akhetaton (l'actuelle Tell el-Amarna), ce qui signifie peut-être qu'elle y vécut à la fin du règne de son époux voire qu'elle régna après lui.

La disparition de Néfertiti coïncide avec l'apparition d'un nouveau personnage nommé au titre de corégent au nom de Ânkh-Khéperourê Néfernéférouaton. Plusieurs chatons de bague inscrits, trouvés par Sir William Matthew Flinders Petrie à Amarna, montrent que ce nouveau personnage est une femme puisque la forme attestée est Ânkh(t)Khéperourê. Manéthon, dans sa liste royale, évoque une « femme roi » à la fin de la XVIIIe dynastie qu'il nomme Acenchêrês (ou Akenkheres ou Achencherês) qui serait une mauvaise transcription d'Ânkh-Khéperourê. Ici encore, nous en sommes réduits à des conjectures. C'est sur ce postulat que des spécialistes y ont vu la certitude qu'il s'agissait de Néfertiti. Cependant l'identité de cette Ânkh(t)Khéperourê a été très discutée.

Après le court règne du successeur d'Akhenaton, c'est un jeune garçon d’une dizaine d'années qui monte sur le trône, Toutânkhaton, époux de la princesse royale Ânkhésenpaaton. Une nouvelle hypothèse, qui est toutefois du domaine de l'histoire-fiction, car aucun document ne l'étaye : Néfertiti, encore en vie, mais officiellement retirée des affaires publiques, aurait gouverné dans l'ombre, étant donné le jeune âge du nouveau roi. Cette influence — et probablement sa propre vie — se seraient alors achevées pendant la troisième année de règne de Toutânkhamon, en -1331. C'est en cette année en effet que Toutânkhaton adopte le nom de Toutânkhamon, reniant le culte monothéiste d’Akhenaton et marquant officiellement son soutien au dieu thébain Amon. En même temps, la famille royale abandonne Akhetaton, la ville d’Aton, et revient à Thèbes...

Autre étrangeté concernant la famille Akhenaton : D'après l'étude de Zahi Hawass et ses collègues publiée en 2010, Akhénaton et sa lignée patrilinéaire appartiendraient à l'haplogroupe du chromosome YR1b1a2, qui est surtout présent en Europe de l'Ouest et rare en Égypte (moins de 1 % des Égyptiens modernes appartiennent à ce clade). Il semblerait donc, que les Européens de l'Ouest aient les mêmes ancêtres, en ligne paternelle directe, que la famille royale de la XVIIIe dynastie égyptienne. Toutefois les résultats concernant le chromosome Y n'ont pas été révélés par l'étude de Zahi Hawass et ses collègues et, selon Carsten Pusch, un des généticiens ayant participé à l'étude, ce qu'affirme la société iGENEA est « simplement impossible »...  le débat a toujours lieu et d'autres tests génétiques sont à prévoir !

 

220px tuthankhamun egyptian museumLe célèbre masque funéraire en or de Toutankhamon - (musée égyptien du Caire).​

Suite à toutes ces conjectures et hypothèses, Nicholas Reeves propose que la momie de la Reine, possible régnante officielle pendant un an après le décès d'Akhenaton ou même officieuse pendant trois ans, ait pu d'abord reposer dans une chambre funéraire disposée au même endroit que celle de son successeur Toutankhamon, et que le décès de celui-ci (qui est mort jeune également) l'ait déplacée dans une chambre cachée au-delà de la chambre funéraire officielle du pharaon. En effet, début octobre 2015, de retour de trois jours d'exploration dans la Vallée des Rois, Nicholas Reeves a exposé au Caire son audacieuse théorie : des lignes sur les murs de la chambre funéraire de Toutankhamon, visibles seulement grâce à des scanners, démontrent qu'il existe deux portes dissimulées. Il y aurait donc deux chambres dissimulées d'après la conférence du 1er octobre 2015 à laquelle participait également le Ministre égyptien des Antiquités.

" Le tombeau de Toutankhamon au siècle dernier fut la plus grande découverte culturelle en Egypte dans l'histoire de l'Humanité. Si l'on y trouve aujourd'hui autre chose, ce sera la plus importante découverte du XXIe siècle", s'est enthousiasmé le nouveau ministre égyptien des Antiquités, Mr Mamdouh al Damati, lors de la conférence. Mais le ministre penche plutôt pour la découverte de la momie de Kiya, une épouse secondaire du pharaon Akhenaton, ou celle de sa fille, Mérytaton.

Les deux hommes s'accordent néanmoins sur un point : dans un mois, espèrent-ils, des radars sophistiqués vont sans doute révéler l'existence d'une autre chambre funéraire, au cœur du tombeau de Toutankhamon, dont la mise au jour, le 4 novembre 1922, avait été la "découverte du XXe siècle". Les spécialistes pensent donc que ces deux portes donneraient sur une vaste chambre funéraire, parallèle à celle du jeune roi Toutankhamon... mais qu'en pense notre ami Albert Fagioli qui, suite à la demande de ses lecteurs, a procédé à son habituelle recherche de radiesthésiste à distance, ne pouvant se rendre de par lui-même sur les lieux ?

 

Tombeautoutankhamon nefertiti

C'est donc à l'aide d'un plan de ce fameux tombeau de Toutankhamon qu'il fit ses recherches sur d'éventuelles salles inédites... Et d'après son impression générale et les indications de ses instruments, il y aurait bien deux salles inédites sur le côté droit de la salle du tombeau de Toutankhamon. (Symétrie par rapport à l'une des salles aux trésors).

Mais selon Mr Fagioli, il n’y aurait pas de tombeau dans ces deux chambres. Seulement un trésor, probablement archéologique.

On attend avec impatience de voir les résultats du radar de sol que le professeur Nicholas Reeves devrait pouvoir passer début novembre dans les directions indiquées par les premiers scanners. Et voir si cela correspond aux travaux à distance de Mr Fagioli.

Pour rappel, on espère toujours également une invitation que Mr Fagioli avait demandé auprès du Ministre des Antiquités Égyptiennes depuis presque 2 ans (mais celui-ci a changé depuis)... Pour confirmer des salles souterraines sous le Sphinx, des salles souterraines sous le Temple de Karnak et surtout la présence de 4 nouveaux tombeaux dans la Vallée des Rois, dont l'un aurait un long corridor de plus de 100 mètres

Dans l'un de ces quatre tombeaux, il pourrait bien y avoir celui de Néfertiti et d'un autre célèbre pharaon. 

Yves Herbo : quoiqu'il en soit, nous devrions en savoir plus courant novembre 2015, il y aura donc éventuellement une Mise à Jour de cet article...

Les pyramides d'Egypte et le Sphinx : 
http://albert-fagioli.blogg.org/les-pyramides-d-egypte-et-le-sphinx-c26554382  

La Vallée des Rois :
http://albert-fagioli.blogg.org/la-vallee-des-rois-c26554398 

Le Temple de Karnak :
http://albert-fagioli.blogg.org/le-temple-de-karnak-c26554400 

 


Egypte : la momie de Néfertiti bientôt découverte ?

 

Sources : http://www.francetvinfo.fr/sciences/archeologie/video-tombeau-de-nefertiti-l-egypte-reve-de-la-plus-importante-decouverte-du-xxie-siecle_1111101.html

http://albert-fagioli.blogg.org/les-deux-chambres-secretes-du-tombeau-de-toutankhamon-albert-fagioli-a118979386

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tout%C3%A2nkhamon

 

Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires.com, 15-10-2015

Dans Sciences
Fouillesfosse2 mini

Le Musée de l'Armée Enterrée de Xian

Par Le 13/10/2015

Le Musée de l'Armée Enterrée de Xian

2012-maj 2015

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Le mausolée de l'empereur Qinshihuang (qui est celui qui a unifié le premier la Chine), qui couvre une surface d'environ 56 km², se trouve à proximité de la ville de Xi'an et il comprend le tombeau proprement dit, et les fosses où l'on a trouvé, en 1974, l'armée enterrée de soldats de terre cuite.

Les fosses contiennent environ huit mille statues de soldats datant de 210 av. J-C, qui ont presque toutes un visage différent, et de chevaux en terre cuite. C'est « l'armée enterrée », destinée à garder l'empereur. C'est en 1974 que la première fosse a été mise au jour par des paysans qui creusaient un puits.

 

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La construction de la nécropole a nécessité trente-six ans et plus de 700 000 ouvriers. Parmi les soldats en terre cuite on trouve beaucoup de fantassins, mais aussi des archers, des chars, des cavaliers, des généraux, etc.

Depuis cette grande découverte des fosses n° 1, 2 et 3 remontant à quelques dizaines d'années, les archéologues ont trouvé de nouvelles fosses. Il semble que l'empereur ait souhaité être entouré, au-delà la mort, de toutes les choses qu'il appréciaient de son vivant et de tous les moyens pour affronter l'éternité.

 

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Les soldats ont en grande majorité été fabriqués en terre cuite dans des ateliers. Les différentes parties parties du corps ont été produites séparément puis assemblées. Une fois fini, les soldats ont été disposés en ordre militaire dans les fosses, selon le rang et la tâche. Ils mesurent entre 1,80 m et 2 m. Ils portent tous une arme (épée, arc ou arbalète) en bronze recouverte d'une fine couche de chrome.

 

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Les personnages se distinguent les uns des autres par la grandeur, l'uniforme et la coiffe. Au départ, les soldats étaient armés et peints de couleurs vives qui ont malheureusement disparu à la suite de l'incendie des fosses par les rebelles Han vers l'an 206 av. J.-C. et par leur exposition à l'air libre durant les premières fouilles archéologiques.

La tombe, elle, se situe à environ 1,5 kilomètre à l'ouest de l'armée enterrée. Elle est enfouie sous une pyramide de terre de 75 m de haut et d'environ 350 mètres carrés.

Selon les sources historiques, elle contiendrait, le corps de l'empereur Qin Shi Huangdi, une reproduction de son empire et les tombes de 48 concubines, enterrées vivantes avec lui.

 

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La tombe elle-même n'a pas encore été fouillée. L'État souhaite attendre le développement de nouvelles technologies qui pourront garantir que le contenu, en particulier la momie de l'empereur, ne sera pas détérioré. De plus, les archéologues veulent s'assurer que les pièges et les trappes équipées d'arbalètes, soient bien désarmés. Ils pensent que d'anciens pièges, comme des rivières de mercure et des arbalètes truquées, pourraient encore les attendre: en effet, des sondes insérées dans la tombe ont révélé des quantités anormalement élevées de mercure.

 

MAJ 2015 : vidéos de l'Unesco et histoire du premier empereur chinois + découverte de la seconde plus grande tombe chinoise

 

En 221 avant J-C, l'unification de l'empire de Chine s'achève. Le roi Qin Shi Huang, qui hérita 15 ans plus tôt de l'un des royaumes qui divisaient alors la Chine en sept parties, a défait ses adversaires les uns après les autres et conquis toutes les autres provinces. Devenu influent, le roi de Qin, fondateur de la dynastie du même nom, prend alors le titre de Shi Huangdi, autrement dit «Premier souverain empereur». L'empire chinois est né ; il durera plus de 2000 ans, jusqu'en 1911. Empereur peu populaire, Qin Shi Huangdi réalisa, au-delà de l'unification territoriale, un travail inédit d'unification politique et sociale, sonnant le glas du système féodal.

Un important tombeau appartenant à la grand-mère du premier empereur de Chine Qin Shi Huang a été découvert à Xi'an lors de fouilles menées dans le cadre de l'extension du campus de l'Université de Finance et d'Economie de Xi'an dans la province de Shaanxi, en février 2015.

Le complexe funéraire fait 173,325m², mesurant 550m de long et 310m de large. C'est le second tombeau en grandeur a avoir été découvert dans le pays.

 

Tombeau grand merepremierempereurchine



Jusqu'à présent, les archéologues ont mis au jour deux chariots et douze squelettes de chevaux (6 par chariot). Les chariots et chevaux sont un symbole de haut rang qui égale celui d'un empereur ou d'un membre de la famille royale.

Les archéologues ont aussi découvert une céramique élégamment gravée des caractères chinois nommant la grand-mère de Qin Shi Huang, avec des fragments de jade, d'or et d'argent. Il est probable que le premier empereur lui-même ait commandité la construction de ce tombeau et qu'il fut terminé au cours de sa vie. Cependant, il n'est pas encore précisé si le sarcophage contenant la momie a été découvert.

 

Char squelettes chevaux chine

Source : Internationl Business Times: "China: Ancient Tomb of First Emperor Qin Shi Huang's Grandmother Discovered in Xi'an"

2015 : les fouilles de la seconde fosse de l'immense mausolée (non encore fouillé pour sa part) du premier empereur de Chine débutent.

Elle remonte à plus de 2 200 ans et continue toujours d'étonner. L'armée en terre cuite du premier empereur de Chine, Qin Shihuang, est un témoin frappant de l'ancienne histoire et civilisation de la Chine. Bien que les travaux d'excavation aient débuté au début des années 70, la pleine étendue de cette merveille culturelle se trouve encore cachée sous terre. Les dernières excavations, qui ont commencé en 1994, ont toutefois mis à jour beaucoup de nouveaux trésors.

 

Fouillesfosse2



ZHU SIHONG, Directeur de la fosse 2 du Musée des soldats de terre cuite de l'empereur Qin est interviewé par CCTV.com

" La fosse numéro 2 fait 6 000 mètres carrés de superficie. Une fois l'excavation totalement achevée, nous espérons pouvoir retrouver plusieurs milliers de guerriers et de chevaux supplémentaires."

Les fouilles dans la fosse numéro 2 ont jusqu'à présent permis de découvrir des soldats debout ou à genoux, tous faisant face à l'Est. Au sud de la fosse, les archéologues ont découvert huit chars avec leurs chevaux, tous fabriqués originellement en bois. Mais ils se trouvaient en très mauvais état. Le plus surprenant pour les experts, est d'avoir trouvé des personnages en terre cuite peints dans la fosse numéro 2.

" La taille des guerriers retrouvés dans la fosse numéro 2 est d'environ un mètre. C'est mieux pour leur préservation d'avoir été enterrés profondément, où les conditions de température et d'humidité sont meilleures. "

Lorsque la deuxième série d'excavation débutera, les experts disposeront d'un plus grand éventail d'informations à propos des chars et les utiliseront pour la restauration. Le but est d'excaver 200 mètres carrés de terre dans la fosse numéro 2 au cours des prochaines années...

Source : CCTV.com

 

Yves Herbo, Sciences, Fictions, Histoires.com, 2012, MAJ 10-2015

Bimini routeouportenglouti5 mini

Caraibes et structures englouties

Par Le 12/10/2015

Caraibes et structures englouties

 

Bimini routeouportenglouti5 miniUn bloc géant de Bimini reposant sur des petits piliers de pierre...

 

J'ai déjà parlé à plusieurs reprises des revendications de plusieurs chercheurs, dont de réels scientifiques, concernant des structures artificielles qui seraient englouties à divers endroits de la région des Caraïbes, Floride, Bermudes et Antilles. Cette vaste zone de l'Atlantique, en face du Mexique et de la mosaïque de petits états de l'Amérique Centrale recèle bien des mystères et légendes depuis que Christophe Colomb lui-même ait décrit dans son journal de bord, à son arrivée dans les parages, une observation étrange de lumière "non-naturelle" (ce que certains recensent comme une des plus anciennes observations d'OVNI historique) et que les premières annales des mystérieuses disparitions de navires (ou d'avions) du Triangle des Bermudes soient enregistrées...

Vous trouverez d'ailleurs en bas de cet article toute une série de liens qui vous enverront vers les différents articles déjà publiés ici sur cette région.

Je suis loin d'avoir encore pu détailler toutes les légendes et histoires de cette région néanmoins, car il y en a toujours à découvrir ou à préciser, comme vous le montre ce nouvel article qui ajoute donc encore quelques lignes et images à celles déjà produites, pour mon plus grand plaisir et le votre je l'espère. 

Je n'en avais pas encore parlé car cette histoire recèle maintenant peu de "surprises" et de nouveautés... mais il est tout de même intéressant de la rappeler car cette réelle cité engloutie nous permet tout de même d'affirmer, avec preuves, que si la chose s'est bien produite il y a peu de temps (relatif mais historique), il a très bien pu aussi se produire dans une période plus lointaine dont nous n'avons plus le souvenir... tout comme les futurs montées des océans dans ces régions assez basses sur l'eau peuvent malheureusement reproduire dans l'avenir les mêmes catastrophes...

 

Port royal1Port Royal englouti - Jamaïque

 

Il y a bien eu, historiquement, une cité d'engloutie ici, et il s'agit de la ville de Port Royal en Jamaïque :

Dans OVNI/UFO
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Un atterrissage avec humanoide près de Marrakech

Par Le 11/10/2015

Un atterrissage avec humanoide près de Marrakech

2012- up 2015

 

reconstitution1.jpg

 

 

Une enquête de Gérard Lebat, des Repas Ufologiques de Marrakech (2012), publiée avec son aimable autorisation :

 

Je recherchais une personne pour s’occuper de l’entretien d’une propriété. Je suis donc en contact avec beaucoup de gens, en règle générale des marocains ne parlant pas le Français, parlant même dans certains cas, que le « berbère » local. La tâche n’est donc pas facile et il me faut en générale une personne pour « traduire ». Ici, ces recherches se font essentiellement via le « téléphone arabe » c'est-à-dire les relations qui en parlent autour d’elles, ces derniers répercutant la nouvelle. On est ainsi amené à rencontrer d’innombrables personnes, habitant parfois très loin.

 

Au mois de Mars 2012, j’ai rencontré une personne, qui parlait le français convenablement, nous avons enconséquence longuement discuté. Nous avons évoqués de nombreux sujets et je lui ai à un moment parlé du fait que je m’intéressais à tout ce qui était mystérieux et qui touchait l’espace, le ciel, les étoiles et naturellement tout ce qu’on pouvait y observer, y compris des objets inconnus. Le mot « ovni » a ainsi été prononcé, ce dernier n’était pas inconnu de mon interlocuteur qui parfois regarde les chaînes de télévision en provenance de la France. J’évoquais sans détailler ce qu’était ce phénomène, les observations de points lumineux, les objets à terre et à très basse altitude. Brahim, un peu plus d’une quarantaine d’années, c’est le prénom de cette personne qui se présentait pour le poste recherché, sans toutefois en avoir les compétences, candidature qui ne pouvait donc pas convenir. Mais, il évoqua toutefois dans la conversation, le fait que son père, âgé aujourd’hui de 70 ans, avait été l’objet, dans les années 60 – 70, d’une bien étrange observation.

 

Bien, que généralement je n’aborde pas ce sujet ici, les habitants ont autre chose à faire que de s’occuper de ces sujets. Manger, trouver un peu d’argent, étant la principale préoccupation, surtout pour les habitants de la campagne qui ont bien souvent le minimum pour ne pas mourir de faim. Et pour le superflu, s’offrir une télévision par exemple, bien souvent d’occasion, si âgée et en aussi mauvais état apparent qu’on ne la ramasserait même pas en France dans une poubelle, ceci pour quelques dizaines d’euros, il leur faut économiser et faire de bonnes affaires. Mais pas facile à la campagne ou personne n’a d’argent. Il faut souvent monter à la ville, vendre à meilleurs prix ce qu’on a produit. La situation à la campagne est bien différente de la ville, ou ceux qui ont réussi, parviennent à vivre honorablement. Mais ce jour-là, Brahim était relativement bavard, il évoqua donc l’histoire qu’avait vécu son père : une nuit, réveillé par ses chiens, les chiens des voisins, souvent membre de sa famille, il se leva et regarda par la fenêtre. Il observa alors, à 70/100 m de lui environ, un objet qui était à terre et il a pu voir dans la nuit, une silhouette, pas plus grande qu’un enfant, qui se dirigeait vers l’objet, le contourna. Puis au maximum 2 minutes plus tard l’objet s’éleva lentement à la verticale, sans bruit, puis disparu à l’horizontal, tout en s’élevant dans l’espace, à une vitesse relativement élevée. (aussi rapide que les avions à réaction, type F16, à basse altitude, qui étaient présentés par les américains il y a quelques années ici à Marrakech, et dont certains ont survolés la régions.)

 

L’affaire me semblait intéressante, peu d’observation d’objets à terre au Maroc, quelques cas avec des entités aux abords, mais ici comme l’information ne circule pas facilement vers les médias, la situation est normale et elle est connue. D’autre part, pour un villageois de la campagne, il ne serait pas question d’aller raconter une telle histoire à la gendarmerie, qui d’autre part ne saurait pas quoi en faire. La peur du « gendarme » est ici très grande, synonyme de problèmes qui peuvent être très graves…

 

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En conséquence, son père n’a jamais parlé de cela, sinon à sa famille proche, évoquant plutôt une apparitiond’un « signe » religieux pouvant apporter le malheur. Jamais le cas ne fut donc évoqué en détails, même dans le proche cercle familial et encore moins chez les voisins ou les personnes que peut rencontrer le témoin. Brahim, ne pouvait donc pas m’en dire plus, un objet vu par la fenêtre, une silhouette et l’objet qui a décollé.

 

Je tentais alors indirectement de lui demander s’il serait possible de rencontrer son père. Ou il habitait. Pour le lieu où se situait le domicile de cette personne, pas de soucis, un petit groupe de maisons, le père, les enfants proches des voisins, non loin de Tahanaout, une distance de cinquante kilomètres au maximum de mon domicile. L’objectif était évidemment de tenter d’en savoir plus sur ce cas. La rencontre n’est pas facile, le père est âgé, il habite la campagne et il n’évoque pas cette affaire, encore moins à un étranger. Arriver à deux ou trois personnes, étrangères à ce village, dans ce « bled » va faire « jaser » et que vont bien dire les habitants. Ici, on prend soin de sa personnalité au sein du village et on craint le « ce que vont penser les autres » ! Ce n’était donc pas gagné d’avance, mais, avec diplomatie, en rassurant Brahim sur le fait que jamais personne ne serait informé des identités, le fait que nous serions le plus discret possible lors de notre venue, sans matériel, ni même appareil photo et le plus rapide possible, j’ai tenté d’obtenir une entrevue avec son père.

 

Il est parti en me promettant de lui parler de mon intérêt pour cette observation et de demander à son père s’il accepterait de me parler. Je n’étais absolument pas convaincu qu’un jour j’aurai une réponse, ni même des nouvelles de Brahim.

 

Début Avril 2012, un appel téléphonique, surprise, c’est Brahim qui m’appelle. Il me dit que mes histoires d’ovni l’ont intrigué, qu’il avait parlé à plusieurs amis de ce phénomène et que plusieurs avaient fait des observations de lumières inconnues dans le ciel. Mais tous ces cas sont anciens, sans date précise et nous en avons déjà des dizaines de milliers, ce qui ne nous apporte rien de nouveau. Je n’entreprends donc aucune démarche sur toutes ces histoires imprécises en générale. Mais le plus important, c’est qu’il a eu l’occasion de voir son père et que ce dernier accepte de me rencontrer.

 

Nous convenons donc de nous rencontrer le Lundi 7 mai 2012 vers 10 h 00 au carrefour du village de Knine. (Environ 40 kms de Marrakech) Il s’agit du carrefour, sur la carte, entre la P2017 et la P2010. Ce village, n’est pas mentionné sur la carte, mais il est aujourd’hui important et le commerce y est actif. Le Lundi, dans cevillage, en contrebas, (à environ 1 km 500 du croisement) il y a un souk typique qui a encore conservé aujourd’hui son caractère campagnard.

 

RENDEZ-VOUS POUR ALLER RENDRE VISITE AU TÉMOIN

 

Le jour venu je suis sur les lieux du rendez-vous et je retrouve Brahim. C’est lui qui me traduira en Français, nous n’avons pas jugé indispensable pour raison de discrétion, de nous déplacer à plus de personnes. Nous poursuivons notre route, empruntant la P2010 qui rejoint Tahanaout et après quelques kilomètres, il nous faut emprunter une piste sur la gauche de la route, qui nous mène en direction de la montagne. Un kilomètre de piste, pas de soucis, on peu y aller en voiture, me dit Brahim……. Mais, au fil des minutes, la piste relativement bonne, l’hiver n’a pas été très pluvieux, les kilomètres s’additionnent !...... En bref, comme à l’habitude ici, un petit kilomètre qui en fait bien 5 chez nous….. et sur une piste, la route parait longue……. Mais après un bon quart d’heure de piste, j’aperçois un groupe de maisons en pisé (des habitations rudimentaires faites en terre, comme on en trouve partout dans la campagne marocaine) qui forment un petit ensemble. C’est là qu’habite mon père, me confirme Brahim.

 

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Nous nous arrêtons devant un mur déjà bien usé par les années (les murs sont en terre, la pluie l’hiver les abimes essentiellement sur leur partie supérieure, ce qui demande un entretien constant) dans lequel une porte faite de bric et de broc, des planches de différentes origines et qui ont certainement plusieurs décennies, est percée. Dans le champ avoisinant, deux ânes, un mulet, paisiblement tentent de trouver quelques brins de paille pour se nourrir.

 

Après avoir arrêtée la voiture, ici pas de soucis pour les emplacements de stationnement, nous sommes seul, nous nous dirigeons vers la porte. Derrière, déjà les chiens aboient, entraînant dans ce « système d’alarme » efficace, les nombreux autres chiens de ce groupe d’habitation. Brahim pousse la porte, une petite cours, quelques moutons dans un coin, des poules, un coq et devant la maison un homme âgé, (il a 70 ans environ) le père de Brahim qui se prénomme  Mohamed.

 

Raide, malgré les années et un travail difficile dans les champs qui ont usés son corps, sérieux et qui est loin de prendre notre arrivé à la rigolade, Mohammed nous accueil toutefois chaleureusement et est très heureux à la fois de recevoir la visite de son fils et de ma présence. Il nous invite à entrer, la pièce est simple, 3 m de large sur 6 m de long, dans laquelle sont installés au sol et sur le pourtour des tapis et des cousins. Il y a seulement une petite fenêtre, 80 cms par 80 cms pour ouverture ainsi que la porte. C’est suffisant pour éclairer la pièce. Le soleil monte à plus de 60° l’été (52 à l’ombre, il y a deux années), donc pour se protéger, les fenêtres sont rares et souvent petites. Nous prenons place, à terre, comme de coutume. (Pas de table, pas de chaise, pas de fauteuil, ici on n’a pas les moyens de s’offrir tout cela) Et rapidement, arrivant de dehors, (la cuisine est souvent située dansces maisons en terre, dans une pièce attenante, domaine des femmes) une personne âgée, sa femme et deux jeunes filles, deux de ses enfants encore à la maison. Elles nous apportent le thé à la menthe traditionnel, accompagné de pain, d’huile d’olive, de confiture, de gaufres paysannes, de lait et même des œufs cuits dûrs…….. un accueil traditionnel au Maroc, que ce soit à la ville ou à la campagne.

 

Les femmes se retirèrent et Brahim parle avec son père, en Arabe et en Berbère, traduisant de temps à autre certains passages de la conversation. Nous en  arrivons à ce qui nous intéresse, la description de ce que Mohamed a observé. Replacer dans le temps ce fait n’est pas évident, c’était avant la naissance de Brahim, 1er point. Se référer à des éléments de l’actualité, c’est impossible, ici le temps s’écoulait à cette époque au fils des saisons, sans que la radio ni la télévision ne viennent perturber la vie paisible de cette famille. On peut au mieux replacer l’évènement vers 1967 – 1969 et au printemps, Mohamed se rappelle qu’il s’apprêtait à ramasser le blé (ici la récolte se fait en fin avril et en mai).

 

UN OBJET MATÉRIEL AU SOL

 

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Il s’était couché la veille de son observation un peu après la tombée de la nuit ( pas d’électricité à cette époque, on vit ici au rythme du levé et du coucher du soleil) , après sa journée de travail dans les champs, à surveiller les moutons et les animaux qui ici son quasiment en liberté, allant et venant entre un petit enclos attenant à la maison, fait de pierres et de terre et la campagne environnante. Il s’était allongé dans la pièce où nous étions, sur les tapis avec sa femme. Les enfants, quant à eux dorment dans une autre pièce, sur les nattes posées à même la terre. Déjà à cette époque, Mohamed avait des chiens, deux semble t’il se rappeler. Ils dorment dans l’enclos dont les murs sont utilisés sur deux côtés pour les pièces composant l’habitation et la bergerie.

 

Vers 2 h 00 du matin, les chiens aboient longuement, ce qui réveille Mohamed. Comme les chiens persistent à aboyer, il se lève et sort dans la cours. Ils tentent de rassurer les chiens car il ne voit rien d’anormal, mais ces derniers continuent à aboyer, tout en courant sans cesse et rapidement dans le patio.

 

Devant cette insistance Mohamed se dirige vers la porte qui donne sur la piste. Il sort, fait quelques mètres à droite, puis à gauche, il observe. Rien d’anormal. Les chiens ont-ils vu un chat, un autre animal sauvage, c’est sa conclusion et il rentre dans la cour, tentant de calmer les chiens. Ils se taisent durant quelques minutes, mais une fois que Mohamed est rentré dans la chambre, ils recommencent à aboyer. Mohamed a alors l’idée de regarder par la fenêtre qui donne sur le derrière de la maison, la face opposée à la porte de sortie sur la piste, juste par sécurité, pour vérifier s’il ne voit personne sur ce côté de la maison.

 

Là, surprise, la lune éclairant assez bien la campagne (mais ce n’était pas « l’éclairage maximum » de la lune précise-t-il, en conséquence ce n’était pas la pleine lune et on ne voyait donc pas dans les meilleures conditions.) il aperçoit une masse sombre, qui brille légèrement comme si c’était de l’aluminium, mais un aluminium assez sombre, comme s’il avait déjà vieilli. Cette masse était grosse comme « une Fiat familiale », mais toutefois de forme « ronde et allongée ». Je note un maximum d’informations, traduites par Brahim, sur un bloc à l’aide d’un stylo. Je propose à Mohamed de me faire un croquis de l’objet. D’un geste de la main, il me fait comprendre que « non ». Je regarde Brahim qui me dit : « mon père ne sait pas écrire, ni lire et n’a jamais tenu de sa main un stylo. D’ailleurs, dans la maison, il n’y en a pas …. »

 

Je dessine alors grossièrement plusieurs formes, entre le rond et l’ovale, y mettant même des « carrés », me souvenant de cas de ce type. Il me désigne alors une forme ovale, relativement allongée, en conséquence plus allongé que l’observation d’un ovni à terre, de forme ovale mais avec une sorte de coupole, un peu comme à Valensole en 1967. Toutefois, tout ceci après plus de 40 années, ne peut être qu’approximatif, Mohamed, n’ayant pas évoqué cette histoire depuis au moins 20 ans, voir plus !

 

Et comment s’était-il posé à terre ? Sur des pieds, la masse ovale était-elle directement sur le sol composé ici de terre et de beaucoup de pierre ? Mohamed ne se souvient plus très bien, il réfléchit, il décrit l’objet comme étant à un peu prés 1 m du sol, posé sur une « sorte de tonneau » très sombre. Je traduis cela par un pied central qui ferait la grosseur d’un tonneau de 200 l, ainsi qu’il me confirme, d’un métal (ou autre ?) de couleur sombre, plus sombre que l’objet. Hauteur un mètre environ pour une largeur apparente de 70 cms.

 

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Par comparaison avec un véhicule de type Berline, l’objet ne devait pas avoir une longueur supérieure à 5 m pour une hauteur de 2 m au point central de l’objet.   Hauteur estimée et confirmée par le témoin, de la masse ovale, ce qui fait une hauteur maximal de 3 m à partir du sol.)

 

En regardant par la fenêtre, je me replace dans les conditions de l’observation, le sol est parsemé de nombreuses pierres, toutefois certains endroits, n’en comporte pas ou peu. La distance : on situe l’objet entre 80 et 120 m de la maison, du champ de vision par la fenêtre. En se replaçant sur les lieux mêmes, le témoin compte tenu de l’ancienneté de l’observation, ne peu situer à 10 ou 20 m près, l’endroit préci ou se trouvait posé l’objet. 

 

L’objet ne présentait aucune porte, aucun hublot, aucun dôme et était parfaitement ovale, brillant seulement très légèrement. Il se détachait très bien malgré la nuit, car l’horizon est vide, pas ou peu d’arbres ou arbuste, des champs de blé et de légères collines à quelques kilomètre.

 

UN PERSONNAGE ÉTRANGE SE DIRIGE VERS L’OBJET

 

Ce qui a paru par contre le plus étrange, c’est que se dirigeait vers l’objet, un personnage qu’il assimila à des créatures dont on parle dans le coran, des Djinns qui viennent de l’au-delà, passent, disparaissent comme s’ils devenaient soudainement invisibles. Le personnage avait la grandeur d’un enfant de 15 ans, traduisons, pour ici, un enfant d’un mètre trente environ. Il était « maigre » et se déplaçait sur ses deux jambes. Il avait deux bras qui se balançaient semble-t-il le long du corps et une tête qui lui a parue énorme. Compte tenu de la faible intensité lumineuse, de la nuit, il ne peut détailler plus cet être, pour lui, seulement une silhouette noire qui se déplaçait, venant de notre maison et se dirigeant vers l’objet. Compte tenu de l’apparence de la créature, les vêtements étaient certainement peu épais, voir collants et n’avaient aucun rapport avec un scaphandre, une combinaison de cosmonaute, voir un gros manteau de laine !......

 

Il était alors à environ 5 - 6 m de l’objet, lorsqu’il le voit, il avançait en sa direction et une fois arrivé à deux mètres, il l’a alors contourné l’engin par la gauche. Il a alors à ce moment-là disparu derrière l’objet. Sa vitesse de déplacement était d’une allure normale de marche. Il s’attendait à voir apparaître à l’autre extrémité de l’objet, cette créature, mais ce ne fut pas le cas. Il n’avait jamais vu un tel objet, il ne savait pas ce que cela pouvait être, il a pensé à un voleur. Mais l’être ne transportait rien. Les chiens quant à eux continuaient à aboyer.

 

Sa femme s’était réveillée, mais ne s’est pas levé dans un premier temps. (La durée de l’observation étant de 2 à 3 minutes, le temps qu’elle émerge, qu’elle comprenne ce que Mohamed voyait, alors qu’il ne s’affolait pas, qu’il ne lui donnait pas de détail sur ce qu’il observait, elle n’a de fait rien vu). Quant aux enfants, pas de bruit, ils devaient dormir d’un profond sommeil. Mohamed, continue à observer, ne comprend pas, mais semble comme paralysé et n’entreprend aucune action. Il est parfaitement conscient, mais reste calme car pour lui aucun danger malgré qu’il n’ait jamais vu un tel engin.

 

L’OBJET S’ÉLÈVE EN DOUCEUR

 

Il y avait au plus 1,5 à 2 minutes que l’être avait disparu derrière l’appareil, que ce dernier se mit à s’élever lentement. On peut supposer que l’être à pénétré dans l’objet par la face opposée. Je lui demande ce qu’est alors advenu du pied sur lequel il reposait : il ne se rappelle plus, mais en l’air, l’objet avait bien une apparence ovale, sans rien en dessous.

 

Il s’est élevé ainsi durant quelques secondes, puis s’est arrêté à environ une dizaine de mètres de hauteur. (Imprécision toutefois sur cette hauteur, vu qu’il estime celle-ci à au moins trois maisons (une maison de terre fait au mieux 4 m de haut, ce qui nous donne une douzaine de mètre). L’objet était bien visible, car il se détachait sur le ciel dégagé. Il est resté ainsi immobile durant deux ou trois secondes et il est parti à l’horizontal, avec une élévation toutefois constante, vers le Nord Est, longeant ainsi l’Atlas en direction de l’Ourika. Sa vitesse était relativement rapide, l’objet ayant démarré instantanément à cette vitesse rapide, sans accélérer par la suite. Il a disparu en moins de trois secondes dans la nuit lointaine.

 

Cette scène s’est donc déroulée en environ deux minutes, sans qu’a aucun moment, Mohamed ne perçoive aucun bruit, aucun souffle, aucune modification de la chaleur environnante. Le tout s’est déroulé dans un calme parfait et il ne pouvait pas entendre du fait de l’éloignement, les pas de l’être sur le sol. Seul les aboiements des chiens étaient perceptibles, mais pas au point de couvrir un bruit éventuel de l’engin, du fait que ces derniers s’arrêtaient durant quelques secondes. C’est cette situation de calme qui a fait qu’il n’a pas paniqué, qu’il a observé, s’apprêtant toutefois à sortir pour voir la scène de plus près au moment ou l’objet a commencé à s’élever.

 

Il donne en deux mots la description de ce qu’il vient de voir, à sa femme, cette dernière est debout, mais ne comprend pas grand-chose à la situation, et il sort, décidé d’aller voir sur le lieu où l’objet s’était posé s’il ne restait pas quelque chose. Mais, il ne trouve rien, il fait sombre toutefois et on ne verrait pas un petit objet de couleur foncé au sol. Après avoir regardé à l’horizon, tout autour de lui, il rentre. Le lendemain matin, il ira ànouveau sur les lieux de l’atterrissage, mais il ne trouve aucune trace, ni même une emprunte. Toutefois, il admet avoir regardé grossièrement, si une emprunte légère dans le sol, sur la poussière, dans la terre était présente, il ne l’aurait pas vue.

 

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ON EXAMINE LES FAITS

 

On examine les possibilités d’identification de cet objet. L’hypothèse de l’hélicoptère est envisagée, mais le fait qu’il n’y avait aucun bruit, à une aussi faible distance, on l’aurait entendu, on l’écarte rapidement. Il est vrai qu’à cette époque-là, Mohamed ne savait pas ce qu’était un hélicoptère, il n’en avait jamais vu. Un engin militaire secret : oui, lequel, nous sommes fin des années 60 et alors construire un tel engin qui n’émet aucun bruit, ce n’était pas réalisable. Nous ne trouvons aucune solution. La ressemblance avec les objets vus à Soccoro où à Valensole est toutefois frappante, c’est l’un des seuls points qu’on peut évoquer.

 

Le lendemain matin, la vie de Mohamed a repris, comme par le passé, il n’évoqua même pas cette affaire aux voisins, aux amis... il n’aurait pas su comment leur expliquer cela et on ne l’aurait pas cru… il a encore rêvé, Mohammed... Il n’en parlera qu’à quelques reprises, sans toutefois approfondir comme il l’a fait aujourd’hui avec nous, à certains de ses enfants. Il n’explique quant à lui, toujours pas son observation, il ne sait pas ce que c’était. Cela ne le perturbe pas, s’il a été témoin de cela, c’est grâce à la volonté d’Allah comme il nous répète… Il n’a ressenti aucun effet sur lui-même, pendant ou après l’observation et cela ne lui a causé aucune maladie... Jamais malade, il a toujours travaillé durement, dans ses quelques lopins de terre, qu’il cultive avec son mulet, ses ânes, tout comme il y a des siècles... Il fait encore à son âge chaque jour, de nombreux kms à travers la campagne, gardant son petit troupeau de montons. Ici pas de retraite, on travaille jusqu’à la mort et heureusement, lorsqu’ils le peuvent, les enfants aident un peu.

 

Déjà 14 h 30, je quitte alors Mohamed et je le remercie bien vivement du témoignage qu’il nous a apporté. Le thé à la menthe, le pain fait ici même, à la maison et tout ce que nous avons mangé fait que nous n’avons vraiment pas faim. Brahim décide de rester ici chez son père, quant moi, je reprends la piste en direction de la Route de Knine à Tahanaout, repensant constamment à cette expérience vécue au fin fond de la campagne pratiquement désertique Marocaine... Je me dis que des cas comme celui-ci, même certainement encore plus étranges, doivent exister en nombre ici au Maroc.

 

Ainsi qu’il a été promis, l’anonymat sera conservé, aucune photo prises sur les lieux et nous procédons à un photo montage pour les reconstitutions à partir de photos prises dans la région.

 

un-atterrissage-avec-la-presence-dun-humanoide-marrakech.pdf un-atterrissage-avec-la-presence-dun-humanoide-marrakech.pdf

 

Gérard LEBAT
Fondateur des Repas Ufologiques originaux.

 

Marrakech – Maroc V01 – 17 08 2012 - GERARD LEBAT – lebat1@aol.com

 

Merci Gérard Lebat pour cette belle enquête.

 

Relayé par Yves Herbo SFH 08-2012, up 10-2015

Dans OVNI/UFO
Gillest

OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 09-10-2015

Par Le 10/10/2015

OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 09-10-2015

Gillest

Soir OVNI dans le monde du 09-10-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.

Au programme de cette nouvelle édition :

l'intervention de Rémy Fauchereau de l'AEPA, Stéphane, Jack Obin, veilleurs de la région Centre.

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L'émission est en collaboration avec :

http://Sciences, Fictions, Histoires

http://ovnilanguedoc.canalblog.com/

http://www.astropleiades.fr/

http://coldevence3.com/

http://www.sceau-archives-ovni.org/

http://rallumonsleciel.e-monsite.com/

http://veritas-europe.com/

 

 

 

La page Facebook ODH Tv à liker et partager:
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 10-10-2015

Dans OVNI/UFO
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Des fragments de métal de Roswell analysés

Par Le 09/10/2015

Des fragments de métal de Roswell analysés

 

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L'artefact qui a été analysé. Taille de l'échantillon d'environ 10 mm de long. Fin fragment coupé pour les tests. (Crédit photo: Frank Kimbler)

Au cours des dernières années, le géologue Frank Kimbler a découvert une vingtaine de fragments de métal près de l'emplacement du crash allégué d'un OVNI à Roswell en 1947. Son expérience dans le domaine, et son succès à trouver des objets là, a conduit à son apparition récente sur les canaux de National Geographic (NatGeo) qui montrent les Chasseurs d'Ovnis (émission TV).

Avec l'aide du Roswell International UFO Museum and Research Center, Kimbler a été en mesure d'avoir l'analyse isotopique effectuée sur l'un de ses fragments de métal de Roswell en 2010. Kimbler expliqué aux journalistes de Open Minds TV que les résultats ont montré que " soit le laboratoire a fait une erreur d'analyse ou cette matière n'est pas de la Terre ". Ben McGee, un chercheur et membre de l'équipe des Chasseurs d'Ovnis, a expliqué dans un blog de NatGeo ce message :

Quand il a été soumis à un test initial, les isotopes de magnésium présents dans l'un des fragments de métal de Kimbler ont semblé indiquer une empreinte digitale non-isotopique terrestre. Toutefois, sans autre épreuve, ces résultats pourraient aussi avoir été le résultat de la variabilité naturelle et statistique dans le processus analytique en laboratoire. Ainsi, alors que finalement la recherche n'a pas été concluante sur une découverte extraterrestre sans plus d'analyses, en communiquant l'idée d'isotopes élémentaires et leur rôle pouvant aider les scientifiques qui déterminent actuellement les matériaux géologiques d'origines extraterrestres, fait de ce segment une question importante !

Et Kimbler, qui enseigne la géologie et les Sciences de la Terre à l'Institut militaire du Nouveau-Mexique, est d'accord avec McGee. Il sait que la bonne science nécessite des tests complémentaires avant de tirer des conclusions.

Kimbler a dirigé l'équipe des Chasseurs d'Ovnis à travers la zone où il a eu le succès de trouver des fragments de métal dans le passé. Il a été heureux de participer à l'émission parce que, comme il le prétend, NatGeo a accepté de financer une analyse supplémentaire effectué sur son débris métallique inhabituel. Mais l'analyse n'a pas eu lieu. Dans une récente interview sur le site web Spacing Out !, Kimbler expliquait :

" National Geographic ne veut pas suivre la chaîne de sécurité des protocoles pour ça. Ils ont dit qu'ils ne pouvaient pas se permettre de me commanditer pour faire faire l'analyse. Je ne voulais pas leur donner un morceau de la matière à le faire détenir dans leur bureau pendant des journées entières, voire des semaines ou des mois... Ils ont dit que le laboratoire avait indiqué qu'ils avaient besoin d'un mois pour faire le test, et je sais que ce n'est pas vrai. Il leur faudrait peut-être un jour pour le calibrage, et un jour pour exécuter le test. Ca ne prend pas un mois pour le faire. "

 

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Frank Kimbler (R) avec James Fox et Ryder de Chasing ovnis. (Crédit: National Geographic Productions de pétrole Chaînes / Snake)

Mais Kimbler est impatient de faire des tests supplémentaires sur son débris métallique, de sorte qu'il a fait un compromis. Il a dit, " Si nous pouvons signer des papiers et s'il y a des personnes qui peuvent signer à ce sujet... Je serai plus que ravi de le faire, mais devinez quoi? Ils ne le feront pas. "

Son expérience dans l'émission l'a laissé déçu que " tout cet aspect scientifique soit tombé à l'eau. " En tant que scientifique, il dit qu'il n'est pas investi dans un résultat ou un autre. Il explique : « De toute façon, je voulais un peu de science bien faite."

Kimbler a bon espoir qu'une autre émission sera présentée pour rendre obligatoire le test de contrôle de se produire, et de donner aux métaux l'attention qu'il  sent qu'ils méritent.

Par Jason McClellan, traduction fr Yves Herbo

 

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Visionnez l'entrevue complète avec Frank Kimbler ci-dessous :

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