Articles de yvesh
OVNIs : ODH interviews 62
OVNIs : ODH interviews 62
La 62ème édition d'ODH Interview vous est présentée par Gilles Thomas.
L'invité est Gaëtan.B, président du REUB (réseau d'enquêteurs ufologique Belges). Il vous parle de ses débuts en ufologie, son parcours et ses enquêtes.
http://www.facebook.com/reubasbl.ufo
Pour mémoire, l'interview 61 était celle-ci : ovnis-odh-interviews-61.html
L'émission est relayée par :
http://www.sciences-fictions-histoires.com
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Yves Herbo Relai-Sciences-F, H, 26-08-2015
OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 20-08-2015
OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 20-08-2015
Soir OVNI dans le monde du 20-08-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
Les émissions "Matin Ovni" deviennent durant l'été, "Soir Ovni".
Ainsi, nous vous partagerons l'actualité ovni dans le monde le soir (et non le matin) avec l'interview d'ufologues sur les méprises et leurs souvenirs de veillées.
Avec l'intervention de Gaëtan.B d'UFOwallonia et Marilyne du BCDV.
L'émission est en collaboration avec :
http://Sciences, Fictions, Histoires
http://ovnilanguedoc.canalblog.com/
http://www.sceau-archives-ovni.org/
http://rallumonsleciel.e-monsite.com/
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 20-08-2015
Une partie de la stèle d'un Nouveau Royaume découverte en Egypte
Une partie de la stèle d'un Nouveau Royaume découverte en Egypte - 2012 - MAJ 08-2015
Une partie de la stèle d'un Nouveau Royaume listant des offrandes aux anciens dieux égyptiens a été trouvée le 4 septembre 2012 par hasard à Matariya, au nord du Caire (identifiée comme Heliopolis).
Lors de travaux de construction effectués par le ministère des Habous dans la zone du marché d'Al-Khamis, qui est à côté du site archéologique de Matariya, les travailleurs sont tombés sur une partie d'une stèle égyptienne antique.
Le Ministre d'État aux Antiquités, Mohamed Ibrahim, a expliqué que l'artéfact en pierre nouvellement découvert est la section droite d'une stèle d'un Nouveau Royaume, sur laquelle est affichée une liste complète et illustrée des différentes offres aux divinités égyptiennes antiques. Une collection d'oies, des légumes, des fruits, du pain, et du bétail sont représentés. Des fleurs de lotus sont également représentées, ainsi que de la poésie au culte religieux sous forme hiéroglyphique.
Bien que le cartouche du propriétaire ou du règne de quand cela a été gravé n'a pas encore été identifié sur la stèle, Ibrahim dit qu'il serait plus révélateur de l'histoire de cette zone mystérieuse, qui comprend des monuments qui vont du début pharaonique à l'époque ptolémaïque.
Mohamed El-Beyali, chef du département de l'Egypte ancienne au ministère d'Etat aux antiquités, a déclaré que les premières études sur la stèle exposent qu'elle peut être datée de la fin de la 18e ou au début de la 19e dynastie.
Il a ajouté que Matariya est un site archéologique très important, car il était un centre pour le culte du dieu soleil Aton (privilégié par le pharaon Akenaton) et c'était la capitale de l'Egypte au nord. Le site comprend un obélisque de Senousert I, une collection d'anciennes tombes égyptiennes et ptolémaïque, et les restes d'une des plus anciennes universités existantes. Une collection de colonnes de l'époque de Ramsès II a également été trouvé.
Tous les travaux de construction ont été mis en attente afin de fouiller la zone, pour révéler plus de son patrimoine.
Nevine El-Aref pour http://english.ahram.org.eg/NewsContent/9/40/51983/Heritage/Ancient-Egypt/New-stone-inscription-shows-list-of-offerings-to-a.aspx
MAJ 08-2015 : Ville antique d'Heliopolis, située à El Matariya, faubourg nord du Caire. Les fondations d'une chapelle royale liée au Temple Solaire de Héliopolis découvertes.
Crédit : MSA
L'équipe germano-égyptienne dirigée par Dietrich Raue (Universität Leipzig) a identifié les fondations d'une chapelle royale à proximité du Temple Solaire de Héliopolis (el-Matariya, un faubourg du Caire). La chapelle, la première à être trouvée dans le sanctuaire, date du règne de Nectanebo I (de la Dynastie XXX., 380-362 avant JC) et est composée de blocs de basalte avec des inscriptions hiéroglyphiques. La structure a été mise en relation avec une statue de Merenptah (1212-1202 av JC) faisant une offrande à un dieu. En raison du niveau élevé de l'eau dans le sous-sol, cependant, l'excavation ne sera achevée que dans la prochaine campagne de Septembre 2015 quand, grâce à l'utilisation du pompage de l'eau, ils parviendront à trouver le reste de la chapelle.
Traductions par Yves Herbo - S,F,H, 09-2012, 08-2015
Ovnis et Conscience, 3 des auteurs en parlent
Ovnis et Conscience, 3 des auteurs en parlent - ODH Interview 63
P. Solal - ODHTv
Cette vidéo a été filmée, réalisée et produite par Gilles Thomas de ODHTv
Eric Zürcher, créateur du CRUN (Centre de Recherche Ufologique Niçois), essayiste, auteur du livre « Les Apparitions d’Humanoïdes » (A. Lefeuvre, 1979)".
Fabrice Bonvin, ufologue suisse.
Philippe Solal, Professeur agrégé de Philosophie
Deux grandes énigmes de la science, la Conscience et les OVNIS, se rencontrent dans cet ouvrage collectif rédigé par des auteurs de premier plan qui, pour la première fois, entrecroisent leurs discours. Des scientifiques issus des sciences dures (physique) et des sciences humaines (psychologie, ethnologie), un philosophe des sciences, des ufologues-enquêteurs et des témoins analysent le phénomène OVNI à la lumière de ces deux énigmes et à partir de leurs domaines de compétences respectifs.
Thèmes abordés :
- Les OVNIs et la Conscience
- La physique de l'information en rapport avec les manifestations OVNIs
- L'information comme essence de la réalité
- Un nouveau paradigme pour l'ufologie et les "faits maudits"
- Concepts de "mondes conscienciels", "facteur exogène" et d'"eschatologie laïcisée"
Interview organisée par le CRUN (centre de recherche ufologique niçois).
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Document relayé par Sciences, Fictions, Histoires.com
Yves Herbo Relai, Sciences, Fictions, Histoires, 18-08-2015
La Planète X pourrait-elle être la 5ème planète géante ?
La Planète X pourrait-elle être la 5ème planète géante ?
Toujours à la recherche de la planète X, des chercheurs ont calculé que notre système solaire aurait pu avoir une cinquième "géante de gaz", qui a disparu après une collision avec Neptune, ou une éjection par les forces gravitationnelles.
Selon ces experts, notre voisinage planétaire pourrait avoir eu un «membre» supplémentaire, qui a été expulsé de son orbite à cause d'une collision avec Neptune. Cette planète aurait pu être une cinquième géante de gaz et, selon une nouvelle théorie, la preuve de sa présence passée existe encore dans tous les corps retrouvés aux limites du système solaire.
David Nesvorny, un astronome réputé au Southwest Research Institute à Boulder, Colorado, pense que les quatre géantes de gaz que nous connaissons aujourd'hui, Jupiter, Saturne, Neptune et Uranus ont perdu un membre de leur groupe, qui a disparu lorsque le système solaire était très jeune. Sa théorie va être publiée dans le numéro de Septembre de l'Astronomical Journal. Selon la théorie, l'orbite d'un amas de corps glacés dans la ceinture de Kuiper, connu comme le «noyau», suggère que Neptune a été forcée de quitter son orbite initiale en raison d'un impact ou d'une interaction significatifs avec un grand corps. " La ceinture de Kuiper est la clé ", a déclaré Nesvorny à Science. " Vous voyez les structures là-bas et essayez de comprendre quel type d'évolution les a affecté "
Les chercheurs affirment que le "noyau" de corps glacés a été une énigme pendant une longue période, parce que, contrairement aux autres objets de la ceinture de Kuiper, ils tournent autour du soleil de la même manière que les planètes intérieures, ne gardant qu'une distance étroite entre les uns et les autres.
Une vue de la ceinture de Kuiper avec quelques unes de ses planètes naines ainsi que la trajectoire de la sonde New Horizons, qui est en train de la visiter après son passage près de Pluton. Le robot se dirige actuellement vers l'un des corps de la ceinture, mesurant entre 25 et 55 kilomètres de diamètre, qu'il atteindrait vers 2019... le "noyau" de concentration de corps décrit dans cet article ne figure pas dans ce dessin. © Nasa, Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory, Southwest Research Institute, Alex Parker
Nesvorny a utilisé des simulations informatiques pour faire reculer le temps de 4000 millions d'années (ou 4 milliards) afin de découvrir comment ces petits objets sont parvenus à être dans cette orbite inhabituelle. En effet, la ceinture de Kuiper est à peu près comme la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter, sauf qu'elle est derrière la dernière grosse planète connue, est 20 fois plus large et beaucoup plus massive. Les résultats de cette dernière simulation ont montré que les corps glacés qui composent le noyau ont été une fois capturés par la gravité de Neptune, qu'ils étaient ses satellites à un moment donné.
Ce n'est pas la première fois que l'astronome parle de sa cinquième planète, puisqu'il a déjà publié des premiers calculs il y a quelques années, et avait même affirmé que, sans une cinquième géante de gaz, Vénus et Mars auraient été détruites, mais sa dernière publication a venir, ses calculs et ses nouvelles modélisations semblent très solides et correspondent aussi a toute une série de données liées concernant le Système Solaire. En effet, afin d’expliquer plusieurs caractéristiques de notre Système Solaire, les astro-physiciens en sont venus à proposer deux scénarios faisant la part belle à ce qu'ils ont appelé des migrations planétaires : le modèle de Nice et le Grand Tack. Ce deuxième scénario conduit même à penser que notre Soleil aurait avalé plusieurs super-Terres peu de temps après sa naissance...
Migrations : Comme les orbites de Jupiter (vert), Saturne (orange), Neptune (bleu foncé), et Uranus (bleu clair) ont changé, les interactions gravitationnelles ont rejeté les corps glacés dans la région connue comme la ceinture de Kuiper. Southwest Research Institute
Selon les calculs de Nesvorny, Il y a environ 4 milliards d'années, lorsque Neptune a été positionnée à près de 4.200 millions de kilomètres du soleil, en se déplaçant vers sa position actuelle (env. 4.500 millions de km), son orbite a eu un changement soudain et radical, l'éloignant de 7.5 millions de kilomètres du soleil brusquement. Ce «saut» a causé l'effet que plusieurs satellites de Neptune ont été libérés, passant la frontière du système solaire, et enfin formant le "noyau" de corps glacés dans la ceinture de Kuiper. Selon Nesvorny, une seule chose pourrait provoquer un tel changement drastique, libérant ses satellites piégés en orbite, c'est un autre champ gravitationnel massif, celui d'une planète géante...
Depuis, les géantes de gaz qui se trouvent dans notre système solaire n'ont jamais "interagi" avec l'orbite de Neptune, une autre planète doit donc avoir existé dans le système solaire il y a des millions d'années, responsable de la variation anormale de l'orbite de Neptune. Nesvorny pense que c'est la soi-disante «Planète X».
Il est encore difficile de savoir exactement ce qui est arrivé à cette «cinquième géante de gaz» ou planète X, mais si les calculs de Nesvorny sont exacts, il est très probable que cette planète ait été expulsée de la famille du système solaire, hors du système ou a de grandes distances...
Sources: Southwest Research Institute, www.ewao.com, http://www.ufodisclosure.net, Futura-sciences
Yves Herbo : Après réflexion et questionnement interne pour savoir pourquoi mon attention a été attirée par cette information (car tous mes articles font principalement appel à l'instinct et une attirance non préméditée à l'avance sur son sujet), je me suis rappelé d'un vieil article de 2012 dont la correspondance et le lien ici me paraît sinon évident, toutefois possible compte tenu du temps écoulé depuis cet événement. Certains ont réagi en pensant immédiatement à "Nibiru" ou autre planète mythologique qui reviendrait par cycles perturber notre système solaire, ou que cet article scientifique commençait effectivement " à préparer le public au fait que "Nibiru" existait bel et bien et avait été découverte "... mais la période modélisée (et les migrations planétaires se déroulant très tôt en principe dans la vie d'un système stellaire), j'ai plutôt pensé à cette planète repérée donc fin 2012. Une planète géante errante (en apparence), située (environ car elle doit se déplacer aussi) à 100 années-lumière du Soleil et ne possédant apparemment pas d'étoile pour tourner autour. Notre cinquième planète géante éjectée de notre système solaire il y a 4 milliards d'années pourrait-elle être cette planète isolée, précisément ?
Il est possible que de futurs calculs puissent en faire la preuve... c'est en tout cas une idée comme une autre... mais, après tout, cette 5ème planète est peut-être aussi toujours aux confins de notre système solaire, cachée dans ou par le fameux nuage de comètes de Oort ou même entre notre système sollaire et notre plus proche voisine... : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/astronomie-espace/une-exoplanete-errante-reperee-a-100-annees-lumiere-de-la-terre.html
Autres articles sur la "planète X" :
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/la-fameuse-planete-x-enfin-decouverte.html - 2016
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/astronomie-espace/planete-x-hypothese-renforcee.html - 2016
Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 17-08-2015
Les Tardigrades : des aliens parmi nous ?
Les Tardigrades : des aliens parmi nous ?
MAJ en bas
Ce sont des animaux qui invalident en partie la théorie de l'évolution de Darwin... mais sont-ils d'origine terrestre ? Ils sont en contradiction avec les idées de Darwin tout simplement parce que leurs capacités et systèmes de protections naturels ne leur servent à rien dans leur milieu naturel !
Ce sont les Tardigrades, un groupe complet d'animaux très répandu sous toutes les latitudes, mais peu connus du public, et qui posent bien des questions aux spécialistes. Ils sont ce qu'on appelle des extrêmophiles : ils peuvent résister à des conditions de températures extrêmes sans aucun problème, à certaines radiations et au vide spatial. Pire, ils peuvent "ressusciter" après avoir longuement séché, de nombreuses années plus tard...
Le 14 septembre 2007, une fusée russe satellisait une capsule sphérique dans laquelle s'entassaient 43 expériences scientifiques. L'une d'elles concrétisait un projet un peu fou : vérifier si quelques animaux, directement exposés au vide spatial pourraient survivre. On sait que des bactéries en sont capables mais il semblait impossible que des animaux puissent résister aux deux grands dangers de l'espace, le vide, qui fait bouillir l'eau interne, et les rayonnements ultraviolets, qui démolissent les chromosomes.
Pourtant des biologistes suspectaient un groupe d'animaux étonnants, les tardigrades, de pouvoir relever le défi. On savait déjà qu'ils peuvent supporter un vide semblable à celui de l'espace et des zoologistes russes ont affirmé que certains avaient survécu à une sortie dans l'espace (rapporté par Guillaume Lecointre et Hervé Le Guyader dans Classification phylogénétique du vivant, éditions Belin). Proches des arthropodes (donc des insectes et des crustacés), les tardigrades sont bien plus discrets, avec une taille variant entre 50 microns et 1,2 millimètre.
Olivier Geoffroy est un spécialiste de ces animaux : " Le tardigrade peut survivre à une plongée dans l'hélium liquide à -272°C, tout près du zéro absolu. Il résiste à une température pouvant aller jusqu'à +151°C. On peut leur appliquer des pressions de 1.000 atmosphères, et ils supportent de fortes doses de rayonnements énergétiques, ultraviolets ou X. Mais les chercheurs ne parviennent pas à comprendre en quoi ces caractéristiques sont utiles à l'animal dans son milieu naturel terrestre." (c'est ici qu'ils contredisent la théorie de Darwin sur l'évolution des espèces... sur Terre).
Jean-Luc Goudet, pour Futura-Sciences, explique en quoi consistait l'expérience Tardis (Tardigrades in space) : "Le Suédois Ingemar Jönsson et ses collègues de l'université de Kristianstad, ont fait placer des boîtiers sur une plate-forme Biopan-6, réalisée par l'Esa, satellisée à 270 kms d'altitude pendant douze jours. Des Tardigrades de quatre espèces différentes, en état d'anhydrobiose, étaient disposés dans quatre séries de ces boîtiers ouverts sur l'espace. Un groupe était protégé de toutes les radiations, deux autres recevaient soit les UV-A soit les UV-B, et le dernier ne disposait d'aucune protection." http://tardigradesinspace.blogspot.com/2007_09_01_archive.html
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