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Les cités englouties de Khambhat et Dwarka

Par Le 18/07/2015

Les cités englouties de Khambhat et Dwarka - 2012 - MAJ 07-2015

dwarka1.jpgA 20 mètres de profondeurs, les ruines de la cité de Dwarka

Les océanographes du National Institute of Ocean Technology (NIOT) de Madras ont fait une découverte de la plus haute importance. Ils mesuraient les niveaux de la pollution marine dans le golfe de Khambhat (ex-Cambay), enregistrant des images acoustiques du fond de l'océan quand, plusieurs mois plus tard ils se rendent compte qu'ils ont obtenu des images des ruines d'une immense cité, engloutie à 40 mètres sous le niveau de la mer. Janvier 2002, l'équipe du NIOT était en mesure de faire des révélations.

La ville engloutie partage des similarités frappantes avec les sites de la civilisation de l'Indus [2300-1700 av. J.-C.].

Les ruines s'étendent sur 9 km le long des rives d'un ancien fleuve, et l'on peut distinguer :

Les vestiges d'un barrage,
Un édifice, de la taille d'une piscine olympique, aux marches effondrées, rappelant le Grand Bain de Mohenjo-Daro,
Un monument rectangulaire de 200 x 45 m est aussi vaste que l'acropole découverte à Harappa,
Un autre édifice, sorte de grenier à blé, fait de briques de boue, d'une longueur de 183 m.,
Des rangées de constructions rectangulaires qui s'apparentent aux fondations de maisons en ruine,
Un système de drainage,
Des routes.

L'équipe a remonté des outils en pierre polie, des ornements et des figurines, des débris de poteries, des pierres semi-précieuses, de l'ivoire et des restes fossilisés humains.

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Des échantillons de bois fossilisé furent envoyés, pour datation à deux laboratoires indiens : L'un proposa 5500 av. J.-C., l'autre 7500 av. J.-C.. Cette datation ferait de Khambhat le site le plus ancien découvert en Inde. Cette découverte pourrait marquer la fin de la théorie selon laquelle l'urbanisation se propage de l'Asie depuis l'ouest vers l'Indus.

Cette datation suscita d'intenses controverses. Selon R. Meadow, spécialiste en archéologie de l'Asie du Sud, un site néolithique dans le golfe de Khambhat serait "tout à fait en adéquation " avec les développements à Mehrgarh. Mais il est prématuré d'affirmer qu'il s'agit de la cité la plus ancienne. L'archéologue G. Possehl signale qu'il n'y a aucune raison de croire que le morceau de bois fossilisé appartient aux ruines de l'ancienne cité, étant donné les forts courants marins de la région, il pourrait provenir d'ailleurs. L'équipe de NIOT a reconnu le bien-fondé de ces critiques et a assuré que d'autres objets seraient soumis aux méthodes de datation.

Il s'agit aussi de comprendre comment cette cité a été engloutie et comment elle s'est retrouvée à 30 km de la côte. Harsh Gupta, géologue, pense que c'est un gigantesque tremblement de terre qui a causé la destruction de la ville. On se trouve dans une zone à fort risque sismique, et le tremblement de terre de 2001 à Bhuj a montré la vulnérabilité de la région à ces phénomènes. Toutefois, la priorité est d'établir de manière définitive l'âge de la cité engloutie et si ces recherches dans le passé de Khambhat sont approfondies, cette découverte peut se révéler la plus excitante de ce siècle.

D'après Raj Chengappa & Anm Ram in Courrier international n°610

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Les derniers résultats et controverses :

- Certes plusieurs débris manufacturés remontés ont été datés à plus de 7000 ans d'existence, la controverse provient surtout du fait que ces débris ont été dragués sur le fond et remontés, et non étudiés sur place de façon archéologique puis remontés. Cela suffit à certains pour dire que ces objets antiques ne proviennent pas obligatoirement de là, qu'ils ont pu être jetés ou atterrir là, par hasard ou volontairement... : 

" Une enquête de suivi a été menée par NIOT en Novembre 2001, qui comprenait le draguage pour récupérer des objets et des numérisations au sonar pour détecter des structures.  Parmi les objets récupérés se trouvaient un morceau de bois, des  tessons de poteries, des pierres altérées initialement décrites comme des outils à main, des os fossilisés, et une dent. Les artefacts ont été envoyés à l'Institut de géophysique national de recherches (NGRI) à Hyderabad, en Inde, au Birbal Sahni Institut de Paléobotanique (BSIP) à Lucknow, en Allemagne, et le Laboratoire de recherche en physique à Ahmedabad, en Inde. Le morceau de bois, daté grâce au carbone inclu, a un âge de 9.500 ans

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NIOT est retourné pour complément d'enquête dans le golfe de Octobre 2002 à Janvier 2003. Au cours de ces fouilles Niot a  déclaré avoir trouvé deux paléochenaux flanquées rectangulaires et carrées en sous-sol caractéristiques. Des artefacts ont été récupérés par des moyens de draguage, y compris des tessons de poteries, des microlithes, de l'acacia et des restes de torchis et de matériaux de sols. Ces artefacts ont été envoyés pour leur datation dans les laboratoires de l'Université de Manipur et de l'Université d'Oxford. L'acacia et les restes de torchis sont mélangés d'argile disponibles localement, roseau, paille, poteries, et des morceaux de coquillages d'eau douce. Le torchis montre également la preuve d'une combustion partielle

citekhanbhat.gifReconstitution de la cité engloutie D'après Nilanjan Das
Indian Today


Le travail le plus récent dans le golfe du Khambhat a eu lieu à partir de Octobre 2003 à Janvier 2004 et a été principalement une étude géologique. Les techniques utilisées au cours de cette enquête comprennent le relevé bathymétrique du sous-sol de l'endroit, le balayage latéral de l'endroit, et son relevé magnétique. 

Une des principales conclusions de cette enquête concerne l'orientation des dunes de sable sur le site. Les chercheurs de NIOT affirment qu'il y a deux séries de dunes visibles sur le site ; Un ensemble est d'une caractéristique naturelle formée par les courants de marée tandis que l'autre a été formé par rapport à des caractéristiques structurelles sous-jacentes.

Une des principales controverses qui entourent la GKCC est la pièce datée de bois. Le Dr DP Agrawal, président du groupe du paléoclimat et fondateur de l'installation d'essais au Carbone 14 en Inde a déclaré dans un article paru dans le magazine Frontline que la pièce a été datée à deux reprises, dans des laboratoires séparés.

dwarka2.jpgreconstitution

Le NGRI à Hyderabad en Colombie-Britannique a retourné une date de 7.190 ans et le BSIP à Hanovre a retourné une date de 7.545-7.490. Certains archéologues, Agrawal en particulier, disent que la découverte d'une pièce ancienne de bois n'implique pas la découverte d'une ancienne civilisation. Agrawal fait valoir qu'une pièce de bois est commune à trouver, étant donné qu'il y a 20.000 ans la mer d'Arabie était de 100 mètres plus bas que son niveau actuel, et que l'augmentation progressive de la mer en niveau a submergé des forêts entières.

Un autre problème sont les tessons trouvés sur le site lors des fouilles diverses. Les chercheurs décrivent comme indicatif qu'ils soient faits et tournés à la main selon les traditions de la poterie. Le reste trouvé sont de simples morceaux avec des petites lignes incisées. Tous les restes trouvés à ce jour appartiennent à de petits morceaux miniatures de poteries. Une partie de la controverse, c'est que ces pièces pourraient être naturelles ; vu la petite taille de la collection d'artefacts, il est difficile d'analyser de manière concluante que ce soit de la poterie. Mais si la poterie est authentique, les chercheurs estiment qu'elle devrait montrer certaines similitudes avec la poterie harappéenne, qui est généralement rouge et noir et estampillée avec des phoques. Basé sur la collection de poteries en cours, une continuité stylistique avec la civilisation de l'Indus n'est pas évidente.

Alien Theory S02E03 - Les cités englouties (FR) HD

On parle de Khambhat et de Dwarka à partir de la 28ème minute de ce très intéressant documentaire

Dans une présentation de History Channel "Ancient Aliens", le 11 Novembre 2010, des anciens théoriciens des astronautes et l'archéologue sous-marin ont présenté des preuves qu'une civilisation qui a coulé il y a des milliers d'années avant voir les êtres humains actuels vivant sur la planète, aurait pu éventuellement construire les ruines des ancienne villes de Khambhat et Dwarka, qui dit-on, serait  le lieu d'habitation ancien du Seigneur Krishna, qui parmi beaucoup de dieux est soupçonné être un alien. Une légende raconte que, après une grande bataille avec des vaisseaux spatiaux, Krishna est finalement reparti de la Terre après que sa Dwarka chute dans la mer. Dans ce film, il est affirmé que des artéfacts ont été datés à 35.000 ans et que donc la cité aurait entre 35.000 et 9.000 ans...

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Ce qui était autrefois considéré comme de la mythologie pourrait être changé par la découverte d'un ancien contrebas de l'Inde, qui pourrait être Dwarka. Les gens commencent à regarder les textes sanskrits anciens à la lumière nouvelle que c'est peut-être réellement des données historiques. Les ancêtres de l'Inde ont-ils assisté à une guerre entre des entités extraterrestres? S'agit-il de l'interprétation des textes de l'Inde, ancienne preuve de contact extraterrestre dans le passé de la Terre? Les descriptions des dieux en font des extraterrestres... (YH : en fait, les sous-bassements engloutis autour de l'Inde et visibles par satellites d'ailleurs, les font remonter bien plus hauts que cette carte ci-dessus, et touchent pratiquement tout le Pakistan, l'Iran et même la Péninsule arabique...)

Source (disparue !) : http://yeoldefalseflag.com/thread-the-ruins-of-gulf-of-khambhat-and-dwarka

MAJ : Rappel des autres articles du blog concernant ce sujet : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/inde-la-cite-engloutie-de-dwarka-remet-l-histoire-en-question.html

http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/la-culture-vedique-de-l-inde.html

" D'autres descriptions du site par le ministre Joshi décrivent le site comme contenant des logements régulièrement espacés, un grenier, une piscine, une citadelle, et un système de drainage... "
 

Le reportage complet de l'équipe de Ancient Explorers (VO) :

GET UPDATES & FUTURE SCREENING INVITES
Enter your email for an invite to get more information at http://www.ancientexplorers.com

Dans ce reportage, entre autres, vous pouvez voir les étranges artefacts antiques qui sont repêchés et lavés régulièrement sur les rives de la moderne Dwarka ... et ce qu'ils pourraient signifier. L'expert en astronomie Dr Narahari Achar parle des évidences qui font que Dwarka pourrait être l'une des plus anciennes civilisations de l'histoire humaine. Est-ce que Dwarka possèdait des machines volantes futuristes et des milliers d'armes nucléaires datant des milliers d'années avant le reste du monde ? Cette preuve convaincante est impossible à ignorer. Pourquoi le gouvernement indien a brusquement contraint l'équipe originale de l'excavation de Dwarka de cesser toute exploration de ses ruines sur le fond de la mer d'Arabie ?

Ce documentaire (en anglais) plus ancien nous montre des images originales de la découverte et parle de l'histoire de Krishna et des textes anciens qui sont liés à cet endroit...

Les premières publications archéologiques viennent de sortir en juillet 2015, et elles prouvent la forte présence harapéenne ! :

Asia pac regional conf underwat cult herit 155asia-pac-regional-conf-underwat-cult-herit-155.pdf (1.28 Mo)

Man environ 28 57man-environ-28-57.pdf (405.63 Ko)

Traductions partielles par Yves Herbo (c) pour Sciences, Fictions, Histoires 18-07-2015 :

Archéologie maritime du Gujarat : Côte nord-ouest de l'Inde par A.S. Gaur et Sundaresh

- Résumé :
" La preuve de l'activité maritime en Inde peut être retracée jusqu'à l'âge de bronze (3e début millénaire avant JC à la moitié du 2ème millénaire avant JC en Inde). La fouille de plusieurs sites harappéens y compris Lothal, Kuntasi, Padri, Nageshwar, Bagasra et beaucoup d'autres ont démontré de façon concluante une progression de la culture maritime au cours du troisième millénaire avant Jésus-Christ (BC). Au cours de cette période historique, plusieurs villes côtières faisaient du commerce international, y compris Bet DwarkaSomnath, Hathab, Vallabhi et Bharuch. L'activité maritime a atteint son apogée sur la côte du Gujarat au cours de la période médiévale (8ème au 14ème siècle après JC), quand les commerçants arabes dominaient l'océan Indien pendant plus d'un millénaire. Des explorations sous-marines ont été effectuées à divers endroits le long de la côte de Saurashtra et un grand nombre d'ancres en pierre ont été trouvées.
Ce document traite également de l'effet de la marée lors de l'utilisation des jetées et des points d'ancrage le long des diverses parties de la côte ouest de l'Inde. Les preuves archéologiques indiquent que les deux golfes longs de la côte du Gujarat (Golfe Kachchh et Golfe de Cambay) ont été témoins des activités maritimes trépidantes dans le passé. Les deux golfes ont des amplitudes de marée très élevées. Le Golfe de Cambay a la plus forte amplitude des marées en Inde (11 mètres). Les textes anciens tels que le Vishnu Puran et le Périple de la mer Eruthreanean décrivent vivement le marnage et ses utilisations dans la navigation. La découverte d'un grand nombre d'ancres en pierre dans la zone des marées entre la longueur de la région du Golfe soutiennent les références (antiques) ci-dessus. "

Inde ports antiques coteouest

Figure 1. Map showing archaeological sites mentioned in the manuscript along Gujarat coast (Prepared by. S.B. Chitari)  

- Introduction :
" Les activités maritimes le long de la côte du Gujarat remontent à la période harappéenne et des fouilles au Lothal (Rao 1974: 70), Kuntasi (Dhavalikar, et al. 1996: 76), Nageshwar (Hegde, et al. 1990: 152), Bagasra (Sonawane, et al. 2003: 41) et Nagwada (Bhan et Gowda 2003: 51-80) ont donné de concluantes preuves sur les pratiques maritimes au cours du 3ème millénaire av. JC (il y a 5.000 ans donc). Pendant la période historique (3ème siècle avant JC au 4e siècle après JC) une série de ports existait tout le long de la côte du Gujarat et les plus importants d'entre eux étaient Nani Rayan (Irani et Dandekar 2003: 91-97), Bet Dwarka (Gaur et Sundaresh 2003: 57-66), Dwarka (Ansari et Maté 1966), Vallabhi et Hathab (Pramanik 2004: 133-140).
Considérant que, pendant la période médiévale (8ème au 14ème siècle après JC) l'ensemble de la côte du Gujarat a eu une série de ports. La côte du Gujarat est ponctuée de plusieurs ruisseaux et rivières saisonnières qui ont facilité des ports sûrs tout au long de la côte. Les eaux autour de la côte du Gujarat sont également riches en ressources marines, comme les coquillages qui ont été utilisés comme denrées alimentaires ainsi que comme produits d'exportation. La conque a été une source d'économie majeure pour beaucoup de pêcheurs dans le Gujarat (Pota et Patel 1991: 445-450).
Les sites les plus importants des recherches archéologiques maritimes le long de la Côte du Gujarat comprennent Dwarka, Bet Dwarka, Miyani, Visawada, Somnath, Kodinar et Ghogha (Figure 1). Des brèves descriptions des résultats de ces sites sont prévue dans les paragraphes suivants."

Ancre dwarka

Figure 2. Dwarka: Composite type stone anchor (Photo by S.N. Bandodkar in 2001)  

- Dwarka
Dwarka était le premier site en Inde où l'exploration archéologique marine a commencé et des enquêtes ont continué pendant près de deux décennies (Rao 1988: 47-53; Gaur, et al. 2004: 1256-1260). Un certain nombre d'artefacts ont été découverts au cours des explorations en mer entre 3 et 16 m de profondeur d'eau. Plusieurs structures de pierre ont été remarquées à Dwarka et elles sont de différentes formes et tailles. Quelques
structures semi-circulaires sont partiellement intactes et sont assemblées avec du matériau dur. Les structures semi-circulaires ont été construites en utilisant des blocs en forme de L et avec des emplacements pour des chevilles (Gaur, et al 2008:. 16). Outre les blocs semi-circulaires, un grand nombre de blocs rectangulaires ont été remarqués dans cet endroit. Ils sont dispersés sur une vaste zone et ne suivent pas de plan régulier. Ces blocs sont trouvé à proximité des structures semi-circulaires, ce qui indique que ceux-ci pourraient avoir fait partie d'une structure plus vaste. Les structures circulaires et semi-circulaires sont sans doute des bases de piliers et les blocs rectangulaires et carrées sont habillés d'une structure semblable à une jetée principale qui a couru depuis la terre jusque dans l'eau et a continué jusqu'à 300 m au large. Hasmukh Sankalia (1966: 10) a mentionné que "Sayajirao Gaekwad de Baroda avait construit un quai le long de la rivière Gomati et un lieu d'attache sur le côté opposé, avec d'énormes piliers de pierre pour faciliter l'amarrage des navires ". Il est tout à fait probable que les restes se trouvant sur les régions côtières et extracôtières sont les restes du même quai. La présence d'ancres en pierre qui traînent le long de ces structures soutient également cette hypothèse.
Avec des structures de pierre, un grand nombre d'ancres de pierre de différentes formes et dimensions ont été remarquées entre la zone de balancement des marées et 16 m de profondeur d'eau, la concentration d'entre elles étant entre 6 à 8 m de profondeur d'eau (Sundaresh, et al. 1999: 229-252). (...) "

- Bet Dwarka
Bet Dwarka est une île située dans Okhamnadal et à l'entrée du golfe de Kachchh. La région est également appelée le golfe du Barake dans le Guide de mer grecque, le Périple Maris Erythraei (Schoff 1912: 38). Cependant, Ptolémée a mentionné Barake comme une île dans le golfe du Kanthi, qui a été identifié comme le golfe de Kutch (McCrindle 1885: 36). Durant le 17ème siècle avant JC, les derniers harappéens avaient établi leur site sur la partie nord-ouest de l'île (Gaur et Sundaresh 2003: 57-66). Ils ont utilisé les ressources marines riches disponibles autour de l'île tels que la variété des poissons et des coquillages (Gaur, et al. 2005: 941-46). Un grand hameçon (Gaur et Sundaresh 2004: 512-14) et des artefacts de coquillages sont le témoignage de la description précèdente. Les rares dépôts de l'habitation suggèrent que le site a été abandonné après quelques siècles (Gaur et Sundaresh 2003: 57-66). Mais l'île était à nouveau habitée à partir du 8ème siècle avant JC au niveau de la côte sud-est.

Pindara an ancient temple complex

- Pindara
Le site antique du temple de Pindara est situé à proximité de la côte du Saurashtra Nord dans le golfe de Kutch à environ 36 km à l'ouest de Khambhalia et 24 km de Kalyanpur. Sur l'ouest de Pindara il y a la vaste terre marécageuse de Okha Rann. Pindara est un endroit bien abrité, sans ouvertures aux vagues de la mer. Il est composé de vasières jusqu'à une distance de 2 km de la ligne de flottaison élevée avec une pente douce. L'amplitude de la marée moyenne dans la région est de 1 à 4 m.
Un énorme complexe de temple (10 X 10 m) est exposé à marée basse dans Pindara à environ 300 m de la ligne des hautes eaux (Gaur, et al. 2007: 733-35). À l'heure actuelle, la surface du plancher est faite de blocs de pierre habillés de chaux (Figure 3), il est bien conservé, tandis que la superstructure a été détruite et que les blocs de pierre ont été lavés / enlevés. Ce temple était dédié au Seigneur Shiva, puisqu'un yoni (1) est présent dans le milieu du complexe du temple. La majorité des blocs de pierre mesurent entre 60 X 45 X 25 cm. La partie restante du sanctuaire (Garbha griha) mesure 4,75 X 4,5 m. Le yoni mesure 40 X 40 cm. L'architecture, en fonction du temple submergé, correspond plus ou moins avec le temple existant sur la rive du Pindara. La taille du temple submergé devait avoir été aussi grande que d'autres temples survivants dans le groupe de temples de Pindara datant du 7ème au 10ème siècle. Cette preuve indique que le rivage de la côte de Saurashtra a considérablement changé au cours des 1000 dernières années. (...) "

(1) : Yoni est le symbole de la création et adoré à travers tout le sous-continent indien depuis l'antiquité.

- Conclusions
" Les recherches archéologiques côtières et maritimes le long de la côte du Gujarat ont formellement prouvé qu'elle détient la première preuve de l'activité maritime dans le sous-continent indien. L'archéologie mise en place dans la région de Kachchh fournit une indication suffisante que le Golfe de Kutch était un corps navigable pendant le troisième millénaire avant JC. Puis, au cours de la période historique, Gujarat fut le témoin mouvementé des activités maritimes et des bateaux de différentes régions, y compris la Mer Méditerranée. L'activité maritime a atteint son apogée au cours de la négociation du réseau indo-Saoudite de la période médiévale et un grand nombre de preuves indique que Gujarat a joué un rôle important dans le système du commerce de l'océan Indien au cours de cette période. Les enquêtes archéologiques marines au cours des deux dernières décennies et demie ont mis en évidence un certain nombre de sites potentiels le long de la côte indienne qui comprennent des anciens ports, des jetées, et des naufrages. Les explorations approfondies de la Côte de Saurashtra ont révélé plusieurs ports et jetées anciens. Fait intéressant, les découvertes archéologiques suggèrent que les phénomènes naturels tels que les variations des marées ont été très efficacement utilisées dans le golfe de Kutch et le Golfe de Cambay dans le passé. "

A.S. Gaur and Sundaresh 

Excavation Onshore à Bet Dwarka Island, dans le golfe de Kutch, Gujarat

A.S. Gaur and Sundaresh - National Institute of Oceanography - Dona Paula Goa 403 004

- Résumé
" Plusieurs sites d'habitations anciennes ont été découverts dans la zone côtière de l'île Bet Dwarka au cours des deux dernières décennies d'exploration archéologique marine. Une grande quantité de poteries protohistoriques et historiques a été recueillie à partir des sites. Une fouille a été effectuée au cours des années 2001-2002 à Bet Dwarka pour obtenir une séquence culturelle de l'île. La séquence culturelle suivante a été observée à partir de l'excavation. Les restes de la période finale harappéenne ont été trouvés près du village Balapur sur l'île. Ceci est un site de culture unique. Un grand nombre de tessons carénés y compris de plats, bols et pots ont été récupérés. Quelques tessons avec de la peinture noire sur de la rouge ont également été recueillis. Des antiquités importantes à partir de cette tranchée incluent un hameçon en cuivre et une tige d'antimoine.

Des restes de la période historique ont été remarqués sur une grande surface de l'île. Trois tranchées ont été faites sur la côte sud. L'activité importante au cours de cette période a été l'exploitation des ressources marines comme différents types de coquillages et de poissons. Le facteur important qui a conduit à une habitation continue à Bet Dwarka était la disponibilité des coquilles marines qui y ont été exploitées à grande échelle. L'île a également servi en tant que sphère de sécurité. "

- Introduction
" Un grand nombre de sites associés à la civilisation Harappéenne ont été découverts dans le Gujarat durant le dernier quart du 20e siècle, et beaucoup d'entre eux ont été creusés en profondeur. Les découvertes archéologiques indiquent des activités maritimes, y compris le commerce et le commerce était important dans Gujarat depuis les temps harappéens (Rao, 1979). Au cours des deux dernières décennies, de vastes explorations en mer ont été entreprises le long de la côte du Gujarat, en particulier dans la région où Okhamandal Dwarka est située modernement. Suivant l'exemple des références littéraires, une massive enquête archéologique sous-marine était lancée à Dwarka, dans les eaux de Bet Dwarka et à Somnath.
Il y a un assez grand nombre de découvertes de Bet Dwarka datant de la période protohistorique aux temps modernes. L'île de Bet Dwarka est située à l'embouchure du Golfe de Kutch et des preuves archéologiques récentes suggèrent que qu'elle a joué un rôle important dans les activités maritimes dans le passé. Pour obtenir une séquence culturelle propre et comprendre la relation homme-mer, une fouille a été effectuée onshore (sur l'île) dans la saison 2001-02. Le présent document rapporte les résultats de cette fouille.

L'île de Bet Dwarka est située dans Okhamandal taluka du district de Jamnagar du Gujarat. Elle est à 3 km du continent et le port le plus proche est Okha. Elle est de 13 km de long (NW-SE) et 4 km de large. "

Ces résultats établis à l'aide de 6 tranchées effectuées à différents endroits de l'île ont apportés une datation prouvant la présence des derniers harapéens sur l'île vers 3380 Avant JC (+ ou - 490 ans)

Betdwarka excav

- considérations sur le niveau de la mer
Les données sur les changements du niveau de la mer sur la côte de Gujarat suggèrent que le niveau de la mer était plus élevé que celui présent de nos jours de 2 à 6 m pendant 4000 années avant Jésus-Christ (Gupta 1977). Ce fut la période où le sous-continent indien a assisté à la montée d'une civilisation bien développée et que Gujarat était une importante province de la Civilisation de l'Indus. Ce niveau de la mer plus élevé aurait amené les Harappéens à utiliser des canaux d'eau de marée en arrière des terres pour l'ancrage des bateaux. Il y a amplement de preuves sur l'exploitation des ressources marines le long de la côte du Gujarat au cours de la période harappéenne, et qui a continué jusqu'à la dernière période puisque de nombreux sites harappéens tardifs sont signalés le long de la côte (Gaur et Vora 1999). Par conséquent, il peut être raisonnable de penser que le niveau de la mer était plus élevé, même le long de l'île Bet Dwarka jusqu'à la phase finale harappéenne car le Site Harappéen Tardif solitaire se trouve à environ 4 m au-dessus de la présente ligne des hautes eaux.
Les habitations les plus basses dans BDK-I et II sont en dessous de la présente ligne des hautes eaux d'environ 70 cm. De même, le site BDK-V près de Khuda Dost Dargah est également inondé pendant la marée haute. Le laps de temps entre les deux sites est le deuxième siècle av JC et le quatrième siècle après Jésus-Christ. Pendant le début de l'habitation, la phase s'est prolongée vers l'offshore et s'est progressivement étendue vers la terre au cours de la phase ultérieure.
Cependant, les restes de la phase ultérieure sont également détruits (noyés), ce qui suggère que jusqu'au 4ème siècle après JC, le niveau de la mer était inférieur au présent. Avec cette simple logique, on peut considérer que la colonisation rapide de la période historique a pu se placer sur l'île lorsque le niveau de la mer pourrait avoir été réduit de 2-3 m par rapport à celui présent. Si le niveau de la mer était inférieur de 2-3 mètres au cours des premiers siècles de l'ère Chrétienne, alors quelques endroits dans l'île Bet Dwarka auraient été reliés au continent à marée basse (une presqu'île donc). Une croyance locale dans ce domaine dit que dans le passé, les gens pouvaient atteindre l'île par la marche et avec des charrettes à bœufs, pourrait refléter une réalité passée.
Des datations au radiocarbone du niveau le plus bas du BDK-II donnent vers 2040-1860 années avant le présent. Les excavations de la présente Dwarka moderne suggèrent que près de l'ère chrétienne, le niveau de la mer était inférieur au présent (Sankalia 1966) dans la zone Okhamandal.

En général, le niveau de la mer pendant (les débuts de) l'ère chrétienne était inférieur au présent de 2-3 m. Un autre point important a peut-être mentionner ici est que jusqu'à la période médiévale, l'embarcadère d'ancrage des bateaux aurait été près de l'actuelle jetée de Bet Dwarka. Un grand nombre d'amphores, d'ancres en plomb et un lingot de plomb, éventuellement d'un naufrage, étaient remarquées, d'ailleurs un grand nombre d'ancres de pierres datables d'entre les périodes historiques et médiévales.

- Conclusion
La présente excavation a jeté une lumière sur le plan de la séquence culturelle de Bet Dwarka Island. Autour du 17ème siècle Avant Jésus-Christ , des personnes du peuple harappéen tardif avaient établi leur colonie et ils ont peut-être migré depuis Nageshwar qui est proche. Ils ont exploité les ressources marines comme les poissons et les conques. Il semble qu'à la fin, les Harappéens de l'île de Bet Dwarka avaient une interaction avec les Harappéens de Saurashtra et ils pouvaient être des visiteurs des ports sur la côte nord de la Région de Saurashtra. Les dépôts et habitations rares suggèrent que le site a été abandonné après quelques siècles.
L'île a de nouveau été habitée pendant le 8ème siècle avant JC sur la côte sud de l'île. Ensuite, plus tard les habitations se sont considérablement étendues. Des activités maritimes mouvementées ont été constatées au cours de cette période et des bateaux de la Méditerranée ont également visité l'île. La référence à Baraca peut être identifiée avec l'île Bet Dwarka. Peut-être que l'un des navires romains a également fait naufrage ici et que cela peut être l'une des raisons pour lesquelles l'auteur du "Périple sur la Mer Erythréenne" a mentionné la navigation difficile dans le golfe de Baraca. L'île a continué d'être un important centre de l'activité maritime jusqu'à l'émergence du port Okha dans la zone Okhamandal. La découverte d'un grand nombre d'ancres de différents types, présentes près de la jetée, suggère que ce point a servi de point d'ancrage aux navires pendant une longue période. "

A.S. Gaur and Sundaresh National Institute of Oceanography Dona Paula Goa 403 004

Yves Herbo : on en déduit aussi donc que le niveau de la mer a été de 2 à 6 mètres plus haut que l'actuel durant 4000 ans (minimum), puis s'est abaissé à 2-3 mètres en-dessous du niveau actuel entre 200 Avant JC et 400 Après JC, avant de remonter au niveau présent (et de continuer à monter)... mais nous n'avons aucune explication logique ou climatique à ce phénomène à priori... nous pensons que la fonte des glaces à la fin d'une période glaciaire fait monter le niveau général des eaux, mais qu'est-ce qui peut bien faire abaisser ce même niveau (et d'autant !) en l'absence de période glaciaire ?...

On note aussi que ces études dans la région de Dwarka ne concernent pas directement l'endroit où les ruines de l'antique cité semblent avoir été repérées à l'origine, mais confirment la très grande ancienneté des sites et la forte présence harappéenne dans la région, considérée jusqu'à présent comme une petite province de cette ancienne civilisation découverte assez récemment qu'est la civilisation de l'Indus, reliée de plus en plus probablement aux textes védiques de l'Inde... Il semble d'après l'actualité locale que le gouvernement indien (et le ministre du tourisme) voudrait réactiver (juin 2015) les recherches sur le Dwarka de Krishna, mais aussi sur le Pont mythique de Rama entre l'Inde et le Sry Lanka... attendons un peu pour voir... :

http://www.dnaindia.com/india/report-prompted-by-rss-asi-to-revive-dwarka-rama-setu-underwater-excavations-2099543​

 

Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 03-2012, update 07-2015

R hastings 1

Entretien avec Robert Hastings-mars 2012-Les Ovnis et le nucléaire

Par Le 17/07/2015

Entretien avec Robert Hastings (mars 2012 ) Les Ovnis et le nucléaire

 

MAJ 2015

r-hastings.jpg

 

Francis C  a obtenu cette fois- ci  un entretien  avec un chercheur ufologue, maitre de conférence, monsieur Robert Hastings.

 Ce spécialiste auteur d’un livre intitulé « Les ovnis et des armes nucléaires ». Au sujet des ovnis, Robert Hastings déclare que plus de 120 cas ont déjà été recensés par l’armée américaine depuis 1948, comme l’attestent des documents secrets récemment divulgués. Ces documents indiquent qu’il est certain que ces ovnis sont plus particulièrement intéressés par les armes nucléaires et leurs sites de stockage.

Selon Robert Hastings, ceci n’est pas uniquement de l’histoire ancienne. Deux évènements récents ont été signalés : l’un à Nellis AFB, Nevada, “Area 2 Weapons Storage Area”, en 2003, et l’autre près d’une base de contrôle de lancement, à proximité de Malmstrom AFB, Montana, en 2007.

VOIR :http://area51blog.wordpress.com/2010/10/17/temoins-militaires-dovni-sur-des-sites-nucleaires-national-press-club-27-09-2010-vostfr/

 

Témoins militaires d’OVNI sur des sites nucléaires – National Press Club – 27-09-2010 (VOSTFR)

 

Nous remercions R. Hastings  pour sa collaboration, d’ailleurs JG Greslé, S. Friedman ont été également abordables et disponibles pour Investigations Ufoetscience , grâce à leurs interventions nous pouvons ainsi mesurer l’ampleur du phénomène, qui dira après cela que les OVNIS sont des canulars ou méprises avec des planètes, jouets télécommandés, reflets ou lampes thaï??

L'interview de Robert Hastings de mars 2012 pour le site Investigations Ufoetscience :

interview-r-hastings-version-francaise.pdf

http://ufoetscience.wordpress.com/2012/03/20/entretien-avec-robert-hastings/

Autres liens très intéressants en liaisons (et voir dans le pdf) : 

http://www.jp-petit.org/OVNIS/temoignages_officiers/temoignages_officiers.htm

MAJ 07-2015 : Survol des centrales nucléaires françaises par des OVNIs/Drones (!?) :

2014 : http://www.nexus.fr/actualite/exologie/survols-centrales-ce-netait-pas-drones/

2015 : http://www.france2.fr/emissions/c-est-au-programme/chroniques-par-theme/des-ovnis-au-dessus-de-centrales-nucleaires_309737

http://ovnis-direct.com/hypotheses-sur-les-survols-de-drones-au-dessus-des-centrales-nucleaires-francaises-900148.html

http://www.echo-zen.com/un-journaliste-de-france-2-filme-un-ovni-au-dessus-dune-centrale-nucleaire/

Il semble évident d'après plusieurs témoins, incluant des agents techniques et des cadres travaillant dans des centrales nucléaires, que la majorité des objets ayant survolé certaines centrales nucléaires n'étaient absolument pas des drones "conventionnels" et identifiables comme tels. Il n'est pas impossible en plus que la haute technologie embarqué à leur bord ait pu agir électroniquement (ou via des technologie que nous sommes à peine en train de découvrir, voir par exemple la matière liée aux pantaquarks récemment confirmés... ou autres à venir...) à distance sur certains équipements...

 

Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 03-2012, up 07-2015

Chiapas mexique pyramide75mini

Mexique, Pérou, des découvertes majeures

Par Le 16/07/2015

Mexique, Pérou, des découvertes majeures

Chiapas mexique pyramide75mini

Des chercheurs déterrent une immense pyramide au Mexique, plus grande que la pyramide du Soleil de Teotihuacan. Des premières fouilles avaient été réalisées en 2010 mais la structure avait été apparemment sous-estimée.

La Pyramide, à 75 mètres de hauteur, a été explorée par des spécialistes de l'Institut national d'anthropologie et d'histoire (INAH) dans la région Acropolis de Tonina, Chiapas, et est estimée ancienne d'environ 1700 années à 700 années pour ses derniers ajouts (Mayas).

Chiapas mexique pyramide75m1INAH

Emiliano Gallaga, directeur de la zone archéologique, a expliqué que le travail a été fait dans les deux dernières années, et au moyen d'une simulation en «trois dimensions, les chercheurs ont vérifié que dans la partie nord du site, se trouve l'une des plus grande construction en Mésoamérique, de taille comparable seulement aux grandes villes mayas comme Tikal et El Mirador au Guatemala.

Une autre des caractéristiques qui rend cette structure pré-hispanique "unique" se démarque par ses sept plates-formes qui s'étagent et étaient des espaces spécifiques destinés à soutenir des palais, des temples, des logements et des unités administratives. C'est une structure unique de par ses diverses fonctions spécifiques au sein de la structure sociale, politique, économique et religieuse, qui ne se retrouve dans aucun autre site archéologique du monde maya a indiqué les chercheurs de l'INAH.

" C'est une grande surprise de voir que la pyramide a été construite presque entièrement par les architectes pré-hispaniques et est donc plus artificielle que naturelle ". Cet aveu est donné car les chercheurs avaient d'abord cru que toute la structure était une colline naturelle, mais la preuve récente a révélé que la structure a été presque entièrement construite par les anciens habitants.

Chiapas mexique pyramide75m2INAH

Les archéologues ont ajouté que la pyramide est plus grande que ce qu'ils avaient prévu. La structure est reliée par des routes situées sur le dessus des élévations environnantes.

Gallaga a ajouté que, après tout ces informations, nous pouvons confirmer que cette pyramide dépasse en hauteur la pyramide du Soleil de Teotihuacan qui mesure 65 mètres. Les chercheurs de l'INAH ont déterminé que le centre-ville avait une continuité architecturale entre 10 et 12 hectares, ce qui est le double de ce que l'on pensait et correspondait à la façade sud d'Acropolis, l'une des régions mayas les plus importantes connues par les chercheurs.

Sources : INAHhttp://www.m-x.com.mx/2015-06-14/el-inah-descubre-una-piramide-en-tonina-chiapas-es-mas-alta-que-la-del-sol-en-teotihuacan/http://www.ancient-code.com/researchers-confirm-the-largest-pyramid-in-mexico-has-been-found/

 

Un circuit guidé fait découvrir des tombes incas sous des cascades près de Chachapoyas

 

Ces voyageurs explorent davantage la région intéressante autour de Chachapoyas, au nord du Pérou et de l'Est aux environs de Cajamarca. Le parcours, qui se concentrait sur les orchidées en premier lieu, relie les forêts humides entre Moyabamba à Chachapoyas, et à travers la vallée Maranon vers Cajamarca.

Map chachapoyas perou

Le nom de la ville est dérivé de la civilisation Chachapoyas, qui a été détruite par les Incas seulement quelques décennies avant de rencontrer eux aussi leur destin entre les mains de l'Espagnol. La plus grande attraction locale est l'immense colonie fortifiée de Kuelap, qui est décrite en détail par les guides. Ce circuit, cependant, se concentre sur certains des points interessants les moins connus dans la région. Le circuit a été fait par un associé de Trek! Perú, Angel Antezana.

La paisible ville de Chachapoyas a ses attraits, mais les visiteurs sont généralement attirés par l'immense campagne autour d'elle, la vie sauvage extraordinaire et par le nombre important de sites archéologiques largement inexplorés dans la région. Chachapoyas est la capitale de la province Amazonas. C'est principalement un centre agricole et son industrie touristique en est à ses balbutiements. Il y a un certain nombre d'hôtels suffisant, cependant, et elle a bien développé ses communications de base. Elle est perchée à 2300m sur le bassin versant au-dessus de la source de l'important Rio Utcubamba.

ChachapoyasChachapoyas

La ville a été fondée en 1536 et a grandi lentement jusqu'à 16.000 habitants maintenant ou plus. Beaucoup de maisons de l'époque coloniale survivent encore dans les rues menant à la Plaza de Armas, dont certaines peuvent être visitées. Elle abrite également un musée, dans lequel les éléments de la culture Chachapoyas sont préservés.

Chachapoyas cascade1chutes de Gojta

Une série de cascades remarquables peut être atteinte en partant de Chachapoyas. Celles à Gojta chutent de 771m, ce qui en fait les troisième plus élevées dans le monde, après la chute de l'Ange du Venezuela et celle de la Tugela en Afrique du Sud. Les chutes sont trouvées dans une vallée remplie de forêts denses, à proximité de la propriété et le site de Cocachimba. Les 22 chutes d'eau distinctes ne peuvent être atteintes qu'à pied, par l'intermédiaire d'un complexe de sentiers qui longent la rivière, plongent dans la forêt et qui émergent à nouveau en pleine terre. Il n'y a aucun signe que ce soit, et un guide local est essentiel. Leurs services vous coûtera environ 10 $ US pour un groupe de taille modeste. On peut voyager à dos de mulet, ce qui prend environ 40 minutes pour atteindre les chutes, ou à pied, ce qui est susceptible de prendre au moins deux fois plus de temps. Il est sage de prévoir trois heures pour un retour à pied.

Chachapoyas cascade2

La région est très riche en cascades. Le village de Luya possède les chutes de Wanglik, qui sont présentés ci-dessus. Il y a des ruines attribuées à l'Inca, construites en pisé et situées dans des niches de la falaise. Un exemple est présenté ci-dessus, et un autre de la même construction est montré ci-dessous. Les murs courbes avaient certainement des toits de chaume, car c'est une conception que les populations locales utilisent encore pour des structures mineures (dépendances). Ce site a été probablement utilisé par les éleveurs pendant la saison humide.

Chachapoyas cascade3

La petite colonie de San Carlos (13 km par la route San Ruiz) est le début de trois heures de marche à travers la campagne humide intéressante et beaucoup qui mène aux chutes de Shinata. L'image (ci-dessous) montre ce que sont les profondeurs de la saison sèche, mais elles sont dit être extraordinaires après les grandes pluies. On peut voir l'ampleur des chutes (pendant la saison des pluies) grâce aux zones de roches balayées de toute végétation:

Chachapoyas cascade4

Une grande partie du paysage local est sculpté à partir des dépôts de calcaire de mille mètres d'épaisseur. Ces falaises sont criblées de systèmes de grottes non identifiées et inexplorées. Un tel système, qui est facilement accessible, se trouve à Lamud, et est appelé La Caverna de Quiocta. Cette caverne a une entrée de cinq mètres et se prolonge au moins sur un demi-kilomètre à flanc de colline. Elle a des formations de calcaires exceptionnelles, et l'image montre les stalactites et d'autres formes qui peuvent être vues à l'intérieur d'elle. Il y a aussi des tombes incas. Lamud est à 37 km de Chachapoyas, au nord de la ville. (Voir la carte ci-dessus.) Cela peut être atteint par les transports publics en 2 heures environ. Les grottes peuvent être atteintes en marchant pendant environ 90 minutes de Lamud, ou en prenant un taxi local pour le voyage de vingt minutes puis en marchant pendant un bref passage jusqu'à l'entrée de la grotte. L'image ci-dessous montre un montage des exemples de ces formations y existant :

Chachapoyas cavernes

Au sud, le site de Leymebamba lui-même a un certain nombre de petits sites peu connus. Il est intéressant pour ses peintures rupestres. Ces grottes contiennent des tombes, qui datent de la période inca. Tandis que les peintures n'ont pas été étudiées formellement, il est généralement admis qu'elles datent de beaucoup plus tôt. D'autres caractéristiques intéressantes sont un peu plus loin de Chachapoyas. Cochabamba est une autre ancienne colonie, rénovée sous l'Inca Tupac Yupanqui vers environ 1475. Elle se trouve sur la route qui mène de Chachapoyas vers Cajamarca. Le point intéressant est Pusac, à 224 km de Chachapoyas :

Pusac1Pusac2

Le paysage est très beau, riche en papillons et orchidées. Les populations locales voient peu d'étrangers, et - ce qui est typique du nord du Pérou - elles sont généralement ouvertes et accueillantes. La ruine est très typique d'une construction provinciale Inca. Les grands blocs de façade sont joints irrégulièrement mais précis. Les portes rétrécissent vers le haut pour un linteau plat et massif. On ne sait rien à propos de ce site, qui n'a jamais été fouillé ou bien daté. Il pourrait bien avoir été une aire de repos de passage sur l'un des nombreux chemins qui relient l'ensemble de l'empire Inca.

Ceux qui sont intéressés par l'archéologie sont invités à noter que les grandes universités péruviennes sont extrêmement désireuses de travailler avec des promoteurs/sponsors afin de procéder aux vérifications. Nous pouvons faciliter ou organiser une telle collaboration si cela peut vous intéresser.

Tombes karajia1

La même région contient l'endroit parsemé de tombes extraordinaires de Karajía, qui ont été découvertes dans la dernière décennie. Elles datent de la culture Chachapoyas, qui a duré de 1100 à 1300 AD. Les morts ont été placés dans - ou plus correctement, construit sur -, des cercueils verticaux de 3m de hauteur d'argilo-bambou qui sont placés dans des niches, des grottes ou des rebords peu profonds qui donnent sur la rivière Utcubamba, les lacs et autres sites de la beauté naturelle de la région. Ces sépultures sont réunies dans des groupes de quatre à huit, reflétant peut-être des familles. Les cercueils ont une apparence presque de caractéristiques africaines, et ont été décorés avec de la chaux blanche, de l'ocre rouge et du charbon. Ils sont connues localement comme des Purunmachos, du quechua pour ancien (purun) et Espagnol pour homme (macho), ancien homme.

Tombes karajia2

http://www.all-peru.info/english/treks/extras/travel05.html

Autres articles proches ou même région : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/la-terre-des-incas-et-ses-montagnes-sculptees.html

https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/sur-les-traces-de-la-ville-perdue-des-incas.html

J'avais déjà parlé d'autres sépultures Chachapoyas découvertes dans cet article : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/decouvertes-dans-les-andes-et-en-amazonie.html

 

Yves Herbo Traductions, Sciences, Faits, Histoires, 16-07-2015

Dans OVNI/UFO
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Les OANIs : un petit historique

Par Le 14/07/2015

Les OANIs : un petit historique

 

- 2012 - up 07-2015

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Quand on parle d'O.A.N.I., on ajoute une caractéristique technique de plus aux objets observés : ils ne se contentent pas de voler à des vitesses fantastiques mais se déplacent aussi dans les océans. Cela suggère également que ces OANIs possèdent des bases sous marines, ce qui expliquerait certaines observations locales fréquentes et des disparitions inexpliquées de navires. On peut aussi citer les récentes révélations d'une cité aquatique construite par une civilisation pré-colombienne en amérique centrale...

En quelque sorte, les O.A.N.I. signifient à la fois Objets Aériens Non Identifiés et Objets Aquatiques non Identifiés. Les objets en question se comportent d'après les témoins d'une manière ''intelligente', c'est-à-dire comme le font des machines construites, téléguidées ou pilotées par des entités vivantes ou robotisées. Ces objets manifestement solides entrent dans les mers et les océans et en émergent, sans oublier les lacs et les cours d'eau. Ces objets qui sortent de l'eau et y plongent peuvent aussi sortir de notre atmosphère pour évoluer dans ce que nous appelons l'espace. Ceci posé, sans toutefois remonter au déluge, voici une série de rapports très significatifs concernant des observations d'O.A.N.I.. 

Dans les Anales Russes, on trouve un cas très intéressant et authentifié : 

Le 15 août 1663, entre 10 heures et midi (heure locale) on entendit un bruit fort et au nord, du ciel clair et ensoleillé surgit un grand objet flamboyant de 40 mètres de diamètres (la hauteur d’un grand immeuble de 12 étages). Se dirigeant vers le sud, cette objet se mit à glisser au-dessus de la surface du Rob-Ozéro.

De la partie avant de l’objet sortaient deux jets de feu et de deux cotés de l’objet on voyait une fumée bleuâtre. Après avoir survolé une partie du lac, l’objet disparut dans des circonstances restées obscures.

Sa deuxième apparition se termina peu après par la diminution de la vivacité de sa luminescence et par sa disparition. Quelques temps après, très vite, à 500 mètres plus à l’ouest, le même objet incandescent apparut plus grand plus éblouissant, plus effrayant.

Ensuite l’objet s’obscurcit et disparut. 

Le temps total de la présence de ce corps étrange au dessus du lac fut d’une heure et demie. Les dimension du lac ne sont pas grandes: deux kilomètres de longueur sur un kilomètres de largeur. Au moment de l’apparition de ce corps, des pécheurs se trouvant dans leurs barque voulurent s’approcher de lui. Mais il renoncèrent à ce projet, la chaleur à sa proximité étant insupportable. La lumière que le corps émettait était si forte qu’on voyait le fond à la profondeur de huit mètres et les poisons se sauvant de cette lumière.

Là ou le feu effleurait l’eau en se déplaçant, sur la surface apparut un film brun qui faisait penser à la rouille.  

Quant à la véracité des détails, il n’y pas de doute non plus, le rapport ayant été consigné par le scribe du monastère de Saint Cyrille, après la confirmation des faits par les prêtres se trouvant sur la place d’observation. Cette prudence était tout à fait normale, puisque le scribe répondait sur sa tête de ce qu’il envoyait aux supérieurs ; l’église russe de l’époque ne plaisantant pas sur les phénomènes considérés comme des manifestations diaboliques. Naturellement, tout cela a été compris par les témoins comme ’’un signe de Dieu’’.

Extraits "Le livre des damnés" Chap. 5, Charles Fort, 1919) :

18 juin 1845: Les passagers du brigantin Victoria, naviguant à mille trois cents kilomètres d'Adalie, en Asie mineure, ont vu trois corps lumineux sortir de l'océan à une quarantaine de mètres du navire. Les trois "objets" restèrent visibles durant dix minutes. (1)

22 mars 1870Cap vert: Le capitaine F. W. Banner, commandant du " Lady of the Lake", fait le point et porte sur son livre de bord: "... les matelots de mon navire ont vu dans le ciel un nuage remarquable. Il avait une forme circulaire avec un demi cercle inscrit divisé en quatre parties, le trait de division commençant au centre du cercle et s'étendant vers l'extérieur, puis se recourbant en arrière. L'objet évoluait d'un point situé à 20° au-dessus de l'horizon jusqu'à un autre situé à 80°. Puis il se dirigea vers le NO alors qu'il était venu du SO. Il était gris-clair, soit couleur nuage, beaucoup plus bas que les autres nuages, il se déplaçait contre le vent. Il se présenta obliquement par rapport au vent puis se décida à filer droit dans l'œil même du vent. La forme fut visible pendant une demi-heure. Elle disparut à cause de l'obscurité. (123)

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Voici un autre incident s’étant produit dans le Pacifique nord-est, au cours de l’été 1945.

Il s'agit d'un grand O.A.N.I. sortant de l’eau et observé par des membres d’équipage du transport U.S. Delarof, chargé de munitions et de matériels pour l’Alaska.

Le témoin, auteur du rapport, est Robert S. CRAWFORD qui servait à bord en qualité de radio militaire.

" Le bateau, retournant à Seattle (État de Washington) se trouvait au large de l’île Adak. Le soleil allait se coucher et Crawford se tenait à bâbord, près de la cabine radio, quand il a entendu crier des hommes d’équipages. Il s’est retourné et a vu un grand objet rond qui venait de surgir de la mer. (Plusieurs homme d’équipages ont même vu l’O.A.N.I. apparaître sous la mer à un mille environ du Delarof). L’engin inconnu se découpant en silhouette sombre sur le soleil couchant, est monté presque à la verticale pendant quelques instant, puis il a courbé son vol pour venir à l’horizontal et s’est mis à décrire des cercles autour du bateau.

Tout les observateurs étaient convaincus que c’était un très grand objet. En le comparant à la largeurs d’un doigt tenu à bout de bras, Crawford a estimé qu’il devait avoir de 45 à 75 mètres de diamètres.

En tournant autour du Delarof, l’objet volant était à portée facile de ses canons. Mais les canonniers n’ont pas tirés, tout en guettant tout signe d’hostilité. L’O.A.N.I. a fait deux ou trois fois le tour du bateau, volant régulièrement et sans aucun bruit.

Tout les témoins ont estimé qu’il était auto-propulsé, autrement le vent violent qui régnait aurait visiblement affecté ses mouvements. Au bout de plusieurs minutes, l’objet volant a disparu vers le sud ou le sud-ouest. Soudain l’équipage a vu trois éclat de lumières venant de l’endroit ou il avait disparu. Le capitaine du Delarof a posté une bordée de quart supplémentaire quand le bateau est repassé plus tard par ce secteur, mais rien n’a été vu.

10 février 1951Océan Atlantique: Le Lieutenant réserviste de l'US Navy Graham Bethune, copilote sur le vol 125 de Keflavik, rapporte:

"Alors que je volais dans le siège de gauche sur un trajet à 230 degrés à la position 49-50 Nord et 50-03 Ouest, j'ai observé une lueur au-dessous de l'horizon à environ 1.000 à 1.500 pieds au-dessus de l'eau. Nous avons observé son cours et mouvement pendant environ 4 ou 5 minutes avant d'attirer l'attention des autres membres d'équipage... Soudainement son angle d'attaque a changé, son altitude et sa taille ont augmentés comme si sa vitesse dépassait les 1.000 miles par heure. Elle s'est rapprochée tellement rapidement que notre première impression était que nous allons vers une collision en plein air. En fait son angle a changé et sa couleur a changé. Il est ensuite apparu comme sans aucun doute circulaire, orange rougeâtre sur son périmètre. Il a inversé son vol et a triplé sa vitesse jusqu'à ce qu'il ait disparu hors de vue au-dessus de l'horizon. En raison de notre altitude et de la distance trompeuse au-dessus de l'eau il est presque impossible d'estimer sa taille, distance, et vitesse. Une évaluation grossière serait d'au moins 300 pieds de diamètre, d'une vitesse de plus de 1.000 miles par heure, et il s'est approchée à moins de 5 miles de l'avion." (1)

Mai 1958, Octobre 1959 et Janvier 1960 : Golfe Nuevo : Le Golfe Nuevo a été la scène d'une série de contact sous-marins mystérieux (1234)

Février 1961CarélieURSS: un garde forestier, Vassili Brodski, remarque une énorme fosse (27 m de long, 15 de large et 3 m de profondeur) qui mène au lac gelé de Korb, sur la rive en falaise Sud comme une brèche, et qui n'existait pas la veille à 21 h. Les bûcherons de la région n'ont rien vu, rien entendu. Un objet percutant semble avoir creusé la falaise, la glace et le fond du lac creusant une fosse de 1000 m3 avalant le sol gelé, avoir enfoncé la glace dans le fond et avancé de 20 m sur le fond en poussant un bourrelet de 1,5 m de terre vaseuse et être ressorti en marche arrière. L'objet n'a pas été vu mais a laissé des fragments de nombreux métaux. Les morceaux de glace brisée sont d'un vert émeraude dont nulle analyse ne pourra explique la nature ni l'origine. D'étranges grains noirs recueillis sur la rive révèlent une composition chimique métallique si complexe qu'elle ne pourrait être obtenue que par des opérations effectuées à très haute température ; ils résistent à l'action des acides. On en conclut que ces grains ont une origine non-organique et probablement non-naturelle. Depuis, la végétation à l'intérieur de la fosse est inexplicablement luxuriante mais, en dépit de tant d'énigmes, les recherches n'ont pas été poursuivies, parce que le phénomène n'est pas dangereux pour l'homme. (12, (LES OVNIS EN URSS et dans les pays de l'est, Robert LAFFONT 1976))  

1er août 1962Le BruscFrance: Dans la nuit, trois pêcheurs dans deux bateaux, virent une sorte de sous-marin émerger lentement de l'eau. Trois hommes-grenouilles sortirent de la mer et montaient à bord de ce navire. L'un des pêcheurs les appelait par haut parleur, mais ils ne répondirent pas, sauf l'un des trois qui fit un signe du bras. Quand ils avaient intégré le navire, celui-ci sortit de l'eau, planant sur place, paré de lumières rouges et vertes. Un projecteur blanc s'alluma et se dirigea vers les bateaux de pêche. Ensuite les lumières de la chose s'éteignirent, tout l'engin devint lumineux orange, se mit à tournoyer de plus en plus vite pour tout à coup s'élancer en une fraction de seconde vers le ciel où il disparut. Les pêcheurs n'ont entendu aucun bruit autre que celui des vagues. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 166)...

18 janvier 1967Sjællands, Danemark: Deux enfants vont observer un OVNI près de la rive dont sortira 8 êtres. Tandis que l'appareil avait été en vol stationnaire au-dessus du rivage, selon le garçon, quelque chose avait été jeté sur la plage. Une substance pourra être étudiée plus tard. (1)

Octobre 1967Shag HarborCanada: Laurie Wickens et 4 de ses amis roulent à travers le petit village de Shag Harbour sur la route n° 3, lorsqu'ils remarquent quelque chose d'inhabituel en l'air devant leur voiture : un phénomène estimé à 60 pieds de long environ, de couleur ambre et à l'apparence de "bol", portant 4 feux brillants clignotant en séquence, incliné à 45° et s'apprêtant apparemment à tomber dans les eaux du port. Au moment de l'impact, un éclair brillant est observé en même temps qu'un énorme bruit d'explosion. Wickens tente de garder l'objet en vue tout en continuant à conduire à travers le village vers l'ouest. (12345)

Vidéo Incident à Shag Harbor 1/4 - Vidéo Incident à Shag Harbor 2/4 - Vidéo Incident à Shag Harbor 3/4 - Vidéo Incident à Shag Harbor 4/4

Apparitions sur des lacs naturels :

En novembre 1969, le chroniqueur Carlos Comena, journal du soir ‘’ Ultima Hora ’’ de Lima, est allé voir le commandant du port du lac Titicaca, le Senor Mario Delgado.

Selon les déclarations de ce dernier ‘’ce n’est plus un secret qu’a Puno les O.V.N.I.S. passent à chaque moment en direction du lac et y disparaissent ‘’.

(Puno est une ville portuaire situé sur la rive occidentale du lac, un des plus grand lac de montagne du monde).

Une entrevue avec deux officiers de marine de seconde classe, les Senores Genaro Aguilar et Juan Valle, lui a permis d’apprendre qu’en une autre occasion, divers objets volants non identifés arrivèrent lentement en formation triangulaire et disparurent dans le lac (lequel est à 3812 mètres d’altitude et a une surface de 8340 km²).

On a observé dans le lac Huypao des phénomènes semblables.

Ainsi, courant 1968, selon Monsieur Ruben Tizziani, correspondant de la revue argentine ‘’2001’’, les originaires du lieu certifient que tous les samedis soir, un étrange corps lumineux s’immerge dans les eaux du lac pour en ressortir les lundis matin (2).

Quant aux lacs de retenue, ils occupent une place relativement importante dans l’histoire des O.A.N.I. d’eau douce.

(2 )Référence: article de M Ruben Tizziani paru dans le n° 6 de la revue ‘’2001’’ en date du 20 décembre 1968 (page 34 à ) et ayant pour titre ‘’OVNIS sobre CUZCO: cotiadiano y real’’, soit en français ‘’OVNI sur CUZCO: quotidienne réalité’’.

A titre d’exemple, en octobre 1966, la presse locale de la grande banlieue de New-York (U.S.A.) fut submergée de rapports de ‘’soucoupes volantes’’, observées autour et au dessus d’un vaste lac de retenue, dans le nord-est du New Jersey, appelé lac Wanaque, alimentant Jersey City. L’affaire fut reprise par les agences de presse et s’enfla démesurément et dura prés de deux ans.

Quand les premiers O.A.N.I. furent signalés, des milliers sinon des dizaines de milliers de personnes envahirent la région toutes les nuits pour guetter (et souvent observer) les mystérieux objets illuminés. Parmi les curieux, il y eut des journalistes en nombre, des scientifiques sceptiques au départ, des ufologues et également des militaires qui pour d’excellentes raisons furent les premiers sur les lieux (3).

Plus tard, en avril 1969, à la demande d’un ami haut gradé de l’US. Navy, s’occupant du dossier O.A.N.I.. au sein du Pentagone, le nommé Ivan T. Sanderson et son adjoint se rendirent sur les lieux.

Lors d’une rencontre organisée par la police d’État du New Jersey avec le responsable chargée depuis 30 ans de certains aspects de la sécurité, au barrage et au réservoir, tout deux eurent confirmation du fait que de mystérieuse lumières et des objets solides illuminés étaient observés dans la région depuis plus d’un demi- siècle et apprirent de surcroît qu’en plusieurs occasions, ces incidents concernaient des O.A.N.I. plongeant, émergeant ou ayant été recherchés dans le lac de retenue par des plongeurs disposant d’un important mais discret matériel de l’US Army !

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Autre cas très remarquable : 

Le 31 octobre 1963, Rute de Souza (8 ans), fille d’Elidia de Souza qui habite près d’Iguape au Brésil, entendit un étrange grondement, de plus en plus fort et, cherchant d’ou venait le bruit, elle vit avec terreur un objet argenté approchant de la rivière, près de sa maison. L’objet survola le toit, puis elle-même, heurta la cime d’un palmier et se mit à ’’se tortiller ’’ et à se débattre en l’air au-dessus de la rivière. Il tomba enfin dans la Peropava, près de la rive opposée.

Rute courut dans la maison pour avertir sa mère et la croisa qui sortait. Mrs de Souza avait également entendu le bruit et se précipitait dehors pour voir ce que c’était . Peu après, Paul de Souza, le père de Rute, arriva à son tour. Lui aussi, il avait entendu le grondement alors qu’il travaillait à une centaine de mètres de la maison. Le trio regarda avec stupéfaction l’eau ’’ se soulever en bouillonnant ’’ à l’endroit ou le disque était tombé. L’eau continua de monter puis il y eut un jaillissement d’eau boueuse et enfin de boue.

Sur la berge opposée, des pêcheurs parmi lesquels le Japonais Tetsuo Ioshigawa, avaient été témoins de l’événement et ce fut par ce dernier que les enquêteurs et les reporters obtinrent une description suffisante qui leur permit d’estimer la taille de l’objet à environ 7,60 mètres de diamètre. Tous décrivirent le disque comme une ’’cuvette’’ d’aluminium poli. L’objet semblait se trouver à 7 mètres d’altitude quand il heurta le palmier. Jusqu’alors, il avait volé en ligne droite et après le choc, il entama des girations qui firent penser aux témoins qu’il avait des ennuis.

(3) Wanaque est une zone extrêmement surveillée, car c’est une partie vitale des besoins en eau de Jersey-city et de son complexe d’industries et de services essentiels.

Au cours des semaines suivantes, divers plongeurs tentèrent une opération de récupération. Au début des plongeurs avec de simples masques s’y essayèrent, mais échouèrent, puis ce furent des plongeurs avec scaphandres autonomes et enfin un scaphandrier professionnel de profondeur, avec sa combinaison et son compresseur d’air, qui tenta de localiser le disque. Au dernières nouvelles, rien n’a été trouvé et tous les plongeurs se plaignent d ‘être gênés par la vase au fond de la rivière. La Peropava est profonde de 4 mètres à l’endroit ou le disque sombra et son fond de vase est composé d’environ 5 mètres de boue et d’argile. Si le disque a plongé dans l’eau, puis dans la vase, comme semble l’indiquer le bouillonnement suivi de jaillissement de boue, il a traversé la couche de vase jusqu’aux rochers en dessous.

Afin de mesurer pleinement la signification de l’incident tel qu’il s’est produit, comme tout le prouve, l’on doit prendre tous les facteurs en considération. Bien que des détecteurs de mines aient été utilisés et que le génie civil du Brésil ait tenté de retrouver et de récupérer le disque, les rapports ne signalent pas le moindre succès, pas même l’emplacement du disque. De ce fait, l’on peut envisager la possibilité que le disque, après s’être heurté au fond, s’est éloigné grâce à un moyen de propulsion quelconque, de son point de chute initial. De plus sa taille indique qu’il pouvait être habité et qu’alors des réparations ont pu être effectuées sous l’eau, et l’évasion de la rivière et de la vase réussie pendant la nuit dans un lieu plus isolé que celui ou il avait coulé (4).

a priori, si vous étiez un pilote d’O.A.N.I. et aviez des ennuis mécaniques ou tout autres désagréments, la meilleure issue serait de vous planquer dans le lac, la rivière ou le fleuve le plus proche, en attendant de l’aide ou de réparer en toute discrétion.

De toute ce qui précède, plusieurs remarques s’imposent.

La première :le personnel naval qui entre vraiment en contact avec le domaine sous-marin, ce sont les gars du radar et du sonar, tant dans les sous-marins qu’a la surface. Ils sont pratiquement les seuls à pénétrer en profondeur dans cet élément, et notez bien, c’est précisément d’eux qu’émanent les rapports les plus circonstanciés concernant les O.A.N.I.

Seconde remarque: 72% de notre planète est recouvert d’eau, si l’on tient compte de tout les lacs, cours d’eau ,etc... Ceci explique tout naturellement le pourcentage élevé d’observations d’O.A.N.I. dans ou au dessus de l’élément liquide.

Troisième remarque: De nombreuse expériences et édifications en milieu aquatique ont amplement prouvé que vivre sous l’eau est parfaitement possible. Même pour des entités respirant du gaz (de l’air) sans parler de celles qui respirent du liquide (eau).

Références: The A.P.R.O. Bulletin, janvier 1964 (page 1) organe de l’Aerial Phenomenon Research Organization, fondée en 1952.Fate, mai 1964 (page62-65).

En fonction de tout ce qui précède, il y a donc de sérieuses raisons de penser que toutes choses résidant sous la surface de notre hydrosphère ont été initialement développées ailleurs et sont venues s’installer ici ou viennent en visites depuis longtemps, régulièrement ou non.

Par ailleurs, de l’avis autorisé de spécialiste du renseignement naval, notamment ceux de l’O.N.I. (Office of Naval Intelligence de l’US Navy) (5) et de la branche marine du G.R.U. le Service du Renseignement Militaire Russe) (6), rien ne s’oppose, bien au contraire, à la présence d’êtres intelligents et industrieux vivant au fond de des mers et océans, notamment dans de vastes habitacles forés dans les flancs des grandes chaînes de montagnes sous-marines et peut être aussi dans les couches supérieurs de la lithosphère qui se trouvent au-dessous(7).

Pour conforter ce point de vue, sachez par exemples que des informations concordantes, extraites de livres de bord de sous-marins nucléaires d’attaque de l’U.S Navy, font mention de ‘’nids’’ O.A.N.I. repérés dans la fosse abyssale de Porto Rico.

Noter, que cette fosse océanique qu'est l’atlantique occidental, atteint par endroit, plus de 9000 mètres de profondeur et s’allonge sur près de 1500 kilomètres, à la limite nord de l’île du même nom.

Plus près de nous, des marins pêcheurs corses du secteur de Porticcio, localité proche d’Ajaccio, m’ont discrètement informé qu’ils observèrent à diverses reprises et observent encore maintenant des engins volants inconnus émergeant des flots ou y plongeant, tels des habitués du coin.

A ce propos je tiens à rappeler que la Méditerranée est une mer intercontinentale profonde (moyenne 1500 mètres). Par ailleurs, d’aucuns affirment que l’État Major de la Marine Nationale Française est au parfum de ces ’’incidents’’ à proximité de l’île de Beauté. (YH : ne pas oublier non plus une base de sous-marins français locale, les incidents du Minerve et de l'Eurydice... les rapports font état de probables collisions sans identifications certaines des bâtiments concernés - le Tabarka cité pour l'Eurydice n'a enregistré officiellement aucun dégât ni incident...)

Reste encore à aborder la questions cruciale des origines ’’vraies’’ des possesseurs d’O.A.N.I., fréquentant notre planète et autres lieux. Ceci est une autres histoire beaucoup plus complexe que celles de leurs agissements parmi les gens d’ici bas

5 - Le contre-amiral Michael W.Cramer, directeur pour le renseignement de l’état major général de l’U.S Navy (j2) exerce depuis Septembre 94 les fonctions de directeur de l’O.N.I.

6 - Pour l’anecdote, le bâtiment de neuf étages qui abrite le cœur est le cerveau du G.R.U. est baptisé ‘’l’Aquarium’’ par les initiés.

7- La lithosphère est une zone formant l’une des enveloppes concentrique du globe terrestre caractérisée par sa rigidité, son épaisseur est de l’ordre de 50 kilomètres sous les océans et environ du double sous les continents. 

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Ovni sous marin dans le sud du Vietnam 
 
Joseph Foster écrit : "En 1970, mi avril, nous faisions ancrage a bord de notre bateau de gardes cotes américain . Le capitaine nous autorisa a nager a la fin de l'après midi et je tenais la garde avec un M-16 sur le pont d'envol pour veiller aux requins.

Les nageurs plongeaient du pont principal et nageaient jusqu'à un radeau. Huit d'entre nous ainsi que le capitaine étions en train de regarder les 20 nageurs quand notre attention a été attirée par une grand objet sous marin qui se déplaçait lentement directement sous le bateau.

L'objet ressemblait a une ombre noire de forme elliptique. Il était a environ 50 pieds de profondeurs et se déplaçait perpendiculairement a l'axe de notre bateau. L'observation totale n'a pas durée plus de 20 ou 30 secondes.

Les hommes dans l'eau n'avaient aucune idée qu'un grand objet passait sous eux. Nous avons refusé la possibilité d'un requin blanc ou d'une baleine car il n'y avait aucun aileron ou appendice visibles.

Notre équipage a eu aussi des observations d'ovnis. Durant notre mois de juillet, nous avons eu un contact radar avec trois cibles voyageant a une vitesse supérieure a 3000 miles/heure. Huit hommes d'équipage ont vu trois lumières blanches voyageant vers le sud ouest et dans une formation en " V ". (YH : ou triangle...)

Un rapport fut établi.

Notre seconde observation prit place en mai 1970, pendant que nous étions a 600 miles a l'est de Guam. Une de nos fonctions était la navigation céleste. Je devais cibler les étoiles du soir et du matin. J'étais avec le capitaine quand nous avons remarqué une sphère parfaite brillante et qui semblait avoir la consistance du mercure liquide. L'objet voyageait vers le sud ouest a une altitude de 2500 pieds.

A Honolulu, je suis devenu ami avec un " yeaman fleet intelligence " qui déclara " Nous recevons des centaines de rapports sur des ovnis provenant des bateaux de l'US Navy. les ovnis sortent et entrent dans l'eau et volent directement devant nos bateaux. "

Ovnis dans les eaux soviétiques

Le Centre de Recherche Ufologique russe a une collection d'observations "d'aspect liquides ". Les dossiers secrets de la Marine russe contiennent beaucoup d'informations valables sur des observations d'ovnis. Les chercheurs militaires russes sont plutôt sérieux. Les dossiers sont largement inaccessibles, même après la chute de l'URSS.

Mr Krapiva s'occupait des témoignages donnés par des vétérans des sous-marins nucléaires Soviétiques. Ils avaient servi dans le Nord de la Russie, dans des bases et installations navales secrètes. Quelques fois les témoignages déviaient des présentations prévues, et beaucoup de captivantes histories furent racontées.

Sous-Marin

Par exemple, les opérateurs sonars soviétiques "entendaient " d'étranges cibles. Leurs sous-marins étaient pourchassés par d'autres "sous-marins ". Les poursuivants changeaient leur vitesse comme bon leur semblaient, des vitesses bien plus rapides que tout autre bâtiment de cette époque. 

Le lieutenant commandant Oleg Sokolov informa confidentiellement les étudiants que pendant qu'il était en mission dans son sous-marin, il observa à travers le périscope un étrange objet a travers l'eau. Il ne fut pas capable de l'identifier parcequ'il le voyait à travers le système optique du périscope. Cette rencontre sous-marine eut lieu dans le début des années 60.

Sevastopol

Il y a quelques années V.V Krapiva rencontra le professeur Korsakov de l'Université d'Odessa. Le professeur Korsakov lui raconta une conversation qu'il avait eu avec un ami a lui, un officier de la marine soviétique, qui avait servi dans la base navale de Sevastopol. (YH : Mer Noire)

Dans les années 50, cet officier vit personnellement un ovni. L'objet se déplaçait vers le haut, a l'arrière de son croiseur de guerre. L'officier avait l'impression que l'objet avait surgi des profondeurs de la mer noire. Le professeur Korsakov a une photographie de l'objet.

Rapports de témoins

En août 1965, l'équipage du navire a vapeur Raduga, alors qu'il naviguait dans la mer rouge, observa un phénomène inhabituel. A deux miles de distance, une sphère ardente surgit de la mer et survola la surface de l'océan, l'illuminant. La sphère faisait soixante mètres de diamètre, et elle survolait la mer a une altitude de 150 mètres. Une gigantesque colonne d'eau rose surgit alors que la sphère émergée de la mer et s'écroula un moment plus tard.

En décembre 1977, pas très loin des rives de la Georgie (Mer Noire), l'équipage d'un chalutier, le Vasily Kiselev, observa aussi quelque chose de sensiblement extraordinaire. S'élevant à la verticale de l'eau se trouvait un objet en forme de beignet. Son diamètre était entre 300 et 500 mètres. Il volait sur place a une distance de 4 ou 5 kilomètres. La station radar du chalutier fut immédiatement rendue inopérante. L'objet survola la zone pendant 3 heures, et ensuite disparu instantanément.

Le témoignage d'Alexander G.Globa, un marin du Gori, un bateau citerne soviétique, a été publié dans le magazine Zagadki Sfinksa (numéro 3, 1992). En juin 1984, le Gori était en Méditerranée, a 20 nautiques de Gibraltar. A 16h00, Globa était en faction. Avec lui se trouvait le second du commandant S. Bolotov. Ils regardaient le cote gauche du pont quand les deux hommes observèrent un étrange objet polychromatique. Quand l'objet fut a l'arrière, il stoppa soudainement. S.Bolotov était enthousiasmé, secouant ses jumelles et criant : " c'est une soucoupe volante, une vraie soucoupe, mon dieu, vite, vite, regardes ! ".

Globa regarda l'objet a travers ses jumelles (il lui rappela la partie haute d'une casserole). L'ovni luisait d'une brillance métallique grise. La partie la plus basse de l'appareil avait une forme ronde précise, son diamètre ne dépassait pas les 20 mètres. Autour de la partie basse, Globa observa des " vagues " de protubérances sur la plaque extérieure.

La base du corps de l'objet consistait en deux semi-disques, le plus petit au-dessus. Ils tournaient lentement dans des directions opposées. Sur la circonférence du disque le plus bas, Globa vit de nombreuses lumières, lumineuses, comme des gouttes. L'attention du marin fut attirée par la partie supérieure de l'ovni. Elle semblait être complètement lisse et douce, sa couleur était jaune d'œuf et en son milieu, Globa discerna un rond, une tache comme un noyau. Sur le bord de la partie inférieure de l'ovni, laquelle était clairement visible, se trouvait quelque chose qui ressemblait à un tuyau. Il brillait d'une lumière rose non naturelle, comme une lampe néon. Le haut du disque central était entouré par quelque chose en forme de triangle. Cela semblait bouger dans la même direction que le disque inférieur, mais a une vitesse plus lente.

Tout a coup, l'ovni sauta plusieurs fois, comme s'il était déplacé sur une vague invisible. Beaucoup de lumières illuminaient la portion de dessous. L'équipage du Gori essaya d'attirer l'attention de l'objet en utilisant le projecteur a signaux lumineux. A ce moment la, le capitaine Sokolovky était dans son bureau avec ses hommes. Ils regardaient intensément l'objet. Toutefois, l'attention de l'ovni fut détournée par un autre bâtiment, approchant l'autre bord. C'était un cargo arabe, en route pour la Grèce. Les Arabes confirmèrent que l'objet survola leur bateau. Une minute et demi plus tard, l'objet changea sa trajectoire de vol. Les marins soviétiques l'observèrent alors qu'il traversait les nuages, apparaissant et disparaissant à nouveau. De temps en temps il brillait grâce aux rayons du soleil. Alors le vaisseau s'évanouit, comme une étincelle, et parti instantanément.

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Argentine, 1980

Autres publications :

A.Gorbovsky, un historien soviétique publia un livre intitulé " Enigmes de l'histoire ancienne " dans le début des années 70. Pour beaucoup de gens, dans l'Union Soviétique, ce livre était une introduction au monde interdit de l'ufologie, du paléocontact ( un terme russe pour l'hypothèse des anciens astronautes), et les mystères de notre histoire ancienne. Gorbosky mentionna un incident qui prit place dans l'ancienne Méditerranée ou les gens observèrent un étrange véhicule sous les eaux et faisant surface à très grande vitesse. L'objet s'éjecta de lui-même de l'eau, et disparu peut après.

B.Borovikov chassa les requins dans la mer noire pendant des années. Alors quelque chose arriva et qui mit fin a son hobby. Plongeant dans la région de Anapa, il descendit à une profondeur de 8 mètres. Il vit des êtres géants s'élevant de dessous. Ils étaient comme laiteux, mais avec des faces humanoïdes, et quelque chose comme une queue de poisson. L'être a la tête de ses compagnons vit Borovikov, et s'arrêta. Il avait des yeux bulbeux géants et des sortes de lunettes. Les deux autres le rejoignirent. Un deux tendit sa main, une main avec des membranes, vers le nageur. Tous approchèrent le plongeur, et s'arrêtèrent à petite distance. Alors ils tournèrent autour de lui, et nagèrent au loin. L'expérience de Borovikov fut publiée en 1996.

D.Povaliyayev était en train de faire du parachute au-dessus de Kavgolov (région de Leningrad) dans le début des années 1990. Il y avait des lacs, et dans l'un d'eux, le parachutiste nota trois " poissons " géants. Il descendit, et fut capable de discerner les " nageurs " dans leurs costumes argentés. Il mentionna l'épisode dans son livre Letuchi Gollandets (1995). Il y a eu beaucoup d'observations d'ovnis dans cette région.

Observations militaires classifiées d'Extranéens et d'OVNIS

Rencontres de militaires soviétiques avec des extranéens et des OVNI sous-marins. Ceci est un exemple de ce que l'on peut trouver dans des rapports officiels et on ne peut plus sérieux de témoins responsables et sous autorités compétentes.

Le chercheur Paul Stonehill écrit qu'il existe de nombreux rapports soviétiques concernant des rencontres avec des objets étranges sous la mer.

Durant l'été de 1982, Mark Shteynberg et le lieutenant-colonel Gennady Zverev dirigeant les entraînements périodiques des plongeurs de reconnaissance (hommes-grenouilles) des régions militaires du Turkestan et de Centre Asie. Les entraînements avaient lieux au lac Issyk-Kul, un lac profond dans la région des Ala-Taou Transiliens [NDT : 42°30'N par 77°30'E, près de la frontière chinoise]. Le général-major V. Demyanko, commandant le Service des Plongeurs Militaires des Forces du Génie du Ministère de la Défense, rendit à des officiers une visite impromptue. Il venait les informer d'un événement extraordinaire qui s'était produit en Sibérie. Des hommes-grenouilles avaient été confrontés à des nageurs sous-marins semblables à des hommes mais de grande taille (environ 3 mètres de haut) ! Ces nageurs, malgré l'eau glacée, étaient vêtus de combinaisons collantes argentées. Par 50 mètres de fond, ces êtres ne portaient pas d'appareils respiratoires, mais des casques sphériques masquant leurs têtes. Alertés par ces rencontres, le commandant militaire local décida de capturer une de ces créatures. Dans cette intention, un groupe spécial de plongeurs poursuivit un des étranges nageurs. Lorsqu'ils tentèrent de la coiffer avec un filet, le groupe entier fut projeté par une force puissante hors des eaux profondes vers la surface.

Les hommes-grenouilles étaient en danger de mort, parce qu'ils leur auraient fallu observer des paliers de décompression. Tous les membres de cette malheureuse expédition furent atteints d'embolie gazeuse. Le seul traitement envisageable était de les placer en caisson de décompression. Malheureusement le seul disponible à proximité ne pouvait contenir que deux personnes. On en serra cependant quatre dans le caisson, les trois autres périrent et les quatre devinrent des invalides. Le général-major s'était précipité à Issyk-Kul pour prévenir contre toute semblable initiative casse-cou. Bien que le lac Issyk-Kul soit moins profond que le lac Baïkal, des créatures mystérieuses se trouvaient dans les deux.

Lire la suite ci-dessous :

Sapelo island 2

Actualités archéologie - sciences

Par Le 13/07/2015

Actualités archéologie - sciences - 03-2012 - up 07-2015

 Les Mystères de Sapelo Island, Georgia, USA

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Sapelo Island, Georgie, USA

Un aperçu des news récentes que je retiens pour mon panel d'intérets, avec tout d'abord un gros objet en titane (2 mètres de haut) trouvé dans un champ d'une petite ville russe, à Kouïbychev (région de Novossibirsk en Sibérie). Curieux, les Russes se grattent la tête et ne reconnaissent pas un de leur engin spatial ou militaire. A moins que l'un des "OVNIs" fabriqué par l'une des associations connues dans ce pays (il y existe des rencontres entre fabriquants d'engins volants de toutes natures) ait échoué là... (notez que le vidéo a disparu du site et d'internet...) :

Objet titanium kouibychev russie

Un débris métallique mystérieux a été trouvé dans un champ du district de Kouïbychev (région de Novossibirsk en Sibérie). L'objet qui à première vue est en titanium a une hauteur de 2 m et pèse 200 kilos.

Les spécialistes de l'Agence spatiale de Russie ne parviennent pas à établir l'origine de cet objet. Il ne s'agit pas d'un fragment d'un missile balistique, a communiqué mardi un représentant du service de presse de l'Agence.

Seule l'étude détaillée de cet objet permettra de conclure définitivement sur son origine... (YH : dont on n'a plus jamais entendu parler...)
 

Source : http://french.ruvr.ru/2012_03_20/69033742/

 

sapelo-1.jpgSapelo, en face du village trouvé

Ensuite, il y a la découverte étonnante faite sur une île au large de la Géorgie, USA : un grand village indien entouré de larges murs et datant au minimum de -4.500 ans. La théorie disant que seuls des chasseurs-cueilleurs nomades existaient à cette période en prend encore un coup avec cette sédentarisation évidente ancienne, y compris aux amériques et qui a duré apparemment un bon moment... :

L'histoire de l'homme de Sapelo remonte environ à 4.500 ans. Les investigations archéologiques sur l'île ont déterminé une présence étendue de Natifs américains sur Sapelo au cours de la période archaïque de la préhistoire (-2,500 à -500 AVANT JÉSUS CHRIST). Le nom Sapelo lui-même est d'origine indienne, appelé Zapala par les missionnaires espagnols qui se sont établis sur l'île de 1573 à 1686. La mission franciscaine de San Josef a été située sur l'extrémité nord de l'île à ou près de l'Anneau de Coquillages des Natifs américains, un monticule cérémonieux préhistorique qui représente une des caractéristiques archéologiques les plus uniques sur la côte de la Georgie, USA.

Cette petite ville antique a été construite autour de 2300 AVANT JÉSUS CHRIST et a comporté trois quartiers chacun entouré par des murs circulaires  de vingt pieds de hauteur construits avec des tonnes de coquillages. Une partie des poteries les plus anciennes en Amérique du Nord a été également trouvée enterrée dans les restes de cette ville perdue.

Le site est tout à fait une énigme parce qu'à l'heure de sa construction, les Natifs américains vivant dans le secteur étaient (à priori) des chasseurs et des ramasseurs simples qui devaient inventer encore l'agriculture. Beaucoup de chercheurs croient que l'agriculture est un préalable à la civilisation. Ces personnes tribales simples ont-elles d'une certaine manière fait le saut à partir de la chasse-et-collecte à la civilisation dans un temps rapide, produisant non seulement une ville murée mais également une nouvelle technologie de la poterie, sans les avantages de l'agriculture ? Ou est-ce qu'un peuple déjà civilisé est arrivé sur la côte de la Georgie, d'ailleurs et, si oui, d'où sont-ils venus et pourquoi ? Juste trente ans avant que la construction du Sapelo Shell commence, les chercheurs ont noté que les civilisations de l'âge de bronze autour du monde montrent un modèle d'effondrement... A noter également les autres anciennes traces laissées par les "natifs" ou plutôt "migrants" à mon avis en Géorgie :

Dans le Moyen-Orient, les Akkadiens Sumeriens se sont effondré et les niveaux de la Mer Morte ont atteint leur plus bas point. En Chine, la culture de Hongsan s'est effondrée. Les sédiments du Groenland et d'Islande montrent un pic de froid vers 2200 AVANT JÉSUS CHRIST. La population de la Finlande a diminué par un tiers entre 2400 et 2000 AVANT JÉSUS CHRIST. Dans la région d'Anatolie de la Turquie, y compris le site de la Troie antique, il y a des preuves exposées de 350 sites brûlés et abandonnés. Des régions entières sont retournées à un mode de vie nomade après des milliers d'années d'une vie agricole.

MAJ 07-2015 : Les constructions préhistoriques de Sapelo Island représentent une carte céleste ? :

" Le complexe "shell mound Sapelo" est l'un des sites les plus étonnants que nous ayons déchiffrés, comme vous le verrez dans le cadre de cette annonce, d'autant plus que nous avons d'abord accepté la "vision standard" que le site se composait de trois grands anneaux enveloppant des monticules et de nombreux tertres non entourés de peu de conséquence apparemment.

Depuis que nous avons publié nos déchiffrements du complexe Mill Cove et l'île Little Talbot Grand-Mounds comme représentant les étoiles de la constellation des Poissons, il est apparu superficiellement que les trois monticules circulaires de Sapelo dans leur formation triangulaire, constituaient probablement les étoiles Phi, Upsilon et Tau situées au-dessus des poissons des deux autres sites.

Néanmoins, nous avons préféré aller au fond de certaines choses embarrassantes que nous avons trouvé dans notre examen des différentes représentations du site Sapelo, qui nous semblaient être beaucoup plus compliquées que ce que nous avons imaginé au premier coup d'œil. Ce point de vue a été vérifié - nous sommes entièrement d'accord - dans l'article cité ci-dessous où Thompson et autres écrivent à la p. 192, citant le travail de Lewis H. Larson Jr .:
"... Les peuples archaïques possédaient un degré de complexité non constatés antérieurement par les archéologues du Sud-Est. (YH : de la Georgie)"
Comment justes, ils seront révélés être !

Nous lisons ce qui suit dans la publication de Victor D. Thompson, Matthew D. Reynolds, Bryan Haley, Richard Jefferies, Jay K. Johnson, et Laura Humphries, The Sapelo Shell Ring Complex: Shallow Geophysics on a Georgia Sea IslandSoutheastern Archaeology, Vol. 23, No. 2, (Winter 2004), pp. 192-201, Maney Publishing, Article Stable URL: http://www.jstor.org/stable/40713321:

"Le complexe de "Sapelo Shell Ring", situé sur l'île de Sapelo, en Géorgie, se compose de trois grands amas coquilliers circulaires et de nombreux petits amas de conquillages amorphes. Aujourd'hui, l'un des anneaux est très visible;. Cependant, les deux autres anneaux et les amas non en anneau ont peu de relief de surface et sont pratiquement invisibles. En fait, l'emplacement et l'existence même des deux autres anneaux a été débattu pendant un certain temps. Un relevé géophysique récent, cependant, a situé les restes souterrains des deux anneaux moins évidents, ainsi que certains des amas amorphes. "

Le travail de Thompson et al. comme cité ci-dessus est essentiel car, à la page 198, ils produisent une carte topographique du complexe de monticules de coquillages de Sapelo Island, et l'accompagnent d'un texte indiquant qu'ils avaient trouvé de nombreuses «anomalies» circulaires à l'intérieur et à l'extérieur des anneaux et d'autres amas amorphes, à savoir qu'il y avait beaucoup plus sur le site que ce que voyait immédiatement le regard.

Cette carte topographique dans la publication de Thompson et al. est la clé de Sapelo !

A ce point, ajoutons l'addendum suivant sur JSTOR, où nous avons pu accéder à l'article Thompson gratuitement et à partir duquel nous avons obtenu les images qui ont servi de base pour le déchiffrement présenté ci-dessous.

Vous aurez à aller à JSTOR et inscrivez-vous pour voir la carte topographique originale et des images et tenter votre propre chance de tracer cette carte pour voir si vous vous rapprochez de notre résultat. Vous pouvez, ou ne pouvez pas. Essayez. Mais vous aurez besoin d'un programme comme Paint Shop Pro (nous utilisons l'ancienne, la version 7), qui permet tous les types de zoom, le changement de couleur et de la luminosité, et surtout la fonction de niveau de seuil, ce que nous avons mis à "1" pour arriver à un résultat tracé en noir et blanc.

Nous avons été des critiques sévères de JSTOR dans le passé en raison de leur politique de pay-to-view (payer pour voir) pour l'origine des articles alors qu'ils sont déjà subventionnés directement ou indirectement par les contribuables, alors pourquoi devrions-nous avoir à payer de nouveau pour eux ? Ce paiement n'est pas un problème pour les professeurs d'université, qui non seulement sont bien payés pour leurs postes universitaires, mais dont les collèges et les universités payent aussi le projet de loi du JSTOR, afin que le monde JSTOR soit essentiellement ouvert à eux gratuitement, tandis que ceux d'entre nous qui sont chercheurs sur les anciens (sûrement une petite minorité de personnes) n'obtiennent non seulement pas de rémunération d'aucune institution, mais sont invités à payer des sommes considérables pour voir des articles ayant une valeur que nous ne pouvons que deviner, jusqu'à ce que nous voyons effectivement ces articles.

À leur crédit, cependant, que nous avons découvert aujourd'hui, que maintenant JSTOR permet désormais aux utilisateurs enregistrés de voir quelques articles gratuitement sur leur pannel, et qui couvre les articles les plus urgents, tels que l'article cité ci-dessus, sans lequel notre analyse ne pourrait pas avoir été effectuée. Donc, pour ça, nous sommes reconnaissants.

Voici le déchiffrement de Sapelo, et croyez-moi, c'est fantastique ! Nous avons obtenu notre résultat en zoomant l'image topographique d'origine de la carte de Thompson et al. (Cité ci-dessus) à différentes couleurs et nuances de luminosité et à diverses résolutions plus élevées, allant de deux à huit fois la taille de l'image d'origine, puis en traçant au mieux de notre capacité honnête toutes les formes et les cercles et les lignes plus sombres que nous pouvions trouver - pour voir si elles avaient un sens, alors que nous ne savions pas ce qui a été décrit initialement, autre que le poisson de la constellation des Poissons. Vous voyez le résultat ci-dessous :

Les monticules de Conquillages de Sapelo Island près de Darien Georgie
Marquent les étoiles de la constellation des Poissons de l'équateur céleste 2170 av JC
Les Affichant anthropomorphiquement comme un pêcheur sous-marin
Utilisant archaïquement un appareil respiratoire dans un océan de poisson...

Sapelo island shell mounds deciphered as ancient snorkeler and fish by kaulins

Comme on peut le voir sur notre image de déchiffrement, les amas coquilliers de Sapelo Island, à savoir les soi-disant tertres en «anneaux» et «non circulaires" brossent un tableau de la mer sous-marine des étoiles de la constellation des Poissons vers 2170 av JC à l'équateur céleste.

Ce qui est étonnant est que le personnage principal est un ancien pêcheur-plongeur qui utilise un certain type d'appareil respiratoire archaïque sur lequel nous n'allons faire aucune spéculation, pour la simple raison que nous ne savons rien au-delà de notions de base sur la technologie de la plongée, ancienne ou récente. Nous laissons cela aux experts.

Le pêcheur ou plongeur est représenté dans une mer de poissons marqués par les étoiles, y compris un serpent d'eau, la baleine, le requin (ou d'autres gros poissons), la sardine, poulpe, étoiles de mer et poissons tropicaux.

Nous ne nous attendions pas à trouver un pêcheur ancien ou un plongeur sous-marin à Sapelo, mais il est là, et, comme nous l'avons découvert rudimentairement en ligne, il y a en fait de nombreuses preuves que la plongée ancienne en apnée était connue. Nous citons le "Early History of Snorkeling" et "au plus tôt" Snorkelers à Key West Snorkeling Tours:
"Pensée pour être la plus ancienne mention de la plongée en apnée, le philosophe grec Aristote a mentionné la pratique dans son étude "Parts of the Animals", où il se réfère aux plongeurs utilisant des " instruments pour la respiration " ressemblant à une trompe d'éléphant.

Les tout premiers plongeurs ont été supposés être des ramasseurs d'éponge sur l'île grecque de Crète il y a environ 5.000 ans, qui ont utilisé des tubes creux pour permettre la respiration pendant qu'ils gardaient leurs visages dans l'eau pour la plongée pour les éponges. Les archéologues qui étudient les peintures des bas-reliefs assyriens à partir de 900 avant JC, ont identifié des personnages utilisant des peaux d'animaux remplis d'air comme une forme brute de bassin de plongeon, permettant l'exploration plus loin sous la mer. Des tubas ont également trouvé leur utilisation dans l'action militaire de l'ancien monde. Autour de 500 avant JC, l'historien Hérodote raconte que Scyllis, un Grec, s'est échappé d'un navire Perse en étant indétecté, en utilisant un roseau creux comme un tuba et a ensuite traversé toute la flotte Persique en dérivant ".

Source : http://ancientworldblog.blogspot.com/2015/04/the-shell-rings-on-sapelo-island-near.html

 

Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 03-2012, up 07-2015

Tulor chili

Chili, des glyphes sur 4 km visibles que de loin

Par Le 12/07/2015

Chili, des glyphes sur 4 km, visibles que de loin

 

Tulor chili

Ruines de Tulor, Chili, Wikimedia Commons - Photo : Daniel Gutiérrez Paredes.

 

Découverts il y a déjà quelques années, ces énormes glyphes sont toujours un mystère. Ils sont intacts car placés dans un endroit assez isolé et peu visité par les touristes, mais aussi les chiliens. Pour vouloir les admirer, il faut prendre une mauvaise route (car non entretenue depuis des années) menant à l'ancienne cité minière de Humberstone. C'est une ville fantôme, abandonnée, comme les mines de cette partie du désert d'Atacama au Chili...

 

Chili dessinsgraves lignes 4km 1

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