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Les OANIs : un petit historique
Les OANIs : un petit historique
- 2012 - up 07-2015
Quand on parle d'O.A.N.I., on ajoute une caractéristique technique de plus aux objets observés : ils ne se contentent pas de voler à des vitesses fantastiques mais se déplacent aussi dans les océans. Cela suggère également que ces OANIs possèdent des bases sous marines, ce qui expliquerait certaines observations locales fréquentes et des disparitions inexpliquées de navires. On peut aussi citer les récentes révélations d'une cité aquatique construite par une civilisation pré-colombienne en amérique centrale...
En quelque sorte, les O.A.N.I. signifient à la fois Objets Aériens Non Identifiés et Objets Aquatiques non Identifiés. Les objets en question se comportent d'après les témoins d'une manière ''intelligente', c'est-à-dire comme le font des machines construites, téléguidées ou pilotées par des entités vivantes ou robotisées. Ces objets manifestement solides entrent dans les mers et les océans et en émergent, sans oublier les lacs et les cours d'eau. Ces objets qui sortent de l'eau et y plongent peuvent aussi sortir de notre atmosphère pour évoluer dans ce que nous appelons l'espace. Ceci posé, sans toutefois remonter au déluge, voici une série de rapports très significatifs concernant des observations d'O.A.N.I..
Dans les Anales Russes, on trouve un cas très intéressant et authentifié :
Le 15 août 1663, entre 10 heures et midi (heure locale) on entendit un bruit fort et au nord, du ciel clair et ensoleillé surgit un grand objet flamboyant de 40 mètres de diamètres (la hauteur d’un grand immeuble de 12 étages). Se dirigeant vers le sud, cette objet se mit à glisser au-dessus de la surface du Rob-Ozéro.
De la partie avant de l’objet sortaient deux jets de feu et de deux cotés de l’objet on voyait une fumée bleuâtre. Après avoir survolé une partie du lac, l’objet disparut dans des circonstances restées obscures.
Sa deuxième apparition se termina peu après par la diminution de la vivacité de sa luminescence et par sa disparition. Quelques temps après, très vite, à 500 mètres plus à l’ouest, le même objet incandescent apparut plus grand plus éblouissant, plus effrayant.
Ensuite l’objet s’obscurcit et disparut.
Le temps total de la présence de ce corps étrange au dessus du lac fut d’une heure et demie. Les dimension du lac ne sont pas grandes: deux kilomètres de longueur sur un kilomètres de largeur. Au moment de l’apparition de ce corps, des pécheurs se trouvant dans leurs barque voulurent s’approcher de lui. Mais il renoncèrent à ce projet, la chaleur à sa proximité étant insupportable. La lumière que le corps émettait était si forte qu’on voyait le fond à la profondeur de huit mètres et les poisons se sauvant de cette lumière.
Là ou le feu effleurait l’eau en se déplaçant, sur la surface apparut un film brun qui faisait penser à la rouille.
Quant à la véracité des détails, il n’y pas de doute non plus, le rapport ayant été consigné par le scribe du monastère de Saint Cyrille, après la confirmation des faits par les prêtres se trouvant sur la place d’observation. Cette prudence était tout à fait normale, puisque le scribe répondait sur sa tête de ce qu’il envoyait aux supérieurs ; l’église russe de l’époque ne plaisantant pas sur les phénomènes considérés comme des manifestations diaboliques. Naturellement, tout cela a été compris par les témoins comme ’’un signe de Dieu’’.
Extraits "Le livre des damnés" Chap. 5, Charles Fort, 1919) :
18 juin 1845: Les passagers du brigantin Victoria, naviguant à mille trois cents kilomètres d'Adalie, en Asie mineure, ont vu trois corps lumineux sortir de l'océan à une quarantaine de mètres du navire. Les trois "objets" restèrent visibles durant dix minutes. (1)
22 mars 1870: Cap vert: Le capitaine F. W. Banner, commandant du " Lady of the Lake", fait le point et porte sur son livre de bord: "... les matelots de mon navire ont vu dans le ciel un nuage remarquable. Il avait une forme circulaire avec un demi cercle inscrit divisé en quatre parties, le trait de division commençant au centre du cercle et s'étendant vers l'extérieur, puis se recourbant en arrière. L'objet évoluait d'un point situé à 20° au-dessus de l'horizon jusqu'à un autre situé à 80°. Puis il se dirigea vers le NO alors qu'il était venu du SO. Il était gris-clair, soit couleur nuage, beaucoup plus bas que les autres nuages, il se déplaçait contre le vent. Il se présenta obliquement par rapport au vent puis se décida à filer droit dans l'œil même du vent. La forme fut visible pendant une demi-heure. Elle disparut à cause de l'obscurité. (1, 2, 3)
Voici un autre incident s’étant produit dans le Pacifique nord-est, au cours de l’été 1945.
Il s'agit d'un grand O.A.N.I. sortant de l’eau et observé par des membres d’équipage du transport U.S. Delarof, chargé de munitions et de matériels pour l’Alaska.
Le témoin, auteur du rapport, est Robert S. CRAWFORD qui servait à bord en qualité de radio militaire.
" Le bateau, retournant à Seattle (État de Washington) se trouvait au large de l’île Adak. Le soleil allait se coucher et Crawford se tenait à bâbord, près de la cabine radio, quand il a entendu crier des hommes d’équipages. Il s’est retourné et a vu un grand objet rond qui venait de surgir de la mer. (Plusieurs homme d’équipages ont même vu l’O.A.N.I. apparaître sous la mer à un mille environ du Delarof). L’engin inconnu se découpant en silhouette sombre sur le soleil couchant, est monté presque à la verticale pendant quelques instant, puis il a courbé son vol pour venir à l’horizontal et s’est mis à décrire des cercles autour du bateau.
Tout les observateurs étaient convaincus que c’était un très grand objet. En le comparant à la largeurs d’un doigt tenu à bout de bras, Crawford a estimé qu’il devait avoir de 45 à 75 mètres de diamètres.
En tournant autour du Delarof, l’objet volant était à portée facile de ses canons. Mais les canonniers n’ont pas tirés, tout en guettant tout signe d’hostilité. L’O.A.N.I. a fait deux ou trois fois le tour du bateau, volant régulièrement et sans aucun bruit.
Tout les témoins ont estimé qu’il était auto-propulsé, autrement le vent violent qui régnait aurait visiblement affecté ses mouvements. Au bout de plusieurs minutes, l’objet volant a disparu vers le sud ou le sud-ouest. Soudain l’équipage a vu trois éclat de lumières venant de l’endroit ou il avait disparu. Le capitaine du Delarof a posté une bordée de quart supplémentaire quand le bateau est repassé plus tard par ce secteur, mais rien n’a été vu.
10 février 1951: Océan Atlantique: Le Lieutenant réserviste de l'US Navy Graham Bethune, copilote sur le vol 125 de Keflavik, rapporte:
"Alors que je volais dans le siège de gauche sur un trajet à 230 degrés à la position 49-50 Nord et 50-03 Ouest, j'ai observé une lueur au-dessous de l'horizon à environ 1.000 à 1.500 pieds au-dessus de l'eau. Nous avons observé son cours et mouvement pendant environ 4 ou 5 minutes avant d'attirer l'attention des autres membres d'équipage... Soudainement son angle d'attaque a changé, son altitude et sa taille ont augmentés comme si sa vitesse dépassait les 1.000 miles par heure. Elle s'est rapprochée tellement rapidement que notre première impression était que nous allons vers une collision en plein air. En fait son angle a changé et sa couleur a changé. Il est ensuite apparu comme sans aucun doute circulaire, orange rougeâtre sur son périmètre. Il a inversé son vol et a triplé sa vitesse jusqu'à ce qu'il ait disparu hors de vue au-dessus de l'horizon. En raison de notre altitude et de la distance trompeuse au-dessus de l'eau il est presque impossible d'estimer sa taille, distance, et vitesse. Une évaluation grossière serait d'au moins 300 pieds de diamètre, d'une vitesse de plus de 1.000 miles par heure, et il s'est approchée à moins de 5 miles de l'avion." (1)
Mai 1958, Octobre 1959 et Janvier 1960 : Golfe Nuevo : Le Golfe Nuevo a été la scène d'une série de contact sous-marins mystérieux (1, 2, 3, 4)
Février 1961: Carélie, URSS: un garde forestier, Vassili Brodski, remarque une énorme fosse (27 m de long, 15 de large et 3 m de profondeur) qui mène au lac gelé de Korb, sur la rive en falaise Sud comme une brèche, et qui n'existait pas la veille à 21 h. Les bûcherons de la région n'ont rien vu, rien entendu. Un objet percutant semble avoir creusé la falaise, la glace et le fond du lac creusant une fosse de 1000 m3 avalant le sol gelé, avoir enfoncé la glace dans le fond et avancé de 20 m sur le fond en poussant un bourrelet de 1,5 m de terre vaseuse et être ressorti en marche arrière. L'objet n'a pas été vu mais a laissé des fragments de nombreux métaux. Les morceaux de glace brisée sont d'un vert émeraude dont nulle analyse ne pourra explique la nature ni l'origine. D'étranges grains noirs recueillis sur la rive révèlent une composition chimique métallique si complexe qu'elle ne pourrait être obtenue que par des opérations effectuées à très haute température ; ils résistent à l'action des acides. On en conclut que ces grains ont une origine non-organique et probablement non-naturelle. Depuis, la végétation à l'intérieur de la fosse est inexplicablement luxuriante mais, en dépit de tant d'énigmes, les recherches n'ont pas été poursuivies, parce que le phénomène n'est pas dangereux pour l'homme. (1, 2, (LES OVNIS EN URSS et dans les pays de l'est, Robert LAFFONT 1976))
1er août 1962: Le Brusc, France: Dans la nuit, trois pêcheurs dans deux bateaux, virent une sorte de sous-marin émerger lentement de l'eau. Trois hommes-grenouilles sortirent de la mer et montaient à bord de ce navire. L'un des pêcheurs les appelait par haut parleur, mais ils ne répondirent pas, sauf l'un des trois qui fit un signe du bras. Quand ils avaient intégré le navire, celui-ci sortit de l'eau, planant sur place, paré de lumières rouges et vertes. Un projecteur blanc s'alluma et se dirigea vers les bateaux de pêche. Ensuite les lumières de la chose s'éteignirent, tout l'engin devint lumineux orange, se mit à tournoyer de plus en plus vite pour tout à coup s'élancer en une fraction de seconde vers le ciel où il disparut. Les pêcheurs n'ont entendu aucun bruit autre que celui des vagues. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 166)...
18 janvier 1967: Sjællands, Danemark: Deux enfants vont observer un OVNI près de la rive dont sortira 8 êtres. Tandis que l'appareil avait été en vol stationnaire au-dessus du rivage, selon le garçon, quelque chose avait été jeté sur la plage. Une substance pourra être étudiée plus tard. (1)
Octobre 1967: Shag Harbor, Canada: Laurie Wickens et 4 de ses amis roulent à travers le petit village de Shag Harbour sur la route n° 3, lorsqu'ils remarquent quelque chose d'inhabituel en l'air devant leur voiture : un phénomène estimé à 60 pieds de long environ, de couleur ambre et à l'apparence de "bol", portant 4 feux brillants clignotant en séquence, incliné à 45° et s'apprêtant apparemment à tomber dans les eaux du port. Au moment de l'impact, un éclair brillant est observé en même temps qu'un énorme bruit d'explosion. Wickens tente de garder l'objet en vue tout en continuant à conduire à travers le village vers l'ouest. (1, 2, 3, 4, 5)
Vidéo Incident à Shag Harbor 1/4 - Vidéo Incident à Shag Harbor 2/4 - Vidéo Incident à Shag Harbor 3/4 - Vidéo Incident à Shag Harbor 4/4
Apparitions sur des lacs naturels :
En novembre 1969, le chroniqueur Carlos Comena, journal du soir ‘’ Ultima Hora ’’ de Lima, est allé voir le commandant du port du lac Titicaca, le Senor Mario Delgado.
Selon les déclarations de ce dernier ‘’ce n’est plus un secret qu’a Puno les O.V.N.I.S. passent à chaque moment en direction du lac et y disparaissent ‘’.
(Puno est une ville portuaire situé sur la rive occidentale du lac, un des plus grand lac de montagne du monde).
Une entrevue avec deux officiers de marine de seconde classe, les Senores Genaro Aguilar et Juan Valle, lui a permis d’apprendre qu’en une autre occasion, divers objets volants non identifés arrivèrent lentement en formation triangulaire et disparurent dans le lac (lequel est à 3812 mètres d’altitude et a une surface de 8340 km²).
On a observé dans le lac Huypao des phénomènes semblables.
Ainsi, courant 1968, selon Monsieur Ruben Tizziani, correspondant de la revue argentine ‘’2001’’, les originaires du lieu certifient que tous les samedis soir, un étrange corps lumineux s’immerge dans les eaux du lac pour en ressortir les lundis matin (2).
Quant aux lacs de retenue, ils occupent une place relativement importante dans l’histoire des O.A.N.I. d’eau douce.
(2 )Référence: article de M Ruben Tizziani paru dans le n° 6 de la revue ‘’2001’’ en date du 20 décembre 1968 (page 34 à ) et ayant pour titre ‘’OVNIS sobre CUZCO: cotiadiano y real’’, soit en français ‘’OVNI sur CUZCO: quotidienne réalité’’.
A titre d’exemple, en octobre 1966, la presse locale de la grande banlieue de New-York (U.S.A.) fut submergée de rapports de ‘’soucoupes volantes’’, observées autour et au dessus d’un vaste lac de retenue, dans le nord-est du New Jersey, appelé lac Wanaque, alimentant Jersey City. L’affaire fut reprise par les agences de presse et s’enfla démesurément et dura prés de deux ans.
Quand les premiers O.A.N.I. furent signalés, des milliers sinon des dizaines de milliers de personnes envahirent la région toutes les nuits pour guetter (et souvent observer) les mystérieux objets illuminés. Parmi les curieux, il y eut des journalistes en nombre, des scientifiques sceptiques au départ, des ufologues et également des militaires qui pour d’excellentes raisons furent les premiers sur les lieux (3).
Plus tard, en avril 1969, à la demande d’un ami haut gradé de l’US. Navy, s’occupant du dossier O.A.N.I.. au sein du Pentagone, le nommé Ivan T. Sanderson et son adjoint se rendirent sur les lieux.
Lors d’une rencontre organisée par la police d’État du New Jersey avec le responsable chargée depuis 30 ans de certains aspects de la sécurité, au barrage et au réservoir, tout deux eurent confirmation du fait que de mystérieuse lumières et des objets solides illuminés étaient observés dans la région depuis plus d’un demi- siècle et apprirent de surcroît qu’en plusieurs occasions, ces incidents concernaient des O.A.N.I. plongeant, émergeant ou ayant été recherchés dans le lac de retenue par des plongeurs disposant d’un important mais discret matériel de l’US Army !
Autre cas très remarquable :
Le 31 octobre 1963, Rute de Souza (8 ans), fille d’Elidia de Souza qui habite près d’Iguape au Brésil, entendit un étrange grondement, de plus en plus fort et, cherchant d’ou venait le bruit, elle vit avec terreur un objet argenté approchant de la rivière, près de sa maison. L’objet survola le toit, puis elle-même, heurta la cime d’un palmier et se mit à ’’se tortiller ’’ et à se débattre en l’air au-dessus de la rivière. Il tomba enfin dans la Peropava, près de la rive opposée.
Rute courut dans la maison pour avertir sa mère et la croisa qui sortait. Mrs de Souza avait également entendu le bruit et se précipitait dehors pour voir ce que c’était . Peu après, Paul de Souza, le père de Rute, arriva à son tour. Lui aussi, il avait entendu le grondement alors qu’il travaillait à une centaine de mètres de la maison. Le trio regarda avec stupéfaction l’eau ’’ se soulever en bouillonnant ’’ à l’endroit ou le disque était tombé. L’eau continua de monter puis il y eut un jaillissement d’eau boueuse et enfin de boue.
Sur la berge opposée, des pêcheurs parmi lesquels le Japonais Tetsuo Ioshigawa, avaient été témoins de l’événement et ce fut par ce dernier que les enquêteurs et les reporters obtinrent une description suffisante qui leur permit d’estimer la taille de l’objet à environ 7,60 mètres de diamètre. Tous décrivirent le disque comme une ’’cuvette’’ d’aluminium poli. L’objet semblait se trouver à 7 mètres d’altitude quand il heurta le palmier. Jusqu’alors, il avait volé en ligne droite et après le choc, il entama des girations qui firent penser aux témoins qu’il avait des ennuis.
(3) Wanaque est une zone extrêmement surveillée, car c’est une partie vitale des besoins en eau de Jersey-city et de son complexe d’industries et de services essentiels.
Au cours des semaines suivantes, divers plongeurs tentèrent une opération de récupération. Au début des plongeurs avec de simples masques s’y essayèrent, mais échouèrent, puis ce furent des plongeurs avec scaphandres autonomes et enfin un scaphandrier professionnel de profondeur, avec sa combinaison et son compresseur d’air, qui tenta de localiser le disque. Au dernières nouvelles, rien n’a été trouvé et tous les plongeurs se plaignent d ‘être gênés par la vase au fond de la rivière. La Peropava est profonde de 4 mètres à l’endroit ou le disque sombra et son fond de vase est composé d’environ 5 mètres de boue et d’argile. Si le disque a plongé dans l’eau, puis dans la vase, comme semble l’indiquer le bouillonnement suivi de jaillissement de boue, il a traversé la couche de vase jusqu’aux rochers en dessous.
Afin de mesurer pleinement la signification de l’incident tel qu’il s’est produit, comme tout le prouve, l’on doit prendre tous les facteurs en considération. Bien que des détecteurs de mines aient été utilisés et que le génie civil du Brésil ait tenté de retrouver et de récupérer le disque, les rapports ne signalent pas le moindre succès, pas même l’emplacement du disque. De ce fait, l’on peut envisager la possibilité que le disque, après s’être heurté au fond, s’est éloigné grâce à un moyen de propulsion quelconque, de son point de chute initial. De plus sa taille indique qu’il pouvait être habité et qu’alors des réparations ont pu être effectuées sous l’eau, et l’évasion de la rivière et de la vase réussie pendant la nuit dans un lieu plus isolé que celui ou il avait coulé (4).
a priori, si vous étiez un pilote d’O.A.N.I. et aviez des ennuis mécaniques ou tout autres désagréments, la meilleure issue serait de vous planquer dans le lac, la rivière ou le fleuve le plus proche, en attendant de l’aide ou de réparer en toute discrétion.
De toute ce qui précède, plusieurs remarques s’imposent.
La première :le personnel naval qui entre vraiment en contact avec le domaine sous-marin, ce sont les gars du radar et du sonar, tant dans les sous-marins qu’a la surface. Ils sont pratiquement les seuls à pénétrer en profondeur dans cet élément, et notez bien, c’est précisément d’eux qu’émanent les rapports les plus circonstanciés concernant les O.A.N.I.
Seconde remarque: 72% de notre planète est recouvert d’eau, si l’on tient compte de tout les lacs, cours d’eau ,etc... Ceci explique tout naturellement le pourcentage élevé d’observations d’O.A.N.I. dans ou au dessus de l’élément liquide.
Troisième remarque: De nombreuse expériences et édifications en milieu aquatique ont amplement prouvé que vivre sous l’eau est parfaitement possible. Même pour des entités respirant du gaz (de l’air) sans parler de celles qui respirent du liquide (eau).
Références: The A.P.R.O. Bulletin, janvier 1964 (page 1) organe de l’Aerial Phenomenon Research Organization, fondée en 1952.Fate, mai 1964 (page62-65).
En fonction de tout ce qui précède, il y a donc de sérieuses raisons de penser que toutes choses résidant sous la surface de notre hydrosphère ont été initialement développées ailleurs et sont venues s’installer ici ou viennent en visites depuis longtemps, régulièrement ou non.
Par ailleurs, de l’avis autorisé de spécialiste du renseignement naval, notamment ceux de l’O.N.I. (Office of Naval Intelligence de l’US Navy) (5) et de la branche marine du G.R.U. le Service du Renseignement Militaire Russe) (6), rien ne s’oppose, bien au contraire, à la présence d’êtres intelligents et industrieux vivant au fond de des mers et océans, notamment dans de vastes habitacles forés dans les flancs des grandes chaînes de montagnes sous-marines et peut être aussi dans les couches supérieurs de la lithosphère qui se trouvent au-dessous(7).
Pour conforter ce point de vue, sachez par exemples que des informations concordantes, extraites de livres de bord de sous-marins nucléaires d’attaque de l’U.S Navy, font mention de ‘’nids’’ O.A.N.I. repérés dans la fosse abyssale de Porto Rico.
Noter, que cette fosse océanique qu'est l’atlantique occidental, atteint par endroit, plus de 9000 mètres de profondeur et s’allonge sur près de 1500 kilomètres, à la limite nord de l’île du même nom.
Plus près de nous, des marins pêcheurs corses du secteur de Porticcio, localité proche d’Ajaccio, m’ont discrètement informé qu’ils observèrent à diverses reprises et observent encore maintenant des engins volants inconnus émergeant des flots ou y plongeant, tels des habitués du coin.
A ce propos je tiens à rappeler que la Méditerranée est une mer intercontinentale profonde (moyenne 1500 mètres). Par ailleurs, d’aucuns affirment que l’État Major de la Marine Nationale Française est au parfum de ces ’’incidents’’ à proximité de l’île de Beauté. (YH : ne pas oublier non plus une base de sous-marins français locale, les incidents du Minerve et de l'Eurydice... les rapports font état de probables collisions sans identifications certaines des bâtiments concernés - le Tabarka cité pour l'Eurydice n'a enregistré officiellement aucun dégât ni incident...)
Reste encore à aborder la questions cruciale des origines ’’vraies’’ des possesseurs d’O.A.N.I., fréquentant notre planète et autres lieux. Ceci est une autres histoire beaucoup plus complexe que celles de leurs agissements parmi les gens d’ici bas
5 - Le contre-amiral Michael W.Cramer, directeur pour le renseignement de l’état major général de l’U.S Navy (j2) exerce depuis Septembre 94 les fonctions de directeur de l’O.N.I.
6 - Pour l’anecdote, le bâtiment de neuf étages qui abrite le cœur est le cerveau du G.R.U. est baptisé ‘’l’Aquarium’’ par les initiés.
7- La lithosphère est une zone formant l’une des enveloppes concentrique du globe terrestre caractérisée par sa rigidité, son épaisseur est de l’ordre de 50 kilomètres sous les océans et environ du double sous les continents.
Ovni sous marin dans le sud du Vietnam
Joseph Foster écrit : "En 1970, mi avril, nous faisions ancrage a bord de notre bateau de gardes cotes américain . Le capitaine nous autorisa a nager a la fin de l'après midi et je tenais la garde avec un M-16 sur le pont d'envol pour veiller aux requins.
Les nageurs plongeaient du pont principal et nageaient jusqu'à un radeau. Huit d'entre nous ainsi que le capitaine étions en train de regarder les 20 nageurs quand notre attention a été attirée par une grand objet sous marin qui se déplaçait lentement directement sous le bateau.
L'objet ressemblait a une ombre noire de forme elliptique. Il était a environ 50 pieds de profondeurs et se déplaçait perpendiculairement a l'axe de notre bateau. L'observation totale n'a pas durée plus de 20 ou 30 secondes.
Les hommes dans l'eau n'avaient aucune idée qu'un grand objet passait sous eux. Nous avons refusé la possibilité d'un requin blanc ou d'une baleine car il n'y avait aucun aileron ou appendice visibles.
Notre équipage a eu aussi des observations d'ovnis. Durant notre mois de juillet, nous avons eu un contact radar avec trois cibles voyageant a une vitesse supérieure a 3000 miles/heure. Huit hommes d'équipage ont vu trois lumières blanches voyageant vers le sud ouest et dans une formation en " V ". (YH : ou triangle...)
Un rapport fut établi.
Notre seconde observation prit place en mai 1970, pendant que nous étions a 600 miles a l'est de Guam. Une de nos fonctions était la navigation céleste. Je devais cibler les étoiles du soir et du matin. J'étais avec le capitaine quand nous avons remarqué une sphère parfaite brillante et qui semblait avoir la consistance du mercure liquide. L'objet voyageait vers le sud ouest a une altitude de 2500 pieds.
A Honolulu, je suis devenu ami avec un " yeaman fleet intelligence " qui déclara " Nous recevons des centaines de rapports sur des ovnis provenant des bateaux de l'US Navy. les ovnis sortent et entrent dans l'eau et volent directement devant nos bateaux. "
Ovnis dans les eaux soviétiques
Le Centre de Recherche Ufologique russe a une collection d'observations "d'aspect liquides ". Les dossiers secrets de la Marine russe contiennent beaucoup d'informations valables sur des observations d'ovnis. Les chercheurs militaires russes sont plutôt sérieux. Les dossiers sont largement inaccessibles, même après la chute de l'URSS.
Mr Krapiva s'occupait des témoignages donnés par des vétérans des sous-marins nucléaires Soviétiques. Ils avaient servi dans le Nord de la Russie, dans des bases et installations navales secrètes. Quelques fois les témoignages déviaient des présentations prévues, et beaucoup de captivantes histories furent racontées.
Sous-Marin
Par exemple, les opérateurs sonars soviétiques "entendaient " d'étranges cibles. Leurs sous-marins étaient pourchassés par d'autres "sous-marins ". Les poursuivants changeaient leur vitesse comme bon leur semblaient, des vitesses bien plus rapides que tout autre bâtiment de cette époque.
Le lieutenant commandant Oleg Sokolov informa confidentiellement les étudiants que pendant qu'il était en mission dans son sous-marin, il observa à travers le périscope un étrange objet a travers l'eau. Il ne fut pas capable de l'identifier parcequ'il le voyait à travers le système optique du périscope. Cette rencontre sous-marine eut lieu dans le début des années 60.
Sevastopol
Il y a quelques années V.V Krapiva rencontra le professeur Korsakov de l'Université d'Odessa. Le professeur Korsakov lui raconta une conversation qu'il avait eu avec un ami a lui, un officier de la marine soviétique, qui avait servi dans la base navale de Sevastopol. (YH : Mer Noire)
Dans les années 50, cet officier vit personnellement un ovni. L'objet se déplaçait vers le haut, a l'arrière de son croiseur de guerre. L'officier avait l'impression que l'objet avait surgi des profondeurs de la mer noire. Le professeur Korsakov a une photographie de l'objet.
Rapports de témoins
En août 1965, l'équipage du navire a vapeur Raduga, alors qu'il naviguait dans la mer rouge, observa un phénomène inhabituel. A deux miles de distance, une sphère ardente surgit de la mer et survola la surface de l'océan, l'illuminant. La sphère faisait soixante mètres de diamètre, et elle survolait la mer a une altitude de 150 mètres. Une gigantesque colonne d'eau rose surgit alors que la sphère émergée de la mer et s'écroula un moment plus tard.
En décembre 1977, pas très loin des rives de la Georgie (Mer Noire), l'équipage d'un chalutier, le Vasily Kiselev, observa aussi quelque chose de sensiblement extraordinaire. S'élevant à la verticale de l'eau se trouvait un objet en forme de beignet. Son diamètre était entre 300 et 500 mètres. Il volait sur place a une distance de 4 ou 5 kilomètres. La station radar du chalutier fut immédiatement rendue inopérante. L'objet survola la zone pendant 3 heures, et ensuite disparu instantanément.
Le témoignage d'Alexander G.Globa, un marin du Gori, un bateau citerne soviétique, a été publié dans le magazine Zagadki Sfinksa (numéro 3, 1992). En juin 1984, le Gori était en Méditerranée, a 20 nautiques de Gibraltar. A 16h00, Globa était en faction. Avec lui se trouvait le second du commandant S. Bolotov. Ils regardaient le cote gauche du pont quand les deux hommes observèrent un étrange objet polychromatique. Quand l'objet fut a l'arrière, il stoppa soudainement. S.Bolotov était enthousiasmé, secouant ses jumelles et criant : " c'est une soucoupe volante, une vraie soucoupe, mon dieu, vite, vite, regardes ! ".
Globa regarda l'objet a travers ses jumelles (il lui rappela la partie haute d'une casserole). L'ovni luisait d'une brillance métallique grise. La partie la plus basse de l'appareil avait une forme ronde précise, son diamètre ne dépassait pas les 20 mètres. Autour de la partie basse, Globa observa des " vagues " de protubérances sur la plaque extérieure.
La base du corps de l'objet consistait en deux semi-disques, le plus petit au-dessus. Ils tournaient lentement dans des directions opposées. Sur la circonférence du disque le plus bas, Globa vit de nombreuses lumières, lumineuses, comme des gouttes. L'attention du marin fut attirée par la partie supérieure de l'ovni. Elle semblait être complètement lisse et douce, sa couleur était jaune d'œuf et en son milieu, Globa discerna un rond, une tache comme un noyau. Sur le bord de la partie inférieure de l'ovni, laquelle était clairement visible, se trouvait quelque chose qui ressemblait à un tuyau. Il brillait d'une lumière rose non naturelle, comme une lampe néon. Le haut du disque central était entouré par quelque chose en forme de triangle. Cela semblait bouger dans la même direction que le disque inférieur, mais a une vitesse plus lente.
Tout a coup, l'ovni sauta plusieurs fois, comme s'il était déplacé sur une vague invisible. Beaucoup de lumières illuminaient la portion de dessous. L'équipage du Gori essaya d'attirer l'attention de l'objet en utilisant le projecteur a signaux lumineux. A ce moment la, le capitaine Sokolovky était dans son bureau avec ses hommes. Ils regardaient intensément l'objet. Toutefois, l'attention de l'ovni fut détournée par un autre bâtiment, approchant l'autre bord. C'était un cargo arabe, en route pour la Grèce. Les Arabes confirmèrent que l'objet survola leur bateau. Une minute et demi plus tard, l'objet changea sa trajectoire de vol. Les marins soviétiques l'observèrent alors qu'il traversait les nuages, apparaissant et disparaissant à nouveau. De temps en temps il brillait grâce aux rayons du soleil. Alors le vaisseau s'évanouit, comme une étincelle, et parti instantanément.
Argentine, 1980
Autres publications :
A.Gorbovsky, un historien soviétique publia un livre intitulé " Enigmes de l'histoire ancienne " dans le début des années 70. Pour beaucoup de gens, dans l'Union Soviétique, ce livre était une introduction au monde interdit de l'ufologie, du paléocontact ( un terme russe pour l'hypothèse des anciens astronautes), et les mystères de notre histoire ancienne. Gorbosky mentionna un incident qui prit place dans l'ancienne Méditerranée ou les gens observèrent un étrange véhicule sous les eaux et faisant surface à très grande vitesse. L'objet s'éjecta de lui-même de l'eau, et disparu peut après.
B.Borovikov chassa les requins dans la mer noire pendant des années. Alors quelque chose arriva et qui mit fin a son hobby. Plongeant dans la région de Anapa, il descendit à une profondeur de 8 mètres. Il vit des êtres géants s'élevant de dessous. Ils étaient comme laiteux, mais avec des faces humanoïdes, et quelque chose comme une queue de poisson. L'être a la tête de ses compagnons vit Borovikov, et s'arrêta. Il avait des yeux bulbeux géants et des sortes de lunettes. Les deux autres le rejoignirent. Un deux tendit sa main, une main avec des membranes, vers le nageur. Tous approchèrent le plongeur, et s'arrêtèrent à petite distance. Alors ils tournèrent autour de lui, et nagèrent au loin. L'expérience de Borovikov fut publiée en 1996.
D.Povaliyayev était en train de faire du parachute au-dessus de Kavgolov (région de Leningrad) dans le début des années 1990. Il y avait des lacs, et dans l'un d'eux, le parachutiste nota trois " poissons " géants. Il descendit, et fut capable de discerner les " nageurs " dans leurs costumes argentés. Il mentionna l'épisode dans son livre Letuchi Gollandets (1995). Il y a eu beaucoup d'observations d'ovnis dans cette région.
Observations militaires classifiées d'Extranéens et d'OVNIS
Rencontres de militaires soviétiques avec des extranéens et des OVNI sous-marins. Ceci est un exemple de ce que l'on peut trouver dans des rapports officiels et on ne peut plus sérieux de témoins responsables et sous autorités compétentes.
Le chercheur Paul Stonehill écrit qu'il existe de nombreux rapports soviétiques concernant des rencontres avec des objets étranges sous la mer.
Durant l'été de 1982, Mark Shteynberg et le lieutenant-colonel Gennady Zverev dirigeant les entraînements périodiques des plongeurs de reconnaissance (hommes-grenouilles) des régions militaires du Turkestan et de Centre Asie. Les entraînements avaient lieux au lac Issyk-Kul, un lac profond dans la région des Ala-Taou Transiliens [NDT : 42°30'N par 77°30'E, près de la frontière chinoise]. Le général-major V. Demyanko, commandant le Service des Plongeurs Militaires des Forces du Génie du Ministère de la Défense, rendit à des officiers une visite impromptue. Il venait les informer d'un événement extraordinaire qui s'était produit en Sibérie. Des hommes-grenouilles avaient été confrontés à des nageurs sous-marins semblables à des hommes mais de grande taille (environ 3 mètres de haut) ! Ces nageurs, malgré l'eau glacée, étaient vêtus de combinaisons collantes argentées. Par 50 mètres de fond, ces êtres ne portaient pas d'appareils respiratoires, mais des casques sphériques masquant leurs têtes. Alertés par ces rencontres, le commandant militaire local décida de capturer une de ces créatures. Dans cette intention, un groupe spécial de plongeurs poursuivit un des étranges nageurs. Lorsqu'ils tentèrent de la coiffer avec un filet, le groupe entier fut projeté par une force puissante hors des eaux profondes vers la surface.
Les hommes-grenouilles étaient en danger de mort, parce qu'ils leur auraient fallu observer des paliers de décompression. Tous les membres de cette malheureuse expédition furent atteints d'embolie gazeuse. Le seul traitement envisageable était de les placer en caisson de décompression. Malheureusement le seul disponible à proximité ne pouvait contenir que deux personnes. On en serra cependant quatre dans le caisson, les trois autres périrent et les quatre devinrent des invalides. Le général-major s'était précipité à Issyk-Kul pour prévenir contre toute semblable initiative casse-cou. Bien que le lac Issyk-Kul soit moins profond que le lac Baïkal, des créatures mystérieuses se trouvaient dans les deux.
Lire la suite ci-dessous :
Actualités archéologie - sciences
Actualités archéologie - sciences - 03-2012 - up 07-2015
Les Mystères de Sapelo Island, Georgia, USA
Sapelo Island, Georgie, USA
Un aperçu des news récentes que je retiens pour mon panel d'intérets, avec tout d'abord un gros objet en titane (2 mètres de haut) trouvé dans un champ d'une petite ville russe, à Kouïbychev (région de Novossibirsk en Sibérie). Curieux, les Russes se grattent la tête et ne reconnaissent pas un de leur engin spatial ou militaire. A moins que l'un des "OVNIs" fabriqué par l'une des associations connues dans ce pays (il y existe des rencontres entre fabriquants d'engins volants de toutes natures) ait échoué là... (notez que le vidéo a disparu du site et d'internet...) :
Un débris métallique mystérieux a été trouvé dans un champ du district de Kouïbychev (région de Novossibirsk en Sibérie). L'objet qui à première vue est en titanium a une hauteur de 2 m et pèse 200 kilos.
Les spécialistes de l'Agence spatiale de Russie ne parviennent pas à établir l'origine de cet objet. Il ne s'agit pas d'un fragment d'un missile balistique, a communiqué mardi un représentant du service de presse de l'Agence.
Seule l'étude détaillée de cet objet permettra de conclure définitivement sur son origine... (YH : dont on n'a plus jamais entendu parler...)
Source : http://french.ruvr.ru/2012_03_20/69033742/
Sapelo, en face du village trouvé
Ensuite, il y a la découverte étonnante faite sur une île au large de la Géorgie, USA : un grand village indien entouré de larges murs et datant au minimum de -4.500 ans. La théorie disant que seuls des chasseurs-cueilleurs nomades existaient à cette période en prend encore un coup avec cette sédentarisation évidente ancienne, y compris aux amériques et qui a duré apparemment un bon moment... :
L'histoire de l'homme de Sapelo remonte environ à 4.500 ans. Les investigations archéologiques sur l'île ont déterminé une présence étendue de Natifs américains sur Sapelo au cours de la période archaïque de la préhistoire (-2,500 à -500 AVANT JÉSUS CHRIST). Le nom Sapelo lui-même est d'origine indienne, appelé Zapala par les missionnaires espagnols qui se sont établis sur l'île de 1573 à 1686. La mission franciscaine de San Josef a été située sur l'extrémité nord de l'île à ou près de l'Anneau de Coquillages des Natifs américains, un monticule cérémonieux préhistorique qui représente une des caractéristiques archéologiques les plus uniques sur la côte de la Georgie, USA.
Cette petite ville antique a été construite autour de 2300 AVANT JÉSUS CHRIST et a comporté trois quartiers chacun entouré par des murs circulaires de vingt pieds de hauteur construits avec des tonnes de coquillages. Une partie des poteries les plus anciennes en Amérique du Nord a été également trouvée enterrée dans les restes de cette ville perdue.
Le site est tout à fait une énigme parce qu'à l'heure de sa construction, les Natifs américains vivant dans le secteur étaient (à priori) des chasseurs et des ramasseurs simples qui devaient inventer encore l'agriculture. Beaucoup de chercheurs croient que l'agriculture est un préalable à la civilisation. Ces personnes tribales simples ont-elles d'une certaine manière fait le saut à partir de la chasse-et-collecte à la civilisation dans un temps rapide, produisant non seulement une ville murée mais également une nouvelle technologie de la poterie, sans les avantages de l'agriculture ? Ou est-ce qu'un peuple déjà civilisé est arrivé sur la côte de la Georgie, d'ailleurs et, si oui, d'où sont-ils venus et pourquoi ? Juste trente ans avant que la construction du Sapelo Shell commence, les chercheurs ont noté que les civilisations de l'âge de bronze autour du monde montrent un modèle d'effondrement... A noter également les autres anciennes traces laissées par les "natifs" ou plutôt "migrants" à mon avis en Géorgie :
Dans le Moyen-Orient, les Akkadiens Sumeriens se sont effondré et les niveaux de la Mer Morte ont atteint leur plus bas point. En Chine, la culture de Hongsan s'est effondrée. Les sédiments du Groenland et d'Islande montrent un pic de froid vers 2200 AVANT JÉSUS CHRIST. La population de la Finlande a diminué par un tiers entre 2400 et 2000 AVANT JÉSUS CHRIST. Dans la région d'Anatolie de la Turquie, y compris le site de la Troie antique, il y a des preuves exposées de 350 sites brûlés et abandonnés. Des régions entières sont retournées à un mode de vie nomade après des milliers d'années d'une vie agricole.
MAJ 07-2015 : Les constructions préhistoriques de Sapelo Island représentent une carte céleste ? :
" Le complexe "shell mound Sapelo" est l'un des sites les plus étonnants que nous ayons déchiffrés, comme vous le verrez dans le cadre de cette annonce, d'autant plus que nous avons d'abord accepté la "vision standard" que le site se composait de trois grands anneaux enveloppant des monticules et de nombreux tertres non entourés de peu de conséquence apparemment.
Depuis que nous avons publié nos déchiffrements du complexe Mill Cove et l'île Little Talbot Grand-Mounds comme représentant les étoiles de la constellation des Poissons, il est apparu superficiellement que les trois monticules circulaires de Sapelo dans leur formation triangulaire, constituaient probablement les étoiles Phi, Upsilon et Tau situées au-dessus des poissons des deux autres sites.
Néanmoins, nous avons préféré aller au fond de certaines choses embarrassantes que nous avons trouvé dans notre examen des différentes représentations du site Sapelo, qui nous semblaient être beaucoup plus compliquées que ce que nous avons imaginé au premier coup d'œil. Ce point de vue a été vérifié - nous sommes entièrement d'accord - dans l'article cité ci-dessous où Thompson et autres écrivent à la p. 192, citant le travail de Lewis H. Larson Jr .:
"... Les peuples archaïques possédaient un degré de complexité non constatés antérieurement par les archéologues du Sud-Est. (YH : de la Georgie)"
Comment justes, ils seront révélés être !
Nous lisons ce qui suit dans la publication de Victor D. Thompson, Matthew D. Reynolds, Bryan Haley, Richard Jefferies, Jay K. Johnson, et Laura Humphries, The Sapelo Shell Ring Complex: Shallow Geophysics on a Georgia Sea Island, Southeastern Archaeology, Vol. 23, No. 2, (Winter 2004), pp. 192-201, Maney Publishing, Article Stable URL: http://www.jstor.org/stable/40713321:
"Le complexe de "Sapelo Shell Ring", situé sur l'île de Sapelo, en Géorgie, se compose de trois grands amas coquilliers circulaires et de nombreux petits amas de conquillages amorphes. Aujourd'hui, l'un des anneaux est très visible;. Cependant, les deux autres anneaux et les amas non en anneau ont peu de relief de surface et sont pratiquement invisibles. En fait, l'emplacement et l'existence même des deux autres anneaux a été débattu pendant un certain temps. Un relevé géophysique récent, cependant, a situé les restes souterrains des deux anneaux moins évidents, ainsi que certains des amas amorphes. "
Le travail de Thompson et al. comme cité ci-dessus est essentiel car, à la page 198, ils produisent une carte topographique du complexe de monticules de coquillages de Sapelo Island, et l'accompagnent d'un texte indiquant qu'ils avaient trouvé de nombreuses «anomalies» circulaires à l'intérieur et à l'extérieur des anneaux et d'autres amas amorphes, à savoir qu'il y avait beaucoup plus sur le site que ce que voyait immédiatement le regard.
Cette carte topographique dans la publication de Thompson et al. est la clé de Sapelo !
A ce point, ajoutons l'addendum suivant sur JSTOR, où nous avons pu accéder à l'article Thompson gratuitement et à partir duquel nous avons obtenu les images qui ont servi de base pour le déchiffrement présenté ci-dessous.
Vous aurez à aller à JSTOR et inscrivez-vous pour voir la carte topographique originale et des images et tenter votre propre chance de tracer cette carte pour voir si vous vous rapprochez de notre résultat. Vous pouvez, ou ne pouvez pas. Essayez. Mais vous aurez besoin d'un programme comme Paint Shop Pro (nous utilisons l'ancienne, la version 7), qui permet tous les types de zoom, le changement de couleur et de la luminosité, et surtout la fonction de niveau de seuil, ce que nous avons mis à "1" pour arriver à un résultat tracé en noir et blanc.
Nous avons été des critiques sévères de JSTOR dans le passé en raison de leur politique de pay-to-view (payer pour voir) pour l'origine des articles alors qu'ils sont déjà subventionnés directement ou indirectement par les contribuables, alors pourquoi devrions-nous avoir à payer de nouveau pour eux ? Ce paiement n'est pas un problème pour les professeurs d'université, qui non seulement sont bien payés pour leurs postes universitaires, mais dont les collèges et les universités payent aussi le projet de loi du JSTOR, afin que le monde JSTOR soit essentiellement ouvert à eux gratuitement, tandis que ceux d'entre nous qui sont chercheurs sur les anciens (sûrement une petite minorité de personnes) n'obtiennent non seulement pas de rémunération d'aucune institution, mais sont invités à payer des sommes considérables pour voir des articles ayant une valeur que nous ne pouvons que deviner, jusqu'à ce que nous voyons effectivement ces articles.
À leur crédit, cependant, que nous avons découvert aujourd'hui, que maintenant JSTOR permet désormais aux utilisateurs enregistrés de voir quelques articles gratuitement sur leur pannel, et qui couvre les articles les plus urgents, tels que l'article cité ci-dessus, sans lequel notre analyse ne pourrait pas avoir été effectuée. Donc, pour ça, nous sommes reconnaissants.
Voici le déchiffrement de Sapelo, et croyez-moi, c'est fantastique ! Nous avons obtenu notre résultat en zoomant l'image topographique d'origine de la carte de Thompson et al. (Cité ci-dessus) à différentes couleurs et nuances de luminosité et à diverses résolutions plus élevées, allant de deux à huit fois la taille de l'image d'origine, puis en traçant au mieux de notre capacité honnête toutes les formes et les cercles et les lignes plus sombres que nous pouvions trouver - pour voir si elles avaient un sens, alors que nous ne savions pas ce qui a été décrit initialement, autre que le poisson de la constellation des Poissons. Vous voyez le résultat ci-dessous :
Les monticules de Conquillages de Sapelo Island près de Darien Georgie
Marquent les étoiles de la constellation des Poissons de l'équateur céleste 2170 av JC
Les Affichant anthropomorphiquement comme un pêcheur sous-marin
Utilisant archaïquement un appareil respiratoire dans un océan de poisson...
Comme on peut le voir sur notre image de déchiffrement, les amas coquilliers de Sapelo Island, à savoir les soi-disant tertres en «anneaux» et «non circulaires" brossent un tableau de la mer sous-marine des étoiles de la constellation des Poissons vers 2170 av JC à l'équateur céleste.
Ce qui est étonnant est que le personnage principal est un ancien pêcheur-plongeur qui utilise un certain type d'appareil respiratoire archaïque sur lequel nous n'allons faire aucune spéculation, pour la simple raison que nous ne savons rien au-delà de notions de base sur la technologie de la plongée, ancienne ou récente. Nous laissons cela aux experts.
Le pêcheur ou plongeur est représenté dans une mer de poissons marqués par les étoiles, y compris un serpent d'eau, la baleine, le requin (ou d'autres gros poissons), la sardine, poulpe, étoiles de mer et poissons tropicaux.
Nous ne nous attendions pas à trouver un pêcheur ancien ou un plongeur sous-marin à Sapelo, mais il est là, et, comme nous l'avons découvert rudimentairement en ligne, il y a en fait de nombreuses preuves que la plongée ancienne en apnée était connue. Nous citons le "Early History of Snorkeling" et "au plus tôt" Snorkelers à Key West Snorkeling Tours:
"Pensée pour être la plus ancienne mention de la plongée en apnée, le philosophe grec Aristote a mentionné la pratique dans son étude "Parts of the Animals", où il se réfère aux plongeurs utilisant des " instruments pour la respiration " ressemblant à une trompe d'éléphant.
Les tout premiers plongeurs ont été supposés être des ramasseurs d'éponge sur l'île grecque de Crète il y a environ 5.000 ans, qui ont utilisé des tubes creux pour permettre la respiration pendant qu'ils gardaient leurs visages dans l'eau pour la plongée pour les éponges. Les archéologues qui étudient les peintures des bas-reliefs assyriens à partir de 900 avant JC, ont identifié des personnages utilisant des peaux d'animaux remplis d'air comme une forme brute de bassin de plongeon, permettant l'exploration plus loin sous la mer. Des tubas ont également trouvé leur utilisation dans l'action militaire de l'ancien monde. Autour de 500 avant JC, l'historien Hérodote raconte que Scyllis, un Grec, s'est échappé d'un navire Perse en étant indétecté, en utilisant un roseau creux comme un tuba et a ensuite traversé toute la flotte Persique en dérivant ".
Source : http://ancientworldblog.blogspot.com/2015/04/the-shell-rings-on-sapelo-island-near.html
Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 03-2012, up 07-2015
Chili, des glyphes sur 4 km visibles que de loin
Chili, des glyphes sur 4 km, visibles que de loin
Ruines de Tulor, Chili, Wikimedia Commons - Photo : Daniel Gutiérrez Paredes.
Découverts il y a déjà quelques années, ces énormes glyphes sont toujours un mystère. Ils sont intacts car placés dans un endroit assez isolé et peu visité par les touristes, mais aussi les chiliens. Pour vouloir les admirer, il faut prendre une mauvaise route (car non entretenue depuis des années) menant à l'ancienne cité minière de Humberstone. C'est une ville fantôme, abandonnée, comme les mines de cette partie du désert d'Atacama au Chili...
Super-Tempêtes et déplacement des pôles magnétiques
Super-Tempêtes et déplacement des pôles magnétiques - 2012 - up 07-2015
Il y a an, des premières études montraient les liens entre le déplacement des pôles magnétiques et la survenue de tempêtes plus intenses qu'auparavant. L'année 2011 a-t-elle confirmé ces études, où en sommes-nous maintenant ? Revenons d'abord sur les études et écrits datant d'un an (qui manquent et intéressent mon site !) puis cherchons les bilans pour l'année 2011, et même éventuellement le présent, qui est très parlant si vous suivez l'actualité météorologique mondiale et celles liées à l'environnement interne et externe de notre planète.
Le déplacement des pôles magnétiques cause des super-tempêtes massives mondiales
By Terrence Aym Feb 9, 2011 - 11:29:50 AM
Terrence Aym Salem-News.com.
Les super-tempêtes peuvent également entraîner l’effondrement de certaines sociétés, cultures ou des pays entiers. D'autres peuvent entrer en guerre avec l'autre.
(CHICAGO)-, la NASA a mis en garde contre cela…des articles scientifiques ont été écrits sur le sujet…des géologues ont vu leurs traces dans les strates de roche et de glace dans des carottes…
Maintenant, c’est là : un changement inéluctable du pôle magnétique qui s’est accéléré et est à l'origine de menaces mortelles sur la météo mondiale.
Oubliez le réchauffement climatique —causé par l'homme ou naturel — ce qui dirige les modèles climatiques planétaires est le climat et ce qui dirige le climat est la magnétosphère du soleil et son interaction électromagnétique avec le champ magnétique propre à une planète.
Lorsque le champ se déplace, quand il fluctue, lorsqu'il entre dans le flux et commence à devenir instable, tout peut arriver. Et ce qui se passe normalement, c’est que tous les démons de l’enfer sont lâchés.
Des déplacements des pôles magnétiques ont eu lieu plusieurs fois dans l'histoire de la Terre. Cela se passe à nouveau maintenant pour chaque planète du système solaire, y compris la terre.
Le champ magnétique contrôle la météo d’une manière significative et lorsque ce champ commence à migrer, des super-tempêtes commencent à exploser.
Les super-tempêtes sont arrivées.
Après le passage d'Andrew, USA
La première preuve, que nous ayons que le cycle dangereux des super-tempêtes a commencé, est la série dévastatrice de tempêtes qui ont pilonné le Royaume Uni, fin 2010.
Dans la foulée des tempêtes subies par les îles britanniques, des tempêtes monstres ont commencé à frapper avec violence l’ Amérique du Nord. La plus récente super-tempête — à la rédaction de cet article — est un monstre sur les États-Unis qui s'étendait sur 2 000 milles affectant plus de 150 millions de personnes.
Alors que cette même tempête fait encore des ravages dans les États du Midwest de l’ouest, de sud et du nord-est, une autre super-tempête éclate dans le Pacifique et s’est refermée sur l’Australie.
Le continent boréal avait déjà eu affaire à la catastrophe d’inondations historiques causées par des pluies de plusieurs pieds (de centaines de ml), tombées en quelques heures. Des dizaines de milliers de maisons ont été endommagées ou détruites. Après le déluge, des requins tigre ont été repérés, nageant entre les maisons dans ce qui fut autrefois un quartier calme de la banlieue.
Choquées, les autorités reconnaissent maintenant humblement, qu'une grande partie de l'eau peut ne jamais se dissiper et se sont résignés avec inquiétude à la possibilité que cette région contienne maintenant une nouvelle mer intérieure.
Puis, quelques semaines plus tard seulement, une autre super-tempête — le cyclone méga-monstrueux Yasi — a frappé le nord-est de l'Australie. Les dégâts, qu'il a laissé dans son sillage font dire aux sauveteurs que c’est une zone de guerre.
L'incroyable super-tempête s’est emballée avec des vents de près de 190 km/h. Bien qu’étiqueté comme cyclone de catégorie 5, c'est théoriquement une catégorie-6. La raison en est, que la catégorie-5 est considérée comme une tempête avec des vents de 155 km/h, pourtant Yasi a été plus fort que cela de près de 22 %.
Jeu de ficelles
Et encore, Yasi peut n’être qu’un avant-goût de futures super-tempêtes. Certains climatologues, qui surveillent le rapide déplacement du champ magnétique, prédisent des super-tempêtes dans le futur avec des vents atteignant 300 à 400 m/h.
Ces tempêtes détruiraient absolument tout ce qu’elles rencontreraient au sol.
La possibilité d’autres tempêtes comme Yasi ou pire, qui peuvent faire des ravages sur notre civilisation et les ressources, repose sur la complexe relation électromagnétique entre le Soleil et la Terre. La synergie de cette lutte sans merci a été comparée par certains à une inextricable pelote de fil. Et c'est dans un état constant de flux.
La dynamique de la magnétosphère électrique du soleil perpétuellement changeante, interagit avec le champ magnétique de la Terre qui affecte, à un certain degré, la rotation de la Terre, l’oscillation précessionnelle, la dynamique du noyau de la planète, de ses courants océaniques et — par-dessus tout — la météo.
Des fissures dans le bouclier magnétique de la Terre
Le pôle Nord magnétique de la Terre se déplaçait vers la Russie à une vitesse d'environ cinq milles chaque année (8 kms). Cette progression vers l'est était en cours depuis des décennies.
Soudain, ces dix dernières années, la vitesse s’est accélérée. Maintenant, le pôle magnétique se déplace est à une vitesse de 64 kilomètres par an, soit une augmentation de 800 %. Et elle continue de s'accélérer.
Récemment, comme le champ magnétique fluctue, la NASA y a découvert « des fissures ». C'est inquiétant car cela affecte considérablement l'ionosphère, les vents de la troposphère et l'humidité atmosphérique. Toutes les trois choses ont un effet sur les conditions météorologiques.
Pire encore, ce qui protège la planète du rayonnement causant le cancer est le champ magnétique. Il agit comme un bouclier réverbérant les ultraviolets nuisibles, les rayons X et les autres radiations mortelles les empêchant d’atteindre la surface de la terre. Avec l'affaiblissement du champ et les fissures émergentes, le taux de mortalité par cancer pourrait monter en flèche et les mutations de l'ADN peuvent devenir endémiques.
Un autre organisme fédéral, la NOAA, a publié un rapport qui a provoqué une vague de panique, lorsqu'ils ont prédit que des super-tempêtes mammouths pourraient à l'avenir, anéantir la majeure partie de la Californie. Les scientifiques de la NOAA ont dit que c'est un scénario plausible et qui pourrait être conduit par une « rivière atmosphérique » déplaçant l'eau à la même vitesse que 50 fleuves Mississippi qui se jettent dans le Golfe du Mexique.
Le champ magnétique peut plonger, se retourner et disparaître
The Economist a écrit un article détaillé sur le champ magnétique et ce qui s’y passe. Dans l'article, ils notent :
« Il y a, cependant, un nombre croissant de preuves que le champ magnétique de la Terre est sur le point de disparaître, au moins pendant un certain temps. Les données géologiques montrent qu'il se retourne de temps à autre, avec le pôle Sud, devenant le Nord et vice versa. En moyenne, ces inversions ont lieu tous les 500 000 ans, mais il n'y a aucun modèle perceptible. Des renversements se sont produits au bout d’à peine 50 000 ans, bien que le dernier ait eu lieu il y a 780 000 ans. Mais, comme nous le verrons lors du Symposium des sciences spatiales du Groenland, qui se tient à Kangerlussuaq cette semaine, les signes montrent qu’un autre renversement aura lieu bientôt.
En discutant du déplacement du pôle magnétique et de l'impact sur les conditions météorologiques, l’article scientifique « Météo et champ magnétique de la Terre » a été publié dans la revue ‘Nature’. Les scientifiques aussi sont très préoccupés par le danger croissant de super-tempêtes et de leur impact sur l'humanité.
Les super-tempêtes ne nuiront pas seulement à l'agriculture à travers la planète, conduisant à des famines et à des décès en masse, elles changeront également les côtes, détruiront les villes et créeront des dizaines de millions de sans-abri.
Les super-tempêtes peuvent également entraîner certaines sociétés, des cultures ou des pays entiers à s'effondrer. D'autres peuvent entrer en guerre avec l'autre.
Une étude danoise publiée dans la revue scientifique ‘Géology’, a trouvé la forte corrélation entre le changement climatique, les modèles météorologiques et le champ magnétique.
« Le climat terrestre a été significativement affecté par le champ magnétique de la planète, selon une étude danoise publiée lundi qui pourrait contester la notion, que les émissions humaines sont responsables du réchauffement planétaire.
"'Nos résultats montrent une forte corrélation entre la force du champ magnétique de la Terre et la quantité de précipitations sous les tropiques, » a déclaré un des deux géophysiciens danois à l’origine de l'étude, Mads Faurschou Knudsen du département de géologie à l'Université d'Aarhus au Danemark Ouest, a dit le journal Videnskab.
« Lui et son collègue Peter Riisager, de la Commission géologique du Danemark et du Groenland (GEUS), ont comparé une reconstruction du champ magnétique préhistorique d’il y a 5 000 ans, en se fondant sur des données tirées de stalagmites et stalactites trouvés en Chine et à Oman. »
Dans l'article " la magnétopause du midi se décale côté terre de l'orbite géosynchrone pendant les super-tempêtes géomagnétiques à la vitesse de (Dst) = -300 nT" l'intensité magnétique de tempêtes solaires ayant une incidence sur la terre, cela peut intensifier les effets du renversement polaire et aussi accélérer la fréquence des super-tempêtes émergentes.
Selon certains géologues et scientifiques, nous avons laissé la dernière période interglaciaire derrière nous. Ces périodes sont des périodes de temps — d’environ 11 500 ans — entre deux grandes périodes glaciaires.
Un des plus étonnants signes d’un futur âge de glace, est ce qui est arrivé à l’oscillation précessionnelle de la Terre.
L’oscillation de la Terre a cessé.
Comme expliqué sur le site de géologie et de sciences spatiales earthchangesmedia.com, "l’oscillation de Chandler a été découvert pour la première fois en 1891 par Seth Carlo Chandler un astronome américain.
Elle provoque le déplacement des pôles de la Terre dans un cercle irrégulier de 3 à 15 mètres de diamètre d’oscillation. L’oscillation de la Terre a un cycle d’une durée de 7 ans qui produit deux extrêmes, un petit cercle d’oscillation en spirale et un grand cercle d’oscillation en spirale, à environ 3,5 ans d'intervalle.
«En octobre 2005, la Terre bougeait dans le petit cercle en spirale (phase MIN de l'oscillation), qui aurait dû se poursuivre lentement au cours de 2006 et des premiers mois de 2007. (Chaque cycle de spirale prend environ 14 mois). Mais soudain, au début de novembre 2005, la trajectoire de l'emplacement de l'axe de rotation a viré à un angle droit très net par rapport à son mouvement rotationnel.
« La trajectoire de l'axe de rotation a commencé à ralentir et vers le 8 janvier 2006 environ, elle a cessé presque tous les mouvements relatifs aux coordonnées x et y utilisées pour définir le changement quotidien d'emplacement de l'axe de rotation. »
Et la Terre s'est arrêtée d’osciller— exactement comme prévu, comme un autre signe fort d'un nouvel âge glaciaire imminent.
Ainsi, le début d'un nouvel âge glaciaire est marqué par un renversement du pôle magnétique, une augmentation de l'activité volcanique, des tremblements de terre plus forts et plus fréquents, des tsunamis, des hivers plus froids, des super-tempêtes et l'arrêt de l'oscillation de Chandler.
Malheureusement, toutes ces conditions sont remplies.
En savoir plus sur cet auteur, Terrence AIM.
Source du texte original en anglais : http://www.Salem-News.com/articles/february042011/global-superstorms-ta.php
Traduit de l'anglais par Marie-Louise
Haiti, inondations après cyclone 2009 (et avant séisme.)
Voyons voir un peu les évènements météorologiques de 2011-2012, en commençant par l'Europe, et ses "ouragans" en se rappelant les données pour les années des plus fortes tempêtes. Curieusement, pour les années 1990, seules 6 tempêtes majeures sont répertoriées : 3 en 1990 et 3 en 1999 ! :
1999 : Tempête Anatol : vents max : 175 km/h, Tempêtes de fin décembre 1999 en Europe, Tempête Lothar : vents max : 259 km/h, Tempête Martin : vents max : 198 km/h
Mais depuis 2005, elles sont plus nombreuses :
2005 : Tempête Erwin : vents max : 181 km/h
2007 : Tempête Kyrill : vents max : 250 km/h, Tempête Per : vents max : 150 km/h
2008 : Tempête Emma : vents max : 224 km/h
2009 : Tempête Klaus : vents max : 198 km/h, Tempête Quinten : vents max : 141 km/h, Tempête de neige de février 2009 sur les îles britanniques : Avec des concentrations de neige atteignant presque 25 centimètres dans certains comtés du sud-est de l'Angleterre et près de 15 centimètres à Londres durant les premiers jours, il s'agit pour le Met Office des plus importantes chutes de neige enregistrées depuis 18 ans1.
Au matin du 6 février, la quasi-totalité du territoire est concernée par les intempéries, le manteau neigeux atteignant localement 55 centimètres2.
2010 : Tempête à Madère en 2010 : Entre 6h00 et 11h00 du matin (heure locale) le 21 février 2010, 108 millimètres de précipitations ont été enregistrées au niveau de la station météorologique de Funchal et 165mm à celle de Pico do Areeiro3, Tempête Xynthia : suite de la tempête de Madère : Le centre dépressionnaire atteint le golfe de Gascogne dans la soirée du 27 février 2010, apportant des températures très douces par effet de foehn sur le Pays basque où on observait jusqu'à 25 °C, avant de pénétrer dans les terres le 28 février aux alentours de 2 heures du matin, sans toutefois se combler immédiatement. De puissantes rafales de vent et des vagues hautes de plusieurs mètres associées à une marée de fort coefficient provoquent un phénomène de surcote7 dans plusieurs régions du littoral français (essentiellement Charente-Maritime et Vendée). La rupture de plusieurs digues conduit à de graves inondations dans plusieurs communes8. En marge du système, on relève des vents violents dans la vallée du Rhône et sur les contreforts alpins. vents max : 242 km/h au pic du Midi
2011 : Tempête Friedhelm : vents max : 265 km/h, Tempête Gunter : vents max : 137 km/h, Tempête Joachim : vents max : 212 km/h, Tempête Robert : 183 km/h
2012 : Tempête Ulli : 175 km/h, Tempête Andrea : 270 km/h
Sur cette page très intéressante et assez référencée pour être sérieuse, on a la liste des cyclones, ouragans, typhons tropicaux retirés de la liste des noms disponibles, parcequ'ils sont reliés tous à des évènements extrêmes, aussi bien en puissance qu'en dégâts... :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_cyclones_tropicaux_au_nom_retir%C3%A9_par_bassin
On y constate aussi rapidement que : sur les 9 bassins concernés par des ouragans, les plus puissants ont eu lieu 6 fois sur 9 dans les dernières années 2000 :
Cyclone tropical le plus intense par bassin selon la pression ou les vents | ||||||||
Mer d'Oman |
Australie |
Golfe du |
Pacifique |
Pacifique |
Atlantique |
Pacifique |
Océan Indien |
Pacifique Ouest |
Cyclone Gonu |
Cyclone Inigo |
Cyclone d'Orissa |
Ouragan Ioke |
Ouragan Linda |
Ouragan Wilma |
Cyclone Zoe |
Cyclone Gafilo |
Typhon Tip |
On y constate aussi une nette augmentation des ouragans entre les années 1990 et les années 2000 (en fait, ce nombre est un record) :
Océan Atlantique Nord : (Canada-USA)
Années 1990 : Diana, Klaus, Bob, Andrew, Luis, Marilyn, Opal, Roxanne, Cesar, Fran, Hortense, Georges, Mitch, Floyd, Lenny
Années 2000 : Keith, Allison, Iris, Michelle, Isidore, Lili, Fabian, Isabel, Juan, Charley, Frances, Ivan, Jeanne, Dennis, Katrina, Rita, Stan, Wilma, Dean, Felix, Noel, Gustav, Ike, Paloma,Igor.
Océan Atlantique Sud : (Afrique-Amérique du Sud)
Les systèmes tropicaux sont rares dans l'Atlantique Sud. Seulement trois tempêtes tropicales sont répertoriées et une seule a atteint le niveau de cyclone tropical, mais deux dans les années 2000, dont la plus puissante :
- La tempête tropicale qui s'est formée en 1991 au large de l'Angola en avril ;
- La dépression tropicale qui s'est formée en janvier 2004 et qui a peut-être atteint le niveau de tempête tropicale ;
- Le cyclone Catarina en 2004, premier cyclone tropical reconnu dans cette région et le premier à avoir touché terre.
En ce qui concerne le Pacifique et ses typhons, malgré un manque de données à jour, on constate également un nombre conséquent de typhons puissants dans les années 2000 à 2006 par rapports aux années précédentes : 16 dans les années 2000, 4 dans les années 1990 ! (sans compter le plus puissant typhon enregistré ayant touché le Japon en juillet 2007, le Typhon Man-yi (Bebeng).)
Dans l'Océan Indien, on remarque exactement la même chose, en notant que les données sont incomplètes mais basées sur les plus puissants ressentis :
Nord : (Inde, Oman, sud asiatique)
- 1991 : le cyclone Gorky fit 138 000 morts dans la région de Chittagong au Bangladesh ;
- 1999 : le cyclone d'Orissa tua 10 000 dans l'État de Orissa en Inde13 ;
- 2006 : le cyclone Mala frappa le Myanmar et causa de sérieux dommages ;
- 2007 : le cyclone Gonu est le plus fort cyclone tropical à passer dans la Mer d'Oman et à frapper la Péninsule Arabique ; il causa 4 milliards $US de dommages à Oman ;
- 2007 : le cyclone Sidr frappa le Bangladesh le 15 novembre et tua au moins 3 347 ;
- 2008 : le cyclone Nargis frappa la Birmanie le 2 mai et tua au moins 100 000 personnes (estimation).
Océanie : (Australie et pourtours) :
On relève 5 cyclones importants entre 1990 et 1999 et 9 cyclones entre 2000 et 2007, mais notons tout de même que le record de vitesse de vent pour un cyclone (hors tornade donc) a été enregistré en 1996 à 408 km/h le 10 avril 1996 à Barrow Island en Australie lors du passage d'Olivia16.
Sur cette liste on voit aussi que sur les 10 évènements les plus puissants enregistrés qui y sont ressencés, 5 ont eut lieu dans les années 2000 et pour les 10 les plus coûteux en argent, il y en a 6 dans les années 2000 (données arrêtée à 2005 en plus !)
- Données à fin 2013 (avec le cyclone Ingrid dans l'hémisphère nord et ses dégâts) : https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_retired_Atlantic_hurricane_names
Et nous voyons maintenant ici que les tempêtes, cyclones ouragans ou autres typhons ont eu aussi de belles intensités en 2011 :
- Le cyclone Binginza en février 2011 dans l'océan indien : vents soutenus 1mn à 185km/h, rafales de 222 km/h.
La saison cyclonique 2011-2012 pour l'Océan Indien a débuté le 1er novembre 2011 et se terminera le 31 mai 2012 avec pour l'instant 8 systèmes dont 1 dépression subtropicale, 3 tempêtes et 4 cyclones tropicaux. Le dernier système cyclonique nommé fut la tempête tropicale HILWA qui est passé près de Rodrigues. Le système cyclonique le plus meurtrier fut le cyclone tropical FUNSO causant la mort de 40 personnes. Le météor (ou Bombe suivant les régions) le plus puissant de la saison fut le cyclone GIOVANNA (vents 232 km/h)
- Le cyclone Benilde du 30-12-2011 dans l'océan indien : Le vent moyen atteignait en son centre la vitesse de 165km/h, les rafales maximales la vitesse de 205km/h.
- Le cyclone Giovanna du 10-02-2012 dans l'océan indien : vents enregistrés : 232 km/h
Voici pour comparer les données mondiales d'autres tableaux statistiques incluants l'année 2011, pour l'hémisphère Nord et pour l'hémisphère 2012 (ainsi que beaucoup de données par bassins océaniques). On y constate pour l'hémisphère nord une forte augmentation des évènements en 2005 : l'année de l'arrêt de l'oscillation du pôle nord magnétique. (voir la MAJ jusqu'à l'année 2014 inclus et un grand nombre d'ouragans dans le Pacifique Nord-Est (15)) :
http://www.cyclonextreme.com/cyclonemondebassinhemispherenordstats.htm
Par contre, en ce qui concerne l'hémisphère sud, les données semblent confirmer une légère diminution de l'activité cyclonique depuis la fin des années 1990, peut-être en relation au pôle sud magnétique qui ne bouge plus à la même vitesse que le pôle nord magnétique du tout, mais beaucoup moins vite...
Toutes ces dernières données semblent donc bien confirmer les prévisions vues plus haut concernant l'augmentation probable des tempêtes et cyclones dans tout l'hémisphère nord, aussi bien en nombre qu'en intensité, et que cette activité (voir 2005) semble corrélée avec le champ magnétique terrestre, et particulièrement pour l'hémisphère nord (qui semble aussi connaître le plus grand nombre d'anomalies météorologiques). Je n'ai pas encore regardé du côté des tornades, mais je sais déjà que leur nombre, déplacements et régions atteintes sont plus nombreuses dans les années 2000 que les années 1990, avec des records très récents aux Etats-Unis, aussi bien en nombre de tornades qu'en intensité. Des tornades et trombes d'eau assez violentes sont également apparues plus récemment dans des régions plus au nord des Etats-Unis (mars 2012), mais également en Europe, notamment en France (Le dimanche 3 août 2008, une tornade de force F4 ( vent de 300km/h ) à ravagé la ville d'Hautmont, située près de Maubeuge, dans le Nord de la France), Espagne, Portugal, Italie, Allemagne et aussi en Chine et Russie du côté Orient... Certes, les données pour cette recherche (un peu trop tôt pour 2011 pour les bilans finaux) sont incomplètes, mais la tendance sur toutes les années 2000 se confirme bien et les derniers évènements de ces dernières semaines (y compris les nombreuses tempêtes passant sur l'Islande et le nord de l'Europe, mais aussi des dépressions fortes plus au sud, de nombreuses tempêtes de neige et tornades aux USA, Chine, et des anticyclones subtropicaux très hauts placés sur l'Atlantique depuis plus d'un an-d'ailleurs le Groenland et même l'Islande connaissent des températures plus douces que la normale, y compris pendant la petite vague de froid de deux semaines de cet hiver !)
Vague de froid 02-2012 : Groenland et Island en positif
En tout cas, le Soleil s'est réveillé (avec 2 ans de retard par rapport à son cycle de 11 ans) et les déflagrations solaires s'intensifient beaucoup en ce début mars 2012 : plusieurs scientifiques (et les compagnies d'assurance avec) craignent une double explosion majeure, créant des conditions où le vent solaire pourrait atteindre le sol (et ses radiations mortelles avec, mais aussi des pannes éléctro-magnétiques gigantesques), d'autres ont peur de cette influence solaire grandissante (mais cyclique) sur le déplacement du pôle nord magnétique... le maximum d'activité du soleil (c'est à dire le nombre de taches solaires) est attendu pour fin 2012 ou fin 2013 (mais n'a pas eu vraiment lieu), mais les dates des plus grosses explosions connues sont situées en amont ou en aval de ce maximum, donc la surveillance actuelle est intense...
Inde, légendes et pluies extra-terrestres
Inde, légendes et pluies extra-terrestres - 2012 - up 07-2015
J'ai trouvé l'une des premières références aux pluies étranges se produisant en Inde dans l'Histoire Universelle - Livre Inde Védique (de 1800 à 800 AV J.C.) par Marius Fontane (1838-1914), il y cite notamment des pluies d'or et des pluies sanglantes :
histoire-universelle-1inde-vedique.pdf
Mais un évènement récent est venu confirmer d'une façon étrange les propos de l'historien :
" En 2001, les habitants de Kerala (sud de l’Inde) ont été témoins d’une pluie rouge pendant une période de (presque) 2 mois. Godfrey Louis, un physicien à la Cochin University of Science and Technology, intrigué par le phénomène, a collecté plusieurs échantillons de pluie rouge pour découvrir ce qui était la cause de la contamination.
L’examen au microscope des échantillons ont montré que la pluie rouge était remplie de cellules rouges qui ressemblaient remarquablement à des insectes traditionnels qu’on trouve sur Terre. Ce qui est étrange est qu’aucune trace d’ADN n’a été trouvée dans ces cellules, ce qui exclut la plupart des cellules biologiques connues (des globules rouges sont une possibilité mais auraient été détruits rapidement par l’eau de pluie).
En 2006, Godfrey Louis a publié ses résultats dans le journal à comité de lecture Astrophysics and Space, avec la suggestion que ces cellules pourraient avoir une origine extraterrestre, peut-être une comète qui se serait désintégrée dans l’atmosphère pour ensuite ensemencer les nuages avec les cellules.
Depuis sa découverte initiale, Godfrey Louis a intensifié son étude des cellules avec une équipe internationale incluant Chandra Wickramasinghe de l’Université de Cardiff (Royaume-Uni), l’un des principaux partisans de la théorie de la panspermie qu’il a développé avec Fred Hoyle.
Les nouvelles recherches de l’équipe ont été publiées sur ArXiv le 29 août 2010
« Nous avons montré que les cellules rouges trouvées dans la pluie rouge survivent et se reproduisent à une température de 121 °C après incubation sur des périodes allant jusqu’à 2h. Dans ces conditions les cellules filles apparaissent dans les cellules mères et le nombre de cellules des échantillons s’accrois avec la durée d’une exposition à 121 °C. Un tel accroissement ne se produit pas à température ambiante, suggérant que l’accroissement des cellules filles est provoqué par l’exposition de la pluie rouge à de hautes températures. Ceci est une confirmation indépendante des résultats rapportés plus tôt par 2 des présents auteurs, affirmant que les cellules peuvent se répliquer à des pressions élevées et à des températures allant jusqu’à 300°C. Le comportement fluorescent des cellules rouges correspond remarquablement aux émissions observées dans la nébuleuse planétaire du Rectangle Rouge et dans d’autres nuages de poussières galactiques et extragalactiques, suggérant, bien que ne prouvant pas, une origine extraterrestre »
Les spores de certains extrêmophiles peuvent survivre à ce type de températures et se reproduire à des températures moins élevées mais jusqu’à ce jour, rien de ce qui a été découvert sur Terre n’a montré un tel comportement à ces températures. "
Traduction d’après l’article de Daily Galaxy - http://guydoyen.fr/2010/09/02/le-mystere-des-pluies-rouges-de-kerala/
2012 : Encore des pluies rouges :
" Une pluie extrêmement rare de couleur rouge est tombée durant quinze minutes dans la ville de Kannur, à Kerala, tôt dans la journée du 28 juin 2012. Les habitants ont été troublés, mais ce n’est pas la première fois que l’État connaît une pluie colorée.
Cet étrange phénomène a d’abord été enregistré dans le Kerala quelques heures après une explosion de météorites en juillet 2001, quand un rocher venu de l’espace a explosé dans l’atmosphère. Plus de 120 averses de ce type ont alors été signalées, parfois aussi jaunes, vertes voire noires.
L’Astrobiologiste Godfrey Louis, pro-vice-chancelier de l’Université Cochin des Sciences et de la Technologie (Cochin University of Science and Technology, CUSAT) situé non loin du lieu de cette averse, a étudié les échantillons prélevés de cette pluie et y a découvert quelques propriétés étranges, notamment un phénomène d’autofluorescence- lumière caractéristique des structures cellulaires comme les mitochondries. L’analyse scientifique a montré que la coloration rouge vif était due à des particules microscopiques ressemblant à des cellules biologiques, peut-être originaires de fragments de comètes.
Louis estime que ces cellules pourraient être extraterrestres car il existe déjà plusieurs théories reposant sur l’hypothèse que les comètes pourraient avoir un noyau d’eau chaude rempli de nutriments chimiques capables de soutenir la croissance microbienne.
Il a déclaré, par mail à The Epoch Times, que « ce type de comètes peuvent se briser en petits morceaux alors qu’elles se rapprochent du Soleil au cours de leur voyage en orbites fortement elliptiques », en ajoutant que « ces fragments peuvent rester en orbite et plus tard entrer périodiquement dans l’atmosphère terrestre ».
Selon Louis les nuages de pluie rouge sont apparus du fait de particules rouges dans l’atmosphère issues d’un météore fragmenté.
« Il peut y avoir une quantité de l’ordre de 100 millions de cellules dans un litre d’eau de pluie rouge », a-t-il déclaré, « la pluie rouge pouvant apparaître sombre comme du café si la concentration de ces cellules dans l’eau de pluie est plus dense ». Ces cellules «aliens» ressemblent à des cellules normales, mais il leur manque les molécules biologiques habituelles comme l’ADN et on s’attend à y découvrir un système biochimique relativement différent.
Louis explique que « contrairement à d’autres cellules biologiques, ces microbes de pluie rouge peuvent résister à des températures très élevées », et il ajoute qu’« il est possible de les cultiver à des températures aussi élevées que 300 degrés centigrades ». « Même les bactéries appréciant la chaleur, dites thermophiles, les plus résistantes de notre Terre ne peuvent supporter les conditions auxquelles peuvent se soumettre les cellules rouges ». « A l’heure actuelle nous connaissons les microbes hyperthermophiles, mais ceux-ci ne survivent pas au-dessus d’une température de 122 degrés centigrade ».
Auparavant il a été suggéré que cette pluie colorée aurait été le fruit d’un mélange d’eau et de particules de poussière du désert. Cependant cette idée a dû être abandonnée en raison de l’apparition très localisée de ce phénomène malgré les changements climatiques qui durent depuis deux mois. Louis a également étudié la pluie jaune, affirmant que celle-ci contient des matériaux dissous qui nous sont inconnus, mais qui ne sont pas les cellules rouges.
« La pluie jaune et la pluie rouge sont liées par le fait qu’elles montrent toutes deux cette caractéristique inhabituelle, à savoir l’autofluorescence », a-t-il déclaré. « On en déduit que les matières dissoutes dans la pluie jaune sont des sous-produits de ces micro-organismes ».
Les chercheurs essayent d’identifier les composants moléculaires des cellules rouges et d’approfondir leurs connaissances en matière de pluies colorées. par Arshdeep Sarao, Epoch Times
Version anglaise: Red Rain in India May Have Alien Origin
http://www.epochtimes.fr/front/12/8/8/n3506811.htm
Autres pluies étranges, mais d'une toute autre nature (apparemment !), dans le sud de la France ! Mais on signale aussi des eaux et pluies rouges au-dessus de lacs canadiens récemment aussi... :
Dans l'Hérault, il pleut des excréments !
Excédé, Gilles Texier cherche, avec son association, des réponses à un phénomène régulièrement signalé. Il n’en peut plus. Depuis quelques mois, cet habitant de Saint-Jean-de-Védas constate régulièrement sur sa voiture, sa piscine et sa façade, des tâches brunâtres et malodorantes.
Une blague de très mauvais goût pourrait-on croire, si ses voisins ne subissaient pas les mêmes nuisances. " En me rendant à pied à mon bureau de vote, les dimanches d’élections, j’ai constaté sur le parcours que les voitures, les panneaux de signalisation et les façades étaient recouverts de ces traces ", précise-t-il.
" J’ai compris qu’il s’agissait de matières fécales ". Fort de cette constatation, le Védasien se met en quête de réponses et dépose une main courante auprès des services de la police municipale, qui effectuera les premières constatations.
Il porte une nouvelle fois plainte dans le courant du mois de juin 2012. " J’étais dans mon jardin, torse-nu, et j’ai reçu des particules sur moi. J’ai donc touché, senti, et j’ai compris qu’il s’agissait de matières fécales ", déclare-t-il aux gendarmes de Saint-Jean-de-Védas.
Un constat qui fait froid dans le dos et rappelle que des faits similaires avaient été signalés quelques années auparavant dans le Gard et l’Hérault.
Le 12 juillet, ce chauffeur routier devenu apprenti enquêteur prend la tête d’une association. " En son nom, je me suis rapproché d’un avocat et d’un expert judiciaire pour effectuer des prélèvements et enfin prouver la nature de ces particules nauséabondes ", explique-t-il.
En parallèle, il contacte le maire de Saint-Jean-de-Védas, le préfet de l’Hérault et le nouveau ministre de la Santé pour les avertir de ses mésaventures. " Aujourd’hui, tout le monde est au courant et j’attends des réponses ".
DES AVIONS QUI VIDENT LEURS TOILETTES EN PLEIN VOL ?
" Ces matières fécales qui tombent du ciel ne sont pas le fait des oiseaux, mais bien des avions qui dégazent leurs eaux usées en plein vol."
Une accusation portée par Gilles Texier, et vivement contredite par Allain Monadier, responsable montpelliérain de l’entreprise Latecoer, chargée de l’entretien des avions. " La vidange d’un gros-porteur s’effectue à chaque arrêt grâce à un camion." Pour ce faire, la trappe de vidange située à l’extérieur de la carlingue doit être déverrouillée manuellement et mécaniquement. Une explication peu probable donc, d’autant que " toute fuite entraînerait la dépressurisation de l’appareil, automatiquement signalée sur le tableau de bord par un voyant électronique, et consigné au journal des incidents ", précise le professionnel, avant de conclure, catégorique : " Les avions sont hors de cause."
Contacté par le plaignant, l’aéroport de Fréjorgues a cependant effectué les vérifications d’usages.
Sources : Midi-Libre via Wikistrike
MAJ 07-2015 : " Ce mercredi 27 juillet, il est 5 h 30 du matin lorsque les habitants de Changanassery, ville du Sud-Ouest de l'Etat Indien du Kerala, sont réveillés par une très forte détonation. Dans la nuit qui règne encore, certains perçoivent distinctement un éclair lumineux. Or, à 8 h 30 le même jour et au même endroit, il se met à pleuvoir... du sang ! C'est du moins ce que croit la population, tant la pluie est rouge. Deux mois durant, les habitants de la région de Changanassery auront à subir ces étranges averses, avant que l'ensemble du Kerala ne soit à son tour concerné. Quatorze grandes villes disséminées aux quatre coins de l'Etat seront finalement touchées par un total de 124 pluies rouges. La demière étant signalée le 23 septembre 2001, à plus de 300 kilomètres de Changanassery ; sur la ville de Kannur, dans le Nord, à l'autre extrémité de l'Etat du Kerala.
Le phénomène est si étrange, si peu commun, qu'il suscite dans la population les fantasmes les plus fous. On y voit l'annonce d'une catastrophe imminente et le bruit se répand dans la presse locale que les pluies pourraient être, avec l'effondrement constaté de puits, un signe avant-coureur d'un séisme dévastateur. De fait, en 1884, l'Angleterre connut une série de séismes juste après un cas similaire de pluies colorées - même si les pluies étaient, dans ce cas précis, noires. Plus sérieusement, les habitants. qui utilisent quotidiennement l'eau de pluie, s'inquiètent d'un éventuel danger pour leur santé. A tel point que le gouvernement indien s'empresse de commander un rapport sur l'origine de ce phénomène au Centre for earth science studies (CESS), l'organisme officiel chargé des questions d'environnement au Kerala.
Remis dès le mois de novembre, le rapport, qui se veut rassurant, n'envisage pas que ces pluies puissent être la conséquence d'une pollution chimique et rejette la possibilité de la présence de particules de sable d'origine désertique ou volcanique. L'explication est donc à chercher ailleurs. Et le feuilleton de commencer... Dans un premier temps, les enquêteurs du CESS semblent convaincus qu'un lien de cause à effet unit la déflagration aux pluies rouges. Pour eux, puisque les deux événements se sont produits en même temps et dans un même lieu, c'est qu'ils doivent faire partie de la même histoire. La première question qu'ils se posent est donc : qu'est-ce qui a bien pu causer cette détonation entendue le matin du 25 juillet ? Intuitive, l'hypothèse du tonnerre est pourtant vite écartée. Car si les témoignages des habitants, recueillis sur place, comparent bien la déflagration au tonnerre, tous insistent sur le fait qu'elle était beaucoup plus puissante.
CENT VINGT-QUATRE PLUIES EN DEUX MOIS
Le caractère exceptionnel des pluies rouges a immédiatement focalisé l'attention des journalistes du Kerala. Chaque pluie a ainsi fait l'objet d'un rapport dans la presse locale, ce qui a permis aux scientifiques d'établir un bilan précis du nombre des pluies rouges et de leur localisation. Ils ont ainsi pu déterminer qu'un total de 124 pluies rouges s'était abattu sur l'Etat du Kerala entre le 25 juillet et le 23 septembre 2001. La plupart d'entre elles ont eu lieu dans le Sud de la région, autour de Changanassery, là même ou une détonation a été entendue, le 25 juillet. Au total, les chercheurs estiment à près de 50 tonnes la quantité de particules rouges ainsi apportée par les pluies.
UN ORAGE AUSSI BREF QU'UN "BANG" !
Les murs et les fenêtres des maisons se sont mis à trembler et certains ont cru que le toit de leur habitation allait même s'effondrer. Une sensation rarement éprouvée après un simple coup de tonnerre. Encore plus exceptionnel serait un orage qui commencerait et finirait par un unique "bang" ! Car, comme le souligne le rapport, "aucun orage ne dure l'espace d'un coup de tonnerre". Or, les témoignages sont formels : une seule déflagration a été entendue. Enfin, la saison n'est pas propice aux orages : en juillet, la région se trouve au beau milieu de la mousson de Sud-Ouest et les vents chargés d'humidité provenant de l'océan Indien la balaient continûment, y déversant leurs contenus d'eau. Une fois établi, ce régime de temps ne permet pas le développement de conditions orageuses", lit-on ainsi dans le rapport du CESS.
Alors quoi ? Qu'est-ce qui a bien pu produire un bruit aussi fort ? Pour les rapporteurs, ce pourrait être le bruit caractéristique d'un objet volant à une vitesse supersonique. Et comme ils n'envisagent pas qu'un avion puisse se livrer à une telle manœuvre au-dessus d'une ville comme Changanassery, les stations radars n'ayant rien signalé de particulier, ils avancent que l'objet en question pourrait finalement être un... météore ! Une hypothèse renforcée par le fait que les pluies rouges sont circonscrites à une zone de forme elliptique de 450 km de long sur 150 km de large, qui rappelle la dispersion caractéristique des poussières de comète après une désintégration dans l'atmosphère. De tels événements sont plus fréquents qu'on pourrait le croire. "Chaque année, 40 000 tonnes de matière cométaire arrivent sur Terre", estime André Brack, du Centre de biophysique moléculaire du CNRS à Orléans. Certes, la plupart de ces météores passent inaperçus, parce qu'ils trop petits ou parce qu'ils tombent au-dessus des océans ; mais une petite partie se signale par une traînée lumineuse et tout un ensemble de bruits pouvant consister en des sifflements, des craquements... ou des explosions. Et justement, parmi ces bruits, dûment répertoriés par une étude conduite dans les années 80, on trouve un type de météore qui colle de manière frappante à la description que les habitants de Changanassery ont faite et dont le nom scientifique est éloquent : il s'agit du type "sonic boom", qui correspond aux météores les plus gros.
Et ce n'est pas tout. "On s'est récemment aperçu que certains gros astéroïdes de la ceinrure d'Edgeworth-Kuyper ou du nuage de Oort, les deux principales sources de météores du système solaire, sont rouges", explique Alain Roten, exobiologiste à l'université de Lausanne. Une couleur qui, selon Jacques Crovisier de l'Observatoire de Paris, "est probablement due aux réactions chimiques qu'engendrent les rayonnements UV et cosmique à la surface des astéroïdes". Le bruît, la lumière, la couleur rouge... Les experts du CESS pensent tenir là l'explication du mystérieux phénomène : le 23 juillet, à 5 h 30 du matin, un météore serait entré dans l'atmosphère et s'y serait désintégré, produisant une très grande quantité de poussières rouges qui aurait atteint les nuages, et s'y serait mélangée à l'eau.
Fin du mystère ? Pas vraiment. Car à l'époque, les analyses chimique et microscopique des pluies rouges n'étaient pas encore disponibles. Or, une fois effectuées, celles-ci vont compliquer la donne et renforcer le mystère. Et pour cause : ces analyses mettent en évidence que ce qui a coloré la pluie est de nature organique et ne peut pas être de la poussière cométaire. Plus précisément, cela ressemble à des spores, c'est-à-dire à des cellules vivantes. Pour en avoir le cœur net, les experts du CESS décident de mettre en culture les particules récupérées lors des différentes pluies de l'été 2001. (voir plus haut les résultats...)
D'AUTRES CAS RESTENT INEXPLIQUÉS
Le phénomène des pluies rouges n'est pas aussi rare qu'on pourrait le penser. Même en France, on connaît aujourd'hui au moins un ou deux épisodes de ces pluies chaque année. Dans la plupart des cas, leur couleur est due à la présence de poussières de sable venues du Sahara. Mais les poussières désertiques n'expliquent pas tout. Il existe bien d'autres exemples de pluies rouges restées inexpliquées et auxquels l'écrivain américain Charles Fort (1874-1932) avait, en son temps, dédié un chapitre de son ouvrage intitulé : Le livre des damnés. Son but : faire une liste de tous les faits étranges rapportés par les grandes revues scientifiques de l'époque et qui, n'ayant pu être expliqués, ont été rejetés par la science. En voici un florilège :
En 1812, les Annales de Chimie évoquent une pluie visqueuse et rouge à Ulm, en Allemagne.
En 1872, la revue Chemical News rapporte un cas de pluies rouges en Sicile contenant de la matière organique. A l'époque, on pense déjà à une origine météoritique.
En 1877, c'est le magazine Nature qui relate une pluie rouge survenue en Italie et qui tache les vêtements.
En 1887, L'Année scientifique publie le cas de pluies rouges en Cochinchine (actuel Vietnam) contenant une substance ressemblant à du sang coagulé.
Enfin, en 1888, L'Astronomie rapporte plusieurs cas de pluies sur la Méditerranée, colorées par une substance rouge non-identifiée qui émet une odeur animale lorsqu'on la brûle... Depuis, personne n'ayant pris la relève de Charles Fort, on ne connaît pas le compte exact de ces pluies...
" Michel Viso, vétérinaire de formation et animateur du groupe d'exobiologie au Centre national d'études spatiales (Cnes), observe que certains pays utilisent de la poudre de sang déshydraté, riche en azote, comme fertilisant. Serait-ce le cas de l'Inde ? Il est intéressant de noter que le Kerala est, avec le Bengale Occidental, le seul Etat indien à autoriser l'abattage des animaux, dont les vaches. Chaque année, il voit ainsi arriver des millions de bovins des quatre coins du pays. "
ET S'IL PLEUVAIT DU SANG DE BOVIN ?
La mise à mort de tant d'animaux génère une quantité phénoménale de sous-produits, dont le sang, pour lequel il faut trouver des débouchés. Or, le Kerala est aussi une grande région agricole dont les besoins en engrais sont élevés. L'université agricole du Kerala propose ainsi de se servir de ce sang comme fertilisant. Aujourd'hui, il est utilisé dans les champs de coton et les plantations de noix de coco, deux des principales cultures de la région. Comme l'explique le Docteur Nybi, de l'université agricole, "la technique consiste à mélanger de 20 à 50 litres de poudre de sang à la terre, au pied des arbres, en une seule fois, au moment de la mousson du Sud-Ouest". La bonne couleur, les bonnes caractéristiques physico-chimiques, le bon timing... Force est de constater que l'hypothèse du sang n'est pas la moins crédible de toutes, même si, là encore, il reste à expliquer la présence du sang dans l'atmosphère. Pour Michel Viso, une seule explication : entre deux pluies, la poudre de sang déposée à la surface du sol aurait été soulevée par le vent et emportée au loin". Ce qui pourrait écarter la question des moindres précipitations, au cours de l'été 2001, dans la région. Une théorie à laquelle Annie Caudichet, spécialiste des aérosols au CNRS, a toutefois du mal à croire : "L'érosion éolienne nécessite des sols secs et nus ; or le Kerala est très humide et son couvert végétal, très développé."
L'enquête en est là. Les pluies rouges tombées sur Changanassery contenaient-elles du sang de vache déshydraté ? Des spores de l'algue Trentepohlia ? De la poussière d'une comète de la ceinture d'Edgeworth-Kuyper ou du nuage de Oort ? De particules biologiques d'origine extraterrestre ? Pour l'heure, impossible de trancher. Des études sont toujours en cours en Inde, mais également en Ecosse... "
" LA VIE VIENT-ELLE DE L'ESPACE ?
Pour les tenants de la panspermie, la vie n'est pas "née" sur Terre mais elle l'a colonisée à partir de l'espace. Littéralement, panspermie signifie "germes partout" : selon cette théorie, les germes de la vie sont partout disséminés dans l'espace interplanétaire, voire interstellaire. Les panspermistes "modernes" pensent que ce sont les comètes qui véhiculent ces germes et qu'en s'écrasant sur les planètes, elles les ensemencent. Ils font remarquer que l'apparition de la vie sur Terre est généralement datée à 3,8 milliards d'années, soit, "juste après" une période d'intenses bombardements cométaires. Certes, cette vieille théorie, qui remonte à Anaxagore, un philosophe grec du Vè siècle avant notre ère, est plus que jamais d'actualité. De plus en plus d'études montrent qu'il est possible à la vie terrestre de se maintenir, au moins un temps, dans les conditions du vide interplanétaire ; des bactéries terrestres ont pu être transportées sur Mars et sur la Lune par des sondes... D'un autre côté, l'eau liquide, considérée par beaucoup comme une condition sine qua non à la vie, serait présente, au moins par intermittence, sur les comètes. Reste qu'aucune comète analysée sur Terre n'a encore montré la moindre trace de vie extraterrestre. "
Source (extraits) : http://planete.gaia.free.fr/climat/hydrologie/pluies.rouges.html
Yves Herbo pour S,F,H, 09-2012, up 07-2015
Nevada, USA, des pétroglyphes datés d'entre 14800 et 10500 ans
Nevada, USA, des pétroglyphes datés d'entre 14 800 et 10 500 ans
Un groupe d'archéologues a découvert une série de pétroglyphes abstraits près du lac Winnemucca, au Nevada occidental. Selon les chercheurs, les gravures datent au moins de 10.500 années, mais ils ne peuvent exclure une datation plus ancienne encore qui pourrait en faire remonter certains à 15.000 années, les faisant les plus anciens pétroglyphes connus en Amérique du Nord.
Credit: University of Colorado
L'équipe, dirigée par l'archéologue Larry Benson de l'Université du Colorado, a effectué la datation au radiocarbone des couches de carbonate trouvées dans les pétroglyphes sculptés par les anciens Amérindiens, près du lac asséché.
" Qu'elles soient vieilles de 10.000 ans, ou de 15 000, se sont les plus anciennes gravures rupestres connues dans le nord de l'Amérique pour l'instant," dit Benson. Pourtant, même s'ils ont découvert la date approximative de leur création, les chercheurs n'ont aucune idée de ce que pourrait représenter ces anciens glyphes. " Nous ne savons pas ce qu'ils veulent dire ", admet Benson.
Les pétroglyphes sont composées de gros points et de rainures gravés profondément dans le calcaire, formant de nombreux dessins complexes.
Bien qu'il n'y ait pas vraiment de personnes, d'animaux ou de symboles d'empreintes de mains représentés, les conceptions des pétroglyphes comprennent une série de symboles verticaux, comme des chaînes et un certain nombre de petites fosses profondément gravées avec une sorte de disque racleur de roc.
Benson et ses collègues ont utilisé plusieurs méthodes pour dater les pétroglyphes, y compris pour déterminer quand le niveau d'eau du sous-bassin de Winnemucca Lake - qui à l'époque était un corps unique d'eau reliant le lac à sec maintenant Winnemucca et le lac Pyramid toujours existant - avait atteint l'élévation spécifique de 3.960 pieds. (1.2 kilomètre).
L'élévation était la clé de l'étude parce qu'elle a marquée la hauteur maximale que l'ancien système du lac a pu avoir atteint, avant de commencer à déverser l'eau en excès sur Emerson col au nord. Lorsque le niveau du lac était à cette hauteur, les blocs de pétroglyphes gravés ont été submergés et donc pas accessibles pour la sculpture, dit Benson, conservateur adjoint d'anthropologie à l'Université du Colorado du Musée d'Histoire Naturelle.
Un document sur le sujet a été publié ce mois-ci dans le Journal of Archaeological Science. Les co-auteurs de l'étude comprenaient Eugene Hattori du Musée Nevada State à Carson City, Nevada., John Southon de l'Université de Californie, Irvine et Benjamin Aleck du Musée Pyramid Lake de la tribu Paiute et Centre de séjour à Nixon, Nev. Le Programme National de Recherche de la Commission géologique des États-Unis a financé l'étude.
Certains détails sont très étranges, on devine une feuille de palmier ou une fougère à l'envers, une silhouette humaine sur un paysage montagneux (?), une fleur, ou le soleil, ou une roue à rayon en bas, et plusieurs "puits" comme les ont appelé les archéologues ou trous apparemment profonds... une carte montrant une région traversée par les migrants indiens n'est pas impossible. Credit: University of Colorado
Benson et ses collègues ont utilisé diverses méthodes pour dater les gravures rupestres, y compris l'identification du niveau de l'eau du lac de Winnemucca avant son assèchement, sur les roches décorées au sommet, laissant une fine couche de carbonate blanc, puis l'ont utilisé pour la datation au radiocarbone.
Les datations au radiocarbone sur des échantillons prélevés dans la couche sous-jacente de carbonate des pétroglyphes les font remonter à il y a environ 14.800 ans. Ces dates, ainsi que des données géochimiques supplémentaires sur une carotte de sédiments du sous-bassin adjacent de Pyramid Lake, ont indiqué que les blocs de calcaire contenant les pétroglyphes ont été exposés à l'air libre il y a entre 14 800 et 13 200 années et encore entre environ 11 300 et il y a 10 500 années. " Avant notre étude, les archéologues avaient déjà deviné que les pétroglyphes étaient extrêmement vieux," dit Benson. " Notre recherche montre que ce sont les pétroglyphes les plus anciens jamais découverts en Amérique du Nord."
Ce très vieil ensemble de glyphes sur roches ressemble à une grande sculpture qui a mal supporté le temps et l'érosion... Credit: University of Colorado
" Nous ne savons pas ce qu'ils veulent dire," dit Benson. " Mais je pense que ce sont absolument de beaux symboles. Certains semblent représenter des pierres précieuses ou diamants, des arbres ou d'autres, des ramifications d'une feuille. Il y a peu de pétroglyphes gravés profondément dans le sud-ouest américain, et très peu de cette même dimension. "
L.V. Benson, E.M. Hattori, J. Southon, B. Aleck. Dating North America's oldest petroglyphs, Winnemucca Lake subbasin, Nevada. Journal of Archaeological Science, 2013; 40 (12): 4466 DOI:10.1016/j.jas.2013.06.022
Source : http://www.sciencedaily.com/releases/2013/08/130813121622.htm
Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 10-07-2015