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Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 1
Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 1
Petit rappel, en juillet 2014, l'explorateur Dominique Jongbloed donnait un premier avis à la suite de l'expédition EPR2 d'avril 2014. Vous pouvez revoir ce premier avis dans la vidéo visible ici : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/pyramides-de-bosnie-le-point-de-vue-de-l-explorateur-dominique-jongbloed.html
Le rapport d'expédition European Pyramids Research de NordSud Institute a été envoyé à de nombreuses adresses, intervenants (dont le président de Bosnie Herzégovine Mladen Ivanic) ou presses écrites, télévisées et radiophoniques bosniaques, françaises et américaines, et Mr Dominique Jongbloed m'en a également envoyé une copie pour information et publication. Ce rapport faisant plus de 80 pages, je répondrais donc à la volonté de Mr Jongbloed d'informer le public et les intervenants d'une probable intéressante suite à donner à son expédition en en publiant de très larges extraits et sans modifier d'aucune façon ces écrits et conclusions comme il me l'a demandé : il ne s'agit ici que de citations et de copies conformes de ce rapport, sans parti pris ni opinion préétablie. Juste de l'information donc, en soulignant toutefois qu'il y a déjà des probabilités plus anciennes de pyramides en Europe, historiquement, puisqu'on en a parlé tout aussi bien pour la France, l'Italie, la Grèce, la Bulgarie, l'Ukraine, la Serbie, la Turquie, la Russie et autre Roumanie... Je signale aussi au passage le petit travail effectué par mon correspondant, Mr Albert Fagioli, déjà cité dans plusieurs articles de ce site sur d'autres lieux qu'il a analysé avec ses dons et instruments.
D. Jongbloed
N'oublions pas que toutes les croyances populaires, même les plus absurdes en apparence, reposent sur des faits réels, mais mal observés. En les traitants avec dédain, on peut perdre la trace d'une découverte. Alexander Von Humboldt
RAPPORT D’EXPEDITION EUROPEAN PYRAMIDS RESEARCH
Par NORDSUD INSTITUTE
Expédition dirigée par Dominique Jongbloed
NORDSUD INSTITUTE : 264, avenue André Lechatelier – BP 108
83060 TOULON LES ROUTES CEDEX infos@nordsud-institute.com + www.nordsud-institute.com
Historique :
ENVIRONNEMENT DE L’EXPLORATION
En avril 2005 l’anthropologue et chef d’entreprise américano-bosniaque, Semir Osmanagich, émet l’hypothèse selon laquelle la colline de Visocica pourrait être une pyramide car il relève l’existence de quatre faces apparemment assez similaires puis s’aperçoit que celles-ci semblent être parfaitement orientées selon les points cardinaux. Au début, en Europe, l'affaire passe quasiment inaperçue si ce n’est dans certains médias très spécialisés. Pourtant, dès le 31 octobre 2005 quand il confirme son intuition, via une conférence de presse, il vient peut être de faire une découverte qui fera date dans les annales de l'archéologie de son pays et même dans celles du monde entier.
La vallée de Visoko, en Bosnie-Herzégovine.
©2013/15 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil.
En 2006, la fondation sans but lucratif dite « Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil® » est créée et les recherches s’intensifient.
La vallée de Visoko est devenue, depuis cette date, l’un des chantiers archéologiques les plus actifs au monde et attirent plusieurs dizaines de milliers de touristes chaque année et des centaines de chercheurs, indépendants ou non. La vallée se trouve à proximité de la ville de Visoko, en Bosnie-Herzégovine, à 30km au nord de Sarajevo.
La pyramide du Soleil, selon une étude au radiocarbone (le carbone 14) faite le 18 août 2012 sur du matériel organique découvert enserré accidentellement entre deux couches de «béton d’argile», sur une terrasse, par Michael G. Buzinny du CRDSL (Conventional RadioCarbon Dating Service Laboratory de Kiev en Ukraine), révèle que le matériel organique aurait au moins 24.800 ans (à plus ou moins 200 ans près).
Certificat d’analyses au radiocarbone du CRDSL.
©2013/15 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil
Ce résultat fit naturellement l’effet d’une bombe dans le microcosme archéologique international et depuis la polémique fait rage et s’est même installée durablement.
Dominique Jongbloed, avec Nordsud Institute®, a engagé le plus de moyens techniques dans ces recherches, loin devant les autres groupes scientifiques. De quoi peuvent bien avoir bien peur les détracteurs de la théorie que cet endroit puisse receler de véritables monuments antédiluviens ? Ils ont en fait peur que ce qu’ils considèrent (pour l’instant) comme une escroquerie à l’Histoire ou un gigantesque canular, ne soit en fait - sur le plan historique - parfaitement exact.
On pourrait d’ailleurs se demander – à juste titre - qui serait assez fou pour dépenser des dizaines de milliers d’euros chaque année, juste pour maintenir en place un canular, et cela depuis au moins sept ans.
Dominique Jongbloed n’est ni un scientifique, ni un archéologue, il est un explorateur et il le revendique. Beaucoup de gens veulent lui attribuer des compétences que lui-même ne se reconnaît pas. C’est cependant un passionné d’aventures et d’action qui s’intéresse de près, et cela depuis plus de trente ans, à l’histoire de l’humanité et à ses civilisations passées. Il est vrai qu’il a acquis ainsi une certaine culture sur le sujet et est allé voir personnellement nombre de vestiges inexpliqués sur cette planète. Toutefois, quand il s’agit de donner son avis, il s’en réfère aux spécialistes car, pour comprendre, il faut aller bien au-delà d’une simple visite touristique.
Pour cela il a contacté :
- L’ONF (Office National des Forêts)
- Le Groupe des chiroptères de Provence
- L’O.N.E.M
- Le Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges et de Paris
- Michel Barataud, bio acousticien de réputation internationale
- Alain Ghio, acousticien du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- Le Laboratoire d’Analyses des Eaux de la Société du Canal de Provence, l’un des plus grands spécialistes du traitement et de l’analyse des eaux et experts auprès de nombreux pays dans le monde.
- Le CIRAM, l’un des plus prestigieux laboratoires d’analyses de France et même d’Europe.
- Le SETI, chargé de l’étude des ondes en provenance de l’Espace pour déterminer si oui ou non ils proviennent d’éventuelles intelligences extra-terrestres.
- La NASA, département photographies satellites.
Il a fallu en effet examiner, au-delà du premier regard. Puis entreprendre des investigations poussées (certes sans fouilles puisqu’elles sont interdites pour l’instant) : mesurer, enregistrer le maximum de données, comparer, photographier et filmer. Et lorsque des découvertes furent réalisées, alors il ne fut posé aucun avis prématuré sur celles-ci et Dominique Jongbloed prit immédiatement conseil auprès de spécialistes reconnus par leurs pairs pour la qualité de leur expertise. Le point de vue de l’expert est essentiel dans ce genre d’exploration.
On connaît tous la maxime de Von Humboldt : « D'abord, ils nieront la chose. Ensuite, face aux découvertes, ils la minimiseront. Finalement, lorsque la vérité éclatera, ils diront que cela se savait depuis longtemps ».
Il faut dire que, contrairement aux touristes qui ne peuvent baser leur jugement que sur ce qu’ils peuvent voir (ce à quoi ils ont réellement accès), les volontaires, eux, sont en première ligne avec tous les travaux de fouilles, de terrassements, de consolidations, faits chaque année. Ils peuvent donc voir par eux-mêmes la réalité de ce qui se trouve là-bas.
Si les datations radiocarbone du béton d’argile de la pyramide du Soleil® et celles de la céramique des mégalithes du labyrinthe Ravné®, ramenés par l’EPR2 en France, se confirmaient au travers des prochaines analyses (en cours actuellement mais freinées par un manque de fonds important : plus de 42.000 euros), l’histoire des civilisations occidentales pourrait bien alors nécessiter une réécriture complète et ce serait un bouleversement planétaire et intellectuel sans précédent.
L’enjeu est tellement important qu’il était du devoir de Dominique Jongbloed, en tant qu’explorateur - mais surtout en tant que passionné des civilisations antédiluviennes - d’aller vérifier la réalité des choses qui existent là-bas. Ce fut la principale raison de son voyage en Bosnie-Herzégovine : découvrir la réalité des faits et mettre ainsi fin aux spéculations stériles, aux débats sans fin, aux divagations sur le Net.
Depuis 2005, comme dit plus haut, la vallée a été explorée par les équipes de Semir Osmanagich ainsi que par de nombreuses équipes et chercheurs indépendants (qui, soit dit en passant, n’ont rien à voir avec les pseudo-scientifiques). Un nombre incroyable d’artefacts (photos dans ce rapport) ont été retrouvés sur place, au cours des fouilles, et sont à présent entreposés en l’attente d’un musée officiel dans un immeuble situé à Visoko.
Cette face pourrait avoir subi des dommages importants du fait de glissements de terrain, de secousses sismiques, ou même de prélèvements non négligeables de terre par la population environnante lors du terrassement et de la construction des habitations alentours.
La pyramide bosniaque du Soleil® est, semble-t-il, orientée vers le Nord Céleste, en alignement avec la position de l'Étoile Polaire. La pyramide de Kheops (Koufou), en Égypte, est également alignée de la même façon. Est-ce suffisant pour dire que cette colline de Visoko est une pyramide ?

©2013/15 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil
Dans ce labyrinthe, long de 12km (pour l’instant identifié uniquement grâce au travail de localisation par georadar), dégagé de seulement 950m, on retrouve d’étranges mégalithes que l’on dit en céramique (1).
Une seconde évolution de la céramique a vu le jour au cours du XX° siècle. Ce sont les céramiques dites "techniques", dotées de nouvelles propriétés (tenue à très haute température, tribologie, conductibilité, etc.). Elles se rencontrent à présent dans les applications médicales, sanitaires ou industrielles.
La découverte de ce dernier type de céramique dans la nature même des mégalithes jette le trouble et est matière à de nombreux questionnements.

Ce que l’équipe apprend à l’occasion de cette conférence n’apportera guère de nouveautés, du moins par rapport à tout ce qui a été dit par Dominique Jongbloed lors du voyage. Par contre bien des contre-vérités, vis-à-vis de ce qui est diffusé sur Internet, s’effondrent et cela modifie sensiblement le regard de certains membres de l’expédition sur ce qu’ils sont venus faire ici. L’affaire est bien plus sérieuse qu’imaginée au départ.
L’explorateur sait qu’il a l’appui du gouvernement de Bosnie sur le sujet, lequel aimerait bien qu’une situation – si possible objective – lui soit donnée sur les lieux. Le Président de la fondation lui accorde, comme à son habitude, toute sa confiance et lui demande simplement de le tenir au courant, jour après jour, de l’avancée des travaux.
C’est au cours de cette visite de présentation que Dominique Jongbloed remarque une protubérance remarquable qui, à la lumière des torches, semble présenter des reliefs anthropomorphes. Cette pierre bizarre, prise encore dans la terre de remblais, semble avoir certaines similitudes avec les pierres qui furent retrouvées en 1957, à Hambourg, par l’archéologue Walter Mattes, lors de travaux d’excavation entrepris pour la construction du métro. Ces sculptures avaient alors été datées de plus de deux cent mille ans. Elles sont décrites dans le célèbre livre de Jacques Bergier « Le matin des magiciens ».
Après une traversée encombrée de l’avenue principale de Visoko, le minibus sort de la petite ville et se retrouve sur une route de campagne qui mène, quelques kilomètres plus loin, sur la gauche, vers le labyrinthe Ravné®. Montant une légère pente, passant devant de parking des bus puis l’entrée du labyrinthe, l’équipe continue sur une route qui devient de plus en plus étroite et qui s’élève lentement, mais régulièrement, jusqu’au plateau où se situe la base de la singularité. Après avoir dépassé une sorte de petit parc public, avec quelques tables de camping parsemées sur le gazon, l’expédition quitte la route goudronnée pour un chemin de terre plus sauvage et plus caillouteux. De toute évidence ici deux véhicules ne pourraient se croiser.
Finissant, au bout de quelques centaines de mètres, sur un élargissement de la voie qui mène directement sur une sorte de petite plaine, légèrement pentue et surplombant un vallon entouré de collines, l’EPR2 arrive au pied de la singularité en contrebas de la colline de Visocica.
L’EPR2 gare alors son minibus et commence à déployer son matériel d’exploration. Paul Sabbe, adjoint de Dominique Jongbloed, sort le drone tandis que l’explorateur extrait de son sac le matériel cinématographique pour filmer cette première ascension.
L’équipe se scinde alors en deux :
D’un côté, le reste de l’équipe entament leur ascension de la pyramide et cela jusqu’aux ruines surplombant l’apex détruit de cette supposée pyramide. De l’autre côté, Dominique Jongbloed et son adjoint montent le drone et le préparent pour son premier vol. Ils installent également le matériel vidéo pour filmer l’ascension de la première équipe.
A gauche, une sorte de petit chalet, d’aspect bien sympathique, tenue par une dame très serviable. Il semble que l’endroit soit appelé par dérision le grad, c’est-à-dire « la ville », tant l’endroit ici est isolé et loin du centre ville de Visoko. C’est le seul point de rencontre pour ceux qui explorent cette colline. C’est là que l’EPR2 fait son premier briefing avant d’entamer l’exploration de cette petite vallée encaissée et du côté Ouest de la pyramide du Soleil®.
Après celui-ci, la première équipe entame l’ascension de la singularité vers son sommet, filmée par Dominique Jongbloed et Gwen Charrier, le cameraman, pour immortaliser ce moment important de l’exploration : ses débuts.
Paul Sabbe et Dominique Jongbloed débutent les premières images aériennes du lieu tandis que Valérie Duffau, la secrétaire Générale de Nordsud Institute® (qui accompagne l’expédition) filme les essais de vol et que Gwen Charrier rejoint l’équipe au sommet de la pyramide.
Ces premiers vols permettent de prendre les premières images en altitude, ce qui en fait une première sur ce lieu car personne n’avait fait - jusqu’à présent - d’images aériennes de cette vallée et du sommet de la pyramide du Soleil®. D’autres imiteront l’EPR2 dans les mois qui suivront mais cette expédition détiendra à jamais le record d’avoir fait le premier survol de la pyramide du Soleil.
Après deux ou trois essais plus ou moins fructueux, L’explorateur et son équipier rangent le matériel dans le minibus, assisté de Valérie Duffau, puis débutent eux aussi l’ascension. Les trois cadres de l’expédition vont rejoindre le reste de l’équipe et démarrer les premiers enregistrements de la fréquence ultrason identifiée pour la première fois en 2011 par Slobodan Mizdrac, et enregistrée en 2013 par Dominique Jongbloed lors du premier voyage EPR1.
Toutefois, c’est en grimpant par l’étroit chemin qui mène jusqu’au sommet, et qui est littéralement face à cette petite plaine, que l’explorateur réalise pour la première fois qu’il y a peut être une possibilité que celle-ci, posée au pied de la face Ouest de la singularité, soit en fait une construction antique.
DECOUVERTE N°2 – La rampe d’accès à la pyramide du Soleil et les deux constructions circulaires.
En effet l’altitude permet de visualiser de manière panoramique le vallon qui entoure la pyramide et la petite plaine qui est disposée à l’Ouest et au pied de celle-ci. C’est quasiment au sommet que Dominique Jongbloed et son adjoint constatent communément qu’effectivement la plaine a bien une forme quadrilatère et que celle-ci est bien trop régulière pour avoir été le fruit du hasard de la nature. On distingue même, depuis le sommet, deux vestiges de constructions circulaires qui pourraient être anciens, voir antédiluviens, mais qui pourraient aussi être des cromlechs (cercle de pierre). Des vestiges de terrassement apparaissent également dès la mi-hauteur de la pyramide.
Il semblerait qu’en fait cette petite plaine puisse être une sorte de rampe d’accès à la face Ouest de la pyramide, destinée à faciliter l’accession au sommet car la face Nord, elle, est carrément dissuasive avec ses deux cents marches irrégulières à gravir sur au moins trois niveaux. La rampe semble également rejoindre le premier tiers de la hauteur de la pyramide (à la hauteur de ce qu’on appelle, en Egypte, la chambre du Roi) et donne ainsi l’impression, vu du sol, au pied de cette singularité, que la pyramide ne possède pas quatre faces.
Pourtant l’un des vols du drone va détruire définitivement cette impression lorsqu’en se plaçant à la verticale de la pyramide du Soleil®, exactement au dessus de son apex, sa caméra fera apparaître indiscutablement sur la vidéo les quatre faces de celle-ci.
Finissant leur ascension, Paul Sabbe et Dominique Jongbloed rejoignent le reste de l’équipe et atteignent ainsi un sommet tronqué : l’apex.
DECOUVERTE N°3 – Le village médiéval supposé être au sommet de la pyramide n’existe pas ! C’est tout juste un fortin datant probablement de la guerre, rénové sommairement.
Ce dernier à des contours torturés. Il a été visiblement détruit pour construire, en lieu et place, un pseudo-fortin dont on veut faire croire au public qu’il date de l’époque moyenâgeuse (alors que la population, et plus particulièrement les voisins de la pyramide, vivants ici depuis toujours, affirme à l’équipe que celui-ci n’a guère plus de trente ans et a été récemment restauré, il y a deux ans environ).

La mystérieuse affaire de l’Utsuro-Bune
La mystérieuse affaire de l’Utsuro-Bune - 2012 - up 07-2015
Le Japon à t-il connu une rencontre extraterrestre du troisième type au cours de la période Edo?
La période d’Edo au Japon de 1603 à 1867 fut un temps prospère pour le peuple japonais. Pour la plupart des historiens à l’époque, le Japon a été coupé (presque) complètement du monde extérieur. Aucune négociation, les voyages, la migration et l’immigration se sont produits au cours du XX ème siècle. Un détachement total du monde et de tous ses habitants de leurs coutumes, des pratiques et des religions éloignés. Pour les Japonais, cet isolement leur a permis de vivre sans guerre et se concentrer plutôt sur leur culture, l’art et l’état économique du pays.
Durant la période Edo, nous commençons à voir répandre le folklore japonais comme une traînée de poudre dans toute l’île. Peut-être que le produit de l’isolement leur ont permis de cultivé des histoires de type mythologique et légende un peu comme la période grecque finalement ! Mais les Ufologues ce posent une question à propos d’une histoire mystérieuse :
“Le Japon a t-il connu une rencontre extraterrestre du troisième type au cours de la période Edo?”
L’histoire de Utsuro-bune, ou le “vaisseau creux”.
Durant l’année 1803, quelques pêcheurs du village côtier de Harasha-ka-Hama, qui est située sur la côte nord du Japon, étaient sur le point de se détendre d’une dure journée de travail, quand ils ont repéré quelque chose d’étrange venant vers le rivage. De loin, les hommes ont repéré ce qui semblait être un bateau bizarre. L’objet semblait être à la dérive sans but à travers l’océan Pacifique. Comme il a dérivé de plus en plus près du rivage, les hommes ont décidé de s’aventurer dans les eaux et l’examiner de plus près. Prudemment, mais plus intrigué, les pêcheurs glissent lentement vers l’objet que la marée rapprocha du rivage. Dès qu’ils étaient assez proches du “bateau”, ils ont remarqué que ce n’était pas ordinaire. Au moins rien comme ils l’avez jamais vu.
Les hommes décidèrent rapidement d’inspecter ce navire étrange et le remorquer jusqu’au rivage. Avec un peu d’orientation, ils parviennent à faire glisser les trois à cinq mètres de large du vaisseau vers un endroit sûr sur la plage. Des gens étaient réunis autour, curieux de voir ce qui était à l’intérieur de ce navire étrange. Les hommes se sont rapidement encerclés et une inspection minutieuse des matériaux de construction commença. De ce qui est connu, la description de la partie supérieure de ce vaisseau ressemblait à du bois de bambou. Il semblait être très lisse et solide avec une couche de peinture rouge qui couvrait toute la partie supérieure. Toujours sur le dessus, des fenêtres de cristal qui leur a permis de scruter l’intérieur du navire Quant à la partie inférieure du navire, la légende rapportes qu’il soit construit à partir de plaques d’airain. Un design vraiment bizarre pour cette époque. Mais ce qui était plus bizarre était ce qui était à l’intérieur du navire.
Les pêcheurs ont vu que l’intérieur était décoré par un texte inconnu et étrange. Le texte, plus comme des symboles géométriques, les pêcheurs japonais ce demandais bien, ce que tout ça voulaient bien dire? Et d’oû cela provenais?
Ces questions seront bientôt disparues à mesure que les hommes feront une découverte remarquable. A l’intérieur du navire, parmi les étranges hiéroglyphes il était assis une femme. Selon l’histoire, la femme était assez jeune et semblait n’avoir que dix-huit ou vingt ans. Elle a été décrit comme ayant des cheveux rouge feu et les sourcils très lisse et une très pâle couleur de peau. Les hommes ont remarqué que la femme à l’intérieur du navire était vêtus de vêtements qui ont été faits de tissus inconnus.
Ils se sont rapidement rassemblés autour du bateau en regardant cette étrangère, elle est serrait sur elle une sorte de boîte allongée. La tenant serré contre sa poitrine. La femme se leva et les hommes bondirent en arrière. Là, en plein jour, la mystérieuse voyageuse émergea de la “cuve” et mis les pieds sur la rive nord du Japon.
La Visiteuse
Les hommes chantaient autour du mystérieux visiteur et ils ont immédiatement fait remarquer que non seulement elle ne leur ressemblai pas, mais elle parlait dans une langue inconnue. Elle a été décrite comme étant très sympathique et courtoise. Tant les pêcheurs et les visiteurs ont essayé de communiquer avec, mais ont constaté qu’il s’agissait d’un effort futile. De là les pêcheurs décidèrent de découvrir pourquoi la femme tenais sur la poitrine une boîte allongée si étroitement, comme si que le contenu de la boîte pourrait lui sauver la vie. Elle n’a jamais permis à personne de toucher la boîte et a été décrite comme suspectant quiconque qui l’interrogerais à ce sujet.
Cela a conduit les hommes à théorisé que peut-être ce qu’elle portait dans la boîte était la tête de son amant. Ce qui expliquerait sa réaction bizarre. Mais ce n’était qu’une théorie. Les hommes ont essayé à nouveau de communiquer avec elle, et elle aussi a essayé d’échanger des informations.
Après avoir tenté de communiquer, les pêcheurs ont signalé que la femme, avait apparemment abandonné l’échange, et était remonté sur le Utsuro-bune afin de battre en retraite dans les eaux froides qui la ramènerais dans son monde.
Explications possibles
Bien sûr, essayer de trouver une explication dans le folklore ancien est une tâche impossible. D’un côté, l’histoire est remplie de contradictions si nombreuses, qu’il devient parfois difficile de distinguer l’imagination de la réalité. D’autre part, pourquoi somme nous en tant que citoyens du monde moderne, obligé de trouver des explications scientifiques à ces contes?
Narcissisme? Curiosité?
Pendant l’ère des Vikings, la pratique de l’inhumation en mer ont été quelque chose de sacré pour eux. Les gens des pays nordiques envoyaient souvent les morts à la mer pour passer le Valhalla, via un petit bateau, mais joliment décorées. A l’intérieur avec le morts est généralement posé une série de choses comme des reliques, nourritures (des fruits et de la viande de cheval), et parfois des armes, ils pouvaient également sacrifié une servante malheureuse qui était censé répondre à son maître dans l’au-delà. La victime passait par un rituel de repas, de boire et de forniquer avant d’être sacrifié par un coup de couteau à la poitrine, et la mise à la dérive dans son bateau.
Bien sûr, l’âge des Vikings existait des centaines d’années avant l’incident Utsuro-bune, il est donc hautement douteux que cet étrange visiteur qui a atterri dans la terre du Japon a été dans les territoires nordiques. Mais nous sommes juste entrain de parler des ressemblances ici.
En 1997, un professeur japonais fut fasciné par l’histoire du voyageur mystérieux et décida de lancer son enquête. Le Dr Kazuo Tanaka de l’Université de Gifu, à Tokyo a conclu que l’histoire était un mythe. Il a conclu qu’il s’agissait d’une combinaison de folklore et de l’imagination, une sorte de légende urbaine.
Alors, que faisons-nous de cette histoire ? Pourrait-il s’agir d’une rencontre avec un ovni flottant ? Pourrions nous être sur que la mystérieuse femme aux cheveux rouges flottait à travers le Pacifique dans une embarcation de fortune ?
Ne serait-ce pas une voyageuse du Futur ? Peut-être aussi venait elle de l’extérieur de notre galaxie ou d’un monde qui existe dans les profondeurs de l’océan Pacifique.
Une chose est sûre, l’histoire de la Utsuro-bune restera à jamais un mystère.
Par Untel pour S-R et MdM
MAJ 08-2012 :
OANI et contact au Japon en 1803
Une histoire particulièrement étrange et assez bien documentée est apparue pendant la période Edo japonaise (1603-1867). Cette période a été d'ailleurs la dernière pour les japonais en ce qui concerne un isolement exceptionnellement bénéfique pour sa prospérité, sa paix et sa culture, qui se sont développés plus facilement. Cette assez longue période sans guerre, sans migrations ni commerce avec l'extérieur pratiquement a donc permis un développement complet de la culture japonaise sur toutes les îles que comporte ce grand archipel, y compris ses légendes et folklores, la mythologie étant cultivée et améliorée.
Mais une histoire retient particulièrement l'attention, car il ne s'agit pas d'un vieil héritage japonais ancestral, mais bien d'une nouvelle légende apparue à l'époque :
La datation n'est pas très précise, mais on sait que, un jour de l'année 1803, quelques pêcheurs du petit port de Harasha-ka-Hama, au nord du Japon, venait d'arrêter leur dur labeur de la journée pour se reposer, lorsqu'ils repèrent un objet étrange venant du rivage. De loin, les hommes voient ce qui ressemble à un bateau étrange, apparemment à la dérive sans but dans l'océan Pacifique. Alors qu'il dérivait plus proche du rivage, les pêcheurs ont décidé de plonger et d'aller le voir de plus près. Très intrigués mais avec prudence, les hommes nagent lentement vers le "bateau" pendant que la marée les aide en le rapprochant encore. Dès qu'ils sont assez proches, ils savent que ce n'était pas ordinaire, ce n'était rien de ce qu'ils avaient jamais vu de leur vie.
Ils se décidèrent assez rapidement pour une inspection du navire étrange et entreprirent de le remorquer jusqu'au rivage, toujours aidés par la marée. Ils parvinrent à faire glisser les trois à cinq mètres de large du vaisseau étrange à un endroit sûr de la plage. Le village entier se réunit autour, curieux de voir ce qu'il y avait à l'intérieur de ce navire inconnu. Une inspection minutieuse des matériaux de construction fut d'abord effectuée. Ce qui nous est parvenu, c'est une description de la partie supérieure de ce navire, qui ressemblait à du bois de bambou. Cependant très lisse et solide, avec une couche de peinture rouge qui couvrait toute la partie supérieure. Toujours au-dessus se trouvaient des fenêtres de cristal qui leur ont permis de scruter l'intérieur du bateau. Pour la partie inférieure du vaisseau, la légende rapporte qu'elle était faite de plaques d'airain... un design extrêmement étrange pour cette époque. Le plus étrange étant encore ce qui se trouvait à l'intérieur du navire.
En effet, l'intérieur était décoré avec un texte écrit dans un langage inconnu et étrange. C'était beaucoup plus des symboles géométriques et les simples pêcheurs japonais ne pouvaient comprendre ce que cela voulait bien dire, et qui l'avait écrit. Jusqu'à ce qu'ils découvrent, au milieu de ces étranges hiéroglyphes, une femme assise. Selon la légende, cette femme était assez jeune d'apparence, pas plus de 18 ou 20 ans. Ils l'ont décrite comme ayant les cheveux rouges feu et des sourcils très lisses, une couleur de peau très pâle. Ses vêtements étaient faits de tissus inconnus.
La femme tenait serré contre sa poitrine une sorte de boîte allongée, et les hommes bondirent en arrière quand elle se leva. Ils reculèrent tous et encerclèrent le mystérieux navire pendant que l'étrange voyageuse sortait de la "cuve" (description de la légende) et mettait les pieds sur la plage.
Les hommes chantèrent autour de la visiteuse, remarquant immédiatement que non seulement elle ne leur ressemblait pas du tout, mais qu'elle parlait également une langue inconnue. Elle est décrite comme très sympathique et courtoise. Ils ont tous essayé de communiquer avec elle, y compris des voyageurs d'autres villages, mais en vain. Les pêcheurs ont tenté de découvrir pourquoi la femme tenait en permanence une boîte allongée sur la poitrine si étroitement, comme si le contenu de la boîte pouvait lui sauver la vie. Elle n'a jamais autorisé quiconque à toucher la boîte, et a été décrite comme très soupçonneuse envers quiconque tentait de l'interroger à ce sujet.
Les hommes ont pensé que cela pouvait être la tête de son amant qui se trouvait dans la boîte, ce qui expliquerait son étrange comportement. Mais ce n'était qu'une théorie et les hommes ont tenté à nouveau de communiquer avec elle, et elle a aussi essayé d'échanger des informations.
Toujours en vain d'ailleurs, la femme décide d'abandonner les tentatives de communications, remonte sur le Utsuro-bune (nom donné à l'appareil par les locaux) avant de battre en retraite dans les eaux froides qui la ramèneront vers son monde...
Difficile de trouver une explication logique souvent quand il s'agit de légendes et de mythologie, mais ce récit ressemble beaucoup plus à un simple témoignage qu'à un montage pseudo-religieux ou une mauvaise interprétation d'un événement ordinaire (source de la plupart des mythologies pour la science officielle). Cela n'empêcha pas le professeur japonais Kazuo Tanaka de l'Université de Gifu, à Tokyo, de conclure en 1997 que l'histoire était un mythe. Il a conclu qu'il s'agissait d'une combinaison de folklore et d'imagination, une sorte de légende urbaine...
OANI et contact au Japon en 1803 by Mouss2015
Par Yves Herbo (c) pour S,F,H 23-08-2012 lien : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/oani-et-contact-au-japon-en-1803.html
Yves Herbo, Sciences,Faits, Histoires, 27-6-2012, 23-08-2012, up 07-2015

OVNIs : ODH interviews 61
OVNIs : ODH interviews 61
La 61ème édition d'ODH Interview vous est présentée par Gilles Thomas.
Les invités sont Eric Zürcher, fondateur du Centre de Recherche ufologique Niçois et co-auteur d'Ovnis et conscience, Guy Loterre d'Ovni Paris, Gaëtan président du Réseau d'Enquêtes Ufologiques Belges, Laurent Chabin, François Haÿs, Mirko du projet SEPO (station d'étude du phénomène ovni), Christian Morgenthaler de SPICA, Jacques Scornaux, Gilles Durand et Thierry Rocher du SCEAU, Rémy Fauchereau de l'AEPA, Raoul Robé du CNEGU qui vous parlent des veillées ufologiques dans l'histoire.
Pour mémoire, l'interview 60 était celle-ci : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/initiatives-ovnis/ovnis-odh-interviews-60.html
L'émission est relayée par :
http://www.sciences-fictions-histoire...
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Yves Herbo Relai-Sciences-F, H, 01-07-2015

OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 29-06-2015
OVNIs : Soir OVNI dans le monde du 29-06-2015
Soir OVNI dans le monde du 29-06-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
Les émissions "Matin Ovni" deviennent durant l'été, "Soir Ovni".
Ainsi toutes les deux semaines, nous vous partagerons l'actualité ovni dans le monde le soir (et non le matin) avec l'interview d'ufologues sur les méprises et leurs souvenirs de veillées.
Avec l'intervention de Rémy Fauchereau de l'AEPA.
L'émission est en collaboration avec :
http://Sciences, Fictions, Histoires
http://ovnilanguedoc.canalblog.com/
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 30-06-2015

Technologie avancée ou géopolymère 5000 ans avant son invention ?
Technologie avancée ou géopolymère 5000 ans avant son invention ? - MAJ 06-2015
Cuzco
Voici une vidéo récente appuyant une étude sur les structures de certains temples antiques de Cuzco, principalement les plus anciens dont quelques pierres restaient dans les fondations des actuelles constructions. Toutes ces pierres montrent des découpes, des trous et même des percées longues en formes de tuyaux à travers ces pierres. Des restes de traces de crochets en métal (traces de cuivre) servant à maintenir les blocs entre eux sont encore visibles, et on devine des traces d'entretoises (en métal ?) soutenant probablement des volets en bois, rideaux, etc... Tout le métal a disparu.
Brien Foerster nous fait une petite présentation technique concernant la muraille de la forteresse de Sacsayhuamán.
Il fournit des informations étonnantes sur la nature de cette structure mégalithique et le caractère monumental et presque inhumain de cette construction. Cette vidéo avait été réalisée pour annoncer l'événement "Megalithomania 2013 Pérou", avec Hugh Newman, dont voici le descriptif du programme : http://www.megalithomania.co.uk/peru2013.html - Vidéo originale de : Brien Foerster (Largest Ancient Megalithic Structure In South America : https://www.youtube.com/watch?v=ky6s9VUN55g), postée le 3 Mars 2012 .
Sites de Brien Foerster : http://hiddenincatours.com + http://hiddenhumanhistory.com
Traduction, sous-titrage : Archeologie-Interdite (2015) - http://www.archeologie-interdite.tk
La question posée par beaucoup d'internautes à ce sujet est : en quoi sont faites les pierres ? Et n'est-il pas possible que ces pierres soient concernées par les découvertes du français, Mr Davidovits, sur l'utilisation de pierre artificielle pour le revêtement de certaines anciennes pyramides en Egypte ? Les archéologues semblent fermes : " L'examen pétrographique des matériaux ont permis de retrouver les carrières correspondantes à 100 et même 300 kilomètres de là. Ce qui oblige à admettre que des monolithes dont certains pèsent plus de 100 tonnes furent transportés sur des distances considérables à travers des terrains généralement accidentés. " Ces pierres proviennent donc bien de carrières identifiées de granit ou de basaltes, et on n'a jamais découvert quels outils ont bien pu faire ces ouvrages parmi les plus anciens (sans compter ailleurs, en Colombie et Equateur notamment), probablement détruits ou cachés depuis les conquistadors...
MAJ 06-2015 : Ajout de vidéos de l'Institut Géopolymère, comment les Pyramides ont été construites :
Ajout de liens d'articles en corrélation avec ce sujet, notamment les premiers :
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/suivi-des-recherches-de-brien-foerster.html
Yves Herbo, Sciences-Faits-Histoires, 08-2012, 06-2015

OVNIs : Conférence de Gilles Thomas ODH Tv juin 2015
OVNIs : Conférence de Gilles Thomas ODH Tv juin 2015
Conférence de Gilles Thomas ODH Tv aux Repas ufologiques de Toulouse du 10 juin 2015
1ère partie:
Description d'Ovni Dans l'Histoire Tv et des mémoires de l'ufologie en france.
2ème partie:
Description de l'étude géographique ufologique de la France.
Les émissions sont relayées par :
http://www.Sciences, Fictions, Histoires.com
https://www.facebook.com/pages/ODH-Tv/219484154730894
http://odhtv-archives.kazeo.com/
Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 26-06-2015