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Le réchauffement climatique va refroidir l'Europe ?
Le réchauffement climatique va refroidir l'Europe ?
- MAJ 06-2015
La température du pôle Nord peut varier entre -43 °C et 0 °C, ce qui favorise la permanence de la glace de mer dont l'épaisseur varie entre deux et quatre mètres. La banquise est cependant menacée et l'océan Arctique pourrait être libre de glace dès l'été 2014, en partie du fait du réchauffement climatique et de la diminution de l'effet albédo (réfraction de la lumière sur les surfaces blanches). Cette situation nouvelle rendra plus facile l'accès aux ressources du sous-sol Arctique et une dispute territoriale est enclenchée entre les cinq pays limitrophes de l'Arctique : le Canada, la Russie, la Norvège, le Danemark et les États-Unis. Bien que le pôle Nord soit hors des zones économiques exclusives de ces pays, la découverte récente de la dorsale de Lomonossov relance le débat de la souveraineté territoriale de l'Arctique...
Deux nouveaux articles de scientifiques vont dans le même sens et indiqueraient un accroissement global des températures maximales, aussi bien en positif en été qu'en négatif en hiver : de plus en plus chaud hors hiver, de plus en plus froid en hiver... (un provisoire qui peut durer un bon moment avant une élévation fortes des températures, y compris en hiver).
Une masse d'eau Arctique pourrait faire fortement baisser les températures en Europe
Des scientifiques britanniques qui publient une étude dans Nature Geoscience selon laquelle une énorme étendue d'eau froide dans l'océan Arctique est en train de s'élargir et pourrait à terme faire baisser les températures en Europe en ralentissant les effets du courant océanique du Gulf Stream.
Grâce à des satellites qui ont servi à mesurer le niveau de la mer de 1995 à 2010, des scientifiques du University College de Londres et du National Oceanography Center britannique ont découvert que la surface de l'Arctique de l'ouest avait augmenté de 15 centimètres depuis 2002. En tout, le volume d'eau douce a augmenté d'au moins 8000 kilomètres cubes, ce qui représente environ 10 % de toute l'eau douce de l'océan Arctique. Cette eau douce provient de la fonte des glaces et des cours d'eau qui se jettent dans l'océan.
Cette augmentation pourrait être due à des vents arctiques qui alimentent un courant océanique appelé Gyre de Beaufort, ce qui fait monter le niveau de la mer. Certains scientifiques pensent que le rythme naturel du Gyre pourrait être affecté par le réchauffement climatique, ce qui aurait des conséquences fâcheuses sur la circulation océanique et pourrait faire monter le niveau des mers.
Si les vents changent de direction, ce qui est arrivé au milieu des années 1980 et au milieu des années 1990, cette étendue d'eau douce pourrait se répandre dans le reste de l'océan Arctique, voire même au nord de l'océan Atlantique. Ce phénomène pourrait refroidir l'Europe en ralentissant un courant océanique en provenance du Gulf Stream qui permet à l'Europe de conserver un climat relativement doux en comparaison à d'autres pays situés sur les mêmes latitudes. (nord USA, Canada)
Sources : Nature Géoscience, http://www.catnat.net
Les hivers rigoureux pourraient être dus au réchauffement global
Selon des travaux scientifiques publié dans la revue Environnemental Research Letters, les hivers rigoureux qu’a connu l’hémisphère nord ces dernières années seraient le fait du réchauffement climatique.
Selon de nouveaux travaux coordonnés par Judah L. Cohen, spécialiste en recherche atmosphérique et environnementale, la récurrence d’hivers froids et enneigés comme la France a pu en connaître en 2009 et 2010 ne s’expliquerait pas seulement par des variations aléatoires et locales de températures : elle pourrait aussi – surtout – être le fait du réchauffement climatique. Pour le chercheur, divers éléments attestent que les vagues de chaleur en été et à l’automne coïncident avec l’augmentation de l’humidité dans les hautes latitudes et avec l’accroissement de la couverture neigeuse eurasiatique, induisant un refroidissement dynamique du temps hivernal à grande échelle». Ainsi s’expliqueraient les hivers globalement plus rigoureux que connaît l’hémisphère nord depuis 1988. (YH : hiver 1985/1986 plutôt !)
Les relevés de température montrent un très fort réchauffement en Arctique de juillet à septembre qui perdure durant l'automne. Cet air plus chaud provoque une fonte de la banquise et se traduit par une atmosphère beaucoup plus humide. Cette humidité à son tour entraîne de fortes précipitations plus au sud. Toutefois, dans les régions suffisamment froides ces précipitations prennent la forme de neige. Les chercheurs relèvent ainsi que la couverture neigeuse a augmenté depuis le début des années 1990 sur le continent eurasien mais aussi dans l'est des États-Unis et le sud du Canada.
«Il n'y a aucun doute sur le fait que le Globe se réchauffe et que cela va favoriser des températures plus chaudes partout et en toute saison, explique Judah Cohen, du Centre de recherche sur l'environnement et l'atmosphère de Lexington (États-Unis). Mais je pense que pour le moment l'augmentation de la couverture neigeuse ces dernières années conduit à des refroidissements régionaux.» Cela pourrait par exemple expliquer l'hiver très rigoureux qui s'est abattu l'an dernier en Floride, tout comme le chaos provoqué par la neige en France et en Grande-Bretagne en décembre 2010. Des épisodes rigoureux que, selon les chercheurs, les modèles climatiques n'arrivent pas à prévoir.
L'étude toutefois n'emporte pas l'adhésion de tous les climatologues. «L'hypothèse de travail est intéressante, mais la démonstration n'est pas totalement convaincante», estime Pascal Yiou, chercheur au LSCE (Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement, CEA-CNRS et université Versailles-Saint-Quentin). «En climatologie, se baser sur une période de vingt ans est beaucoup trop court. On ne peut pas s'appuyer sur des variations décennales et en tirer des conclusions générales. En outre, l'équipe aurait dû confronter ses résultats à chaque modèle pris isolément et non pas sur une tendance moyenne, car tous les modèles n'aboutissent pas aux mêmes conclusions.»
Quoi qu'il en soit, si la hausse globale des températures se poursuit «les chutes de neige se transformeront en chute de pluie», conclut Judah Cohen, éliminant définitivement toute possibilité de refroidissement des périodes hivernales.
L’étude menée par Judah L. Cohen pourrait à terme faciliter les prévisions météorologiques et l’anticipation des phénomènes climatiques. Ce qui n’est pas un luxe au regard du contexte actuel.
Sources : Environnemental Research Letters, Zegreenweb, http://www.catnat.net
MAJ 11-06-2015 : Cet article et ces études climatiques datent de début 2012 : où en est-on à mi 2015 et que dit maintenant le scientifique Judah L. Cohen ?
Bon, début 2012, on disait que la banquise du Pole Nord aurait disparu vers l'été 2014... en fait, il y a eu justement un record de fonte en septembre 2012 mais la glace a résisté un peu plus que prévu (mais est de moins en moins épaisse) et la disparition a été repoussée à septembre 2016... :
LEXINGTON - " Judah Cohen a positivement le vertige que nous ayons été ainsi frappé cet hiver. Il aimait l'idée d'un record de chutes de neige, mais plus que cela il aime avoir raison.
" Je suis vraiment heureux ", dit-il avec un sourire, assis dans son petit bureau soigné dominé par un écran d'ordinateur énorme qui semble en mouvement constant, lorsqu'il tire cette carte météorologique ou une image satellite. " Je pensais que nous avions fait un très bon travail de prédiction." En fait, ses prévisions se sont avérées meilleures que celle du gouvernement fédéral.
Cohen, 52 ans, qui se décrit comme "la météo saucissonnée" (ou emballée) est le directeur de la prévision saisonnière de l'atmosphère et de la recherche environnementale (ARE), une société de conseil en météo à Lexington qui compte parmi ses clients la NASA. Les amateurs météorologiques locaux peuvent le reconnaître comme le présentateur météo pour les prévisions de longue portée sur WCVB-TV de Harvey Leonard (Channel 5).
Peut-être que le plus grand titre de gloire de Cohen vient du fait que lui et les prévisions saisonnières de son équipe de "Anomalies de températures et de précipitations" ont eu raison sur 75 pour cent du temps, un taux qui surmonte ceux des grands centres météorologiques du gouvernement, y compris la National Oceanic and Atmospheric Administration, principal prévisionniste du gouvernement fédéral. (En fait, Cohen et son équipe, qui ont fait des prédictions pendant 15 ans, ont battu la NOAA cet hiver.)
" Dans la littérature scientifique, notre modèle reste le plus précis à ce jour," dit-il.
La prescience météorologique de Cohen n'est pas la seule chose qui le distingue. Sa relation à l'égard de la couverture de neige en Sibérie pour prédire les résultats hivernaux en Amérique et en Europe est unique.
Chaque mois d'Octobre, Cohen se penche sur le niveau et le taux de chute de neige en Sibérie ce mois précis pour déterminer comment sera enneigé l'est des États-Unis et l'Europe pour l'hiver qui vient. " La couverture de neige est le réflecteur le plus efficace de la lumière du soleil dans l'espace, donc plus de couverture de neige crée des masses d'air denses qui restent près du sol," dit-il. Cet air froid et dense se propage sur le pôle Nord vers l'Amérique du Nord et à l'ouest vers l'Europe.
Cohen procède en entrant plus dans les détails que l'humain moyen ne peut le comprendre, avec des termes comme "la dépression des Aléoutiennes" et "la Haute Sibérie". Mais pour lui et nous, la ligne de fond est que ce qui s'est passé en Octobre a été la deuxième chute de neige la plus étendue de la Sibérie dans le dossier connu (un record donc), et Cohen connaissait les implications pour Boston et d'autres villes de la côte Est.
En un mot, telle est la façon dont fonctionne Cohen. Son analyse embrasse une multitude de faits et de chiffres, mais ses prévisions décrivent des grandes tendances. Comme l'Almanach des fermiers, vous pourriez demander. " Pas exactement", rit-il. "Les Almanachs des fermiers ne sont pas scientifiquement crédibles et ne devraient être considérés que comme une valeur de divertissement."
Cohen, en passant, n'a jamais été été en Sibérie. Ses recherches, largement financée par la National Science Foundation, sont basées entièrement sur ordinateur. " Le plus proche où je suis arrivé a été Moscou," dit-il. Il y est allé lorsque le gouvernement russe voulait une prévision de l'hiver pour 2007-2008.
Cohen a grandi à Brooklyn, NY, et a étudié à l'Université de Columbia, où il a obtenu un doctorat en sciences de l'atmosphère. Il a aimé la neige car il peut s'en rappeler, et sa bibliothèque de bureau est bourrée avec des titres tels que "Blizzard! La Grande Tempête de 1988", "Neige et climatiques" et "L'oscillation nord-atlantique".
A 52 ans, père de trois adolescents, il prend toujours un plaisir enfantin dans la substance blanche. "J'ai du mal à dormir pendant les tempêtes de neige," admet-il. "C'est une passion. Les gens disent, "Ouais, j'avais l'habitude d'aimer, et puis j'ai grandi." Je suppose que je ne grandi pas."
Cohen a été à l'ARE depuis 1998, après avoir terminé un stage postdoctoral au MIT, où il conseille les étudiants diplômés dans le département de génie civil et environnemental. Bien qu'il soit très fier de la prédiction de cet hiver, il n'a pas été aussi heureux avec l'an dernier. "Je l'avais prédit qu'il serait doux, mais ce fut un hiver froid et neigeux," dit-il. "C'est le seul moment où j'ai eu un échec."
Lors des quatre dernières années, le Show de Leonard a accueilli Cohen deux fois par an pour ses perspectives à long terme: à l'automne pour la prévision de l'hiver, et au printemps pour la prévision de l'été. Le 25 novembre, alors que Boston n'avait pas de neige, voici ce que dit Cohen au show de Leonard: " Ce sera un hiver actif et intéressant. Nous prédisons des précipitations supérieures à la normale pour la droite (des USA) le long de la côte Est. Ainsi, un hiver humide. Mais je suis particulièrement convaincu de la possibilité d'une chute de neige supérieure à la normale. "
Le reste, comme ils disent, est de l'Histoire.
Les pensées de Cohen de ces derniers jours se tournent vers l'été; spécifiquement, les prévisions qu'il va faire sur WCVB-TV avant le Memorial Day. L'été est toujours plus facile que l'hiver.
" Nous avons toujours eu raison, " dit-il. " Et maintenant, nous prévoyons un été plus chaud que la normale. " Il tire une carte qui est si rouge qu'elle brille pratiquement. " Il y a un signal à la hausse robuste pour Juin, Juillet et Août."
Poussé pour que nous ayons plus de détails, il va seulement dire: " Nous prédisons une température d'un degré plus chaud que la moyenne sur trois mois, mais il est encore tôt."
Juste après le spectacle de Leonard de mai, Cohen se dirigera vers l'Irlande grâce à une bourse Fulbright, où lui et l'Université de Limerick iront fournir des informations météorologiques aux agriculteurs en Europe.
Malgré son record sur la piste stellaire, Cohen sait que les prévisions climatiques à long terme sont des appels difficiles. "Je fais le climat," explique t-il. "Le temps est ce que vous obtenez. Le climat est ce que vous souhaitez. C'est un domaine difficile avec un très faible taux pour le succès ", dit-il.
Pourtant, il rit lorsqu'il décrit comment les amis constamment le relancent pour obtenir des conseils sur la météo - "On me demande tout le temps" - et quand il a tort, "j'en entends parler pour toujours."...
mars 2015 (Bella English pour Bostonglobe, traduction Yves Herbo)
https://www.bostonglobe.com/lifestyle/2015/03/17/snowpredictor/zpURnRt5fv7Waxwb04cRzK/story.html
YH : On note chez les climatologues que les dernières périodes climatiques les plus chaudes et les plus froides, avec ces épisodes très humides et enneigés en Amérique du Nord et ces périodes sèches (incendies) en été semblent confirmer, sans les accentuer, ces prévisions alarmistes sur un certain refroidissement à cause du réchauffement moyen mondial (qui n'est pas si contradictoire donc que les incultes en la matière le pensent). Pour l'Europe, il y a eu un taux de tempêtes et d'humidité (inondations) assez important sur le nord mais aussi des épisodes orageux ponctuels très violents dans le sud (inondations, tornades), après une longue période de sécheresse (2014) et de baisse des niveaux des eaux phréatiques. On ne peut pas parler néanmoins d'un hiver très remarquable en Europe pour cet hiver 2014-2015, avec une période froide assez courte, encore et toujours depuis plusieurs années... Autrement dit, on n'en sait pas plus, sinon que la banquise rétrécit en épaisseur toujours et que l'annonce de sa disparition prochaine est maintenue. On sait que des études spécifiques sont en cours et que des bateaux équipés, des satellites et des modèles climatiques travaillent continuellement pour tenter de préciser les données. Il est par contre regrettable que les recherches et leurs progrès, évolution, atteignent de moins en moins le public dans les faits (difficile de trouver des images et données pour 2014 alors que nous sommes pourtant à la mi 2015...). Cela pourrait tout aussi bien vouloir dire qu'il n'y a eu aucun progrès dans les faits et données, ou que l'on cache de plus en plus de choses au public, ce qui n'est bon pour personne dans tous les cas...
Autre articles en lien : http://www.20minutes.fr/planete/1040870-20121112-pourquoi-pole-nord-retrecit-pole-sud-agrandit
Et notez aussi que si beaucoup soupçonnent cette histoire de réchauffement climatique "à cause de l'Homme" comme étant un mensonge pour lever des faux impôts sur les peuples, il semble aussi que l'on assiste a de fausses publications "scientifiques" concernant une prochaine glaciation (voir à la fin de cet article aussi publié sur ce blog...) : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/environnement-planete-terre/augmentation-de-la-menace-des-seismes-et-du-volcanisme-et-mini-age-glaciaire.html
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 01-2012, Maj 06-2015

Quatre éternités pour une Rose immortelle publié !
Quatre éternités pour une Rose immortelle publié !
Et bien ça y est, le livre vient d'être publié et est dispo sur le site de l'éditeur ! Comme il me l'a précisé dans un email (mais il est sorti alors que j'étais en déplacement !), il est déjà en vente sur son site, mais ne le sera en librairie que dans 45 jours maximum, le temps que la Bibliothèque Nationale de France reçoive son exemplaire légal et que les premières promotions soient faites. " D'ici 45 jours, une fois le dépôt à la BnF achevé, il sera mis en vente sur les principaux libraires en ligne à savoir Fnac.com, Chapitre.com, Amazon... De plus, tous les libraires de France, Suisse et Belgique pourront également le commander à travers Dilicom ou directement auprès d'Edilivre "...
Cet ouvrage est important pour moi car il a été écrit lors de mon enfance (mais remanié et modernisé en partie ces derniers mois pour cette publication) et surtout, à la suite d'événements étranges survenus dans ma tendre enfance, allant de perceptions paranormales (ou religieuses suivant l'interprétation) jusqu'à l'observation très nette et très proche d'une grande sphère lumineuse venant presque à ma verticale. Cet ouvrage parle donc de "soucoupes volantes" mais attention, il s'agit à 100% de science-fiction ou d'anticipation, comme l'autre roman écrit à cette période (Je n'étais qu'un Androïde), même si plusieurs passages, termes et idées paraissent "visionnaires" ou "très en avance" pour l'époque (et l'âge de l'auteur), un peu comme s'ils m'avaient été "transmis" mystérieusement... Le fait est bien que je me suis mis à écrire beaucoup d'un seul coup et sans y être spécialement préparé ou attiré précédemment. A tel point que ma prof de français et mon père m'ont fait passer un test de QI dès le début du collège ! Je ne demande à personne de me croire sur parole, peu importe d'ailleurs, mais les manuscrits d'époque sont encore là, ainsi que mon père, qui peut témoigner de certaines choses - et il doit y avoir un dossier quelque part à l'Education Nationale !
On me pose aussi de temps en temps des questions sur mon autobiographie (dont vous pouvez lire les premiers chapitres sur mon site ici) et tous les événements surprenant qui s'y enchaînent dès le début, mais tout ce que je peux dire, c'est que tout est absolument vrai et que j'aurai plutôt intérêt à ne rien dire (pour ma paix familiale et citoyenne !), mais que j'estime que c'est un devoir de l'écrire et témoigner...
Vous pouvez lire les 20 premières pages sur le site de l'éditeur et le dos de couverture. Je remercie encore Cyril Cheminade pour son beau dessin de couverture qu'il m'avait proposé généreusement il y a maintenant plus d'un an, ainsi que les personnes qui ont donné un peu d'argent pour qu'il soit intégré par l'éditeur sur cette couverture. Je demande donc à tous mes lecteurs et ceux qui me suivent depuis quelques années maintenant d'acheter ce livre (sur papier ou en ebook) afin de m'aider à continuer à écrire, et à acheter moi-même ce livre (car l'éditeur n'en propose même pas un gratuit pour l'auteur) car je n'ai absolument aucun revenu de mon activité (bien que beaucoup reconnaissent que j'accomplis un travail considérable, c'est du "bénévolat" de fait), à part ces éventuels pourcentages de ventes versés par l'éditeur...
Vous pouvez Commander directement chez l'éditeur la version papier et la version ebook et le recevoir très vite :
https://www.edilivre.com/quatre-eternites-pour-une-rose-immortelle-20cfbba6dc.html#.VXWCutLtlHx
Merci pour votre soutien, amicalement, Yves Herbo
PS : Je rappelle que ce livre a été écrit il y a 45 ans presque, alors que j'étais enfant et que sa genèse est très étrange : vers mes 7-8 ans, je subi en public une sorte de connexion étrange lors d'une lecture d'un texte religieux. Quelques mois plus tard, une forte voix à l'intérieur de moi me crie de ne pas faire un mauvais acte. Encore quelques mois plus tard, je suis survolé d'assez près par une grosse sphère blanche, que certains me disent être un OVNI, d'autres un ange... finalement je me mets (à partir de 10 ans) à écrire deux romans subitement et quasiment en même temps, que je mettrai plusieurs années à reconstituer. Cela surprend tellement ma prof de français et mon père qu'ils me font passer un test de QI à mon entrée au collège et veulent me faire sauter une classe... et ce n'est pas tout... Ce roman, Quatre éternités pour une Rose immortelle est le tout premier de ces deux romans chronologiquement, et j'y décris comment notre univers a été créé (une théorie scientifique parue en 2016 !). J'y parle aussi d'ovni et c'est un assez bon roman d'anticipation je pense... mais comment de telles idées (et celles pour l'autre "Je n'étais qu'un Androïde") ont bien pu me venir à cet âge et époque... alors que je ne lisais que des bd de Rahan et Pif le chien et ne pensais qu'à jouer ?... c'est là pour moi le plus grand des mystères, malgré d'autres phénomènes étranges tout au long de ma vie, bien plus que tous ceux auxquels je me suis intéressé et vous partage depuis quelques années...

Hommes et dinosaures : les faits sont tetus...
Hommes et dinosaures : les faits sont tétus... update Page 2
Suite de cette page : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/l-etre-humain-un-pas-en-avant-deux-pas-en-arriere.html
On a beau tenter de rejeter l'idée et de ne se contenter que des manuels de Préhistoire et d'Histoire logiques, de nombreuses découvertes de part le monde, depuis le 19ème siècle surtout, insistent sur la probabilité qu'une race d'humains de très grande taille ait existé dans un lointain passé. Les choses se compliquent encore quand plusieurs découvertes impliquent la présence de ces êtres humains géants parmi les dinosaures...
Encore très récemment, l'expert en artefacts Klaus Dona a exposé au public certaines pièces peu connues confiées par des musées. Des représentations d'êtres humains accompagnés de dinosaures ont été trouvées dans plusieurs régions du monde, mais principalement à côté de Acambaro au Mexique, à Ica au Pérou et sur des bas-reliefs Olmèques également au Mexique. Des empreintes ont aussi été trouvées, mais évidemment, la théorie de l'évolution classique étant remise en cause par ce genre de découvertes, tout est fait pour minimiser ou détruire (même physiquement si besoin - de nombreux artefacts découverts au 19ème-20ème siècle ont purement disparu !) l'idée même d'une possible remise en question prouvée. Et pourtant...
J'avais commencé à élaborer un fastidieux article sur l'historique de ces découvertes, mais dans la mesure où ce travail a déjà été très bien fait, j'y rend ici hommage par des extraits et je rapporte donc principalement quelques mises à jours à la fin... en retenant que si Acambaro est pratiquement authentifié, Ica, hors découvertes très anciennes mentionnées, fait effectivement l'objet d'une industrie commerciale légale de nos jours... mais on reparlera d'Ica tôt ou tard. :
LE SAVIEZ-VOUS ? HOMMES ET DINOSAURES FURENT CONTEMPORAINS
Rédigé par Maximus Ubiquitus on Friday, February 3, 2012
" Plus qu’à une simple remise en cause factuelle et ponctuelle, c’est à un véritable bouleversement axiomatique, un « changement de paradigme » (nous aussi, nous sommes tout à fait capables de tenir un langage de cuistres, non mais…), une refonte complète de votre vue habituelle du monde que vous invite, chers lecteurs encore mal préparés, l’ensemble des faits curieux relatés dans l’article ci-après.
C’est le genre de faits qui entrent de plein droit dans la catégorie de ceux que Gaston Bachelard appelait les « faits polémiques » : les seuls qui fassent réellement avancer la recherche, du moins lorsqu’on accepte de les intégrer plutôt que de les dénigrer.
Ils n’ont pas manqué de déclencher une vive polémique, un hourvari académique et médiatique, suivi de l’implacable conspiration du silence qui finit par entourer de sa chape de plomb un certain nombre d’énigmes du même calibre. C’est que « les faits sont têtus », et à défaut de pouvoir les minorer, il peut être somme toute plus confortable de les ignorer…
A la décharge des pauvres gens déboussolés, à commencer par les scientifiques victimes de leurs préjugés… et de leur mauvaise foi, reconnaissons que les conséquences de tels faits ne sont nullement anodines. Elles impliquent rien moins que la contemporanéité et la cohabitation (pacifique ?) entre ce qu’on appelle les dinosaures – remplacez ce terme par « dragons », et cela vous ouvrira peut-être des horizons – et nos ancêtres… tout aussi « humains » que nous, probablement bien plus, d’ailleurs !
Une telle hypothèse contrevient radicalement à tous les « dogmes » actuellement imposés aux intelligences : elle remet en question l’idéologie mortifère de l’évolutionnisme, bien entendu, mais suggère aussi que les chronologies millionnaires couramment admises pourraient n’être qu’une hypothèse dénuée de fondement, le résultat nébuleux d’un conglomérat de postulats tous plus erronés les uns que les autres, et qui enlisent inexorablement les spéculations des chercheurs dans les sables mouvants des millions et milliards d’années. S’il plaît à Dieu, nous aurons l’occasion d’y revenir sur Ripoublik.
Nous remercions le CEP pour la mise à disposition de cet article, qui n’en est qu’un parmi de nombreux autres, tous plus passionnants les uns que les autres, que vous trouverez sur le site de cette courageuse association.
Résumé : A partir de 1944 et durant plus de 10 ans, à Acambaro (Mexique), un quincaillier d’origine allemande et archéologue amateur, Julsrud, exhuma une fantastique collection de plus de 30 000 figurines de céramique. Ces pièces, toutes uniques, sont remarquables sur le plan artistique et signalent une antique civilisation précolombienne. Or plusieurs centaines de ces figurines représentent des dinosaures, notamment le brachiosaure (presque inconnu à l’époque), l’iguanodon (découvert seulement en 1978) et des brontosaures à épines dorsales (connus en 1992). Il ne fait donc aucun doute que les artistes, qui ont modelé ces pièces (cuites à feu ouvert alors que les arbres sont rares aujourd’hui à Acambaro) avaient sous les yeux les animaux qu’ils reproduisaient. Aussi tous les experts officiels se refusèrent-ils à authentifier une découverte aussi dérangeante pour la théorie de l’évolution. Il fallut des journalistes et le célèbre géographe Charles Hapgood, pour briser la chape de silence qui recouvre cette collection toujours sous clés au musée d’Acambaro !
En juillet 1944, par un matin ensoleillé, Waldemar Julsrud, un quincaillier allemand d’Acambaro, au Mexique, se promenait à cheval au pied de la montagne El Toro. Soudain, il aperçut des pierres taillées partiellement découvertes, et un objet de céramique à demi enterré. Julsrud descendit de cheval, creusa, et dégagea les pierres taillées ainsi que des morceaux de céramique. Versé en archéologie, il comprit aussitôt que ces céramiques ne ressemblaient à rien de ce qu’il avait déjà vu.
Il connaissait les civilisations indiennes tarascane, aztèque, toltèque, maya, chupicauro, inca et pré-inca, mais les objets qu’il tenait dans sa main se distinguaient nettement de ces cultures indiennes connues. Julsrud avait découvert, en 1923, avec Padre Fray José Maria Martinez, la culture chupicauro à seulement 12 kilomètres de là.
Lorsque quelques fragments de céramique furent trouvés à Chupicauro, Julsrud avait lui-même engagé des terrassiers pour les déterrer. Cette découverte avait attiré l’attention des archéologues du monde entier, qui pensèrent d’abord que les statuettes étaient tarascanes; on les associa par la suite à une culture indienne toute nouvelle, les Chupicauro. La civilisation des Chupicauro est apparue environ 500 ans avant Jésus-Christ et s’est éteinte 500 ans après Jésus-Christ, soit près d’un millier d’années avant les Tarascans.
Et maintenant, Julsrud, à l’âge de 69 ans, était sur le point de faire une découverte archéologique, peut-être parmi les plus importantes de l’histoire de l’archéologie. Il engagea un paysan mexicain, Odilon Tinajero, pour fouiller le site où les figurines de céramique avaient été trouvées, et pour qu’il lui rapporte tout objet similaire. Peu après, Tinajero rapporta une brouette pleine de poterie de céramique provenant de la montagne El Toro. Charles Hapgood raconte :«Julsrud était un homme d’affaires rusé et il conclut avec Tinajero une entente très importante dans cette histoire. Il dit à Tinajero qu’il lui donnerait un peso (environ 12 cents) pour chaque pièce complète qu’il rapporterait.» (1)
Tinajero fouillait donc avec soin, en s’efforçant de ne pas briser les figurines. Il recollait les pièces brisées avant de les rapporter à Julsrud. Parmi les milliers d’objets trouvés, certains transformèrent le manoir de Julsrud en «un musée qui marqua les scientifiques».Les figurines modelées dans de l’argile de couleurs différentes représentaient des dinosaures, divers peuples (des esquimaux, des asiatiques, des africains, des blancs barbus [ndlr : des druides ?], des Mongoliens, des Polynésiens) et des objets culturellement liés aux Égyptiens, aux Sumériens et à d’autres peuples. Les objets étaient faits d’argile et de pierre, et leur taille variait considérablement. Certaines figures n’avaient que quelques pouces de long, certaines statues mesuraient trois pieds, et certaines figures de dinosaures avaient une taille de quatre ou cinq pieds.
La collection, qui comportait alors plus de 20 000 objets, ne contenait aucune réplique. Chaque figurine d’argile était unique, réalisée sans moule, modelée avec talent et décorée avec soin. Cette imposante collection comprenait des centaines de figurines de dinosaures qui furent scientifiquement identifiées comme représentant plusieurs espèces de dinosaures. Ces sculptures de dinosaures représentaient notamment le trachodon à pattes palmées, le gorgosaure, le monoclonius cornu, l’ornitholeste, le titanosaure, le tricératops, le stégosaure, le diplodocus, le podokosaure, le struthiomimus, le plésiosaure, le léviathan, le maiasaure, le rhamphorynchus, l’iguanodon, le brachiosaure, le ptéranodon, le dimétrodon, l’ichtyornis, le tyrannosaure, le rhynococéphale et d’autres espèces inconnues de dinosaures.
Ces fantastiques figurines de dinosaures menacent les idées admises et les échelles de temps de plusieurs champs d’étude. En 1955, Ivan T. Sanderson, Ph.D, fut étonné de découvrir dans cette collection une représentation précise de son dinosaure américain, le brachiosaure, qui était presque totalement inconnu du public à l’époque. Sanderson écrivit : « Cette figurine est une pièce très délicate; elle a l’air polie et est d’un noir de jais. Elle mesure environ 30 centimètres. Ce qui est fascinant, c’est qu’il s’agit d’une représentation absolument parfaite du brachiosaure, découvert uniquement en l’Afrique de l’Est et en Amérique du Nord. Il y a plusieurs représentations de squelettes dans la documentation publiée, mais je n’ai jamais vu qu’une reconstitution en chair. Cette figurine lui ressemble tout à fait.»
BRACHIOSAURE
Dans les années 1940 et 1950, alors que la collection de Julsrud augmentait, l’État de Guanajuato, au Mexique, était très peu exploré au point de vue paléontologique et archéologique ; il ne l’est pas davantage aujourd’hui. Pourtant la fertile vallée d’Acambaro fut occupée au cours des 4000 dernières années par une ou plusieurs civilisations ayant une connaissance approfondie et directe des dinosaures.
En 1999, avec Don R. Patton, Ph. D., nous avons entrepris un voyage à Acambaro, à 180 miles environ au nord de Mexico, afin d’explorer nous-mêmes ses mystères.
Peu après notre arrivée à Acambaro, on nous apprit que la collection Julsrud était gardée sous clé et qu’elle n’était pas ouverte au public.
Après quelques jours de négociation avec le maire, le secrétaire du tourisme et le directeur du musée d’Acambaro, on nous donna la permission de voir une partie de la collection. L’endroit où l’on conservait les objets fut cérémonieusement ouvert par le maire. La faible lumière qui entrait par les stores nous permis de distinguer dans les pièces poussiéreuses les boîtes empilées jusqu’au plafond et des objets emballés dans du papier journal et placés précairement dans des cartons effrités.
Nous obtînmes la permission officielle d’observer les objets dans la salle de conférence de la ville, sous la surveillance de deux policiers armés de fusils AK-47 et de pistolets.
Des employés de la ville faisaient la navette pour nous apporter les boîtes, pendant que je déballais les figurines de céramique et que Patton les photographiait de façon professionnelle. La collection a compté jusqu’à 33 500 figurines, dont des instruments de musique, des masques, des idoles, des outils, des ustensiles, des statues, des visages de différentes nationalités et des dinosaures. Les figurines avaient finalement envahi les douze pièces du manoir de Julsrud, si bien qu’il dut dormir dans sa baignoire, puisque c’était le seul endroit où il restait de la place. En six heures, nous fûmes capables de déballer un peu plus de 800 figurines de céramique.
Comme nous devions faire vite, nous avions étalé sur la table de la salle de conférence tout le contenu des quatorze boîtes ouvertes. Parmi ces articles figuraient 75 magnifiques statuettes de dinosaures. Et quel ne fut pas notre émerveillement lorsque nous déballâmes une figurine d’iguanodon.
Dans les années 1940 à 1950, l’iguanodon était encore tout à fait inconnu. Aucun faussaire n’aurait pu connaître ce dinosaure et encore moins le sculpter, car ce n’est qu’en 1978 et 1979 que des squelettes d’iguanodons adultes furent découverts avec leurs nids et leurs petits. (2)
Patton et moi-même devînmes du jour au lendemain des vedettes à Acambaro. Nous fûmes interviewés par la radio et les chaînes de télévision du Mexique. Trois journaux importants de l’État de Guanajuato nous mirent à la une. Je remis des t-shirts de dinosaures aux hommes politiques et suggérai que l’on fasse d’Acambaro une attraction touristique en imprimant des t-shirts représentant les dinosaures d’Acambaro, des cartes postales et un parc de dinosaures. Des gens viendraient du monde entier pour voir la collection d’Acambaro et ses dinosaures. Je causai accidentellement un scandale national lorsque je demandai : «Combien de boîtes avez-vous en stock ?». On me dit qu’il y en avait 64, et je murmurai : «Il y a déjà eu 33 500 figurines, et ici, il ne peut en rester seulement 5 000 ou 6 000». Un journaliste m’entendit, et la semaine suivante nous faisions encore la une des journaux puisqu’une enquête avait été ouverte au sujet des statuettes manquantes.
Julsrud avait lui aussi suscité la controverse sur sa collection, mais ce vent semé sur un chapitre de l’histoire mit plusieurs années à se transformer en tempête dans la communauté scientifique. N’étant pas tenu par des obligations académiques ou par des idées préconçues, Julsrud se mit à réfléchir tandis que des milliers de figurines, toutes cuites à feu ouvert, étaient découvertes. La caractéristique la plus époustouflante et sensationnelle de la collection était qu’elle représentait des êtres humains et des dinosaures vivant en étroite relation.
Julsrud examina l’hypothèse très vraisemblable que ces objets pussent provenir d’une culture encore plus vieille que les Olmèques, les Mavans ou les Chupicauro.
La collection signalait une culture de grande antiquité. Les objets laissaient entendre que la région d’Acambaro était autrefois couverte de forêts, bien différente de la vallée sèche qu’elle forme aujourd’hui. Les géologues découvrirent que la vallée était autrefois occupée par un grand lac, il y a environ 5000 ou 6000 ans. Le site où l’on découvrit les poteries en céramique était autrefois au bord du lac. Les objets avaient originalement été enfouis dans le sable. La faune, les plantes, les arbres et les fleurs représentés dans l’art de cette civilisation inconnue étaient ceux de ses bois, lacs et forêts.
Julsrud tenta d’attirer l’attention de la communauté scientifique, mais se heurta à l’indifférence et au silence des académies. Comme les archéologues, paléontologues, historiens et anthropologues choisirent de l’ignorer, Julsrud décida de publier son propre ouvrage en espagnol : Enigmas del Pasado. Julsrud rédigea une théorie selon laquelle la colossale collection d’objets de céramique et de pierre avait été enfouie par un peuple en proie à une catastrophe. Il émit l’hypothèse qu’il y avait eu une période de cataclysmes qui changea le visage de la Terre, et que d’anciennes civilisations disparurent alors. Sa suggestion la plus radicale, qui fit violemment réagir l’élite scientifique, fut que les hommes et les dinosaures avaient vécu côte à côte. Même s’il était évident que Julsrud venait de faire une déclaration d’une importance scientifique capitale, il fut ridiculisé par les autorités lorsque son livre parut. Y eut-il une civilisation à Acambaro durant l’époque glaciaire des géologues ?
Il y a, dans la collection, des représentations sans équivoques d’un dromadaire américain de l’époque glaciaire, de chevaux de l’époque glaciaire, ainsi que de rhinocéros d’espèces éteintes. Il y a plusieurs figurines de singes géants, comme ceux qui ont existé en Amérique du Sud durant le pléistocène. Pendant les fouilles, quelques dents furent trouvées parmi les figurines. En 1955, ces dents furent amenées à George Gaylord Simpson, un éminent paléontologue américain de l’époque qui travaillait à l’American Museum of Natural History. Il les identifia comme dents de l’Equus Conversidans Owen, un cheval éteint qui avait vécu durant l’époque glaciaire. Nous retrouvons, dans la collection de Julsrud, deux figurines d’Equus Conversidans Owen. L’image de ce cheval est également gravée sur des pots de céramique de la collection.
En 1947, après la publication de l’ouvrage de Julsrud, quelques journaux et magazines du Mexique mentionnèrent brièvement la découverte. Mais Julsrud ne put obtenir l’attention d’aucun scientifique ni d’aucune autorité pour venir enquêter sur les figurines. Finalement, en 1950, un journaliste américain, Lower Harmer, s’aventura en Acambaro pour inspecter la collection. Harmer se rendit au site de la montagne El Toro et photographia Julsrud avec ses excavations, alors que des figurines de dinosaures étaient ôtées d’un enchevêtrement de racines de Maguey.
Il écrivit : «N’importe qui croirait que ces grands sauriens n’ont pu être créés que par des artistes disparus depuis longtemps et qui les connaissaient bien.» (3)
L’élite scientifique continua d’agir comme si rien d’important (et qui aurait pu menacer le paradigme de l’évolution) ne s’était produit à Acambaro . En dépit de leurs efforts pour minimiser et expliquer les découvertes de Julsrud en déclarant qu’il ne s’agissait que d’un plaisantin, l’information filtra peu à peu.
William W. Russell, un journaliste de Los Angeles vint sur la place. Il photographia lui-même les fouilles. Des trous fraîchement creusés laissaient voir plusieurs objets pris dans des racines.4 Les objets devaient avoir été sous terre depuis fort longtemps pour que des racines d’arbres poussent autour d’eux, à une profondeur de 5 ou 6 pieds. Russell nota qu’à l’évidence les objets étaient très anciens. Les découvertes furent alors décrites dans une documentation accessible au grand public, tant et si bien que les scientifiques ne purent plus les couvrir par leur silence académique. Les archéologues professionnels durent donc composer avec le problème d’Acambaro. En 1952, Charles C. Dipeso de l’Amerind Foundation fut convaincu par les rapports populaires que présentaient des journaux et revues (comme Fate(4)) et commença l’examen de cette étrange collection. Des échantillons lui furent envoyés, mais les tests en laboratoire ne prouvèrent rien. Dipeso pensait que les tests démontraient que la collection n’était qu’un canular contemporain.
Mais les figurines ne pouvaient pas être des faux pour la seule raison qu’elles représentaient des reptiles du Mésozoïque. En juin 1952, Dipeso se rendit à Acambaro afin d’examiner la collection de Julsrud. En moins de quatre heures, il déclara avoir observé 32 000 articles dans le manoir. En fait, il certifia que son examen avait été très précis et approfondi, si bien qu’il avait pu observer que les dépressions des figurines formant les yeux, les écailles et la bouche étaient nettes et neuves. Aucune poussière n’était présente dans les crevasses. (5)
Dipeso dut être un archéologue bionique, maniant les objets à une vitesse dépassant celle de Superman. Pour accomplir cet exploit herculéen, il aurait fallu qu’il inspecte 133 objets par minute, sans s’arrêter. En réalité, cela aurait pris plusieurs jours pour déballer la masse de pièces intactes, brisées ou réparées qui se trouvaient dans les boîtes.Une fois les morceaux déballés, démêlés et placés parmi les objets déjà exposés dans le manoir, il aurait fallu plusieurs jours pour effectuer un examen sommaire. Charles Dipeso déclara qu’une enquête plus attentive avait révélé qu’une famille vivant dans la région d’Acambaro avait fabriqué les figurines pendant «les mois d’hiver, alors que les champs étaient au repos». Dipeso pensait que sa famille de farceurs s’était inspirée du cinéma, des bandes dessinées, des journaux et des livres de la bibliothèque locale. Il semble cependant que Dipeso ne croyait pas réellement que la collection Julsrud fût fausse. Julsrud affirma qu’avant de retourner aux Etats-Unis afin d’écrire les articles qui dénonceraient la farce, «M. Dipeso m’a déclaré qu’il était tout à fait convaincu de l’authenticité de ma découverte. Il désirait acheter pour son musée un certain nombre de statuettes d’origine tarascane.» Julsrud ne voulut vendre aucun de ses objets à Dipeso, mais il l’envoya à un homme qui vendait des antiquités. Le marchand dit à Dipeso que les céramiques de Julsrud venaient d’un homme (Tinajero) qui vivait avec ses trois enfants à trente minutes du village, près de l’usine d’irrigation de Solis. Julsrud note : «Pourquoi Dipeso n’est-il pas allé voir cet homme pour s’assurer de la vérité ? Un scientifique sérieux a l’obligation d’aller enquêter lui-même et de ne pas donner crédit à ce que le premier venu lui raconte». En premier lieu, il aurait été contraire au code d’éthique archéologique et illégal de la part de Dipeso, de se procurer ces objets indiens et de les emporter hors du pays.
En second lieu, le marchand d’antiquités qui vendit au noir les objets à Dipeso avait des raisons évidentes de ne pas vouloir que Dipeso se procure des statuettes de Julsrud. Nous n’avons donc aucune difficulté à comprendre pourquoi le marchand a inventé l’histoire des faussaires. Francisco Aguitar Sanchaz, surintendant du réseau national d’irrigation de Solis déclara : «Depuis quatre ans, je connais personnellement les habitants de toute la région et ses activités archéologiques, et je nie positivement qu’il y ait eu une telle production de céramique ici.» Le président municipal d’Acambaro, Juan Terrazaz Carranza, publia un document officiel (n° 1109) le 23 juillet 1952, dans lequel il réfutait les allégations de Dipeso : «La Présidence, sous ma direction, a ordonné qu’une enquête fût menée relativement à cette affaire, et elle en est venue à la conclusion que, dans ce municipe, il n’existe aucun individu fabriquant ce genre d’objet.» De nombreux autres problèmes sont associés aux allégations fallacieuses de Dipeso. Il omit de mentionner que les objets de céramique, sculptés dans divers styles et variétés d’argile, avaient été fabriqués un par un, et non dans des moules. De plus, il n’y avait pas que des objets en céramique, mais aussi des objets en pierre.
ANKYLOSAURE
Cette collection est d’une beauté et d’une variété sans égales. Elle a suscité l’admiration de beaucoup d’artistes professionnels. Aucune famille de paysans ne pourrait fabriquer des milliers et des milliers de sculptures uniques avec tant de talent et de finesse.
Le célèbre médecin légiste et avocat Earle Stanley Gardner, dont les romans policiers ont inspiré l’émission de télévision Perry Mason, fut procureur pour la ville de Los Angeles pendant plus de 20 ans. M. Gardner examina la collection et, en tant que procureur expérimenté, affirma que si un groupe de faussaires avait fabriqué les objets, leur style pourrait être observé sur toute la collection:
«Tout criminel et toute organisation criminelle a sa manière d’opérer. La police peut souvent identifier un criminel ou une bande de malfaiteurs par la méthode utilisée pour commettre le crime. Il est évident qu’un seul individu ou groupe n’aurait pu fabriquer les statuettes.»
Charles Dipeso insista sur l’idée que la collection était un brillant canular : les chercheurs avaient creusé des trous, enterré les objets et les avaient ensuite déterrés. Dipeso conclut son rapport de 1953 en affirmant tranquillement : «Notre investigation a prouvé de manière concluante que les figurines ne sont pas préhistoriques et qu’elles n’ont pas été faites par une race préhistorique supérieure associée aux dinosaures.» (6)
Une grande part du rapport de Dipeso était sans aucun fondement et tenait de la pure conjecture.
Quel aurait été le but des faussaires ? Économiquement parlant, à un peso (12 cents) la figurine, Tinajero, pauvre fermier mexicain, n’aurait jamais pu financer la production de 33 500 figurines, sans compter les coûts d’enfouissement et de recherche des objets. La collection n’a pas seulement été fabriquée avec doigté, mais elle comporte des espèces de dinosaures rares que seule une personne ayant fait de hautes études, et maîtrisant la documentation paléontologique, aurait pu connaître. Odilon Tinajero n’avait ni la compétence artistique, ni le savoir nécessaire à un tel canular. Tinajero avait quitté l’école en quatrième année et savait à peine lire et écrire.
Acambaro est une région aride et relativement dépourvue d’arbres; pourtant tous les objets de céramique ont été cuits à feu ouvert. Il aurait fallu plusieurs charges de bois par cuisson, ce qui est très coûteux à Acambaro.
Le feu aurait brûlé longtemps et souvent. La fumée produite par le feu n’aurait pu passer inaperçue dans le voisinage. Par la suite, Ramon Rivera, professeur d’histoire à l’école secondaire d’Acambaro, ouvrit une enquête d’un mois, interrogeant des gens de tous âges et de toutes professions. Le professeur Rivera connaissait fort bien l’histoire de la région et entretenait des liens étroits avec les habitants d’Acambaro. Rivera rapporte : «En vérité il est absolument impossible qu’un habitant d’Acambaro ou des alentours ait pu fabriquer de tels objets en quantité ou petit à petit. La chose a été examinée par tous les moyens possibles, et cela en couvrant une période de 100 ans. Il y a ici des vieillards qui peuvent encore donner des détails d’événements non enregistrés, remontant à l’indépendance de ce pays.»
Un autre point souvent ignoré dans le débat concernant l’authenticité des objets, est que plusieurs figurines sont en pierre dure, et non en céramique. Ces objets de pierre présentent tous les effets de l’érosion et sont du même style que les céramiques ; or les traces d’érosion sont presque impossibles à imiter.
En 1954, la grande controverse touchant la collection Julsrud atteignit son point culminant, et les archéologues officiels du gouvernement mexicain décidèrent d’enquêter. Eduardo Noquera, Ph.D., directeur du département des monuments pré-hispaniques de l’Instituto Nacional de Antropologia y Historia, dirigea l’enquête. Noquera était accompagné de Rafael Orellana, Ponciano Salazar et Antonio Pompa y Pompa, également de l’Institut National d’Antropologie et d’Histoire. Dès leur arrivée, ils inspectèrent la collection et se rendirent à la montagne El Toro afin de sélectionner des sites intacts.
Noquera supervisa les fouilles sur un site qu’il avait sélectionné avec les autres archéologues de l’Institut National... Après plusieurs heures de travail, ils découvrirent plusieurs figurines.
Les archéologues déclarèrent que les objets portaient tous les signes d’antiquité et qu’ils avaient été enfouis il y avait fort longtemps. Les figurines furent déterrées en présence de nombreux témoins, dont des étudiants de la région et des membres de la Chambre de commerce. Les archéologues félicitèrent immédiatement Julsrud d’avoir fait ces remarquables découvertes. Deux des archéologues lui promirent d’informer des journaux scientifiques de la découverte.
Fig. 1 Iguanodon (Figurine et représentation actuelle)
Mais Noquera s’aperçut bientôt que les figurines de dinosaures posaient un problème majeur pour sa carrière professionnelle. Les archéologues étaient confrontés à un dilemme : devaient-ils dire la vérité sans se soucier du qu’en-dira-t-on, et déclarer qu’ils avaient effectivement choisi un site, l’avaient fouillé et qu’ils y avaient découvert des figurines de dinosaures, ou devaient-ils cacher la vérité et proposer une autre explication ?
Noquera retourna à Mexico, et trois semaines plus tard remit un rapport dans lequel lui et ses subordonnés déclaraient que la collection devait être fausse en raison des formes de vie représentées : les dinosaures. Noquera écrivait : «En réalité, en dépit de la légitimité scientifique apparente entourant la découverte de ces objets, il s’agit d’un cas de faux, d’objets fabriqués à une époque relativement récente. À mon avis, cette collection se compose de trois types d’objets : l’un d’eux est constitué de figurines que l’on prétend être des reproductions anciennes d’animaux éteints depuis des millions d’années. L’auteur de ces objets s’est peut-être inspiré des livres de paléontologie très en vogue à la fin du siècle dernier, ou au début du siècle présent». Julsrud fut très déçu de voir comment, en l’espace d’une semaine, les archéologues avaient d’abord validé la collection, puis adroitement détourné l’histoire pour nier leurs propres découvertes. Mais Julsrud, refusa de se laisser abattre par toute cette poussière de dérision académique qui retombait sur sa collection à cause du désir des scientifiques de la faire disparaître, et persévéra. Peu après entra en scène un éminent chercheur qui devait contrecarrer les prétentions des opposants à Julsrud par une série d’arguments et de faits incontestables. Durant l’été 1955, Charles Hapgood, professeur d’histoire et d’anthropologie au Keene State College de l’université du New Hampshire, passa plusieurs mois sur le site d’Acambaro et mena une enquête très détaillée sur la collection. Charles Hapgood s’était déjà distingué en publiant de nombreux ouvrages dont Earth’s Shifting Crust (1958), Maps of the Ancient Sea Kings(1966)∗ et The Path of the Pole (1970).
Hapgood entreprit des fouilles sur de nombreux sites encore intacts, et trouva plusieurs figurines de céramique de type «Julsrud». Afin d’écarter l’idée que Tinajero ou un autre aurait fabriqué les objets, Hapgood décida de faire des fouilles sous une maison construite en 1930, longtemps avant la découverte de statuettes sur la montagne El Toro. Il découvrit une maison directement sur le site qui appartenait au chef de la police, et il demanda la permission de creuser sous la dalle de la maison. La permission lui fut accordée. Il creusa donc un trou de 6 pieds de profondeur sous le plancher de béton du salon, et y déterra des douzaines d’objets semblables aux autres. Comme la maison avait été construite 25 ans avant que Julsrud n’arrive au Mexique, le fait disculpa Julsrud, élimina la théorie des faussaires, et invalida les rapports de Dipeso ainsi que ceux de Noquera sur tous les points importants.
En 1968, Charles Hapgood retourna à Acambaro accompagné d’Earle Stanley Gardner, l’auteur de la populaire série Perry Mason. Gardner n’avait pas seulement étudié la criminologie, il était aussi enquêteur pour les problèmes archéologiques. Il fut vivement impressionné par l’ampleur et la variété de la collection.
Il était clair que Gardner considérait la théorie du canular comme une sottise. La méthode de datation au radiocarbone 14 était encore dans son tout jeune âge, mais Hapgood se procura des spécimens afin de les tester au C14.(7) Gardner et Andrew Young (l’inventeur de l’hélicoptère Bell) financèrent les tests. Hapgood soumit les échantillons au Laboratory of Isotopes Inc. au New Jersey. Les résultats furent les suivants :
Échantillon n° 1 : (I-3842) 3590 ± 100 (circa 1640 avant Jésus-Christ)
Échantillon n° 2 : (I-4015) 6480 ± 170 (circa 4530 avant Jésus-Christ)
Échantillon n° 3 : (I-4031) 3060 ± 120 (circa 1110 avant Jésus-Christ)
Ces dates au radiocarbone allant jusqu’à 4 500 ans avant Jésus-Christ feraient de la collection la plus ancienne de tout l’hémisphère ouest. En 1972, Arthur Young soumit deux des figurines à Froelich Rainey, Ph.D., directeur du Musée de Datation par thermoluminescence de Pennsylvanie. Le laboratoire Masca obtint des dates par thermoluminescences de plus de 2 700 ans avant Jésus-Christ.
Dans une lettre datée du 13 septembre 1972 adressée à Young , Rainey écrit :
«… Maintenant que nous avons derrière nous plusieurs années d’expérimentation, ici au laboratoire et à Oxford, nous ne doutons plus de la fiabilité de la méthode par thermoluminescence. Nous avons une marge d’erreur de 5 à 10 % tout au plus dans la datation absolue, mais nous ne nous inquiétons plus au sujet des imprévus qui pourraient remettre tout le système en question. Je dois également préciser que nous avons été si surpris par les dates extraordinairement anciennes de ces figurines que Mark Han exécuta la procédure 18 fois en laboratoire, et cela sur chacun des 4 échantillons. Aussi, de nombreuses recherches substantielles furent faites sur ces statuettes… Tout bien considéré, le laboratoire maintient ces dates pour le matériel de Julsrud, sans se soucier de ce qu’elles signifient pour la datation archéologique du Mexique ou pour le débat entourant l’authenticité des objets.»
Mais lorsque le laboratoire de l’université de Pennsylvanie découvrit que la collection comportait des dinosaures, ils se rétractèrent. Ils déclarèrent que les morceaux de céramique avaient dégagé des signaux de lumière régénérée, et qu’ils ne pouvaient pas dater de plus de trente ans. Un technicien en thermoluminescence admit que, selon son expérience, il n’existait aucune autre sorte de céramique produisant des signaux de lumière régénérée, et qu’aucune autre datation par thermoluminescence n’avait été faite sur de la céramique en utilisant un signal de lumière régénérée.
Bref, le test était une excuse en jargon de laboratoire pour éviter la conclusion évidente selon laquelle les dinosaures et l’homme auraient vécu ensemble. John Tierney décida de dénoncer la tromperie des chercheurs de l’université de Pennsylvanie en refaisant le test selon la procédure standard.
Tierney obtint deux fragments de céramique de type Julsrud trouvé à la montagne El Toro, à Acambaro en 1956, en présence de Julsrud. Tierney soumit les pièces à Victor J. Bortolet, Ph.D., directeur des services de recherche au laboratoire d’archéométrie nucléaire Daybreak pour qu’il les date.
Bortolet data les objets à 2000 ans au moins, invalidant ainsi le rapport Masca selon lequel ils auraient de 30 à 100 ans.(8)
John Tierney remit une demi-douzaine de céramiques de Julsrud faites d’argiles différentes à une équipe de l’université de l’État d’Ohio, (Sans lui dire la provenance).
L’équipe d’experts se composait de J. O. Everhart, Ph.D. (président du département ingénierie céramique), d’Earle R. Caley, Ph.D. (l’un des chimistes archéologiques les plus respectés du monde), ainsi que d’Ernest G. Ehlers, Ph.D. (minéralogiste au département de géologie de l’université de l’État d’Ohio). Ils déclarèrent qu’ils ne pouvaient aucunement croire que ces objets eussent été faits dans les temps modernes, et qu’ils ne pouvaient pas non plus croi

OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 06-06-2015
OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 06-06-2015
Matin OVNI dans le monde du 06-06-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
Actualité Ovni dans le monde récente et interview de Gaëtan.B président du REUB qui vous parle sa webtv: UFOwallonia et Rémy Fauchereau de l'AEPA, qui vous parle de ses premiers livres d'ovnis.
L'émission est en collaboration avec :
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 06-06-2015

Anomalies archéologie - Arabie - Oman - Serbie - UK
Anomalies archéologie - Arabie - Oman - Serbie - Roumanie - UK - 2011 - up 2015
Arabie Saoudite - Pétroglyphes dans le désert
Cette rubrique apparaîtra de temps en temps pour faire le point concernant des découvertes archéologiques ou historiques pouvant apporter des données confirmant (ou non) notre interprétation actuelle de la réalité historique et par conséquence de notre civilisation. Il s'agit de découvertes remettant souvent en question les dogmes actuels en matière d'Histoire, de dates et de faits matériels...
DES FOUILLES EN SERBIE SOULÈVENT DE NOUVELLES QUESTIONS SUR LES PREMIERS HOMMES EN EUROPE - et sur les découvertes possibles en Bosnie proche...
Des recherches dans les grottes des gorges de Sicevo en Serbie pourraient apporter un nouvel éclairage sur ce qui est entrain de devenir un casse-tête de plus en plus complexes concernant l'ancienne présence humaine et la migration lors de l'Âge de Glace en Europe. Les gorges de Sicevo sont situées dans le plateau de Kunivica au sud de la Serbie. Comprenant un parc naturel, de nombreux touristes affluent pour la beauté du paysage, résultat de l'apparition et de l'interaction de phénomènes géologiques, géomorphologiques et hydrologiques.
Mais l'on y trouve aussi une série de grottes, dont au moins une qui a donné des preuves de présence humaine pendant les changements glaciaires lors de l'âge glaciaire de l'actuelle Europe.
La gorge s'est retrouvée au centre de l'attention du public lorsque, en 2008, des anthropologues avaient découvert une mandibule humaine partielle (mâchoire inférieure), avec trois dents, en fouillant une petite grotte (photo ci-dessous).
"Nous étions à la recherche d'hommes de Neandertal", explique le Dr Mirjana Roksandic, un paléoanthropologue membre de l'équipe et travaillant en collaboration avec l'Université de Winnepeg, "mais cela est beaucoup mieux." Ce qu'ils ont découvert était un spécimen fossile, certainement un homme qui, au moins en termes de morphologie, a précédé Neandertal et qui avait peut-être plus en commun, physiquement, avec l'Homo erectus. De nombreux scientifiques pensent qu'il est le précurseur de l'homme de Neandertal et d'Homo sapiens (l'homme moderne).
Les premières datations du fragment ont donné un âge entre 130.000 et 250.000 ans, mais une récente série de tests menés par le Dr Norbert Mercier à l'Université de Bordeaux a donné une date plus précise, et plus récente, de 113.000 année.
Pourtant, la datation place l'échantillon dans un laps de temps qui précède de loin l'avènement de l'homme moderne dans l'Europe actuelle. (Mais notons aussi que, d'après d'autres découvertes récentes, l'Homme moderne était déjà (né ? - aucune preuve réelle d'une "naissance" en Afrique en réalité, c'est juste le "plus probable"... on y a juste trouvé les plus anciens spécimens pour l'instant... jusqu'à ce qu'on en trouve de plus vieux un jour ailleurs ! - même la génétique n'est pas claire sur certains groupes d'ADN de l'homme moderne !) présent en Afrique depuis un bon moment aussi...) - (Notez que ces prévisions de 2015 semblent de plus en plus vraies en 2018 avec les récentes découvertes...).
Cela soulève également de nouvelles questions sur les mouvements des anciens hommes et leur subsistance dans une zone géographique que les chercheurs suggèrent comme était un havre du sud pour les hommes au début de la glaciation de l'ère glaciaire.
Selon Roksandic: "L'absence de traits de Neandertal dans un spécimen de cet âge est à l'encontre de l'hypothèse commune selon laquelle les Néandertaliens étaient le seul groupe d'hominidés en Europe durant cette période, bien que la nature fragmentaire de la mandibule empêche toute attribution définitive à une espèce particulière. Étant donné que la date est un "terminus ante quem" la mandibule pourrait être substantiellement plus âgée. Toutes les nouvelles découvertes doivent être extrêmement pertinentes car il y a un manque d'informations sur cette zone critique concernant le mouvement humain et animal dans et hors de l'Europe".
Les Balkans, qui comprend la gorge de Sicevo, seraient l'un des trois refuges pour les hommes du Sud et autres animaux au cours de l'avancement des glaciations en Europe dans l'ère glaciaire pléistocène.
La région des gorges de Sicevo est toutefois unique, en ce sens qu'elle a été la seule qui n'a jamais connu l'isolement géographique. Elle offre ainsi un immense potentiel dans le cadre d'importantes recherches sur la biogéographie des populations des anciens hommes mais aussi de la mégafaune au cours du Pléistocène, ou de la période paléolithique.
Cela inclue la recherche des routes migratoires que les premiers hommes ont emprunté lors de leur sortie d'Afrique. Lorsque la mégafaune s'est déplacée de l'Afrique vers l'Europe au début du Pléistocène, il s'agissait du corridor le plus probable pour leur mouvement. Logiquement, elle a été suivie par les hominidés chasseurs.
L'équipe de recherche envisage de revenir à nouveau explorer les grottes de Sicevo en 2012, et les fouilles seront menées par une école de terrain grâce à l'Université de Winnipeg pendant l'été.
Sources :
- Popular Archaeology: "Excavations in Serbia raising new questions about early humans in Europe"
- Journal of Human Evolution : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0047248411000674
Décidément, la Serbie et les Balkans n'ont pas fini de nous dévoiler tous leurs secrets :
Un site vieux de 7.000 ans et contenant les plus anciennes traces de fabrication du cuivre, a été découvert en Serbie.
Cela remet en cause la théorie de la propagation de la fonte du cuivre a partir d'une source unique. Elle a ainsi pu être inventé dans des parties distinctes de l'Asie et l'Europe à cette même époque (NDLR : l'invention a aussi pu être importée, ou encore il n'y avait qu'une grande civilisation mondiale à l'époque et qui communiquait très bien : il y a sûrement d'autres sites identiques ailleurs).
La découverte repousse le record connu de la fonte du cuivre d'environ 500 ans rapporte l'équipe archéologique dirigée par Miljana Radivojević et Thilo Rehren de l'University College London.
Ils ont été rejoints par Dušan Šljivar du Musée national de Belgrade, et des scientifiques allemands dirigés par Ernst Pernicka de l'Université de Tübingen.
Couleurs de scories de cuivre
Les analyses chimiques et microscopiques du métal découvert précédemment sur le site Serbe Belovode ont permis d'identifier des morceaux de scories de cuivre, résidus d'un processus de chauffage intense utilisé pour séparer le cuivre des autres minerais. La matière première provenait des gisements de minerais de cuivre à proximité de la Serbie ou de la Bulgarie.
Une goutte de métal fondu trouvées dans une maison Belovode contient du cuivre pur, ajoutent les chercheurs.
"Notre découverte fournie les dates les plus anciennes pour la fonte du cuivre et indique l'existence de différents lieux, probablement indépendants, pour l'invention de la métallurgie," explique Rehren.
"Un grand nombre d'objets en cuivre ont été trouvés dans des sites du sud-est de l'Europe datant de plus de 6.000 ans," note-t-il.
Sa supposition remet en cause la théorie supposant que la fonte de cuivre s'est répandu en Europe depuis le Croissant Fertile, correspondant aujourd'hui au sud de l'Iran. Les archéologues ont daté des fonderie de cuivre au Moyen-Orient remontant à 6.500 ans.
Bien que Belovode apparaît désormais comme étant le plus vieux site de fonderie de cuivre au monde, ce statut ne durera probablement pas, remarque l'archéologue Benjamin Roberts du British Museum à Londres: "Il est probable que nous trouverons que la fusion du cuivre était au moins contemporain entre Belovode et le Croissant Fertile, une fois que les programmes de recherche seront en place sur des sites de fouilles,".
La fusion du cuivre pourrait avoir pour origine ce qui est maintenant la Turquie, commente l'archéologue Christopher Thornton de l'Université de Pennsylvanie à Philadelphie. Il y a 10.000 ans, les personnes qui y vivaient ont fabriqué des perles et autres ornements avec du minerai de cuivre, ils rendaient le minerai plus souple en le chauffant à basse température.
Roberts et Thornton s'accordent pour dire que la fabrication du cuivre a probablement été inventé en un seul endroit, soit en Turquie, soit au Moyen-Orient. Le groupe de Rehren est en train d'examiner de possibles scories de cuivre provenant de sites en Turquie et en Iran, vieux d'au moins 7.000 ans. Les datations au radiocarbone des ossements d'animaux exhumés à Belovode indiquent que le site a été occupé de -7350 à -6650 ans.
Cependant aucune chambre de fusion, telle qu'un cylindre en céramique allongé (découvert sur des sites de l'âge du cuivre dans le sud-ouest de l'Asie) n'a été trouvé à Belovode. Les habitants Vinca ont pu avoir creusé des fosses pour la fonte du cuivre pensent les scientifiques.
Source : Serbian site may have hosted first copper maker
MAJ : http://www.metalurgija.org.rs/mjom/vol12/No%202-3/1Antonovic.pdf
Parallèles avec la culture Cucuteni-Trypillian de Roumanie (5.500 Avant JC) et les mines de sel
" L'étude de l'économie de la culture Cucuteni-Trypillian a fourni des informations importantes sur l'histoire des débuts de l'Europe. La culture Cucuteni-Trypillian, qui existait dans les actuelles nations européennes du sud-est de la Moldavie, la Roumanie et l'Ukraine au cours de l'âge néolithique et l'âge du cuivre, d'environ 5.500 avant JC à 2.750 avant JC, a laissé derrière des milliers de ruines d'habitations contenant une foule d'artefacts archéologiques témoignant de leurs caractéristiques culturelles et technologiques. Tout au long de la plupart des 2.750 années de son existence, la culture Cucuteni-Trypillian a été assez stable et statique. Cependant, des changements ont eu lieu qui ont impliqué les conditions des bases économiques de la culture, du développement du commerce, de l'interaction avec d'autres cultures, et l'utilisation apparente de jetons d'échanges, une forme précoce de l'argent. Les Sociétés de la première période du mésolithique étaient composées de tribus de chasseurs-cueilleurs qui n'avaient pas de stratification sociale. A l'inverse, les Sociétés ultérieures de l'âge du bronze avaient une stratification sociale notable, une spécialisation professionnelle développée, un Etat souverain, des classes sociales d'individus qui allaient de l'élite dirigeante ou des classes religieuses, à des guerriers à temps plein, et des riches marchands. Les Sociétés de l'âge du bronze ont également eu des individus à l'autre bout du spectre économique, qui étaient pauvres, esclaves, et affamés. Entre ces deux modèles économiques (les tribus de chasseurs-cueilleurs et les civilisations de l'âge du bronze), nous trouvons des sociétés ultérieures néolithiques et énéolithique telles que la culture Cucuteni-Trypillian, où les premières indications de la stratification sociale commencent à être trouvées. Cependant, ce serait une erreur de trop insister sur l'impact de la stratification sociale dans la culture Cucuteni-Trypillian, car c'était encore (même dans ses phases ultérieures) une société très égalitaire. La stratification sociale était juste l'un des nombreux aspects de ce qui est considéré comme une "société civilisée" entièrement établie (notons que la notion de "civilisé" implique donc historiquement la naissance de l'inégalité, de la famine, de la pauvreté et de l'esclavage !), qui a commencé avec l'âge du bronze. Il y avait, cependant, certaines ressources minérales rares qui, en raison des limitations dues à la distance et la prévalence, a fait se former le fondement rudimentaire d'un réseau de commerce qui, vers la fin de la culture allait commencer à devenir de plus en plus important pour la survie des membres de cette société. Le plus important de ces minéraux est le sel, qui est essentiel pour la vie humaine. En effet, les salines Cucuteni-Trypillian situées dans les marais saumâtres à Lunca, Neamţ, de la Roumanie pourraient très bien être les plus anciennes du monde. Il existe des preuves pour indiquer que la production de cette denrée précieuse ait directement contribué à la croissance rapide de la société. Cette salines était si productives qu'elles ont fourni les besoins de toute la région. Pour ce faire, le sel a dû être transporté, ce qui a marqué le début d'un réseau commercial qui s'est développé dans un système plus complexe au fil du temps. "
Le Cro Magnon britannique à 42.000 ans contesté
traduction et article de Sylvestre Huet
Cro Magnon a t-il vraiment colonisé les îles britanniques dès il y a 42.000 ans ? C'est ce qu'affirmait un article paru dans Nature le 3 novembre dernier
Cette recherche prend place dans un sujet très "chaud" en préhistoire : la recherche des dates et conditions dans lesquelles les hommes anatomiquement modernes sont parvenus en Europe et les relations qu'ils ont pu y entretenir, ou pas, avec les derniers néandertaliens.
Mais un préhistorien de Toulouse, Nicolas Teyssandier, conteste cette nouvelle datation pour le moins extraordinaire car elle place Cro Magnon - le nom populaire de "l'homme anatomiquement moderne" des scientifiques - dans les îles britanniques à une date si ancienne... qu'elle serait la plus ancienne pour notre ancêtre direct pour toute l'Europe ! (YH : ce qui est faux déjà puisqu'on a trouvé 45 000 ans pour l'homme moderne en Italie, qui est bien en Europe ! : http://www.archeolog-home.com/pages/actualites-1/anthropologie/recherche-4/grotta-del-cavallo-italie.html) (et en fait, le premier homme moderne européen a bien été découvert... en Roumanie pour l'instant (détroné donc par les découvertes anglaises et italiennes ? Notez que l'endroit des découvertes ne prouve absolument rien, (question migrations, "naissance" ou "apparition", contrairement à ce que veulent faire croire beaucoup de scientifiques..., et la plus ancienne petite cité en Bulgarie pour l'instant..., pas très loin de l'ex Yougoslavie (Serbie, Bosnie) donc ! De par ailleurs, on sait qu'à l'époque, les îles britanniques n'en étaient pas et étaient reliées au continent...)
Lire ici la suite de ce très intéressant article : Source : http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2011/11/le-cro-magnon-britannique-%C3%A0-42000-ans-contest%C3%A9.html
Autre question : Pourquoi les Cro-Magnons (ou Hommes modernes, nés il y a environ 200.000 ans en Afrique (Sapiens archaïques ou pas ?), en sortant d'Afrique entre -60.000 et -50.000 ans, seraient-ils allés directement en Asie (Indonésie) puis Australie et pas en Europe aussi, alors que l'on sait que, malgré la glaciation, il a existé justement en Serbie, Bulgarie (donc Europe) des endroits "chauds" (relativement) et en tout cas dénués de glace et non coupés géographiquement... ? Il y a un certain manque de logique scientifique à cet égard assez flagrant... d'autant plus que les Lapons et autres Inuits nous ont bien appris que la glace n'a jamais été vraiment un obstacle pour l'Homme Moderne ...
MAJ : (...) " Le morceau d'os et les trois dents qui y restaient attachées ont été découverts dans une caverne préhistorique du sud de l'Angleterre en 1927.
Une soixantaine d'années plus tard, des scientifiques de l'Université d'Oxford dataient le fossile, l'estimant vieux d'environ 35.000 ans. Un âge respectable mais pas extraordinaire à l'aûne des connaissances sur le peuplement de l'Europe par nos ancêtres "Homo sapiens sapiens".
Des chercheurs se sont cependant mis à douter de la validité de cette datation après avoir découvert sur ce maxillaire supérieur des traces de colle, qui a servi à conserver l'os après sa découverte et aurait pu fausser l'analyse.
" Nous savions que nous allions devoir effectuer des tests supplémentaires pour obtenir une nouvelle datation ", explique Beth Shapiro, professeur à la Penn State University (USA) et co-auteur de l'étude publiée mercredi dans la revue Nature.
Mais l'échantillon d'os épargné par la colle était trop petit pour autoriser une nouvelle datation au carbone 14 !
Mme Shapiro et ses collègues ont donc décidé de prendre le problème à l'envers : dans le sol de la caverne, ils ont prélevé des ossements d'animaux situés au-dessus et en-dessous de la strate où le maxillaire humain avait été découvert.
Ils ont ensuite daté cet ossuaire de la faune préhistorique mêlant loups, cerfs, ours des cavernes et rhinocéros laineux, obtenant une fourchette comprise entre 50.000 et 26.000 ans. En utilisant des techniques de modélisation statistique pour situer le maxillaire dans cette chronologie, ils l'estiment désormais vieux de 41.000 à 44.000 ans." Nous pensons que ce morceau de maxillaire est la plus ancienne preuve directe que nous avons sur la présence des humains modernes dans le nord-ouest de l'Europe ", souligne Tom Higham, responsable de l'unité de datation par le radiocarbone de l'Université britannique d'Oxford :

Chasseurs de Légendes Saison 3
Chasseurs de Légendes - SAISON 3 MAJ (mélange de deux séries)
Voici la saison 3 de 13 épisodes d'une série de documentaires en 3 saisons réalisés par David Berry, Ned Parker, Gerry Pomeroy et qui nous montrent des découvertes faites par divers chercheurs ou leurs quêtes des légendes connues ou non... et aussi : Josh Bernstein (A la Recherche de la Vérité) enquête...
Chasseurs de légendes 27 - l'or perdu de Yamashita
L'or de Yamashita, qui tire son nom du général Yamashita Tomoyuki, à la tête des forces japonaises aux Philippines pendant la Seconde Guerre mondiale, est un énorme butin de guerre estimé à plusieurs centaines de milliards de dollars. D'après la légende, les Japonais auraient enterré l'or, les pierres précieuses et autres richesses pillées dans tous les pays d'Asie du Sud-Est aux Philippines, après l'offensive des sous-marins alliés qui avait compromis leur rapatriement au Japon, pendant l'été 1942. En 1960, l'aventurier philippin Rogelio Roxas décide de retrouver le magot, coûte que coûte. Au bout de dix ans de recherches, alors qu'il s'apprête à jeter l'éponge, le chercheur de trésor découvre une statue de Bouddha en or massif pesant une tonne et mille lingots d'or dans un tunnel proche de Baguio, en 1971.
Chasseurs de Légendes 28 - Le voile de Véronique
L'authenticité du linge miraculeux portant l'impression du visage du Christ gardé au Vatican est discutée depuis la découverte d'une relique similaire à Manoppello.
Chasseurs de légendes 29 - La fortune de l'abbé Saunière
La fortune que l'abbé Saunière, vers Rennes le Chateau, est soupçonné avoir mystérieusement rassemblée à la fin du XIX siècle a suscité fascination et interrogations...
Chasseurs de légendes 30 - La malédiction des pierres-araignées
Selon une légende, un immense trésor constitué d'or extrait par les Espagnols serait enfoui près d'Haskell, dans l'ouest du Texas. En 1902, l'aventurier américain Dave Arnold se met en tête de le trouver, muni d'une carte énigmatique, et avec l'aide d'un apothicaire texan et d'un berger mexicain. En creusant dans le sol, il exhume une première pierre gravée couverte d'un motif de toile d'araignée...
Chasseurs de légendes 31 - Machu Picchu, dernier refuge des Incas
Après leurs défaites contre l'envahisseur espagnol, l'élite des Incas disparaît dans la jungle avec leurs reliques sacrées et leur or...
Chasseurs de légendes 32 - Le galion du désert
En 1870, l'aventurier Charley Clusker tente de retrouver l'épave d'un galion espagnol, rempli de bijoux et de perles, dans le désert Mojave, en Californie...
Chasseurs de légendes 33 - Le cimetière des Eléphants
A la recherche du légendaire cimetière des éléphants en Afrique...
Chasseurs de légendes 34 - Le trésor de l'île Cocos
Située à 500 kilomètres des côtes du Costa Rica, l'île Cocos a été le repaire de nombreux pirates. Les récits mentionnant des trésors cachés sous les palmiers de ce rocher inhabité abondent et les aventuriers qui ont cherché à les exhumer sont légion. L'ingénieur et aventurier allemand August Gissler a même passé onze ans – de 1897 à 1908 - à essayer de mettre la main sur ces butins enterrés sur l'île...
Chasseurs de légendes 35 - Les codes secrets de Thomas Beale
Vers 1820, au coeur des montagnes Rocheuses, des chasseurs de bison, avec à leur tête un certain Thomas Jefferson Beale, découvrent un immense gisement d'or...
Chasseurs de légendes 36 - La forteresse perdue de Camelot
A la tête des preux chevaliers de la Table ronde, le roi Arthur vivait, d'après la légende, dans un immense château dénommé Camelot, perché sur une colline. De nombreux historiens cherchent à savoir si le roi Arthur a vraiment existé. En 1966, le Britannique Leslie Alcock et son équipe d'archéologues entament des fouilles sur la colline fortifiée de South Cadbury, dans le Somerset. Le site est, depuis l'époque Tudor, associé au supposé Camelot.
Chasseurs de Légendes 37 - Le Saint Calice de Valence - Le Saint Graal 2
Non dispo
L'écrivaine américaine Janice Bennett est convaincue que le calice exposé dans la cathédrale de Valence, en Espagne, n'est autre que le saint Graal...
Chasseurs de légendes 38 - Les Guerriers Des Nuages
Chasseurs de légendes 39 - Momies De Papouasie-Nouvelle-Guinée [HD]
Chasseur De Légendes 40 - La Vie Secrète Des Gladiateurs [HD]
Un Indiana Jones des temps modernes explore les endroits les plus reculés à la découverte des secrets enfouis de l'humanité. Visitez les sites les plus fascinants sur Terre, des ruines mayas aux pyramides de Gizeh, Josh Bernstein enquête pour vous sur quelques-uns des grands mystères ! De l'Arche de Noé au fabuleux Trésor de Tombouctou, suivez-le dans cette quête épique vers l'inconnu ! Des chercheurs utilisent les ressources de la science pour tenter de démontrer la véracité de certaines légendes de l'histoire humaine. Josh Bernstein enquête sur la véritable vie des gladiateurs ! Hollywood a glorifié ces hommes sur le grand écran - en a-t-il déformé le portrait ?
Chasseur de legendes 41 - Akhenaton le pharaon maudit
Josh enquête sur le pharaon Akhenaton, époux de Néfertiti et père de Toutankhamon, qui a changé le cours de l'histoire égyptienne en se convertissant au monothéisme...
Chasseurs de légendes 42 - La vie extra terrestre
Des caméras de télévision ont suivi quelques célèbres chasseurs d'OVNI, qui tentent de prouver qu'il existe bel et bien une vie extraterrestre.
Chasseur De Légendes 43 Avec Josh Bernstein - La Vie Sur Mars
Un aventurier des temps modernes explore les endroits les plus reculés à la découverte des secrets de l'humanité et s'interroge cette fois sur la vie sur Mars. Certains avancent une idée très surprenante : la vie pourrait avoir débuté sur Mars et non sur la Terre. Pour tenter d'en savoir plus, l'explorateur américain Josh Bernstein, véritable Indiana Jones des temps modernes, mène l'enquête. L'enjeu est de taille, car si la présence de vie sur la planète rouge venait un jour à être confirmée, cela pourrait révolutionner de nombreuses théories existantes.
Chasseur De Légendes 44 - Le trésor englouti des nazis
Non Dispo
En 1959, le journaliste allemand Wolfgang Löhde, du magazine «Stern», fait sonder les eaux du lac Toplitz, en Autriche, à la recherche de l'or des nazis...
FIN
Yves Herbo-Sciences,F, Histoires, 05, 12, 17-05-2014, 04-06-2015