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Dans OVNI/UFO
Gillest

OVNIs : Soirée ODHTv Ovni Dans l'Histoire en Belgique

Par Le 27/05/2015

OVNIs : Soirée ODHTv Ovni Dans l'Histoire en Belgique​

Gillest

La soirée d'ODH TV " Ovni Dans l'Histoire en Belgique est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.

Au programme de cette édition spéciale :

L'invité est Gaëtan.B, président du REUB (Réseau d'Enquêteurs Ufologique Belges). Il vous parle de l'actualité ovni en Wallonie et de son association.

Cette soirée était diffusée via Hangout (Google +) en direct le 02 mai 2015.
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odhtv.jpg

L'émission est en collaboration avec :

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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 27-05-2015

Inah mexico 1

Suivi archéologique-2012-2

Par Le 27/05/2015

Suivi archéologique-2012-2 - Rappel 05-2015

decouverte-templo-mayor-mexico.jpg

Photo de l'Institut National d'Anthropologie et d'Histoire (INAH), montrant l'une des 23 pierres tombales préhispaniques. Des serpents, des captifs, des ornements et des guerriers y sont gravés...

IMPORTANTE DÉCOUVERTE AU TEMPLE AZTÈQUE DE MEXICO - 18-02-2012

Un total de 23 plaques de pierres précolombiennes datant d'environ 550 ans ont été découvertes par des archéologues devant le Grand Temple de Tenochtitlan au centre-ville de Mexico. Des sculptures illustrant des mythes aztèques comme la naissance du dieu de la guerre Huitzilopochtli y sont reconnaissables.

l'INAH a déclaré dans un communiqué que les sculptures sont faites sur des dalles en tezontle (roche volcanique); elles rapportent les origines mythologiques de l'ancienne culture Mexica ( ou Aztèque) à travers des représentations de serpents, de captifs, d'ornements, de guerriers et autres figures.

Ces restes précolombiens ont une grande valeur archéologique, car c'est la première fois que de telles pièces sont trouvées dans les lieux sacrés de Tenochtitlan et qu'elles peuvent être lues, précise l'archéologue Raul Barrera, "comme un document iconographique racontant certains mythes de cette ancienne civilisation".

inah-mexico.jpg

La naissance de Huitzilopochtli.

Le Grand Temple était le centre le plus important de la vie religieuse des Mexicas. Construit dans ce qui est aujourd'hui la grande place de la capitale mexicaine, connue sous le nom de Zocalo.

Les sculptures de pierre se concentrent sur les mythes de la naissance de Huitzilopochtli et le début de la guerre sainte.
Elles ont été placées face à ce qui était le centre du culte de Huitzilopochtli, ce qui signifie que, comme le dallage d'andésite rose et les dalles de basalte, elles remontent à la quatrième étape de la construction du Grand Temple (1440-1469).

D'après le mythe de la naissance de Huitzilopochtli, la déesse de la terre et de la fécondité, Coatlicue, a été fécondée par une "plume" qui est entrée dans son ventre alors qu'elle balayait.
Mais sa grossesse a irrité ses 400 enfants-étoiles, qui, poussés par la déesse Coyolxauhqui, décidèrent d'aller jusqu'à la montagne Coatepec où vivait Coatlicue pour la tuer.

C'est ce qu'ils firent, mais Huitzilopochtli sortit du ventre de sa mère en armes et tua ses frères et sœurs étoiles. Il coupa la tête de sa sœur Coyolxauhqui et la lança dans le ciel, où elle se transforma, donnant la Lune.

YH : nous avons encore ici un mythe lié aux étoiles, la Lune et l'espace. Par certains aspects, on pourrait le rapprocher des mythes asiatiques et Hindoux (les Aztèques ayant à priori de lointains ancêtres asiatiques) liés à la venue de dieux du ciel commençant par éduquer les humains et les soigner avant de se fâcher entre eux et de s'entre-tuer : on est aussi toujours dans la théorie d'un vaisseau spatial ayant échoué sur Terre il y a des millénaires : ses survivants devenant les "dieux" des mythes...

L'Archéologue Lorena Vazquez Vallin, pour sa part, rapporte que l'une des autres images gravées sur les dalles de pierre représente un dard avec de la fumée sur les côtés, devant laquelle une pointe de flèche en obsidienne a été trouvée.

Une autre montre un guerrier-étoile portant son chimalli (bouclier) dans une main et dans l'autre une arme de tir avec un set de fléches, la même que celle utilisée par Huitzilopochtli pour la conquête de Coyolxauhqui.

Une dalle de pierre sculptée représente aussi un personnage captif à genoux, les mains attachées derrière le dos. Une larme tombe de ses yeux et il pourrait parler, rapporte Vazquez Vallin.

 
decouverte-templo-mayor-mexico1.jpgVue de quelques unes des pierres sculptées.


 Sources Latino Foxnews: "Big Find Made at Aztec Temple in Mexico.", traduction Les Découvertes Archéologiques.

 

DÉCOUVERTE DES FONDATIONS D'UNE GRANDE FORTERESSE À ASHDOD - 14-02-2012

L'Israel Antiquities Authority a rapporté qu'une équipe a découvert des restes de murs massifs de plus de 1m de large datant de la fin du VIIIe siècle et début du VIIe siècle avant notre ère.

Le Dr. Dmitri Egorov de l'Autorité des Antiquités d'Israël pense que ces murs ont entouré la base d'un grand bâtiment lors de la période du Premier Temple.

La découverte de cette forteresse confirme l'existence d'une vie active sur la colline de Jonas au cours de la période du Premier Temple, et elle rejoint d'autres découvertes qui ont eu lieu près du site dans les années 1960. Au cours de fouilles dirigées par Magen Broshi, du Département des Antiquités, qui avaient été réalisées avant la construction du phare d'Ashdod, des vestiges muraux similaires avaient été trouvés et dataient de la période du Premier Temple et de la période perse.

 vestiges-colline-de-jonas-israel.jpgDes vestiges de murs massifs sur la Colline de Jonas (Sa'ar Ganor / Israel Antiquities Authority)

En outre, les archéologues ont découvert un ostracon araméen portant l'inscription "בעלצד תקלן דשנא" (une traduction contemporaine: Ba'altzad / Ba'altzar - un prénom, Taklan shekels, et Dashna - un cadeau). Cela signifierait que la personne nommée Ba'altzad ou Ba'altzar a donné une somme d'argent en cadeau (à un lieu saint).

Givat Yonah, qui s'élève à 50 m au dessus du niveau de la mer, est la plus haute colline d'Ashdod, d'où l'on peut apercevoir la mer, Tel-Mor (située dans l'estuaire de Nahal Lachish qui était probablement un ancien point d'ancrage) et Tel Ashdod ", a expliqué Sa'ar Ganor, l'archéologue du district d'Ashkelon de l'Autorité des Antiquités d'Israël.

En raison de son emplacement stratégique, il n'est pas surprenant d'y trouver les restes d'une forteresse qui dominait la région au cours de la période du Premier Temple.

Il y a deux possibilités concernant les personnes qui ont habité la forteresse à l'époque : soit elle était gérée par les Assyriens qui contrôlaient la région pendant l'Age du Fer; soit Josias, le roi de Juda, occupait le fort à l'époque. Il avait conquis le territoire des Assyriens et contrôlé Ashdod Yam au septième siècle avant JC

SourceSCI news: "First Temple Period Archaeological Discovery on the Hill of Jonah", traduction Les Découvertes Archéologiques.

 

L'ORIGINE D'UN ANCIEN OUTIL DE JADE DÉCONCERTE LES SCIENTIFIQUES - 09-02-2012

 

outils-de-jade.jpg

La découverte d'un outil vieux de 3.300 ans a conduit les chercheurs à la redécouverte d'un manuscrit «perdu» du 20e siècle et d'un morceau de terre " géochimiquement extraordinaire "...

Découvert sur l'île d'Emirau dans l'archipel Bismark (un groupe d'îles au large de la côte de la Nouvelle-Guinée), l'outil de pierre long de 5 centimètres a probablement été utilisé pour sculpter, ou creuser, le bois.

Il semble être tombé d'une maison sur pilotis, dans un enchevêtrement de récif corallien pour finalement être recouvert par des sables mouvants.

L'objet de jade pourrait avoir été conçu par le mystérieux peuple Lapita, apparu dans le Pacifique il y a environ 3.300 ans. Il s'est ensuite propagé à travers le Pacifique jusqu'à Samoa en deux cents ans; à partir de là s'est formée la population ancestrale des Polynésiens.

Des outils de jade et des haches ont déjà été trouvés dans ces régions, mais ce qui est intéressant avec ​l'objet en question est que le type de jade dont il est fait semble provenir d'une région éloignée. Peut-être que les Lapita l'auraient rapporté de l'endroit non connu d'où ils provenaient.

 
lapita2.jpgCarte de répartition des sites Lapita

 
Les deux types de jade.

"Jade" est un terme général pour deux types de roches dures : la jadéite et la néphrite. Les deux types de pierres sont de couleur verdâtre, mais la néphrite est légèrement plus douce. Quant à la jadéite, elle est plus rare, la plupart du temps on la retrouve dans les cultures de l'Amérique centrale et au Mexique avant l'arrivée des Européens.

"Dans le Pacifique, la jadéite aussi ancienne que cet artéfact n'est connue que du Japon et est utilisée en Corée," explique  le chercheur George Harlow, de l'American Museum of Natural History à New York, " elle n'a jamais été mentionnée dans les données archéologiques de la Nouvelle-Guinée. "

Des chercheurs de l'American Museum of Natural History ont étudié l'objet aux rayons-X à micro-diffraction, afin de trouver sa structure atomique, et ensuite, les minéraux dans la roche.
La composition minérale d'une roche varie en fonction de la nature des produits chimiques présents dans le sol lorsqu'elle se forme. Les signatures sont donc spécifiques et les chercheurs peuvent parfois identifier l'origine de ces roches.


lapita1.jpg

Culture Lapita (entre 1350 et 750 avant Jésus Christ-Pacifique)

L'examen de la pierre

Lorsque nous avons regardé cet artéfact, il était très clair qu'il n'y avait pas grand-chose à apprendre de plus sur cette jadéite que tout le monde ne savait déjà, " a dit Harlow.

Cette jadéite est différente des jadéites trouvées au Japon et en Corée à l'époque. Il lui manque certains éléments et en contient d'autres en quantités plus importantes; la pierre provient donc d'une autre source géologique, mais les chercheurs ne savent pas d'où. La seule correspondance chimique que les chercheurs connaissaient était un site en Basse Californie du Sud, au Mexique.

Cependant, les chercheurs ne pensent pas qu'il soit possible que des gens du néolithique aient pu traverser le Pacifique il y a des milliers d'années; pourtant, ils ne pouvaient trouver d'autres explications... Jusqu'à ce qu'ils tombent sur un manuscrit allemand inédit du 20e siècle.

L'auteur du manuscrit, C.E.A. Wichmann, avait recueilli quelques curieuses pierres en Indonésie en 1903, à environ 1000 kilomètres de l'endroit où l'outil de jade a été découvert. Et, il s'est avéré que les propriétés chimiques qu'il y a noté et ramassés sont très semblables à celle de l'artéfact. (" in northeast Papua, Indonesia, from which samples of ‘‘chloromelanite’’ (actually jadeitite) were collected by C.E.A. Wichmann in 1903 near Humboldt Bay along with stone adzes fashioned from the same material. "
A jade gouge from Emirau island, Papua-New Guinea (Early Lapita context: 3300 BP): A unique jadeitite - ResearchGate. Available from: http://www.researchgate.net/publication/233398009_A_jade_gouge_from_Emirau_island_Papua-New_Guinea_%28Early_Lapita_context_3300_BP%29_A_unique_jadeitite [accessed May 27, 2015].

Les chercheurs étudient actuellement ces échantillons pour voir si les techniques modernes peuvent prouver que l'outil est venu d'Indonésie :

Dans OVNI/UFO
Gillest

OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 26-05-2015

Par Le 26/05/2015

OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 26-05-2015

Gillest

Matin OVNI dans le monde du 26-05-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.

Au programme de cette nouvelle édition :

Actualité Ovni dans le monde récente et interview de Gaëtan.B président du REUB et Rémy Fauchereau de l'AEPA.

 

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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 26-05-2015

Excavation tushan

Turquie : Un langage disparu découvert sur une tablette d'argile

Par Le 26/05/2015

Turquie : Un langage disparu découvert sur une tablette d'argile - MAJ

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 Photographie détaillée de la tablette trouvée à Ziyaret Tepe, site probable de la ville antique de Tušhan. Elle contient les noms de 144 femmes déportées qui étaient probablement au service de l'administration assyrienne. © John MacGinnis

Le sud-Est de la Turquie, tout comme l'ensemble de cette région, n'a pas fini de révéler ses secrets, loin de là. Au contraire, on a l'impression que la moindre découverte qui sort de l'ordinaire crée à son tour son lot de questions et mystères. Et le dernier n'est pas le moindre car, depuis les fouilles de Gobekli Tepe, là où le plus ancien Temple découvert à ce jour à été déterré, d'autres découvertes ont été faites à Ziyaret Tepe notamment. Beaucoup plus récent à priori que celui de Gobekli Tepe, ce site n'en n'est pas pour autant moins intéressant historiquement, car il s'agit probablement de celui de l'antique ville de Tušhan. Cette cité renforcée était l'une des forteresses construites (ou prise ?) par les Assyriens, peuple guerrier mésopotamien qui a étendu une assez grande emprise sur son voisinage entre 884 et 609 Avant J.C, il y a presque 2900 ans donc.

gobekteppano543po.jpg Gobekli Tepe, Turquie, 11.600 ans minimum avant maintenant.

Une particularité dans l'organisation administrative des Assyriens : pour équilibrer et administrer sa population propre et celle des territoires conquis, ils déportaient massivement toutes les populations locales battues, vers des territoires à exploiter et envoyaient des colons entretenir les cultures déjà constituées et conquises. Il y a d'ailleurs là beaucoup de difficulté pour les archéologues de faire la différence entre des constructions construites par les Assyriens (et les autres peuples pratiquant le même système de déportations, jusqu'à beaucoup plus tard) et des constructions plus anciennes et conquises puis transformées par la suite...

Les ruines mises à jour depuis 1997, date de la découverte du site, font penser qu'il s'agit là du palais du gouverneur de la ville antique, construit sous le règne d’Assournazirpal II vers - 870 et qui a brûlé d'après les textes en 700 avant J.C. Mais cet incendie a permis de sauvegarder apparemment un petit trésor pour les archéologues : la chaleur dégagée par l'incendie a provoqué la cuisson d'une tablette d'argile sur laquelle était apposée une liste de 144 noms de femmes, figeant dans le temps les minuscules gravures contenant de précieuses informations.

Découverte en 2009 grâce à l'excavation du sol du palais, la tablette en question a été analysée par John MacGinnis, de l’université de Cambridge, dans un article du Journal of Near Eastern Studies qui vient de paraître. Il y dit que sa surprise a été de taille lors de son décryptage des caractères cunéiformes : cette tablette contient les preuves de l'existence d'un langage ancien complètement inconnu de nos jours.

La tablette a été trouvée dans ce que les archéologues pensent être la salle du trône et contient une liste de 144 noms de femmes écrits en caractères cunéiformes, mais seuls 59 d'entre eux sont sauvegardés et exploitables. Parmi ces derniers, 2 sont typiquement assyriens et 15 autres noms appartiennent à des langues connues de la même époque : égyptien, élamite, urartéen, hurrien, louvite et sémitique occidental. 42 noms donc sur les 59 proviendraient d'un langage inconnu, d'un peuple inconnu, déporté en masse par les Assyriens.

Plusieurs hypothèses sont bien sûr imaginables pour expliquer l'origine de ces noms mais, face à divers éléments historiques et géographiques, l'une d'entre elles est privilégiée pour l'instant, en attendant d'autres confirmations ou infirmations futures :

Cette langue disparue il y a presque 3000 ans a pu être parlée par un ou des peuples conquis par les assyriens, forcés de migrer en direction du sud-est de la Turquie. Et justement, il existe une contrée que l'on sait avoir été annexée par les Assyriens et pour laquelle on n'a jamais trouvé la moindre trace d'un langage local quelconque : les montagnes de Zagros maintenant en Iran, à proximité de la frontière avec l'Irak. Cette hypothèse est d'ailleurs déjà renforcée par des écrits du roi Assyrien Esarhaddon, qui font références à un langage inconnu, le mekhranien, originaire du Zagros. Cette langue disparue a dû donc être utilisée par des peuples vivant sur le territoire actuel de l'Iran, déportés jusqu'en Turquie du sud-est à l'époque.

La tablette d'argile est actuellement entreposée à Diyarbakir en Turquie, en attendant d’être un jour exposée au public.

Source : http://www.jstor.org/discover/

MAJ 26-05-2015 : Les fouilles se sont prolongées jusqu'à nos jours et il y en a chaque été. Quelles ont été les dernières découvertes ? Tout d'abord, les archéologues ont eu la confirmation que le site était bien les restes de l'antique cité de Tušhan, mentionnée dans plusieurs anciens textes. Mais aussi que, avant son annexion par les Assyriens, c'était le pays des Shubriens. Shubria était le nom du pays avant l'arrivée des Assyriens, et nous savons très peu sur leur langue et culture car elle n'était apparemment pas écrite, ou encore, rien ne nous est parvenu comme écrit (Notez que nos écrits modernes sont aussi assez rarement faits sur de la pierre ou du métal...).

Interview exploring the evidence for a previously unknown language on a tablet excavated by Dr. Dirk Wicke of the University of Mainz in the expedition to the ancient Assyrian provincial capital of Ziyaret Tepe directed by Prof. Timothy Matney of the University of Akro (Ohio), and deciphered by Dr. John MacGinnis of the University of Cambridge McDonald Institute for Archaeological Research. Youtube VO

Les noms de ces femmes écrits en assyriens mais indiquant une origine inconnue étaient-ils Shubriens ? Nous n'en savons rien mais c'est peu probable car les Assyriens déportaient l'ensemble des populaces occupant un territoire conquis pour le remplacer par des colons assyriens et d'autres populaces elles-même déportées d'ailleurs : c'est pour cela que la piste de la région de Zagros (qui a subi le même sort que Shubria) est privilégiée.

Cuneiform tablets

http://www3.uakron.edu/ziyaret/team.html

D'après le Dr. Kemalettin Köroğlu de Marmara University, les Assyriens ont au minimum déporté 3 millions d'individus lors de leurs conquêtes. Il ne sait pas si ces femmes étaient originaires de Shubria ou de Zagros mais leurs noms n'étaient ni Perses, ni Elamites, Egyptiens, Arabes, Hebreux ou Araméens... Ce sont des noms comme Impane, Ninuaya, Sasimi, Bisunume, Malinayasi et Pinda par exemple...

Les fouilles archéologiques en juillet 2014 ont découvert sur le site de Tušhan un grand nombre de jetons qui ont été utilisés pour tenir des décomptes des produits de base tels que le bétail et les céréales.

Ziyaret tepeA few of the hundreds of clay tokens unearthed at Ziyaret Tepe, Turkey. Image credit: Ziyaret Tepe Archaeological Project.

Plus de 300 jetons - des petits objets en argile, dans une gamme de formes géométriques simples - ont été découverts dans le principal bâtiment administratif, dans la ville basse de Tushan (qui a été édifiée en deux partie, la ville haute du Palais et la ville basse du commerce), ainsi que de nombreuses tablettes d'argile cunéiforme ainsi que des poids et des cachets d'argile.

Les jetons ont été trouvés dans deux chambres près de l'arrière du bâtiment, qui servait probablement anciennement de quai de chargement.

Étonnamment, les jetons datent d'une époque où l'écriture était une pratique courante - des milliers d'années donc après qu'il avait été précédemment supposé que cette technique était devenue obsolète. " L'écriture complexe n'a pas empêché l'utilisation de l'abacus, tout comme l'ère du numérique n'a pas anéanti les crayons et les stylos," a déclaré le Dr John MacGinnis de l'Institut McDonald pour la recherche archéologique à Cambridge, Royaume-Uni. (mais l'abacus a bien fini par disparaître avec le temps... on peut donc supposer que le temps arrivera aussi à bout des crayons et stylos un jour !).

" Alors que l'écriture cunéiforme était une technique plus avancée de la comptabilité, en la combinant avec la flexibilité des jetons, les anciens Assyriens ont créé un système d'archivage d'une plus grande sophistication ".

" Les jetons fournissaient un système de numéros mobiles qui ont permis que le stock puisse être déplacé et que les comptes puissent être modifiés et mis à jour sans avoir recours à l'écriture; un système qui ne nécessitait pas que tous les participants soient alphabétisés " (donc compréhensible aussi pour les "barbares", les populations non éduquées et aussi à l'international, pour les autres langues et écritures pratiquées dans le monde connu...

Le Dr MacGinnis et ses collègues croient que la nouvelle preuve pointe vers des jetons préhistoriques utilisés en conjonction avec l'écriture cunéiforme, comme un système administratif à l'échelle d'un Empire s'étirant juste en face de ce qui est maintenant la Turquie, la Syrie et l'Irak. En son temps, à peu près entre 900 à 600 avant JC, l'empire assyrien était le plus grand que le monde ait jamais vu.

Les types de jetons variaient de sphères de base, disques et triangles à des jetons qui ressemblent à des oxhides et des têtes de taureau.

Bien que la majorité des tablettes cunéiformes qui ont été trouvées avec des jetons font références aux métiers des céréales, il ne sait pas encore ce que les différents jetons représentent.

" Certains jetons représentent probablement le grain, ainsi que différents types de bétail (chèvres et bovins), mais - comme ils étaient encore en usage à l'apogée de l'empire - les jetons auraient pu être utilisés pour représenter des produits tels que l'huile, de la laine et du vin, " ont déclaré les scientifiques.

Le Dr MacGinnis a ajouté : " l'un de mes rêves est qu'un jour nous déterrions la tablette d'un comptable qui faisait un inventaire minutieux des biens et des systèmes, et nous serions en mesure de casser les codes du système des jetons..."

" Les inventions des systèmes d'enregistrement sont des jalons dans l'aventure humaine, et des découvertes qui contribuent à la compréhension de la façon dont ils sont arrivés amène une contribution de base à la cartographie de l'état d'avancement de l'humanité."

Excavation tushanZiyaret Tepe Archaeological Project.

Sources : http://www.hurriyetdailynews.com/mysterious-tablets-secrets-revealed.aspx?pageID=238&nID=28636

http://www.sci-news.com/archaeology/science-neo-assyrian-administrative-tokens-ziyaret-tepe-02064.html

http://umanitoba.ca/colleges/st_pauls/nebal/762.html​

 

Traduction, rédaction Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 05-2012, MAJ 26-05-2015

 

Monolithephobos 1

Monolithe sur Mars, monolithes sur Phobos : Kubrick ou les Celtes ?

Par Le 25/05/2015

Monolithe sur Mars, monolithes sur Phobos : Kubrick ou les Celtes ?

monolithephobos.jpg

monolithes sur Phobos

La spéculation autour d'un étrange "monolithe" découvert il y a longtemps sur Mars refait surface et un chercheur américain donne son avis.

Des astronomes amateurs ont aperçu un étrange objet sur la surface martienne. Vertical et de forme rectangulaire, il a pu être observé à partir de divers clichés de la NASA. Cet objet rappelle immanquablement le monolithe du roman d'Arthur C. Clarke et de son adaptation cinématographique par Stanley Kubrick : 2001, L'odyssée de l'espace...

Le mystérieux objet avait été repéré il y a plusieurs années par la caméra de la sonde Reconnaissance Orbiter. Selon le chercheur Jonathon Hill, de l'Arizona State University, "lorsque la résolution est trop faible pour photographier complètement un objet, celui-ci a tendance à prendre une forme rectangulaire à cause des pixels." La caméra HiRISE qui équipe la sonde Mars Reconnaissance Orbiter offre une résolution de 30 centimètres par pixel, ce qui est tout de même impressionnant.

monolite-mars.jpg

L'emplacement de cet objet indique qu'il a pu tomber d'une falaise située à proximité, il y a longtemps, d'après M. Hill. Ce qui fait dire au scientifique : "si je devais construire un monolithe, c'est le dernier endroit où j'irai le mettre ! La chute de roches de la falaise pourrait très vite le recouvrir." Ce mystérieux "monolithe" est-il arrivé là tout seul ? Il aura, au moins, le mérite de soulever la curiosité.

Maxisciences

Yves Herbo : D'autant plus que M. Hill dit en même temps qu'il est là depuis longtemps mais que des chutes de roches aurait dû très vite le recouvrir si quelqu'un avait choisi cet endroit... assez contradictoire... ou faux puisque ça ne s'est pas passé ! Et M. Hill ne s'est pas penché sur les monolithes de Phobos, l'un des deux satellites de Mars apparemment... :

Anomalies sur Phobos :

Lorsque la sonde de la NASA Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) a cartographié la minuscule lune martienne, Phobos et a mis en lumière les photos du petit satellite en forme de pomme de terre, cela a fait fureur parmi les mordus de l’espace. Là, sur la surface à vue, se tenait un grand objet rectangulaire qui ressemblait à un monolithe incontestablement artificiel.

phobos2.jpg

Les caractéristiques de la surface inexpliquées telles que la convergence de nombreuses rainures, ainsi que les formations remarquables semblables à un monolithe , posent la possibilité que Phobos porte des structures non érodées qui méritent une attention particulière. Lan Fleming spécialisé dans l’imagerie de la NASA qui s’intéresse à Mars et autres anomalies du système solaire a regardé et après l’étude et un examen plus approfondi a conclu que le monolithe est une anomalie physique sur la surface de Phobos.

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On ne peut, évidement, que penser à 2001 de Kubrick et son monolithe noir qui annonce une phase déterminante dans l ' histoire de l ' humanité et qui apparait a des moments cruciaux dans la destinée des hommes . Publié par Marc Lafontan 

http://au-bout-de-la-route.blogspot.fr/2011/01/phobos.html

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Le buzz autour de l’objet est devenu si intense que le célèbre “Buzz” est entré dans le débat. Buzz Aldrin, deuxième humain à marcher sur la surface de la Lune, en a surpris plusieurs en affirmant: “Nous devrions visiter les lunes de Mars. Il y a un monolithe là bas -. Une structure très inhabituelle sur ce petit objet en forme de  pomme de terre qui fait le tour de  Mars une fois tous les sept heures. “ Lorsque les gens vont apprendre ça, ils vont dire, Qui a mis ça là? Qui a mis ça là?  Eh bien l’univers l’a mis là, ou si vous préférez Dieu l’a mis là.”
 
 

Phobos est un endroit très prometteur pour l’exploration future. La lune elle-même a longtemps été une anomalie, ses caractéristiques orbitales suggèrent qu’elle peut être creuse. Une spéculation plus agressive suggère que Phobos pourrait en fait être un vaisseau spatial abandonné de la variété “génération arche”  décrite par les écrivains scientifiques comme Isaac Asimov. Je ne sais pas si j’irais aussi loin avec une information aussi peu définitive, mais c’est une idée séduisante. L’ancien épisode de Star Trek “ Le monde est creux et j’ai touché le ciel ” vient à l’esprit.

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Les environs du monolithe ont été proposés comme site d'atterrissage  pour un véhicule de l'Agence spatiale canadienne, financé  par l'Optech et l'Institut de Mars, pour une mission non habitée de Phobos connue sous le nom de PRIME (Phobos Reconnaissance and International Mars Exploration). La mission PRIME serait composée d'un orbiteur et d'un atterrisseur, et chacun transporte  4 instruments destinés à étudier les divers aspects de la géologie de Phobos. À l'heure actuelle, PRIME n'a pas été financée et ne dispose pas d'une date de lancement prévue.

phobos.gif

Sources : http://www.lesconfins.com/anomalies_sur_phobos.htm

Paul Davies veut chercher un monolithe noir E.T. sur la Lune

 

Le physicien théoricien et exobiologiste Paul Davies, usant de son poids médiatique, veut donner une nouvelle impulsion à une vieille idée : rechercher d’anciennes traces de civilisations E.T. sur la Lune. Et ce, propose-t-il, grâce à la science citoyenne, les internautes scrutant les données de la sonde lunaire LRO.

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Paul Davies est très connu dans le monde anglo-saxon, et pas seulement parce qu’il a été, comme Bernard d’Espagnat, le récipiendaire du prix Templeton. Spécialiste de l’effet Hawking, il a écrit de nombreux livres de vulgarisation, allant des fondements de la mécanique quantique à la théorie des supercordes en passant par la cosmologie et l’exobiologie. Il fait partie de ceux qui s’interrogent sur une possible biologie quantique et il a été un des coauteurs de l’article controversé sur les bactéries à l’arsenic.

Depuis longtemps, Davies s’occupe d’exobiologie, ou encore d’astrobiologie comme on le dit dans les pays anglo-saxons. Avec un étudiant, il vient de publier un article qui va certainement faire beaucoup parler de lui sur le Net : Searching for alien artifacts on the moon.

En clair, en complément du programme Seti, des tentatives pour détecter des traces de civilisations extraterrestres en train de construire des stations spatiales ou qui se signaleraient par l’éclairage de leurs villes, Davies et Robert Wagner renouvèlent un concept déjà exploré par un radioastronome ukrainien membre de Seti, Alexey Arkhipov.

Il s’agit de chercher sur la Lune des restes de civilisations extraterrestres, comme des édifices et des mines, laissés il y a peut-être des millions d’années par une mission d’exploration de notre planète.

La découverte d'un monolithe noir ?

En effet, il est assez improbable que le développement de l’humanité coïncide à seulement quelques milliers d’années près avec celui d’une civilisation E.T. avancée. On peut tenter de se convaincre que le voyage interstellaire est beaucoup plus facile que ce que l’on imagine, par exemple en empruntant des trous de ver ou en dépassant sans vergogne la limite d'Einstein, comme le montrent peut-être les neutrinos transluminiques. Cependant, si une mission d’exploration extraterrestre a effectivement visité notre Système solaire, il est probable que l'événement ait eu lieu il y a des millions voire des centaines de millions d’années.

Pour une telle mission exploratoire, qui serait venue étudier de plus près la biosphère terrestre, le plus logique et le plus commode serait l'installation d’une base lunaire. Or, l’environnement tectoniquement stable et sans érosion de la Lune est bien plus propice que celui de la Terre à la conservation d’artefacts.

Davies propose donc, par exemple, d’utiliser les images à haute résolution de LRO, qui montrent notamment des grottes, pour détecter ces anciennes constructions.

Gare aux interprétations hasardeuses

La résolution des images de la sonde LRO est en effet inférieure au mètre et la base de données des photos prises donnera à terme une cartographie précise de la Lune. Nul doute que sa mise à disposition sur la toile, avec pour objectif de permettre aux internautes de partir à la chasse à des artefacts E.T., aurait un grand succès. En témoigne la réussite de l'opération lancée lors du projet Stardust. Il s’agissait de permettre aux internautes de travailler comme de vrais chercheurs de la Nasa en repérant des poussières cométaires ou interstellaires capturées par l'aérogel de la sonde.

Malheureusement, il n’y a guère de doute qu’on verrait aussi proliférer des fausses interprétations d’images. Les discussions à propos des images des missions Apollo, la fameuse affaire du visage martien ou celle du vaisseau géant en orbite autour de Mercure illustrent toute l’ampleur des dérives possibles (mais qui décide qu'il s'agit bien de dérives ?, la NASA qui se fait juge et partie ou juste la pensée "raisonnable", limitatrice, bordée et bloquant l'humanité éventuellement ?). Peut-être vaudrait-il mieux que ce travail soit effectué par des méthodes informatiques automatisées (l'automate programmé par l'homme a-t-il son libre-arbitre ou ne dépend-il que de sa programmation, donc de pré-postulats humains réducteurs et probablement faux ?).

Plus généralement, d'autres techniques d'exploration de la Lune, avec bien sûr une présence humaine permanente, pourraient révéler des surprises.

En tout état de cause, le concept est électrisant et pourrait contribuer à faire comprendre à l’humanité sa vraie place dans le cosmos, indépendamment de son succès. Et, qui sait, peut-être finira-t-on par effectivement découvrir une anomalie magnétique pointant du doigt l’existence d’un monolithe noir enterré dans le sol lunaire, comme dans le roman d’Arthur C. Clarke2001, l’Odyssée de l’espace...

Par Laurent SaccoFutura-Sciences

YH : Bon, en attendant de voir de plus près les monolithes martiens, nous pouvons toujours admirer ceux laissés par nos ancêtres celtiques un peu partout dans le monde... et n'oublions pas non plus que les théories scientifiques sont également des interprétations prouvées ou non jusqu'à un certain point et que parfois le hasard fait trop bien les choses (mais les coïncidences existent-elles vraiment ?)... :

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Dol de Bretagne

05-2015 : Et je profite de cette petite remontée du lien pour ajouter ici un article connexe puisque j'y parle aussi de Phobos ! :

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/phobos-et-l-ovni-geant.html

Sans compter les quelques articles avec certaines données intéressantes sur la planète Mars et son exploration robotique :

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/une-nouvelle-etude-dit-que-la-vie-a-deja-ete-trouvee-sur-mars-en-1976.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/des-spirales-geologiques-de-5-a-30-metres-sur-mars.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/des-mysterieuses-spheres-sur-mars-etonnent-les-scientifiques.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/des-spherules-carbonees-de-mars-contiennent-des-traces-de-vie-extra-terrestre.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/une-photo-etrange-de-curiosity-sur-mars.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/curiosity-photographie-un-phenomene-lumineux-dans-le-ciel-de-mars.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/de-la-vie-sur-mars-de-plus-en-plus-probable.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/astronomie-espace/nouvelles-spatiales-curiosites-sur-mars-asteroides-visiteurs.html

 

Yves Herbo, S, F, H, 04-2012, MAJ 05-2015

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Le pouce qui réveille le mythe des Géants

Par Le 24/05/2015

Le pouce qui réveille le mythe des Géants - 2012 - MAJ 05-2015

doigtgeant1.jpgdoigt de 38 cm

Selon beaucoup de légendes et textes religieux, y compris la Bible, les plus anciens textes hindoux et sumériens inclus, des hommes et femmes de très grandes tailles ont existé dans un lointain passé. Certains chercheurs les font même remonter jusqu'aux dinosaures en âge, suite à certaines empreintes de primates géants trouvées à côté de celles de dinosaures. Plusieurs artéfacts de très grandes tailles ont été trouvés (masques, armes, couteaux et pierres taillées, casques) dans plusieurs régions du monde. Certains os et squelettes également et des tombes, des structures architecturales (Baalbek et autres)...

Une très étrange découverte aurait été faite en Egypte pendant l'année 1988 : un entrepreneur connu en Suisse et passionné d'égyptologie, Gregor Spörri, serait entré en contact en 1988 avec un vieil homme, héritier d'une vieille dynastie de pilleurs de tombes. A environ 100 km du Caire au nord-est, une réunion s'est tenue dans une ferme vers les Bir Hooker. Spörri doit donner 300 dollars juste pour jeter un oeil à la collection invendable des voleurs de tombes.

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Un os est enveloppé dans de vieux chiffons et une peau de cuir, dit Spörri, l'emballage était rectangulaire et c'était confiné dedans. J'étais choqué quand j'ai vu le vestige brun foncé et quand je l'ai pris dans mes mains. J'ai pu le photographier et mettre un billet de banque à côté pour comparer la taille.

Le doigt courbé avait éclaté et était couvert de moisissures séchées. C'était étonnamment léger, à peine quelques centaines de grammes. C'était incroyable. A partir de ce doigt, la dimension du géant devait être au minimum de 5 mètres...

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Le voleur de tombe a montré aussi encore un certificat d'authenticité et une radiographie du doigt au suisse. Les deux des années soixante. Le voleur de tombe a juré par tous les noms d'Allah qu'il disait la vérité et que cette chose avait été trouvée dans une tombe pas très loin des pyramides de Gizeh. Mais le doigt n'a pas pu être vendu. Il a semblé être beaucoup trop important pour lui et sa famille... Aujourd'hui, Spörri regrette qu'il n'ai pu récupérer que des photos dans la maison. Cette découverte l'occupait pendant des années, mais les scientifiques ne se sont pas intéressés à la découverte, qui devait être impossible... "Le vestige ne collait pas avec les théories", dit l'explorateur à BILD.de. Ils ne voulaient pas se faire moquer par d'autres experts. Ce n'est qu'en 2009 qu'on recherche à nouveau un Arabe âgé et le vestige. Mais les traces dans les Bir Hooker étaient devenues du sable depuis...

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Gregor Spörri, certain de ce qu'il a vu et tenu dans ses mains, passe une bonne partie de sa vie à chercher intensivement des vestiges et preuves de la réalité du mythe des géants. Il est surtout allé en Egypte, et a trouvé des sarcophages géants, parfois incomplets et faux, mais aussi des vrais, trop grands pour des êtres humains normaux.

Y a-t-il eu des géants en Egypte ? L'historien Flavius Josephus romain a fait un rapport en 79 après le Christ d'une telle existence dans son histoire de la guerre juive : Des géants étaient . Organisés beaucoup plus grandement et autrement que l'homme normal. Craints terriblement. Celui qui ne l'a pas vue de ses propres yeux ne peut pas croire qu'ils aient été si extrêmement grands. "

sporri.jpgSpörri

Quoiqu'il en soit, l'artefact a disparu et son propriétaire avec. Spörri a décidé de changé de vie et, n'étant pas scientifique pour parler de sa découverte, il a décidé de la révéler via un roman, auquel ses preuves photographiques sont ajoutées dans l'histoire... Il l'a sorti volontairement du contexte pour le montrer, et plusieurs experts sont à la recherche de témoignages et traces du côté des Bir Hooker... au public de considérer la chose, dit Spörri, et de décider lui-même de sa propre opinion...

Source : http://www.bild.de/news/mystery-themen/mystery/in-aegypten-gefunden-23053704.bild.html

MAJ 05-2015 : L'affaire n'est toujours pas résolue et ce fossile a disparu avec la famille du découvreur. Les suppositions raisonnables les plus récentes font appel au primate préhistorique Gigantopithecus Blacki pour expliquer ce doigt et son gigantisme...

Le premier Gigantopithèque décrit par un anthropologue a été trouvé en 1935 par Ralph von Koenigswald, dans une boutique d'un l'apothicaire. Les dents et les os fossilisés sont souvent broyés en poudre et utilisés dans certaines branches de la médecine traditionnelle chinoise... Von Koenigswald a nommé ces espèces théorisés le Gigantopithèque.

Gigantopithecus bilaspurensis mandibleWikipedia.en

Depuis lors, relativement peu de fossiles du Gigantopithèque ont été récupérés. Mis à part les molaires récupérées dans les magasins chinois de la médecine traditionnelle, la grotte de Liucheng à Liuzhou, Chine, a produit de nombreuses dents du Gigantopithèque blacki, ainsi que plusieurs mâchoires. Les autres sites donnant des découvertes importantes ont été au Vietnam et en Inde. Ces découvertes suggèrent que la race des Gigantopithèques était en Asie du sud-est (on note aussi avec l'Inde et ces régions certaines références historiques et religieuses en lien avec l'Armée des Singes, le Dieu-Singe et les textes védiques sur le compagnon de Rama et la construction d'un pont entre l'Inde et Sri-Lanka (Ceylan) par une armée de Singes géants intelligents, y compris aussi le fameux Yéti qui remonte à très loin).

En 1955, 47 dents de Gigantopithèques blacki ont été trouvées parmi une cargaison d' "os de dragon" (aka "os d'oracle") en Chine. En traçant ces dents jusqu'à leur source, on a abouti à la récupération de plus de dents et d'une grande mandibule assez complète. En 1958, trois mandibules et plus de 1300 dents avaient été récupérés. Les restes de Gigantopithèques proviennent de sites dans le Hubei, Guangxi et Sichuan, à partir d'entrepôts pour les produits médicinaux chinois, ainsi que des dépôts de grottes. Tous les restes chinois n'ont pas été datés de la même période de temps, et les fossiles dans le Hubei semblent être d'une date plus tardive qu'ailleurs en Chine. Les dents du Hubei sont également plus grandes.

Gigantopithecus v human

Wikipedia.en

Le Gigantopithèque est considéré comme une race éteinte de singe qui existait depuis environ neuf millions d'années jusqu'à il y a aussi récemment que 100.000 ans, dans ce qui est maintenant la Chine, l'Inde et le Vietnam, plaçant le Gigantopithèque dans le même laps de temps et la situation géographique que plusieurs espèces d'hominidés (y compris l'homme moderne qui était déjà apparu, mais pas en Asie (à priori)). les archives fossiles suggère que les individus de l'espèce Gigantopithèque Blacki  étaient les plus grands singes qui ont jamais vécu, mesurant debout jusqu'à 3 m (9,8 pieds) et pesant jusqu'à 540 kg (1,200 livres), ce qui rend l'espèce deux à trois fois plus lourde que les gorilles modernes et près de cinq fois plus lourde que l'orang-outan, son plus proche parent vivant. Les grands mâles peuvent avoir eu une envergure des bras de plus de 12 pieds (3,6 m). L'espèce aurait eu un fort dimorphisme sexuel, les femelles adultes pesant environ la moitié du poids des hommes. En raison de grandes différences entre les espèces trouvées et leur relation entre la dent et la taille du corps, certains soutiennent qu'il est plus probable que le Gigantopithèque le plus répandu (non Blacki) était beaucoup plus petit, d'environ 1,8 m (5,9 pi).

Les espèces vivaient en Asie et habitaient probablement des forêts de bambous, puisque ses fossiles sont souvent trouvés aux côtés de ceux des ancêtres disparus du panda. La plupart des éléments prouvent que Gigantopithèque était un herbivore.

Mais la question ultime est : que ferait un doigt fossilisé d'un Gigantopithèque Chinois ou Hindoux dans une tombe de l'ancienne Egypte ?...

Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 03-2012, MAJ 05-2015

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