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illogismes scientifiques : betise humaine ou complot ?
illogismes scientifiques : bêtise humaine ou complot ?
Fresque pré-colombienne, Quito
Cette question est revenue à l'esprit de nombreux chercheurs indépendants ou non tant les quelques découvertes révélées (parmi tant d'autres encore cachées ou à l'étude avant "révélation" ou non) ces dernières années malmènent et contredisent même les déclarations assurées (ou moins) de certaines sommités scientifiques. Ces dernières années ont été particulièrement riches dans ce sens, il suffit "d'entendre" le silence officiel sur le nombre incroyable (et c'est déjà en soit une preuve que la science officielle "ne colle pas" à la réalité : les statisticiens sont formels) de données et preuves physiques concernant notamment l'utilisation de la roue (ou non utilisation volontaire), de l'électricité, de techniques de constructions et d'extractions, beaucoup plus tôt qu'admis officiellement.
Cro-Magnon reconstitution
Et que tout semble affirmer également que la race Cro-Magnon, apparue subitement on ne sait trop d'où (des découvertes artistiques identiques mais plus anciennes en 2014 indiqueraient une origine indonésienne !), armée déjà de bonnes techniques d'extractions de pierres, de connaissances en navigation et construction élevées, douée d'une sensibilité artistique jusque là inégalée, aussi bien du côté de l'Europe de l'Ouest (Açores, Espagne, Portugal, Pyrénées Basques), Afrique du Nord (Maroc, Atlas, Mauritanie, Canaries) que dans toute la méditerranée et Moyen-Orient, mais également du côté des Amériques (Terre Neuve). Officiellement, les scientifiques reconnaissent que les Cro-Magnons possédaient absolument toutes les capacités humaines actuelles : cerveau plus développé que chez les Néandertaliens (mais les scientifiques commencent aussi à admettre que ces derniers étaient très proches des Cro-Magnons et que, contrairement aux images, figurines et autres visibles dans tous les manuels et musées, où ces derniers Néandertaliens avaient un faciès de singe, mais étaient en réalité de race blanche aux yeux bleus et probablement entièrement dépourvus de poils (mauvais pour eux à cause du soleil d'ailleurs).
Néandertalien, reconstitution 2004 : roux ou blond, yeux bleus ou verts, peu de poils
Maintenant, la question est : les Cro-Magnons sont-ils le produit de l'évolution telle que décrite par Darwin (dont les limites et contradictions ont d'ailleurs été démontrées (voir l'évolution des insectes volants par exemple), prouvant notamment que cette théorie n'est valable que pour une partie de l'Histoire Naturelle, donc incomplète au minimum), ou bien sont-ils les survivants d'une évolution précédente, obligés subitement à utiliser seulement la nature, ayant perdu toute leur précédente technologie (technologie d'ailleurs peut-être aussi réservée déjà aux seuls rois) ?
Les preuves ne manquent pas concernant les distinctions ADN entre en particulier les Basques (descendants des Cro-Magnons) et le reste de la population française (hormis le sud français où Cro-Magnon s'est répandu), mais aussi du point de vue linguistique (l'ancienne langue basque ressemble aux dialectes anciens d'Amérique du Sud !), ainsi que leur ancienne façon de cultiver la terre. Même la célèbre pelote basque est en fait le pendant d'un jeu antique réservé aux rois Aztèques ou Mayas ! Le parcheesi était joué dans l'ancien Mexique sous le nom de patolli. Les Basques, considérés par certains comme des descendants des Atlantes, partageaient avec les Aztèques et les Mayas le goût des jeux de balle - à cette différence près que, selon le roi, le perdant en Amérique risquait de perdre la vie en même temps que la partie. Les Basques, les Mayas et les Ossètes du Caucase présentent une caractéristique commune : la rareté du facteur sanguin Rh négatif. Autre peuple étrange, malheureusement totalement décimé par les européens "modernes" : les Guanches des Canaries. Grands, blonds aux yeux bleus, ils avaient développé leur propre culture dans leur archipel : ils pensaient être les seuls survivants au monde d'une antique catastrophe ayant noyé le reste de la Terre... Les français, espagnols et portugais ont complètement dispersé et pillé ce qu'ils ont pu trouver, après avoir assassiné la moitié de la population, le restant étant anéanti par des maladies continentales inexistantes aux Canaries à l'époque... Peu de chose reste de la culture mystérieuse des Guanches (qui n'est pas formellement datée) et de leurs constructions dans l'archipel de l'atlantique, au large de l'Afrique, une écriture mystérieuse, entre autres... :
Le pire en ce qui concerne les affirmations de la science officielle est probablement l'affirmation, encore entendue récemment : " l’Amérique pré-colombienne, les Mayas, Aztèques et autres Incas ne connaissaient pas la roue avant l'arrivée des conquistadors espagnols, idem en Océanie. Et pour l'Egypte par exemple, des scientifiques très sérieux font encore appel à des milliers d'esclaves " (alors qu'on a trouvé les preuves de livres comptables antiques mentionnant les salaires, nourriture et logement pour des ouvriers, pas des esclaves !) pour la construction des premières pyramides. Officiellement, la roue a été inventée par les Sumériens (toujours eux) vers 3 500 ans avant JC...
Mais nous avons aussi des preuves formelles que la roue était bien connue en Amérique précolombienne... alors ? Des théories officielles fumeuses pour justifier la non-découverte de chars ou véhicules à roues ? L'une de ces théories fait appel au refus volontaire de la technique : les Mayas connaissaient parfaitement la roue (qui est tout de même un symbole gravé dans la pierre depuis environ 15 000 ans, avec la spirale !) et peut-être même d'autres techniques avancées, mais ont refusé son utilisation : la voie à l'époque était du côté du spiritualisme, pas du matérialisme... ou peut-être plus simplement, les techniques avancées n'étaient réservées qu'aux rois et éventuellement aux prêtres (c'est plus dans "l'ordre" des choses à mon avis).
Personnellement, je pense aussi que toutes les traces de ces technologies avancées ont été volontairement effacées et détruites au fil du temps, et principalement par la religion chrétienne d'un côté, puis par des Etats soucieux de préserver la "vérité" historique créée par la religion dominante. Par la suite, il a été jugé que revenir en arrière sur l'histoire complète de l'humanité serait trop perturbant et déstabilisateur, principalement pour le monde occidental, mais aussi pour le monde entier. Il est évident que trop de pièces connues et non inexpliquées logiquement par la science aient disparu sans laisser de traces, que de nombreuses découvertes sont cachées sans être étudiées. Il y a même des témoignages de destructions volontaires d’artefacts... Cette partie secrète de la chasse aux artéfacts fera l'objet d'un dossier particulier.
Alors, ils ne connaissaient pas la roue en Amérique Centrale et Latine ? C'est quoi ça ?...
Ci-dessus, vous voyez en premier un artefact caché dans le grand Musée National d’Anthropologie de Mexico, en second un autre trouvé à Veracruz au Mexique également, daté du 1er siècle Avant J.C. minimum et en troisième, c'est un artefact encore plus vieux et d'origine Olmèque, et qui produit également du son, comme un sifflet. Ces "jouets" ou "figurines" comme les ont dénommé les archéologues, ont tous été trouvés dans des tombes d'adultes, comme objets très importants pour le défunt...
Les anciens pré-colombiens connaissaient donc parfaitement la roue... d'ailleurs ils ont aussi construit énormément de routes, comme l'ont filmé de nombreux documentaires... :
Et rien de trouvé après le passage des conquistadors et religieux, est-ce si étonnant et est-ce une preuve absolue d’inexistence ou d'impossibilité ?
Quant à l'Egypte ancienne, elle n'est pas en reste non plus si vous regardez ces images d'objets également trouvés dans des tombes... (coïncidences toujours ?) :
(Egypte, vers 3150 avant J.C. - estimations - après les sumériens donc et très logiquement, mais des chars égyptiens ont été dessinés et gravés, on en a retrouvé, contrairement à l’Amérique latine) Musée du Louvre et Musée de la Bibliotheca Alexandrina. Mais ce n'est pas trop l'existence des roues qui est contestée en Egypte ancienne, c'est surtout la notion des esclaves nombreux nécessaires à la construction des pyramides... des esclaves qui n'ont en fait jamais existé réellement en Egypte ancienne, comme le démontrent de plus en plus les découvertes archéologiques de textes anciens (car en contradiction avec les croyances religieuses des anciens égyptiens !) : http://www.sangonet.com/hist/FichHistoire/mythe-escl-bat-pyram-ouvriers.html
Une théorie intéressante sur le refus de la technique par les anciennes civilisations ci-dessous. D'autres sources vont plus loin et affirment, avec textes et déductions à l'appui, que les anciens avaient refusé la technique pour continuer à se consacrer à l'étude de la spiritualité et des secrets de la nature : cette approche leur aurait permis d'utiliser parfaitement le magnétisme naturel et de l'amplifier à leur convenance, ils pouvaient aussi léviter, communiquer par la pensée, voir des événements passés et futurs dans le Temps... donc pas besoin de roues, ou juste à des fins spéciales et rares...
http://cetcopra.univ-paris1.fr/Documents/Illusion_de_la_fatalite.pdf
http://perso.orange.fr/devoyage/musee/musee.htm
http://www.dinosoria.com/jouet_ancien.htm
http://ufoetscience.wordpress.com/2011/12/29/mystere-au-musee-anthropologique/
Yves Herbo, S, F, H, 12/2011 - 05-2015
Suivi archéologique-2012-1
Suivi archéologique-2012-1 - up 05-2015
Homme de Spy, Belgique, reconstitution Neandertalien
Les Néandertaliens utilisaient de la 'peinture' rouge dès -250.000 ans
Publiant leurs travaux dans PNAS, des chercheurs hollandais ont découvert, sur des os et des silex d’un site préhistorique de leur pays, des traces d’un pigment rouge vieux de 200 à 250.000 ans, probablement utilisé par les Néandertaliens anciens.
Le Dr Wil Roebroeks, de l'Université de Leiden (Pays-Bas) et ses collègues ont décelé, sur des fragments de silex et d’os bien préservés, trouvés sur un site néandertalien situé près de Maastricht, de petites quantités de matériau rouge.
Les analyses, faites grâce à des techniques utilisant les rayons X, ont révélé la présence d'un oxyde de fer appelé hématite. Absent de l'environnement géologique du site, ce matériau n’a pu qu’être apporté sur place. Selon les chercheurs, il est probablement issu des gouttes d'un liquide riche en ocre, utilisé comme pigment. Son âge : un quart de million d’années !
Souvent considérée comme un signe de comportement symbolique, l’utilisation d'oxydes de fer par les Néandertaliens plus récents est bien documentée en Europe. "Ces découvertes ont souvent été interprétées comme des pigments, même si leur fonction exacte est largement inconnue. Ici, nous constatons une présence d'oxyde de fer significativement plus ancienne, qui caractérise la première utilisation documentée d'ocre rouge par les Néandertaliens", expliquent les auteurs cités par le Daily Mail. L’utilisation d’ocre à cette époque n’était attestée, jusqu’à présent, qu’en Afrique.
Des engins de pêche perfectionnés il y a 7.500 ans
Le Conseil national de recherches espagnol (CSIC) vient de publier le compte rendu de plusieurs années de recherches archéologiques menées dans la région de Moscou. Situé près d’une rivière, le site préhistorique a livré notamment des instruments de pêche remontant jusqu’à -7.500 ans.
Avec la collaboration de chercheurs russes et français, Ignacio Clemente, archéologue du CSIC (l’équivalent espagnol du CNRS), a fouillé durant trois ans un site de la fin de la Préhistoire situé dans le bassin de la rivière Doubna, près de Moscou. Outre des ustensiles de cuisine, des outils, des armes de chasse en silex, os et bois, les scientifiques y ont trouvé les traces de complexes activités de pêche, telles que harpons, crochets, nasses ou couteaux à écailler en os d’élan.
"Le matériel de pêche documenté montre une technologie hautement développée, faite pour pratiquer plusieurs techniques de pêche, [avec notamment] (…) de grandes nasses en bois (sortes de paniers en tiges entrelacés), très bien conservées, datant de 7.500 ans. Cela représente une des plus anciennes dates dans ce domaine et, sans doute, parmi les mieux conservées car elles possèdent toujours les cordes d’assemblage, fabriquées avec des fibres végétales", explique Ignacio Clemente cité par Science Daily.
La nature du terrain – des tourbières – a permis cette conservation des éléments végétaux et des restes de poissons. "Nous pensons que la pêche a joué un rôle vital dans l'économie de ces sociétés, car [le poisson] était un produit polyvalent, facile à conserver, à sécher, à fumer, et à stocker pour une consommation ultérieure", conclut l'archéologue.
http://www.maxisciences.com/p%eache/des-engins-de-peche-perfectionnes-il-y-a-7-500-ans_art21058.html
Campagne de restauration de peintures rupestres au Chihuahua
Certaines images ont des éléments iconographiques qui renvoient directement à l'usage rituel du peyote, ce cactacé aux propriétés hallucinogènes.
Elles sont des représentations de ce qui était autrefois la vie des Cochimi ou Guachimis dans la péninsule de Basse-Californie. On sait peu sur ce groupe, outre le fait qu’ils sont venus de plus au nord. Ces peintures sur les toits des abris et sur les murs de la Sierra de San Francisco ont été découvertes par le jésuite Francisco Javier au dix-huitième siècle.
Selon les anciennes croyances, les peintures ont été dessinées par une race de géants, ceci est soutenu par la taille de certains personnages qui sont de deux mètres de haut. Ils sont pleins d’un contenu magico-religieux. D’autres motifs sont des armes et des espèces animales comme le lapin, le puma, le lynx, le cerf, la chèvre sauvage, le mouton, la baleine, les tortues, les thons, les sardines, la pieuvre, l’aigle et le pélican, il y a aussi des éléments abstraits de formes diverses. Peut-être qu’ils sont liés à des groupes culturels de chasseurs nomades du nord du Mexique et du sud des États-Unis avant la conquête de l’Amérique, bien qu’ils ne montrent pas de relation significative à l’art de ces groupes. L’âge des peintures varie entre 1100 av JC à 1300 ap JC.
L’ensemble est composé d’environ 250 sites qui sont situés dans la municipalité de Mulege dans la Réserve naturelle d’El Vizcaino dans l’État de Basse-Californie du Sud, au nord du Mexique. L’accès aux peintures est difficile en raison de l’isolement du lieu, ce qui les a empêchés néanmoins d’être victimes de vandalisme.
La région a la concentration la plus importante de l’art pré-colombien dans la péninsule de Baja California. Il est d’une qualité exceptionnelle tant au niveau national et international, pour sa qualité, son étendue, la variété et l’originalité des représentations humaines et animales, ses couleurs remarquables, et son excellent état de conservation. Les peintures rupestres de la Sierra de San Francisco ont été nommées en 1989 et sont devenues un site du patrimoine mondial en 1993.
Yves Herbo-suivi archéologique S,F,H, 2012-1, 05-2015 - Données importantes remontées pour mémoire.
Civilisations anciennes de l'âge glaciaire dans la Baltique
Civilisations anciennes de l'âge glaciaire dans la Baltique - Hyperborée ?
Lac Seydozero
« Le lieu d'origine des peuples finno-ougriens est généralement déduit comme étant à l'ouest de l'Oural, dans la région d'Oudmourtie, Perm, Mordva et Mari-El. Vers 3000 Avant j.-c., les groupes de Balto-Finnois avaient migré vers l'ouest jusqu'aux rives de la mer Baltique. Et vers la même époque, les Saami ont migré plus au nord et plus à l'Ouest, atteignant les côtes de l'océan Atlantique. Les Magyars (appelés hongrois en anglais) ont fait le trajet le plus long et le plus récent de la région de l'Oural vers leur site actuel en Europe centrale uniquement vers 896 après j.-c.. » http://www.elupuu.org/index.php?id=52
« Certains chercheurs croient que l'Hyperborée était probablement le berceau des civilisations humaines et que la colonisation de la terre a commencé à partir de là. En 1922, l'expédition de Barchenko et Kondiain a cherché les ancêtres des Indo-Aryens, qui ont migré de cette région vers le cinquième millénaire avant notre ère, près de l'un des endroits les plus mystérieux sur la péninsule de Kola - Seidozero, ou le « lac des montagnes fantômes ». De nos jours plusieurs légendes et effets anormaux sont rattachés à Seidozero (Seydozero), soutenues par les dessins cyclopéens mystiques sur le fond du lac et sur les falaises, et des pierres sacrées runiques (seids), par les vestiges d'un observatoire préhistorique et par la perte de plusieurs expéditions dans cette région."
The submitted radar image was acquired from the RADARSAT off-nadir SAR imaging instrument with nominal spatial resolution of 25 meters and horizontal polarization of signal. Imagery was performed in “Standard1” mode with side scanning at angles from 19.4 to 26.8 degrees, which brings to serious image geometric distortions across the satellite track and to stretching of scanned objects. Besides, brightness interpretation of the image will be difficult, as backscatter prevails in the return signal and its strength does not differ much for coarse or flat surface.
This radar image shows two U-shape main mountain ranges: the Khibiny and Lovozero Tundras with the deepest Kola Peninsula Umbozero lake located in between. The famous town of the miners, Kirovsk, is situated to the south of the Khibiny Mountains on the bank of the Lake Bolshoy Vudyavr. Most inhabitants of this town are working in mining industry. These mountains are part of the most ancient Earth’s rock structures – the Baltic fundamental crystalline formations, which have lived through several glaciations
http://www.scanex.com/en/gallery/index02.html
Autre source : " Récemment, les archéologues ont fait plusieurs découvertes qui semblent prouver l'exactitude des documents anciens. Y compris en ce qui concerne l'une des plus énigmatiques grandes civilisations anciennes, celle de l'Hyperborée ("hiperboreytsite"). Le mot signifie littéralement « ceux qui vivent au-delà des Borées (Vents du Nord) » ou simplement « les gens du Nord ». De nombreux auteurs antiques, avec persistance, donnent à penser que les habitants de ce légendaire pays, entre autres choses, pouvaient peut-être... voler. Est-il possible que d'anciens habitants de l'Arctique aient maîtrisé les secrets de l'aviation ?
Http://nlo.free.bg/4ove4estvoto%20en.html (YH : site considéré comme malveillant et censuré... peut-être pas pour rien...)
Expéditions sur la Péninsule Kolskiya - autre source
Voir ci-dessous :
Contact Extraterrestre et Intérêts Humains
Contact Extraterrestre et Intérêts Humains
OVNI ou nouveau missile photographié le 13-04-2012 dans région d'Irkoutsk, Russie
Réflexions intéressantes du spécialiste français Christel Seval : Que se passerait-il si demain des extraterrestres prenaient officiellement contact avec l'humanité terrestre ?
Cette question n'est pas anachronique. Des études officielles ont été menées dans ce sens des deux côtés de l'Atlantique. Ce livre s'appuie sur des rapports aussi sérieux que celui du Brooking Institution, commandé par la NASA, du Cometa, en France, ou encore du Mutual UFO Network. Il puise également dans des sources plus confidentielles émanant de chercheurs indépendants
Quels seraient les impacts d'un tel contact sur la sphère émotionnelle, religieuse, socio-économique, politique, technologique ou militaire ? Un contact avec des extraterrestres bienveillants serait-il suffisant pour assurer la pérennité de notre société ?
Christel Seval (né en 1960) est un ingénieur français et ex informaticien du ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'ufologie.
Il s'est intéressé notamment à l'affaire Ummo et ses recherches sont marquées par un environnementalisme militant, dénonçant le réchauffement climatique et les « politiques d'autruche ». Ses ouvrages sont publiés chez JMG éditions ; il a fait plusieurs conférences pour présenter ses recherches et publié plusieurs articles dans des revues spécialisées.
Ufologie et stratégie militaro-industrielle
Le décryptage de Christel Seval
Jean-Pierre Petit illustre SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence) par un breton attardé concentré sur sa longue-vue, essayant de déterminer s’il aperçoit des signaux de fumée en provenance de l’Amérique (pour savoir si l’Amérique abrite des êtres intelligents), alors que s’il levait le nez, il verrait des jumbo-jets sillonner le ciel avec plein de yankees à bord... C. Seval
Dans le cadre du SETI, le radiotélescope d’Arecibo à Porto Rico envoya en décembre 1974 un message radioélectrique en binaire à destination d’une galaxie voisine, en vue de communiquer à une possible intelligence extraterrestre. Cette bouteille dans l’espace fut envoyée par la plus grande antenne parabolique du monde en direction de l’amas d’étoiles M13 située à 22 800 années lumière dans la constellation d’Hercule. Le message d’Arecibo, écrit sous la direction de Frank Drake, professeur d’astronomie de la Cornell University, codifia les numéros atomiques des principaux éléments constitutifs de la vie sur Terre (H = 1, C = 6, N = 7, O = 8, P = 15). Il décrivait également les sucres et les bases qui entrent dans la composition de l’ADN, le nombre de nucléotides, un schéma stylisé de la double hélice de l’ADN et enfin, l’image stylisée d’une silhouette humaine, indiquant sa taille, le nombre d’habitants terrestres en 1974, la composition du système solaire en distinguant la Terre comme l’origine du message et les caractéristiques de l’antenne radar émettrice.
Une réponse d’outre espace ?
27 ans plus tard le 20 août 2001, proches de l’antenne parabolique géante de Chilbolton (Angleterre), sont gravés dans les champs deux agroglyphes géants sous forme de rectangles. L’un représente un visage humanoïde non terrestre et le second représentant une réponse d’outre espace du message radioélectrique envoyé d’Arecibo en 1974. Que dévoile le décryptage de cet agroglyphe qui semble bien être une réponse au message envoyé il y a 27 ans ? La réponse est codifiée, cryptée rigoureusement de la même manière que le message émis en 1974. L’ADN décrit est plus court que le nôtre, le silicium ayant pris la place du phosphore ce qui provoque un crépissage de l’hélice d’ADN précisément représentée dans les champs de Chilbolton. À la place d’un homme stylisé mesurant un mètre soixante seize, ressort une silhouette classique de Gris, un être de petite taille, un mètre, macrocéphale avec des bras, des jambes et des yeux qu’on identifie clairement. Le système planétaire dont cet être est originaire est autre. Sa planète totalise un nombre de 17 milliards d’habitants, et se place en cinquième position depuis un soleil petit, égale au 4/9 ème du nôtre, accompagné de neuf planètes. Dans ce système, les planètes trois et quatre sont désignées comme étant habitées. Le message représente également le schéma d’une antenne parabolique avec le symbole de la planète émettrice associée à un chiffre signifiant la puissance électromagnétique utilisée pour répondre.
Silence radio des autorités
L’observatoire de Chilbolton est la propriété du gouvernement britannique, il fut construit en 1965, dans le but d’étudier les émissions d’ondes radios en provenance de l’espace et des satellites. L’accès de l’Observatoire est interdit au public. La première réaction des chercheurs britanniques comme Paul Vigay fut naturellement de comparer la formation de code binaire de 2001 à la transmission radio télescopique de 1974 à Puerto Rico. Malgré des photos, le décryptage du code binaire et toutes les correspondances relevées avec le message d’Arecibo par des chercheurs indépendants, aucune explication officielle n’a été donnée. Les astronomes de Chilbolton ont déclaré qu’ils ne s’étaient pas aperçus de l’apparition des glyphes, ceux-ci n’étant pas complètement visibles, même du point le plus élevé de l’antenne (sic!).
Un an plus tard toujours dans un champ de Childbolton, une silhouette d’alien tramée dans un gigantesque rectangle nous présente un disque rond d’une cinquantaine de mètres de diamètre dont la moitié sort du cadre (voir morphéus N° 8). L’intérieur du cercle végétal comporte un sillon spiralé divisé en une multitude de paquets de blés couchés ou relevés : une suite binaire. Le code en est simple, il s’agit de l’ASCII (American Standard Code for Information Interchange). Le message est le suivant :
"Prenez garde aux porteurs de faux cadeaux et aux promesses non tenues. Beaucoup de douleur mais il est toujours temps. Il y a du bon la-haut. Nous nous opposons à la tromperie. Fin de transmission…"
Il n’y aura aucune déclaration officielle à propos de cette formation. Alors s’agit-il d’un authentique contact ou d’une manipulation de l’armée ? A quelle fin ?
Des ovnis contre le secret défense
Après Nagasaki et Hiroshima, énormément d’ovnis vont survoler les États américains et se positionner avec précision au-dessus de tous les sites impliqués dans les activités militaires atomiques, comme s’ils cherchaient à s’informer sur les développements des armes atomiques terrestres. Dès 1946 les sites du Manhattan Project, les sites d’essais d’explosions atomiques comme l’atoll de Bikini, le site de Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947, Albuquerque, Sandia en décembre 1948, Los Alamos en janvier 1949, Camp Hood au Texas en mars 1949. Toute la filière atomique est découverte : des sites de recherche et d’essais, jusqu’aux lieux de stockage en passant par la chaîne de production des bombes. Pas un site secret n’est épargné. Les officiels de la Défense américaine sont aux abois. Leur pire cauchemar vient de prendre forme. Toutes les installations les plus secrètes du pays sont survolées par des ovnis. Il suffirait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour avoir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine. C’est la panique dans les rangs US.
En juillet 1952, le Pentagone et la Maison Blanche sont survolés à deux reprises, en plein centre d’une zone névralgique strictement protégée, interdite à la circulation aérienne. Rien n’échappe aux ovnis, de la filière militaire à la filière politique.
Dès l’arrivée au pouvoir de D. Eisenhower en 1953, Nelson Rockefeller sera chargé de présider une commission de refonte du département de la Défense. A partir de cette date, l’empire Rockefeller, le CFR (Council on Foreign Relations), la Trilatérale et les Bilderbergs vont gérer le secret OVNI dans tous ses prolongements, scientifiques, technologiques, militaires, renseignements, désinformation, jusqu’aux financements et infiltrations des associations ufologiques.
OVNI et Secret Défense
En 1954, l’installation de Fort Meade, siège du NSA, qui plus tard mettra en œuvre le réseau mondial d’écoute électronique Echelon, est survolée.
En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les États-Unis tombent systématiquement en panne, et, étrangement, se remettent à fonctionner spontanément.
Novembre 1965 : une gigantesque panne d’électricité affecte New York et le sud Canadien. Un disque lumineux est aperçu au-dessus de la station de distribution électrique de Clay, point d’interconnexion de plusieurs réseaux haute tension. Décembre : une panne identique touche plusieurs États, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases militaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont privées de courant. C’est le scénario que les responsables de la Défense craignaient le plus : des actions agressives paralysant à la fois l’économie de la Nation et les capacités des forces militaires.
En 1967 la base de Malmstrom, Montana qui abrite 120 missiles intercontinentaux du Strategic Air Command, est survolée par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lumières zigzaguent dans la nuit à des vitesses incroyables. L’officier de tir est alerté. Puis une soucoupe rougeoyante s’avance, survole la grille d’entrée au grand dam des gardes. En quelques secondes, ce sont huit silos de missiles qui sont déclarés hors service. Puis dix. Un commando chargé de s’approcher de l’ovni stationnaire a été légèrement blessé et est évacué. Plusieurs commandos partis inspecter les silos signalent des ovnis à leur tour. Dans une autre unité de silos plus au nord-est, un ovni évolue aux alentours de la zone interdite. Dix missiles sont à leur tour mis hors service. Il faudra plus d’une journée avant que les missiles ne soient déclarés à nouveau opérationnels. L’enquête technique conclura qu’il n’y a aucune explication rationnelle à la défaillance simultanée des 20 missiles ICBM.
En novembre 1975, les ovnis retournent sur la base de Malmstrom dans le Montana. 7 ovnis lents, qui déjouent les intercepteurs lancés contre eux, reproduisent le scénario de 1967 et déprogramment les ogives nucléaires.
La Nouvelle Donne
À partir de cette date, rien ne sera plus comme avant affirme Jean-Gabriel Greslé : Des puissances inconnues s’ingénient à rendre leur présence évidente par des manifestations aériennes non conventionnelles. Elles disposent de moyens techniques nécessaires pour convaincre l’ensemble du monde, une fois pour toutes, de leur présence et de leur supériorité. Pourtant, elles ne le font pas. De leur côté, le gouvernement américain et le département de la Défense utilisent leurs moyens considérables, renforcés en 1953 pour dissimuler eux aussi cette réalité au public.
Les mêmes puissances inconnues, entre 1947 et 1967 ont exercé une pression croissante sur les gouvernements américains. De toute évidence elles cherchent à obtenir quelque chose. Le gouvernement américain pourtant dominé par une technologie supérieure à la sienne a refusé, en apparence, de céder.
Le gouvernement refuse effectivement d’inverser sa politique de développement des armes nucléaires. Tous les gouvernements engagés dans la course aux armements de destruction massive sont confrontés aux mêmes problèmes de survols de leurs installations nucléaires par des ovnis. Une pression venue d’outre espace, demande une autre politique pour la sauvegarde de la planète. De quelle genre d’intervention s’agit-il ? La marge de manœuvre des intelligences à l’oeuvre est très mince. Imposer la paix avec une technologie qui neutralise toutes les technostructures militaires de la planète serait perçu comme une dictature venu d’outre espace entraînant un ethnocide généralisé. Le remède serait pire que le mal. Par contre ne rien faire signifierait à moyen terme laisser l’humanité s’autodétruire volontairement ou par accident. Le développement des armes à plasma fait peser un péril pire que l’arme nucléaire. La pression globale sur l’écosystème ne saurait continuer encore des décennies. Il est donc essentiel d’intervenir progressivement en exerçant une pression toujours plus forte. L’augmentation du nombre de crop circles est significative ces dernières années. Certains agroglyphes révèlent des schémas d’appareillages militaires ultra secrets, d’autres portent sur des symboles de sociétés secrètes influentes, ou encore répondent à un message envoyé il y a 27 ans dans la direction de la constellation d’Hercule. Au Mexique, les soucoupes volantes sont omniprésentes sans affoler les autorités ou les populations. Gorbatchev lui-même s’est toujours opposé à l’idée que les ovnis constituaient une menace pour l’humanité. Alors un premier contact officiel est-il possible ? Non car la technostructure gouvernementale américaine n’a pas intérêt à ce que des ovniens entament une procédure de contact avec l’humanité.
Géostratégie militaire US
Tout contact avec une race extraterrestre technologiquement plus avancée que nous, engagerait un processus collégial de représentation de l’humanité auprès des visiteurs qui nuirait à la souveraineté des Etats-Unis. Il s’ensuivrait des réformes économiques et écologiques proposées et impulsées par les extraterrestres pour améliorer la situation de l’humanité dans son ensemble, ce qui nuirait à l’hégémonie américaine. La révélation ou le partage de données techniques et scientifiques jusque là classées secret défense nuirait également aux Etats Unis.
Aussi les États-Unis peuvent-ils être amenés à envisager d’entretenir volontairement un foyer mondial de perturbations économiques afin de repousser au plus loin le jour du contact qui nécessite maturité et stabilité. L’accélération et l’amplification d’une politique de domination et d’annexion du reste du monde, notamment par le biais du vecteur pétrolier et de programmes d’armes de nouvelle génération semblent être à l’ordre du jour.
Ainsi, au moment du contact, les États-Unis occuperont une place prépondérante, un fait accompli qui ne sera peut-être pas remis en cause par les extraterrestres par respect pour la liberté de l’humanité. Les États-Unis auront à leur disposition un arsenal technologique qui leur permettra de faire pression sur les volontés extraterrestres si ceux-ci en émettent.
Car, quel est le mobile qui peut pousser les stratèges militaires américains à construire des bombes à antimatière dix mille fois plus puissantes qu’une bombe thermonucléaire, si puissantes qu’elles ne peuvent pas être utilisées sur Terre ? La peur d’un astéroïde ? La probabilité d’un géocroiseur spatial en approche dangereuse dans les parages de la Terre ? Foutaises, c’est la paranoïa anti-extraterrestre, c’est le désir forcené de l’oligarchie militaro-industrielle des États-Unis de pouvoir faire obstruction aux extraterrestres et, le jour du contact, d’avoir à leur portée un maximum de moyens de pression contre eux, voire d’armes efficaces car tel semble être leur rêve d’indépendance virile. - Christel Seval
Extraits des chapitres 6 à 11 pp 177-300
Le plan pour sauver la Terre
Éditions JMG
"Nous avons eu du mal à comprendre que les humains dépensent tant d’argent et de forces pour protéger les richesses d’une minorité, alors que tant d’hommes au même instant meurent de faim. Nous considérons ceux qui vous gouvernent comme des malades mentaux". Document Ummite NR9 du 30/09/1991.
18 janvier 2006 - Publié par le journal Morphéus n° 13, janvier-février 2006 - Frédéric Morin - www.morpheus.com - redaction@morpheus.fr
Préface de Jean_Pierre Petit pour le livre de Christel Seval " Contact et Impact "
C’est la première fois que j’accepte de préfacer un livre qui traite du thème ovni. Si je le fais c’est parce que ce qu’écrit Christel Seval sort de l’ordinaire. En lisant d’autres ouvrages traitant de ce sujet je leur ai toujours trouvé un caractère descriptif, comme s’ils restaient à la surface des choses, comme si les auteurs eux-mêmes étaient aussi frappés, après les médias, de superficialité. En fait le sujet ovni nous renvoie sans cesse à nous-mêmes, à notre devenir. Qui ne fait pas ce lien est un complet inconscient. Notre humanité vit les heures les plus graves de son histoire. Depuis 1945 l’homme a engendré des armes capables de le détruire. Un demi-siècle s’est écoulé. L’apparition d’armes biotechnologiques et de mind control a complété cette panoplie déjà impressionnante. L’avertissement du Président Einsenhower lors de son discours d’adieu n’a pas été entendu. Le lobby militaro-économique est comme un fauve lâché, sans contrôle. L’histoire, sur tous les continents, devient folle, avec différentes espèces de folies qui se déploient. La Nature elle-même semble participer au dérèglement planétaire général. On ne discerne plus quels mécanismes régulateurs pourraient amener les hommes vers un nouvel équilibre. Sur cette toile de fond la ronde des ovnis continue. L’aspect le plus fantastique est qu’en 30 ans, rien n’a bougé, strictement rien, du moins en France. Aux Etats-Unis c’est une autre paire de manches. Dans l’hexagone, après trois décennies d’existence le bilan du service créé par le Cnes est strictement nul. « Derrière, il n’y a rien ». Il n’y a pas de MHD militaire secrète. Les archives du Sepra ne contiennent rien d’autre que des rapports de gendarmes. Michel Bounias est mort pour rien. Ses travaux de 1981, sur les traces biologique laissées sur les luzernes, suite à un atterrissage d'ovni à Trans en Provence n’ont fait l'objet d'aucune suite. Aucun gendarme n’a capturé de spectre d’ovni grâce aux bonnettes imaginée par Claude Poher, dont leurs appareils photographiques avaient été équipés dès 1979 et dont le maniement a dû être oublié depuis longtemps. Mais comme le disait Hubert Curien peu de temps avant sa mort « la grande vague d’intérêt pour les ovnis est passée ».
Dans toutes les structures françaises il y a deux pour cent de gens « qui pensent que, quand même, on devrait faire un petit quelque chose vis-à-vis de ce dossier ovni ». C’est de ces deux pour cent qu’a émergé en 1999 le rapport Cometa, cité par Seval dans son ouvrage. Quatre-vingts pour cent s’en fichent éperdument et les dix-huit pour cent qui restent sont farouchement déterminés à ce que rien ne bouge. La question qui émerge est alors : « pourquoi cet immobilisme ? ». La lecture du livre de Seval apporte un élément de réponse. Notre humanité nie l’existence de ce phénomène, contre vents et marées et c’est normal car ce faisant elle se défend en mettant en œuvre un mécanisme de défense psycho-socio-immunologique contre ce qu’elle perçoit, à juste titre, comme une terrible menace.
Pourtant ces extraterrestres qui nous visitent n’ont nul désir, ni besoin de nous conquérir. La menace est d’un autre ordre. Elle revêt une dimension que je n’avais pas jusqu’ici perçue avant de lire l’ ouvrage de Seval, comme les précédents. Elle tient en un mot : ethnocide, mot initialement introduit par l'ethnologue R. Jaulin, décédé. Le génocide est l’annihilation d’une espèce, d’une tribu. L’ethnocide est l’annihilation d’une culture. L’auteur passe en revue des exemples historiques et montre comment des civilisations comme celle des Aztèques se sont effondrées en un temps relativement court après le choc culturel qu’a constitué pour eux l’irruption des conquistadors espagnols. J’ai écrit jadis que toute forme de pensée était un système organisé de croyances. Donc, si on remet brutalement les croyances fondatrices de notre pensée en question, celle-ci s’effondre, comme s’effondreraient des mathématiques sans axiomes et des logiques sans prédicats.
Ce que nous pouvons conjecturer c’est que l’écart qui nous sépare de nos visiteurs extraterrestres pourrait dépasser notre imagination, nos spéculations les plus folles. Nos connaissances scientifiques du moment deviendraient dérisoires. On peut même imaginer que lors d’un contact nous soyons confrontés à des êtres qui puissent être aussi différents de nous que nous pouvons l’être des singes. L’incidence d’un choc culturel a été évoquée par maints auteurs mais, note Seval, personne n’avait envisagé qu’un tel contact puisse être aussi dommageable, entraîner un ethnocide. Ainsi nous aurions l’explication du non-contact. Il ne s’agirait pas seulement de prévenir tout mauvais usage que nous pourrions faire de technologies plus avancées qui démultiplieraient nos capacités de destruction. Ce qui effondrerait notre civilisation terrienne, c’est le doute. Inutile d’aller très loin. En Russie c’est bye bye Lénine. Le Marxisme a vécu. Les Russes émergent de presque un siècle d’athéisme militant. Il n’y a plus de buts, de grands desseins. Personne ne croit plus aux lendemains qui chantent. L’alcool fait des ravages. L’espérance de vie des hommes est de 58 ans. La natalité est en chute libre. On retrouve chez un peuple qui a placé en orbite autour de la Terre le premier être humain des symptômes comparables à ceux qui frappent les membres de tribus indiennes. Alors, imaginez ce qui se passerait si les terriens étaient soudain confrontés à l’absurdité de leur système de vie, à l’inanité de leurs croyances, si des réponses foudroyantes leur étaient soudain apportées, concernant la naissance, la vie, la mort, l’évolution. Seval suggère que notre humanité pourrait s’effondrer au point d’être incapable de se relever, de pouvoir négocier le monde avec de nouvelles croyances qui soient à sa portée ou avec des fantasmes, des rituels salvateurs lui permettant de dialoguer avec le monde.
Seule une civilisation jouissant déjà d’un certain équilibre pourrait faire face à un tel choc culturel. Or nous sommes loin du compte. En lisant son livre nous découvrons combien notre société terrestre est fragile, vulnérable, parce qu’encore infantile. Donc le contact est simplement impossible. Notre civilisation planétaire est comme un château de cartes. Le simple fait de se voir présenter des preuves définitivement irréfutables de l’existence, de la présence d’extraterrestres suffirait à pétrifier d’angoisse notre système social, à provoquer en quelques mois, quelques années un chaos, suivi d’un effondrement irrémédiable.
Pourtant nous courons à grandes enjambées vers l’Apocalypse. Tous les signes avant-coureurs d’un profond déséquilibre sont sous nos yeux. La foire d’empoigne économique, la raréfaction des ressources naturelles, les effets de la pollution, les violents antagonismes qui se profilent nous mènent au chaos. Dans son ouvrage précédent, Le Plan pour Sauver la Terre, Seval expliquait que si des extraterrestres se décidaient à intervenir cela ne pourrait être qu’au tout dernier moment, quand nous mettrions en danger l’ensemble de notre biosphère, quand « le processus suicidaire aurait déjà été amorcé ». Personne ne bougerait le petit doigt si nous nous infligions des souffrances équivalant à dix fois les drames de la précédente guerre mondiale, tout contact avec une humanité immature se traduisant automatiquement par un ethnocide. La nôtre ne pourrait qu’être au mieux « reformatée ». On garderait le « disque dur-support génétique » mais on réinstallerait d’autres logiciels, c'est-à-dire une autre logique de vie, une culture totalement différente. Dans Contact et Impact l’auteur revient donc sur ces thèmes en émaillant son discours d’extraits de textes ummites. Si vous vous aventurez dans les ouvrages de Seval, attendez-vous en règle générale à être secoué. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres livres publiés sur le thème ovni, essentiellement anecdotiques. Lui, va vraiment au fond des choses, envisage un impact dont nous n’avions pas jusqu’ici imaginé l’ampleur.
Aucun extraterrestre ne possède la recette magique qui puisse transformer notre société en Eden puisque tout contact, à quelque moment que ce soit se traduirait par un ethnocide. Le seul être qui puisse sauver l’homme, c’est lui-même. - Jean-Pierre Petit
http://www.jp-petit.org/OVNIS/seval.htm
Sources: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t9411-pourquoi-les-extraterrestres-ne-prennent-ils-pas-contact-avec-nous#ixzz1s1GExsdT
Yves Herbo : Et pourtant, si on étudie l'histoire des peuples et même celle des religions (et oui), on ne peut que s'apercevoir en toute honnêteté que "quelque chose" ou "quelqu'un" a toujours influencé l'être humain sur son devenir et même sur sa culture... L'être humain a vu son psychisme façonné littéralement par des "dieux" venus du ciel, depuis des millénaires... ce "plan" qui dure depuis des milliers d'années aurait échoué, finalement ? J'en doute fortement... Ces entités, dieux ou extra-terrestres, peu importe le nom qu'on leur donne, finalement, n'ont-ils pas les moyens de leurs propres volonté et ambitions, si on peut parler ou comparer des attitudes humaines à celles d'êtres extérieurs, bien sûr ? J'en doute encore. Il y a des choses qui ont changé, finalement, au niveau des apparitions et des "vagues" d'ovnis, depuis les années 1990 : on parle et on voit beaucoup moins de "vagues" saisonnières d'apparitions : le contact a peut-être bien eu lieu, finalement... mais réservé probablement à une petite élite de dirigeants (comme dans le passé lointain d'ailleurs, tout aussi probablement...). Mais qui a été le contacteur ? S'il s'agit de celui "qui trompe et fait de fausses promesses" mentionné dans ce message en ASCII, l'Humanité a peut-être encore plus de soucis à se faire que d'un ethocide... et tous les événements économico-politiques des années 2000 semblent accentuer ce doute et l'accélération du chaos dont on parle plus haut dans cet article...
Yves Herbo, S,F,H, 04-2012, up 05-2015
OVNI : une photo gouvernementale analysée
OVNI : une photo gouvernementale analysée
Costa Rica, 4 septembre 1971, un avion du gouvernement vole à travers le pays. Chaque recoin. Son but: photographier chaque centimètre de la surface entière afin de produire une carte photographique complète. Pour s'acquitter de sa tâche, l'avion transporte une caméra haute résolution qui prend des photos de la terre toutes les 20 secondes. Ainsi, toutes les régions du pays sont immortalisées. L'équipage de 4 personnes est constitué de :
- Sergio L. V., spécialiste de la photographie aérienne
- Omar A., pilote
- Juan B. C., géographe
- Francisco R. R., topographe.
Diverses photographies sont prises durant le vol, sans que personne n'observe quelque chose d'anormal.
Au développement, la photographie n° 300 montre l'image étrange d'un disque. Les photographies n° 299 et n° 301, prises respectivement 20 secondes avant et après, ne montrent rien de tel. Le disque se trouve à un peu moins de 3,1 miles au nord de la ville d'Arenal et à environ 25 miles au sud de la frontière avec le Nicaragua, par 10,583° de latitude nord et 84,916° de longitude ouest, dans la province d'Alajuela, au-dessus d'un petit lac appelé Lago de Cote, mesurant approximativement 1800 m sur 1600 m, lequel est à environ 640 m au-dessus du niveau de la mer et dans un paysage de collines douces ou escarpées s'élevant à plusieurs centaines de mètres au-dessus du fond de la vallée. La région est couverte de forêt dense, avec de large étendues de prairies. Une route de terre, praticable seulement en été, court le long de la rive Sud. Elle relie la bourgade de Cabanga au nord-est à Aguacate au sud-ouest. En examinant la photo avec soin, on distigue quelques bâtiments le long de la route et des animaux dans les champs. Le disque se trouve à quelques 800 m plein nord de la démarcation entre les provinces d'Alajuela et de Guanacaste.
Pendant des années, l'événement a été relégué aux oubliettes dans les documents officiels. Cependant, grâce à l'enquête de l'enquêteur Ricardo Vilchez l'anomalie s'est révélée à la lumière. Le mystère réside dans l'une des images de la caméra automatique, prise au lac Cote, où apparaît une étrange sorte d'objet métallique en forme de disque, émergeant verticalement de l'eau. Sans aucun doute, l'objet ressemblait aux habituelles soucoupes volantes. C'est à partir de ce moment qu'il a commencé à étudier le cas, certaines enquêtes dans lesquelles participent de nombreux experts ont utilisé de nombreuses heures de travail.
En 1980, Ricardo Vilchez, dirigeant avec son frère Eduardo un groupe privé de recherche à San José (capitale du Costa Rica), rencontre Sergio L. V. Ils discutent des circonstances du vol de l'avion et de la photo, sans formuler de conclusion sur la nature du phénomène.
D'après Vilchez, les lentilles de l'appareil étaient fixées à une distance focale de 6 pouces. La vitesse de l'obturateur était de 1/500ème à F-5,6. La pellicule était une émulsion noir et blanc avec vitesse de 80 ASA. Le grain fin donne un négatif à haute résolution, pourvu que le plan et l'appareil soient stables et la vitesse de l'obturateur suffisante. Le négatif a été tiré sur du Kodak Safety type 3665 pour vues aériennes. L'image mesure 23 sur 23 cm, et la pellicule de base 25,3 sur 23,8 cm. Elle couvre une zone d'approximativement de 11,5 km de côté.
En 1981, le professeur Jean-Pierre Bergoeing, signale le cas au GEPAN.
En 1985, lors d'une réunion au Costa Rica, Jacques Vallée a l'occasion d'examiner le cliché, et obtient un négatif de 2ème génération auprès de Vilchez. Bien que ce négatif ne soit pas celui d'origine, lui et Richard Haines jugent que plusieurs facteurs justifient une analyse détaillée :
- le cliché a été pris avec un appareil de haute qualité (R-M-K 15/23)
- l'appareil était dirigé vers le bas, ce qui fixe la distance maximale (3300 m) et donc la taille de l'objet supposé : 4,2 mm représenteraient 210 m.
- l'objet se détache sur le fond sombre et globalement uniforme du plan d'eau
- l'image est grande, bien cadrée et détaillée
L'agrandissement positif en noir et blanc moyennement contrasté montre :
- un bord sombre en haut et dans la partie supérieure droite, ainsi qu'une marque standard à l'usage des mesures
- un fragment du rivage, utile aussi pour les mesures
- le disque ellipsoïdal - dont la face supérieure est orientée plein nord
Le 25 octobre 1986 vers 09:00 par temps clair, le lac est paisible et lisse comme un miroir. Joaquin U. A. (propriétaire agricole, 40 ans) et Ronaldo-Alerto L. A. (fermier, 23 ans) voient alors, à 600 m de distance environ, une rangée de 3 ou 4 cylindres, semblables à des poteaux s'élevant de moins de 3 pieds au-dessus du lac. Ils paraissent être fixés à une structure qui reste submergée. S'approchant du lac avec leur tracteur, ils voient une autre série d'objets se dressant hors de l'eau, toujours élevés d'environ 3 pieds et écartés de 3 pieds également. Ils peuvent observer clairement et à loisir les cylindres, de couleur sombre (gris ou brun café). Au bout de 5 ou 10 mn, les objets disparaissent ensemble en provoquant des remous et des vagues, toujours comme si les parties émergées appartenaient à une seule structure invisible.
2 semaines plus tard, ils font à Vilchez un récit détaillé et lui remettent un dessin de l'événement.
En 1990, Vallée apporte les négatifs d'origine, en vue de numérisations très fines à l'aide d'équipements de la Défense. Ces nouvelles analyses écartent l'hypothèse d'une anomalie liée au film (star effect ou autre).
Quelques travaux (Vallée et Haines, Perrin de Brichambaut, Louange) montrent que l'objet semble émettre une lumière propre et opérer un mouvement de basculement à l'instant de la prise de vue.
Les examens ont été effectués par le physicien Richard Haines et l'astrophysicien Jacques Vallée. Leurs rapports ont été ajoutés à un dossier spectaculaire qui a été publié en 1998, géré par un célèbre mathématicien et physicien du nom de Peter Sturrok, professeur émérite à l'Université de Stanford. Dans ce travail, les chercheurs tentaient de figer des événements OVNIs qui étaient soutenables pour une recherche scientifique digne qui fournirait une preuve scientifique irréfutable de l'existence du phénomène. Le dossier est arrivé alors que le président américain Bill Clinton était en mandat et il est intéressant de noter sur ce point que, durant ses jeunes années de collège et d'université, il avait exprimé un grand intérêt pour le phénomène.
Dans le cadre de l'image de Lago Cote, la première chose que firent les analystes fut un traitement numérique de la photographie, d'abord pour déterminer la nature de l'objet qui apparaît là, dans cette position : la moitié de l'appareil était sur l'eau , tandis que l'autre partie était submergée sous la surface. Ensuite, les différents processus de l'étude ont déterminé que l'objet était réel et physique. En outre, ils ont repéré plusieurs indications pointant le fait que l'objet non identifié a été pris émergeant des profondeurs .
Double-exposition ? : Un agrandissement du contraste faisant ressortir le grain ne montre aucune distorsion de celui-ci autour de l'image de l'objet, ce qui écarte la possibilité d'une double exposition.
Maquette ? : Rien n'indique une modification de la chaleur atmosphérique autour de l'objet, ni qu'il soit relié à quelque espèce de fil.
L'étape suivante consistait à trouver des informations sur l'objet. Pour ce faire, Haines et Vallée ont commencé à calculer. Ils connaissaient l'aire géographique photographiée, et sa taille. Calculer les dimensions de l'objet n'était qu'une simple question de mathématiques. Donc, il a finalement été statué que la taille était extraordinaire : 210 mètres de diamètre (un rayon de 105 m donc à l'équateur si c'est un disque).
Mais le plus inquiétant était à venir.
Les chercheurs - afin de savoir à quelle vitesse sortait de l'eau l'objet - ont soustrait l'intervalle de temps qui s'est écoulé entre une photographie et une autre. Le fait que l'objet non identifié n'apparaît pas plus d'une trame a indiqué qu'il avait émergé et s'était élevé à grande vitesse, qui a été estimée à pas moins de 3000 miles à l'heure (4.800 km/H) au minimum. Il n'y a rien de cette taille qui pourrait voler à cette vitesse. Selon les experts, la valeur du rapport était suffisante pour décider Sturrok à incorporer le cas dans son dossier scientifique, mais malheureusement cela n'a pas eu beaucoup d'impact sur l'opinion publique.
Au rapport final, les experts ont émis l'avis suivant: " L'analyse a confirmé nos soupçons initiaux disant que l'objet volant était certainement anormal ". Aujourd'hui, elle est considérée comme la meilleure photo d'OVNI étudiée dans l'histoire et assure également qu'il existe des preuves irréfutables que le phénomène est bien réel.
A partir des années 2000s, plusieurs ufologues (Marc Plantier, Bernard Pache...) ne considèrent plus la taille de 210 m, décrite dans le rapport de Haines et Vallée, comme plausible. En effet, d'après eux, on peut accumuler sur la longueur maximum visible du lac — censé faire 1800 m dans sa plus grande dimension — plus de 17 copies du phénomène. Il y a donc dû avoir une erreur quelque part et l'objet ferait entre 50 et 62 m s'il avait été au sol. Dans la mesure où seul l'original peut permettre un vrai calcul avec les vraies données géographiques et métriques (les autres études l'ont été sur des agrandissements de copies faussant la fiabilité des données comme ci-dessous), le plus scientifique reste encore de se fier aux originaux et aux physiciens à priori et de plus = 17 X 110m de rayon donnent bien à peu près leurs 1800 mètres de surface plate... ^^
Quant à faire la différence entre des ombres du décors et d'ombres sur l'eau ou même d'un objet en mouvement et y voir une anomalie, c'est comme de comparer des surfaces différentes, c'est logique d'y trouver des anomalies : c'est une preuve supplémentaire de non retouches au niveau des ombres (un pro des effets spéciaux pour un film enlève ce type "d'anomalie" naturelle).
Traduit par Yves Herbo SFH 08-2012
Voir les analyses complètes ici : http://www.les-ovnis.com/pages/rencontres-et-observations-d-ovnis-et-d-aliens/1971-la-photo-de-lago-de-cote-et-analyse-de-l-ovni-du-costa-rica.html
Yves Herbo Traductions, S,F,H, 08-2012, up 05-2015
L'Histoire Officielle : ce qui ne colle pas
L'Histoire Officielle : ce qui ne colle pas
Des découvertes récentes laissent penser que le Grand Sphinx de Gizeh, en Egypte, daterait de plus de dix mille ans avant notre ère, soit plusieurs milliers d'années avant la plus ancienne civilisation connue de l'histoire humaine. Mais comment a-t-on pu réaliser ce tour de force architectural à une époque aussi reculée. En Amérique du Sud, les inscriptions laissées par la civilisation toltèque révèlent d'incroyables connaissances astronomiques et mathématiques. Comment un tel savoir est-il apparu chez un peuple qui ignorait l'usage de la roue ? Utilisées par les marins du XVe siècle, les antiques cartes de Piri Reis comportent des tracés d'une précision inconnue en ces temps, elle et d'autres montrent en plus des côtes de l'Antarctique ! D'après quelles sources ont-elles été établies ? Passant en revue de nombreux faits troublants et toujours inexpliqués par l'archéologie officielle, Colin Wilson démontre que l'humanité et la culture pourraient être bien plus anciennes qu'on ne l'imagine.
Un résumé vidéo intéressant de découvertes et preuves récentes ou non, difficilement contestables pour la plupart, mais dont la science officielle évite la plupart du temps d'en parler... c'est logique d'ailleurs quand on considère que ceux qui en parlent (avec raison) sont assez invariablement "repoussés" de leurs propres statuts de scientifiques par leurs pairs bien pensants (et peureux souvent de remettre leurs connaissances (pourtant non figées logiquement) et position professionnelle en jeu).
Voici des extraits de l'Archéologie Interdite, de l'Atlantide au Sphinx de Colin Wilson :
" adieu Lucy, l'australopithèque ne pouvait pas être considéré comme l'ancêtre de l'homme "
" Les créatures, appelées australopithèques, ne sont en fait rien d'autre qu'une espèce de singe disparue. Australopithèque signifie " singe du sud ". Appartenant à différentes catégories, toutes les espèces d'australopithèques sont des singes disparus qui ressemblent aux singes d'aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont les mêmes, ou plus petites que les chimpanzés actuels. Il y a des parties saillantes dans leurs mains et pieds qu'ils utilisent pour grimper aux arbres, comme les chimpanzés d'aujourd'hui, et leurs pieds ont des habiletés simiesques pour s'agripper aux branches. Plusieurs caractéristiques comme la proximité des yeux, les molaires pointues, la structure mandibulaire, les longs bras, et les jambes courtes, sont des preuves que ces créatures ne sont pas différentes des singes actuels. (YH : Ce qui n'empêche pas les Australopithèques d'avoir été suffisamment intelligents pour probablement créer les premiers outils taillés dans la roche, et de le transmettre éventuellement aux premiers humains !)
Lire la suite ici : http://metatv.org/adieu-lucy-l-australopitheque-ne-pouvait-pas-etre-considere-comme-l-ancetre-de-l-homme " Laurent Glauzy : Une entrevue intéressante dans le monde de l'archéologie et de l'histoire "interdite".
Michael Cremo - L' histoire Interdite de l'archéologie
" Dans son livre Histoire secrète de l'espèce humaine, il recense différentes découvertes anachroniques remettant en question la théorie de l'évolution et l'histoire évolutive des homininés."
Archéologie interdite : Un bracelet du néolithique impossible
Des chercheurs de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul (IFEA, CNRS/MAEE (1)) et du Laboratoire de tribologie et de dynamiques des systèmes (LTDS, CNRS/Ecole centrale de Lyon/Ecole nationale d'ingénieurs de Saint Etienne) ont analysé le plus ancien bracelet en obsidienne recensé à ce jour, découvert en 1995 sur le site turc d'Asikli Höyük. En étudiant la surface de l'anneau et ses micro-reliefs avec des méthodes high-tech développées par le LTDS, les chercheurs ont révélé l'étonnante technicité des artisans du 8e millénaire avant J.C. Une maîtrise impressionnante pour la Préhistoire récente, digne de nos techniques de polissage actuelles. Ces travaux publiés dans le Journal of Archaeological Science de décembre 2011 éclairent les sociétés du Néolithique, des communautés encore très énigmatiques.
Le bracelet en obsidienne étudié, daté de 7500 avant J.C, est unique. Il s'agit du premier témoin d'un artisanat de l'obsidienne qui n'a connu son essor que plus tard aux 7ème et 6ème millénaires av. J.C., un artisanat qui a par ailleurs produit toutes sortes d'objets de prestige et notamment des vaisselles et des miroirs. Présentant une forme complexe et un épaulement central singulier, il mesure 10 cm de diamètre et 3,3 cm de large. Découvert en 1995 sur le site exceptionnel d'Asikli Höyük en Turquie et exposé depuis au Musée archéologique d'Aksaray, cet anneau a été étudié en 2009 après la reprise des fouilles par Mihriban Özbasaran, Professeur à l'Université d'Istanbul au département de Préhistoire.
Laurence Astruc, chercheuse CNRS à l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul (IFEA, CNRS/MAEE) et ses collègues l'ont analysé avec des technologies informatiques très puissantes développées par Hassan Zahouani (ENISE) et Roberto Vargiolu (ECL), chercheurs au LTDS (CNRS/Ecole centrale de Lyon/Ecole nationale d'ingénieurs de Saint Etienne). Mises au point pour l'industrie afin de caractériser les "effets peau d'orange" sur les tôles de voitures peintes, ces méthodes dites "d'analyse multi-échelle de topographie de surface" ont été adaptées à l'étude des micro-reliefs sur les objets archéologiques. Avec un but: déterminer toutes les opérations réalisées sur leur surface.
Appliquées au bracelet, ces méthodes ont révélé que cet objet a été produit dans le cadre d'un artisanat ultra-spécialisé. Les analyses réalisées ont montré une régularité presque parfaite du bracelet. La symétrie de l'épaulement central est extrêmement précise, au degré et à la centaine de micromètres près. Ce qui laisse penser que les artisans de l'époque ont utilisé des patrons pour contrôler sa forme lors de sa fabrication. La finition de la surface du bracelet (très régulière, à l'aspect de miroir) a nécessité l'utilisation de techniques de polissage complexes permettant d'obtenir des qualités de poli à l'échelle du nanomètre, dignes de celles de nos lentilles de télescope.
Réalisés en collaboration avec l'Université d'Istanbul sous la direction de Laurence Astruc, ces travaux ont été financés par l'Agence Nationale de la Recherche dans le cadre du programme "Obsidiennes, pratiques techniques et usages en Anatolie" (ANR 08-Blanc-0318). Dans ce programme, le bracelet d'Asikli Höyük est le premier objet à être étudié parmi une soixantaine d'autres objets polis en obsidienne.
En collaboration avec l'Université de Manchester et avec le British Museum, l'équipe de Laurence Astruc analyse désormais des objets de prestige découverts sur les sites Halaf de Domuztepe en Anatolie centro-orientale et d'Arpachiyyah en Irak."
Lire aussi et illustrations : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/en-turquie-des-techniques-modernes-7500-ans-avant-jc.html
Les plus grands crânes allongés du monde ? Musée d'Ica, Pérou, par Brien Foerster (VOSTFR).
Brien Foerster filme en caméra cachée des spécimens très impressionnants de crânes dits "allongés" du Pérou. D'après Foerster, ceux-ci pourraient bien être les plus volumineux connus et exposés au public. Pour le moment, la communauté scientifique alternative et indépendante ne connaît pas la raison du volume et de la forme de ces boîtes crâniennes puisque les musées "officiels" d'Etat n'ont ni étudié l'ADN, ni daté scientifiquement ces vestiges. Un indice pourrait nous orienter : analysez simplement la morphologie des faciès et vous comprendrez aisément que nous avons affaire à une race archaïque d'Homo Sapiens, voire peut-être même à une espèce complètement étrangère au genre humain (type Néandertal ou autre hominidé).
Une nouvelle fois, Foerster nous dévoile une vidéo muette où l'on entend du personnel au loin sur la bande son. Il se trouve que comme par hasard une fois de plus, dans ce musée, comme dans de nombreux autres, la signalétique indique qu'il est interdit de prendre des photos où des films des artefacts exposés. La chose est plus ou moins courante dans les musées, mais ici, étant donné le caractère "sensible" et polémique du sujet, il est quasiment sûr que l'interdiction est adressée à cause de ces crânes problématiques pour le paradigme évolutionniste. Cette assertion est fondée sur de nombreux autres points communs relevés ailleurs, dans d'autres musées. Heureusement, pour le droit au public international à être informé, Brien Foerster ose braver l'interdit et nous livrer ce matériel médiatique absolument ahurissant.
Auteur vidéo : Brien Foerster - http://HiddenIncaTours.com - http://HiddenHumanHistory.com.
Vidéo originelle postée le : 19/09/2014. - Titre originel vidéo : The Largest Elongated Skulls in the World ? -
Traduction, sous-titrage : Archeologie-Interdite (2015) - http://www.archeologie-interdite.tk
Samaipata, l'énorme montagne mégalithique dans la jungle bolivienne, par Brien Foerster (VOSTFR)
Brien Foerster fait un repérage avec son drone quadricoptère sur le site de Samaipata, dans la jungle bolivienne (Bolivie) où siège un énorme site mégalithique. Il s'agit du sommet d'une montagne entièrement "rabotée", débitée et sculptée par une culture inconnue antérieure aux Incas.
Bien entendu, comme d'habitude, l'archéologie conventionnelle considère que ce site date des Incas, voire de tribus amazoniennes à peine plus anciennes. Mais lorsque l'on observe l'érosion de la pierre du site, on a vraiment l'impression que tout cela date de plusieurs milliers d'années.
Superbes images de Brien Foerster grace à la technologie des drone-caméras.
Traduction vidéo : Archeologie Interdite - http://www.archeologie-interdite.tk
Date vidéo originale (postée) : 27 janvier 2015.
URL vidéo originale : www.youtube.com/watch?v=ColA6Sw0wek Source : Brien Foerster - www.hiddenincatours.com.
Article sur les recherches de Brien Foerster sur ce site : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/suivi-des-recherches-de-brien-foerster.html
Yves Herbo, S.F.H, 04-2012, MAJ avec plusieurs autres documentaires du même type en 05-2015