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OVNIS et orthoténie en Californie
OVNIS et orthoténie en Californie
1950-3-san-bernardino-california-usa
Une étude des cas OVNIS de la Californie méridionale ajoute de la crédibilité à la théorie de l’orthoténie, d’abord avancée par Aime Michel
Cette étude, basé principalement sur les travaux d’Ann Druffell, a été actualisée et traduite (à l’exception des longueurs, en milles !) afin de rendre compte du travail réalisable en ufologie suivant l’angle d’approche qui est ici celui de l’orthoténie et des alignements.
Trente-cinq événements, constituant trois groupes de comparaison non liés à la théorie originale de l’orthoténie, ont été tracées. Quatre (4) emplacements rituels indiens antiques ont été inclus pour voir si les lignes orthoténiques peuvent avoir quelque relation possible avec les phénomènes de leys.
http://www.toutelaverite.net/histoire/ley-lines-et-geographie-sacree-ii/ (site et sources disparus depuis cet article)
Les deux groupes de comparaison, c.-à-d., quatorze (14) cas OVNIS et dix-sept (17) événements bien étudiés, et d’intérêt pour les chercheurs professionnels, ont été ajoutés à l’étude afin de démontrer leur nature aléatoire, par rapport aux groupements d’événements OVNIS d’ordre orthoténiques (à ligne droite)
INTRODUCTION : Le thème du colloque du MUFON de 1983, « OVNIS, un défi scientifique » ; incorpore dans cette expression simple la difficulté avec laquelle chaque cas se doit d’être étudié. Les OVNIS ne se prêtent pas facilement à l’étude scientifique. Ils sont évidents au lieu et au moment où ils choisissent- ils choisissent leur propre durée de temps d’apparition, les conditions de ces manifestations, d’ordre sporadique ne peut être prévue, encore moins recrée.
J’offre quelques résultats d’une étude des rapports OVNIS de Californie méridionale que les chercheurs n’importe où dans le monde peuvent retrouver avec un minimum effort. Il se présente ainsi une manière véritablement scientifique d’étudier des rapports OVNIS et, peut-être, même ainsi prévoir de futures observations. L’étude inclut cinquante-sept (57) endroits sur 18.000 miles carrés pour la région de la Californie méridionale où des événements OVNIS ont été rapportés par des citoyens crédible ou très crédibles – à capacité d’observation moyenne ou supérieure à la moyenne dans des cas similaires. Ces endroits incluent huit (8) emplacements des rapports d’atterrissage OVNIS et/ou des scénarios d’abduction, et treize (13) incidents de contact rapporté avec entité alien, pendant lesquelles aucun véhicule genre OVNIS n’était évident aux témoins. Neuf (9) cas additionnels de contenu ufologique et d’étrangeté élevée qui, pour une raison ou une autre, ne se sont pas insérés dans les 4 autres classifications habituelles.
Le but de l’étude était de déterminer si les observations OVNIS et les rapports d’entité en Californie méridionale s’étendent le long des lignes orthoténiques.
BACKGROUND DE L’ORTHOTÉNIE: Le mystère des ‘lignes droites’, tel que relié à l’ufologie, remonte à Aimé Michel, ufologue de renommée mondiale qui, avant 54 comme la plupart des ufologues, se trouva découragé par le caractère sporadique du phénomène. Il n’y avait pas de contenu permettant d’étudier le phénomène ufologique scientifiquement. Dans son livre FLYING SAUCERS AND THE STRAIGHT LINE MYSTERY, publié en 58, Michel explique que de mi Aout 54 à mi novembre 54 la situation changea complètement. Durant ces quelques mois une série d’observation eurent lieu en France et les pays voisins qui purent se placer sur une carte – l’étrangeté de l’ensemble de ces observations étant sans précédent.
1954-ovni-BOULOGNE-SUR-MER-FRANCE
Michel a commencé son étude en traçant cinq rapports de ‘haute étrangeté’, qui se sont produits le vendredi 15 octobre 1954. Les visées étaient à des points largement séparés tels que l’extrémité du sud en Angleterre, l’Aire-sur-La-Lys de Calaisand en France, un emplacement sur l’itinéraire N-68 près de la frontière allemande, et Po di Gnocca en Italie. Michel a marqué ces cinq observations sur un globe terrestre et a constaté que si un fil était étiré entre les cinq points, le grand-cercle s’étendait à 700 milles de long. Quand les mêmes observations ont été tracées sur les cartes appropriées des secteurs impliqués, ajustées pour expliquer la légère courbe de la terre au-dessus des 700 milles, les cinq points s’étendaient sur une ligne droite
L’orthoténie était née.
1954-ovni-BOULOGNE-SUR-MER-FRANCE
Naturellement, une ligne droite peut être tracée entre deux points quelconques, mais Michel, étant un mathématicien, se rendait compte qu’une ligne droite de cinq points entre les endroits d’observation OVNIS la même date allait bien au-delà de coïncidence. Par le traçage successif des multi-observations d’autres jours de 1954, Michel a trouvé beaucoup d’autres lignes droites multipoint, représentant les observations en France et pays limitrophes. De ces résultats, il a développé une hypothèse que l’OVNI pourrait employer un modèle de surveillance par grille en raison de la logique évidente du système. Michel a également trouvé la preuve irréfutable d’un phénomène additionnel à l’intersection de ces droites; l’objet aperçu était invariablement une classe OVNI connue sous le nom de cigares ; des formes ovales énormes.
L’exemple le plus saisissant de ce phénomène s’est produit le 2 septembre 1954 quand neuf lignes droites multipoints correspondant a des observations françaises se sont croisées à Poncey, en France (référence 3) Michel a théorisé que cigares étaient des agrégats d’OVNIS, en d’autres termes, un type de mécanisme qui fourni un point de rassemblement pour les petits disques qui ont exécuté les manœuvres de surveillance le long des lignes de surveillance de grille.
1954, Rouen, France
Coral et Jim Lorenzen de l’organisation pour la recherche aérienne de phénomènes (APRO) en Arizona ont trouvé les lignes orthoteniques aux États-Unis et Amérique du Sud (référence 5).
David R. Saunders et Jacques Vallee ont ajouté de la crédibilité à la théorie en traçant des lignes de grand-cercle au-dessus des parties des États-Unis et d’autres pays, et en éditant les résultats de leurs analyses dans divers articles et livres (références 6 et 7).
Tout au long des années d’étude suivantes, cependant, les chercheurs (Michel y compris lui-même, avait noté que l’orthoténie n’est vraie seulement pour des observations impliquant une date particulière (les lignes 8 et 9). La plus célèbre de ces lignes est BAVIC, à l’origine une ligne de six-point s’étendant de Bayonne à Vichy, France. Bien que les six observations originales tout se sont produits le 24 septembre 1954, l’étude suivante a indiqué d’autres cas d’étrangeté élevée se produisant d’autres dates suivant la ligne BAVIC. En outre, on l’a constaté que d’autres emplacements remarquables de phénomènes, tels qu’à l’endroit de la caverne de Magdalenien contenant des peintures artistiques de formes définies d’OVNIS, suivant la ligne BAVIC (la référence 10). BAVIC, naturellement, a été prolongée, par la recherche, bien au-delà de ses limites originales de Bayonne-Vichy et constitue maintenant une ligne de grand cercle.
Distribution of UFO Reports for October 3, 1954 Showing Straight Lines of Four or More Points
Graduellement, la théorie de lignes orthoténiques est moins devenue une question controversée. Réciproquement, au cours des dix dernières années, l’étude du soi-disant ley lines est devenu populaire. L’ étude des Ley indique que l’endroit des emplacements antiques de rituel cérémonieux et religieux, tels que Stonehenge, s’aligne le long des lignes droites … Cette théorie a été la première fois avancée par Alfred Watkins dans les années 20 (référence 11), mais une grande partie du crédit pour améliorer les données sur les Leys est dû à Paul Devereux, qui postule un lien OVNIS- emplacements antiques (leys) (référence 12). L’évidence de ceci n’est pas encore élevée. Il n’y a aucune preuve démontrée que des lignes de ley et les lignes orthoténiques sont associées de quelque manière que ce soit les unes avec les autres, mais le fait demeure que les OVNIS particulièrement au Royaume-Uni et quelques pays européens, sont vus plus de, ou dans le secteur général des leys (référence 13).
Les cultures préhistoriques ont établi leurs endroits importants de culte cérémonieux le long des lignes droites (ou, dans le cas des lignes plus longues enjambant plus d’un pays comme ceux découverts par Michel, le long des itinéraires de grand-cercle), est bien établi.
Une hypothèse statuera que ces emplacements ont été choisis par les peuples antiques en raison d’une certaine propriété tellurique inhérente au terrain le long duquel ces emplacements cérémonieux ont été construits. L’énergie spécifique de la terre (ou la propriété) censée pour être impliqué dans des lignes de ley et des emplacements de ley n’est pas encore identifiée.
Des lignes de Ley ont été démontrées exister sur la plupart des continents. Des cultures antiques nombreuses semblent avoir utilisé ce principe. Même aujourd’hui, plusieurs de nos emplacements importants plus modernes de rituel (églises, mosquées, synagogues, et d’autres centres de l’étude métaphysique) sont construits sur des ruines des bâtiments religieux antiques et, en conséquence, l’alignement immobile des lignes de ley.
J’ai ajouté ainsi quatre emplacements antiques d’usage rituels de la Californie méridionale, employés il y a bien longtemps par des membres de diverses tribus indiennes, à cette étude. Ces quatre emplacements indiens étaient inclus et tracé sur une même carte pour voir si leurs endroits avaient n’importe quelles corrélations avec des emplacements de rapports OVNIS. Ces quatre sites sont devenus un groupe de comparaison dans l’étude, avec deux autres groupes de comparaison (voir ci-dessous), faisant un total de (35) cas de comparaison à tracer avec les cinquante-sept (57) rapports choisis OVNIS de haute étrangeté.
PROTOCOLE D’ÉTUDE:
Les rapports OVNIS choisis pour le traçage ont répondu aux critères suivants :
1. Les atterrissages et/ou des rapports de scénario d’abduction / missing time rapportés ont été considérés acceptables pour l’étude si, après recherche, chaque cas maintenait toujours sa valeur de haute-étrangeté. En outre, il ne pourrait y avoir aucun doute sur le point exact où l’objet était décrit être entré en contact avec la terre ou où le témoin a éprouvé des scénarios de missing time/ou d’abduction. Deux exemples des cas dans cette catégorie sont le rapport d’atterrissage de Burbank, la Californie, qui a été édité dans la REVUEFLYING SAUCER REVIEW (référence 14) et le scénario d’abduction de LorI Briggs-Jo Maine, qui a été exploré longuement dans un livre co écrit par le parapsychologue D. Scott Rogo, THE TUJUNGA CANYON CONTACTS (référence 15).
2. La deuxième classe de rapports OVNIS, c.-à-d., les RR2, RR3 a été choisie parce que l’OVNI rapporté pourrait être pointé, dans approximativement 500 pieds des points de référence du témoin.
3. Le troisième groupe rapporté d’entités OVNIS a inclus seulement ceux dans lesquels aucun OVNI type véhicule n’a été rapporté. Ces cas ont inclus les soi-disant ‘visites’ de chambre à coucher ; des entités évidentes, des psycho communications alléguées par l’écriture automatique ou les communications télépathiques, et des cas où les témoins ont rapporté d’autres perceptions fortes de contact avec les entités étrangères. L’évidence que l’incident s’était produit réellement a été exigé en établissant la stabilité et l’honnêteté du témoin, de l’écriture automatique au contenu difficilement explicable. Un exemple de ce groupe était l’expérience rapportée de janv. Whitley dans une carrière de pierre de Tujunga, décrite dans THE TUJUNGACANYON CONTACTS (référence 16).
4. Le quatrième groupe d’étude OVNIS était un groupe spécial que pouvant être nommé ‘immersions’ . Comme cité ci-dessus, trois groupes de comparaison ont été choisis pour tracer sur la même carte que les 4 groupes de comparaison sur les quatre (4) emplacements méridionaux d’Indien de la Californie. Le deuxième était un groupe de quatorze (14) cas d’objets à proximité des témoins qui se sont avérés être dans une mauvaise classification. Le troisième est composé de dix-sept (17) rapports des manifestations paranormales, telles que l’activité de monstre, hantise prétendue, les feux spontanés, roche qui tombe [du ciel] et d’autres cas non expliqués.
Les quatre emplacements rituels indiens étaient : Rocher de Tahquitz près d’Idyllwild ; Le rocher de l’aigle dans la ville du même nom (Los Angeles 90041), le point pierreux dans Chatsworth, et le Castle rock de l’aigle. Parmi ceux-ci, le rocher de Tahquitz et point pierreux sont protégés par des autorités gouvernementales et sont toujours généralement dans leur état primitif. La roche de l’aigle et Castle rock, étant sur ou à côté de terres privées, sont entamés actuellement par l’habitation humaine, mais parviennent toujours à maintenir leur intérêt et beauté historiques. (points + ligne verts)
Le rocher de Tahquitz, rocher de l’aigle et point pierreux, étaient en configuration ‘ligne droite’ sur plus de 116 milles de long . Le Castle rock est 5 milles et demi de point pierreux . Aux fins de cette étude, les lignes de trois points convergents d’observations OVNIS ont été ignorés ( comme ‘coïncidences’), il semble être davantage qu’une coïncidence que trois sur les quatre emplacements indiens dans cette étude pourraient être reliés par une ligne droite de cette longueur. Ceci étant, il a été accepté en tant qu’évidence préliminaire que ces trois emplacements indiens pourraient former l’équivalent d’une Ley, comme trouvé dans d’autres pays.
RÉSULTATS D’ÉTUDE – IMPORTANCE UFOLOGIQUE : Après que tous les cinquante-sept (57) emplacements OVNIS aient été tracés, une mesure précise a été employée pour déterminer quelle configuration de cas le long des itinéraires à ligne directe. Le critère pour la signification ufologique était quatre (4) emplacements ou plus genre OVNI se situant dans une ligne droite à travers la carte. En tout, seize (16) lignes droites constituées de quatre (4) points ou plus ont été découverts. De ces seize lignes, deux (2) ont eu sept (7) points, quatre (4) ont eu six (6) points, trois (3) ont eu cinq (5) points et sept (7) ont eu quatre (4) points. Les seize (16) lignes se sont prolongées au-dessus des distances variables, s’étendant de cent vingt-huit (128) milles à vingt-quatre (24) milles.
En dressant une carte de ces lignes, une marge d’erreur de l’ordre des cinq-huitième de mille (5/8) a été considéré acceptable, puisque dans des études orthoténiques des déviations jusqu’à un kilomètre d’un côté d’une ligne ont été considérées un ‘correctes’ ; Si on le suppose que les lignes de ley / ou orthoténiques représentent un certain type d’énergie de la terre, alors logiquement il y aurait une certaine largeur au champ d’énergie impliqué. Par conséquent, une figure arbitraire d’approximativement 3.500 pieds a été jugée raisonnable aux fins de cette étude. Les déviations de cette distance, cependant, étaient rares, comportant pas plus de cinq à dix pour cent (5-10%) de tout le traçage.
Des seize (16) lignes significatives sur le plan ufologique, trois (3) se situaient sur des emplacements indiens. La ligne la plus saisissante des emplacements indiens, c.-à-d., le rocher de Tahquitz, le rocher de l’aigle, et point pierreux, correspondait à trois (3) événements ufologique d’importance. [Quoique les groupes de trois événements d'UFO dans une ligne aient été insignifiants autrement ignoré, cette ligne a été gardée comme probablement significative.]
Une observation particulière d’OVNI , comme identification erronée de Venus (corps rond flamboyant qui a à plusieurs reprises bourdonné vers témoin) a été localisé a l’intersection de trois lignes. Deux de ces lignes étaient d’importance ufologique, l’autre un ‘intérêt combiné’. Il n’y a aucune explication de pourquoi des identifications erronées devraient être situées le long des lignes droites, puisque le groupe d’objets identifiés a été exprès choisi au début de l’étude en tant que groupe de comparaison. On spécule ici que le terrain lié aux lignes orthoténiques ou de ley contient un certain type d’énergie tellurique (de la terre) qui est encore inconnue et liée à la manifestation et/ou la puissance de propulsion OVNIS. Il est également spéculé que la même énergie de la terre pourrait avoir la capacité d’influencer la physiologie des témoins humains, (leur physique, mental y compris et émotif maquillage), de sorte qu’à proximité des lignes orthoteniques des objets conventionnels pourraient être confondus avec ce qu’ils sont réellement. Enfin, nous pourrions spéculer que ces endroits énergétiques sont des passerelles vers d’autres dimensions ou réalités, dont les formes croisent les nôtres dans des circonstances particulière (notion temporelle)
LIGNES D’INTÉRÊT COMBINÉ : En plus des seize (16) lignes d’importance ufologique (consistant en 4 à 7 points chaque), sept (7) lignes additionnelles ont été découvertes sur la carte. Aucune de ces derniers n’a contenu l’un des 4 endroits exigés ‘événement ovni’ pour s’insérer dans notre critère de protocole de non-coïncidence.
Toutefois six (6) sur sept (7) de ces lignes additionnelles ont eu quatre (4) points ou plus quand les emplacements d’observation OVNIS, les incidents paranormaux, et des emplacements indiens ont été combinés sur chacune d’entre elle. Afin de simplicité dans le texte, nous nommerons les lignes d’importance ufologique (4 points OVNIS connexes) comme » ; lignes importantes, » ; et les lignes d’intérêt combiné comme » lignes. » mineures; - pouvant être d’intérêt potentiel à ces chercheurs qui sont intéressés par l’étude des événements paranormaux et des lignes de ley, comme lié à quelques rapports OVNIS.
LIGNES IMPORTANTES :
1. La Puente à Chatsworth comportant sept (7) événements OVNIS, un (1) paranormal et un (1) site indien (40) milles de long
2. Palm Springs au parc de Canoga, consistant en cinq (5) emplacements d’observation OVNIS, quatre (4) événements paranormaux. Cent vingt-huit (128) milles de long.
3. De San Diego à Tujunga, consistant en quatre (4) emplacements OVNIS et quatre (4) événements paranormaux. Cent vingt-six (126) milles de long.
4. Du lac d’Elsinore à Sylmar, consistant en sept (7) événements OVNIS (78) milles de long
5. Des huit (8) – dirigez la ligne prolongeant W de Glendora à Reseda, consisté en six (6) événements OVNIS et deux (2) milles d’IFOs.Forty-one (41) long.
6. Des eaux du canal de Laguna Beach à Chatsworth, consistant en cinq (5) événements OVNIS, un (1) paranormal, un (1) emplacement indien, (70) milles de long.
7. De Yorba Linda à Tujunga, consistant en six (6) événements OVNIS et un (1) paranormal. Trente-neuf (39) milles de long.
8. De Torrance dans la grande gorge de Tujunga, consistant en (6) cas OVNIS, et un (1) événement paranormal. Vingt-neuf (29 milles de long.
9. De Yorba Linda à Sylmar, consistant en quatre (4 cas OVNIS) et un (1) paranormal, plus un (1) emplacement indien. Quarante-huit (48) milles de long.
10. De Lemon Grove jusqu’au canyon de Tujunga, consistant en cinq (5) cas OVNIS , cent vingt-huit (128) milles de long.
11. De la plage de Newport à Sylmar, consistant en six (6) événements OVNIS. Cinquante-six (56) milles de long.
12. De San à Burbank, consistant en quatre (4) cas OVNIS un (1) paranormal. Cent vingt-six (126) milles de long.
13. De Redondo Beach à Temple city, consistée en quatre (4) points OVNIS et milles . (28) milles de long.
14. De Garden groove à Altadena, comportant quatre points OVNIS . Trente-deux (32) milles de long.
15. De Torrance à Van Nuys, comportant quatre (4) points OVNIS. Trente (30) milles de long.
16. De la péninsule de Palos Verdes à Alhambra, comportant quatre (4) points OVNIS. Vingt-quatre (24) milles de long.
CARTE
See Figure One for a map of Southern California, showing the approximate locations of each of these major lines. (Color slides will be shown at the 1983 MUFON Symposium showing their precise locations.)
Des lignes d’importance moindre, mais apparemment significatives quant à la recherche sur les lignes ortho/ley et sur le rapport OVNIS et les événements paranormaux sont donnés ci-dessous. La mesure est également donnée en milles.
1. De Santa Ana au parc de Canoga, comportant trois (3) points OVNIS, trois (3) événements paranormaux, un (1) emplacement indien, (56) milles de long.
2. De Torrance à Reseda comportant trois (3) cas OVNIS et un (1) paranormal . (33) milles de long.
3. D’Idyllwild à Chatsworth, en comportant trois (3) cas OVNIS et trois (3) emplacements Indiens. Cent seize (116) milles de long.
4. Du parc de Baldwin à Encino, comportant deux (2) cas OVNIS, deux (2) événements paranormaux, (32) milles de long.
5. De San Diego à Pasadena, comportant trois (3) cas OVNIS, un (1) événement paranormal. Cent treize (113) milles de long.
6. De Covina à Los Angeles (ouest), en comportant trois (3) cas OVNIS et un (1) événement paranormal. Vingt-quatre (24) milles de long.
7. La ligne se prolongeant de Palm Springs à la roche de Tahquitz près d’Idyllwild, en comportant deux (2) cas OVNIS et un (1) site indien. Treize (13) milles de long. (Cette ligne est incluse, quoique ne répondant pas au critère de quatre points ou plus, en raison de la recherche continue sur les emplacements impliqués)
CARTE
See Figure Two for a map of Southern California, showing the approximate locations of each of these lines. In addition to the surprising results of the plotting of the fourteen (14) IFOs and the seventeen (17) paranormal events, it was also highly interesting to see the tight fit of all nine (9) DIP reports, which were included in the above analyses under UFO events. As explained above, these were UFO reports of high strangeness which for one reason or another had not lent themselves to adequate investigation and were included mainly out of curiosity to see how they would correlate with investigated reports. Whether their tight fit indicates that these inadequately-investigated reports were indeed valid has not been established, due to the comparatively small number (9) of DIP reports plotted. It would be interesting to see further research in this area.
En plus des résultats étonnants du traçage des dix-sept (17) événements paranormaux, il est également très intéressant de voir l’ajustement serré de chacun des neuf (9) rapports d’IMMERSION, qui ont été inclus dans les analyses ci-dessus sous des événements OVNIS. Comme expliqué ci-dessus, c’était des rapports OVNIS d’étrangeté élevée qui pour une raison ou des autres ne s’étaient pas prêtés à recherche proportionnée et ont été inclus principalement pour voir comment elles se corréleraient avec des rapports étudiés.
Étant donné qu’Aime Michel, dans son étude orthoténique originale, a théorisé que les observations d’intérêt particulier, c.-à-d., des cigares, ont été vus aux intersections des lignes droites, l’on a pourrait spéculer que les points d’intersection multi lignes décrits ci-dessus pourraient indiquer des emplacements sur la terre où l’écoulement de l’énergie non identifiée (hypothétique) est particulièrement dense. Aucune analyse n’a été faite des points d’intersection des lignes mineures (d’intérêt combiné), bien que ceux-ci, aussi, étaient nombreuse. Le fait le plus saisissant sur les points d’intersection entre les lignes majeures et mineures était que vingt-deux (22) sur vingt-trois (23) traverse toutes de nombreuses autres lignes.
CONCLUSIONS : Cette étude est préliminaire, basée sur seulement une fraction des cas dans ce secteur approprié pour le traçage. Davantage d’études pourraient renforcer les résultats et confirmer ou infirmer certaines des hypothèses et des spéculations mentionnées dans le texte. Il semble au moins que l’étude donne l’évidence qu’un phénomène à ligne droite lié aux rapports OVNIS existe en Californie méridionale.
See Figure Three (below) for a drawing of these six (6) pseudo-orthotenic lines. In addition, there were fifteen (15) lines of (three) 3 points each, but these were considered coincidental since three-point lines were considered coincidental in the actual study and ignored.
RÉSUMÉ : Passant en revue toute l’étude en sa totalité, les résultats suivants ont été trouvés :
1. Les emplacements des événements OVNIS en Californie méridionale (dans les cas où l’objet non identifié ou l’entité alléguée OVNI était à grande proximité du témoin) peuvent être placés sur une carte de telle manière qu’il est possible de les relier par une droite .
2. Les emplacements des intersections multipoint de ces lignes sont des endroits où en particulier les événements OVNIS bizarres se sont produits, c.-à-d., atterrissages, rencontres rapprochées, OVNI type vaisseau physique dans des zones résidentielles et au-dessus des routes importantes et des autoroutes d’une grande ville.
3. Excepté une (1) ligne, toutes les lignes découvertes ont été déviées, à plus ou à moins de degré, des quatre points cardinaux de la boussole.
4. Les grands événements paranormaux en grande majorité (16 sur 17) respectent également la configuration en lignes droites, renforçant l’hypothèse de beaucoup de chercheurs que des événements paranormaux d’une manière quelconque sont associés aux évènements OVNIS.
Références
1.PROBE Magazine, (Collector’s Edition), Fall 1979, « ‘Combined’ and ‘Magnetic’,Ann Druffel and Richard Zimmerman, pp. 26-37, 82-83.
2.FLYING SAUCERS AND THE STRAIGHT-LINE MYSTERY, Aime Michel, Criterion Book, New York 1958.
3.Op. cit., pp. 106-11.
4. Articles FSR, de 1962 a 1965: In Vol. 8, No. 2 (1962) « Orthoteny and North African Cases » Dr. Jacques Vallee; in Vol. 8, No. 6 (1962 ) « Orthoteny »;in Vol. 9, No. 3,(1963 ) « Global Orthoteny » Aime Michel; in Vol. 9, No. 4 1963) »The Vauriat Sighting »; in Vol. 9, No. 5 (1963) »BAVIC in the Iberian Peninsula » Antonio Ribera; in Vol. 9, No. 6 (1963) « Recent Developments in Orthotenic Research » Dr. Jacques Vallee; in Vol. 9, No. 6 (1963) « BAVIC Plotted as a World Circle Line » Haythornthwaite; in Vol. 10, No. 2 (1964) Editorial: « The Crooked Line Theory » Gordon Creighton; in Vol. 10, No. 2 (1964) « Do Flying Saucers Move on Straight Lines? » Dr. Donald Menzel;in Vol. 10, No. 2 (1964) « Where Dr. Menzel Has Gone Wrong » Aime Michel; in Vol. 10, No. 2 (1964) « New Light on Ancient Tracks » J. Goddard;in Vol. 10, No. 4 (1964 ) « Global Orthoteny: New Pitfalls, » Menzel;in Vol. 10, No. 4 (1964) »The Menzel-Michel Controversy » Dr. Jacques Vallee; in Vol. 11, No. 2 (1965) « Foundations of Orthoteny » Peter Seeviour; in Vol. 11, No. 3 (1965) « Orthoteny, A Lost Cause » by D. Menzel; in Vol. 11, No. 3 (1965) « Reflections of An Honest Liar, » Aime Michel.
6. Par exemple, FSR, « Is BAVIC Remarkable? » Dr. David R. Saunders, Vol. 17, No. 4, 1971.
7. CHALLENGE TO SCIENCE, Jacques and Janine Vallee, Ace Books, Inc., New York.
8. « An Enigmatic Figure of the XVIIth Century, » Aime Michel, FSR Vol. 18, No. 2, March-April 1972.
9. »Is BAVIC Remarkable » (Reference 6.)
10. »Paleolithic UFO-Shapes » Aime Michel, FSR, Vol. 15, No. 6, Novembre 1969
11.THE OLD STRAIGHT TRACK, Alfred Watkins
12.THE LEY HUNTER’S COMPANION, Paul Devereux et Lan Thomson, publié par Thames and Hudson, 1979.
13.FSR, « Book Review: UFOs Over Leys?, » Janet Bord, Vol. 25,No. 4, Juillet 1979.
14. »The Burbank Landing and Occupant Report, » par A. Druffel. FSR, Vol. 21, No. 1, pp. 3-7, 8.
15.THE TUJUNGA CANYON CONTACTS, par A. Druffel et D. Scott Rogo, Prentice-Hall, NJ, 1980, pp. 153-91.
16.Op. cit., pp. 103-4.
17.FLYING SAUCERS AND THE STRAIGHT-LINE MYSTERY, pp. 26-62.
18. »Magnetic Anomalies and UFO Flight – Part II, » Druffel, MUFON UFO JOURNAL, Juin 1980, No. 148, pp. 15-
19. »An Urban Problem: Very Close Encounters with UFOs, » Druffel, MUFON UFO JOURNAL, Decembre 1981, No. 166, pp. 13-15.
Autre source trouvée : http://rr0.org/time/1/9/8/3/07/01/Druffel_Orthoteny/index_fr.html
Voilà ce que disait encore de l'orthoténie Aimé Michel en 1970, lors d'un article dans une revue célèbre à l'époque (Phénomènes Spatiaux n°26, décembre 1970) : les alignements sont réels et indéniables, mais c'est la théorie qui ne l'est pas, et ils demeurent inexplicables... http://www.aime-michel.fr/orthotenie-realites-et-illusions/
Yves Herbo, S,F,H, 02-2012, 30-04-2015
OVNI : Lettre au Scientific American, 18 Décembre 1886
OVNI : Lettre au Scientific American, 18 Décembre 1886
MAJ 04-2015
L’une des questions les plus fréquemment posées dans l’ufologie est depuis combien de temps le phénomène OVNI existe. Cette ancienne lettre au rédacteur en chef de la revue Scientific American, bien que ne prouvant rien, semble se rapprocher fortement de certaines des observations et traces physiques les plus récentes, et bien documentées, par exemple le cas Cash-Landrum du 29 Décembre l980, près de Houston, au Texas. La lettre a été publiée dans le numéro 18 de Décembre 1886, de ce magazine.
Curieux phénomène AU VENEZUELA
Pour le rédacteur en chef de la revue Scientific American :
Le bref compte rendu suivant d’un événement météorologique étrange récent peut être intéressant pour vos lecteurs, comme un ajout à la liste des excentricités électriques :
Pendant la nuit du 24 Octobre dernier (1886), qui était pluvieuse et orageuse, une famille de neuf personnes, dormant dans une cabane à quelques lieues de Maracaibo, a été réveillée par un bruit fort de ronflement et des couleurs vives, des lumières éblouissantes, qui ont brillamment illuminé l’intérieur de la maison.
Les occupants, complètement frappés de terreur, et croyant, comme ils le rapportent, que la fin du monde était arrivée, se jetèrent à genoux et commencèrent à prier, mais leurs dévotions ont été presque immédiatement interrompues par des vomissements violents, et des gonflements importants commencèrent à apparaître sur la partie supérieure de leur corps, et particulièrement visible sur le visage et les lèvres.
Il est à noter que les brillantes lumières n’étaient pas accompagnées d’une sensation de chaleur, mais il y avait comme un aspect de fumée (nuées ?) et une odeur particulière. (On peut aussi noter, pour ceux qui ont lu la Bible et l'Ancien Testament, que plusieurs descriptions des "nuées" entourant le Seigneur des Israéliens, l'Eternel, ainsi que les fortes odeurs de souffre, les "lumières" qui guident et les "ténèbres-nuées" qui obligent les gens a sortir de la Maison de l'Eternel, les brûlures et "pustules", par exemple, mais il y en a d'autres, correspondent à plusieurs faits reliés aux ovnis, y compris celui décrit ci-dessus...).
Le lendemain matin, les gonflements avaient disparu, laissant sur le visage et le corps de grandes taches noires. Aucune douleur particulière n’a été ressentie jusqu’au neuvième jour, quand la peau s’est détachée, et ces taches se sont transformées en virulentes plaies à vif.
Les cheveux de la tête sont tombés sur le côté qui se trouvait en-dessous du phénomène quand il s’est produit, le même côté du corps étant le plus grièvement blessé, dans les neuf cas.
Le fait remarquable de l’accident est que la maison n’a pas été touchée, toutes les portes et les fenêtres étant fermées à ce moment.
Aucune trace de foudre n’a par la suite été observée dans quelque partie du bâtiment que ce soit, et toutes les personnes souffrantes s’accordent à dire qu’il n’y avait eu aucune détonation, mais seulement le fort bourdonnement déjà mentionné.
Une autre circonstance concomitante est curieuse, c’est que les arbres autour de la maison ne montraient aucun signe de blessure jusqu’au neuvième jour, quand ils se sont soudainement desséchés, presque simultanément avec le développement des plaies sur le corps des occupants de la maison.
C’est peut-être une simple coïncidence, mais il est remarquable que la même sensibilité aux effets électriques, dans le même laps de temps, ait été observée chez les animaux et les organismes végétaux.
J’ai visité les malades, qui sont maintenant dans l’un des hôpitaux de cette ville, et bien que leur apparence soit vraiment horrible, il est à espérer que, dans aucun cas, les blessures ne soient fatales.
Warner Cowgill.
U. S. Consulat,
Maracaibo, Venezuela
17 novembre 1886
Sources et traduction Era : http://area51blog.wordpress.com/2012/11/24/lettre-au-scientific-american-18-decembre-1886/
Autres sources : http://www.nuforc.org/gnsciam.html + http://www.educatinghumanity.com/2011/12/maracaibo-incident-1886-ufo-radiation.html
A ajouter aux cas de preuves physiques sur témoins :
Relayé et corrigé par Yves Herbo S,F,H, 11-2012 - updated/MAJ 04-2015
OVNIs de 1980
Quelques OVNIs de 1980
Levitton, Porto Rico, 1980
On mettant de l'ordre dans mes vieilles archives, je suis retombé sur de vieux articles de journaux, de vieux extraits de vieux bouquins, des vieilles enquêtes de témoignages sur le paranormal... des vieux souvenirs aussi bien sûr qui émergent, ressortis du néant par la vue de certains de mes écrits passés. De l'amusement aussi devant certaines théories scientifiques dépassées, mais aussi le constat, après recherches sur internet (non finalisées vu la richesse du système), qu'une grande majorité de ces archives sont trouvables sur le web. Rassurant de constater que l'information est bien transmise dans sa majorité, avec ou sans mises à jour d'ailleurs. Les spécialistes et les sceptiques se partagent la tâche de prouver/désapprouver le fait brut signalé et les mises à jour éventuelles (résultats d'enquêtes, de tests scientifiques, nouveaux témoins ou photo, radars, etc...). La dernière problématique étant que, aussi bien du côté des spécialistes (ufologues et scientifiques, armée) que du côté des sceptiques (forcenés ou ouverts), les preuves réelles pour affirmer ou infirmer un phénomène résistant déjà aux spécialistes (les cas inexplicables avec multi-témoins, etc) sont introuvables. C'est un dialogue de sourds et les théories des uns ne contredisent pas obligatoirement les théories des autres, mais les invalides souvent par simple raisonnement de base (propre à toute civilisation : l'explication la plus simple à comprendre est celle adoptée d'instinct) sans chercher trop à comprendre ce qui a juste été perçu souvent (cette réaction est d'autant plus facile a admettre si on considère "d'office" que, n'importe comment, ce phénomène ne va rien changer au monde (ou plutôt à notre propre existence)...
january-1980-tucuman-province-argentina
On le sait grâce à de multiples sondages à travers le monde, un peu plus de 58% des êtres humains pensent que le phénomène est réel (52 % en France qui est tout de même parmi les plus sceptiques) et qu'il y a probablement une certaine élite qui connaît au moins une partie de la vérité. Mais parmi ces convaincus, le nombre de personnes qui pensent que ce phénomène est très important, influe même sur la race humaine est évidemment beaucoup plus limité, mais augmente régulièrement. Ceci est à méditer par ceux qui parlent beaucoup de "prise de conscience" ou "révélations" par ces temps houleux : aucun fait brut subit, événement soudain ou intervention humaine imprévue n'a jamais modifié durablement le comportement, l'évolution et la conscience humaine. Les grands changements de comportements humains se sont toujours préparés longtemps à l'avance et même ces changements de comportement, mentalités, ont dû longtemps lutter contre les anciens comportements primitifs (il en va d'ailleurs de même avec une invention technique apportant une modification du comportement : ça ne se fait pas du jour au lendemain). Certes, "l'événement Jésus", à lui seul, a modifié assez rapidement le comportement humain... mais les Textes nous apprennent que l'événement en question a été préparé de longue date (y compris par Jésus lui-même qui l'a préparé plusieurs années). L'événement "Guilgamesh" sumérien relève du même procédé quelques millénaires plus tôt, les événements "Rama" hindoux plus anciens encore sont peut-être du même type aussi... on pourrait remonter donc jusqu'aux premiers "éducateurs" voir à "Adam" pourquoi pas pour être les instigateurs de ces profonds changements préparés en longueur.
Attention, je ne dis pas que l'être humain est incapable d'inventer de par lui-même les conditions de l'évolution de sa propre mentalité et de sa conscience : beaucoup de "dieux" ou "demi-dieux" sont probablement des individus parfaitement humains qui ont marqué leur époque en inventant ou en amenant un réel progrès et/ou changement (souvent localement et provisoirement) des consciences de plusieurs générations d'humains. Ceci pour dire que seuls de très rares événements sont capables de modifier durablement et effectivement de façon supérieure la conscience humaine et que nous ne voyons ou ne comprenons peut-être toujours pas les signes préparatoires du prochain événement...
4-06-1980
Ce petit aparté m'amène à cette vieille archive des années 1980, et aussi au rappel du ressenti de l'époque : des centaines de témoignages (pas tous avec la même perception), de multiples photos, puis une explication simple provenant des Russes "Cosmos 749 s'est désintégré sur cette trajectoire"... mais d'après la NASA, il s'agit plus exactement d'un étage du lanceur de 7.4 mètres de long et 2 mètres de diamètre lancé en juillet 1975. (soit 5,5 ans avant) Références, the RAE table of earth satellites 1957/1986... suivie de contradictions, de témoignages et photos invalidant l'explication officielle sur sa direction, puis le silence... En 1981, la comparaison avec les archives RAE table of earth satellites confirmeront le fait et la correspondance probable (ou un hasard étonnant s'il s'agit d'une météorite, ou l'exploitation de données humaines par des visiteurs externes voulant tester cette possibilité (réussie donc !), tout est possible) entre la mise en orbite du satellite en 1975 et la chute du débris en 1980 : cet événement de Noel 1980, en des temps moyenâgeux aurait été très probablement interprété comme un signe divin remarquable... sauf que les satellites artificiels métalliques capables d'engendrer de telles diverses couleurs (dues aux différents composants en fusion d'après les scientifiques - bien que non remarquées sur d'autres rentrées attestées !) n'existaient pas à l'époque. Et que les météorites, astéroïdes ou comètes ont toujours été connus (et communs à de rares exceptions) depuis des temps reculés et décris déjà par les anciens. Mêmes à ces plus lointaines périodes, seuls des événements précis (voir les dessins et peintures étalés sur plusieurs siècles) et sortant de l'ordinaire ont été consignés et assimilés à des événements "divins" ou étranges...
Réferences : http://emjo.free.fr/1980/, http://emjo.free.fr/1980/velasco.htm
Plus pour mémoire et amusement, voilà une archive personnelle sur le sujet :
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (http://www.sciences-fictions-histoires.com/ et http://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
L'année 1980 ne se terminait cependant pas sans d'autres événements, finalement plus étranges :
L'irradiation de Betty Cash et Vicky Landrum (1980)
II était un peu moins de 21 heures, ce 29 décembre 1980, quand une Oldsmobile Cutlass, avec à son bord deux femmes, Betty Cash (51 ans) et Vicky Landrum (57 ans), et un enfant âgé de 7 ans, le jeune Colby Landrum, roulait sur la Highway FM1485 en direction de Dayton (Texas). Soudain, alors que la route traversait une forêt de chênes et de pins, les passagers aperçurent une lumière dans le ciel.
reconstitution
En quelques minutes, cette lumière grossit et se transforma en un engin extraordinaire. Les plaignants observèrent un ovni qui émettait une lueur, ainsi que des flammes rouge et orange à partir de sa base. L'ovni était de la taille d'une citerne à eau urbaine standard et il est décrit par Vicki Landrum comme de forme oblongue avec un haut arrondi et une pointe en bas, et par Colby Landrum comme étant en forme de diamant. L'ovni planait à 18 ou 20 mètres au-dessus de la route, à hauteur des arbres. Il émettait un son ressemblant à un « bip-bip », et les témoins ressentirent une chaleur intense. A cause de la chaleur émise par l'ovni, il commença alors à faire très chaud à l'intérieur du véhicule. Ils en descendirent et observèrent l'objet plusieurs minutes avant de remonter à bord de l'auto. Betty Cash resta exposée environ dix minutes à la lumière et à la chaleur. Vicki Landrum, remontée plus vite en voiture pour calmer l'enfant terrorisé, un peu moins.
A ce moment-là, une escadrille d'hélicoptères sombres et sans marque d'identification les survola. Les témoins en comptèrent vingt-trois de divers types, dont un CH-47 Chinook lourd, reconnaissable à ses deux rotors. Les hélicoptères encerclèrent l'ovni et l'escortèrent tandis qu'il s'éloignait de la voiture. Betty Cash redémarra. Mais déjà, Vicki et elle ressentaient de violents maux de tête ainsi que des brûlures des yeux et de la peau.
Un peu plus amusant et non sans humour de ma part, cet article de juillet 1954 et provenant plutôt d'une archive héritée, mais avec mention d'une explosion intéressante sur la planète Mars :
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (http://www.sciences-fictions-histoires.com/ et http://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
Autre événement important en cette fin d'année 1980 : le "Roswell" britannique avec Rendlesham :
voir : http://www.forum-ovni-ufologie.com/t8643-1980-l-incident-ovni-ufo-de-rendlesham
http://ovnis-direct.com/rendlesham.html
Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 03-2012, updated 04-2015
La cité ancienne de Nan Madol
La cité ancienne de Nan Madol - 01-2012 - updated 04-2015
Nan Madol est une ville en ruine qui se trouve dans la partie sud-est de l'île de Pohnpei (actuellement l'un des quatre États fédérés de Micronésie). C'est un site constitué d'une série d'îlots artificiels qui fut la capitale de la dynastie Sau Deleur jusqu'aux alentours de 1500. Le nom de « Nan Madol », qui signifie « intervalles », fait référence aux canaux présents sur le site. Elle est souvent baptisée la « Venise du Pacifique ».
Nan Madol est le siège cérémoniel et politique de la dynastie Sau deleur, qui unifia la population de Pohnpei (estimée à 25 000 personnes).
Tombe Royale
C'est le lieu d'une activité humaine dès le premier ou le iie siècle de notre ère. Au viiie siècle ou ixe siècle, la construction d'îlots commence, mais l'architecture mégalitique n'a probablement pas commencé avant le xiie siècle ou le début du xiiie siècle. Peu de choses peuvent être vérifiées sur la construction des mégalithes. La tradition de Pohnpei prétend que les constructeurs du complexe Lelu sur Kosrae (composé également de vastes bâtiments en pierre) ont émigré à Pohnpei, où ils ont utilisé leurs compétences et leurs expériences pour construire l'impressionnant complexe de Nan Madol. Comme à Lelu, l'un des principaux objectifs de construire une ville séparée est d'isoler la noblesse de la population.
L'histoire locale raconte que lorsque Nan Madol a été construite, un puissant magicien vivant dans la région a été sollicité et que son aide a été un facteur important dans l'achèvement de la construction. En particulier, il était responsable de la fourniture des énormes « buches » de pierre utilisées dans beaucoup d'endroit de Nan Madol, les faisant « voler » de leur lieu d'extraction jusqu'au site de construction. (Wikipedia)
"Magistrale leçon d’architecture pour les colonisateurs qui se succédèrent à rapide cadence dès 1886 sur Ponhpei et dont les vestiges de leur présence se résument à peu de choses. Un pan de mur espagnol contre lequel les gamins jettent leurs sacs avant d’aller courir dans le parc de Kolonia, une tour allemande et branlante près du port, quelques bunkers japonais en bord de mer. Les bâtiments ne résistèrent ni au temps ni aux bombardements de la guerre du Pacifique qui permit aux Américains de prendre possession de l’île avant que les Etats Fédérés de Micronésie n’accèdent à l’indépendance en 1978. Les administrations coloniales ouvrirent les entrailles de Nan Madol. En 1907, le gouverneur allemand mourut subitement après avoir excavé une tombe à Nan Douwas et bien que la version officielle fit état d’une violente insolation, la population y vit la confirmation que la cité lacustre était maudite.
Nan Madol
Mais comment les archéologues auraient-ils pu résister au mystère de Nan Madol ? A cette parenthèse de pierre qui s’étire sur un kilomètre et demi de long et couvre 80 hectares, construite avec des aiguilles de basalte dont la première carrière se trouve, à des kilomètres de là, sur l’autre versant de Pohnpei. Les bâtisseurs certes n’eurent pas à tailler la roche. En se refroidissant la lave se fissure avec une rigueur géométrique pour former des colonnes à pans coupés, mais il fallut les extraire de la montagne, transporter ces poutrelles de pierre dont certaines pèsent jusqu’à 50 tonnes et qui furent soigneusement ajustées les unes aux autres, un peu comme les rondins de bois que l’on empile pour se prémunir des rigueurs de l’hiver. Si les hommes de science rejetèrent toute intervention divine, qui reste l’évidence pour beaucoup d’habitants de Pohnpei, ils ignorent par quels moyens fut construite la cité lacustre. Mais ils ne purent qu’admettre que tous les détails de la vie quotidienne sur Nan Madol, récités de génération en génération, furent confirmés par les résultats des fouilles archéologiques. La mémoire a traversé les siècles et les gens de l’île ont conservé intacte l’histoire des Saudeleurs bien que leur savoir faire n’ait pas été transmis. Pas un édifice à Pohnpei n’évoque l’architecture d’une civilisation qui a brutalement disparue. Engloutie dans le Keilahn aio, l’autre côté d’hier. Nan Madol fut désertée sans que l’on sache pourquoi. Est-ce que la maladie, la famine ou l’inexorable montée des eaux, qui aujourd’hui a balayé les îles les plus basses, avaient poussé les habitants à s’enfuir ? Quand James O’Connell s’aventure à Nan Madol, la cité lacustre avait déjà été abandonnée depuis plus d’un siècle et, déjà, avait la réputation d’un lieu où il ne fallait pas s’aventurer. Y résonne toujours l’écho d’une civilisation dont l’ampleur échappa aux grands navigateurs qui explorèrent le Pacifique. De la femme lascive au cruel cannibale, les images qu’ils ramenèrent en Europe furent celles d’une culture primitive sans suspecter que les îles océaniques avaient abrité des civilisations magistrales. Pourtant, toute la Micronésie porte la marque de ces peuples disparus.
Lelu
A Kosrae, sur la petite île de Lelu, derrière les jardins du village reposent des ruines basaltiques, une autre cité abandonnée. A Babeldoab, dans la république de Palau, où les flancs des collines portent encore la trace d’un entrelacs de terrasses et d’escaliers construits au 11ème siècle, sont alignées 37 immenses pierres qui pèsent chacune plus de 5 tonnes et dont on ignore toujours l’origine et la fonction. Peut-être les piliers d’une maison assez vaste pour accueillir plusieurs milliers d’habitants. Nombreux sont les indices de ces cultures mégalithiques qui ont élevé des monuments de pierre sur les îles de Micronésie puis, sans que l’on sache pourquoi, se sont évanouies dans l’océan.
La légende raconte que Nan Madol ne serait que le reflet d’une autre cité qui repose au fond du lagon. Intacte alors que Nan Madol se désagrège sans que les habitants de l’île ne s’en émeuvent, comme s’il était inutile de retenir à flots ces radeaux de pierre. Trop étranges pour y trouver de quoi s’enorgueillir. Trop différents de leur propre culture pour ne pas s’effrayer de cette dépouille abandonnée par d’autres. C’est peut-être pour cette raison que Nan Madol s’effacera sans avoir été révélée. Personne ne l’a reçue en héritage." (Extrait) http://www.grands-reporters.com/Dans-le-dedale-de-Nan-Madol.html Par Florence Décamp, Liberation
Aujourd'hui, Nan Madol constitue une zone architecturale couvrant plus de 18 km² et comprend l'architecture de pierres construite sur un récif de corail plat le long de la côte de l'île de Temwen, plusieurs autres îlots artificiels et le littoral de la grande île voisine Pohnpei (Ponape).
Le site principal avec ses murs de pierre enferme une superficie d'environ 1,5 km de long par 0,5 km de large et contient près de 100 îlots artificiels - plates-formes de pierre et de corail - bordée par des canaux.
La datation par le carbone 14 (qui n'est plus trop validée de nos jours si elle est seule a être utilisée), indique que la construction de Nan Madol a commencé vers l'an 1200 et les fouilles montrent que la zone aurait été occupée dès vers 200 après JC.
Certains sites de carrières probables autour de l'île de Ponape ont été identifiés, mais l'origine exacte des pierres de Nan Madol est encore indéterminée. Aucune des carrières proposées n'existent dans la région proches de Madolenihmw, ce qui signifie que les pierres ont été transportées jusqu'à leur emplacement actuel. Elles auraient pu être transportées par radeau depuis la carrière, mais le processus n'a jamais été démontré avec succès. Les archéologues n'ont pas encore pu éclaircir le mystère mais une plongée entre l'île et les carrières montre un chemin de pierres abandonnées.
Les vestiges de la cité d' Insaru
La ville antique en pierre géante d'Insaru sur l'île de Lelu, qui se trouve à côté de Kosrae (à l'est des îles Carolines), a été construite de murs et d'énormes pyramides de basalte, avec un réseau de canaux reliant les batiments et les îles voisines. On y trouve également des routes pavées.
Les ruines sont très semblables à celles de Nan Madol mais moins étendues. Certains des murs sont de plus de 6 m de haut, et les blocs megalithiques de basalte pèsent jusqu'à 50 tonnes. Alors que les ruines de Nan Madol sont légèrement enfouies, les structures de Lelu semblent elles s'être levées légèrement, puisque les canaux sont presque secs. D'où viennent les pierres est un mystère; la légende indique que la ville a été construite dans une nuit par deux magiciens.
MAJ 04-2015 : Les problèmes de datations au Radiocarbone 14 du Smithsonian Institute qui datent de 1960 (cette technique de datation a été recalibrée récemment à cause de nouvelles découvertes sur le carbone 14, justement ! - cette technique n'est plus trop reconnue comme fiable par les archéologues sérieux si elle n'est pas accompagnée par d'autres techniques plus modernes...) ont été dénoncés dans un livre de James Rollins (La Civilisation des Abysses), qui parle aussi des tentatives toutes ratées en 1995 de chercheurs tentant de transporter des pierres de basaltes identiques aux constructions (50 tonnes) sur des radeaux en bambou (seuls arbres de l'île), sans compter qu'il faut ensuite en élever certaines de 15 mètres en hauteur !
Selon les traditions orales, la dynastie des Sau Deleur (Seigneurs de Deleur, l'ancien nom de l'île), arrivés sur de grands canoës, était originaire de Katau (ou Kanamwayso), îles situées à l'ouest, et elle a soumit la population autochtone qui était elle présente depuis le second siècle après JC. La légende fait débuter la dynastie, et la construction de la cité, par l'arrivée des deux sorciers jumeaux : Olisihpa et Olosohpa, capables de faire léviter les sections d'orgues basaltiques utilisées dans beaucoup d'endroits de Nan Madol, depuis leur lieu d'extraction jusqu'au site de construction, grâce au concours d'un dragon volant (soucoupe volante pour certains, ou vimana hindoux !) et sous les auspices de Nahnisohn Sahpou, dieu de l'agriculture. Après plusieurs essais infructueux, ils réussirent et commencèrent la construction par l'autel de Nahnisohn Sahpou. Quand Olisihpa mourut de vieillesse, Olosohpa devint le premier « seigneur de Deleur », épousa une autochtone et fonda ainsi le clan Dipwilap ("Grand") qui gouverna la cité et l'île. Ces traditions se retrouvent avec de nombreuses variantes dans la plupart des îles de l'océan Pacifique, c'est le cas par exemple de la légende polynésienne d'Hawaiki. Sachant que le peuplement de l'Océanie s'est fait depuis l'ouest, d'île en île, les ethnologues interprètent Katau/Kanamwayso comme Chuuk, voire les Philippines ou même Fou-Nan dans l'Indochine (de plus, à Lelu dans Kosrae, il existe un autre complexe mégalithique semblable). (Wikipedia). Mais on sait aussi que ce peuplement et voyage a commencé au minimum dès 40.000 ans Avant JC (arrivée des premiers Australiens !)... Les fouilles indiquent clairement que l'être humain était déjà là en 200 après JC et que la cité de Nan Madol était habitée vers 1200 après JC, mais on ne connaît pas exactement la date de son début de construction : les traces laissent à penser que cette construction aurait commencé vers 650 après JC (7ième siècle), mais des traces "préhistoriques" remonteraient à plus de 2000 ans d'après des études de 1974, (l'archéologue Patrick Vinton Kirch " On the Road of the Winds "), mais ces datations sont difficiles à établir et affirmer sereinement..., d'autant plus que cette culture est assez isolée et difficilement comparable avec d'autres mieux datées...
Yves Herbo, S.F.H, 01-2012, updated 04-2015
Contacts Extraterrestres et Azteques
Contacts Extraterrestres et Azteques - 31-05-2012 - updated 04-2015
image tirée des vidéos de 2012
Lors de l'équinoxe de 2009, le Troisième Millénaire a commencé par la recherche d'Aztlán à Ojuelos, Jalisco, Mexique. L'Association Nahui Ollin, depuis 12 ans maintenant, a trouvé là les vestiges d'une civilisation qui pourrait être celle d'Aztlán. Principalement grâce aux calendriers Aztèques trouvés dans la région... Le gouvernement mexicain n'avait pas autorisé leur divulgation et a lui-même entassé plusieurs centaines d'objets trouvés sur toute la région et saisis lors de ventes illégales par des particuliers ou sur des touristes grâce aux douanes. De son côté, l'association avait conservé et caché 400 objets et espérait pouvoir un jour ouvrir un musée local...
vidéo censurée en 2012
vidéos retrouvables en 2013 et 2014
Ces extraterrestres en pierre sont des objets qui paraissent très anciens. Ses découvreurs indiquent qu'ils sont authentiques. Dans les artefacts apparaissent clairement des figures qui ne sont pas humaines, ni attachées aux dieux ou démons connus. Les habitants de ce plateau au Mexique ont peut-être eu des contacts avec d'autres intelligences ? Cette découverte pourrait changer l'histoire.
vidéo censurée en 2012
Vidéo apparue en 2014
Fernando Correa nous présente les découvertes de la région de Ojuelos, Jalisco sur lesquels il y a des vestiges clairs de navires, disques volants et planètes. Un véritable mystère. Les habitants du lieu affirment qu'ils sont des véritables pièces archéologiques qui doivent être étudiées.
vidéo censurée en 2012
vidéo diffusée en 2014 au Mexique
images tirées des vidéos de 2012
Mais Aztlan, un rapport avec l'Atlantide ?
Peut-être selon certains chercheurs, mais il s'agit surtout d'un lieu d'origine, d'après les légendes aztéques retrouvées : " Aztlan (toponyme nahuatl généralement traduit par « lieu de la blancheur » ou « lieu des hérons ») est l'« altepetl » peut-être mythique à partir duquel les futurs Mexicas auraient commencé leur migration vers le centre du Mexique en l'année 1 Silex, selon les écrits aztèques (en particulier leurs codex) et les témoignages sur les légendes recueillis par les chroniqueurs espagnols au xvie siècle. "(wikipedia).
images tirées des vidéos de 2012
MAJ 27-04-2015 : Une chose, historiquement, est plus compliquée au sujet de ces centaines d'objets déterrés dans cette région entourant la petite ville de Ojuelos, Jalisco, en plein centre du Mexique. Il faut savoir qu'à l'origine, quand les Aztèques arrivent dans la région (on ne sait d'où mais le nom d'Aztlan est cité dans leurs légendes et c'est de ce nom que provient leur nom, qui n'est pas leur nom "moderne" du tout), ils ne s'appellent pas Aztèques mais les Nahuatl. Et la région est déjà occupée par des "Chichimecah", un peuple de nomades chasseurs-cueilleurs comparable à des "barbares" pour les Nahuatl. Les Espagnols, plus tard, diront que les Chichimèques étaient toujours là et n'ont jamais été absorbés par les Aztèques, pire, les Chichimèques résistent plus longtemps et se battent encore contre les Espagnols bien après la reddition des Aztèques. On sait que les Aztèques (et ils en parlent eux-mêmes dans leurs écrits) avaient probablement les Toltecs comme ancêtres (mais 3 peuples ont revendiqué avoir les Toltecs comme ancêtres !), un peuple qui a lui-même construit beaucoup de structures mégalithiques, dont des pyramides. La question est donc de savoir qui a vraiment fabriqué ces très vieux objets déterrés dans cette région ou trouvées dans les ruines aztèques ? Des objets fabriqués par les Toltèques, possibles ancêtres des Aztèques, et évidemment conservés et amenés par ces derniers lors de leur migration ? Les Aztèques eux-mêmes, d'après leurs légendes ou rencontres étranges sur les lieux (ils seraient arrivés vers le 12ème siècle seulement dans la région) ? ou les Chichimèques habitant depuis des millénaires la région et ayant aussi construits certaines structures et villages sur la durée ? Il faut aussi savoir que la légende du Dieu "venu du ciel" et éducateur des hommes, Quetzalcoatl, provient à priori des histoires aztèques racontées... sur les Toltèques. Mais là, où cela se complique, c'est qu'il apparaît en quelque sorte deux "Quetzalcoatl" : un des débuts, qui éduque et créé les Toltèques et un autre, qui se situe à la fin des Toltèques et les force à l'humiliation et l'exile... un certain parallèle évident et étonnant d'ailleurs avec l'histoire judaïque de l'Eternel créant son peuple pour finir par l'exiler... un synchronisme apparent, une fois de plus !
Toltecs-les "piliers Atlantes" - des guerriers toltecs
http://en.wikipedia.org/wiki/Atlantean_figures
Pour aller plus loin sur la théorie Atlante (provenance des premiers habitants du Yucatan et du Mexique (conquis par eux)), lire ces deux articles qui sont un évident complément à cet article sur les artefacts découverts au centre du Mexique (ou plutôt c'est cet article qui vient en complément !) :
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/hueyatlaco-anatomie-d-une-anomalie.html
" Le gouvernement mexicain a décidé de présenter au public un certain nombre d’objets qui ont été cachés pendant des décennies, dès qu’ils ont été découverts. (2014) : "
Au dos de cette figurine (image du haut) figure un personnage ailé ressemblant bigrement aux dieux ailés sumériens... et aux anges judéo-chrétiens... il y en a d'autres représentés plus bas.
un "ange" surmonté d'une sorte de "soucoupe" projetant une lumière : on peut presque faire un rapprochement d'avec certains textes de l'ancien testament décrivant les apparitions de l'Eternel, de ses nuées et anges... ces gravures pourraient-elles dater aussi du 16eme siècle et utilisées par les premiers moines espagnols pour aider à la conversions des aztèques ? Mais pourquoi toutes ces "soucoupes volantes" et "êtres aux yeux obliques et/ou ailés" ?
Sources des photos du bas : https://freewiseman.wordpress.com/2014/11/18/objets-archeologiques-dorigine-azteque-trouves-a-ojuelos-de-jalisco-au-mexique/
Autres artefacts trouvés au Guatemala, à la frontière mexicaine :
" esta imagen representa una máquina de teleportación, una máquina del tiempo o algún tipo de artefacto tecnológico, esto según el reporte de arqueólogos guatemaltecos ". D'après certains archéologues guatemaltèques, cette fresque trouvée dans un temple dédié au "Soleil Nocturne" représenterait plusieurs machines technologiques, peut-être de téléportation ou de machines temporelles.
Yves Herbo, S,F,H, 05-2012, 04-2015
Nouvelle mission pour le mystérieux X-37B
Nouvelle mission pour le mystérieux X-37B
Le vaisseau spatial X-37B de la Force aérienne des États-Unis va être lancé pour sa quatrième mystérieuse mission le mois prochain.
By US Air Force [Public domain], via Wikimedia Commons
L'avion spatial X-37B sans pilote, une sorte de gros drone donc, qui ressemble à une version miniature de la navette spatiale de la NASA, maintenant à la retraite, est prévu pour décoller à l'aide d'une fusée United Launch Alliance Atlas V depuis la base spatiale de Floride à Cap Canaveral Air Force le 20 mai 2015 prochain.
« Nous sommes ravis pour notre quatrième mission X-37B," a déclaré Randy Walden, directeur de l'Air Force Rapid Capabilities Office, dans un communiqué. " Avec le succès démontré des trois premières missions, nous sommes en mesure de nous concentrer sur les objectifs initiaux du véhicule sur des tests de charges utiles expérimentales."
Illustration d'Artiste du X-37B en orbite. Le mystérieuxvaisseau spatial est prévu pour le lancement de sa quatrième mission le 20 mai 2015. - Crédit: NASA Marshall Space Flight Center
Les charges utiles de l'X-37B et ses activités spécifiques sont classifiées, on ne sait donc pas exactement ce que le vaisseau spatial va transporter/déployer autour de la Terre. Mais les responsables de la Force aérienne ont révélé quelques indices sur la prochaine mission.
" L'Air Force Research Laboratory (AFRL), le Space and Missile Systems Center (SMC) et l'Air Force Rapid Capabilities Office (AFRCO) étudient un système de propulsion expérimental sur la Mission 4 du X-37B ," a déclaré à Space.com par courriel le Capt. Chris Hoyler, le porte-parole de la Force aérienne.
" L'AFRCO accueillera également un certain nombre de dispositifs avancés à bord du X-37B, de la National Aeronautics and Space Administration (NASA) pour étudier la durabilité de divers matériaux dans l'environnement de l'espace ", a ajouté Hoyler.
La Force aérienne possède deux avions spatiaux X-37B, les deux ont été construits par la division Phantom Works de Boeing. Les vaisseaux spatiaux à énergie solaire sont d'environ 29 pieds de long par 9,5 pieds de haut (8,8 par 2,9 mètres), avec une envergure de 15 pieds (4,6 m) et une baie de charge utile de la taille d'un espace de camion pick-up. Le X-37B se lance verticalement, au sommet d'une fusée et atterri horizontalement sur une piste, comme la navette spatiale le faisait.
L'un des deux véhicules X-37B a volé sur la première et troisième missions du programme, qui étaient connues comme OTV-1 et OTV-3, respectivement. ("OTV" est l'abréviation de "Essais Orbitaux pour véhicules".) L'autre vaisseau a volé pour la OTV-2. Les fonctionnaires de l'Armée de l'air n'ont pas révélé quel sera l'avion spatial qui part en orbite sur la prochaine mission.
OTV-1 avait été lancée en Avril 2010 et avait atterri en Décembre de cette même année, restant en orbite pendant 225 jours. OTV-2 est partie en Mars 2011 et fait le tour de la Terre pendant 469 jours, redescendant en Juin 2012. OTV-3 était lancée en Décembre 2012 et est restée en l'air pendant le nombre record de 675 jours, pour finalement atterrir en Octobre 2014...
Si les responsables de la Force aérienne savent combien de temps OTV-4 va durer, ils ne le disent pas.
" Le X-37B est conçu pour une durée en orbite de 270 jours ", a déclaré Hoyler. " Des missions plus longues ont été démontrées. Comme avec les missions précédentes, la durée réelle dépendra des objectifs des tests, des performances et des conditions du véhicule sur orbite pour faciliter l'atterrissage."
Crédit Boing (octobre 2014)
Le secret qui entoure le X-37B et ses charges utiles a alimenté les spéculations dans certains milieux disant que le véhicule pourrait être une arme de l'espace en quelque sorte. Mais les responsables de la Force aérienne ont à plusieurs reprises réfuté cette notion. (Ce qui ne veut bien sûr pas dire grand chose car des militaires ne dévoileraient pas ce genre de chose de toute façon !)
" Les principaux objectifs de l'X-37B sont de deux ordres : des technologies d'engins spatiaux réutilisables pour l'avenir de l'Amérique dans l'espace, et des expériences d'exploitation qui peuvent être retournées, et examinées, sur Terre, " ont écrit les responsables de la Force aérienne dans le feuillet d'information en ligne du X-37B. " Les technologies testées dans le programme comprennent le guidage avancé de la navigation et du contrôle; des systèmes de protection thermique; l'avionique; le vol orbital, la rentrée et l'atterrissage autonomes; des structures et des joints à haute température; l'isolation conforme réutilisable, les systèmes de vol électromécanique légers."
Sources : http://www.space.com/29221-x37b-military-space-plane-fourth-mission.html + http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2800472/x-37b-likely-spy-plane-expert-claims-secret-spacecraft-covertly-watching-nations.html
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Yves Herbo Traductions, S,F,H, 26-04-2015