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Le Pont D'Adam-Rama
Le Pont D'Adam-Rama
Une MAJ de cet ancien article avec l'ajout de plusieurs liens (ci-dessous et dans l'article lui-même) car il s'avère de plus en plus que cette fameuse culture védique de l'Inde n'est absolument pas un mythe mais une réalité déformée, comme la plupart des mythes et légendes... l'Histoire est en train d'être réécrite ! :
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/la-culture-vedique-de-l-inde.html
Le pont d'Adam, aussi appelé pont de Rāma ou Setubandha et Rāmasetu, est un archipel constitué de bancs de sable s'étirant entre l'Inde et le Sri Lanka et séparant le golfe de Mannar du détroit de Palk. Le pont d'Adam est constitué d'un chapelet de bancs de sable et de hauts-fonds s'étirant sur une trentaine de kilomètres entre le sud-est de l'Inde et le nord-ouest du Sri Lanka dans l'océan Indien. Plus précisément, l'archipel relie l'île indienne de Pamban au large de la côte de Coromandel à l'île sri lankaise de Mannar. Administrativement, l'archipel est partagée entre l'Inde et le Sri Lanka, respectivement entre le district de Ramanathapuram de l'État du Tamil Nadu et le district de Mannar de la province du Nord.
Le pont d'Adam sépare le golfe de Mannar au sud du détroit de Palk au nord et ses hauts-fonds empêchent les navires avec un certain tirant d'eau de faire le passage. En effet, la profondeur n'excède pas 1,2 mètre à marée haute entre les différentes îles hormis au niveau de trois chenaux difficiles à traverser.
Selon des indices géologiques et des textes anciens, le pont d'Adam aurait été par le passé un isthme qu'une violente tempête survenue en 1480 aurait partiellement détruit, créant les différentes îles de l'archipel. Dans le Rāmāyana, l'archipel, appelé « pont de Rāma », a été construit par Rāma désireux de gagner l'île de Lanka où son épouse Sitā était retenue prisonnière par le roi démon Rāvana.
Avec la colonisation du Raj britannique et de Ceylan par le Royaume-Uni, des travaux sont entrepris dans le pont d'Adam d'une part dès 1838 afin d'améliorer la navigation entre les bancs de sable et d'autre part au début du xxe siècle dans le but d'établir une liaison fixe terrestre entre le Sri Lanka et le continent. La compagnie ferroviaire South Indian Railway tente ainsi de construire une ligne de chemin de fer grâce à un viaduc mais il ne fut jamais entièrement réalisé. Néanmoins, la liaison ferroviaire Indo-Ceylan express a fonctionné jusqu'en 1965. Cette ligne de chemin de fer permettait de relier Chennai à Colombo avec une partie par ferry entre l'extrémité orientale de l'île indienne de Pamban et l'extrémité occidentale de l'île sri lankaise de Mannar. Mais en 1965, un cyclone détruit une grande partie de la voie à Dhanushkodi, le dernier village indien au bout de l'île de Pamban, et les trains s'arrêtent désormais à Rameswaram.
En 2001, le gouvernement indien a approuvé le projet du chenal maritime Sethusamudram visant à créer un passage pouvant être emprunté par les navires qui pourraient alors éviter le contournement du Sri Lanka en traversant le détroit de Palk et ainsi économiser trente heures de navigation que représentent ces 400 kilomètres. Ce projet prévoit de draguer les hauts-fonds situés non-loin de Danushkodi, le dernier village indien à l'extrémité orientale de l'île de Pamban. Ce nouveau projet est similaire à celui élaboré pour la première fois par le commandant A. D. Taylor des Indian Marines en 1860.
(Wikipedia) - Note YH : en 2003 le gouvernement indien a renoncé au projet suite à une étude économique et aux protestations du peuple : le pont est sauvé...
Lire la suite ci-dessous :
Les Cartes Impossibles
Les Cartes Impossibles
Lors de la réfection du musée du palais Topkapi Sarayi d'Istanbul en 1929, le directeur des musées nationaux turcs, M. Halil Edem mit la main sur la fameuse carte en peau de gazelle de Piri Reis, peinte en 1513.
Cette carte représente l'Océan Atlantique avec une partie des côtes américaines, africaines et de l'Antarctique.
Piri Reis a écrit sur sa carte, en notes et dans son "Bahriye" :
"Personne n'a au temps actuel une carte comme celle-là ( 1 ) ".
"Ces cartes ont été dressées selon les données de chartes, des portulans de quatre Portugais qui montrent le Sind, le Hind et la Chine et d'une carte dessinée par Christophe Colomb. Elles sont aussi justes pour la navigation sur les sept mers que les cartes de nos pays."
Il dit avoir compilé sa carte à partir de vingt autres ( 2 ) provenant de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie et datant au moins du IVe siècle av. J.C. .
Au premier coup d'oeil cette carte peut paraître inexacte, si l'on est habitué aux cartes Mercator, mais pas si l'on est familier des projections stéréographiques polaires ( plus précisément c'est une projection cordiforme ). Cette carte faisait sans doute partie d'un ensemble qui constituait une mappemonde comme celle-ci :
La carte de Piri Reis a fait l'objet de nombreuses études par :
- L'ingénieur américain A. Mallery.
- M. Walters du Bureau d'Hydrographie de l'U.S. Navy.
- Le professeur D. Lineham directeur de l'observatoire de Weston et chef des services sismologiques de l'année géophysique.
- Le professeur C. H. Hapgood du Keene College, New Hampshire, USA, auteur de la théorie sur le glissement de l'écorce terrestre.
- Le professeur R.Strachan, du Massachusetts Institute of Technology.
- Le Lt-Colonel H.Z.Ohlmeyer, Cdt du 8e escadron de reconnaissance technique de l'US Air Force.
Il ressort de ces études que cette carte est impossible, hors de son temps, compte tenu des connaissances de l'époque pour de nombreuses raisons :
- L'île de Marajo à l'embouchure de l'Amazone n'a été découverte qu'en 1543.
- Les îles Malouines seront découvertes en 1592.
- Les Andes sont représentées, elles ne sont pas encore connues.
- Le Lama, mammifère typique de l'Amérique du sud, est peint sur les Andes, il a été identifié en 1598 par les Espagnols.
- Les grandes îles au-dessus de l'équateur, inconnues, correspondent aux haut-plateaux sous-marins des îlots St Pierre et St Paul, sur la Grande Dorsale Atlantique ( dont personne ne soupçonnait l'existence ).
- On y voit les côtes de l'Antarctique qui ne sera découvert qu'en 1818 soit 300 ans plus tard.
- L'Amérique du sud est reliée à l'Antarctique par un isthme qui a disparu il y a 10 000 ans.
Enfin l'élément le plus troublant, celui qui soulève le plus de questions :
Les rivages de l'Antarctique que l'on peut voir sont ceux de la Terre de la Reine Maud sans aucune glace !
Nous avons eu la confirmation de ce tracé en 1949 après les relevés sismiques d'une expédition anglo-suédoise.
Or, même s'il existe encore quelques scientifiques qui continuent à prétendre que la calotte entière est vieille de plusieurs millions d'années, d'autres admettent la possibilité que cette partie de l'Antarctique ait pu être dégagée de ses glaces pendant environ 9 000 ans, jusqu'à il y a au moins 6 000 ans !
1 : En fait il se trompait, il existait d'autres cartes, (voir ci-dessous).
2 : L'équipe du Pr Hapgood a reconstitué les différents morceaux, pas toujours à la même échelle ( par exemple l'Amazone est placé deux fois ) et pas toujours bien orientés ( par exemple les Caraïbes ) ni bien placés dans l'ensemble ( par exemple une portion du Chili placée au hasard ). Ce qui est pardonnable puisque ces terres étaient inconnues.
3 : Cette hypothèse fort probable, repose sur les datations effectuées par l'Institut Carnegie de Washington des carottages de la mer de Ross ramenés par l'expédition de Byrd en 1949. La banquise à cet endroit est maintenant épaisse de plusieurs centaines de mètres.
excellent article de Marc ANGEE, toujours d'actualité (voir lien en bas).
Il existe d'autres cartes impossibles :
Celles de Ptolémée, datant du IIe siècle et retrouvées au XVe siècle, montrent le Groenland non entièrement recouvert de glace et des glaciers en Suède tels qu'ils étaient il y a 10 000 ans.
Le Yu Ji Tu, ou Carte de la Voie de Yu Gong, sculptée dans la pierre en 1137, localisée dans la Forêt de stèles à Xi'an (Chine). Cette carte de moins d'un mètre carré environ présente une échelle de 100 li pour chaque rectangle gradué. Les côtes et rivières chinoises sont clairement définies et localisées avec précision sur la carte.
Celle gravée sur un pilier en 1137, en Chine (ci-dessus), tracée selon une grille faisant appel à la trigonométrie sphérique ( technique utilisée dans les autres cartes occidentales citées ci-après ).
Divers portulans, notamment celui de Dulcert (1339), d'une précision de notre temps, sur la Méditerranée et l'Europe de l'Irlande à la Russie.
Les latitudes y sont parfaitement exactes et l'erreur maximale des longitudes est inférieure au demi-degré.
Celle d'Ibn Ben Zara (1487) montre l'Europe du nord et son glacier tel qu'il était il y a 12 000 ans et la Méditerranée dont le niveau correspond à celui qui existait à la dernière période glacière. Là encore la précision des longitudes est étonnante.
Fleuves d'Amérique sur la carte d'Enricus Martellus en 1489 !!!
- cartes publiées par Paul Gallez
1 - RIO ORINOCO <> 2 - RIO AMAZONAS <> 3 - RIO TOCANTINS <> 4 - RIO SAN FRANCISCO <> 5 -RIO PARANÁ
6 - RIO PARAGUAY <> 7 - RIO NEGRO <> 8 - RIO COLORADO <> 9 - RIO CANANEA
Celle du portugais De Carneiro (1502) qui représente toutes les côtes d'Afrique avec une grille utilisant également la trigonométrie sphérique..
Celle d'Andrea Benincasa (1508) sur la mer Baltique avec ses glaciers disparus depuis 10 000 ans.
Celle de Jorge Reinel (1510) qui montre l'Océan Indien avec une étonnante précision des longitudes.
Celle d'Oronteus Finæus (1531) décrit l'Antarctique avec une très grande précision et dégagé d'une grande partie de sa calotte glacière, soit tel qu'il était il y a au moins 6 000 ans. ( 3 ) Outre les côtes dépourvues de glace, les fleuves, les chaînes montagneuses intérieures découvertes assez récemment, elle indique également le pôle sud !
Celle de Zeno (1380 recopiée en 1558) montre le Groenland sans glaces, avec ses montagnes et des îles inconnues (?).
Celle d'un autre turc, Hadji Ahmed (1559), représente l'Amérique avec une précision qui ne sera égalée que deux siècles plus tard ; elle montre également une terre entre la Sibérie et l'Alaska, là où se trouve le Détroit de Behring, cet isthme a disparu il y a environ 10 000 ans.
Mercator lui-même, dans son Atlas de 1569, montre l'Antarctique avec des éléments encore plus précis que ceux d'Oronte Fine.
Un détail amusant : sa description de l'Antarctique est plus précise que celle de l'Amérique du sud et de l'Afrique du sud, pourtant élaborée à partir des rapports de ses contemporains, et jugée plus fiable !
Selon toute vraisemblance, les cartes originales entreposées à la Grande Bibliothèque d'Alexandrie ont été copiées, compilées et sans doute transférées dans les cités les plus rayonnantes comme Constantinople qui fut reprise par les Vénitiens ( grands navigateurs ) en 1204, puis diffusées d'une manière très confidentielle. Ces portulans avaient non seulement une très grande valeur marchande mais ils étaient également du plus haut intérêt sur le plan militaire et commercial.
Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu'il a existé, il y a au moins 6 000 ans, une civilisation inconnue possédant :
Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée :
Trigonométrie sphérique.
Translation trigonométrique.
Projection cordiforme.
Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires...
Une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre.
Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes, ou bien... certains experts affirment que la précision des tracés n'a pu être obtenue qu'à l'aide de relevés aériens... (voir prochainement les artefacts "d'avions" trouvés...)
C'est seulement à cette époque que l'homme serait sorti de ses grottes et aurait commencé à se "civiliser" au Moyen-Orient (coïncidence ? ). Or il semble bien que l'ensemble de la planète ait été cartographié.
De plus, il faut souligner le fait que ce ne sont pas seulement des cartes côtières, car on y trouve également les chaînes montagneuses à l'intérieur des continents avec leurs altitudes ! En plus d'être de fameux marins, ils devaient également être de sacrés explorateurs...
(Sources : Wikipedia, http://www.ldi5.com/archeo/map.php, http://www.ldi5.com/archeo/barthe1.php)
Yves Herbo, S,F,H, 01/2012, reup 04-2015
OVNIs : Le mystère de la Chambre Bleue
OVNIs : Le mystère de la Chambre Bleue
Les choses "bleues" sont souvent secrètes et elles sont souvent associées au vol et à l'aérospatiale. Militaire bleu a toujours signifié l'importance et l'autorité. Bleu nous rappelle le ciel et il est la couleur de la Force aérienne. «Have Blue" a été un nom de code secret d'un projet caché de Lockheed pour les prototypes Stealth. «Livre bleu» était bien sûr une étude USAF sur les OVNI. Mais il existe la fameuse "Blue Room" à Wright Patterson où il est dit par certains que les artefacts extraterrestres sont stockés. C'est un endroit où la vérité tangible sur ce que le gouvernement des États-Unis sait vraiment sur les soucoupes volantes réside. Souvent, les choses qui semblent nous changer à tout jamais viennent de l'extérieur du bleu et le contenu de la Chambre Bleue va sûrement le faire.
C'est parce que un document officiel récemment découvert offre une preuve concluante que l'US Air Force a été forcé d'admettre :
- L'existence de la longue rumeur "Blue Room" et son emplacement à la Base Wright-Patterson Air Force, après des années de déni du gouvernement
- L'exploitation de The Blue Room d'au moins 1955 à 1965, et peut-être beaucoup plus tôt et beaucoup plus longtemps
- Un film de 35mm officiellement pris de la Chambre Bleue, apparemment pour documenter le contenu de ce qu'elle détenait
- Avoir détruit le film de la Blue Room (probablement après une enquête au sujet de la Blue Room par une requête d'un sénateur américain)
Les efforts lancés par cet auteur sont en train d'ouvrir la porte de la chambre bleue un peu plus. Ces nouveaux documents de la FOIA :
- Le Nom pour la première fois de l'agence peu connue en vertu de laquelle la salle mythique bleu fonctionne
- Expliquent comment " des menaces de la part de royaumes de l'air et dans l'espace " sont confirmés se rapporter à la Chambre Bleue
Il est à espérer que ces efforts continus vont nous révéler bientôt tout simplement s'il y a des choses merveilleuses d'autres mondes cachées dans ce lieu des plus mystérieux.
Pourquoi nier The Blue Room ?
En Intelligence Community (IC) et en langage militaire, une "Blue Room" est la partie de l'espace dans un bâtiment ultra-sécurisé qui est conçue et équipée pour contenir des articles de haute sensibilité et d'un grand intérêt technologique. Dans le cas de la Blue Room de Wright Patterson, il est bien évident que ces articles se rapportent à la technologie extraterrestre.
Une des premières demandes à la FOIA concernant la Blue Room a été faite au début le 30 décembre 1980 par le chercheur sur le crash d'ovni de Roswell William Moore. Le 7 Janvier 1981, Moore a reçu une réponse de l'US Air Force qu'il n'y avait pas de dossiers d'une Chambre Bleue qui existait. La promesse de suivi à Moore par l'Air Force n'a apparemment jamais eu lieu. Vous pouvez voir cette réponse ici :
Cependant, dans une brève interview, le sénateur américain cinq fois mandaté, l'ex-général et candidat à la présidence des États-Unis Barry Goldwater, se réfère à un « atterrissage » d'un vaisseau spatial il y a plusieurs décennies avant et qu'il avait dit au général Curtis LeMay (probablement au début des années 1960, qui deviendra une date importante plus tard dans cet article) : " Je sais que vous avez une Chambre (à Wright Patterson) où vous avez mis tous les trucs secrets." Le mot "trucs" (stuffs) est défini par les dictionnaires comme « matériau de laquelle quelque chose est fait » ou « propriété, biens, équipements de choses. " Cela dit, Goldwater fait clairement référence à des éléments matériels de construction de soucoupe volante dans ces dossiers dans la Chambre, sans références ou rapports. Et Goldwater a vigoureusement nié un tel accès, comme cela est raconté dans ce clip :
La Force aérienne est forcée à un aveu étonnant : " IL Y A UNE CHAMBRE BLEUE et Nous avons brûlé les FILMS A CE SUJET "
Dans une réponse récemment découverte de la FOIA à un citoyen privé faite il y a vingt et un ans, la Force aérienne a été obligée de répondre directement au sujet de la Blue Room. Ce fut apparemment en raison de la spécificité de la demande FOIA du citoyen. Dans cet enregistrement extraordinaire, authentifié et profondément archivé nous trouvons des aveux extraordinaires du gouvernement des États-Unis :
Dans un complet "volte-face" et un changement soudain dans la position sur l'existence de la Blue Room (une décennie après que le chercheur William Moore s'était enquis de la question et on lui avait dit qu'il n'y avait "aucune trace" de celle-ci) de la US Air Force. Ils ajoutent qu'elle était au moins en opération depuis une dizaine d'années, que les images de celle-ci ont été prises, et qu'elles ont ensuite subi la destruction.
Cet aveu du gouvernement des États-Unis est dit ici:
RARE DOCUMENT FOIA CHAMBRE BLEUE
La personne qui a fait faire cette enquête pointue au gouvernement des États-Unis est nommé Brian Parcs.
J'ai supprimé l'adresse de sa rue qui apparaît sur le document FOIA car encore une fois, il est un citoyen privé. Il (et surtout le chercheur canadien Grant Cameron, du site web "Presidential UFO") doivent être félicités pour leur ténacité à en savoir plus au sujet de la Blue Room.
Notez que le document confirme un certain nombre de projets et numéros d'identification USAF relatifs à la Blue Room. Ils affirment que " le film de 35 mm " de la salle a été « détruit » le 9 Septembre 1965. Aucune mention n'est faite concernant sous quelles auspices ou quel ordre de destruction ce film Blue Room a été détruit. Incroyablement, le sénateur Goldwater mentionne dans son interview filmée qu'il avait téléphoné au général LeMay à propos de cette Chambre mystère à Wright. On croit que cela s'était produit dans les années 1960 au début-milieu, autour de la même plage de temps où le film a été admis avoir été détruite par l'Armée de l'Air.
Faire le pressing de la Chambre Bleue à la FOIA
Lorsque cet auteur a mis au courant Cameron de sa trouvaille, il était évident que le suivi était en ordre et il a accepté. En tant que citoyen américain, j'ai ensuite fait une demande à la FOIA très directe qui a été envoyée par l'intermédiaire du site Web FOIA de l'US Air Force. Voici une transcription directe (moins l'adresse du domicile) de cette réponse FOIA : Avril 26, 2012. 13:27
" Merci de fournir des copies de tous les documents et autres dossiers relatifs à des fichiers, des fonctions et des opérations de "Blue Room", ce qui est confirmé par le DOD avoir été un projet et / ou l'emplacement de Wright Patterson Air Force Base.
"Blue Room" a été confirmée auparavant par la Force aérienne avoir été active en 1955 et a pu continuer pendant des années après. Un film "Blue Room" a été détruit en 1965 par l'Air Force comme l'a été admis par la Force aérienne.
L'existence de "Blue Room" est confirmé dans une réponse FOIA horodaté Octobre 9 1991, par le DOD américain, Département de la Force aérienne, le Commandement de transport aérien militaire Siège, Scott Air Force Base, IL 62225 et signée par Eddie L. Anderson , USAF, Directeur de la Gestion de l'information. Le colonel Anderson a fourni sa réponse à l'auteur de la demande Brian Parcs, ____, Torrance, CA 90504. En réponse colonel Anderson à M. Park en 1991 requête FOIA, le colonel Anderson références "Blue Room" en tant que :
Numéro d'identification USAF 23775
7307 Numéro du projet
Titre: Blue Room, Wright-Patterson AFB, OH 1955
Le colonel Anderson indique dans sa réponse à la FOIA pour Parcs que ce film, de "Blue Room" a été détruit le 9 Septembre 1965, selon les dossiers de la DOD de mouvement enregistre Media Center, Norton Air Force Base, en Californie.
Merci de me fournir des copies de tous les documents relatifs à "Blue Room". " Anthony Bragalia
Adresse, Email
Réponse étrange de l'US Air Force : La Chambre Bleue est une question de renseignement spatial "
La Force aérienne a accusé réception de ma demande FOIA dans un courriel daté du 11 mai 2012, 12h01 à partir du Centre du service FOIA demandeur. L'e-mail indique qu'un numéro de dossier avait été attribué à ma demande présentée. Puis, dans une réponse remarquable et franche envoyée par Lynn Kane, WPAFB FOIA analyste, certaines choses importantes au sujet de la Blue Room étaient (peut-être involontairement) révélées :
De: Kane, Lynn C Civ USAF AFMC 88 CA / SCOK {@ Lynn.Kane wpafb.af.mil}
Envoyé: lundi 14 mai 2012 14:47
Pour: tony@______.com
Objet: FOIA 2012-03668-F-ST1, transféré à NASIC
M. Bragalia,
Il s'avère que le bureau d'enregistrement pour les Blue Room est le NASIC-National Air and Intelligence Center de l'espace. Par conséquent, la Wright Patterson Air Force Base (WPAFB) FOIA Office a transféré votre demande au NASIC, qui répondra à votre demande FOIA séparément. Les coordonnées de NASIC FOIA Office est (937) 257-6284.
Lynne Kane, WPAFB FOIA analyste, (937) 522-3091
Dans la réponse de Kane :
- Kane admet que l'Air Force est au courant de fonctionnement de Blue Room
- En outre, on apprend que le «bureau d'enregistrement» pour Blue Room est le National Air and Space Center Intelligence ou NASIC. Autrefois Division de la Force aérienne de la technologie des affaires étrangères (FTD) à Wright, l'organisation a été rebaptisée NASIC en 1992. C'est la division très réputée pour avoir été responsable de l'analyse des débris du crash de Roswell !
- L'implication est que, depuis le bureau responsable de la "Salle des choses Blue" est le NASIC, agence relativement nouvelle, que la Blue Room est toujours en vigueur ou que en quelque sorte, NASIC était responsable de son contenu
Fait intéressant, NASIC a une mission définie, qui est très révélateur par rapport à la Blue Room. Cette mission est définie dans un fichier PDF en ligne Histoire NASIC: " Pour recueillir et d'analyser l'intelligence globale spécialisée sur les menaces réelles actuelles et projetées de l'air et l'espace ". NASIC (et ses prédécesseurs) est désormais considéré comme très puissant (et en grande partie caché) avec des accès spéciaux à des organisations avec des ressources massives, de talents sans limites et de budgets noirs d'investissement -un endroit idéal pour un intendant et commissaire d'artefacts extraterrestres récupérés.
ET PUIS UN REFUS, ENCORE
Le 17 mai 2012 (seulement trois jours avant la réponse envoyée par courriel par l'analyste de la FOIA Lynn Kane) l'auteur a reçu une copie sur papier-lettre postée comme une réponse définitive à ma demande FOIA sur la Blue Room. La transcription (adresse du domicile en moins) est ici:
Département de l'Armée de l'Air
National Air & Space Intelligence Center (AF rapport de recherche internationale Agence)
Wright-Patterson AFB Ohio
17 mai 2012
NASIC / SCOK (FOIA)
4180 Chemin Watson
Wright-Patterson AFB OH 45433-5648
M. Anthony Bragalia
(Adresse)
Monsieur Bragalia :
Cette lettre fait référence à votre Freedom of Information Act (FOIA) Demande datée du 26 Avril 2012 pour les dossiers relatifs à "Blue Room". Nous recevons votre demande et le numéro attribué par cas FOIA 2012-03668-F. Une recherche a été menée pour le compte rendu que vous demandez et nous ne pouvions pas localiser tous les dossiers. Nous avons recherché (sic) à plusieurs reprises dans le passé pour les dossiers liés à "Blue Room" et n'avons pas pu localiser tous les dossiers. Si vous interprétez cette réponse "pas de dossiers" comme un effet indésirable, vous pouvez faire appel au Secrétaire de la Force aérienne dans les 60 jours civils à compter de la date de cette lettre. Incluez dans votre appel les raisons pour réexamen et joindre une copie de cette lettre. L'appel doit être transmis au secrétaire de l'Armée de l'Air, Thru: NASIC / SCK (FOIA), 4180 Chemin Watson, Wright-Patterson AFB OH 4533-5648.
Sincèrement,
Gery D. Huelsman
Liberté NASIC du Gestionnaire de l'information
UN APPEL ET POURSUITE FOIA IMMINENT
Le 5 Juin 2012, l'auteur à posté un appel au NASIC comme étant une non-réponse à sa demande FOIA sur la Chambre Bleu. Huelsman maintient qu'aucun dossier sur la salle n'existent et qu'ils ont "regardé avant." C'est peut-être la réponse la plus hypocrite et hardiment non conforme jamais donnée à un demandeur FOIA. Ce qu'ils ont "regardé avant" est un commentaire dégradant qui n'est pas sensible à l'information spécifique que j'avais reçue de la Force aérienne dans ma requête FOIA. Bien qu'ils avaient regardé ce qu'il en était avant, ils ont donné des réponses différentes au sujet de Blue Room à des moments différents. Comme je l'ai indiqué dans mon appel :
- Si il n'y a en fait pas de dossiers, comment juste l'analyste du WPAFB FOIA Lynne Kane peut savoir qu '« il s'avère " que le " bureau d'enregistrement " pour "Blue Room" est en effet NASIC ? J'ai demandé des documents et tout ce que l'analyste FOIA Lynn Kane avait trouvé a été de faire la détermination que l'agence responsable était NASIC.
- S'il n'y a en fait aucun des dossiers, comment le colonel Eddie Anderson (dans sa réponse au début de la FOIA au demandeur Brian Parcs) a pu rechercher des enregistrements montrant que le film 35mm de la Chambre Bleue avait été détruit le 9 Septembre 1965 ? J'ai demandé tous les dossiers relatifs à cette destruction, y compris une ordonnance de destruction.
- Si il n'y a en fait pas de documents, pourquoi le colonel Anderson a concédé à Brian Parcs le numéro d'identification donné, le Numéro du projet et le titre se rapportent à la Blue Room ? J'ai demandé tous les dossiers relatifs à cette information d'identification.
Je suis prêt à utiliser un recours juridique si nécessaire, y compris l'utilisation des avocats pour forcer la vérité de ceux qui trompent.
OUVERTURE DE LA PORTE DE LA CHAMBRE BLEUE
Les dénégations et les réponses contradictoires de la Force aérienne sur la question Blue Room sont flagrantes. Je me rappelle les dénégations répétées très similaires par la Force aérienne sur un autre super-secret OVNI du gouvernement liée à l'entité UIP (Interplanetary Phenomenon Unit). Il a fallu plus d'une décennie pour obtenir tous les détails de fond sur l'UIP. Je n'ai pas l'intention d'attendre aussi longtemps pour découvrir la vérité ultime sur la Blue Room. Tout comme le film Blue Room, dans une réponse FOIA, l'Armée de l'Air avait finalement affirmé que les fichiers de l'UIP avaient été détruits. Dans un article plus ancien sur le National Reconnaissance Office, l'auteur a raconté comment, en tant que pré-ado, il avait déposé une FOIA sur le NRO, et reçu un refus et même réponse de " pas de dossiers " sur l'existence du NRO aujourd'hui reconnu !. Ces sortes d'excuses du gouvernement et des mensonges au sujet de la Blue Room seront dévoilés avec l'exposition. La porte de cette salle a été fermée pendant des décennies. Il est maintenant temps de la balancer toute grande ouverte et de voir par nous-mêmes ce dont le petit nombre de privilégiés est au courant : la preuve matérielle des aliens intelligents et leur arrivée sur Terre.
Comme un ancien Beatles l'a écrit: " “THINGS THAT WILL CHANGE YOU FOREVER WILL APPEAR FROM WAY OUT OF THE BLUE” GEORGE HARRISON, 1988
Anthony Bragalia
Source : http://bragalia.homestead.com/blueroom.html - rappelons que, depuis cet article et plusieurs autres dans lesquels Mr Bragalia dénonçait les "cachotteries" des différents gouvernements américains, son site internet a fait l'objet de plusieurs tentatives de piratages, a été interrompu et il affirme aussi avoir reçu de très nettes menaces... Mr Bragalia est aussi l'un des premiers à avoir annoncé, dès la mi-2014, la découverte de nouvelles preuves sur Roswell (les diapos et témoignages devant être en principe révélés en mai 2015) et il a participé aux débats les concernant, avant que son site ne soit à nouveau piraté fin 2014...
Traduction Yves Herbo S,F,H, 23-06-2012, updated 10-04-2015
OVNIs et Conscience avec Eric Zurcher
OVNIs et Conscience avec Eric Zurcher
Eric Zurcher
Voici une interview (référencée comme la N°59) de Gilles Thomas très intéressante (une de plus !) car son sujet et l'enjeu qu'il y a derrière me paraissent extrêmement importants. Important, non seulement pour tous les ufologues ou ceux qui sont concernés et intrigués par ce phénomène, mais aussi très probablement pour l'ensemble de l'humanité, car les implications qui découlent des réflexions et études présentes dans cet ouvrage sont, à mon sens, primordiales pour le genre humain et la compréhension non seulement d'un phénomène agissant puissamment depuis des dizaines d'années sur l'espèce humaine (même si ce n'est pas toujours conscient), mais sur la propre compréhension de la place dans l'univers de cette même espèce humaine...
Gilles nous a permis de découvrir un peu en avant-première ce qu'étaient ces travaux et j'ai moi-même eu un peu l'impression qu'une clé sur la compréhension de ce qu'il m'était arrivé lors de mon observation, et mes étranges expériences vécues, avait été un peu découverte par d'autres, ou tout au moins approchée. Je vais donc tâcher de commander ce livre, en n'oubliant pas les propos d'Eric Zurcher sur la prudence nécessaire envers notre propre compréhension des choses et le long chemin qu'il reste encore certainement à parcourir pour pouvoir utiliser cette clé, et d'autres à venir... Je ne peux m'empêcher de penser que plusieurs chercheurs ont certainement déjà tourné autour de certaines probabilités, certains aperçus de réalités, comme Carl Gustav Jung entre autres, et ses exemples de synchronicités, qui sont sans nulles doutes, comme beaucoup de chercheurs le pensent, des preuves parmi d'autres d'une autre réalité qui est bien là, mais que nous ne pouvons voir que du coin de l’œil, jamais de face...
Eric Zürcher, créateur du CRUN (Centre de Recherche Ufologique Niçois), essayiste, auteur du livre « Les Apparitions d’Humanoïdes » (A. Lefeuvre, 1979) est l'un des contributeurs de l'ouvrage "OVNIs & Conscience".
Deux grandes énigmes de la science, la Conscience et les OVNIS, se rencontrent dans cet ouvrage collectif rédigé par des auteurs de premier plan qui, pour la première fois, entrecroisent leurs discours. Des scientifiques issus des sciences dures (physique) et des sciences humaines (psychologie, ethnologie), un philosophe des sciences, des ufologues-enquêteurs et des témoins analysent le phénomène OVNI à la lumière de ces deux énigmes et à partir de leurs domaines de compétences respectifs. Leurs analyses nous apprennent que celles-ci se pénètrent l'une l'autre et s'influencent réciproquement : dans de nombreux cas les OVNIS modifient la conscience des témoins qui voient s'élargir leurs capacités de perception. En retour, la conscience, ainsi modifiée, paraît plus apte à entrer en contact avec des formes d'intelligences évoluées et inconnues qu'il nous faut appeler des consciences exogènes. Que nous enseigne cette réciprocité ? De quelle manière nous permet-elle de jeter une lumière nouvelle sur le mystère des OVNIS ? La réponse à cette question s'appuie sur les avancées les plus récentes de la physique qui voit s'ouvrir à elle un nouveau paradigme : celui de l'information. A travers les promesses de la physique de l'information, un nouveau cadre théorique s'offre à l'ufologie qui lui donne les moyens de faire le lien entre la conscience et les OVNIS et de penser ainsi leur singulière réciprocité. Initiative sans précédent, cet ouvrage propose d'investir ce nouveau cadre qui interroge la nature de ce que nous appelons la matière, entreprise que seule une approche multidisciplinaire autorise. La cohérence de ses différentes contributions esquisse ainsi l'émergence d'une nouvelle ufologie, dont les répercussions vont bien au-delà de sa problématique pour suggérer une nouvelle conception de la Réalité. Une véritable révolution !
Gilles Thomas et OdhTv remercient le CRUN (centre de recherche ufologique niçois) d'avoir organisé l'interview.
Liens:
http://ovniconscience.com/index.html
http://info-crun.over-blog.com/
Cette interview est relayée par :
http://www.sciences-fictions-histoire
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
https://investigationsoanisetoceanographie
http://odhtv-archives.kazeo.com/
Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 09-04-2015
Des signaux aliens détectés ? Le SETI appelle à la prudence !
Des signaux aliens détectés ? Le SETI appelle à la prudence !
seth-shostak-seti
C'est une très sérieuse publication publiée le 17 mars 2015 et révisée le 30 mars 2015 dans la base scientifique arXiv.org de la très sérieuse Cornell University Library qui a remuée la planète scientifique au point que l'un des directeurs du SETI Institute le plus célèbre, l'astronome Seth Shostak, se soit senti obligé de monter en première ligne et d'appeler au calme et à la prudence...
Mais cette fois, il faut bien avouer que les calculs semblent imparables et que la régularité des intervalles détectés sur différents signaux, au nombre de 10 maintenant et tous basés sur un seul et unique chiffre démontrent à priori une origine artificielle de ces signaux radios, car on en est à moins de 5 chances sur 10.000 que ce soit le fait du hasard... mais voilà, pour simplifier, de quoi il s'agit :
Cela fait déjà quelques années qu'ils ont été repérés par les grandes oreilles des radiotélescopes, entre autres celui d'Arecibo, mais depuis l'an 2007 et quelques progrès en la matière, puis enfin une détection en direct au Parkes Telescope, en Australie en 2014, ont fait que les Sursauts Radios Rapides (FRB pour Fast Radio Bursts en anglais) sont devenus une réalité et un gros point d'interrogation pour les astronomes et physiciens.
Ces Sursauts FRB se présentent sous forme de flashs d’ondes radio qui durent quelques millisecondes. La physique que nous connaissons implique que la vitesse de propagation d'une augmentation ou diminution physique de la luminosité d'un objet céleste sur une telle brièveté (quelques millisecondes) ne devrait pas dépasser une taille de quelques centaines de kilomètres au maximum pour cet objet céleste. La même physique implique également qu'une impulsion électromagnétique émet des hautes fréquences et des basses fréquences, et que celles-ci nous parviennent d'une façon décalées d'autant plus importante suivant que cette impulsion provient de loin dans l'espace et à travers de la matière.
Notre physique appliquée à ces sursauts faisait donc qu'il ne pouvait s'agir d'étoiles normales mais aussi que ces objets-émetteurs étaient capables d’émettre en quelques millisecondes autant d’énergie que notre Soleil standard en une journée !
Plusieurs radiotélescopes se sont donc donnés pour mission d'analyser les données trouvées et observées (le radiotélescope de Parkes mais aussi le télescope en orbite Swift et le Nordic Optical Telescope de La Palma, aux Canaries) d'un tel FRB et ils ont trouvé dans un premier temps qu'il s'agissait d'un événement extra-galactique à 5.5 milliards d'années-lumières...
La supernova a été éliminée mais une théorie a été avancée, celle des étoiles de Planks, une nouvelle catégorie physique d'étoiles qui termineraient leur vie en explosant sous forme de trou... blanc, après être devenu un trou noir... l'effet pourrait donc s'inverser en quelque sorte...
Mais ce nouvel article et ces nouveaux calculs viennent un peu tout chambouler car pour ces trois astronomes, les signes proviennent également de l'intérieur de notre propre galaxie, la Voie Lactée, et ils semblent démontrer une trop forte régularité et conjonction entre les hautes et basses fréquences ! En effet, ces calculs portent sur les signaux des 10 FRB connus (et 10 détectés par plusieurs radiotélescopes !), et les intervalles de temps entre les plus hautes et les plus basses fréquences des impulsions radio détectées sont tous des multiples entiers d’un même nombre : 187,5. Cela prouverait que les FRB sont espacés régulièrement sur des milliards d’années-lumière, ce qui paraît complètement inconcevable... et pourtant ! Car la probabilité d’observer un tel espacement avec 10 FRB, est inférieure à 5 sur 10.000 !
Les trois astronomes, Michael Hippke, Wilfried F. Domainko et John G. Learned, écrivent que l’on est bien en présence de sources radio dans la Voie lactée qui, pour une raison inconnue, émettent des paquets de hautes et de basses fréquences espacés dans le temps par des multiples d’un intervalle fixé. L'une des hypothèses serait qu'il s'agirait en fait de satellites humains (militaires et "brouillant" les radiotélescopes ?) mais une autre est bien sûr la possibilité d'une ou plusieurs civilisations extra-terrestres. On pourrait même en poussant un peu, imaginer un réseau de "portes des étoiles" espacées régulièrement sur des milliards d'années-lumières et activées lors de passages de vaisseaux, que nos radiotélescopes auraient donc détectés !
C'est assez curieux mais c'est le SETI, par l'entremise d'un de ses directeurs astronomes, Seth Shostak, qui a le premier réagi, et de façon plutôt négative, en tout cas avec extrêmement de prudence dans un article nommé "Blame it on the Aliens" paru le 03 avril 2015. Le scientifique a rappelé que l'on avait déjà pris les Pulsars, lors de leur détection, pour des signaux extra-terrestres, par erreur. Il est vrai qu'on les avait appelé LGM (pour Little Green Men, Petits Hommes Verts !) à l'époque. Pareil pour les russes qui avaient détectés le premier Quasar...
Un extrait tout de même de son article que je traduit : " (...) Mais maintenant il y a quelque chose de nouveau - et d'inquiétant. Un trio d'astronomes affirme que, en regardant les vitesses des signaux, ils trouvent un motif, un point commun (a pattern). Les vitesses sont toutes des multiples entiers d'un (seul) chiffre.
C'est comme mesurer le poids de tous les enfants dans votre classe de latin, et de trouver que tout le monde est un multiple exact de 20 kilos, avec rien entre 100 kg, 120 kg, 140 kg, etc... Ce serait plus qu'un peu inquiétant... (...) "
Rappel article précédent sur les détections des signaux : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/astronomie-espace/mysterieux-sursauts-radios-intergalactiques-observes-a-parkes.html
Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 09-04-2015
Les pages des anomalies scientifiques - 2
Les pages des anomalies scientifiques - 2
Pacifique Sud : un fond marin volcanique à seulement 600 mètres de la surface ?
Cette nouvelle rubrique qui devrait comporter plusieurs pages (qui seront regroupées par la suite et après leur publication) va recenser certaines petites publications ou nouvelles brèves du passé sur des découvertes annoncées discrètement par certains professionnels ou scientifiques. Cela vient évidemment en complément du déjà large travail de compilation de données lisibles sur ce site. Ces annonces sont en principes toutes référencées et réelles et elles concernent toutes des "anomalies" par rapport aux normes, dogmes ou "establishment" scientifiques ou historiques. Il y a rarement des illustrations ou photos et l'annonce est parfois très brève. On se rapproche en quelque sorte un peu du "Livre des Damnés" de Charles Fort, mais plus récent et c'est voulu car ces données existent, même si elles ne sont pas très connues et explorées elles-mêmes... Je n'ai pas trouvé d'ordre préférentiel pour l'instant, un classement par continent par exemple pourrait être fait par la suite. Vous allez comprendre très vite de quoi il s'agit, je met le texte original quand dispo et la traduction française en-dessous :
Voici la page 1 : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/les-pages-des-anomalies-scientifiques-1.html
" Stone Alignments In Subsaharan Africa "
Namoratunga : de très vieux piliers de pierre polie
Megalithic sites are found everywhere; many were apparently used for calendar reckoning. Although numerous megalithic circles and other arrangements are known in Africa, particularly Ethiopia, astronomy does not seem to have been a primary objective of African sites. Now, however, a stone alignment in northwestern Kenya called Namoratunga has been found with unmistakable astronomical overtones. At Namoratunga, 19 large basalt pillars are arranged in rows forming a suggestive pattern. Since the site is dated at approximately 300 B.C., archeologists have taken sightings on seven prominent stars as they would have appeared during this period. (The azimuths of some of these stars had changed by as much as 12° in 2,200 years.) The stars chosen are those employed by Eastern Cushites, the present inhabitants of the region, in calculating their rather sophisticated calendar. Pairs and frequently triads of these pillars line up very accurately (to less than 1°) with the seven key stars. The people occupying this part of Kenya about 300 B.C., therefore, probably possessed detailed astronomical information.
(Lynch, B.M., and Robbins, L.H.; "Namoratunga: The First Archaeoastronomical Evidence in Sub-Saharan Africa," Science, 200:766, 1978.)
Comment. This astronomical sophistication is consistent with the celestial knowledge of the Dogon tribe...
Basalt pillar alignment at Namoratunga II
" Alignements de pierre en Afrique subsaharienne "
Des sites mégalithiques se trouvent partout ; beaucoup ont été apparemment utilisés pour le calcul de calendriers. Bien que de nombreux cercles mégalithiques et autres arrangements soient connus en Afrique, notamment l'Ethiopie, l'astronomie ne semble pas avoir été un objectif principal des sites africains. Maintenant, cependant, un alignement de pierre dans le nord-ouest du Kenya, appelé Namoratunga, a été trouvé, possédant des accents astronomiques indubitables. Au Namoratunga, 19 grands piliers de basalte sont disposés en rangées formant un motif suggestif. Depuis, le site a été daté à environ 300 avant JC, les archéologues ont calculé les observations sur les sept étoiles de premier plan pour voir comment elles sont apparues au cours de cette période. (Les azimuts de certaines de ces étoiles ont changé d'autant que 12 ° en 2.200 années.) Les étoiles choisies sont celles employées par les Cushites de l'Est, les habitants actuels de la région, dans le calcul de leur calendrier assez sophistiqué. Les paires et fréquemment les triades de ces piliers s'alignent très précisément (à moins de 1 °) avec les sept étoiles principales. Les personnes occupant cette partie du Kenya, il y a environ 300 avant JC, donc, possédaient probablement des informations astronomiques détaillées.
(Lynch, BM, et Robbins, LH; "Namoratunga: La première preuve archaeoastronomicale en Afrique sub-saharienne," Science, 200: 766, 1978.)
Commentaire. Cette sophistication astronomique est compatible avec la connaissance céleste de la tribu Dogon...
http://www.as.utexas.edu/~wheel/africa/namoratunga.htm
http://streamafrica.com/culture/namoratunga-like-nabta-playa/
" Does man survive death? "
In this remarkable paper, published in one of the most important medical/psychological journals, the author surveys the history of research into the survival of bodily death. He identifies three historical periods that mirror the scientific thinking of their times. At one point, research waned as many investigators believed that living individuals with paranormal powers were responsible for all the evidence. Now, however, research again proceeds on a broad front; even though hampered by most scientists' outspoken disbelief in the whole business.
The important types of evidence reviewed include the speaking of languages not normally learned, out-of-the-body experiences, and reincarnation memories. [Subjects that 99% of the scientific community would dismiss without examination. Ed.] The author, a professor of psychiatry, feels that this contempt is unwarranted and that most scientists are simply not aware of the vast amount of high quality data available. The long, well-documented paper concludes with the assertion that the data acquired so far do not actually compel the conclusion that life exists after death but that it certainly infers it strongly.
(Stevenson, Ian; "Research into the Evidence of Man's Survival after Death," Journal of Nervous and Mental Disease, 185:152, 1977.) " Est-ce que l'homme survit à la mort ? " :