Articles de yvesh

Suivi archeologie 2
Suivi archéologie 2 - Update 02-2015
Une découverte surprenante a été récemment faite par des archéologues israéliens lors d'une fouille à Jérusalem. Ils ont trouvé trois gravures en forme de V, mesurant chacune 50 cm, à l'intérieur d'un dédale de pièces creusées à même le roc.
«Ces marques sont vraiment étranges, vraiment intrigantes, a expliqué Eli Shukron, l'un des responsables de la fouille. Je n'ai jamais vu de marques comme celles-là.»
"Selon un article de l'AFP, les archéologues sont à ce point surpris par cette découverte qu'ils ne sont pas en mesure d'avancer une hypothèse sur l'origine ou la fonction de ces gravures vieilles d'au moins 2800 ans.
L'équipe d'archéologues a consulté quelques autres experts afin de percer le mystère, mais sans succès, les gravures demeurent toujours énigmatiques. Cette absence d'explication est inusité dans le monde de l'archéologie puisque les chercheurs arrivent habituellement à développer une théorie au sujet de la nature d'une trouvaille inattendue. (YH : théories misant sur le mythe quand il n'y a pas d'explications !)
Cette découverte a eu lieu pendant l'excavation des fortifications qui entourent la seule source d'eau de la Cité de David, le plus vieux quartier de Jérusalem. Les archéologues s'attendent à découvrir une autre marque du genre au cours de leurs recherches. Ils ont en leur possession une carte ancienne produite lors d'une expédition menée sur ce site au début du siècle dernier. Sur l'un des couloirs souterrains, un V y est dessiné."
Les archéologues doivent faire appel à d'autres compétences pour étudier ce qu'ils découvrent, c'est évident... par exemple, ils devraient savoir que le V dans la kabbale vaut 6 : nous avons donc là peut-être un "666" connu... mais est-ce bien des V en fait ? Car aucun n'est gravé de la même façon si on regarde bien. Des gravures au sol ou des encoches dans ce dernier pour soutenir un objet encastré dedans et qui a disparu ? Une étude des particules contenues dans ces rayures pourraient peut-être permettre de voir si un objet ou autre y a été introduit...
Update : Où en est cet archéologue très impliqué aujourd'hui ? :
" Dans le deuxième livre de Samuel, il est écrit que le roi David s'empara de Jérusalem, alors sous contrôle Jébuséens, en utilisant une conduite d'eau souterraine, un puits, pour pénétrer les défenses de la ville.
Aujourd'hui, un archéologue israélien croit qu'il a découvert ce tunnel d'eau, ainsi que la citadelle légendaire du roi David, a rapporté Associated Press.
L'Archéologue biblique Eli Shukron, anciennement avec l'Autorité des Antiquités d'Israël, a déclaré à l'AP que sa fouille a découvert un puits étroit où l'eau coulait et où ceux qui vivaient à Jérusalem vennaient puiser de l'eau. Le tracé du tunnel conduit jusqu'à l'enceinte de la ville, au point où il croit que les forces de David ont eu accès à Jérusalem.
(AP/Sebastian Scheiner)
Shukron a déclaré à l'AP que dans son estimation, aucune autre structure dans la région ne correspond à la citadelle que David a capturé dans sa conquête.
L'AP a rapporté : La fouille de Shukron, qui a débuté en 1995, a révélé une fortification massive de pierres de cinq tonnes empilées sur 21 pieds (6 mètres) de large. Des tessons de poterie mis au jour ont aidé les murs de fortification à être datés à 3.800 années. Ce sont les plus grands murs trouvés dans la région d'avant l'époque du roi Hérode, le constructeur ambitieux qui a élargi le complexe du Second Temple juif à Jérusalem il y a près de 2100 années.
(AP/Sebastian Scheiner)
La fortification, construite 800 années avant que le roi David ne s'empare du Jérusalem des Jébuséens - est soupçonnée avoir protégé l'accès à l'eau de la ville.
Shukron a dit que ses conclusions correspondent à des indices dans le récit biblique sur la conquête de David de la ville à partir de cet emplacement particulier.
" C'est la citadelle du roi David, c'est la citadelle de Sion, et c'est ce que le roi David a pris aux Jébuséens ", dit Shukron. " L'ensemble du site, nous pouvons le comparer à la Bible parfaitement."
Mais un autre archéologue qui a été autorisé à travailler avec Shukron, a dit que plus de tessons de poterie de l'époque du règne du roi David, lors du 10ème siècle avant JC, auraient dû être trouvés sur le site, afin de placer la trouvaille plus définitivement à cette époque.
" La connexion entre l'archéologie et la Bible est devenue très, très problématique ces dernières années ", a déclaré l'archéologue Ronny Reich.
Shukron dit qu'il a trouvé deux morceaux de poterie datés proches de ce moment-là, qu'il croit être dus à leur utilisation continue dans le secteur et que les anciennes pièces de poterie auraient été autorisées à sortir (ailleurs) dans les années intermédiaires.
" Je connais chaque petite chose dans la ville de David. Je ne vois pas dans aucun autre lieu une énorme fortification comme cela ", a déclaré Shukron.
Doron Spielman, vice-président de la Fondation à but non lucratif Elad, qui supervise le parc archéologique de la Cité de David, dit à l'AP, " Nous ouvrons la Bible et nous voyons comment l'archéologie et la Bible se réunissent en ce lieu. "
Shukron a fait des fouilles dans la Cité de David - qui est située à Jérusalem-Est - pendant deux décennies. Alors qu'Israël considère Jérusalem comme une ville unie qui est sa capitale, les Palestiniens de Jérusalem-Est la revendiquent comme leur future capitale. Pratiquement tous les lieux saints, y compris l'Eglise du Saint-Sépulcre, le Mur occidental et le Mont du Temple, sont situés dans la vieille ville, qui est dans la partie orientale de la ville...
Archaeologist Eli Shukron believes this chisel was used during construction of the Second Temple. The ruler below shows its length in centimeters. (Photo: Clara Amit, Israel Antiquities Authority via Tazpit News Agency)
Shukron était dans les nouvelles du mois dernier après avoir déclaré qu'il croyait avoir trouvé un ciseau utilisé dans la construction du Second Temple, une découverte que les médias israéliens ont décrits comme «extraordinaire» et «étonnante»...
Septembre 2014, le découvreur explique sa trouvaille
UNE ÉCRITURE CUNÉIFORME RARISSIME TROUVÉE SUR L'ILE DE MALTE
Des fouilles, dans ce que de nombreux spécialistes considèrent comme les plus anciens bâtiments sur l'île de Malte, continuent de dévoiler des surprises et soulèvent de nouvelles questions sur la signification de ces structures mégalithiques et sur les gens qui les ont construit.
La pierre d'agate avec des inscriptions cunéiformes. Crédit: Cultura Italia
La dernière découverte concerne une petite et rarissime pierre d'agate en forme de croissant de lune comportant une inscription cunéiforme du 13ème siècle avant notre ère; c'est normalement un genre épigraphique que l'on retrouve beaucoup plus à l'est en Mésopotamie.
Dirigée par le professeur de paléontologie, Cazzella Alberto, de l'Université de Rome «La Sapienza», l'équipe archéologique a trouvé la pierre avec l'inscription lapidaire dans le sanctuaire de Tas-Silg, un temple mégalithique construit à la fin du Néolithique, et qui a été utilisé à des fins religieuses et cérémonielles depuis le troisième millénaire avant JC jusqu'à l'époque Byzantine.
Après traduction, il s'avère que l'inscription est une dédicace au dieu-lune mésopotamien Sin, le père de Ninurta, qui, pendant des siècles, a été la principale divinité vénérée, beaucoup plus loin à l'est, dans la ville de Nippour en Mésopotamie.Nippour était considérée comme une ville sainte et un lieu de pèlerinage avec une école de scribes qui a généré des textes littéraires.L'emplacement de la découverte, fait de cette ancienne écriture la plus éloignée jamais trouvée à l'ouest, soulevant des questions sur la façon dont elle s'est retrouvée dans cet emplacement aussi distant.
Certains chercheurs émettent l'hypothèse que la pierre avait probablement été volée dans un temple de Nippour au cours de conflits militaires et ensuite transportée vers l'ouest par des marchands chypriotes ou mycéniens dont on pense qu'ils ont pu avoir avoir des relations commerciales avec la Méditerranée centrale à l'époque.
Par ailleurs, une inscription cunéiforme sur une agate devait avoir une grande valeur durant l'Age du bronze tardif; aussi, sa présence dans le site de Tas-Silg, d'après certains chercheurs, suggère que le sanctuaire avait une signification dont l'importance ne s'arrêtait pas à la population qui vivait sur Malte à cette époque. Le sanctuaire est déjà connu pour avoir été un important lieu de culte dans la région méditerranéenne au cours des époques phéniciennes et romaines.
Source: Popular Archaeology: "Rare Cuneiform Script Found on Island of Malta"
Update : un document (en anglais) très intéressant sur les sites fortifiés de l'Age du Bronze dans le sud de l'Italie et en Sicile par le même auteur :
http://www.academia.edu/7530012/Bronze_Age_fortified_settlements_in_southern_Italy_and_Sicily
"La Révélation des Pyramides" 2009-2011
Pour les passionnés, curieux, et dans le soucis de préserver le droit à la connaissance et à la culture, voilà, présentée en vidéo, de nouvelles théories concernant les pyramides, ainsi que sur l'existence d'un tronc commun à la plupart des antiques civilisations du monde, via des "couloirs" civilisateurs faisant le tour du monde très précisément. Ces "couloirs civilisateurs" (c'est moi qui invente ce terme) semblent constants et non-liés au Temps : les mêmes choses se produisent en quelque sorte dans ces couloirs à des époques différentes, mais qui se complètent en quelque sorte l'une les autres... Une chose étonnante (je ne connaissais pas ce documentaire) est que le tracé du "couloir civilisateur" principal - un peu comme un équateur disposé autrement que le notre actuel - est pratiquement identique à la "Pierre du Monde" trouvée en Equateur et décrite dans deux autres articles présents sur ce blog ! :
"Pierre du Monde" trouvée en Equateur dans un souterrain
Notez que ce documentaire d'origine française a été diffusé dans plusieurs pays du monde mais pas dans les pays francophones et n'est pas prévu à la vente non plus dans ces derniers. Ces liens étaient sur Dailymotion, peut-être provisoirement, avec une version inédite sous-titrée en français. De très belles images et la construction d'une théorie en grande partie basée sur les mathématiques et l'astronomie (la plupart des calculs et formules tirées de la Grande Pyramides ne sont pas nouveaux (la coudée égyptienne + Pi + le Nombre d'Or + la vitesse de la lumière !)) et l'étude précise de certaines constructions typiques mégalithiques, qui sont effectivement parfaitement identiques dans 7 endroits différents du monde très éloignés, l'étude de certains artefacts révèlent les preuves de l'utilisation de l'électricité de façon plus moderne qu'on ne le pense encore actuellement...
Les interviews de plusieurs sommités scientifiques françaises ou non, nous montrant parfois un peu trop l'acharnement de certains à faire appel aux coïncidences ou hasards quand les explications précédentes logiques "tombent", voir même la surprise et l'inquiétude quand un artefact assimilé à un support de vase en forme de fleur de lotus se révèle, aux rayons X, être pourvu de mécanismes proches de ceux d'un support d'ampoule électrique... Ces images expliquent peut-être la non-disponibilité de ce reportage en France (il date de 2009 à priori et n'inclus donc pas la dernière découverte de hiéroglyphes cachés dans la Grande Pyramide de cette année 2011)...
Le reste de la théorie m'a semblé beaucoup plus complexe et inachevée en final : je suis resté plutôt sur ma faim et indécis, voir peu convaincu. Si les Grands Anciens avaient voulu nous laisser un message concernant une destruction cyclique de la Terre, suite à leur propre destruction, ne nous auraient-ils pas en premier lieu indiqué l'instant temporel précis de cette destruction mondiale ? D'après la théorie (et qui rejoint donc plus ou moins les théories "2012"), les Grands Anciens ont, à travers plusieurs monuments, dont la Grande Pyramide (qui est encore à l'heure actuelle, avec quelques autres murs cyclopéens, le seul bâtiment en surface capable de résister aux séismes extrêmes), laissés des messages à travers des données mathématiques et architecturales pour les civilisations futures (ou leurs descendants survivants). Leurs trouvailles mènent à priori à un avertissement concernant le grand cycle de l’équinoxe cosmique de 26.000 ans, chose que les Anciens n'étaient pas censés connaître, mais pour l'instant sans vraiment nous aider à situer la catastrophe dans le temps par rapport à ce cycle connu, donc notre propre situation temporelle vis-à-vis de ce dernier et de la prochaine catastrophe...
Les déductions mathématiques (situation d'un autre équateur et d'autres tropiques, donc d'autres endroits pour les pôles) font apparaître un basculement de la Terre sur son orbite de 30% au moment de la précédente catastrophe, nous amenant à la situation présente avec notre équateur et pôles à leurs places actuelles... Cette théorie à l'avantage d'expliquer beaucoup de mystères de la préhistoire, à commencer par la congélation instantanée des mammouths sibériens : il a été prouvé qu'une grande partie était tranquillement en train de manger de l'herbe bien grasse quand ils ont été congelés en quelques minutes. Un déplacement rapide des Pôles ou de la masse d'air très froid qui l'accompagne peut expliquer le phénomène. Un tel basculement engendrerait également un gigantesque tsunami, faisant le tour de la Terre plusieurs fois et noyant absolument tout, de grands séismes et volcanisme associé, un changement climatique dans pratiquement toutes des régions de la Terre (avec cyclones et tornades assorties...).
Très intéressant en tout cas, avec aussi, trop rares, les avis d'ingénieurs et de scientifiques autres que des archéologues (attention, les avis de ces derniers sont bien sûr importants, mais pas uniques et souvent trop restreints à leur spécialité), surtout des spécialistes de la construction et de la pierre. Donne à réfléchir en tout cas, et confirme le fait que les spécialistes officiels sous-estiment complètement les capacités de l'être humain à des périodes reculées...
Update sur les données liées aux reportages "La Révélation des Pyramides" : se reporter aux déclarations de Patrice Pooyard et Jacques Grimault, les réalisateurs/auteurs et réfléchir par soi-même sans influences... :
https://www.facebook.com/notes/451608874900767/
https://www.facebook.com/LaRevelationDesPyramidesParPooyardEtGrimault
Yves Herbo traductions (de l'italien et anglais), Sciences, F, Histoires, 12-2011, update 27-02-2015

Sur les traces du tsunami perdu
SUR LES TRACES DU ‘TSUNAMI PERDU’
"PLUSIEURS SCIENTIFIQUES ET VOLCANOLOGUES ITALIENS TENTENT ACTUELLEMENT DE RÉUNIR UN MAXIMUM DE PREUVES POUR CONSOLIDER UNE NOUVELLE HYPOTHÈSE GÉOLOGIQUE MAJEURE : UNE ÉRUPTION DE L’ETNA JUSQUE LÀ INCONNU, IL Y A 8000 ANS AURAIT ENGENDRÉ UN TSUNAMI GÉANT ET DÉVASTATEUR POUR LES PAYS CÔTIERS DE L'ENSEMBLE DE LA MÉDITERRANÉE, RAVAGEANT TOUT SUR SON PASSAGE, DE L’AFRIQUE JUSQU’À LA TURQUIE !
Une énigme intrigue depuis longtemps les géologues : une traînée de sédiments, longue de plusieurs centaines de kilomètres, relie la Sicile à l’Afrique du Nord. La thèse officielle explique qu’il s’agit des débris de l’explosion du volcan de l’île Santorin, survenue il y a 3600 ans. Mais pour Maria Pareschi et ses collègues italiens de l’Institut National de Géologie et de Volcanologie, ce serait plutôt les restes d’une autre éruption beaucoup plus vieille, celle de l’Etna.
Et les sédiments analysés au carbone 14 fixent la date du cataclysme à environ - 8 000 ans. La colère du volcan aurait alors déclenché un glissement de terrain à une vingtaine de kilomètres de la Sicile, engendrant un gigantesque tsunami et des vagues de plusieurs dizaines de mètres de hauteur. L’équipe de Maria Pareschi a entré ces nouvelles données dans un ordinateur pour proposer une simulation informatique du ‘Tsunami perdu’, nom de l’étude parue dans les colonnes de la revue ‘Geophysical Research Letters’.
Lors de l’éruption, le flanc Est du Mont Etna s’est effondré ; 6000 mètres cubes de roches se sont alors déversés dans la Méditerranée, à une vitesse de 350 kilomètres/heure. L’onde de choc s’est ensuite propagée en direction de l’Europe du Sud, de l’Afrique du Nord, et de l’Asie Mineure. « Le long du littoral calabrais, les vagues créées par le tsunami ont atteint des tailles allant jusqu'à 40 mètres. Les côtes de la Grèce et de la Libye ont été affectées par des vagues de 13 à 15 mètres de haut, tandis que les côtes de l'Egypte, la Syrie et d'Israël étaient inondées par des vagues de 4 mètres » explique Pareschi.
« Selon les simulations informatiques des géologues, le mégatsunami aurait ravagé le littoral de 3 continents en moins de 4 heures ! »
"L’Etna est le plus haut volcan d’Europe ; il culmine en effet à 3300 mètres d’altitude. Toujours en activité aujourd’hui, il est surveillé de très près par les vulcanologues du monde entier…"
Les côtes littorales de ces 3 continents ont donc été dévastées par le mégatsunami, mais il est compliqué de réunir les preuves d’un tel événement près de 8000 ans plus tard : « Il est difficile de réunir des preuves terrestres de la catastrophe, car depuis le niveau de la mer a augmenté d’environ 10 mètres. Mais sous l’eau, les preuves sont évidentes, notamment au niveau du plancher de la Mer Ionienne et des plaines abyssales d’Afrique » commente Maria Pareschi. Son équipe a effet mis en relief une liquéfaction des couches épaisses de sédiments marins sous la pression du mégatsunami. D’importantes coulées de boue sous-marines confirment également la réalité de la catastrophe antique. Plus important encore : la trace d’un ancien village brusquement abandonné il y a 8000 ans a été mise à jour sur le site de Atlit-Yam, dans l’actuelle Israël. La zone repose désormais par 10 mètres de fond à quelques centaines de mètres de la côte : tout indique que les habitants ont quitté précipitamment le village il y a environ 8000 ans, abandonnant provisions et effets personnels. Cela fait penser à une évacuation soudaine, que l’équipe de géologues et vulcanologues italiens explique par le déferlement du tsunami."
Source : http://onlinelibrary.wiley.com/enhanced/doi/10.1029/2007GL031155/
Ce tsunami pourrait donc également justifier les traces marines (y compris fossiles récents) décelées jusque vers Giseh, s'il a pu remonter le Nil suffisamment loin... mais repousserait la construction du Sphinx et de certains temples Egyptiens à environ -6 000 ans avant J.C., puisque certaines de ces traces marines ont été trouvées au-dessus de ces temples. Plusieurs textes égyptiens mentionnent également de fortes inondations du Nil et des traces montrent qu'une grande partie de la nécropole a été inondée par le passé. On sait aussi que les côtes d'Alexandrie ont été ravagées par un tsunami, probablement celui provoqué par Santorin et qu'il existe des ruines et constructions englouties aussi bien dans le Nil que dans tout son delta et côtes. Evidemment, avec la découverte de ce tsunami antique supplémentaire dans la région, les défenseurs de l'Atlantide de Platon vont avoir de nouvelles dates et suppositions à faire...
Yves Herbo et Traductions, S,F,H, 12/2011, 02-2015

Panama, ses mystères et aussi un grenier précolombien ?
Panama, ses mystères et aussi un grenier précolombien ?
On sait assez peu de choses finalement sur les peuples qui vivaient entre le Mexique (c'est-à-dire les Aztèques quand les conquistadors sont arrivés) et le continent sud-américain où régnaient les Incas vaincus par Pizarro. A priori, tous les pays actuels entre le Mexique et la Colombie étaient occupés par diverses tribus autonomes passées de l'état de chasseurs-cueilleurs à celui d'agriculteurs entre 3000 et 2500 avant JC. Au Panama, il a été recensé 3 cultures principales ayant précédé l'arrivée des espagnols et qui se sont succédées tout en continuant toutes à exister localement, d'ouest en est. Archéologiquement parlant, il y a des traces très anciennes de l'homme à Panama puisque des outils de pierre (pointes de flèches et projectiles de poings) y ont été datés de 12.000 ans avant JC. Assez curieusement, c'est aussi à Panama que l'on a trouvé l'une des plus anciennes poteries de tous les continents américains, celle des cultures Monagrillos qui sont datées de -2500 à -1700 avant JC. Ces cultures ont apparemment évolué, comme beaucoup d'autres, vers le monolithisme monumental puisqu'on trouve des sculptures et tombes monumentales dans ces mêmes régions jusqu'aux dates de 900 après JC. Quand les espagnols y arrivent vers 1501, il y reste trois peuples et cultures distincts mais pratiquant le même type de monolithisme monumental, les peuples Chibchan, Chocoan et Cueva, avec une mention spéciale pour les magnifiques poteries polychromes du style Gran Coclé, sans oublier les statues grandeur nature de Barilles, le haut-lieu de la culture antique de Chiriqui. Le site a été initialement appelé ainsi à cause des multiples petits barils de pierre trouvés dans la région, bien que ceux-ci ont également été trouvés ailleurs, dans la vallée du Rio Chiriquí Viejo et au Costa Rica. Ce site est supposé avoir été autrefois un centre cérémonial avec une population résidentielle importante, entre 500-1000 individus. Il contient un petit monticule qui était autrefois associé à une rangée de 14 statues.
Barriles
Dix de ces individus sont représentés comme des gens solitaires, tandis que quatre comprenait un individu souvent plus gras, plus grand, coiffé d'un chapeau conique et possédant des ornements, assis sur les épaules d'un homme nu, dont certaines de ces personnes portaient également des chapeaux coniques. De nombreux chercheurs ont interprété ces statues individuelles doubles comme une preuve de l'existence de groupes sociaux supérieurs et inférieurs dans Barriles. Un grand metate (mortier de meule) dont le pourtour a été orné par de minuscules têtes de pierre a également été interprété comme une preuve de violence ou de sacrifices humains dans le passé. (YH : mais, encore une fois, et comme souvent en Amérique Latine, il s'agit surtout d'interprétations de la part de scientifiques (influencés par la franc-maçonnerie dès le 19ème siècle), voulant à l'époque prouver le barbarisme et infériorité morale des civilisations anciennes, sans aucune preuve réelle... le problème étant que la notion de sacrifices humains est, de cette façon, passée dans les "à priori" et "connaissances" sur ces peuples (souvent fausses et encouragées par l'Eglise chrétienne malheureusement...)). Il faut tout de même rappeler ici que nous sommes très très loin d'avoir trouvé et prouvé les "nombreux et multiples sacrifices humains" revendiqués par certains ouvrages et affirmations sans aucune preuve (il y a en fait beaucoup moins de preuves de sacrifices humains dans les amériques... par rapport à l'Europe (voir en Espagne médiévale !)), mais principalement de l'interprétation...
http://www.aroundtheworldineightyyears.com/travel-in-panama-barriles/
quelques-unes des statues de Barriles visibles au Museo Antropológico Reina Torres de Araúz de la ville de Panamá
Une autre interprétation de la part de David Childress de History Channel : " En Amérique centrale, ils étaient connus comme les Olmèques. Nous avons visité leurs sites antiques au Mexique et sommes tombés sur quelque chose d'inattendu à Volcan, province Chiriqui au Panama (YH : en fait, Barilles et la ville de Volcan sont situés sur les flanc d'un volcan): la statue d'un prêtre chinois porté sur les épaules d'un guerrier africain. Lorsque nous avons consulté David Childress sur l'origine de la statue, il l'a reconnu comme incontestablement olmèque. Puis nous avons regardé autour du site, situé sur une petite propriété privée et les résultats, il y avait d'incroyables... pierres chargées magnétiquement, comme des cartes avec des coordonnées GPS exactes... où ce voyage nous a-t-il mené ? Nous avons remarqué que la ville voisine avait un nom juif, David. Et puis il regarda dans les légendes locales qui parlent d'un dieu du tonnerre qui, à la demande des indigènes, leur parlait à travers une boîte en or au sommet de la montagne. Serait-ce l'Arche de l'Alliance ? Des chercheurs indiquent qu'une grotte vers Volcan, Chiriqui, située sur le territoire de la République actuelle de Panama est précisément là où l'Arche a été cachée après avoir été "utilisée par les Phéniciens clandestinement en Amérique centrale par Malkiah".
Trois cultures distinctes ont habité ce seul domaine dans un laps de 2,600 années. Des cultures distinctes si leurs images et les artefacts sont indicatifs. Il est théorisé que l'une était asiatique et une autre venait d'Afrique sur le même laps de temps. Et puis les mayas vers environ 900 après JC...
Il y a aussi un certain mystère lié à la culture ou civilisation peu connue et découverte tardivement dite los Guerreros de Oro. Les cimetières débordant d'or trouvés à El Caño et à Sitio Conte pourraient en fait être l'équivalent de la Vallée des Rois panaméens... Une culture qui a emmené ses secrets et trésors dans ses tombes uniquement, trésors qui sont visibles en partie au Museo Antropológico Reina Torres de Araúz de la ville de Panamá, et dont vous avez quelques exemplaires photographiques ci-dessous (et lire l'article au sujet de cette découverte sur ce site via le lien ci-dessus) :
Photograph by David Coventry
Photograph by David Coventry
étonnantes statues panaméennes, que l'on pourrait rapprocher de leurs équivalentes d'Inde ou d'Egypte... les légendes liées à des phéniciens voyageurs associées à ces statues font indubitablement méditer... et les datations qui s'étalent de -12000 ans à + 900 aussi, bien sur !
La Première preuve que les précolombiens ont entretenus de grands champs en Amérique centrale
par Juan Martín G., Tomás Mendizábal, Rainer Schreg, Dolores Piperno et Richard G. Cooke
introduction
La photographie aérienne a été reconnue comme un outil précieux pour la prospection archéologique depuis près d'un siècle. Au cours des dernières années, cependant, elle a pris une importance croissante pour deux raisons : la disponibilité de photographies aériennes de haute qualité via Internet a facilité les enquêtes archéologiques même dans des zones reculées ; et ces perspectives archéologiques sur les anciennes sociétés humaines ont changé les problèmes écologiques modernes, ont stimulé un intérêt croissant pour l'archéologie du paysage. Dans cet article, nous rapportons l'identification par Rainer Schreg de la première preuve de fossiles de structures sur le terrain de Chinina, Panamá oriental, à l'aide de photographies aériennes en ligne. Cette découverte est le résultat d'une recherche systématique inspirée par un projet précédent, portant sur la période coloniale, qui a soulevé des questions au sujet de la dynamique des paysages régionaux (Figure 1).
Au Panama, les études paléoécologiques ont d'abord été effectuées par Dolores Piperno et son équipe dans les années 1980 (Piperno 1985, 1994). Les résultats de cette recherche ont contribué à la connaissance du développement agricole en Amérique centrale et, en particulier, la manipulation et la domestication des plantes. Malgré l'importance des données panaméennes pour une discussion plus large du développement de l'agriculture en milieu tropical, il n'y a pas eu de travaux sur les tendances dans le pays des pratiques agricoles et sur l'utilisation des terres.
Partout en Amérique du Sud, les créations des champs ont été documentés dans plusieurs régions. Ils sont bien connus en Colombie (Parsons 1966; Broadbent 1968; Plazas & Falchetti 1981; Plazas et al., 1993), l'Equateur (Parsons 1969; Bouchard & Usselmann 2006; Gondard 2006; Marcos 1987), le Pérou (Pozorski et al 1983) , Bolivie (Denevan 1963, 2001; Smith et al 1968; Erickson 1995, 1996), Venezuela (Zucchi & Denevan 1979; Gasson & Rey 2006) (Iriarte et al 2010, 2012; McKey et al., 2010) et le Surinam. Ils ont été documentés dans diverses régions climatiques des Andes à la côte des Caraïbes (Denevan 2001; Rostain 2008), et il peut y avoir eu plusieurs raisons pour que les gens construisent ces types de champs : ils atténuent les niveaux d'eau élevés dans les plaines inondables et peuvent contrôler le drainage de l'eau ; ils enrichissent le sol en nutriments frais ; et ils aident à contrôler le microclimat en influençant l'humidité et l'albédo (reflètant l'énergie solaire).
En ce qui concerne Panamá, l'exemple le plus proche géographiquement d'un système hydraulique vaste connu, réside dans les basses terres des Caraïbes de la Colombie. Ce système complexe couvre environ 500 000 ha de la plaine inondable de la rivière San Jorge (Parsons 1966; Plazas & Falchetti 1981; Plazas et al., 1993). Les recherches archéologiques approfondies ont daté la première occupation humaine dense de cette région et le début de la transformation du paysage au premier millénaire de notre ère (Plazas & Falchetti 1981; Groot 2009).
Comme les relations pré-hispaniques entre les plaines des Caraïbes de Colombie et le Panamá oriental sont bien documentées, l'existence de champs surélevés au Panama n'est pas une surprise. En plus du commerce de l'or (Bray, 1984; Falchetti 1995; Cooke 1998) et d'autres biens, il y avait aussi un échange de symboles, des idées et des modes de vie.
Champs surélevés dans le Chinina
Les photographies aériennes mises à disposition par Google montrent des structures élevées sur le sol près de Chinina, un petit village, à environ 55 km à l'est de Panama City, près de l'estuaire de la rivière Bayano, à quelques centaines de mètres de la côte du Pacifique. Les champs se trouvent sur la plaine alluviale de la rivière Bayano et des cours d'eau locaux adjacents (figure 2).
Les structures soulevées du terrain sont constituées d'au moins 22 blocs de bancs et des fossés parallèles. Les bancs ou les crêtes sont d'environ 50 mètres de longueur, 2,5 m de large et 0,6 m de hauteur. Entre les crêtes, il y a des canaux parallèles qui permettaient de protéger les cultures et retenir assez d'eau pour la saison sèche. L'ensemble du système est alimenté par un flux descendant de basses collines derrière la plaine alluviale.
Les crêtes les plus visibles couvrent une superficie d'environ 30 ha, mais il y a peut-être plus de complexes sur le terrain dans la zone environnante. Juste à 1,5 kilomètre à l'est-sud-est de la région décrite, il y a encore, bien que moins claires, des structures visibles sur les photographies aériennes (Figure 3).
Le paysage est aujourd'hui des pâturages avec de petites zones boisées, et il est principalement utilisé pour le pâturage du bétail. Les photographies aériennes des années 1970, cependant, montrent que la région était couverte de forêt tropicale dense. Les fortes précipitations d'environ 5000 mm par an, la proximité de la mer et les conditions des eaux souterraines locales se combinent pour signifier que la zone est inondée pendant la majeure partie de l'année. L'utilisation agricole a donc nécessité une transformation complexe du paysage.
Le complexe a été daté par radiocarbone à 570 ± 40 ans avant le présent (Beta 303616:. entre 1299-1428 après JC à 95,4%, date modélisée dans v.4.2 OxCal, en utilisant la courbe d'étalonnage IntCal13 (Bronk Ramsey 2009, Reimer et al 2013)) . Cela serait, chronologiquement, correspondant à la phase tardive de l'occupation pré-hispanique de la soi-disant culture Gran Darién (Martin 2002a, 2002b). En tant que concept, la Gran Darién décrit une «interaction de sphère culturelle», ou l'une des trois "zones de tradition sémiotique" différentes (voir Cooke 1973, 1976: 122, 1984: 263-65); elle a été créée en collaboration avec la Gran Coclé et la Gran Chiriquí afin de comprendre et expliquer la diversité culturelle évidente dans l'enregistrement archéologique préhispanique panaméen. Parmi les trois zones ou régions, Gran Darién est la moins étudiée par les archéologues, en raison principalement de facteurs pratiques et logistiques tels que la difficulté d'accès, le couvert forestier dense et, récemment, les conflits armés. (YH : c'est là où l'on se rend compte que nos spécialistes, armés de leurs seules doctrines liées aux datations de poteries associées à des cultures par exemple... sont complètement perdus quand ces doctrines ne tiennent pas la route à cause de la diversité culturelle et de la réutilisation de connaissances et même outils (et voyages) de plusieurs cultures et peuples différents à travers les âges...)
La présente enquête a été limitée aux zones où la visibilité était élevée, comme les pâturages et autres aires ouvertes. Il y a probablement plusieurs champs semblables à ceux identifiés au Chinina, ainsi que des sites d'occupation, ailleurs dans la région. Le défi pour la prochaine phase de recherche est d'identifier les zones d'occupation à l'intérieur et de caractériser ces domaines d'activités grâce à une vaste excavation.
Cette recherche promet de fournir une meilleure compréhension des techniques agricoles préhispaniques régionales et leurs influences culturelles. A cet effet, il sera nécessaire de poursuivre le traitement des données déjà recueillies et de mener d'autres campagnes sur le terrain pour résoudre les problèmes spécifiques liés à la Gran Darién. En outre, nous avons l'intention d'encourager la communauté locale de récupérer et utiliser ces techniques pour améliorer leur mode de vie et l'économie, et à développer des pratiques respectueuses de l'environnement dans cette région écologique fragile de Panamá.
Remerciements
Ce projet n'aurait pas été possible sans le soutien et le financement de la Fondation de recherche sur le Panamá antique et de son directeur, le Dr Patrick Simiskey. Nous avons également eu le soutien de l'Institut national de la Culture de Panamá et son directeur du patrimoine national, qui a autorisé l'enquête.
References
BOUCHARD, J.F. & P. USSELMANN. 2006. Espacio, medio ambiente y significado social de los camellones andinos, in Francisco Valdez (ed.) Agricultura ancestral. Camellones y albarradas. Contexto social, usos y retos del pasado y del presente. Quito: Ediciones Abya-Yala.
BRAY, W. 1984. Across the Darién Gap: a Colombian view of Isthmian archaeology, in F.W. Lange & D.Z Stone (ed.) The archaeology of lower Central America. Albuquerque: University of New Mexico Press.
BROADBENT, S.M. 1968. A prehistoric field system in Chibcha territory, Colombia. Nawpa Pacha 6: 135–47.
BRONK RAMSEY, C. 2009. Bayesian analysis of radiocarbon dates. Radiocarbon 51: 337–60.
COOKE, R.G. 1973. Informe sobre excavaciones en el sitio CHO-3, Miraflores, Río Bayano, Febrero 1973. Panamá: Dirección Nacional de Patrimonio Histórico, Instituto Nacional de Cultura.
– 1976. Panamá: Region Central. Vínculos 2(1): 122–40.
– 1984. Archaeological research in central and eastern Panamá: a review of some problems, in F.W. Lange & D.Z. Stone (ed.) The archaeology of lower Central America: 263–305. Albuquerque: University of New Mexico Press.
– 1998. Cupica (Choco): a reassessment of Gerardo Reichel-Dolmatoff’s fieldwork in a poorly studied region of the American tropics, in A. Oyuela-Caycedo & J. Scott Raymond (ed.) Recent Advances in the archaeology of the northern Andes: 91–106. Los Angeles (CA): Cotsen Institute of Archaeology.
DENEVAN, W.M. 1963. Additional comments on the earthworks of Mojos in northeastern Bolivia. American Antiquity 28: 540–45.
– 2001. Cultivated landscapes of native Amazonia and the Andes. Oxford: Oxford University Press.
ERICKSON, C. 1995. Archaeological methods for the study of ancient landscapes of the Llanos de Mojos in the Bolivian Amazon, in Peter W. Stahl (ed.) Archaeology in the lowland American tropics: current analytical methods and applications: 66–95. Cambridge: Cambridge University Press.
– 1996. Investigación arqueológica del sistema agrícola de los camellones en la cuenca del Lago Titicaca del Perú. La Paz: PIWA.
FALCHETTI, A.M. 1995. El oro del Gran Zenú. Metalurgia prehispánica en las llanuras del Caribe colombiano. Bogotá: Banco de la República.
GASSÓN, R. & J.C. REY. 2006. Cacicazgos cíclicos e intensificación agrícola en los Llanos Occidentales de Venezuela, in Francisco Valdez (ed.) Agricultura ancestral. Camellones y albarradas. Contexto social, usos y retos del pasado y del presente. Quito: Ediciones Abya-Yala.
GONDARD, P. 2006. Campos elevados en llanuras húmedas. Del modelado al paisaje camellones waru warus o pijales, in Francisco Valdez (ed.) Agricultura ancestral. Camellones y albarradas. Contexto social, usos y retos del pasado y del presente. Quito: Ediciones Abya-Yala.
GROOT, A.M. 2009. La visión precolombina del actual territorio colombiano, la ocupación humana y contactos interétnicos. Trayectoria de las comunicaciones en Colombia Tomo I: 5–29. Bogotá: Ministerio de Tecnologías de la Información y las Comunicaciones.
IRIARTE, J., B. GLASER, J. WATLING, A. WAINWRIGHT, J.J. BIRK, D. RENARD, S. ROSTAIN & D. MCKEY. 2010. Late Holocene neotropical agricultural landscapes: phytolith and stable carbon isotope analysis of raised fields from French Guianan coastal savannahs. Journal of Archaeological Science 37: 2984–994.
IRIARTE, J., M.J. POWER, S. ROSTAIN, F.E. MAYLE, H. JONES, J. WATLING, B.S. WHITNEY, & D.B MCKEY. 2012. Fire-free land use in pre-1492 Amazonian savannas. Proceedings of the National Academy of Sciences USA 109: 6473–478.
MARCOS, J. 1987. Los campos elevados de la cuenca del Guayas, Ecuador: El Proyecto Peñon del Río, in William M. Denevan, Kent Mathewson & Gregory Knapp (ed.) Pre-Hispanic agricultural fields in the Andean region (British Archaeological Reports 359): 217–24. Oxford: Archaeopress.
MARTÍN, J.G. 2002a. Excavaciones arqueológicas en el Parque Morelos (Panamá La Vieja), in B. Rovira & J.G. Martín (ed.) Arqueología de Panamá La Vieja—avances de investigación: 204–26. Panamá: Universidad de Panamá—Patronato Panamá Viejo.
– 2002b. Panamá La Vieja y el Gran Darién, in B. Rovira, & J.G. Martín (ed.) Arqueología de Panamá La Vieja—avances de investigación: 230–50. Panamá: Universidad de Panamá—Patronato Panamá Viejo.
MCKEY, D., S. ROSTAIN, J. IRIARTE, B. GLASER, J.J. BIRK, I. HOLST & D. RENARD. 2010. Pre-Columbian agricultural landscapes, ecosystem engineers, and self-organized patchiness in Amazonia. Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America 107: 7823–828.
PARSONS, J. 1966. Ancient ridged fields of the San Jorge River floodplain, Colombia. Geographical Review 56: 317–43.
– 1969. Ridged fields in the Rio Guayas Valley, Ecuador. American Antiquity 34: 76–80.
PIPERNO, D. 1985. Phytolithic analysis of geological sediments from Panamá. Antiquity 49: 13–19.
– 1994. Phytolith and carbon evidence for prehistoric slash-and-burn agriculture in the Darién rainforest of Panamá. Holocene 4: 321–25.
PLAZAS, C. & A.M. FALCHETTI. 1981. Asentimientos prehispánicos en el Bajo Río San Jorge. Bogotá: Fundación de Investigaciones Arqueológicas Nacionales.
PLAZAS, C., A.M. FALCHETTI, J. SÁENZ & S. ARCHILA. 1993. La sociedad hidráulica Zenú: Estudio arqueológico de 2000 años de historia en las llanuras del Caribe colombiano. Bogotá: Banco de la República.
POZORSKI, T., S. POZORSKI, C.J. MACKEY & A.M. KLYMYSHYN. 1983. Pre-Hispanic ridged fields of the Casma Valley, Peru. Geographical Review 73: 407–16.
REIMER, P.J., E. BARD, A. BAYLISS, J.W. BECK, P.G. BLACKWELL, C. BRONK RAMSEY, C.E. BUCK, H. CHENG, R.L. EDWARDS, M. FRIEDRICH, P.M. GROOTES, T.P. GUILDERSON, H. HAFLIDASON, I. HAJDAS, C. HATTÉ, T.J. HEATON, D.L. HOFFMANN, A.G. HOGG, K.A. HUGHEN, K.F. KAISER, B. KROMER, S.W. MANNING, M. NIU, R.W. REIMER, D.A. RICHARDS, E.M. SCOTT, J.R. SOUTHON, R.A. STAFF, C.S.M. TURNEY & J. VAN DER PLICHT. 2013. IntCal13 and Marine13 radiocarbon age calibration curves 0–50,000 years cal BP. Radiocarbon 55: 1869–87. http://dx.doi.org/10.2458/azu_js_rc.55.16947
ROSTAIN, S. 2008. Le littoral des Guyanes, héritage de l'agriculture précolombienne. Etudes rurales 181: 19–37.
SMITH, C., W.M. DENEVAN & P. HAMILTON. 1968. Ancient ridged fields in the region of Lake Titicaca. Geographical Journal 134: 353–67.
ZUCCHI, A. & W.M. DENEVAN. 1979. Campos elevados e historia cultural prehispánica en los Llanos Occidentales de Venezuela. Montalban 9: 565–736.
Authors
* Author for correspondence.
Juan G. Martín*
Departamento de Historia y Ciencias Sociales, Universidad del Norte, Km 5 via Puerto Colombia Barranquilla, Atlántico, Colombia (Email: jgmartin@uninorte.edu.co)
Tomás Mendizábal
Patronato Panamá Viejo, Avenida Cincuentenario, Centro de Visitantes, Ciudad de Panamá, Panamá (Email: tomas_mendizabal@yahoo.com)
Rainer Schreg
Römisch-Germanisches Zentralmuseum, Forschungsinstitut für Archäologie, Ernst-Ludwig-Platz 2 55116, Mainz, Germany (Email: schreg@rgzm.de)
Dolores Piperno
Smithsonian National Museum of Natural History, 10th Street & Constitution Avenue NW, Washington, D.C. 20560, United States (Email: pipernod@si.edu)
Richard G. Cooke
Smithsonian Tropical Research Institute, Earl S. Tupper Research and Conference Center, Roosevelt Avenue, Building 401, Balboa, Ancon, Panamá (Email: cooker@si.edu)
http://antiquity.ac.uk/projgall/martin343
Sources : Vous trouverez plusieurs photographies intéressantes dans les liens ci-dessous et des vidéos dans le lien juste en dessous :
http://www.boqueteguide.com/?s=boquete+map&paged=2
http://www.aroundtheworldineightyyears.com/travel-in-panama-barriles/
http://www.arrivalguides.com/en/Travelguides/North_america/Panama/Panamacity/thecity
http://www.nationalgeographic.com.es/2011/12/23/los_guerreros_oro.html
Yves Herbo traductions, Sciences, F, Histoires, 23-02-2015

L'Etre Humain : un pas en avant , deux pas en arrière
L'Etre Humain : un pas en avant , deux pas en arrière
France, 1940, des documents censurés qui prouvent que nos ancêtres, loin d'être des hommes-singes, avaient les traits du visage identiques aux nôtres, et portaient robes, bottes et chapeaux. - grotte de la Marche - Magdalénien - Léon Péricard
C'est un fait qui se vérifie de plus en plus tant les preuves s'accumulent : Tout comme la croissance économique n'est pas une expérience positive pour la réussite mondiale, l'évolution du genre humain n'a jamais été linéaire ni progressiste à chaque instant : l'évolution se fait par petits pas en avant mais aussi parfois par de grands pas en arrière... Alors que la logique voudrait que l'être humain tienne compte de ses expériences et s'améliore au fur et à mesure que le temps passe et qu'il est censé apprendre, la logique historique et les preuves matérielles nous obligent bien à constater qu'il n'en est rien : l'intérêt et l'égo de quelques individus ayant un poids sur cette évolution a toujours primé temporellement sur la destinée de l'être humain... et l'histoire contemporaine et actuelle le confirme encore et toujours...
Beaucoup de théoriciens, encouragés par des politiciens de toutes les époques d'ailleurs, ont voulu tracer une illusoire évolution linéaire et positive du genre humain, ne serait-ce que pour justifier sa place au "sommet" de l'évolution animale... ainsi, ces théoriciens, souvent issus de la Franc-Maçonnerie puissante du 19ème siècle ont asséné pendant des décennies (jusqu'à nos jours en fait) que l'Homme et ses créations, inventions et même arts, ont toujours procédé par croissance et pente ascendante (un peu comme la pente d'une pyramide), allant toujours du plus "primitif" vers le plus "évolué". Et la plus grande partie de notre Histoire (et théories) part de ce principe "établi", au point que les "anomalies" contredisant ce principe sont, la plupart du temps, tout simplement dénigrées, voir effacées ou éliminées, clairement censurées pour certaines... Pour certains, c'est une question de moral et de positivisme exacerbé : si la réalité entrave "l'enthousiasme" et "collaboration positive" du citoyen, du commun des mortels, il peut être nécessaire de "corriger" la réalité... de l'améliorer fictivement s'il le faut, voir, de cacher des choses et de mentir aux "innocents"... à ceux qui n'ont pas besoin de savoir pour œuvrer (travailler) au maintien de la société...
Mais trop de preuves historiques s'accumulent et ces hommes de pouvoirs, dans leurs convictions sur "l'évolution" que l'Homme doit avoir (pour eux), ont commis des erreurs "techniques" : leur progrès a fait que le-dit "innocent", simple homme du peuple, est de plus en plus capable de "comprendre" que, quelque part, il est trompé et qu'on lui ment. Certains disent que c'est de la faute d'internet, ce système commercial désiré à l'origine qui s'est trop libéralisé, est devenu incontrôlable (provisoirement ?) et qu'il permet à des gens qui n'ont pas besoin de "savoir" et "comprendre" certaines choses (y compris économiques) pour travailler et être utiles, d'avoir un cerveau et de réagir...
Des preuves ? Les meilleures et plus faciles à comprendre sont dans les livres d'Histoire récente, pas dans les manuels politiques... en voici une partie.
Histoire des Arts. Ces théories assènent encore de nos jours qu'on est parti d'hommes stupides et préhistoriques, d'hommes des cavernes proches du singe, nus et prompts à se donner des coups de massues juste pour prouver leur virilité et se départager la femelle... c'est une image qui s'avère de plus en plus fausse devant les réelles découvertes archéologiques mais qui persiste dans l'éducation (mauvaise) donnée aux enfants via des dessins animés ou bandes dessinées... c'est un peu comme les esclaves de l'Egypte ancienne dont on découvre au fur et à mesure que l'on traduit les hiéroglyphes les plus anciens... que les anciens égyptiens étaient contre l'esclavagisme dans la réalité pendant la majorité de leur histoire. Comme souvent, on généralise à toute une civilisation et peuple les exactions commises par quelques rois et époques... en oubliant que notre propre peuple a procédé de même d'ailleurs, question barbarie...
Cela faisait bien sûr plusieurs générations que certaines peintures rupestres, dans des grottes, étaient connues et admirées. On parle de certaines d'entre elles dès le 17ème siècle. Mais c'est vers 1879 que les premières sont étudiées "scientifiquement" et que des premières chronologies et datations sont tentées. Les fameuses peintures rupestres d'espagne, à Altamira, sont tellement belles et nombreuses que les scientifiques "évolutifs" en sont sceptiques : comment des hommes-singes auraient-ils pu accomplir un tel art ? Vers 1940, la grotte de Lascaux (et sa mauvaise datation à l'époque) confirme les mauvaises convictions établies : les premières grottes "artistiques" ont commencé vers - 23.000 ans et les premières fresques peintes sont apparues vers - 15.000 ans... la chronologie est "acceptable" pour les théoriciens de l'évolution linéaire, et tient jusqu'aux années 1990 pratiquement !
Car tout est remis en question par les découvertes successives des peintures d’Arcy sur Cure en 1990, de la grotte Cosquer en 1991 et de la grotte Chauvet en 1994. La grotte Cosquer, sous le niveau de la mer est datée à - 28000 ans. On y voit des évidentes scènes de chasse à l'époque des âges glaciaires avec des petits chevaux, des pingouins, des méduses ainsi que de surprenantes empreintes de mains décalquées à l’ocre rouge. Coup dur pour ces théoriciens, la grotte Chauvet est datée de – 33000 ans en 1995. (notez qu'il y a eu une calibration du carbone 14 dans les années 2000, faisant reculer les datations de la plupart de ces grottes de quelques milliers d'années ! Elles sont encore plus vieilles !)
Les théoriciens paléontologues se grattent la tête : ils avaient toujours affirmé que l'art préhistorique avait dû s'améliorer au fur et à mesure du temps, respectant "l'obligatoire évolution du genre humain"... car c'est l'inverse qui est constaté : la grotte Chauvet, la plus ancienne (à l'époque)... EST AUSSI LA PLUS EVOLUEE, la plus élaborée artistiquement. En regardant ces fresques, on est obligé d'admettre que ces artistes étaient déjà au sommet de leur art, et non pas aux débuts... Quid de la théorie de plusieurs millénaires d'évolution pour en arriver là ? En plus, on sait maintenant que cette grotte Chauvet est contemporaine de l'arrivée de l'Homme de Cro-Magnon dans cette région, et que celui-ci y cohabitait avec l'Homme de Neandertal... mieux, des découvertes récentes... en Indonésie nous prouvent que le même art élaboré y existait déjà bien avant ! (-46.000 ans !)
Le mystère demeure entier pour l'instant : De qui ou d'où ces hommes ont-ils appris cet art très élaboré ? Pourquoi les grottes plus récentes montrent une dégradation et moins bonne maîtrise des techniques du dessin et de la gravure ?
Car finalement, on est en droit de se demander 1 ) si l'Homme de Cro-Magnon n'était pas l'héritier d'une plus ancienne civilisation d'avant glaciation, plus évoluée mais qui n'a laissé aucune trace de son existence (engloutie par la montée des eaux ?)... et qui a fini par oublier une grosse partie de ses connaissances ou 2) si l'Homme de Neandertal n'était pas lui-même cet héritier évolué (ou un autre hominidé ?), et que sa disparition ait fait régresser l'humanité d'alors...
Mais un autre mystère lié aux grottes demeure également : celui lié à la grotte Bernifal. Découverte en 1902, elle est restée dans le domaine privé, bien que classée au patrimoine mondial de l'Unesco... on comprend pourquoi. Située sur la commune des Eyzies en Dordogne ( France ), elle est mondialement connue pour ses 110 gravures et peintures rupestres, notamment un magnifique mammouth tracé à l'argile. Ces dessins sont datés du Magdalénien, donc parmi les plus "récents", c'est à dire entre -17 000 et - 10 000 ans, par rapport à Chauvet par exemple.
Ce mystère est lié à deux dessins de la grotte, l'un qui montre ce qui ressemble à un dinosaure en train d'affronter un mammouth ! C'est une peinture assez peu montrée, vous devinez pourquoi, mais elle est très troublante pour les spécialistes, même si certains parlent surtout d'interprétation, l'autre qui montre un cheval... harnaché, alors que, à priori, la domestication du cheval s'est effectuée bien longtemps après la disparition des dessinateurs de cette grottes... (voir ci-dessous)
http://www.lafrancevuedesgrottes.fr/?p=2460
Grotte de Bernifal (France), combat du dinosaure et du mammouth, l'un des nombreux mammouths, l'un des "masques" ou "têtes" présents dans la grotte, le cheval harnaché, ...
Grotte des trois frères, France, dessin d'après l'original
Le problème aussi est que ce ne sont plus les seules gravures étranges datées de l'art préhistorique ! En effet, des pétroglyphes très anciens découverts en Amérique du Nord (probablement effectués par des hommes de la civilisation "Anasasis" d'amérique, nous montrent également plusieurs "dinosaures" dans l'Utah ! :
Un ptérodactyl selon certains chercheurs - une étude semble prouver que ce dessin n'était pas l'original
Mais nous en avons aussi maintenant au Canada, à Java, à Sumatra, en Chine (dans l'antiquité), en Italie, Amérique du sud, Afrique, Australie... partout dans le monde ! :
Voir la suite ci-dessous :

OVNIs : 1974, Nièvre, encore des Gendarmes et des OVNI
OVNIs : 1974, Nièvre, encore des Gendarmes et des OVNI
Cigare filmé à Rhode Island en 1967
Cette fois-ci, il s'agit de trois articles de presse datés de février 1974 concernant la Nièvre, avec notamment le témoignage d'un ingénieur, mais aussi de plusieurs gendarmes, puisqu'il s'agit non pas d'une observation d'un objet, mais de plusieurs, étalées sur plus d'une semaine...
Nous avons tout d'abord ces articles paru dans " Le Parisien Libéré " du 12 février 1974 et du 14 février 1974 :
" Objet lumineux dans le ciel nivernais "
Nevers - Un phénomène lumineux a été observé l'autre matin, pendant une heure par plusieurs habitants de Decize (Nièvre). C'est ainsi que M. Cahour, ingénieur, a vu vers 6 h, à haute altitude, un objet de forme oblongue et dégageant une vive lueur, qui se déplaçait dans le ciel dans la direction est-sud-est.
M. Cahour a déclaré que l'objet ressemblait à un cigare tournant sur lui-même et se plaçant tantôt en position horizontale, tantôt en position verticale.
Un phénomène semblable avait déjà été observé à Decize, en novembre 1968.
" Cigare dans le ciel de la Nièvre - Même les gendarmes l'ont vu "
Nevers, samedi - Le dossier " soucoupes volantes " s'épaissit. Le mystère aussi. Les engins lumineux parmi lesquels cigares, cigarillos, disques, sphères, etc, surgissent devant les yeux (de moins en moins étonnés) de témoins pour la plupart dignes de foi. Dans le ciel de la Nièvre, et plus précisément sur la petite ville de Decize, c'est un énorme cigare qui a été aperçu à plusieurs reprises depuis le début de la semaine. L'alerte avait été donnée dès lundi dernier par un ingénieur, M. Cahour.
" Pendant plus d'une heure un cigare lumineux, 20 fois plus gros qu'une étoile, a survolé ma maison ", vint-il affirmer aux gendarmes de Decize qui, sceptiques, n'accordèrent que peu de crédit à cette " révélation".
Mais le mercredi suivant, une habitante d'une commune voisine de 15 kilomètres, Neuville-les-Decize, venait elle aussi témoigner :
" Un objet silencieux entouré d'un halo lumineux survolait ma maison ce matin ", jurait Mme Bonnet.
" Le bidule "
Toujours la même heure : entre 6 heures et 7 h 15. La coïncidence était quand même troublante et les gendarmes décidaient officieusement encore d'ouvrir une enquête. Le lendemain, ils étaient tous avant l'aube dans la cour de la gendarmerie, entourant l'adjudant Auroy.
" Le voilà ! " Hurla soudain Mme Daumas, l'épouse d'un gendarme.
Aussitôt, les quatre gendarmes sortirent leur calepin pour consigner leurs observations : le " bidule " avait une couleur jaune pâle. Très lumineux, son vol était stationnaire, sa forme était celle d'un cigare ou d'un ballon de rugby quand il tournait sur lui-même.
Un télégramme fut envoyé au procureur de la République et à la direction de la gendarmerie qui demandaient un rapport pour ajouter au dossier des OVNI (Objets Volants Non Identifiés).
L'affaire s'est ébruitée et tous les matins, la majorité des 8500 habitants de Decize attendent, entre 6 h et 7 h 15, toutes fenêtres ouvertes.
Dans le journal " La Nouvelle République " du 18 février 1974 :
" Encore un objet mystérieux dans le ciel de la Nièvre "
Nevers - A une semaine d'intervalle, un 2ème OVNI a été aperçu dans le ciel de Decize (Nièvre). Il était 6 h 30, l'autre matin, lorsque l'adjudant de gendarmerie Auroy et 2 de ses hommes ont observé dans le ciel un objet 20 fois plus gros qu'une étoile, qui prenait, tour à tour, tantôt la forme d'un gros cigare, tantôt celle d'une demi-sphère. Cet objet dégageait une forte luminosité.
La semaine dernière, l'objet avait été aperçu par un ingénieur de Kléber-Colombes, et plusieurs habitants de la localité. Des témoins sont retournés sur les lieux, peu après, et ils ont découvert, "imprimée" dans le sol, une petite cuvette circulaire, d'une quinzaine de centimètres de profondeur et des traces de petits pas autour.
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
Cigare volant - Un document de 1967 tourné à Rhode Island (USA) - aucun trucage décelé mais trucage difficile à l'époque...
Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 18-02-2015

OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 16-02-2015
OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 16-02-2015
Matin OVNI dans le monde du 16-02-2015 d'ODH TV vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
Actualité Ovni dans le monde récente et interview de Gaetan Bovy du Reub asbl qui vous parle du projet S.O.A.L.N. et l'agenda des soirées t'chat de février et mars 2015 sur odhtv.
L'émission est en collaboration avec :
http://Sciences, Fictions, Histoires
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
La page Facebook ODH Tv à liker et partager:
http://www.facebook.com/pages/ODH-Tv/...
Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 17-02-2015