Articles de yvesh
OVNIs : Compilation vidéos octobre-novembre 2014
OVNIs : Compilation vidéos octobre-novembre 2014
ovni octobre 2014
Suite des compilations de Janvier à Mars 2014. avril 2014 mai 2014 - juin 2014 - juillet-août 2014 - août-septembre 2014 - septembre-octobre 2014
Compilation Ovni UFOs oct 2014 - by pseudo 007
Compilation Ovnis UFOs Nov 2014 by pseudo 007
UFO-01-11.2014
UFO . USA.01 .11. 2014
New UFO Sightings of The Week 3/11 2014 in France
UFO amorphous Over Mexico City-OVNI En Mexico Df Amorfo Subido 14-11-2014
26-11-2014 fast moving tens of ufos over the volcano sakurajima in japan
最もスゴいUFO映像 第1位 - un étrange objet s'élève des montagnes japonaises... on pense à un gros ballon, il y a même des choses qui semblent pendre, jusqu'à ce que l'objet accélère soudainement et disparaisse rapidement d'après les témoins... cet objet a été commenté par des spécialistes à la télé apparemment et cette vidéo est considérée comme la plus étonnante sur les OVNI japonais ! :
Encore plusieurs observations en ce mois de novembre 2014 (ces quelques vidéos n'en sont qu'un petit aperçu, juste le sommet de l'iceberg...)
Comme toujours, je vous invite à apprécier par vous même la valeur de ces vidéos, compte tenu de vos propres réflexions et sensibilités, à la lumières des événements historiques actuels également mais de l'augmentation mondiale de ces observations aussi. A vous de décider comme toujours.
Yves Herbo, Sciences, F, H, 12-12-2014
OVNIs : Matin Ovni du 10-12-2014
OVNIs : Matin Ovni du 10-12-2014
Matin Ovni du 10-12-2014 d'ODH TV vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
- Actualité Ovni récente dans le monde
ODH Tv est en partenariat avec:
http://Sciences, Fictions, Histoires
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 10-12-2014
Climat : CO2 et tectonique des plaques - tornades le 12 juin 2012 - UK : trop d'eau !
Climat : CO2 et tectonique des plaques - up
tornades le 12 juin 2012 - UK : trop d'eau !
Des microfossiles de ce type ont permis à Jonathan LaRiviere de retracer l'histoire de la température des eaux de surface du Pacifique nord entre le Miocène supérieur et notre époque. Les sphères correspondent à des restes de radiolaires. Les coquilles blanches et jaunes appartenaient à des foraminifères respectivement pélagiques et benthiques. © Hannes Grobe,Wikimedia common, CC by-sa 3.0
Nous luttons pour réduire les émissions de CO2 car elles ont un effet direct sur le climat. Mais en a-t-il toujours été de même ? Voici 13 millions d’années, notre planète et l’océan Pacifique étaient bien plus chauds que maintenant malgré la faible concentration de gaz carbonique atmosphérique. La tectonique des plaques et la profondeur de la thermocline pourraient tout expliquer.
Pour limiter l’actuel réchauffement climatique, les autorités, entreprises et particuliers mettent en œuvre de nombreuses mesures pour réduire au maximum les rejets de CO2. Tous ces efforts sont utiles pour une seule et unique raison : il existe un lien fort entre la concentration atmosphérique en gaz carbonique et notre climat actuel.
Jonathan LaRiviere, dirigé par Ana Christina Ravelo de l’University of California à Santa Cruz, vient de démontrer, dans la revue Nature, que cette union n’a pas toujours existé. Au Miocène supérieur, voici 5 à 13 millions d’années, notre planète était plus chaude qu'aujourd'hui alors que l'atmosphère présentait moins de dioxyde de carbone. Le climat et la concentration en CO2 atmosphérique étaient donc découplés.
Le lien étroit unissant ces deux facteurs aurait été établi voici 5 millions d’années, suite à d'importants changements, des déplacements de continents, ayant affecté la circulation des courants océaniques et la profondeur de la thermocline dans les océans. (voir images ci-dessous)
Les eaux de surface du Pacifique pouvaient s'écouler dans l'Atlantique via un corridor marin (le Central American Seaway) voici 10 millions d'années, durant le Miocène. Les deux océans avaient alors la même salinité. © WHOI
Le climat insensible au CO2
Ce résultat ne s’appuie pas sur des modèles, mais sur des informations géologiques. Des sédiments marins ont été extraits lors de trois carottages profonds réalisés à partir du navire Joides Resolution dans le Pacifique nord. Les microfossiles qu’ils contenaient ont fait l’objet d’analyses afin de déterminer leur taux d’alcénones insaturés et donc d’estimer la température des eaux de surface de cet océan au cours de ces 13 derniers millions d'années.
Elle était particulièrement élevée durant le Miocène supérieur (il y a 5 à 13 millions d'années), environ 5 à 8 °C de plus qu’à l’heure actuelle, alors que la concentration en CO2 atmosphérique était équivalente à celle mesurée avant notre ère industrielle (environ 280 parties par million, ppm). Cette masse d’eau se serait néanmoins continuellement refroidie avec parfois quelques brusques diminutions de température, surtout entre la fin du Miocène supérieur et le début du Pliocène, voici environ 5 millions d’années. Pourtant, la concentration atmosphérique en CO2 a augmenté durant cette nouvelle époque géologique (plus de 350 ppm). À titre d’exemple, la température de l’océan en surface a chuté de 8 °C entre 5,8 et 3,7 millions d’années avant le présent en un lieu situé au large de l'actuelle Californie (Pacific Site 1010).
D’où vient la sensibilité actuelle de notre climat face au CO2 ? Selon les auteurs, de la tectonique des plaques. Durant le Miocène, les continents n’occupaient pas encore leur position actuelle : les deux Amériques étaient séparées et le détroit de Béring était fermé. Les courants océaniques circulaient donc d’une manière différente. Or, les terres émergées du globe ont acquis leur position actuelle approximativement au début du Pliocène, alors que la chute des températures était observée. Cependant, des modèles n’ont pas établi de lien direct entre la sensibilité du climat et la position des continents, mais bien avec la profondeur de la thermocline.
Amérique du Nord et Amérique du Sud ont convergé voici 5 millions d'années, durant le Pliocène, fermant petit à petit le Central American Seaway. La circulation des masses d'eau a alors été modifiée. Le Gulf Stream s'est notamment intensifié. La salinité des océans Pacifique et Atlantique a commencé à différer. © WHOI
Une position de la thermocline déterminante
La profondeur de la thermocline dans le Pacifique était plus élevée lorsque le corridor marin d’Amérique centrale existait (CAS pour Central American Seaway) et aurait diminué progressivement tandis que les deux Amériques se rapprochaient. Cette information a été confirmée par des mesures de l'isotope 18O contenu dans des coquilles de foraminifères et de radiolaires ayant vécu durant ces 13 derniers millions d’années. Or, la position de cette limite thermique n’est pas sans conséquence sur le climat.
Elle jouerait en effet un rôle sur plusieurs phénomènes ayant lieu à la surface des océans. Une thermocline profonde se traduirait par une importante évaporation d’eau, or la vapeur d’eau a un effet sur le réchauffement climatique bien plus important que celui du CO2, et par une distribution différente des nuages, ce qui pourrait avoir modifié l’effet albédo de manière à favoriser une augmentation des températures. Cette théorie explique bien pourquoi la Terre était chaude en l’absence de concentrations élevées de gaz carbonique.
La remontée de la thermocline aurait progressivement diminué l’importance de ces deux facteurs, rendant ainsi le système climatique sensible aux effets de la présence de CO2 dans l’atmosphère dès le Pliocène. Toutes ces hypothèses se tiennent scientifiquement, mais elles doivent encore être prouvées pour démontrer qu’elles justifient bien l’apparition du couplage gaz carbonique-climat.
Le découpage des plaques tectoniques actuel montre de grandes inconnues sur les cartes, en particulier au Pole Nord... mais en plus, on peut placer les cartes de façon à modifier nettement les réalités géographiques :
Autre étude sur les étrangetés dans l'Océan Indien et la dorsale océanique sud-ouest indienne, et notamment sur les hauts plateaux remontant jusqu'à 700 mètres de la surface actuelle de l'océan qui ont été nommés Atlantis 1 et 2 :
Tornade F1 vers Venise, Italie le 12-06-2012 :
En Italie, une violente tornade est passée ce mardi matin à proximité de Venise. Une personne a été légèrement blessée et des dégâts matériels notable sont a déplorer : des arbres arrachés, des toits endommagés, bateaux de plaisance endommagés. C’est la petite île de Ste Hélène qui a été le plus touchée par cette tornade qui a traversé la lagune.
De fortes pluies se sont également tombées dans la province de Como et ont causé des coulées de boue qui ont nécessité l'évacuation de 2 maisons dans la localité de Via San Giorgio .
Le phénomène n’est pas rare dans la région mais il se produit généralement à l’automne. La population vénitienne a toujours en mémoire la tornade de septembre 1970 qui avait causé la mort de 21 personnes. Source : RAI
Uk : débordement en plaine (2012)
Le Sud du Royaume-Uni et en particulier l'Ouest du Pays de Galles est en proie à des inondations sans précédent depuis 10 ans. Les zones les plus affectées sont toutes situées dans le comté de Ceredigion dans les Galles centrales.
La situation dure depuis le 09 juin 2012 et 150 personnes ont été secourues et un milliers de personnes ont été évacuées en raison de débordement de plusieurs cours d'eau. Des résidents comme des vacanciers. Ce sont des campings et des villages qui ont été touchés. Des dizaines d'habitations ont été inondées par plus d'un mètre d'eau
Une opération de sauvetage a été lancée par les pompiers et notamment l’armée. Plusieurs personnes ont été hélitreuillées.
Près de York, des dizaines de maisons et des entreprises ont été inondées. 5 maisons et une usine de cuisine ont été inondées à Flaxton et c'est 6 maisons qui ont été inondées à Sandy Lane.
L'autoroute 64 entre York et Malton a été inondées provoquant d'importants bouchons.
Dans la région de Plymouth, les fortes pluies (15 mm en une heure) ont causé des inondations et des coupures de courant. Plusieurs rues de la ville et une section de l'autoroute A38 ont été inondées. Des dizaines de rez-de-chaussé et de commerces ont été sinistrés. Source : BBC, Euronews
Yves Herbo, Sciences,F, H, 06/2012 - up 08-12-2014 : D'après les études, Si le mois d’avril de cette année 2012 a été très maussade en Europe Occidentale, il s’agit en moyenne du mois d’avril le plus chaud jamais enregistré dans l’hémisphère Nord !
OVNIs : 1974: Réactions au débat Pierre Guérin vs journalistes
OVNIs : 1974: Réactions au débat Pierre Guérin vs journalistes
C'est un peu la suite de cet article dans lequel vous pouvez d'ailleurs voir l'intégralité des vidéos du reportage et du débat dont il est question au début de cette réaction dans un magazine assez réputé en France, et qui a été rarement du côté des ufologues. Mais c'est tout de même un article de réaction relativement sans parti pris, même s'ils n'ont pu s'empêcher, comme beaucoup, de donner un certain mauvais exemple (et qui ne fait pas avancer les choses, au contraire !) en montrant et créant eux-mêmes un faux OVNI...
Ce sont donc les répercutions du fameux débat de l'astrophysicien Pierre Guérin, convaincu que le phénomène OVNI a suffisamment de témoins et traces, donc existe, contre 4 journalistes (des hautes pointures de l'époque - dont au moins un qui est plutôt "pour" le phénomène tout de même, Jean-Claude Bourret) : Gérard Bonnot de l'Express, Jean-Claude Bourret de France Inter, Robert Clarke de France Soir et Michel Rouze, écrivain scientifique.
Certains ufologues ont donc eu la surprise de découvrir cet article dans le magazine mensuel Science & Vie d'avril 1974, un article inversant un peu aussi sa tendance négative sur le sujet OVNI et défendant un scientifique "pour" l'étude du phénomène :
Je ne vais pas recopier ici l'intégralité de cet assez long article, même s'il est entrecoupé de schémas divers mais vous le laisser le lire par vous-même en bas, en agrandissant les images. Ce numéro d'avril 1974 n'est pas accessible dans les archives du magazine, qui ne sont disponibles que pour la période 1989-2014 mais qui, de toute façon, ne remontent pas au-delà de 25 ans : ces vieux numéros des années 1970 n'existent plus d'après la réponse qu'on m'a faite au téléphone et ne sont pas vendus, loués ou consultables. Je fait donc un peu de publicité indirecte pour cet assez bon magazine de vulgarisation scientifique que j'ai volontiers lu dans ma jeunesse et encore actuellement. Voilà donc les débuts de cet articles, puis les images de ce dernier :
" LES "SOUCOUPES" DOIVENT ÊTRE UNE AFFAIRE DE SAVANTS "
Ce n'est ni avec la foi, ni avec la mauvaise foi qu'on comprendra quelque chose à ce " quelque chose " qui existe indéniablement. Telle est, d'ailleurs, la position de plusieurs savants qui s'entêtent à garder l'esprit froid.
Un fait nouveau : le grand public apprend ces temps-ci, que les journalistes sont violemment contre les scientifiques (qui sont) pour les soucoupes volantes.
Plusieurs émissions télévisées de très grande écoute viennent d'être diffusées sur nos ondes nationales et les téléspectateurs, médusés, y ont vu le contraire de ce qui se passait il y a encore dix ans. A l'époque, en effet, un professionnel de l'information, très excité, se trouvait toujours entouré de quatre ou cinq scientifiques patentés qui, la mine sévère, l'attaquaient au nom du plus pur rationalisme sur les "visions" délirantes dont il se faisait l'écho dans ses journaux. Maintenant que voit-on ? Une tribune de journalistes professionnels manifestement excédés qui essaient de faire dire à un chercheur scientifique que tout ceci n'est que fumisterie, qu'on a assez parlé de ce tissu abracadabrant de faux témoignages et qu'il faut verser la " soucoupomanie " au seul domaine des études psychiatriques. Et, devant leur tribunal, l'astronome professionnel brandit alors victorieusement statistiques, lettres, enquêtes et affirme qu'il y a là un phénomène scientifique à étudier, qu'il le fait contre vent et marées et ce depuis longtemps.
Certes, il ne faut pas généraliser ! tous les journalistes ne sont pas contre et quelques scientifiques seulement sont pour.
Mais surtout, il ne faut pas ramener les choses à cette question primitive de pro et d'anti qui est un traquenard. La question des Mystérieux Objets Célestes ou Objets Volants Non Identifiés (d'où le sigle OVNI, traduction française de UFO : Unidentified Flying Object) quelle que soit sa nature exacte est une question scientifique. Elle doit, par conséquent, être soumise à la méthodologie scientifique : c'est-à-dire à celle d'un examen objectif des faits : elle ne doit pas relever du domaine passionnel, tels la politique ou la religion, où si l'on n'est pas pour on est contre automatiquement. Les OVNI ne sont pas un article de foi.
Telle est, précisément, l'attitude actuelle des scientifiques professionnels qui veulent bien se pencher sur le "phénomène soucoupe". Il y a quelque chose et, quelle que soit la nature de ce quelque chose, il doit être étudié. Fumisterie ou immense découverte cela se vérifiera à coup sûr un jour ou l'autre, le tout étant de n'avoir aucun à priori, aucune idée préconçue et rester ouvert à toute observation.
Rester ouvert à toute observation, disions-nous. C'est le mot qui s'impose ici car le phénomène soucoupe n'est fait que d'observations. Mais quelles observations ! Il n'est pas de lecture plus déprimante que celle des livres consacrés à la soucoupologie.
Tout curieux attiré par cette question qui accumule les livres publiés depuis ving ans et en entreprend la lecture se trouve immanquablement écoeuré par ce qui ne peut apparaître que comme un ramassis de purs ragots. L'impression générale est sue tous les ivrognes, tous les menteurs, tous les mythomanes, tous les maniaques, tous les cinglés se trouvent réunis là sans s'être donnés le mot.
Il ne faut pas le nier la "soucoupomanie" a suscité de brillantes carrières chez les malins et les escrocs. C'était inévitable : l'exploitation de la crédulité publique a toujours été à la source des plus grands profits et le sujet s'y prêtait admirablement. Que de bests-sellers publiés depuis 1950 aux USA et depuis 1954 en France : les mots soucoupes volantes sur la couverture suffisent et les tirages sont proportionnels au manque de sérieux dont l'auteur fait preuve. Les plus belles ventes sont celles qui furent tout en vrac, de la première page à la dernière, depuis les roues fulgurantes décrites dans la Bible jusqu'aux Vénusiens beaux comme des dieux qui sont venus parler tout spécialement à Adamski.
Aussi les adversaires des soucoupes - et il y en a, privés et officiels - ont la partie belle de brandir ce ramassis pour camoufler le phénomène réel et jeter le discrédit sur tous ceux qui touchent ce sujet, de près ou de loin. Et pourtant ! Si, après tout, c'était vrai ? A-t-on le droit de rejeter en bloc des milliers d'observations dont des centaines se recoupent étrangement sur des détails précis ?
Voilà très exactement le point qui a obligé plusieurs professionnels de la recherche scientifique à se pencher sur ce problème. A la base cette constatation : les observations connues de Mystérieux Objets Célestes sont de plus de quarante mille (dans le monde entier à fin 1973) maintenant. Donc on peut jouer avec les grands nombres, cest-à-dire procéder à les études statistiques.
Or, la statistique est une méthodologie dont on peut souvent extraire des conclusions fondamentales. En particulier elles peuvent livrer des corrélations et, partant, des Lois.
On nous dit par exemple, et c'est " l'explication " de certains psychiatres, que la " soucoupomanie " est un phénomène de psychose collective - ce qui, entre parenthèse, fleure tout à fait " la vertu dormitive du pavot "... (...)
Je vous laisse lire la suite très intéressante, qui nous parle donc des études statistiques (qui contredisent formellement cette "explication" de psychose collective) et en y incluant les travaux importants d'Aimé Michel sur ce qui est dénommé l'orthoténie : certaines observations d'une même tranche temporelle relativement courte (un jour ou une nuit...) se répartissent souvent selon un arc de grand cercle terrestre, comme si le phénomène observé se propageait de proche en proche selon une rigoureuse géométrie linéaire. On nous parle également du détecteur d'OVNI conçu par le Professeur Hardy (plan à l'appui), des confirmations et même officialisations du Ministre des Armées M. Robert Galley le 21 février 1974 : " Il y a eu en France des observations radar inexpliquées et il y a également quelques témoignages de pilotes militaires sur les OVNI ... dans ces phénomènes aériens, ces phénomènes visuels (je n'en dis pas plus) que l'on a rassemblés sous le terme OVNI, il est certain qu'il y a des choses que l'on ne comprend pas et qui sont, à l'heure actuelle, relativement inexpliquées : Je dirai même qu'il est irréfutable qu'il y ait des choses aujourd'hui qui sont inexpliquées ou mal expliquées... ". On a ensuite un détail avec schémas de ce que montrent les statistiques avec une enquête basée sur des documents fournis par M. Claude Poher du CNES, le Professeur Saunders et par l'astronome Allan Hynek :
Ce résumé d'études statistiques paru dans un magazine scientifique reconnu (et qui existe toujours à l'heure actuelle) prouve non seulement que des études scientifiques sur le phénomène sont possibles, mais qu'elles ont déjà prouvé que le phénomène est bien réel mais toujours inexpliqué, comme l'a répété de différentes manières le ministre des armées de l'époque... Comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, il ne s'agit plus, de nos jours, à croire ou non au phénomène : son existence a déjà été reconnue officiellement, et de plusieurs manières et par plusieurs sommités scientifiques, militaires et politiques mondiales... j'ai vu le phénomène moi-même de mes propres yeux, et à plusieurs reprises, dont au moins une fois de façon très rapprochée et suffisament longtemps pour pouvoir juger de sa réalité visuelle - avec mes sens humains, et l'on sait que les sens humains sont limités au niveau des ondes et de la lumière : on ne peut voir toutes les réalités physiques (on ne peut pas voir avec nos yeux nus les astres brillants dans certaines longueurs d'ondes ultra ou infraviolets par exemple ! Ils existent pourtant bien car nos robots peuvent les voir, mais pas nos yeux humains... les chats et certains animaux voient mieux que nous certaines ondes, etc...). Donc mes yeux ont vu quelque chose de présent physiquement et mon cerveau a bien interprété l'image qu'ils ont vu... mais était-ce l'intégralité du phénomène ? Rien n'est moins sûr. Et des dizaines de milliers de témoins sont dans le même cas que moi, y compris des pilotes militaires ou non, des gendarmes et policiers, quelques scientifiques mêmes et une grande majorité de citoyens honnêtes du monde... Et tout ce qu'on peut affirmer depuis ces dizaines d'années de témoignages modernes recensés, c'est que le phénomène semble agir de façon intelligente et qu'il revêt des apparences visuelles différentes, non pas suivant l'époque, mais dans toutes les époques. Le phénomène est-il capable de tenter de s'adapter à la vision-cerveau de son observateur ? C'est bien possible... Yves Herbo
Yves Herbo Archives, Sciences, F, Histoires, 07-12-2014
Neandertal était un marin graveur mais Erectus aussi bien avant !
Neandertal était un marin graveur mais Erectus aussi avant !
La preuve en est maintenant faite en plusieurs endroits : nos cousins et aussi prédécesseurs (ils sont apparus vers - 500.000 ans avant maintenant et ont disparu vers -40.000 à -30.000 ans), il ne faut pas l'oublier, néandertaliens étaient très proches de l'homme moderne, tant au niveau de ses outils de pierre qu'au niveau de ses vêtements et ornements (plumes, cuir, etc), mais aussi en ce qui concerne une certaine forme d'art (ou de gravures, traces), mais aussi de vie et coutumes : ils étaient de bons marins, possèdaient probablement des pirogues aussi et enterraient également leurs morts, vivaient en famille, etc... l'industrie moustienne nous révèle en effet une bonne évolution de la taille de pierre et des outils, qui a probablement été transmise ou copiée par Homo Sapiens Sapiens et l'Homme Moderne qui les a trouvé, déjà créés, lors de ses propres migrations. Mais que dire des nombreux outils d'Erectus, datés de 700.000 ans et trouvés en Crète ?...
Les exemples sont maintenant multiples :
Il ne se passe pas un mois sans qu’une nouvelle étude ne vienne rappeler à quel point notre cousin l’homme de Neandertal, loin d’être le rustre qui a longtemps été dépeint, jouissait en réalité de facultés cognitives évoluées. Et de toute évidence, cette nouvelle étude ne fera pas exception.
Et pour cause, puisqu’une étude menée par une équipe de préhistoriens dans une grotte située sur le site italien de Riparo Bombrini (nord-ouest Italie) révèle que Neandertal organisait son espace de vie d’une façon particulièrement méticuleuse et ordonnée.
En effet, les travaux menés par Julien Riel-Salvatore, professeur adjoint d'anthropologie à l'Université du Colorado (Denver, Etats-Unis) et ses collègues indiquent que les différents endroits de cette grotte étaient utilisés par ses habitants néandertaliens pour des activités bien distinctes.
Ainsi, le niveau supérieur de la grotte (elle en comporte trois) était dédié à l’abattage et à la découpe du gibier. Un constat effectué à la suite de la découverte de nombreux ossements de bêtes en ce lieu précis.
Concernant le niveau intermédiaire de la grotte, qui regroupe les traces d’occupation humaine les plus denses, l’espace se subdivisait en deux zones, chacune étant destinée à des activités différentes : l’avant de la grotte était réservé à la fabrication des outils ainsi que les nombreux artefacts retrouvés à cet endroit l’indiquent. Alors que l’arrière de la grotte, une zone dans laquelle très peu de débris de pierre y ont été retrouvés contrairement à l’avant de la grotte, abritait un foyer situé à un mètre de la paroi.
La raison de cette répartition au sein du niveau intermédiaire ? Elle est probablement double. D’une part, le fait de fabriquer des outils dans un endroit bien éclairé (le devant de la grotte) était de toute évidence indispensable. Et d’autre part, la présence de débris de pierre sur le sol représentait probablement un danger pour les habitants. D’où la nécessité de disposer, autour du foyer (qui était probablement l’un des lieux les plus fréquentés de la grotte), d’un sol exempt de ces artéfacts.
Quant au niveau inférieur de la grotte, sa fonction n’est pas encore très claire pour les préhistoriens, car la zone accessible est réduite. Le seul constat qu’ils ont pu dresser de son exploration est la présence, comme au niveau intermédiaire, d’une plus grande quantité de débris de pierre à l’entrée de la grotte.
Par ailleurs, il est à noter que des pigments d’ocre ont été retrouvés dans les différents niveaux de la grotte. Rappelons que cette argile colorée a déjà été découverte dans d’autres grottes préhistorique (lire « Un atelier de fabrication de pigment vieux de 100 000 ans découvert en Afrique du Sud »).
Si cette étude présente un indéniable intérêt scientifique puisqu’elle permet aux préhistoriens de pénétrer plus avant dans l’intimité domestique de l’Homme de Neandertal, il faut toutefois mentionner que la propension de ce dernier à organiser son espace de vie avait déjà été mise en évidence par de précédentes études, qui avaient notamment révélé l’existence de lieux, au sein de l’habitat néandertalien, spécifiquement dédié à la taille d’outils en pierre.
Ces travaux ont été publiés dans l’édition de décembre 2013 de la revue Canadian Journal of Archaeology, sous le titre « A Spatial Analysis of the Late Mousterian Levels of Riparo Bombrini (Balzi Rossi, Italy) ». http://www.journaldelascience.fr/homme/articles/homme-neandertal-etait-tres-ordonne-3361
Des gravures abstraites réalisées par Néandertal ?
Les Néandertaliens étaient des marins
Les Néandertaliens étaient des marins
Reconstitution de l'Homme de néandertal trouvé à Spy (Belgique)
Il semble bien que les Néandertaliens aient battu les humains modernes sur les mers. De plus en plus de preuves suggèrent que nos cousins disparus ont sillonné la Méditerranée dans des embarcations il y a 100.000 ans - et tout le monde n'est pas convaincu qu'ils n'étaient seulement que de (très) bons nageurs...
Les Néandertaliens vivaient autour de la Méditerranée il y a 300.000 ans. Leurs outils moustériens particuliers en pierre se trouvent sur le continent grec et, curieusement, ont également été trouvés sur les îles grecques de Leucade, Céphalonie et Zante. Cela pourrait être expliqué de deux manières : soit les îles n'étaient pas des îles à l'époque, ou alors nos lointains cousins ont navigué sur l'eau en quelque sorte.
Maintenant, George Ferentinos de l'Université de Patras, en Grèce dit que nous pouvons écarter la première hypothèse. Les îles, dit-il, ont été coupées du continent bien longtemps avant que les outils ont été mis sur elles.
Ferentinos a compilé des données qui montraient que le niveau de la mer se trouvait 120 mètres plus bas il y a 100.000 ans, parce que l'eau a été beaucoup plus retenue sur les calottes de glace de la Terre. Mais le fond marin au large la Grèce d'aujourd'hui tombe à environ 300 mètres, ce qui signifie que lorsque les Néandertaliens étaient dans la région, la mer aurait été au moins avec 180 mètres de profondeur (Journal of Archaeological Science, DOI: 10.1016/j.jas.2012.01.032) .
Ferentinos pense que les Néandertaliens avaient une culture maritime depuis des dizaines de milliers d'années. Les humains modernes sont censés avoir pris les mers il y a seulement 50.000 ans, lors du passage à l'Australie...