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Egyptologie : une momification pré-dynastique
Egyptologie : une momification pré-dynastique
Culture Badari - Egypte préhistorique - Bobak Ha'Eri − CC-BY-2.5
Avoir la volonté et la capacité de revenir "gratter" ce qui semble déjà connu et postulé, acquis, c'est l'une des vertus que j’apprécie le plus chez les meilleurs archéologues et les meilleurs anthropologues. C'est souvent ainsi que des découvertes se font, sur de l'acquis et du "figé", du non-remis en cause depuis trop longtemps. Souvent parce que la chose "figée" et "certaine" est associée à un grand nom, à une sommité scientifique, qui avait pourtant comme tout le monde le droit de se tromper ou de se fier aux acquis de son époque...
C'est un peu le cas en ce qui concerne l'Egyptologie, tant les choses si "certaines" depuis la fin du 19ème siècle et les débuts du 20ème se trouvent mises à défaut par des études plus poussées, avec des moyens modernes, mais aussi de nouvelles découvertes qui changent la mise...
Cet article vous propose de revenir tout d'abord sur la préhistoire de l'Egypte et les quelques civilisations découvertes ayant devancées celle que nous connaissons tous à travers nos livres scolaires et musées, l'Egypte des dynasties pharaoniques...
Car, si les premiers pharaons ont probablement été couronnés vers le 3ème millénaires avant JC, on sait maintenant (mais Petrie avait déjà indiqué les traces d'une présence dès l'Holocène dans la Vallée du Nil, à la fin du 19ème siècle) qu'une forte présence humaine existait déjà 10.000 ans avant JC, sur les mêmes lieux. On ne sait pas grand chose de ce qu'il s'est passé entre cette période encore humide des débuts et cet assèchement total vers 4000 avant JC, hormis le fait que le Nil a plusieurs fois changé son lit, creusant ou réhaussant alternativement sa vallée et les sites autours...
On sait qu'il a existé un ou plusieurs peuples, tribus, qui ont, et c'est une première surprise, fait d'incessantes navettes entre les régions de savanes (devenues des déserts depuis) et les régions humides du Nil, comme des guides de troupeaux assujettis à livrer pendant des millénaires le lait, fromages et denrées liées à leurs activités pastorales, à des endroits précis probablement à l'époque, mais diversifiés. C'était donc déjà une forme d'organisation et ces gens ont eu une "mission", un "job" inchangé et permanent à effectuer pendant des siècles. Puis, après 5000 ans de ce régime simple d'élevage pastoral, on découvre les premières implantations sédentaires et fixes : des éleveurs ont arrêté de faire la navette et se sont mis à, en plus de l'élevage, cultiver des plantes, sur place. C'est principalement aux endroits les plus humides de l'époque, au Delta du Nil et au Fayoum que cela se produit. On rejoint ici rapidement le néolithique déjà développé ailleurs (Mésopotamie) et d'ailleurs, l'apport de l'Orient est visible immédiatement. Alors qu'on élevait principalement le bœuf africain domestiqué jusqu'à présent (dès 7000 ans avant JC probablement, voir bien avant dans le Sahara plus profond - voir les dessins rupestres algériens et libyens, etc), chèvres, moutons, porcs et orge, blé et lin question plantes font leur apparition dans ces régions humides, tous originaires de l'orient. Il est indéniable qu'un contact définitif entre l'afrique et l'orient s'est produit à cette époque, faisant de l'Egypte la première région ayant une double appartenance. D'après les estimations actuelles, c'est vers 4200 avant JC que tout est déjà en place pour pouvoir produire ce qui deviendra l'une des premières et principales civilisations du monde, moins de mille ans plus tard...
Et ce n'est probablement pas pour rien que la toute première culture, civilisation organisée et populations sociales se trouvent dans ces régions du nord égyptien et sur la rive orientale du Nil. A l'Est donc, d'où sont probablement venus les apports et connaissances de Mésopotamie, via l'isthme de Suez et les côtes syro-palestiniennes... C'est là que la civilisation des Badari s'implante, entre les villes modernes d'Assiout et de Tahta sur une trentaine de kilomètres. On y a découvert des nécropoles dans le massif calcaire. Les morts sont enterrés sur le côté, en position « fœtale », la tête généralement orientée au sud. Les individus reposent dans de simples fosses, souvent enveloppés de nattes. Les objets qui les accompagnent révèlent à priori une société complexe et inégalitaire, capable de produire des biens de luxe. À côté de belles poteries rouges à bord noir et à la surface ondulée, on note des objets en ivoire de très grande précision : des figurines généralement féminines, des cuillers, peignes, épingles à cheveux. Des palettes à fard, réalisées dans une belle pierre vert-noir appelée « grauwacke », et dont les gisements se trouvent dans le wadi Hammamat, font leur apparition sous des formes simples de losanges plus ou moins allongés, prouvant le soin apporté au maquillage. Le peu qu'on connaisse des habitats (rien n'a subsisté quasiment) atteste un mode de subsistance mixte, où, à côté des espèces domestiques d'élevage et d'agriculture, l'économie de ponction – chasse, pêche, cueillette – joue encore un rôle important. Les relations avec leurs voisins de Basse-Égypte sont attestées à travers certains groupes d'outillage lithique – les pointes de flèches à base concave – et peut-être dans la technique particulière de polir les poteries. Ces populations connaissaient bien les déserts et particulièrement le désert oriental, entre Nil et mer Rouge, qu'elles traversaient en quête de coquillages marins et dont elles surent très vite exploiter les richesses pétrographiques – grauwacke, stéatite, malachite. On peut également noter ici la coïncidence - si c'en est une, de leur apparition sur les rives du Nil vers -4000 avant JC donc, au même moment où se serait produit une catastrophe au niveau de la Mer Rouge selon certains auteurs, une rupture de barrage naturel entraînant une immense inondation ("déluge" selon certains) et engloutissement de régions entières autour de la Mer Rouge...
civilisation des Badari
400 ans plus tard, cette culture "orientale" s'étend plus au sud et, vers -3800 avant JC, on découvre (avec l'archéologue Petrie donc) la première civilisation de Nagada, vers Louxor. Les chasseurs-cueilleurs-agriculteurs sont devenus aussi des guerriers. Cela se voit dans les encore rares dessins et représentations humaines : comme des indiens des amériques, les seuls personnages dessinés sont manifestement des guerriers vainqueurs : des personnages à la tête parée de plumes, les bras levés en signe de victoire, dominent des sujets plus petits, enchaînés et aux bras entravés (vase de Bruxelles et d'Abydos). C'est considéré comme une image "exagérée" du guerrier victorieux, mais certains archéologues montrent aussi des squelettes et des tombes d'hommes de haute stature, pas des géants, mais ce qui les feraient considérer comme tels, même de nos jours, par une population méditerranéenne !... A ce titre, il est difficile de trancher aussi facilement sur une simple représentation artistique et une possible réalité ethnique : l'apport de populations de guerriers venus d'ailleurs, du nord ou de l'est plus profond...
Et c'est là que la civilisation de Nagada, avec ses guerriers (de grandes statures ou non !), va faire la différence localement d'avec toutes les autres : les cultures de Basse-Egypte ont continué pendant un certain temps leur rôle de pasteurs-agriculteurs "classiques", sans trop accorder d'importances aux rites et cultes des morts par exemple - pas d'offrandes ou d'objets dans les tombes. Par contre, ils développent leurs techniques grâce aux apports et leurs relations avec le Proche-Orient voisin et sont les premiers à bénéficier du cuivre par exemple. Mais les princes nagadiens se trouvent à présent trop à l'étroit dans les cinq cents kilomètres de vallée du Nil qui séparent Assiout d'Éléphantine, aussi, les communautés agro-pastorales de Basse-Égypte vont disparaître, absorbées plus ou moins radicalement par le groupe dominant. On ne sait pas trop comment se processus s'est déroulé à l'époque. Plutôt qu'une guerre de conquête pure et dure, on pense à des formes d'assimilation plus variées : alliances, mariages, sans exclure les coups de force et trahisons, notamment avec certains groupes "durs" et dissidents du Delta, comme en témoigneront les documents de la fin de la période – les palettes ornées...
Cette expansion nagadienne se fera en final dans les deux sens, au nord comme au sud, en se déployant jusqu'aux marges de la seconde cataracte, en Nubie, là où se développeront des communautés particulières de Nubiens « égyptianisés », le fameux Groupe A. L'élite accentue considérablement le processus de hiérarchisation en affirmant alors sa différence par la possession d'objets luxueux. C'est l'apogée des grands couteaux, dont la confection exprime l'un des sommets mondiaux de la taille du silex, les princes commandent des bijoux en cuivre et en or, des ivoires travaillés, des pierres précieuses parfois venues de très loin, comme le lapis lazuli originaire d'Afghanistan, des palettes à fard zoomorphes et des belles poteries à fond blanc, décorées de motifs peints à l'ocre : spirales, vaguelettes, lignes ondulées, mais également des scènes complexes dominées par le thème de la navigation. Le Nil n'est pas seulement la voie de communication unique, celle qui relie le Delta au cœur africain, c'est aussi le lien symbolique qui unit deux mondes symétriques : celui des vivants et celui des morts. La tombe des Grands de Nagada, en ces temps d'expansion et de domination, reflète peu à peu la maison des vivants : elle s'édifie, se complexifie, alliant l'utilisation de la brique crue et de la pierre taillée, à la multiplication des chambres et des magasins, anti-chambres. Progressivement, durant la phase finale du Prédynastique, la phase Nagada III, elle redessinera pour l'éternité l'image des palais royaux, entourés de murs à redans et de tombes subsidiaires destinées à l'entourage du roi.
Très récemment, il aurait été redécouvert (et malheureusement abîmés par des écritures modernes de touristes peu respectueux) la représentation d'un des tout premiers pharaons égyptiens, cet ensemble de gravures rupestres étant nommé "la procession d'Horus" : la première représentation d'un pharaon, identifiée récemment sur une gravure rupestre (explication et photos).
C'est lors de cette dernière phase du Nagadien, entre 3300 et 2900 avant JC environ, qu'apparaît le processus de codification. Plusieurs artefacts disparaissent, comme la poterie décorée, les beaux couteaux de silex, d'autres évoluent, comme les palettes à fard devenues supports d'iconographie, tandis que des formes nouvelles apparaissent, comme certains vases que l'on retrouvera tout au long de l'Ancien Empire. Mais la grande nouveauté, c'est le début de l'écriture. Ainsi, dans la tombe U-j d'Abydos, des poteries portaient peints à l'ocre rouge des animaux associés à des motifs végétaux, interprétés comme les premiers signes de l'écriture hiéroglyphique, et lus comme la désignation du domaine (le végétal) de rois (les animaux) qui auraient régné durant une « dynastie 0 », soit entre 3300 et 3100 avant notre ère. Dès cette époque, un signe rectangulaire typique, appelé serekh, considéré comme la représentation d'une façade de palais, apparaît incisé sur la panse des poteries, parfois surmonté d'un faucon et à l'intérieur duquel prendra place, sous la Première Dynastie, le nom du Pharaon. Ainsi l'écriture apparaît-elle en relation avec la gestion des échanges commerciaux, la volonté de garantir l'intégrité et la qualité du produit, volonté émanant d'une élite de plus en plus puissante, qui, très rapidement, saura reconnaître ce « pouvoir » de l'écrit et se l'attribuera en se désignant : avant tout énoncé plus complexe, le mot renvoie au nom royal.
Mais le plus étonnant maintenant, c'est que le processus de momification pourrait bien avoir été inventé (ou amené avec elle de l'orient !) par la toute première culture implantée solidement en Egypte, les Badari cités plus haut !. " Jusqu'à très récemment, on pensait que les égyptiens avaient mis beaucoup de temps pour arriver à ce processus très complexe : le scénario privilégié était le suivant. Inhumant leurs morts dans de simples fosses dans le désert, les Égyptiens auraient d'abord constaté l'étonnante capacité de ce dernier à préserver les cadavres de la putréfaction. Puis l'Égypte serait devenue peu à peu un État centralisé et organisé, mais ce n'est que vers 2500 ans av. J.-C. que ses savants, sans doute, auraient constaté que différentes substances, comme les résines, permettaient de mieux préserver les cadavres. C'est de cette manière que peu à peu, l'art de la momification aurait pris son envol, devenant de plus en plus sophistiquée au fil du temps, avec son apogée entre 2000 et 1000 avant JC et atteignant toutes les couches de population.
Dans les années 1990-2000, des découvertes relancent le débat. Une équipe internationale met au jour un bien étrange cimetière, à Hiérakonpolis dans le sud de l'Égypte, datant d'environ 3500 ans av. J.-C. Leur attention est d'abord accaparée par l'abondance de victimes d'exécution ou de sacrifices (tués à la massue, décapités ou égorgés, scalpés, …) Mais ils font une autre découverte, en apparence plus modeste. Sur certains défunts, les fossoyeurs ont appliqué des linges imprégnés de quelque chose qui ressemble à de la résine. Puis ils les ont en partie emmaillotés dans du lin, et déposés sur des nattes. À l'inverse des momies usuelles, ils ne l'ont fait que sur certaines parties du corps − la tête ou les mains. Il y a même une jeune défunte, sans doute d'un haut statut social, dont les fossoyeurs ont traité de la sorte un organe, avant de le remettre en place.
Mais les chercheurs se rappelèrent alors ce qu'ils avaient lu dans un vieux livre des années 1920. Deux archéologues britanniques y relataient des emmaillotements similaires de têtes et de mains dans un autre cimetière. Par chance, ils avaient envoyé à l'époque des échantillons de ces tissus dans un musée anglais. Et au fil du temps, plusieurs égyptologues y avaient noté la présence d'une substance un peu cireuse… En outre, les textiles proviennent de cimetières a priori encore plus anciens que celui d'Hiérakonpolis. Bref, des analyses s'imposent.
Celles-ci révèlent que la substance contient bien de la résine de conifère. Et d'autres ingrédients : principalement des graisses, animales ou végétale, et un petit peu de sucre (ou de la gomme plantes), de cire végétale et de bitume. « Les résultats sont convaincants » explique Alain Tchapla, de l'université Paris sud. Les échantillons les plus anciens, indiquent les datations, remontent à près de 4200 ans av. J.-C. La plus ancienne preuve de momification. Et à une époque franchement inattendue pour les chercheurs.
En outre la recette est étonnamment similaire, écrivent les chercheurs, à celles des « embaumeurs égyptiens quand ceux-ci étaient au sommet de leur art, 2500 à 3000 ans plus tard ». De là à conclure que les bases de l'embaumement étaient déjà en place à cette date et ont perduré, il n'y a qu'un pas qu'Alain Tchapla enjoint de ne pas franchir. « Parfois, pour certaines momies, les analyses ne détectent rien d'autre que des corps gras. Il y avait visiblement une certaine diversité des pratiques de momification » (voir aussi ici, en anglais). Les chercheurs sont encore loin de savoir comment ces dernières ont évolué au cours du temps. D'abord en raison de la difficulté de réunir un échantillon vraiment représentatif de momies, notamment pour les hautes classes sociales (pharaons, grands prêtres, etc.) Ensuite parce que beaucoup de momies ont reçu divers traitements pendant leur conservation dans les musées, qui n'ont pas toujours été notés, ce qui peut brouiller les analyses.
Reste qu'il s'agit bien de prémices de la momification. Une raison de plus de s'intéresser aux occupants de ces cimetières, des populations méconnues que les égyptologues appellent la culture Badari. C'est en 1922 qu'un des deux archéologues britanniques cités plus haut, Guy Brunton, la découvre. "
Autre sujet d'étonnement :
Tabac et cocaïne : En 1976, l'État égyptien confie la momie de Ramsès II attaquée par les champignons, aux scientifiques français. La momie est reçue avec les honneurs dus à un chef d'état par le président d'alors, Valéry Giscard d'Estaing. Chargée de l'étudier, une botaniste du Muséum national d'histoire naturelle est obligée de se rendre à l'évidence : elle trouve dans l'abdomen du pharaon des minuscules fragments de feuille qui ressemblent comme deux gouttes d'eau à du tabac. Quoi ? Ce dernier n'aurait pas été ramené d'Amérique après la conquête espagnole ? Faudrait-il imaginer d'extravagantes connexions entre l'Égypte ancienne et l'Amérique ? Le tollé est général. Mais la chercheuse française ne se démonte pas et fait analyser ses échantillons par un autre laboratoire, qui confirment ses conclusions. Le mystère aujourd'hui, reste entier. Il existait peut-être en Afrique à l'époque, une plante cousine du tabac et qui aurait disparu aujourd'hui. Les embaumeurs de Ramsès l'aurait utilisé, peut-être comme insecticide. Mais la momie ayant connu de multiples déménagements au cours des siècles, des contaminations à l'époque moderne ne sont pas totalement exclues, quoique assez improbables.
Une polémique similaire se répète en 1992, quand des analyses détectent des traces de cocaïne, de nicotine et de haschisch sur des momies d'un musée de Munich. Du haschisch, qui vient du cannabis, plante eurasiatique, passe encore… Mais la cocaïne est issue des feuilles de coca, que personne n'a vu pousser hors d'Amérique du sud avant le XXe siècle. Mais là encore, le travail des scientifiques est mis hors de cause. Ce qui n'est pas le cas de l'usage de drogue par ceux qui ont approché ou manipulé les momies, des archéologues au personnel du musée…
Références : J. Jones et al., PLoS ONE, 9, e103608, 2014 La citation en exergue est tirée du Livre des morts des anciens égyptiens, (trad. Paul Barguet).
http://archeo.blog.lemonde.fr/2014/10/04/les-premieres-momies-egyptiennes/
https://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/les_origines_de_legypte.asp
http://www.crystalinks.com/egypthistory.html
Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 28-11-2014
OVNIs : 1974, une enquête sur un enlèvement
OVNIs : 1974, une enquête sur un enlèvement
Toujours un retour dans le monde des "soucoupes volantes" du passé et des années 1970 avec cette fois une enquête complète (et en même un hommage envers ce journaliste qui nous a quitté en 2001) d'André Burnat, publiée dans l'Aurore du 18 février 1974, quelques jours donc après la révélation du cliché prit un technicien du C.N.R.S., Jean Bégot, lors du suivi de l'éclipse du Soleil effectué pendant près de deux heures par le Concorde au-dessus de l'Afrique, le 30 juin 1973... on notera tout de même que les scientifiques à bord de l'avion et d'autres après (des astronomes, physiciens, spécialistes de l'optique, météorologues, aéronauticiens, etc...) se sont grattés la tête, incapables de trouver une explication réelle et surtout raisonnable du phénomène, pendant 7 mois (la photo n'a été révélée que début février 1974)... et que l'explication a été miraculeusement trouvée... dans la presse... ici dans l'Aurore, c'est un simple nuage et la vraie explication retenue (faites les mêmes recherches que moi) officiellement est... une banale météorite du 30 juin (β Tauréides) qui aurait miraculeusement explosée à 17.000 mètres d'altitude pile au moment où le technicien prenait la photo historique de l'éclipse du soleil bien noire... une explication un peu "passe partout" donc, comme bien souvent quand... on ne sait pas mais qu'il faut "dire quelque chose" au public impatient et "payeur"... mais cette affaire du Concorde, révélée (et vite "étouffée) en février 1974 tombait effectivement au-milieu d'une grosse vague d'observations en France, au moment où un ministre en poste admettait que les ovni existaient bien et pouvaient poser problème (tout au moins pour un survol d'espace aérien national sans prévenir !) et que même des gendarmes avaient assister à des atterrissages étranges... il s'agit donc d'une enquête un peu plus profonde de ce journaliste, qui n'a fait que son métier, et pas trop mal apparemment, (même si les affirmations du début m'ont bien fait rire !), avec moins de pressions que de nos jours à priori en tout cas (où la peur du ridicule semble avoir pris le dessus d'une façon assez... ridicule !).
" Les souvoupes volantes existent-elles ? Des extra-terrestres cherchent-ils à entrer en communication avec nous ? La question vient de se poser une fois de plus. A cause de ce qu'on n'appelle plus que " l'incident du Concorde ".
" On sait aujourd'hui exactement ce qui s'est passé. Le 30 juin 1973, alors que Concorde survolait le Tchad, un technicien du C.N.R.S., Jean Bégot, a pris une photo étrange.
BATAILLE
" Quand il a appuyé sur le déclencheur de son appareil, il n'a rien vu dans le viseur que le ciel. Mais au développement, un bizarre point lumineux est apparu. Grossi quatre-ving fois, il représentait une espèce d'assiette à soupe renversée, flamboyante, aux contours irisés, surmontée de fumée. Ou plutôt une soucoupe. Soucoupe volante. Le mot était lâché. Ou OVNI, comme on dit officiellement. C'est-à-dire " objet volant non identifié ".
" La bataille d'experts a duré sept mois. Les plus grands spécialistes du C.N.R.S. (Centre National de la Recherche Scientifique), du C.N.E.S. (Centre National d'Etudes Spatiales) et de l'Institut d'Astrophysique, ont étudié la photo sous toutes les coutures. En dernier ressort, le chef de la division "Fusées et Sondes" du C.N.E.S. de Toulouse, M. Claude Poher, a fait appel à l'ordinateur de Meudon, spécialisé dans l'identification des OVNI (YH : sic !). Le verdict de l'ordinateur, rendu le 30 janvier, était formel : ce n'était pas un OVNI, c'était un phénomène naturel. (YH : !!)...
" Mais la " chose " vue par l'équipage du Concorde (?) a relancé le problème des soucoupes volantes. Régulièrement, des hommes et des femmes qui semblent de bonne foi voient des " objets volants " qu'on ne peut pas expliquer, eux, par des phénomènes naturels. Certains affirment même être entrés en contact avec des extra-terrestres.
YH : j'ai plusieurs coupures de presse sur cet "incident du Concorde", on en reparlera donc dans un autre article dédié, celui-ci sera cité bien sûr.
BRULANT
" Parallèlement à France-Inter (chaque jour à 20 h 30, Jean-Claude Bourret parle des OVNI pendant 10 minutes. L'émission durera jusqu'à la mi-mars), nous avons décidé de rouvrir pour vous le dossier brûlant des OVNI.
" Fidèle à notre tradition d'objectivité et à notre mission d'informer, nous vous livrerons le plus clairement possible les témoignages de ceux qui disent avoir vu des OVNI. Tous ces cas sont récents. Ils s'échelonnent entre 1965 et 1973. Ils sont sérieux. Toutes ces aventures ont les mêmes caractéristiques : elles sont arrivées à des gens sains d'esprit et intelligents qui n'ont aucune raison d'affabuler. Certains sont mêmes des scientifiques. Et dans chacun des cas, on n'a pu donner d'explication logique, raisonnable à ce que ces gens ont vu. Nous ne trancherons pas. Nous vous laisserons le soin de juger vous-même. Les faits sont assez précis pour que vous puissiez le faire.
" Nous vous raconterons le phénomène étrange observé le 30 novembre 1973 sur l'aéroport de Turin par plusieurs pilotes et techniciens (YH : j'ai effectivement plusieurs coupures de presse sur cet incident).
" A 19 heures, le radar de l'aéroport de Turin décèle sur son écran une tache suspecte. Elle ressemble à la silhouette d'un DC 9 en vol stationnaire. Le technicien de la tour de contrôle met alors en fonction un deuxième radar qui lui renvoie le même écho. Il demande alors à un pilote de la compagnie "Alitalia" qui s'apprête à poser son DC 8, de vérifier cette tache.
ETRANGE
" Le commandant de bord répond qu'il voit un point bleu métallique qui se déplace. La tour de contrôle lui demande s'il ne s'agit pas d'un ballon-sonde. Le pilote répond par la négative... Vous pourrez connaître le témoignage des sept personnes de Fabrègues qui disent avoir vu atterrir une soucoupe volante dans le sud de la France. Dans la soirée du 6 décembre 1973, sept personnes de Fabrègues affirment avoir vu sur le plateau de Saint-Baudile, entre Montpellier et Sète, un OVNI.
SERIEUX
" C'était un un engin circulaire, de couleur aluminium, déclarent Fernand Perez, 14 ans et Jean-Paul Davezedo, 15 ans. Il était posé sur des pieds et ressemblait à une soucoupe volante. Il avait sur le côté des lumières qui clignotaient comme les feux de position d'un avion : un coup rouge, un coup blanc. Au sommet de la coupole, il y avait une sorte de bulle qui était plus éclairée que le reste ". M. Claude Poher prend ces témoignages très au sérieux et a fait appel à toutes les personnes qui, ce soir-là, auraient pu apercevoir cet engin. Car un jeune scientifique de Sète s'est livré à des expériences troublantes.
" Mais vous lirez une aventure encore plus étonnante encore : celle de l'étudiante française, futur professeur, qui jure avoir vu un être venu d'une autre planète. Le 9 août 1972, à Saint-Jean-du-Gard, près de Nîmes, une étudiante, agrégative en français, campe avec son mari, un professeur. Vers 2 heures, elle aperçoit sur une colline bordant la vallée, à trente mètres d'elle, une boule blanche de trois ou quatre mètres de diamètre, ressemblant à une "Isetta" : " Elle avait la forme d'un oeuf, dit-elle. Elle était très brillante, presque phosphorescente. Au même moment, j'ai entendu un froissement dans les herbes sèches. Je me suis retournée et j'ai distinctement vu à trois ou quatre mètres de moi, un petit être mesurant 1 m 20 environ... "
PARALYSE
" Elle n'est pas seule dans son cas : un paysan du Midi est certain, lui aussi, d'avoir vu des extra-terrestres. Nous publierons son récit : à Valensol, dans les Alpes de Haute-Provence, il aperçut, le 1er juillet, " deux petits bonshommes, mesurant entre 1m10 m et 1m20 et ayant un gros cerveau ". " J'étais dans mon champ de lavande lorsque je les ai vus, dit-il. L'un d'eux a sorti une espèce de tube, qu'il portait dans un holster sur sa cuisse droite. Il l'a dirigé sur moi et je suis resté paralysé. Pourtant, a-t-il ajouté, j'ai eu l'impression qu'ils ne m'étaient pas hostiles mais qu'ils étaient dotés d'une puissance fantastique. Je l'ai bien senti ". Ce témoignage avait été recueilli par un officier de gendarmerie qui est actuellement colonel à Orléans, M. Valnet.
" Vous lirez encore cette histoire plus ancienne, puisqu'elle remonte à 1965, de ce gardien d'hacienda, au Chili, qui ramenait ses troupeaux des hauts plateaux. Apercevant, dit-il, un disque lumineux qui atterrissait, il s'approcha. Il vit alors " trois petits bonshommes en descendre ". Comme il était armé, il tira sur l'un d'eux, qui tomba. Son récit ne s'arrête pas là. " Aussitôt après, dit-il, je tombai à mon tour, frappé par un rayon lumineux vert d'une grande intensité. Paralysé, couché à terre, je vis deux des occupants de la soucoupe remonter le troisième à bord et la soucoupe s'envoler ". Quelques jours plus tard, le gardien mourait d'une maladie mystérieuse...
UN TEMOIGNAGE SAISISSANT-Abduction
Voici maintenant le témoignage de Philip Barnes, dessinateur industriel qui affirme avoir été enlevé, avec sa femme Dorothy, par les occupants d'une soucoupe volante.
" Le 23 septembre 1972, Philip et Dorothy Barnes (35 et 32 ans) quittaient Los Angeles où ils avaient passé la journée à visiter des maisons à louer, quand dans le coin supérieur droit du pare-brise, Philip, un dessinateur industriel, aperçut une petite boule lumineuse.
" Regarde, dit-il à sa femme. Cette étoile est bien grosse ". " Ce n'est pas une étoile, répondit Dorothy. Elle bouge. C'est un avion ou un hélicoptère qui vole très bas. "
" Ils roulèrent quelques minutes dans le calme de la campagne endormie. Soudain, Dorothy s'exclama : " Arrête la voiture. Regarde. " Elle désignait, à droite de la route, au milieu d'une étendue désertique, un grand coin illuminé qui ressemblait à une tente de cirque qui aurait été éclairée par des projecteurs. Le bas de la tente était plus sombre. Il se fondait plus dans la nuit. On ne voyait pas très nettement si la "tente" touchait le sol.
" Philip arrêta la voiture parce que, comme il le déclara plus tard aux policiers à la commission d'enquête, " il y avait quelque chose de bizarre dans cette tente. On aurait dit qu'elle tournait à toute vitesse sur elle-même ".
HUBLOTS
" Ils se sont arrêtés à trente mètres environ de la "tente" qui s'éteignit soudain. Puis, dans la masse noire de l'engin, cinq ronds s'allumèrent, comme des hublots. Soudain, un bip-bip ! géant, qui rappelait celui qu'ils avaient entendu en voiture, perça leurs tympans et ils perdirent connaissance.
" Ils se réveillèrent couchés sur le sol quelques secondes plus tard, un peu étourdis. Leur premier soin fut de s'assurer qu'ils étaient intacts. Puis ils regardèrent l'endroit où la "tente" s'était dressée. Il n'y avait plus rien que l'obscurité de la nuit vide.
UN TRUC
" Une image incertaine rôdait dans la cervelle de Philip : " Il me semble que j'ai vu le truc s'envoler, dit-il. Pourtant, je dormais ". " J'ai fait le même rêve, répondit Dorothy ". " Alors, ce n'est pas un rêve. C'était... ". " C'était une soucoupe volante ", compléta Dorothy. Et les Barnes, un peu troublés, reprirent la route. Ils arrivèrent chez eux, à Sottac, après deux heures de route. Ils n'avaient presque pas parlé. Ils eurent une première surprise en voyant l'aube se lever alors qu'ils se préparaient à se coucher. Pourtant, il n'aurait dû être que deux heures du matin environ.
Lire la suite ci-dessous :
OVNIs : OANI Tv du 25-11-2014
OVNIs : OANI Tv du 25-11-2014
OANI Tv du 25-11-2014 d'ODH TV vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
- Interview d'Ovni Languedoc
- OANI dans le Golfe du Lion, 2ème partie
OANI Tv est en partenariat avec:
http://Sciences, Fictions, Histoires
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://area51blog.wordpress.com/
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Yves Herbo Relai-Sciences-F, Histoires, 26-11-2014
Vie Extra-terrestre : révélations en Chine !
Vie Extra-terrestre : révélations en Chine ! - MAJ
Les choses ne sont pas tellement révélées dans les médias traditionnels, très peureux et "aux ordres" sur la question, mais il y a un fort malaise en Chine depuis plusieurs semaines en ce qui concerne les phénomènes OVNIs. Les observations d'objets étranges au-dessus de plusieurs aéroports chinois en début d'année et au printemps de cette année 2011, aperçus par plusieurs milliers de témoins ont accentué le problème, principalement au niveau des scientifiques chinois, mais ce sont surtout les propos et révélations récentes du Professeur Wang Sichao, astronome mondialement reconnu et l'un des responsables chinois du Célèbre Purple Mountain Observatoire astronomique (photo ci-dessus) qui perturbent les esprits. L'astronome a en effet décidé de dire publiquement que les OVNIs existaient bel et bien et que c'était des extra-terrestres qui nous visiteraient, et que l' Observatoire avait observé leurs vaisseaux à plusieurs occasions.
Un Ovni photographié en Chine
La révélation chinoise sur les OVNIs a été faite la semaine passée (mi-août 2011) dans un discours officiel " La vérité OVNI de la Chine " dans lequel M. Wang Sichao a divulgué ces points clés suivants :
- Les étrangers qui nous visitent sont là pour des expéditions de Recherche & Découvertes.
- Ces OVNIS sont des sondes habitées par des robots.
- Ces vaisseaux voyagent à quatre-vingt pour cent de la vitesse de la lumière.
- Les observations faitent à partir de l'Observatoire seraient des vaisseaux qui étaient entre 150 et 1500 kilomètres de la Terre.
- Les visiteurs utilisent la fusion nucléaire pour la propulsion de leur vaisseaux.
- Que les 39 ans de travail, d'observations au Purple Mountain Observatory ont amené Wang Sichao à penser que les vaisseaux utilisent la gravité terrestre pour manoeuvrer et rester dans les airs.
Ces révélations coïncident également avec la déclassification de plusieurs documents chinois officiels concernant les phénomènes aériens non identifiés, qui font suite à ceux publiés par la France, l'Angleterre, le Brésil, les USA et l'Autralie : les dossiers mondiaux de cas irrésolus et même étonnants se multiplient donc et s'épaississent.
Petit rappel du côté Français avec ce petit reportage peu diffusé par les médias malgré son importance :
Comme pour appuyer le malaise actuel de la communauté scientifique chinoise sur le sujet, une mystérieuse boule blanche lumineuse est apparue dans le ciel, au-dessus de Shanghaï, le samedi 20 août 2011 :
Une mystérieuse boule blanche lumineuse dans le ciel
UN ÉNORME ovni lumineux planant bien haut au-dessus de Shanghai a été repéré aux environs de 21 h samedi par plusieurs pilotes de l'aviation civile qui ont fait rapport de ce qu'ils avaient vu au Bureau de contrôle du trafic aérien de la Chine de l'Est. Un fonctionnaire de ce bureau du nom de Jiang a confirmé hier qu'ils avaient reçu des rapports de plusieurs pilotes. Aucun vol n'a été perturbé, mais il a refusé de révéler plus de détails. L'objet volant non identifié était à 10 700 m au-dessus de Shanghai, et il est devenu de plus en plus gros avec le temps, selon ce qu'a écrit sur son microblog un homme qui a dit être le pilote du « vol 6554 ». "L'énorme boule blanche est apparue soudainement dans le ciel quand l'avion est sorti des nuages épais, a-t-il écrit. C'était plusieurs centaines de fois plus grosse que la lune et que ce dont les yeux humains peuvent observer. Selon ses dires, l'objet a atteint un diamètre d'au moins 92 km. Environ vingt minutes plus tard, la boule brillante est devenue plus foncée et a peu à peu disparu, a-t-il ajouté. Au départ, j'ai pensé que c'était juste une illusion, mais le copilote a dit qu'il avait aussi vu cette scène, a-t-il dit.
Au moins dix pilotes ont rapporté l'objet au bureau de contrôle du trafic aérien. » Parallèlement, des gens de Beijing ont rapporté avoir vu l'objet dans le ciel au-dessus de la capitale à peu près en même temps que les gens le voyaient à Shanghai, ainsi que dans les provinces de Shanxi et de l'Anhui et de la région autonome de Mongolie intérieure qui ont observé et photographié le même objet qui semblait grossir. « La bulle ronde et blanche est apparue dans le ciel et a grossi rapidement avant de disparaître cinq minutes plus tard », a confié Yu Jun, ancien rédacteur d'un magazine scientifique et astronome amateur qui a pris des photos de l'objet.
Yu Jun a décidé de publier une analyse qui selon lui, montrerait qu'il pourrait s'agir en fait du carburant d'un propulseur se diffusant dans l'espace. La comparaison vient du même genre de phénomène qui s'est produit le 22 juin à Hawaï. Les astronomes avaient fait le lien avec un lancement d'un missile intercontinental en Californie. Le rapport citait l’astronome américain Phil Plait, qui pensait que le carburant inutilisé par le missile était resté dans l’espace et avait fusionné en une coquille sphérique croissante, ressemblant à une boule lumineuse à la lumière du soleil.
« L’objet devait être un vaisseau spatial qui ne peut pas à ce jour être expliqué par notre technologie aérospatiale actuelle », estime Wang Sichao, chercheur à l’Observatoire de la Montagne pourpre relevant de l’Académie chinoise des Sciences de Nanjing.
M. Wang a déclaré à Chinanews.com qu'il avait étudié les OVNI pendant 40 ans et qu'il classait le dernier phénomène comme l'un des vingt phénomènes les plus importants de son expérience dans la matière. L'objet semblait être à 300 km au-dessus de la Mongolie intérieure et se déplaçait lentement. La position des étoiles dans les photographies ont aidé à tracer la trajectoire de l'objet lumineux.
« Je crois que la bulle lumineuse n'est pas simplement un phénomène astronomique normal, mais un phénomène se produisant autour de la Terre, peut-être en haute atmosphère, et celui-ci serait provoqué par le lancement de fusées ou de satellites », a confié M. Yu Ma Jing, ingénieur à l'Observatoire astronomique national, a indiqué "qu'il avait pris un ensemble de photos montrant que l'objet s'est élevé de l'ouest comme un « nuage blanc en expansion », mais qui a disparu seulement plusieurs minutes plus tard."
Zhan Xiang, un responsable du Planétarium de Beijing, a indiqué que la « bulle pourrait avoir été provoquée par des substances émises par des engins militaires ou des satellites ». Certains astronomes amateurs ont déclaré que l'objet pourrait avoir un lien avec un satellite ayant disparu. Le China News Service a signalé qu'un satellite de télécommunications russe, l'Express-AM4 avait disparu après son lancement tôt jeudi matin (mais on ne voit toujours pas de rapport entre les deux incidents trop éloignés dans le temps).
Et sinon, une autre vidéo très intéressante datant du 16 août 2011 et filmée à l’aide d’une caméra Panasonic sdr-s26 possédant un zoom optique de 70x. Cet ovni a été aperçu dans le ciel du centre de la Floride, aux États-Unis, le mardi 16 août 2011. Le témoin en dit ceci :
"J’ai vu l’ovni vers 6h15 a.m. et suis rentré par la suite. Vers 7h a.m., la maison a été secouée. J’ai couru à l’extérieur et ai vu plusieurs hélicoptères non identifiés volant à basse altitude, environ à 40 mètres des poteaux de téléphone, là où j’ai filmé l’ovni. Ils enquêtaient de toute évidence sur l’incident. Le gouvernement ne passe habituellement pas au-dessus de ma maison. Je n’ai filmé que trois hélicoptères, mais je suis persuadé qu’il y en avait plus que ça."
Autres données (à prendre ou à laisser, mais de vraies personnes...) :
Defense Minister P. Hellyer: " Je pense qu'il y en a entre 2 & 12 espèces différentes d'Extraterrestres, c’est ce dont nous avions discuté avec l’ancien astronaute Edgard Mitchell lors d’un diner. Il a aussi évoqué le nombre de 80 espèces dont certaines se seraient fondues dans la population. Certains sont ce que nous appelons « les Whites Talls » qui travaillent actuellement avec l'armée de l'air des États-Unis dans le Nevada. J'ai un ami qui a vu l'un des hommes marcher le long de la rue. Il s’est rendu compte de leur différence physique et du fait qu’ils étaient différents. Puis il y a les petits gris pourvus de bras et de jambes très minces, de très petites tailles ainsi qu’une grosse tête et de grands yeux bruns…
Ils ne veulent pas nous dire comment gérer nos affaires et ont accepté le fait que c'est notre planète, et que nous avons le droit d’en disposer, mais ils sont extrêmement inquiets :
Ils ne pensent pas que nous prenons correctement soin de notre environnement vu que par exemple nous coupons les arbres de nos forêts, polluons nos rivières et nos lacs, rejetons les eaux usées dans l’océan…
Un des témoins avec qui j'ai échangé il y a environ un mois. Celui-ci est entré en contact avec eux en 1974, ainsi que son frère, au Pérou. Ils ont été téléportés vers Andromède. On leur a expliqué que nous étions en train de ruiner notre planète et que quelque chose de terrible allez arriver si nous ne nous ressaisissions pas. Nous passons trop de temps à nous battre les uns les autres et dépensons trop d'argent sur les armes, et pas assez sur l'alimentation des pauvres, des sans-abri et des malades, que nous polluons nos eaux et de notre air et que nous utilisions des armes dévastatrices sur terre avec des effets notoires sur le reste du Cosmos. Ils n'aiment pas cela et c'est la raison pour laquelle ils aimeraient travailler avec nous, pour tout nous apprendre, avec bien évidemment notre consentement. Ils travaillent à travers des individus n’étant pas effrayés par eux.
Ils sont parmi nous et je n'ai pas peur étant donné que dans la mesure où la technologie est concernée, ils sont à des années-lumière d'avance. Nous avons appris beaucoup de choses d'eux que nous utilisons aujourd'hui, par exemple les leds, les puces, les gilets en Kevlar et toute sorte de biens que nous avons obtenus grâce à leur technologie, dans les domaines de la médecine et de l'agriculture.
Mais, je pense que peut-être que certains parmi nous sont plus intéressés par l’obtention de la technologie militaire…"
A 13m30: www.dailymotion.com/video/x1a59tv_visitez-la-confederation-galactique-des-nations-stellaires-en-images_webcam
http://projectavalon.net/lang/fr/Paul_Hellyer_De_la_lumiere_au_bout_du_tunnel_Juil_%202010.pdf
http://messagesdelanature.ek.la/paul-hellyer-et-les-ufos-p724840
Autre ancien au ministère de la défense (anglais) qui parle tout le temps d'ovnis:
www.facebook.com/nick.pope.1428
(évitez donc de draguer des femmes en burka, vous risqueriez de tomber sur un reptilien !!)
Voici la preuve que l'Armée de l'Air française s'intéresse de très près aux OVNI.
Et la preuve que les Extraterrestres existent !
Sur le site de la défense française, tapez en recherche le mot " extraterrestre "
http://www.defense.gouv.fr
Vous tomberez sur le livre BD OBJECTIF TASSILI
signalé comme Sources Sirpa air Droits Copyright Ministère de la Défense
Il est ainsi très simple de comprendre que ce livre est un livre d'informations militaires françaises tout à fait réel, seul les noms sont changés à quelque chose près.
Sachez que tous les livres du Réseau sentinelles sont du même ordre.
Extrait qui en dit très long sur la teneur :
"Après une tentative avortée de Karazoulov pour se débarrasser de lui, Loïc Saint-Jean rassemble une équipe composée de Rosano, Lucie et quelques légionnaires afin de se rendre au coeur du Sahara à la recherche de l'engin extraterrestre. C'est au moment où ils viennent enfin de découvrir la sphère que Karazoulov ressurgit..."
Lettre ouverte à Mr Philippe TAQUET, Président de l’Académie des Sciences
http://feairplane.canalblog.com/archives/2013/07/04/27572621.html
Extrait:
"4 – La “Lettre Ouverte” rédigée par six scientifiques sous l’égide du Contre-amiral Gilles PINON en date du 16 avril 2008 adressée au Président de la République: A notre connaissance cette lettre n’a pas été suivie de décisions ou d’actions dans le domaine civil de la recherche fondamentale ou appliquée.
5 – Les archives étatiques et présidentielles des Etats-Unis d’Amérique rendues publiques dans le cadre du FOIPA font état de la participation d’Albert Einstein, Robert Oppenheimer et de toute l’équipe scientifique du projet “Manhattan” à l’étude d’épaves d’objets volants et aquatiques non conventionnels récupérées par les autorités américaines"
b) Souhaitant d’autre part que la Science française maintienne sa place dans la Science mondiale, les soussignés, se tenant résolument à l’écart de toute polémique stérile et loin de la rumeur publique ont l’honneur de vous demander de leur faire connaître la position de la Science institutionnelle française concernant la question fondamentale de l’éventualité de la présence dans notre environnement d’une intelligence, peut-être d’une conscience mais certainement de technologies non humaines."
__
L’analyse détaillée de l’histoire contemporaine des OVNI montre que, dès l’explosion de la première bombe A en 1945, le phénomène a coïncidé avec l’ensemble des activités humaines relatives à l’énergie nucléaire.
Le rapprochement entre la période des explosions nucléaires et les manifestations d’OVNI a déjà été très bien étudié par Jean-Jacques Velasco, ancien responsable du Sepra, dans son ouvrage « Troubles dans le ciel » Ce livre apporte aussi des révélations non pas « explosives » mais « atomiques » !
JG Greslé, dans son livre démontre que les 1ers kgs de matière fissile pour tester la bombe atomique n’étaient pas d’origine terrestre, mais avaient été récupérés dans les épaves d’appareils «non terrestres».
Greslé démontre que le plutonium qui n'existe pas à l'état naturel mais qui est un sous-produit de l'uranium enrichi, au moins pour la 1ère bombe atomique "Trinity" n'a pas pu être fabriqué de façon "conventionnelle, et humaine" compte tenu de la date de mise en service de la 1ère centrale nucléaire.
Dans un doc sur Planète, consacré aux projets secrets Allemands. un ancien officier de renseignements, 40 ans après, déclarait : « On est entrés dans des hangars, on a vu des choses, des prototypes inimaginables, des trucs que l’on n’avait jamais vus ! » Le gars en était encore tout retourné.
Déclaration du général James H.Doolitle : « L’Allemagne a peut-être récupéré une soucoupe volante dès 1939.»
www.dailymotion.com/video/x19syg7_snowden-leaked-docs-proving-aliens-working-u-s-governments-since-nazis_news
Compléments :
www.la-grande-revelation.com/phenomenes-tabous-et-non-reconnus-a1785684
http://messagesdelanature.ek.la/le-hacker-et-les-ovnis-p205161
Sources : http://french.china.org.cn/news/txt/2011-08/24/content_23276334.htm, Latest-UFO-Sightings, Youtube, Dailymotion
Yves Herbo, Sciences, F, Histoire, 08-2011, up 25-11-2014
Anomalies dans la Baltique: les news d'automne
Anomalies dans la Baltique: les news d'automne
La page originale est longue à charger, et pour cause... beaucoup d'images et de vidéos !... je publierai donc maintenant les news sous formes de billets moins gros en taille et si vous voulez revoir l'intégralité de cette passionnante aventure, patientez pour le chargement de cette page ! : http://www.sciences-fictions-histoires.com/pages/ecrits/les-anomalies-de-la-mer-baltique.html
MAJ du 05-09-2014 : L'équipe a donc au moins pu faire un passage au-dessus des deux anomalies cet été, mi-août, avec leur nouveau matériel de sonar multidirectionnel Klein 3900 :
août 2014 - Ano1 - juste au-dessus
La façon dont ça s'assemble par rapport au précédent scan
Une comparaison avec le précédent scan d'un endroit repéré à cause de cet "IR" apparent
Ano2 par Peter Loff, par MP EvrardAno 2 par MP Evrard, une certaine apparence d'une épave ou de l'empreinte sédimentée d'une épave... Il y a aussi une petite animation comparant cette image avec celle de l'ancien scan ici.
Une image capturée de l'une des vidéos tournée lors de la plongée sur l'anomalie 2 cet été (visible ici)
Pour moi, cette image pourrait montrer les... ...débris d'un navire très ancien...
Autre info publiée récemment : le chiffre de 140.000 ans estimé pour la pierre basaltique analysée en début d'année avec une première méthode est faux d'après d'autres analyses en cours... Nous sommes donc en attente à nouveaux de données intéressantes, la patience de certains porte déjà quelques fruits.
MAJ 23-11-2014 : les films pris en 2012 ont été examinés image par image et un tri de plusieurs centaines d'entre elles a été fait récemment. Toutes ces images ont été prises par le petit robot envoyé à cette profondeur de 80 mètres et l'une d'entre elle, relativement nette, a attiré l'attention des internautes qui suivent encore cette découverte (dont on ne sait d'ailleurs toujours pas vraiment s'il s'agit d'une découverte autre qu'une géologie intéressante !). Sur cette image, on distingue des formes gravées qui ne semblent pas pouvoir être faites par la nature. Le robot était très près de cette paroi - l'une des fissures-corridors visibles sur l'Anomalie 1 - et on y distingue assez nettement la silhouette d'un cheval à droite et certains pensent reconnaître la silhouette d'un homme tenant un arc ou une arbalète à gauche, alors que d'autres y voient aussi une carte de constellations... C'est la première fois, en dehors de curieuses lignes très droites et aussi d'alignements de trous horizontaux apparemment réguliers, que l'on distingue assez nettement "quelque chose" qui ressemble à une intervention humaine sur les images ramenées par le robot. Mais il pourrait peut-être aussi s'agir de bugs de l'image lors de son traitement selon des commentaires... En tout cas, il est toujours question pour l'équipe suédoise d'envoyer leur tout nouveau robot et le nouveau matériel fourni grâce aux sponsors de cette année (Volvo entre autres qui devrait apparaître dans les prochains documentaires prévus) sur les anomalies cet hiver si les conditions météo le permettent bien sûr... Jetez un oeil à cette image pour voir de quoi je parle, c'est un bras mécanique du robot que l'on voit au premier plan (mais attention aux bugs d'images ou même au fake-canular sur cette seule image !):
A suivre...
http://thebalticanomaly.se/timeline/
Les faits mis à jour par l'équipe francophone sur Facebook au 07-03-2013 : maj-7-3-13.txt
Ce qui a été trouvé et dévoilé officiellement : http://thebalticanomaly.se/disclosed-material/
Les faits mis à jour par le site officiel de Océan X au 22-08-2014 : http://thebalticanomaly.se/current-facts/
Nouvelle page officielle Ocean X = https://www.facebook.com/OceanXteam
A suivre, Yves Herbo traductions, commentaires SFH - 2011- MAJ 23-11-2014
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Sur cette page à part, lien ci-dessous, vous trouverez toutes les photos originales des scanners et sonars fournies par l'équipe, ainsi que plusieurs travaux et analyses photos de fans ou de spécialistes essayant d'aider à la compréhension des anomalies. Vous y trouverez aussi les travaux de MaxitsMax qui s'est manifesté ici pour montrer son travail, ainsi que les miens et beaucoup d'autres. J'y ajouterai des données sur d'autres théories (constructions anciennes, Atlantide, etc...) par la suite.
Cet article fait référence à la découverte récente du SS Astrid par l'équipe Océan X :
Autres liens (plus ou moins) en rapport : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-le-chef-des-plongeurs-d-ocean-x.html
Yves Herbo - S,F,H - MAJ 23-11-2014
Amazonie : les Harakmbut dévoilent leurs monolithes sacrés
Amazonie : les Harakmbut dévoilent leurs monolithes sacrés
Pour lutter contre l'avancée des exploitations minières et la disparition de leur culture, les indiens Harakmbut ont redécouvert et montré l'un de leurs monolithes sacrés. Situé à distance dans sa vaste réserve communale connue sous le nom de Amarakaeri, dans la région de Madre de Dios, ce monolithe, d'après les anciens Harakmbut, est un profil d'un visage indien sculpté dans un rocher monumental. Ce monolithe était pratiquement oublié, bien que connu, car la seule preuve de son existence était jusqu'à présent quelques photographies prises vers 1935 !
Les anciens ont décidé de révéler sa présence pour s'en servir comme arme culturelle destinée à la préservation de leur territoire contre les exploitations minières illégales, la déforestation intensive et l'exploitation de l'hydrocarbure. Pour cela, après plus de 70 ans d'oubli dans cette jungle amazonienne du Pérou, deux dirigeants Harakmbut, Luis Tayori et Jaime Corisepa, ont mené la semaine dernière une expédition pour retrouver le grand visage sculpté dans la roche, avec les moyens de la Fondation Ford et Rainforest, dans le but de relier les indigènes à leur passé et protéger leur avenir et ressources de la prédation.
" L'endroit où le visage se trouve est "un lieu sacré" pour les Harákmbut. Ils avait été demandé aux roches de les protéger ou de leur donner la prospérité, mais ces coutumes ont été abandonnées une fois qu'ils sont entrés en contact avec la civilisation occidentale, entre 1935 et 1945, avec des missionnaires dominicains, " a déclaré Tayori. On ne sait pas de quand date cette sculpture.
Tayori est le président du Conseil Harákmbut Yine Machiguenga (COHARYIMA) tandis que Jaime Corisepa sert d'agent technique exécutif du Contrato de Administración de la Reserva Comunal Amarakaeri (ECA-RCA).
L'expédition a été filmée par le réalisateur britannique Paul Redman dans un court-métrage dont la première a eu lieu jeudi dans une série de cinémas indiens à Lima et pour toute la semaine à cause du Sommet mondial sur les changements climatiques des Nations Unies (COP20) dans la capitale du Pérou du 1 au 12 Décembre.
Voici un extrait-présentation du documentaire diffusé dans les cinémas péruviens :
El rostro harakmbut, arma cultural indígena ante 2 par yveshSFH
Tayori a expliqué que le visage est à seulement deux heures de route de la mine d'or de la rivière Huaypetue ("abondant en maïs", selon la langue maternelle), où les grandes machines des mineurs illégaux apparaissent dans la nuit, pour arracher l'or dans le sol des Harákmbut et le laissant contaminé.
A cause de l'expédition, les deux dirigeants indiens "mettent des vies en danger", étant donné l'hostilité des mineurs illégaux à autoriser les déplacements dans la partie des " 25 miles des bassins de la rivière", qui sont maintenant dévastés, puisqu'il n'y a plus qu'un désert de sable et de galets, là où il devrait y avoir la forêt amazonienne...
" Les sociétés minières ne sont pas conscientes des reliques culturelles à l'intérieur de la réserve ", a déclaré Tayori, qui vise à diffuser l'importance archéologique de son territoire, sur lequel la société Hunt Oil a accordé depuis 2005 l'exploration et l'exploitation du lot 76, qui occupe 90 pour cent de la superficie de la réserve.
" La situation est à pleurer. L'activité minière détruit les familles et les clans sont dans une situation d'urgence culturelle, mais avec ces emplois, les gens réfléchissent à ce que cela signifie de vivre avec ce genre d'activité ", a déclaré Tayori
Le leader indigène a décidé de récupérer plus des éléments de la culture Harákmbut et de valoriser l'identité de son peuple, de gérer les menaces environnementales affectant 400.000 hectares de la réserve Amarakaeri.
" Selon les témoignages des Harákmbut, deux autres faces monolithiques se trouvent profondément dans la forêt, reliées par des anciennes routes menant à Cuzco ", a déclaré Tayori.
En sauvant ces vestiges archéologiques et culturels, les Harákmbut vont essayer de stopper la progression des activités minières de l'Amazonie, et ils sont considérés comme " les seuls " agents formés pour protéger leur territoire, en même temps, c'est leur maison et la source de leurs moyens de subsistance...
Sources : http://www.lavanguardia.com/cultura/20141121/54419560137/el-rostro-harakmbut-redescubierto-como-arma-indigena-ante-la-deforestacion.html#ixzz3JnypSDCc
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Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 22-11-2014