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Ovnienchine

Vie Extra-terrestre : révélations en Chine !

Par Le 25/11/2014

Vie Extra-terrestre : révélations en Chine ! - MAJ

Observatoires Purple Moutain

Les choses ne sont pas tellement révélées dans les médias traditionnels, très peureux et "aux ordres" sur la question, mais il y a un fort malaise en Chine depuis plusieurs semaines en ce qui concerne les phénomènes OVNIs. Les observations d'objets étranges au-dessus de plusieurs aéroports chinois en début d'année et au printemps de cette année 2011, aperçus par plusieurs milliers de témoins ont accentué le problème, principalement au niveau des scientifiques chinois, mais ce sont surtout les propos et révélations récentes du Professeur Wang Sichao, astronome mondialement reconnu et l'un des responsables chinois du Célèbre Purple Mountain Observatoire astronomique (photo ci-dessus) qui perturbent les esprits. L'astronome a en effet décidé de dire publiquement que les OVNIs existaient bel et bien et que c'était des extra-terrestres qui nous visiteraient, et que l' Observatoire avait observé leurs vaisseaux à plusieurs occasions.

Ovnienchine

Un Ovni photographié en Chine

La révélation chinoise sur les OVNIs a été faite la semaine passée (mi-août 2011) dans un discours officiel " La vérité OVNI de la Chine " dans lequel M. Wang Sichao a divulgué ces points clés suivants :

  1. Les étrangers qui nous visitent sont là pour des expéditions de Recherche & Découvertes.
  2. Ces OVNIS sont des sondes habitées par des robots.
  3. Ces vaisseaux voyagent à quatre-vingt pour cent de la vitesse de la lumière.
  4. Les observations faitent à partir de l'Observatoire seraient des vaisseaux qui étaient entre 150 et 1500 kilomètres de la Terre.
  5. Les visiteurs utilisent la fusion nucléaire pour la propulsion de leur vaisseaux.
  6. Que les 39 ans de travail, d'observations au Purple Mountain Observatory ont amené Wang Sichao à penser que les vaisseaux utilisent la gravité terrestre pour manoeuvrer et rester dans les airs.

Ces révélations coïncident également avec la déclassification de plusieurs documents chinois officiels concernant les phénomènes aériens non identifiés, qui font suite à ceux publiés par la France, l'Angleterre, le Brésil, les USA et l'Autralie : les dossiers mondiaux de cas irrésolus et même étonnants se multiplient donc et s'épaississent.

Petit rappel du côté Français avec ce petit reportage peu diffusé par les médias malgré son importance :

Comme pour appuyer le malaise actuel de la communauté scientifique chinoise sur le sujet, une mystérieuse boule blanche lumineuse est apparue dans le ciel, au-dessus de Shanghaï, le samedi 20 août 2011 :

Une mystérieuse boule blanche lumineuse dans le ciel

Chine lumiereblanche

 

UN ÉNORME ovni lumineux planant bien haut au-dessus de Shanghai a été repéré aux environs de 21 h samedi par plusieurs pilotes de l'aviation civile qui ont fait rapport de ce qu'ils avaient vu au Bureau de contrôle du trafic aérien de la Chine de l'Est. Un fonctionnaire de ce bureau du nom de Jiang a confirmé hier qu'ils avaient reçu des rapports de plusieurs pilotes. Aucun vol n'a été perturbé, mais il a refusé de révéler plus de détails. L'objet volant non identifié était à 10 700 m au-dessus de Shanghai, et il est devenu de plus en plus gros avec le temps, selon ce qu'a écrit sur son microblog un homme qui a dit être le pilote du « vol 6554 ». "L'énorme boule blanche est apparue soudainement dans le ciel quand l'avion est sorti des nuages épais, a-t-il écrit. C'était plusieurs centaines de fois plus grosse que la lune et que ce dont les yeux humains peuvent observer. Selon ses dires, l'objet a atteint un diamètre d'au moins 92 km. Environ vingt minutes plus tard, la boule brillante est devenue plus foncée et a peu à peu disparu, a-t-il ajouté. Au départ, j'ai pensé que c'était juste une illusion, mais le copilote a dit qu'il avait aussi vu cette scène, a-t-il dit.

Au moins dix pilotes ont rapporté l'objet au bureau de contrôle du trafic aérien. » Parallèlement, des gens de Beijing ont rapporté avoir vu l'objet dans le ciel au-dessus de la capitale à peu près en même temps que les gens le voyaient à Shanghai, ainsi que dans les provinces de Shanxi et de l'Anhui et de la région autonome de Mongolie intérieure qui ont observé et photographié le même objet qui semblait grossir. « La bulle ronde et blanche est apparue dans le ciel et a grossi rapidement avant de disparaître cinq minutes plus tard », a confié Yu Jun, ancien rédacteur d'un magazine scientifique et astronome amateur qui a pris des photos de l'objet.

boule blanche sur Shanghaï

Yu Jun a décidé de publier une analyse qui selon lui, montrerait qu'il pourrait s'agir en fait du carburant d'un propulseur se diffusant dans l'espace. La comparaison vient du même genre de phénomène qui s'est produit le 22 juin à Hawaï. Les astronomes avaient fait le lien avec un lancement d'un missile intercontinental en Californie. Le rapport citait l’astronome américain Phil Plait, qui pensait que le carburant inutilisé par le missile était resté dans l’espace et avait fusionné en une coquille sphérique croissante, ressemblant à une boule lumineuse à la lumière du soleil.

Par contre, d'autres astronomes ont été catégoriques en précisant que selon eux c'était un aéronef non humain, après avoir analysé les photographies prises par les témoins et tracés son itinéraire de vol.
 

« L’objet devait être un vaisseau spatial qui ne peut pas à ce jour être expliqué par notre technologie aérospatiale actuelle », estime Wang Sichao, chercheur à l’Observatoire de la Montagne pourpre relevant de l’Académie chinoise des Sciences de Nanjing.

M. Wang a déclaré à Chinanews.com qu'il avait étudié les OVNI pendant 40 ans et qu'il classait le dernier phénomène comme l'un des vingt phénomènes les plus importants de son expérience dans la matière. L'objet semblait être à 300 km au-dessus de la Mongolie intérieure et se déplaçait lentement. La position des étoiles dans les photographies ont aidé à tracer la trajectoire de l'objet lumineux.

« Je crois que la bulle lumineuse n'est pas simplement un phénomène astronomique normal, mais un phénomène se produisant autour de la Terre, peut-être en haute atmosphère, et celui-ci serait provoqué par le lancement de fusées ou de satellites », a confié M. Yu Ma Jing, ingénieur à l'Observatoire astronomique national, a indiqué "qu'il avait pris un ensemble de photos montrant que l'objet s'est élevé de l'ouest comme un « nuage blanc en expansion », mais qui a disparu seulement plusieurs minutes plus tard."

Zhan Xiang, un responsable du Planétarium de Beijing, a indiqué que la « bulle pourrait avoir été provoquée par des substances émises par des engins militaires ou des satellites ». Certains astronomes amateurs ont déclaré que l'objet pourrait avoir un lien avec un satellite ayant disparu. Le China News Service a signalé qu'un satellite de télécommunications russe, l'Express-AM4 avait disparu après son lancement tôt jeudi matin (mais on ne voit toujours pas de rapport entre les deux incidents trop éloignés dans le temps).

Et sinon, une autre vidéo très intéressante datant du 16 août 2011 et filmée à l’aide d’une caméra Panasonic sdr-s26 possédant un zoom optique de 70x. Cet ovni a été aperçu dans le ciel du centre de la Floride, aux États-Unis, le mardi 16 août 2011. Le témoin en dit ceci :

"J’ai vu l’ovni vers 6h15 a.m. et suis rentré par la suite. Vers 7h a.m., la maison a été secouée. J’ai couru à l’extérieur et ai vu plusieurs hélicoptères non identifiés volant à basse altitude, environ à 40 mètres des poteaux de téléphone, là où j’ai filmé l’ovni. Ils enquêtaient de toute évidence sur l’incident. Le gouvernement ne passe habituellement pas au-dessus de ma maison. Je n’ai filmé que trois hélicoptères, mais je suis persuadé qu’il y en avait plus que ça."

Autres données (à prendre ou à laisser, mais de vraies personnes...) :

Defense Minister P. Hellyer: " Je pense qu'il y en a entre 2 & 12 espèces différentes d'Extraterrestres, c’est ce dont nous avions discuté avec l’ancien astronaute Edgard Mitchell lors d’un diner. Il a aussi évoqué le nombre de 80 espèces dont certaines se seraient fondues dans la population. Certains sont ce que nous appelons « les Whites Talls » qui travaillent actuellement avec l'armée de l'air des États-Unis dans le Nevada. J'ai un ami qui a vu l'un des hommes marcher le long de la rue. Il s’est rendu compte de leur différence physique et du fait qu’ils étaient différents. Puis il y a les petits gris pourvus de bras et de jambes très minces, de très petites tailles ainsi qu’une grosse tête et de grands yeux bruns…
Ils ne veulent pas nous dire comment gérer nos affaires et ont accepté le fait que c'est notre planète, et que nous avons le droit d’en disposer, mais ils sont extrêmement inquiets :
Ils ne pensent pas que nous prenons correctement soin de notre environnement vu que par exemple nous coupons les arbres de nos forêts, polluons nos rivières et nos lacs, rejetons les eaux usées dans l’océan…
Un des témoins avec qui j'ai échangé il y a environ un mois. Celui-ci est entré en contact avec eux en 1974, ainsi que son frère, au Pérou. Ils ont été téléportés vers Andromède. On leur a expliqué que nous étions en train de ruiner notre planète et que quelque chose de terrible allez arriver si nous ne nous ressaisissions pas. Nous passons trop de temps à nous battre les uns les autres et dépensons trop d'argent sur ​​les armes, et pas assez sur l'alimentation des pauvres, des sans-abri et des malades, que nous polluons nos eaux et de notre air et que nous utilisions des armes dévastatrices sur terre avec des effets notoires sur le reste du Cosmos. Ils n'aiment pas cela et c'est la raison pour laquelle ils aimeraient travailler avec nous, pour tout nous apprendre, avec bien évidemment notre consentement. Ils travaillent à travers des individus n’étant pas effrayés par eux.
Ils sont parmi nous et je n'ai pas peur étant donné que dans la mesure où la technologie est concernée, ils sont à des années-lumière d'avance. Nous avons appris beaucoup de choses d'eux que nous utilisons aujourd'hui, par exemple les leds, les puces, les gilets en Kevlar et toute sorte de biens que nous avons obtenus grâce à leur technologie, dans les domaines de la médecine et de l'agriculture.
Mais, je pense que peut-être que certains parmi nous sont plus intéressés par l’obtention de la technologie militaire…"
A 13m30: www.dailymotion.com/video/x1a59tv_visitez-la-confederation-galactique-des-nations-stellaires-en-images_webcam
http://projectavalon.net/lang/fr/Paul_Hellyer_De_la_lumiere_au_bout_du_tunnel_Juil_%202010.pdf
http://messagesdelanature.ek.la/paul-hellyer-et-les-ufos-p724840
Autre ancien au ministère de la défense (anglais) qui parle tout le temps d'ovnis:
www.facebook.com/nick.pope.1428
(évitez donc de draguer des femmes en burka, vous risqueriez de tomber sur un reptilien !!)

Voici la preuve que l'Armée de l'Air française s'intéresse de très près aux OVNI.
Et la preuve que les Extraterrestres existent !
Sur le site de la défense française, tapez en recherche le mot " extraterrestre "
http://www.defense.gouv.fr
Vous tomberez sur le livre BD OBJECTIF TASSILI
signalé comme Sources Sirpa air Droits Copyright Ministère de la Défense
Il est ainsi très simple de comprendre que ce livre est un livre d'informations militaires françaises tout à fait réel, seul les noms sont changés à quelque chose près.
Sachez que tous les livres du Réseau sentinelles sont du même ordre.
Extrait qui en dit très long sur la teneur :
"Après une tentative avortée de Karazoulov pour se débarrasser de lui, Loïc Saint-Jean rassemble une équipe composée de Rosano, Lucie et quelques légionnaires afin de se rendre au coeur du Sahara à la recherche de l'engin extraterrestre. C'est au moment où ils viennent enfin de découvrir la sphère que Karazoulov ressurgit..."

Lettre ouverte à Mr Philippe TAQUET, Président de l’Académie des Sciences
http://feairplane.canalblog.com/archives/2013/07/04/27572621.html
Extrait:
"4 – La “Lettre Ouverte” rédigée par six scientifiques sous l’égide du Contre-amiral Gilles PINON en date du 16 avril 2008 adressée au Président de la République: A notre connaissance cette lettre n’a pas été suivie de décisions ou d’actions dans le domaine civil de la recherche fondamentale ou appliquée.

5 – Les archives étatiques et présidentielles des Etats-Unis d’Amérique rendues publiques dans le cadre du FOIPA font état de la participation d’Albert Einstein, Robert Oppenheimer et de toute l’équipe scientifique du projet “Manhattan” à l’étude d’épaves d’objets volants et aquatiques non conventionnels récupérées par les autorités américaines"

b) Souhaitant d’autre part que la Science française maintienne sa place dans la Science mondiale, les soussignés, se tenant résolument à l’écart de toute polémique stérile et loin de la rumeur publique ont l’honneur de vous demander de leur faire connaître la position de la Science institutionnelle française concernant la question fondamentale de l’éventualité de la présence dans notre environnement d’une intelligence, peut-être d’une conscience mais certainement de technologies non humaines."
__

L’analyse détaillée de l’histoire contemporaine des OVNI montre que, dès l’explosion de la première bombe A en 1945, le phénomène a coïncidé avec l’ensemble des activités humaines relatives à l’énergie nucléaire.

Le rapprochement entre la période des explosions nucléaires et les manifestations d’OVNI a déjà été très bien étudié par Jean-Jacques Velasco, ancien responsable du Sepra, dans son ouvrage « Troubles dans le ciel » Ce livre apporte aussi des révélations non pas « explosives » mais « atomiques » !

JG Greslé, dans son livre démontre que les 1ers kgs de matière fissile pour tester la bombe atomique n’étaient pas d’origine terrestre, mais avaient été récupérés dans les épaves d’appareils «non terrestres».

Greslé démontre que le plutonium qui n'existe pas à l'état naturel mais qui est un sous-produit de l'uranium enrichi, au moins pour la 1ère bombe atomique "Trinity" n'a pas pu être fabriqué de façon "conventionnelle, et humaine" compte tenu de la date de mise en service de la 1ère centrale nucléaire.
Dans un doc sur Planète, consacré aux projets secrets Allemands. un ancien officier de renseignements, 40 ans après, déclarait : « On est entrés dans des hangars, on a vu des choses, des prototypes inimaginables, des trucs que l’on n’avait jamais vus ! » Le gars en était encore tout retourné.
Déclaration du général James H.Doolitle : « L’Allemagne a peut-être récupéré une soucoupe volante dès 1939.»
www.dailymotion.com/video/x19syg7_snowden-leaked-docs-proving-aliens-working-u-s-governments-since-nazis_news
Compléments :
www.la-grande-revelation.com/phenomenes-tabous-et-non-reconnus-a1785684
http://messagesdelanature.ek.la/le-hacker-et-les-ovnis-p205161

Sources : http://french.china.org.cn/news/txt/2011-08/24/content_23276334.htm, Latest-UFO-Sightings,   Youtube, Dailymotion

 

Yves Herbo, Sciences, F, Histoire, 08-2011, up 25-11-2014

Baltic robot image 2012

Anomalies dans la Baltique: les news d'automne

Par Le 23/11/2014

Anomalies dans la Baltique: les news d'automne

Baltic robot image 2012

La page originale est longue à charger, et pour cause... beaucoup d'images et de vidéos !... je publierai donc maintenant les news sous formes de billets moins gros en taille et si vous voulez revoir l'intégralité de cette passionnante aventure, patientez pour le chargement de cette page ! : http://www.sciences-fictions-histoires.com/pages/ecrits/les-anomalies-de-la-mer-baltique.html

MAJ du 05-09-2014 : L'équipe a donc au moins pu faire un passage au-dessus des deux anomalies cet été, mi-août, avec leur nouveau matériel de sonar multidirectionnel Klein 3900 :

Ano scan08 2014faoût 2014 - Ano1 - juste au-dessus

Ano scan08 2014eLa façon dont ça s'assemble par rapport au précédent scan

Ano scan08 2014cLa ligne complète

Ano scanirUne comparaison avec le précédent scan d'un endroit repéré à cause de cet "IR" apparent

Ano 2 christophegegan1Ano 2 par Christophe Gegan

Ano 2zoomhr peterlofAno 2zoommpevrard1

Ano2 par Peter Loff, par MP EvrardAno 2zoommpevrard2Ano 2 par MP Evrard, une certaine apparence d'une épave ou de l'empreinte sédimentée d'une épave... Il y a aussi une petite animation comparant cette image avec celle de l'ancien scan ici.

Ano 2 video1Une image capturée de l'une des vidéos tournée lors de la plongée sur l'anomalie 2 cet été (visible ici)

Ano 2 video2Pour moi, cette image pourrait montrer les... Ano 2 video5cutzoom...débris d'un navire très ancien...

Ano 2 video3

Ano 2 video6Ano 2 video7Ano 2zoom

Autre info publiée récemment : le chiffre de 140.000 ans estimé pour la pierre basaltique analysée en début d'année avec une première méthode est faux d'après d'autres analyses en cours... Nous sommes donc en attente à nouveaux de données intéressantes, la patience de certains porte déjà quelques fruits.

MAJ 23-11-2014 : les films pris en 2012 ont été examinés image par image et un tri de plusieurs centaines d'entre elles a été fait récemment. Toutes ces images ont été prises par le petit robot envoyé à cette profondeur de 80 mètres et l'une d'entre elle, relativement nette, a attiré l'attention des internautes qui suivent encore cette découverte (dont on ne sait d'ailleurs toujours pas vraiment s'il s'agit d'une découverte autre qu'une géologie intéressante !). Sur cette image, on distingue des formes gravées qui ne semblent pas pouvoir être faites par la nature. Le robot était très près de cette paroi - l'une des fissures-corridors visibles sur l'Anomalie 1 - et on y distingue assez nettement la silhouette d'un cheval à droite et certains pensent reconnaître la silhouette d'un homme tenant un arc ou une arbalète à gauche, alors que d'autres y voient aussi une carte de constellations... C'est la première fois, en dehors de curieuses lignes très droites et aussi d'alignements de trous horizontaux apparemment réguliers, que l'on distingue assez nettement "quelque chose" qui ressemble à une intervention humaine sur les images ramenées par le robot. Mais il pourrait peut-être aussi s'agir de bugs de l'image lors de son traitement selon des commentaires... En tout cas, il est toujours question pour l'équipe suédoise d'envoyer leur tout nouveau robot et le nouveau matériel fourni grâce aux sponsors de cette année (Volvo entre autres qui devrait apparaître dans les prochains documentaires prévus) sur les anomalies cet hiver si les conditions météo le permettent bien sûr... Jetez un oeil à cette image pour  voir de quoi je parle, c'est un bras mécanique du robot que l'on voit au premier plan (mais attention aux bugs d'images ou même au fake-canular sur cette seule image !):

Baltic robot image 2012

A suivre...

http://thebalticanomaly.se/timeline/

Les faits mis à jour par l'équipe francophone sur Facebook au 07-03-2013maj-7-3-13.txtmaj-7-3-13.txt

Ce qui a été trouvé et dévoilé officiellement : http://thebalticanomaly.se/disclosed-material/

Les faits mis à jour par le site officiel de Océan X au 22-08-2014http://thebalticanomaly.se/current-facts/

Nouvelle page officielle Ocean X = https://www.facebook.com/OceanXteam

A suivre, Yves Herbo traductions, commentaires SFH - 2011-  MAJ 23-11-2014

FAIR USE NOTICE: These pages/video may contain copyrighted (© ) material the use of which has not always been specifically authorized by the copyright owner. Such material is made available to advance understanding of ecological, POLITICAL, HUMAN RIGHTS, economic, DEMOCRACY, scientific, MORAL, ETHICAL, and SOCIAL JUSTICE ISSUES, etc. It is believed that this constitutes a 'fair use' of any such copyrighted material as provided for in section 107 of the US Copyright Law. In accordance with Title 17 U.S.C. Section 107, this material is distributed without profit to those who have expressed a prior general interest in receiving similar information for research and educational.

Sur cette page à part, lien ci-dessous, vous trouverez toutes les photos originales des scanners et sonars fournies par l'équipe, ainsi que plusieurs travaux et analyses photos de fans ou de spécialistes essayant d'aider à la compréhension des anomalies. Vous y trouverez aussi les travaux de MaxitsMax qui s'est manifesté ici pour montrer son travail, ainsi que les miens et beaucoup d'autres. J'y ajouterai des données sur d'autres théories (constructions anciennes, Atlantide, etc...) par la suite.

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/recherches-et-theories-sfh-sur-les-anomalies-de-la-mer-baltique.html

Cet article fait référence à la découverte récente du SS Astrid par l'équipe Océan X :

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/l-epave-du-s-s-astrid-a-ete-retrouvee-dans-les-eaux-internationales.html

Autres liens (plus ou moins) en rapport : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-le-chef-des-plongeurs-d-ocean-x.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/decouverte-importante-dans-la-baltique.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-le-projet-suedois-sur-les-ghost-rockets.html

Yves Herbo - S,F,H -  MAJ 23-11-2014

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Amazonie : les Harakmbut dévoilent leurs monolithes sacrés

Par Le 22/11/2014

Amazonie : les Harakmbut dévoilent leurs monolithes sacrés

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Pour lutter contre l'avancée des exploitations minières et la disparition de leur culture, les indiens Harakmbut ont redécouvert et montré l'un de leurs monolithes sacrés. Situé à distance dans sa vaste réserve communale connue sous le nom de Amarakaeri, dans la région de Madre de Dios, ce monolithe, d'après les anciens Harakmbut, est un profil d'un visage indien sculpté dans un rocher monumental. Ce monolithe était pratiquement oublié, bien que connu, car la seule preuve de son existence était jusqu'à présent quelques photographies prises vers 1935 !

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Les anciens ont décidé de révéler sa présence pour s'en servir comme arme culturelle destinée à la préservation de leur territoire contre les exploitations minières illégales, la déforestation intensive et l'exploitation de l'hydrocarbure. Pour cela, après plus de 70 ans d'oubli dans cette jungle amazonienne du Pérou, deux dirigeants Harakmbut, Luis Tayori et Jaime Corisepa, ont mené la semaine dernière une expédition pour retrouver le grand visage sculpté dans la roche, avec les moyens de la Fondation Ford et Rainforest, dans le but de relier les indigènes à leur passé et protéger leur avenir et ressources de la prédation.

" L'endroit où le visage se trouve est "un lieu sacré" pour les Harákmbut. Ils avait été demandé aux roches de les protéger ou de leur donner la prospérité, mais ces coutumes ont été abandonnées une fois qu'ils sont entrés en contact avec la civilisation occidentale, entre 1935 et 1945, avec des missionnaires dominicains, " a déclaré Tayori. On ne sait pas de quand date cette sculpture.

Tayori est le président du Conseil Harákmbut Yine Machiguenga (COHARYIMA) tandis que Jaime Corisepa sert d'agent technique exécutif du Contrato de Administración de la Reserva Comunal Amarakaeri (ECA-RCA).

L'expédition a été filmée par le réalisateur britannique Paul Redman dans un court-métrage dont la première a eu lieu jeudi dans une série de cinémas indiens à Lima et pour toute la semaine à cause du Sommet mondial sur les changements climatiques des Nations Unies (COP20) dans la capitale du Pérou du 1 au 12 Décembre.

Voici un extrait-présentation du documentaire diffusé dans les cinémas péruviens :

El rostro harakmbut, arma cultural indígena ante 2 par yveshSFH

 

Tayori a expliqué que le visage est à seulement deux heures de route de la mine d'or de la rivière Huaypetue ("abondant en maïs", selon la langue maternelle), où les grandes machines des mineurs illégaux apparaissent dans la nuit, pour arracher l'or dans le sol des Harákmbut et le laissant contaminé.

A cause de l'expédition, les deux dirigeants indiens "mettent des vies en danger", étant donné l'hostilité des mineurs illégaux à autoriser les déplacements dans la partie des " 25 miles des bassins de la rivière", qui sont maintenant dévastés, puisqu'il n'y a plus qu'un désert de sable et de galets, là où il devrait y avoir la forêt amazonienne...

" Les sociétés minières ne sont pas conscientes des reliques culturelles à l'intérieur de la réserve ", a déclaré Tayori, qui vise à diffuser l'importance archéologique de son territoire, sur lequel la société Hunt Oil a accordé depuis 2005 l'exploration et l'exploitation du lot 76, qui occupe 90 pour cent de la superficie de la réserve.

" La situation est à pleurer. L'activité minière détruit les familles et les clans sont dans une situation d'urgence culturelle, mais avec ces emplois, les gens réfléchissent à ce que cela signifie de vivre avec ce genre d'activité ", a déclaré Tayori

Le leader indigène a décidé de récupérer plus des éléments de la culture Harákmbut et de valoriser l'identité de son peuple, de gérer les menaces environnementales affectant 400.000 hectares de la réserve Amarakaeri.

" Selon les témoignages des Harákmbut, deux autres faces monolithiques se trouvent profondément dans la forêt, reliées par des anciennes routes menant à Cuzco ", a déclaré Tayori.

En sauvant ces vestiges archéologiques et culturels, les Harákmbut vont essayer de stopper la progression des activités minières de l'Amazonie, et ils sont considérés comme " les seuls " agents formés pour protéger leur territoire, en même temps, c'est leur maison et la source de leurs moyens de subsistance...

Sources : http://www.lavanguardia.com/cultura/20141121/54419560137/el-rostro-harakmbut-redescubierto-como-arma-indigena-ante-la-deforestacion.html#ixzz3JnypSDCc
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Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 22-11-2014

 

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OVNIs : Matin Ovni du 20-11-2014

Par Le 22/11/2014

OVNIs : Matin Ovni du 20-11-2014

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Matin Ovni du 20-11-2014 d'ODH TV vous est présentée par Gilles Thomas.

- Actualité ovni dans le monde récente
- Interview de Denys Breysse sur l'étude Géographique Ufologique.

L'émission est en collaboration avec :

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Yves Herbo Relai-Sciences-F, Histoires, 22-11-2014

Dans OVNI/UFO
Ovni lachapelle 06 12 73b2 1

Décembre 1973 : Atterrissage avec traces à Fabrègues

Par Le 21/11/2014

Décembre 1973 : Atterrissage avec traces à Fabrègues

 

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Il s'agit toujours de la même période ou "vague" française dont j'ai retrouvé des dizaines de coupures de presse étalées d'environ mi 1973 à mi 1975. Mais on note aussi, d'après le nombre des témoignages, une forte "vague" aussi sur plusieurs mois de 1972. D'après les études sur ce sujet particulier des "vagues", il ne s'agit donc pas d'un phénomène de "mode" ou d'influence, mais bien d'un phénomène de montée en puissance et de disparition-diminution tout aussi subit. Certains ont tenté d'y faire une relation avec les périodes de rapprochement de certaines planètes de la Terre, comme Mars ou Vénus, bien sûr (car aucune orbite des planètes du système solaire n'est parfaitement circulaire, contrairement à ce que les dessins de vulgarisation pourraient le faire croire), mais aucune corrélation planétaire n'a pu être établie (cela aurait été trop "beau" !)... idem pour les cycles solaires (estimés à 11 ou 12 ans suivant les scientifiques et la réalité). Pour certains ufologues, il ne s'agit pas de vagues ou cycles, mais de planifications non calendaires de missions d'explorations systématiques de chaque recoin de la planète, et qu'il peut probablement être vu à tout moment des ovnis quelque part dans le monde et qu'il y a juste des endroits qui demandent plus d'engins de par leur histoire, géologie, nature... Je ne peux m'empêcher de rebondir là-dessus en imaginant des êtres provenant d'une réalité parallèle et pouvant à la fois explorer l'Histoire Temporelle, l'Histoire tectonique et géologique et naturelle (animalière, végétale et humaine) d'un même lieu, sur des milliards d'années...  - cela expliquerait beaucoup de choses : le fait " qu'ils restent identiques, inchangés sur de très longues périodes ", qu'ils n'ont aucun intérêt à "prendre "contact" avec l'humanité, ou très peu, par périodes temporelles utiles, qu'ils s’intéressent beaucoup plus à la Nature (et donc au nucléaire et influences humaines), etc... et aussi, effectivement, certains pays et endroits (une grande partie de la Terre tout de même vu ses plusieurs "Pangées" et dérives de continents, mais aussi migrations animales et humaines), doivent être longs à "recenser" et "historiser"... c'est une hypothèse fantastique certes que celle d'un "recensement" historique étalé sur des dizaines de milliers - ou millions - d'années, mais provenant d'une ou plusieurs civilisations tout aussi "millénaires" en ancienneté, rien ne devrait nous étonner : avec nos petites vies de 80-100 ans maximum, il est déjà pratiquement impossible d'arriver à comprendre et raisonner sur notre propre époque et d’appréhender toutes les réalités actuelles... Notre civilisation actuelle se base essentiellement sur des postulats affirmant que les choses n'existent pas tant qu'on n'a pu démontrer le contraire et le redémontrer scientifiquement. Elle survit et avance de cette façon, tout en refusant d'admettre l'existence de témoignages et de réalités "non palpables", non matérialisables. Il est probable que d'autres civilisations plus anciennes et évoluées aient été obligées (pour continuer à survivre y compris en absence de matérialité) d'évoluer différemment (mais nous y viendront aussi) et ont dû inverser certains postulats, du type " les choses existent tant qu'on n'a pu démontrer le contraire et le redémontrer scientifiquement" (la nuance ici est importante car elle détermine toute l'approche scientifique de notre civilisation qui, on le voit bien, piétine pendant de nombreuses années avant de pouvoir démontrer et découvrir ses erreurs passées (qui sont systématiques, voir dans toutes nos sciences pratiquement !)). On commence à le voir en ce 21ème siècle : même nos plus grands cerveaux ne peuvent voir toutes les réalités de leur propre époque, encore moins celles de leur passé et de leur futur... Einstein avait en partie raison, et en partie tord comme on est arrivé à le démontrer en astrophysique récemment et c'est le cas aussi de tous nos scientifiques, de Darwin à Descartes... aucune théorie n'est "complète" et figée, elles sont toutes à revoir et à affiner, voir à annuler pour certaines...

Mais revenons sur cette affaire avec traces et à cette période étonnante des années 1970 où des phénomènes bien matériel ont été vus, photographiés, filmés et ont même laissé certaines traces physique et magnétique sur notre sol...

" La Soucoupe de la Chapelle " - Spécial Dernière du Samedi 16 au vendredi 22 février 1974 (en pleine vague d'atterrissages et de témoignages de gendarmes en France !)

" Nous avons vu une soucoupe volante la nuit du 6 décembre 1973, près de la chapelle de Fabrègues " affirment deux enfants. Et plusieurs adultes confirment leurs témoignages. Poursuivant nos révélations sur les soucoupes volantes, nous ouvrons aujourd'hui pour vous le dossier confidentiel de la soucoupe de "la chapelle".

" Il nous a paru mériter votre attention, car il est jugé des plus sérieux par M. Claude Poher, un homme dont la probité scientifique ne peut être mise en doute. Et qui vient de donner la preuve de son indépendance d'esprit. Directeur du département " Fusées et Sondes " du Centre National d'Etudes de Toulouse, il fut le premier à mettre en doute l'authenticité de la soucoupe du "Concorde" et la suite devait lui donner raison.

La " Chose "

La soucoupe de la chapelle a été vue sur la RN 113, près de Fabrègues (Hérault) entre Montpellier et Sète, dans la soirée et dans la nuit du 6 décembre 1973, par deux témoins : Fernand Perez, 14 ans et Jean-Paul Dazevedo, 15 ans. Voici leur récit.

" Il était 7 heures du soir. Nous montions à vélomoteur la route qui conduit à la chapelle Saint-Baudile, dit Fernand. J'ai dit à Jean-Paul : " Regarde comme la chapelle est éclairée ". On aurait dit qu'elle était balayée par des projecteurs orange. Nous nous sommes approchés de la chapelle à pied, et c'est alors que nous avons vu la " chose ". C'était un engin de forme circulaire. Il était en métal brillant, comme de l'aluminium. Il faisait bien douze mètres de large et trois mètres de haut. Il était posé sur trois pieds ".

" La soucoupe ne bougeait pas, dit Jean-Paul. Il y avait sur le dessus une coupole qui ressemblait à une grosse bulle d'eau et qui était éclairée. Sur les côtés, il y avait des lumières blanches et rouges qui clignotaient chacune à leur tour, exactement comme les feux d'un avion. La soucoupe faisait du bruit. Une espèce de ronronnement. Mais tout à coup, nous avons vu une une porte coulisser. Une petite échelle pliante est descendue. Nous avions tellement peur que nous nous sommes tout de suite enfuis sur nos vélomoteurs. La soucoupe a décollé et nous a suivis un moment ".

Lumineuse

Trois copains des deux garçons, alertés, disent eux aussi avoir vu " quelque chose ". Il s'agit de Thierry Castel, Jean Yunta et Jean Rodriguez, tous âgés de 15 ans. " Près de la chapelle, on a vu une immense lumière orange, dit Jean Rodriguez. Mais on était aveuglés et on n'a rien pu voir de précis. Cette lumière était si étrange qu'on a eu peur. On est redescendus tellement vite que Jean Yunta est tombé. Sur la route on a rencontré Fernand et Jean-Paul qui nous attendaient. Je leur ai crié : " Partez vite ! Ne restez pas là ! "

D'autres personnes, des adultes cette fois ont voulu en avoir le coeur net. Ils sont montés à la chapelle. Le premier, M. Antoine Bas, maçon, 64 ans, a pris sa voiture et a emmené ses deux fils, Michel (14 ans) et Antoine (28 ans), sa fille Anita (31 ans) et sa belle-fille Marie (27 ans). Tous jurent avoir " vu la soucoupe en vol ".

" Nous l'avons vue dans le ciel avant d'arriver à la chapelle, dit M. Bas. Elle était ronde et lumineuse. Nous avons tous eu l'impression qu'elle cherchait à se poser une nouvelle fois là où les enfants l'avaient vus. Mais après avoir marqué un temps d'arrêt, elle a disparu de l'autre côté de la colline, vers la route de Sète ".

Un autre témoin, M. Jean Rodriguez, agriculteur, 41 ans, le père du jeune Jean Rodriguez (ils portent le même prénom), affirme avoir vu des traces de l'atterrissage de la soucoupe. Il a emmené son fils et quatre de ses camarades en voiture sur la colline. " Il y avait trois trous de 30 centimètres de large, dit M. Rodriguez. Ils étaient séparés de 1,30 m environ. Il y avait deux autres petits trous, comme ceux qu'auraient laissés les pieds d'une échelle ".

Claude Poher, l'ingénieur du C.N.E.S., accorde une grande importance à ce témoignage. Il a décidé de faire une enquête complète sur l'événement de la nuit du 6 décembre. Un autre scientifique dit avoir relevé des traces de l'atterrissage de la soucoupe : Claude Carriès, technicien du laboratoire de l'Institut Scientifique et Technique des Pêches Maritimes de Sète. " Le 24 décembre 1973, je suis allé à la chapelle en compagnie de quelques-uns des témoins, dit-il. J'ai prélevé deux échantillons de terre. L'un à l'endroit où la soucoupe aurait atterri, l'autre à vingt mètres de là. Je les ai placés chacun dans un bocal. J'ai semé des lentilles dans les deux bocaux. Huit jours plus tard, les lentilles ont germé dans le deuxième bocal. Mais pas dans le premier. Aujourd'hui les lentilles continuent à se développer dans le premier bocal (cité comme étant celui situé à 20 mètres)). Dans le deuxième, toujours rien ".

Un chercheur américain qui vit à Montpellier a lui aussi fait une constatation troublante. M. Richard Niemtzow, délégué à Montpellier de l'Organisation pour la Recherche sur les Phénomènes Aériens, qui a son siège à Tucson (Arizona), a déclaré : " Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1973, à 5 h 30 du matin, un de mes trois détecteurs magnétiques a émis une sonnerie. C'était la première fois que l'un d'eux se manifestait depuis que je les ai posés il y a trente mois ".

Les seuls à rester sceptiques, ce sont les gendarmes de Gigeau. Ils sont persuadés que la soucoupe volante est une invention des enfants et que les autres témoins ont été victimes d'hallucinations collectives. " (YH : ils auraient dû lire les rapports d'autres gendarmes et voir avec eux s'ils étaient tous aussi victimes "d'hallucinations collectives "!)

Voici le grand article de presse d'où sont extraits ces témoignages, notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et (https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement :

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Ovni lachapelle 06 12 73b1

Ref : Spéciale Dernière - 239 - samedi 14 au vendredi 22 février 1974 - nuit du 06-12-1973

 

Yves Herbo Archives, https://www.sciences-faits-histoires.com, 21-11-2014

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Changements climatiques et rayons cosmiques

Par Le 20/11/2014

Changements climatiques et rayons cosmiques

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Les recherches et rapports émis par plusieurs spécialistes des rayonnements cosmiques, alliés à des météorologues et cosmoclimatologues ont récemment fait avancer notre connaissance sur plusieurs points, y compris sur les changements climatiques planétaires.

Toutes ces recherches assemblées apportent une donnée supplémentaire qui manquait pour expliquer pourquoi la courbe liée à l'accroissement du CO2 de l'activité humaine (qui date de la fin du 18° siècle) ne correspondait pas à l'accroissement de la température globale ou même des taux décelés dans l'atmosphère - mais il faut tout de même rappeler ici que la principale préoccupation des spécialistes a d'abord été le trou d'ozone créé ou augmenté (à priori) par certains gaz industriels et aérosols. Ces aérosols ont considérablement été réduits, et ce depuis un moment déjà, et les analyses le confirment mais le trou d'ozone au-dessus de l'Antarctique existe toujours, et un autre semble augmenter plus que d'habitude sur l'Arctique :

Trou record dans la couche d'ozone :

 

Attention, le trou central n'a rien à voir avec un trou d'ozone mais est dû au pole nord magnétique (vous avez là son emplacement actuel - 2011) et à son absorption des ondes lumineuses.

AFP 05/04/2011 : Le trou dans la couche d'ozone a atteint des records ce printemps au-dessus de l'Arctique en raison notamment de la présence dans l'atmosphère de substances nocives, a indiqué aujourd'hui l'Organisation météorologique mondiale.

"Les observations effectuées à partir du sol et par ballon-sonde au-dessus de l'Arctique ainsi que par satellite révèlent que la colonne d'ozone a accusé une déperdition d'environ 40% dans cette région entre le début de l'hiver et la fin du mois de mars", a expliqué l'OMM dans un communiqué.

Le précédent record en matière de destruction d'ozone était une perte d'environ 30% sur tout un hiver", a précisé l'organisation dont le siège est à Genève. La couche d'ozone protège la terre contre les rayons ultra-violets du soleil nocifs pour la santé."

Petit rappel du trou d'ozone et de ce qu'est l'ozone (Wikipédia-Universalis)

 

On distingue, suivant le lieu et non la composition :

• le « bon ozone » présent dans la couche stratosphérique, bon car il nous protège des rayons UV-C (ultraviolet) du Soleil ;

• le « mauvais ozone » présent dès la couche basse de l'atmosphère (troposphère : du sol jusqu'à environ 20 km d'altitude), « mauvais » car c'est celui que nous respirons et qui présente selon sa concentration une certaine toxicité.

En l'absence de cette couche d'ozone, la vie n'aurait été possible que dans les océans, à une profondeur suffisante de la surface des eaux (les UV ne pénétrant qu'en surface). Ce fut le cas au cours de l'éon Archéen (de -3.8 milliards d'années à -2.5 milliards d'années, la Terre datant d'environ -4.5 milliards d'années), lorsque l'atmosphère de la Terre était dépourvue de dioxygène (et donc d'ozone).

À la fin des années 1970, des recherches scientifiques en Antarctique ont mis en évidence une diminution périodique de l'ozone dans cette région polaire. Ce que l'on a appelé le « trou de la couche d'ozone ». Il se forme au printemps dans l'Antarctique (à la fin de la nuit polaire) et s'agrandit pendant plusieurs mois avant de se réduire à nouveau...

Je rappellerai juste que les pôles sont précisément le lieu de manifestations magnétiques (et de précipitations importantes de rayons et particules cosmiques) qui ont peut-être aussi un lien, en plus des gaz anti-ozones)...

Revenons aux rayons cosmiques à haute énergie : Le fait que les rayons cosmiques influencent et créés des nuages dans la haute atmosphère de la Terre (et probablement de toutes les planètes d'ailleurs) et modifient leurs climats, surtout si, comme c'est le cas depuis la fin des années 90, ils sont en augmentation constante...

Certains scientifiques (Richard Mewaldt entre autres) affirment déjà que les astronautes ayant pu se rendre sur la Lune dans le passé ont eu beaucoup de chance que l'activité du rayonnement cosmique ait été beaucoup plus calme à l'époque. D'autres y trouvent aussi les raisons du ralentissement du programme humain américain. Le fait que le Soleil ait eu une longue durée de calme magnétique (et encore actuellement, malgré quelques explosions, peu de tâches noires) n'a pas arrangé les choses si on suit les recherches, car l'activité solaire génère un bouclier magnétique efficace contre une grande partie des particules cosmiques à haute énergie. Mais actuellement, le bouclier du système solaire semble être en difficulté et s'applatir de plus en plus, se transformant de sphère à galette. De plus, les dernières données de nos sondes les plus lointaines, les voyagers et pionners, semblent prouver qu'une activité fortement magnétique (on parle d'orbes magnétiques énormes à l'avant du bouclier solaire, là où le choc se fait en direction du déplacement du Soleil (qui se déplace, et nous avec, à la vitesse de 217 km/seconde) autour de notre galaxie, la Voie Lactée (qui tourne aussi sur elle-même et autour d'un amas galactique).

Nous avons aussi découvert que le Soleil, notamment lors de ses oscillations par rapport au plan galactique de la Voie Lactée (le Soleil passant ce plan de Nord en Sud puis inversement tous les 30 millions d'années), notre étoile peut s'éloigner provisoirement de la protection de l'autre bouclier, plus important, celui de notre galaxie. Autrement dit, on est seulement en train d'avoir la confirmation que la plupart des changements climatiques, qui ont souvent été synonymes d'extinction massive de la vie organique sur la Terre (6 presques totales depuis l'éon archéen) sont dûs à ces mouvements solaires autour de la galaxie, à la rencontre parfois de matières plus denses (comme en ce moment) et génératrices de réchauffements et de particules à hautes énergies, ou a des endroits presques vides, ormis les particules...

Pour en rajouter, le Soleil serait plutôt en "banlieue" lointaine du centre de la galaxie, et s'en éloignerait même régulièrement au fur et à mesure de ses longues rotations (200 millions d'années pour qu'il fasse le tour de notre galaxie), bien qu'il soit bien à l'intérieur du disque. Mais en plus le Soleil plonge et remonte comme une vague par rapport au plan galactique où la majorité de la matière se trouve.

En ce moment, notre étoile est à 48 années lumière au dessus du plan et en phase ascendante à la vitesse de 7 km/seconde, dans l'avant-bras de notre galaxie (voir schéma). C'est lorsqu'il traverse les bras de la galaxie qu'il s'expose à subir des ondes de choc de supernova ou de nuage de gaz. Toutes les extinctions et changements climatiques importants ont justement eues lieu quand la Terre était dans un bras galactique, plus dense en matières. Cette matière et ces particules rencontrés dans les vastes champs de poussières, de roches (voir planètes isolées ou étoiles mortes comme le prouvent les dernières découvertes) et gaz que traverse régulièrement le Soleil (comme toute étoile orbitant autour d'un noyau galactique) équivalent par endroits à de véritables murs solides à l'échelle cosmique des vitesses et des masses : tous les boucliers naturels magnétiques du système solaire sont mis à contribution lors de ces passages obligés, les sphères magnétiques (voir schémas des découvertes à ce sujet) entourants les orbites des corps planétaires se transformant sous la pression en fuseaux ou galettes, se rapprochant du plan orbital des planètes. Ce rapprochement des limites de l'influence magnétique du soleil a été prouvé par les analyses des données des pioneers et voyagers : le nombre de particules cosmiques de hautes énergies (et donc dangereuses pour la matière organique) est donc en augmentation constante depuis l'entrée du soleil dans ce bras galactique. En corrélation, certains pensent déjà aussi que la "lutte" magnétique du soleil contre son environnement plus dense a tendance à calmer son activité rayonnante et éruptive, ce qu'on a pu remarquer ces deux dernière décennies si on regarde bien les shémas. Ces passages dans ces zones plus denses sont donc aussi obligatoirement facteurs de changements climatiques, et ce au niveau du système solaire, notre planète incluse. Le GIEC va-t-il intégrer ces nouvelles données ?

Articles en corrélations et liens :

11 / 09 / 2007

Le rayonnement cosmique de la Voie Lactée influence la formation des nuages sur la Terre :

naissance de la cosmoclimatologie

Par Claude DAHDOUH , INIST-CNRS

Le rayonnement cosmique est constitué, pour la plus grande partie, de particules chargées de très haute énergie se propageant dans tout l’Univers et dont l’origine est encore mal connue. Henrik Svensmark, physicien et directeur de recherche à l’Institut de recherche spatial danois, suggère l’existence d’un lien entre le rayonnement cosmique et les nuages sur la Terre. 

A l’instar de l’effet de serre, un nouveau phénomène a été mis en évidence dans les processus responsables du changement climatique sur la Terre : l’augmentation du rayonnement cosmique émis par les astres de notre Galaxie pourrait enclencher l’accroissement de la couverture nuageuse.

Nous connaissions déjà l’ensemencement des nuages par des aérosols libérés par avion et permettant d’accélérer leur formation. Un mécanisme similaire se produit avec le rayonnement cosmique qui va initier l’ionisation de l’air et former des aérosols sur lesquels la vapeur d’eau peut se condenser pour former des nuages. Cette hypothèse a été vérifiée récemment lors de l’expérience SKY réalisée au Centre national spatial du Danemark.

La géographie particulière de l’Antarctique (isolé dans l’hémisphère sud) et la blancheur particulièrement éblouissante de la glace (plus blanche que le sommet des nuages sur lequel se réfléchit une partie de la lumière du Soleil et que l’on appelle l’albédo) ont pour effet que des variations de température en Antarctique sont opposées en signe aux variations de température dans le reste du monde, phénomène dénommé la « scie polaire » ou « Anomalie antarctique du climat » (AAC).

L’étude des carottes de glace en Antarctique et en Arctique, qui renseigne sur les climats passés, confirme l’hypothèse de la variation de la couverture nuageuse en relation avec l’AAC.

La rotation du Système Solaire dans la Voie Lactée pendant des centaines de millions d’années a modifié l’environnement spatial de la Terre qui a traversé ainsi des régions de plus ou moins grande intensité du rayonnement cosmique et expliquerait de fait les grandes variations climatiques du passé.

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les-rayons-cosmiques-sont-de-plus-en-plus-puissants_20629/

Profitant d'une activité solaire exceptionnellement faible, les rayons cosmiques sont plus intenses qu'ils ne l'ont jamais été depuis les débuts de l'ère spatiale. C'est ce que démontrent les mesures de ACE, un engin lancé en 1997. Les futures missions habitées devront en tenir compte...

De mémoire d'homme moderne, le rayonnement cosmique n'a jamais été aussi intense. Installé à 1,5 million de kilomètres, le satellite ACE (Advanced Composition Explorer) tourne depuis 1997 autour du point de Lagrange L1 du système Terre-Soleil. Il analyse en permanence le milieu qui l'entoure pour étudier la couronne solaire, le vent solaire et ce que l'on appelle le rayonnement cosmique.

Malgré ce nom, et même si l'on y trouve effectivement des rayons gamma, ce « rayonnement » est surtout un flux de particules, comportant des neutrinos et, surtout, beaucoup de protons et des noyaux, d'hélium en majorité mais aussi d'autres éléments. Initialement accélérées, par des supernovae pour une partie d'entre elles et sans doute par d'autres objets, comme les noyaux actifs des galaxies, elles atteignent de très hautes énergies (on les dit relativistes). Une seule de ces particules, si elle percute au mauvais endroit un circuit électronique d'un vaisseau spatial, peut provoquer de vrais dégâts. Sur un corps humain, les effets ne sont pas négligeables. Durant la mission Apollo 11, Buzz Aldrin a expérimenté le cas de chocs sur la rétine : l'astronaute voyait des flashes lumineux. Pour une exposition plus prolongée, l'effet est celui d'un rayonnement ionisant, comme la radioactivité.

L'intensité du flux de noyaux d'atomes de fer du rayonnement cosmique mesurée par ACE. Il dépasse actuellement de 19,4% le précédent record enregistré depuis les débuts de l'ère spatiale. La courbe noire représente ce que l'on s'attendait à mesurer si le Soleil avait suivi son cycle de 10,5 ans que l'on a établi entre 1951 et 2005. Le flux est donné en nombre de particules par unité de surface (mètre carré), par unité d'angle solide (stéradian, sr), par unité de temps (en seconde) et par intervalle d'énergie des particules incidentes (MeV, ici de 270 à 450 mégaélectron-volts) et par particule (ici, en fait, des noyaux de fer, Fe). (ci-dessous) :

 

© Richard Mewaldt / Caltech

Depuis son poste d'observation, ACE voit l'énergie du rayonnement cosmique augmenter presque linéairement depuis le début des années 2000 et, surtout, continuer à augmenter depuis 2008. Or, ce flot de particules cosmiques aurait dû s'apaiser à cette date du fait de la reprise de l'activité solaire. Le Soleil, en effet, nous protège de ce rayonnement par le champ magnétique géant qu'il fait régner autour du système solaire, dans l'héliosphère. Les particules venues du cosmos sont ainsi déviées ou ralenties.

Depuis longtemps, on a remarqué que le rayonnement cosmique reçu au niveau de la Terre diminue quand l'activité solaire est maximale et augmente lorsqu'elle se réduit. Se traduisant par des taches sur la surface, cette activité vivait jusque-là sur un rythme d'environ 10,5 ou 11 ans. Pourtant, depuis plusieurs années, les astronomes observent que le Soleil, après un minimum dans les années 1990, rechigne à se réveiller. Le retard de la réapparition des taches solaires, pour lequel on a peut-être trouvé une explication, se traduit par d'autres phénomènes.

Les premières conquêtes spatiales ont peut-être eu de la chance

 

Le champ magnétique interplanétaire (IMF, interplanetary magnetic field) régnant autour du satellite, habituellement compris entre 6 et 8 nanoteslas (nT), est tombé actuellement à 4 nT. La puissance du vent solaire est elle aussi très faible, comme l'a prouvé Ulysse, une sonde réalisée par l'Esa et la Nasa, qui a tourné autour du Soleil (en survolant les pôles) durant une quinzaine d'années, et qui a mesuré la pression exercée par le vent solaire (et qui peut faire avancer une voile solaire).

Enfin, un troisième phénomène serait en cause : l'aplatissement de la couche de courant héliosphèrique. Cette énorme structure d'environ 10.000 kilomètres d'épaisseur s'étend jusqu'à la ceinture de Kuiper, au-delà de Pluton et correspond à la zone où la polarité du champ magnétique solaire s'inverse. Elle est constituée de particules chargées et ondule comme un voile de part et d'autre du plan de l'écliptique.

Cette structure ondulante modifie la trajectoire du rayonnement cosmique et, quand elle s'aplatit, comme elle le fait actuellement, ces particules du rayonnement cosmique peuvent plus facilement s'approcher des planètes.

Une représentation de la couche de courant héliosphérique On remarque sa structure en spirale, due à la rotation du Soleil sur lui-même. (Auteur Werner Heil/Nasa, domaine public) ci-dessous :

 

« Si la couche de courant héliosphèrique continue à s'aplatir, affirme Richard Mewaldt, du Caltech, un des chercheurs impliqués dans cette étude, le flux cosmique grimpera à 30% au-dessus du précédent maximum connu. »

"Avec son champ magnétique personnel, la Terre nous protège efficacement contre ce flux cosmique et le taux actuel reste modéré. On sait, toutefois, que dans le passé ce flot a été jusqu'à trois fois plus intense. En percutant les atomes de l'atmosphère, ces particules à hautes énergies, en effet, créent parfois des isotopes du béryllium (10Be), que l'on retrouve dans les carottes glaciaires."

Et on sait aussi que le champ magnétique de la Terre a presque perdu la moitié de sa puissance ces dernières années... (NDLA)

"En fait, les débuts de l'ère spatiale se sont peut-être déroulés durant une période où ce vent cosmique était exceptionnellement calme et, avance Richard Mewaldt, « nous pourrions actuellement revenir à une situation normale à l'échelle des siècles ». On savait déjà que le rayonnement cosmique représente un danger pour les vols habités, mais pour des missions longues, par exemple vers Mars, il faudra peut-être, alors, revoir les protections à la hausse."

 

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/les-rayons-cosmiques-peuvent-ils-influer-sur-le-climat-de-la-terre_30259/

Toujours est-il que cela confirme bel et bien un rôle possible des rayons cosmiques dans la formation des nuages. Il faut cependant garder bien présent à l’esprit deux faits. D’abord, la corrélation observée entre intensité du rayonnement cosmique et évolution de la température moyenne dans le passé ne fonctionne plus depuis quarante ans. Ce qui est une difficulté à résoudre pour ceux qui voudraient attribuer le réchauffement climatique aux modulations du flux de rayons cosmiques par le champ magnétique du Soleil.

Ensuite, quels seraient les nuages dont la formation serait ainsi significativement pilotée par ce flux ? La question est d’importance car s’il s’agit de nuages de hautes ou de basses altitudes l’effet est soit de piéger du rayonnement issu du sol soit au contraire de réfléchir celui du Soleil. Une augmentation ou une diminution du flux de rayons cosmiques n’aura donc pas les mêmes effets selon que l'un ou l'autre de ces types de nuages est majoritairement affecté.

Là il faut ne pas se limiter aux seules observations du Soleil pour conclure quoique ce soit : et la forte diminution du champs magnétique terrestre (liée ou non à celle du soleil), et la densité de matières et d'interactions éléctrico-magnéto-photoniques suivant les régions galactiques ?

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les-taches-solaires-vont-elles-disparaitre-pendant-des-decennies_30904/#xtor=RSS-8

Selon certains physiciens solaires américains, le cycle de taches solaires pourrait s’interrompre pendant quelques dizaines d’années. Ce ne serait pas la première fois. Cependant, il est trop tôt pour en déduire qu’il en résultera un refroidissement du climat.

Qu’aurait pensé Evry Schatzman des déclarations faites par plusieurs spécialistes du Soleil lors du récent congrès annuel de la Solar Physics Division of the American Astronomical Society ? L’un des pères de l’astrophysique théorique en France, qui a influencé André Brahic et à qui on a rendu hommage le mercredi 25 mai 2011 en donnant son nom au bâtiment du Laboratoire d’astrophysique de Meudon (LAM), était en effet un grand spécialiste de la structure des étoiles.

Or, Frank Hill, l’un des membres les plus importants du National Solar Observatory (NSO), vient d’annoncer que lui et plusieurs de ses collègues prévoient une baisse importante du nombre de taches solaires au cours du prochain cycle solaire. Il pourrait même ne plus y en avoir du tout pour une période de plusieurs dizaines d’années. On sait en effet, grâce à la compilation du nombre de taches solaires sur la surface de notre étoile depuis l’époque de leur découverte par Galilée, qu’il existe un cycle de onze ans avec un maximum et un minimum de taches. Mais de 1645 à 1715, on n’a observé aucune tache sur le Soleil.

Curieusement, cette absence d’activité de notre étoile a coïncidé avec une période de grand froid sur la Terre. Baptisée le minimum de Maunder, cette interruption du cycle solaire semble bien corrélée à ce que les climatologues appellent le Petit Âge glaciaire.

Nous sommes actuellement dans le 24e cycle solaire observé par l’Humanité (ou plutôt enregistré scrupuleusement) et le Soleil est bien actif, comme l’ont montré les impressionnantes images d’une éruption solaire prise récemment par SDO. Sur quelles observations les chercheurs se basent-ils pour prévoir une baisse du nombre des taches solaires, voire une suppression temporaire de celles-ci d’ici plusieurs années ?

Des indices concordants

Il se trouve que l’on peut connaître jusqu’à un certain point ce qui se passe à l’intérieur du Soleil grâce à l’héliosismologie. C’est ainsi qu’à l’aide de six stations d’observations réparties sur la Terre et faisant partie du Global Oscillation Network Group (GONG), des mesures des oscillations de la surface du Soleil peuvent être faites. Ces oscillations sont causées par les ondes sonores se propageant à l’intérieur de notre étoile et, comme les ondes sismiques sur Terre, leurs caractéristiques dépendent de l’état du milieu dans lequel elles se propagent.

Les astrophysiciens ont ainsi découvert qu’un courant de matière est-ouest à l’intérieur du Soleil, migrant périodiquement des latitudes moyennes vers l’équateur de notre étoile, pouvait servir d’outil de prédiction pour l’apparition des taches solaires lors d’un cycle. Or, alors qu’ils s’attendaient à voir le début d’une nouvelle migration de ce courant, rien de tel n’a été observé, suggérant que le 25e cycle serait, au minimum, retardé. Il ne se produirait alors qu’à l’horizon 2021-2022.

Ce qui renforce la probabilité de l’occurrence de ce phénomène est que le champ magnétique du Soleil est en train de baisser depuis au moins treize années. Il faut savoir que ce sont les lignes de champ magnétique du Soleil qui, en inhibant localement la convection de la matière solaire, font chuter sa température de surface, provoquant l’apparition des fameuses taches. Elles correspondent en effet à des zones plus froides, donc moins brillantes, et qui apparaissent plus sombres.

Une troisième observation, là aussi au niveau des caractéristiques du champ magnétique du Soleil, mais dans sa couronne, suggère qu'une anomalie est en train de se produire. Cette observation indiquerait qu’il faudrait s’attendre à un faible maximum du nombre de taches solaires en 2013.

Quelles seraient les conséquences possibles sur le climat ? On ne sait pas vraiment et Frank Hill insiste bien pour dire que lui et ses collègues prédisent une baisse drastique du nombre des taches solaires dans l’avenir, et non un prochain Petit Âge glaciaire. On ne connaît pas assez l’influence sur le forçage solaire d’un tel phénomène pour en déduire que cela invalidera les prédictions du Giec.

 

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/univers/d/carte-la-plus-detaillee-de-la-voie-lactee-une-repartition-asymetrique_9142/

Les recherches menées sur la base de l'hydrogène de la galaxie montrent que les bras spiraux s'étendent à 25 kpc, soit 80.000 années-lumière à partir du centre de la galaxie. Léo Blitz, de l'Université de Californie (Berkeley), indique qu'il a été possible de tracer la structure spirale du disque entier de gaz au delà de l'orbite du Soleil autour du centre de la galaxie, jusqu'à la limite du disque. "Cela procure l'image la plus claire et la plus complète de la structure spirale du disque jusqu'à maintenant," ajoute-t-il.

Les chercheurs ont par ailleurs découvert que la présence de gaz dans les bras spiraux est plus ténue qu'en dehors des bras. Ceci était attendu mais n'avait pas encore été observé. Cela devrait permettre de mieux expliquer la manière dont les bras spiraux évoluent au cours du temps.

 

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=9230

"L'existence de dépôts glaciaires caractéristiques, retrouvés à plusieurs endroits du globe aux basses latitudes, nous indiquent qu'il y a 635 millions d'années (époque Marinoene), les calottes polaires auraient atteint l'équateur, c'est la théorie de la "Terre boule de neige". Depuis, de telles glaciations extrêmes ne se sont pas reproduites, ce qui a permis le développement de formes de vie de plus en plus évoluées."

Notre Galaxie :

Son disque contient aussi une grande quantité de nuages de gaz et de poussières, qui apparaissent en sombre ou brillent soit par réflexion soit par fluorescence. La température de ces nuages va de 10 K pour les nuages moléculaires, à 100 K pour les nuages d’hydrogène neutre (régions HI) et 10.000 K pour les nauges d’hydrogène ionisé.

La densité du milieu interstellaire, en dehors des nuages, est de 1 atome par cm3.

Le disque est entouré d’un halo contenant les amas globulaires (147), dont la masse est évaluée jusqu’à 1.000 milliards de masses solaires !

La vitesse de rotation ne diminue pas vers l’extérieur, comme le voudrait la loi de Newton, indiquant que la masse réelle est bien supérieure à la masse observée (étoiles + gaz).

En 2006, la masse de la Voie lactée est estimée à 5,8×1011M, étant composée de 200 à 400 milliards d’étoiles, ainsi que d’environ 1 000 milliards de planètes. Sa magnitude visuelle intégrée absolue a été estimée à -20,9. On pense que la plupart de la masse de la Galaxie (83 %) provient de la matière noire environnante (dont on ne sait pas grand chose), formant un halo galactique relativement homogène.

Compte tenu de la position très excentrée du Système solaire, les étoiles les plus éloignées de notre galaxie sont distantes d’environ 78 000 al (24 kpc), alors que l’étoile la plus proche du Soleil, Proxima Centauri, se trouve à 4,22 al. (al=année-lumière= 9 460 730 472 580,8 km pour 1al). La portion la moins lumineuse de la Voie lactée est ainsi située à proximité de la constellation de la Croix du Sud, et porte le nom évocateur de Sac à Charbon, qui est une nébuleuse obscure à la fois étendue, dense, et relativement proche de nous (600 années-lumière environ). De plus, le disque de la Voie lactée apparaît légèrement voilé par endroit, conséquence probable d’interactions avec de petites galaxies voisines. Ainsi, le disque semble-t-il parfois posséder quelques excroissances, comme par exemple au niveau d’Ophiuchus (voir illustrations en tête d’article et ci-contre), du Loup et de Persée.

Les vitesses des différents objets se décomposent en :

  • une vitesse de rotation circulaire autour du centre galactique, qui ne dépend que de la distance au centre galactique ;
  • une vitesse de mouvement propre ; la vitesse particulière du Soleil est considérée par rapport à un ensemble d’étoiles voisines, appelé centre local des vitesses : elle est de 19,5 km/s en direction de la constellation d’Hercule (α=18h, δ=30°). Le Soleil serait donc toujours dans le bras d'Orion, lieu d'ailleurs présumé de sa naissance...

Ainsi, si la période de révolution galactique du Soleil, situé à 28 000 al (8,6 kpc) du centre galactique mais à seulement 50 al du plan équatorial., est évaluée à 226 millions d’années, une étoile située à 3 200 al (1 kpc) fera le tour de notre galaxie en 26 millions d’années seulement. Le système solaire aurait donc effectué entre 20 et 21 révolutions galactiques depuis sa formation voici 4,55 milliards d’années.

Il semblerait qu’on ait sous-estimé la vitesse de rotation de notre galaxie. Les résultats publiés en 2009 d’un suivi des étoiles les plus brillantes de notre galaxie par un réseau de 10 radiotélescopes, laissent penser qu’au niveau du soleil, la galaxie tourne à une vitesse de 254 km/seconde, soit 15 % de plus que l’estimation précédente, ce qui pourrait signifier que la masse de la galaxie puisse aussi être revue à la hausse (peut-être de 50 % !)

Maintenant, trouver dans la jungle des rapports astronomiques ou de données internet, trouver la position exacte du Soleil dans ce bras galactique relève du parcours du combattant... Voilà différents schémas trouvés, attention ils ne sont pas tous orientés de la même façon, référez-vous à Persée ou au bras Perseus pour comparer.

 

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