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Dans OVNI/UFO
Averty ovni mai1973 paris2

OVNIs : mai 1973 Jean-Christophe Averty voit une soucoupe

Par Le 11/11/2014

OVNIs : mai 1973 Jean-Christophe Averty voit une soucoupe

Averty ovni mai1973 paris2

Reconstitution par le dessinateur Roger Bussereau

Toujours un œil dans mes archives OVNIs, tout en surveillant de l'autre l'actualité archéologique, l'actualité du mystère et en pensant à mes propres écrits et perceptions... et en écartant mes soucis matérialistes.... Un article d'un magazine qui existe encore, car il s'agit d'un extrait de Télé 7 jours de février 1974... :

" Jean-Christophe Averty (né en 1928 et toujours parmi nous) vit au naturel, depuis des mois, le drame fictif de David Vincent, le héros des "Envahisseurs". Il a vu, de ses yeux, une soucoupe volante, et personne ne veut le croire : l'on ne peut admettre qu'une telle révélation, venant de lui, ne relève pas du canular. Pourtant, son récit est précis, détaillé et digne - au moins - d'intérêt.

" Cela s'est passé le 24 mai 1973, à 21 h 55. J'étais chez moi, à Suresnes, et je regardais le show de Guy Lux avec Tino Rossi à la TV. J'ai aperçu, par la fenêtre, une lueur insolite dans le ciel. J'habite au rez-de-chaussée, je suis sorti aussitôt. En courant, je me suis rendu jusqu'au parking de mon immeuble, d'où l'on a une vue totalement dégagée sur Paris.  La nuit était très claire. J'ai vu, à une centaine de mètres, une énorme masse lumineuse, très nette, qui se déplaçait lentement et dans un silence absolu au-dessus de la Seine. Elle avait la forme d'une toupie renversée. Au sommet clignotait un phare rouge, rotatif. En-dessous se trouvait une série de hublots illuminés d'une lueur orange. A la partie inférieure, scintillait un immense panneau lumineux, constitué d'une série de petits quadrilatères de couleurs variées (rouge, turquoise, jaune, violet, bleu, vert) dont la composition changeait sans arrêt. Cela m'a fait penser à un tableau de Vasarely, luminescent et animé.

" Des voisins m'ont rejoint et ont pu observer l'objet, tout comme moi, pendant près d'une demi-heure. Il a ensuite disparu vers le nord, semblant survoler le cours de la Seine. J'ai appelé le commissariat. Quand j'ai dit mon nom, on a éclaté de rire !... "

Et c'est ainsi depuis neuf mois. Aucune des explications qu'on lui a proposées (hélicoptère, ballon dirigeable publicitaire) n'a satisfait Jean-Christophe. Il est certain que l'engin qu'il a vu - et que notre dessinateur Roger Bussereau a reconstitué ici, d'après ses propres croquis - est d'origine extra-terrestre. Moins sceptiques - au moins à l'égard de sa bonne foi - que ses précédents interlocuteurs, nous avons recueilli son témoignage. Nous le versons au dossier de " Pas de panique ", ouvert par France-Inter. Jean-Christophe y aura, pour la première fois de sa vie sans doute, un allié inattendu (pour lui) : M. Galley, ministre des Armées, qui y a récemment confirmé l'existence des " OVNI ".

Averty ovni mai1973 paris1Archives 1973-1974 de Yves Herbo

Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.

 

Notons que le contacté Michel Zirger est cité à ce sujet dans un article de Alain Moreau (Rencontres Extraterrestres à Tokyo) : (...) " Un jour de 1971, alors que son fils lui montrait une belle illustration d'un cas d'OVNI, celui survenu en 1965 à Exeter aux États-Unis, parue dans un vieux Sélection du Reader's Digest, elle ne put s'empêcher de dire qu'elle avait vu une soucoupe volante. Michel Zirger était alors âgé de 13 ans. L'intérêt de ce dernier pour l'ufologie fut alors stimulé, avec la lecture des ouvrages sur le sujet (Aimé Michel, Henry Durrant, Desmond Leslie...) Et en 1973, il vit lui-même un OVNI, cette observation ayant été corroborée par des témoins, notamment le réalisateur de télé Jean-Christophe Averty. Il devint un assidu des « réunions publiques » de René Fouéré, l'éditeur de la revue Phénomènes spatiaux. (...) "

 

Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 11-11-2014

Dans Fictions
Eerie

Ma petite histoire de la Science Fiction

Par Le 09/11/2014

Ma petite histoire de la Science Fiction

Eerie

Par Didier H. et Thierry Rodhan de http://paradoxe.eklablog.com/

Pour moi, l' heure de gloire de la Science Fition moderne démarre avec Edgar Allan Poe.

Même si des auteurs comme Jaques Sadoul remontent beaucoup plus loin dans le temps.

" Les aventures d' Arthur Gordon Pym
" ( traduit en français en 1858 ) reste toujours à découvrir. C'est l'idée du voyage (intérieur ?) qui se termine dans un curieux face à face, c'est tout le voyage vers le Sud, le point le plus bas du globe terrestre.

L' histoire se termine de façon brute, avec une sorte d'être de Lumière, dont nous n'avons pas d'explications.

Le grand Maître de la Science-Fiction, Jules Verne tentera de donner une suite à cet oeuvre, avec le " Sphinx des glaces", hélas, le côté mystique va être remplacé par un côté plus rationnel.

Il faudra donc Maître H. P Lovecraft pour explorer à nouveau cet aspect de mystères avec " Les Montagnes Hallucinées".

" un gouffre s'entrouvrit , comme pour nous recevoir...mais voilà qu'en travers de notre route se dressa une silhouette voilée, de proportions beaucoup plus vastes que celles d'aucun habitant de la terre. Et la couleur de la peau de la silhouette était de la blancheur parfaite de la neige...." ( fin du roman ???).

On dit aussi, que la nouvelle de Poe " Descente dans le MAELSTORM" relève de cette même fascination d'une pénétration dans l' inconnu.

Dans ce roman, il est déjà question d'une curieuse écriture retrouvée.

Dans les pionniers nous avons, Edgar Rice Burroughs, Abraham Merritt ( 1917 ), où les civilisations sont surtout " Intra-Terrestres" . Mais doucement, elles vont devenir Extra-terrestres. Dans les années 30, tout explose surtout après la fameuse émission d' orson Welles mettant en ondes " the war of the worlds" de Wells ( 38 )

En 1945, " I Remember Lemuria" va faire exploser ce type d'idées. Dont d' Alphabets et d'écritures mystérieuses. Nous étions toujours bien avant 1947.

En 1931, Arthur K.Barnes publia les formidables aventures " cosmiques" de Miss Carlyle , un délice.On y trouve des tas d' Extra-terrestres.Comme dans Cpt Future.

Une autre grande étape est la naissance des Pulps, le nom provient du papier de mauvaise qualité où était imprimé des " Nouvelles". C'est là que Tarzan, Doc Savage et bien d'autres vont prendre naissance à notre grand plaisir.

Ainsi que des auteurs de génie :

Poul Anderson et sa fameuse " Patrouille du temps" ( 1956 ), un thème à présent très connu.

Isaac Asimov, Ray Bradbury ( "Fahrenheit 451", un monde où les livres sont interdits), Arthur C Clarke : un véritable génie avec des livres extraordinaires comme " 2001, l' Odyssée de l' espace" ( 1968 ), " Les enfants d' Icare".

Ron Hubbard aussi, ce père de la "scientologie" était un auteur de Sci-Fi assez convenable avec par exemple sa Trilogie : " Terre champ de bataille"

Bien entendu ce génie de HP Lovecraft.

Richard Shaver, qui va nous introduire dans les civilisations perdues comme la Lémurie, ce livre reste un Livre culte chez les Ufologues, qui plus qu'un récit fictif y voit une thèse.

Ces anciennes Civilisations, je vais les explorées avec divers auteurs comme Abraham Merritt ( la Nef d' Ishtar ), des modernes comme Philip Pullman, CS Lewis, Tolkien..." Heroic Fantasy".

Et tellement d'autres, c'est l' Age d' Or de la Science- Fiction

Il y aura des FanZines prestigieux comme " Weird Tales" ( 1923 ), HP Lovecraft en sera, comme Jacques Bergier qui a introduit HP Lovecraft en Europe. Bergier ce génie, à l' origine avec Pauwels de la revue mythique " Planète" ( de 61 à 71 ), 150 pages bimestriel !!! ( 100 000 exemplaires par numéro) . Dans " Planète" on trouvera les plumes de : Aimé Michel, Rémy Chauvin, George Langelaan, Jean E Charon.

George Langelaan un étrange agent secret, qui entrera en contact avec Marcel Belline ( célèbre voyant français). Auteur des " Treize Fantômes" ( qui deviendra une réalité ?).

Amazing Stories, Astounding Stories de John W Campbell qui sera un ami proche de Ron Hubbard.

Le Maître Chan Corbett .( Age d' Or ) " Au-delà de l' Infini"

" cet univers est trop cruel, ...la vie elle-même est une maladie...tu as raison, murmura, le vieux savant...la vie est semblable à l'univers...elle est imparfaite et elle tend malgré tout vers une perfection qu'elle ne pourra jamais atteindre..." car la perfection existe et je ne crois pas du tout que cela signifie l'extinction..;
dans un éclair de lucidité , il comprit la sagesse de l'expansion universelle ...le créateur avait fait ce qu'il fait avec une grande sagesse une profondeur de compréhension...qui dépassait de loin les rêves des philosophes ...votre ancien univers n'était pas le premier et à cause de vos désirs , il ne sera pas le dernier ."

Jack Williamson ( Age d' Or) Le cercle Galactique

Exemple :

ASTOUNDING Stories: January, Jan. 1937

Astounding (Jack Williamson; Chan Corbett - aka Nat Schachner; John Russell Fearn; M. F. James; R. R. Winterbotham; Eando Binder; Raymond Z. Gallun; J. Harvey Haggard; Nat Schachner; John W. Campbell, Jr.)

Les COMICS BOOK

Ma grande passion, je suis un véritable collectionneur, digne héritier des Pulps.

Pour moi, le grand roi est Jack Kirby

Mais clairement, ce qui va ouvrir mon horizon va être les COMICS made in USA. Qui reste une énorme passion à ce jour. Je suis l'enfant de la Génération " Strange", " Marvel" et des éditions Arédit et Artima. J'ai été marqué ( au fer rouge) par les super- héros de deux grandes maison d' édition : D.C ( Detective Comics) et Marvel.

Chez Marvel, j'ai lu des choses incroyables, avec les " Quatre Fantastiques" ( Silver Surfer, Galactus), les " X men ", " les Vengeurs" ( avec le dieu Thor), " Spider Man" " Iron Man", le Dr Stange.... A ma grande joie, tous ces Super Héros sont à l' ECRAN ( Cinéma) à présent. Et découvert par la génération actuelle. Avec à la fois une nouvelle vie : pour les petits enfants, pour les enfants mais aussi pour les ados.

Chez DC, nous sommes en plein dans le Silver Age, avec les incontournables Superman, Batman, Wonder Woman. Mais aussi, des héros moins connus comme : " Challengers of the Unknow", " Patrouille Z ", le formidable " Adam Strange" ," Captain Action".

Puis les thèmes des séries TV, voyage dans le temps avec " Rip Hunter",

Au fond des océans avec " Sea Devils" , dans l' espace avec Tommy Tomorrow

D'excellents dessinateurs : Gil Kane, Carmine Infantino, Steve Dikto, Sal Buscema, Don Newton ( qui a illustré par exemple " Shazam"), Walt Simonson, John Romita et dans un autre style John Romita Jr, Wally Wood. Et des initiateurs de dessins plus modernes : John Byrne, George Perez.

Mais surtout d'excellents scénaristes : Mark Gruenwald ( dont la série Quasar), Ron Marz ( dont avec " Silver Surfer", " Green Lantern" ), James Robison ( " Starman"), Mark Waid, Dan Abnett.

Des super Héros de choix : Silver Surfer, Captain Marvel ( surtout via Jim Starlin), Adam Warlock, Quasar, Nova, les guardiens de la Galaxie.

Chez D.C : Tommy Tomorrow, Légion des Super Héros.

Marvel est sans conteste, la compagnie championne au niveau de la Science-Fiction.

Mais D.C a eu son heure de gloire, avec la période que l'on nomme le " Silver Age" ( 56 à 70 )

Dont le scénariste Gardner Fox. ( 1911-1986)

Avec l'excellent " STRANGE ADVENTURES ", qui verra Star Hawkins, Captain Comète, Adam Strange. De l'excellente Science-Fiction.

Autrefois les Editions EERIE et d'autres avaient toute une ligne ainsi de courts récits, j'aimais beaucoup
Les amateurs trouveront pas mal de renseignements sur EC Comics via Wikipedia
C'était un vrai âge d' Or

Eerie était un
magazine américain de comics d’horreur, publié par Warren Publishing entre 1966 et 1983. Il a été adapté en français par les éditions Publicness de 1968 à 1970, sur 11 numéros.

Creepy est un magazine américain comic horreur édité par Warren Publishing de 1964 à 1983. Si à l'origine le magazine est exclusivement en noir et blanc progressivement et occasionnellement des pages couleurs sont insérées.

En 1957, james Warren et Forrest J Ackerman décident de lancer une revue consacrée aux monstres des films fantastiques, Famous Monsters of Filmland. Le premier numéro sort en janvier 1958. Prévu pour être un numéro unique, il faut attendre octobre 1958 et l'évidence du succès du premier numéro pour voir le deuxième paraître. La revue devient alors un trimestriel et amène la création d'une maison d'édition nommée Warren Publishing.

Les petits formats

Etait des BD, bon marché, souvent en noir et blanc.

Avec un véritable âge d' or des années 50 aux années 70.

C'est toute mon enfance, et ma motivation de me rendre dans une librairie.

Avec des variations de Tarzan comme Akim ou Zembla ( 200 000 exemplaires)

Pas mal de dessinateurs venant d' Italie, d' Espagne mais aussi de l' Angleterre.

Aujourd'hui ce sont les " Mangas" qui connaissent ce type de sucès.

Exemples : Don Z ( une excellente imitation de Zorro), ( de 68 à 77 ), Archie le Robot et plus extraordinaire " Constructeurs de robots", dans la lignée de Tarzan : Kali, Korak ( le fils de Tarzan), Akim, Zembla.

Dans le style des " contre super héros" souvent des criminels : Diabolik 1960, Naja, Spiderman 1965 ( à ne pas confondre avec le célèbre Spiderman de chez Marvel ), Kriminal, Cobra.

Les petits formats ne devaient être qu'un genre mineur, surtout pour un amateur de COMICS et de BD Franco-belge.
Pourtant, j'en garde des souvenirs
Des cours de récréation et surtout de mes vacances à la côte belge
Où dans des pochettes il y avait un peu de tout, ce qui permettait des "découvertes" de titres

Dans la cour de récréation, ce qui circulait surtout était AKIM, cette sorte de TARZAN, TARZAN lui connu de tous les enfants de l'époque. Les aventures de son fils KORVAC, contenait, il me semble, plus d'éléments fantastiques que dans les aventures de son Père. Kali était aussi très bien, un Tarzan des Indes ou encore ZEMBLA avec tout ses compagnons

Un autre grand héros des enfants était ZORRO, DON Z était un peu sa contre partie des " petits formats".
Et en seconde partie, il y avait aussi CONSTRUCTEUR DE ROBOTS avec les robots Steve et " Coco"
L' autre grand robot de l'époque était ARCHIE.

Une autre BD qui tournait était " The Spider" ( Spiderman), une BD plus sombre avec un étrange héros.
D'autres héros ou anti héros suivront comme NAJA, COBRA

Et en TV !!!

Je pense être un enfant, aussi : de la télévision. Toute mon enfance a été percée de Science-Fiction avec des séries comme : " Les Mystères de l' Ouest" ( oui c'est de la Science Fiction), " Voyage au fond des mers", " Time Tunnel" ," Au pays des géants", " la quatrième dimension", et l'incontournable " Star Trek".

Les Mystères de l'Ouest (The Wild Wild West) est une série télévisée américaine en 104 épisodes de 50 minutes (dont 28 - soit la première saison - en noir et blanc), créée par Michael Garrison et diffusée entre le 17 septembre 1965 et le 4 avril 1969 sur le réseau CBS.
En France, la série est diffusée à partir du 9 avril 1967 sur la deuxième chaîne de l'ORTF.
Les deux héros récurrents sont les agents secrets James West (Robert Conrad) et Artemus Gordon (Ross Martin). Les Mystères de l'Ouest a connu un grand succès à cause du mélange des genres : à la fois western, espionnage, science-fiction et fantastique.

Voyage au fond des mers (Voyage to the Bottom of the Sea) est une série télévisée américaine en 110 épisodes de 48 minutes (dont 32 en noir et blanc), créée par Irwin Allen et diffusée du 14 septembre 1964 au 31 mars 1968 sur le réseau ABC. En France, la série a été diffusée à partir du 26 octobre 1969 sur la deuxième chaîne de l'ORTF... (...)

(...)  l'auteur a été interrompu (bug) dans son édition sur mon blog et a pu m'en envoyer une partie par email... mais vous pouvez lire la suite ci-dessous, car cet article a été intégralement publié en final sur Calaméo (et en free), avec des images et liens internet en plus, pour l'illustrer et le compléter...

Voilà donc pour aider ce site et ce fanzine free de fans de science-fiction qui m'a écrit
Et j'en profite pour rappeler  que mon roman de science-fiction, Je n'étais qu'un Androïde, est toujours trouvable sur Amazon ici :

Yves Herbo, S, Fictions, H, 09-11-2014
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Roumanie, les mystères des Montagnes Bucegi

Par Le 09/11/2014

Roumanie, les mystères des Monts Bucegi

 

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I. Introduction

À l'été de 2003, dans une région inexplorée des monts Bucegi, Roumanie, une équipe du Département Zéro (une section de top secret du Service roumain de renseignements - SRI), avait fait une découverte archéologique qui pourrait complètement changer le destin de l'humanité.

Les Etats-Unis d'Amérique ont exercé une pression diplomatique colossale sur le gouvernement roumain, qui désirait divulguer les résultats au monde entier.

Les implications sont devenues beaucoup plus complexes en raison de l'ingérence brutale de l'Ordre des Illuminati, qui a cherché à prendre le contrôle à la fois du lieu de la découverte et de l'expédition commune roumano-américaine.

L'expert en phénomènes étranges, et aussi le chef des opérations pour l'Etat roumain, Cezar Brad, est le «héros» des événements choquants survenus dans les monts Bucegi. Il a également eu deux réunions mémorables avec l'un des principaux représentant des Illuminati, et haut membre de Bilderberg.

harta-bucegi.png

II . Une étrange visite du membre le plus puissant des Bilderberg

En mai 2003, Cezar a été visité par un personnage très important. La demande de la réunion est venue du SRI, à la suite de l'intervention du gouvernement. La personne était un étranger, mais qui parlait très bien la langue roumaine. Il était également familier avec le pays. Cezar a informé le SRI que le visiteur était un membre de haut rang d'une loge maçonnique très importante d'Italie, il était un noble, et a eu une très forte influence financière en Roumanie.

Son influence politique était également très élevée, car il a réussi à pénétrer dans le bouclier des agents du SRI et à atteindre le DZ (Division Zero).

Cezar a ressenti une pression élevée et un poids lourd autour de cette personne. Il était entouré par un nuage puissant de rayonnements désagréables qui cachait ses véritables intentions. Pour cette réunion, Cezar s'était préparé minutieusement, s'isolant dans une chambre et tombant dans un état de méditation profonde, pour en savoir plus sur la personne.

Un hélicoptère du SRI a amené cet arrogant grand monsieur, vêtu d'un costume noir. Il avait une canne à manche d'ivoire et avec des incrustations d'or. Son visage exprimait la dureté et ses yeux verts ont eu un effet étrange, rayonnant une froideur inhabituelle. Il s'est présenté comme Monsieur Massini (probablement pas son vrai nom). Il était très sûr de sa puissance et a créé l'impression d'une personne qui a été fait pour donner des ordres.

Il était le chef d'une des loges maçonniques les plus importantes d'Europe et aussi de l'une des organisations maçonniques les plus influentes dans le monde : le Groupe de Bilderberg.

Massini a été très direct et a déclaré que les êtres humains sont de deux sortes : ceux qui peuvent être manipulés et gouvernés (ceux-ci forment la majorité), et ceux qui ont certaines vertues et des fortes personnalités. Il a dit que son groupe fait partie de l'ordre maçonnique le plus élevé et est très intéressé de l'issue de la discussion.

Monsieur Massini a expliqué que le Groupe de Bilderberg n'est pas une loge maçonnique, et qu'il pense être beaucoup plus que cela. Il a dit que les loges ne sont que des façades et le pouvoir réel est beaucoup plus élevé que le trente-troisième niveau hiérarchique. Massini a invité Cezar à se joindre au groupe, lui faisant comprendre qu'il aura de nombreux avantages.

Selon Cezar, Massini était à la fois physiquement et psychique fort, ce qui contrastait avec son âge. Malheureusement pour lui, son pouvoir était centré sur un égo énorme, l'arrogance et le sentiment de supériorité sur le reste.

Massini a informé Cezar qu'il lui a demandé personnellement, en utilisant son influence politique, parce qu'il a été impressionné par la puissance psychique de Cezar.

III. Les espions du Pentagone avec des satellites

Un satellite géodésique d'espionnage du Pentagone, basé sur la technologie bionique et les définitions de formes, a découvert en 2002 une singularité distincte dans une région spécifique des montagnes Bucegi. L'espace vide à l'intérieur de la montagne n'avait pas de correspondance avec l'extérieur, et semblait avoir été sculpté de l'intérieur, par des êtres intelligents. Ce n'était certainement pas une grotte.

bucegi-tunnel.png

Le scan par satellite de la montagne a révélé deux grands blocs énergétiques. Ces obstacles ont été fabriqués avec de l'énergie artificielle. Le premier était comme un mur énergique, bloquant l'accès au tunnel, tandis que le second était en forme de dôme (ou hémisphère), et était situé à l'extrémité opposée du tunnel, près du centre de la montagne.

Massini était sûr qu'à l'intérieur du dôme, ils allaient découvrir quelque chose de très important.

Lire la suite ci-dessous :

Dans OVNI/UFO
1966 dexter michigan usa march 24 ovni ufo

OVNIs : atterrissage avec traces vers Lens le 31-12-1973

Par Le 09/11/2014

OVNIs : atterrissage avec traces vers Lens le 31-12-1973

Ovni hulluch 31 12 1973 photoHulluch-31-12-1973

Je continue avec la publication d'affaires OVNIs intéressantes qui se sont produites durant la grande vague de témoignages en France (et dans le monde) durant les années 1973 à 1975. Vous avez peut-être lu mon propre témoignage, qui concerne une sphère lumineuse blanche à peu de distance, survenue plutôt vers 1969 d'après ma mémoire, mais on a pu déjà voir que les formes prises par ces objets non identifiés (qui volent souvent, il est vrai, mais pas toujours, puisqu'on en a vu sur le sol et aussi sur/dans l'eau) sont très diverses, y compris en ce qui concerne les témoignages très anciens et historiques - je suis d'accord personnellement avec certains auteurs qui pensent que, rien que dans la Bible et des textes sacrés similaires, il est exactement question de ce type de témoignages. Mais je ne saurais prendre une décision ferme sur leur origine réelle, tant le phénomène semble être "intégré" dans l'histoire de notre planète, et depuis longtemps, voir toujours (y compris dans le monde animal selon beaucoup de témoignages...)... mes diverses expériences, bien réelles même si peu de gens seraient enclins à y croire - et je ne peux le leur reprocher, sauf d'être aveugles devant tant de coïncidences prouvables - m'amènent plutôt à considérer le phénomène OVNI très proche de ce que les physiciens appelleraient un monde "parallèle" ou "dimensionnel", c'est à dire un phénomène pouvant intervenir dans notre univers matériel en 3 dimensions... sans pour autant en faire partie obligatoirement. Je suppose que les religieux appellent ça "le monde éthérique de Dieu ou des Anges" et que pour les médiums ou spirites, chamans, il s'agit "du monde des fantômes, des entités ou des ancêtres"... je pense qu'ils parlent tous de la même chose avec des "étiquettes" différentes... et, également à mon avis, la simple hypothèse "extra-terrestre" (ou même d'ailleurs "intra-terrestre" pour n'oublier personne !) est contenue dans ces appellations diverses, car une civilisation évoluée (comme la nôtre devrait l'être un jour si elle ne s'auto-détruit pas avant) fait, à mon sens, tôt ou tard sa propre incursion (pour se déplacer sur d'énormes distances, entre autres, tout simplement) dans un tel univers dimensionnel... autre que le nôtre. D'autant plus que, comme l'a dit l'astronome Hynek, de telles civilisations (nées ou non dans notre propre univers) sont en avance sur l'ensemble des panels scientifiques et spirituels que nous connaissons (et d'autres que nous ne connaissons même pas)... et peuvent donc posséder une durée de vie, d'existence matérielle, qui peuvent s'étaler sur des milliers d'années (sans parler d'immortalité... quoique - les Textes des Hébreux nous parlent bien d'une entité se faisant appeler l'Eternel, toujours visiblement accompagné de "nuées"... un indice ? !)... 

Mais revenons à cette affaire étonnante, avec empreintes et près d'une aérodrome de surcroît, qui est arrivée à une personne réputée très sérieuse d'ailleurs :

" Il est courant d'admettre, dans les milieux des "soucoupistes" que les OVNI sont particulièrement attirés par les aérodromes. On ne compte plus les observations d'engins inconnus enregistrés sur les radars des bases aériennes et l'on va jusqu'à parler, sous le sceau du secret, d'atterrissages sur des terrains d'aviation : une escadrille de cinq soucoupes aurait atterri à Edward Air Force, une base des USA ; une autre soucoupe se serait posée sur une base américaine d'hélicoptères.

Il existe par bonheur, des observations plus précises qui démontrent la prédilection des OVNI pour les aérodromes.

Un matin de mai 1967, Marcel Bretin, un ouvrier agricole, relève dans un champ de trèfle, sur la commune de Marlieux (YH : après enquête, il s'agit d'une erreur - ce n'est pas Marlieux dans l'Ain qu'il faut lire mais bien Marliens en Côte d'Or...), des traces suspectes. La végétation semble avoir brûlé sur plus de 30m². Au centre de cette plaque dénudée, on distingue une cuvette d'un mètre de diamètre. De là partent six sillons. Sur chacun d' eux, on remarque un trou profond de 15 à 40 cm. Ces trous ressemblent à ceux qu'aurait laissés un gigantesque trépied. Or, ils n'ont pu être creusés que par l'atterrissage d'un engin et qui plus est, d'un engin inconnu. C'est à cette déduction qu'arriveront Emile Maillotte,  (YH : ou Camille suivant les versions - voir les liens plus bas sur cette affaire !), propriétaire du champs et maire du village, puis les gendarmes de Genlis et surtout les policiers de l'Air de la base aérienne de Longevie, près de Dijon ; car l'éarodrome militaire de Dijon est tout proche de ce champs où s'est produit l'atterrissage clandestin. Pourtant, malgré la vitrification du sol et l'absence de toutes traces dans le trèfle qu'aurait immanquablement laissées un véhicule sur roue venant des routes voisines, les irréductibles continuent à douter.

Or, les empreintes que vient de laisser un OVNI dans le sol du nord de la France, à proximité de l'aéroport de Lens (Pas-de-Calais), et l'observation faite par un témoin, risquent de venir à bout de leur septicisme. Ces traces, elles viennent à peine de s'effacer, puisque l'affaire s'est déroulée le 31 décembre 1973...

Ce matin-là, vers 7 heures, Jean Liefooghe, l'épicier de Haisnes, roule vers Lens au volant de sa 404 commerciale.

La Nationale qu'il emprunte est en ligne droite. La visibilité est bonne. Soudain, en arrivant sur le territoire de Hulluch, l'épicier aperçoit deux phares immobiles sur la droite de la route. Instinctivement, il freine au moment où il ressent l'impression que ces deux globes lumineux viennent à sa rencontre.

" J'ai alors supposé qu'il s'agissait d'une auto, nous a-t-il déclaré. Mais soudain, à une vitesse fantastique, les deux lumières traversèrent la route devant moi. J'ai cru que le véhicule avait emprunté une route sur ma gauche. Mais j'ai eu beau ralentir et écarquiller les yeux, il n'y avait plus rien à l'horizon. "

A peine remis de son étonnement, Jean Liefooghe poursuit sa route. Il ne va guère plus loin.

" Je n'avais pas fait 200 mètres, raconte-t-il, que j'ai aperçu sur ma gauche, dans un champ, une énorme lueur. Stupéfait, j'ai stoppé, sans toutefois couper mon moteur. C'est à ce moment que j'ai nettement distingué les contours de cette source lumineuse. C'était une sorte d'énorme cigare, posé sur le sol à la verticale. Il pouvait mesurer 30 mètres de haut et 4 ou 5 mètres de diamètre. Je me suis d'abord cru frappé d'hallucination, puis j'ai pensé qu'il pouvait s'agir des lumières d'un grand magasin situé dans ces parages et que je n'aurais jamais remarquées ; mais tout à coup, l'engin s'est embrasé comme s'il crachait, tout autour de lui, des flammes rouges ou orange. Puis, sans aucun bruit, il a basculé sur lui-même et s'est élevé vers le ciel à une vitesse fantastique. Il a très vite disparu... "

Contrairement à ce qui se produit couramment lorsqu'une auto se trouve à proximité d'un OVNI, le moteur de la 404 n'accusa pas la moindre défaillance.

" Quant à moi, poursuit l'épicier, tout au long de la route, je me demandais si je n'avais pas rêvé. Aussi, sur le chemin du retour, je me suis arrêté à la hauteur de l'endroit où j'avais vu le cigare."

Après s'être avancé d'environ 300 mètres dans un champ, il relève d'abord des empreintes de pas.

" Elles ressemblaient à celles du pied d'un enfant de dix ans, mais dont la plante était moins large que celle d'un pied humain. Plus loin, à l'emplacement de l'engin, j'ai relevé 3 trous d'environ 10 cm de diamètre. Ils formaient entre eux un triangle. "

Les gendarmes de Pont à Vendin, prévenus par le témoin, vinrent aussitôt relever ces traces avec soin (YH : soit environ 3 heures après l'observation d'après d'autres rapports). Le plus grand côté du triangle formé par les trois trous mesure 8,80 m ; les deux autres, 4,10 m. (voir photo - mais il y est marqué 4,70m).

" Les empreintes correspondaient en tous points aux descriptions que nous en avaient faites M. Liefooghe, nous ont-ils déclaré. Elles étaient gelées et par conséquent assez nettes. Mais, si nous sommes tenus d'enquêter lorsqu'on nous signale des observations de ce genre, nous devons nous garder d'en tirer la moindre déduction. "

" Quant à moi, m'a dit Jean Liefooghe, je suis persuadé qu'il y avait deux appareils, un qui était en patrouille, et l'engin-mère qui l'attendait pour décoller. "

C'est une hypothèse profondément plausible. Elle est de plus émise par un témoin intelligent et sérieux. Car l'épicier de Haisnes est, aux yeux de tous ses compatriotes, un homme fort sensé et de plus équilibré.

" Moi, m'a dit Arlette Liefooghe, je n'ai eu qu'à regarder les yeux de mon mari quand il est rentré de Lens ce matin-là, pour acquérir la certitude qu'il avait bien contemplé quelque chose d'anormal. En effet, ses yeux pleuraient et ses paupières étaient cerclées de rouge, comme s'il était atteint de conjonctivite. "

On allait bientôt relever un autre indice qui prouvait que l'épicier n'a ni rêvé, ni menti : des spécialistes de la recherche des OVNI (du CFRU de Lille), à l'aide d'appareils spéciaux devaient relever "la présence d'ions" dans les trous qui avaient très probablement été creusés par le train d'atterrissage de l'engin. Pour toutes ces raisons, l'atterrissage de Hulluch, vient d'apporter de nouvelles et solides preuves de l'existence des OVNI.

Yves Herbo Archives, Article de journal inconnu de début 1974 (Nord-Matin, La Voix du Nord ? Lumières Dans la Nuit ?)...

Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.

Ovni hulluch 31 12 1973

 

 

 

Dans la presse : 

1973, 31 décembre FRANCE,
Haisnes - Hulluch "La Tonne de Goudron" (Pas de Calais) Le commerçant Liefooghe à 6 h du matin, sur un trajet qu'il fait chaque jour ouvrable, voit posé dans un champ, à 100 m: une fusée de 30 à 50 m de haut. A son arrivée elle a basculé, a irradié du rouge-orange vers le blanc et a disparu dans le ciel à une vitesse incroyable. Gendarmerie alertée et traces au sol constatées.
(J.C. BOURRET: "La nouvelle vague des S.V." - France Empire 1975, p.78 à 82)
... le témoin prévint la gendarmerie qui, moins de 3 heures plus tard, était sur les lieux. Elle découvrit, non seulement, des traces nettes laissées par le cigare, mais aussi des empreintes de petits pieds qui mesuraient 17 cm de long.
(Erich ZUCHER: "Les apparitions d'humanoïdes" - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 105)
Vers 7 heures, par temps couvert et brumeux, M. Liefooghe voit devant lui la forme d'une voiture DS Citroën, avec deux phares jaune-orangé dirigés vers lui. Il trouve curieux qu'une voiture soit garée en contresens, mais continue d'avancer à vitesse moyenne. A 50 m du lieu de stationnement de "la chose" il voit soudain un engin qui quitte le bas-côté de la route et parvenu au milieu de la chaussée, effectue une sorte de demi-tour. Cette "voiture" ne possède pas de feux arrière ni de réflecteurs. 400 m plus loin il voit une lueur orangée devant lui sur la gauche. Il voit alors un cigare de grande dimension posé dans un champ à 100 m de lui. Aucune superstructure n'est visible (!). Rapidement la luminosité du cigare augmente d'intensité, il s'incline rapidement à 20* degrés sur son axe propre. La luminosité est à ce moment si forte qu'elle estompe partiellement les contours jusque là nets. Les champs alentour sont éclairés par une lumière jaune-orangé et le témoin y voit comme en plein jour. L'illumination ne varie pas pendant l'ascension de l'objet, mais elle cesse brusquement au bouts de quelques instants. Traces au sol: empreintes de l'engin et traces de petits pieds.

(M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 435, 436) (Charles GARREAU : "Alerte dans le ciel : le dossier des enlèvements" éd. Alain Lefeuvre 1981, p.253, qui dit «29 décembre»)

2 janvier 1974 Haisnes-lés-la-Bassée Pas de Calais france
Journal « Var-Matin République ».

Encore des « soucoupes volantes.
Un commerçant d'Haisnes-lés-la-Bassée (Pas de Calais), M. Jean Liefooghe, affirme avoir vu lundi une soucoupe volante.
« Je roulais, a-t-il expliqué ; en direction de Lens, quand, dans la traversée d'Hulluch (Pas de Calais) sur ma gauche, à 500 mètres environ, j'ai perçu des appels de phares intermittents dans l'obscurité.
Alors que je me trouvais à deux cent mètres environ j'ai vu une sorte de fusée en forme de cigare, haute de dix mètre environ, disparaître à une grande vitesse et sans bruit vers l'ouest en laissant durant dix secondes un sillage de couleur orange derrière elle. »
A son retour de Lens, le commerçant s'arrête sur les lieux mêmes de cette inquiétante apparition et remarque sur le sol d'un champ non labouré, des empreintes de pas et surtout les traces de support d'un engin tripode.
Les gendarmes ont relevé des traces de pieds de petite pointure, et surtout, trois marques assez profondes dans le sol délimitant un triangle rectangle de 8,80 m de base et 4,70 m de côté. Mais ils n'ont trouvé aucune trace de combustion.
(VMR du 02 janvier 1974)

http://ufo-logic.xooit.com/t129-ARCHIVES-DE-PRESSE.htm

Yves Herbo : je possède aussi le livre de Charles Garreau et Raymond Lavier "Face aux extra-terrestres - 200 témoignages d'atterrissages"- avec la carte de France les montrant tous, et ce cas en fait partie, pages 128 à 130.

Voici le texte des pages en question, extrait du livre, quelques infos supplémentaires :

Hulluch (Pas-de-Calais), le 31-12-1973, vers 7 heures. Références : Coupures de presse, dossiers personnels.

Un épicier de Haisnes, Jean Liefooghe, âgé de trente-six ans, se rend au marché de Lens, au volant de sa 404 commerciale. Il roule sur la RN 347. Il fait encore nuit, mais la visibilité est bonne : ni brume ni brouillard. Jean Liefooghe n'est plus qu'à quelques centaines de mètres de l'aérodrome de Lens-Bénifontaine lorsqu'il fait une première rencontre insolite :

" J'ai aperçu en face de moi ce qui m'a semblé être les deux phares d'une automobile en stationnement sur le bas-côté droit de la route. Ca m'a un peu étonné qu'une voiture soit arrêtée en sens contraire de la circulation. Mais, comme j'en arrivais à une centaine de mètres - je roulais à environ 70 kilomètres à l'heure - cette chose a brusquement démarré, traversé la route comme en effectuant un virage et a soudain disparu, comme volatilisée. J'en écarquillais encore les yeux quand, 200 mètres plus loin, et sur ma gauche cette fois, une énorme lueur est apparue dans un champ. Alors, là, j'ai stoppé, mais sans arrêter mon moteur. J'ai baissé la vitre de ma portière pour mieux voir. J'ai distingué très nettement les contours de cette source lumineuse : un énorme " cigare " posé verticalement. Une trentaine de mètres de haut et une dizaine de mètres de diamètre dans sa partie la plus renflée. J'en avais le souffle coupé. Tout à coup, l'engin a paru s'embraser. Une lumière intense, orangée, l'a enveloppé. Sans aucun bruit, il s'est incliné. J'ai cru qu'il allait s'effondrer au sol. Mais après s'être penché d'une vingtaine de degrés, il a décollé et s'est élevé vers le ciel à une vitesse de plus en plus élevée. "

Jean Liefooghe, qui commence à ressentir de forts picotements aux yeux, va faire son marché. Mais, ce matin-là, il n'a pas la tête à ses achats : " Je ne pensais qu'à ce truc que j'avais vu s'envoler. C'est pourquoi, au retour, je me suis arrêté à l'endroit où je me trouvais lors de mon observation. J'ai garé ma voiture dans un petit chemin, et je me suis mis à rechercher systématiquement des traces, en quadrillant le terrain. J'ai ainsi avancé d'environ 300 mètres à travers champs. Et je suis tombé sur des empreintes de pas. Toutes drôles. De la taille des chaussures d'un enfant de dix ans. Mais avec une plante des pieds extrêmement étroite. Ces empreintes venaient de nulle part. Elles apparaissaient brusquement sur le sol, et disparaissaient de même. J'ai poursuivi mes investigations, en progressant dans la direction où j'avais vu l'engin. Au bout d'un quart d'heure, j'ai découvert trois trous d'environ 10 centimètres de diamètre. Ils formaient un triangle. Les gendarmes sont venus prendre des mesures. Ils ont trouvé que le plus grand côté du triangle avait 8,80 m de long, les deux petits côtés 4,10 m. "

Pour expliquer les deux observations successives, Jean Liefooghe avance une hypothèse : 

" ce que j'ai vu en premier était peut-être un petit engin de reconnaissance, qui s'est empressé de rejoindre le gros cigare, qui l'attendait pour décoller. " Une explication qui a le mérite de "coller" avec les faits.

Quant à Jean Liefooghe, il a soufert pendant plusieurs jours d'une conjonctivite. Comme bien d'autres témoins de telles observations.

1965 ovni ufo buenos aires argentina july 171966 dexter michigan usa march 24 ovni ufo

17-07-1965 Buenos Aires, Argentine - 24-03-1966 Dexter Michigan USA - des cigares assez semblables de celui décrit à Hulluch-Lens en 1973 ?

MAJ du 09-11-2014 : Retrouvé dans mes archives, un autre document parue dans le magazine minier du Nord-Pas-de-Calais Relais de février 1974 et parlant de cet atterrissage à Hulluch/Lens le 31-12-1973, avec d'autres photos et schémas, le voici scanné, cliquer sur la photo pour mieux lire :

Hulluch relais 31 12 73 b

Le cas cité en premier de mai 1967 à Marliens, enquête :

Un jour de la 1ère semaine de mai 1967, au lieu-dit "Le Champ Terraillot", près de Marliens (Côte d'Or, près de Dijon,France), entre 550 et 800 m de la route Genlis-Longecourt, Camille Maillotte Phénomènes Spatiaux n° 13, p. 13 Lagarde, F. "Traces à Marliens", Mystérieuses soucoupes volantes, pp. 75-76 découvre dans un champ de trèfle appartenant à son père (Emile Maillotte, cultivateur, maire de Marliens) une trace étrange de 30 menviron. Aucun ovni n'a été observé. Vallée 1969, 179 - YH : on note ici que le découvreur n'est pas le même que dans l'article de journal en ma possession (Marcel Bretin cité).

Dans la soirée du 6 mai, après avoir déblayé des mottes de terre, on découvre d'étranges empreintes d'autant plus intriguantes qu'aucune trace de véhicule n'est visible alentour.

Vers l'est, une fissure reconnue naturelle par les géologues de l'Institut agronomique de Dijon, qui existait antérieurement aux traces, pénètre de 10 m dans un champ d'orge à proximité.

La cuvette


Dans la cuvette, on trouve des silex brisés, des vers de terre écrasés et quelques feuilles de trèfle séchées. Des racines semblent végéter encore.
Au centre, une dépression très nette de 1,30 m de diamètre, qui semble avoir subi une forte pression : la terre y est dure, tassée Il faudra utiliser un marteau pour en extraire un échantillon, comme déshydratée. En son milieu on relève la présence d'un trou de 40 cm de diamètre, profond de 30 cm. Il est traversé sur 85 cm selon un axe est-ouest par une empreinte cylindrique de 12 cm de diamètre et profonde de 10 cm, coudée en son centre.

Les sillons

De la cuvette centrale partent 6 boursouflures de terrain qui, une fois ouvertes rèvelent des sillons creusés en demi-lune, aux parois dures mais moins que celles de l'empreinte centrale, dans lesquels la terre éclatée superficiellement était retombée. Autour, l'herbe, le trèfle et l'orge du champ avoisinant ne semblent pas avoir souffert du feu ou de la chaleur. Cependant toute trace d'humidité à disparu dans un rayon de 8 m. Chaque sillon est de longueur variable, d'une largeur moyenne de 12 cm et d'une profondeur moyenne de 25 cm. Leurs parois sont recouvertes d'une poudre gris-mauve.

Les trous

 

Marliens planche76

Schéma décrivant les trous présents dans les sillons


Dans presque chaque sillon (il y a 1 grand sillon où on en trouve 2, et 2 petits sillon qui s'en partagent 1 seul) on trouve un trou quasi-cylindrique (légèrement conique) de 12 cm de diamètre, à la profondeur variable (de 15 à 40 cm). Au fond de chacun d'entre eux partent 2 autres trous plus petits (4 cm de diamètre), inclinés à 45 °, aux profondeurs également variables (20 cm à 1 m). Chacun de ces trous s'arrête sur une pierre plate, recouverte de la même poudre gris-mauve.

Marliens

Vue d'ensemble de l'empreinte, présentant le trou central, les différents sillons, et les trous qui s'y trouvent Procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis

Enquêtes

 

Un enquêteur du CSERU arrive sur les lieux. Par la suite le 10, la brigade de gendarmerie de Genlis (à 5 km de Marliens) est avisée et vient faire des relevés. Arrive l'adjudant Geslain, commandant de la brigade, accompagné des gendarmes Journaux, Mercier et Guilbert. Ils ne relèvent aucune trace de véhicule ni de pas. Aucune radioactivité n'est détectée.

La poudre

 

Marliens poudre

L'analyse de la poudre gris-mauve, confiée au laboratoire municipal de Paris, conclut à la présence d'un oxyde réfractaire, silice ou aluminium, qui aurait subit une fusion partielle. Il semble en fait qu'il s'agisse de petits cristaux de silice, genre quartz, dont les arêtes sont arrondies, ce qui fait effectivement penser à un début de fusion (qui aurait nécessité une température minimale de 1500 °C). Une analyse par la faculté des Sciences de Dijon, par spectrographie aux rayons X, arrive aux mêmes conclusions.

Détection radar... trop tard

 

Le 11, M. Bois (ingénieur de la navigation aérienne, chef de la division D5 de la direction de la région aéronautique nord) appelle Charles Garreau pour lui demander de lui communiquer des renseignements sur les traces d'un ovni observé dans la région de Genlis, un écho non-identifié ayant été détecté par le radar militaire de CreilGarreau en déduit que l'objet détecté est l'ovni ayant laissé la trace de Marliens, dont il date l'atterrissage au 10 mai - Garreau, C. Soucoupes volantes, 25 ans d'enquêtes, pp. 28 et 34. Cette date est cependant en contradiction avec les enquêtes de Roger Mignot Ouranos n° 33, pp. 3-5 qui rapporte la date de découverte du 5 mai, confirmée par l'enquête de la SVEPS Approche n° 12, pp. 6 à 10 (documents photographiques fournis par l'enquêteur du CSERU qui a pu se trouver sur les lieux avant l'arrivée de la gendarmerie) et surtout avec l'arrivée de la gendarmerie ce même 10 mai pour examiner les traces.

L'affaire commence à être traitée par la presse le 12 mai France Soir, 12 mai 1967Cercles, JeanLa Nouvelle République, 12 mai 1967 Le cas est rapporté la même année dans la FSR.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une poudre laissée par la foudre à Huntsville, semblable à celle de Marliens Lamb, Daniel: "Lightning+Sand=Glass... Fact or Fiction???"


 

Explication ?

 

L'ensemble des éléments amène à expliquer la trace par la foudre, d'autant qu'un orage a effectivement frappé la région le 5 mai. Mais Camille Maillotte déclare se souvenir avoir découvert la trace avant l'orage du 5 mai. On s'étonne aussi que la végétation environnante ne comporte pas de trace de brûlures, pas plus que le sol, comme le confirmera le commandant Gerlach, directeur départemental de la lutte contre l'incendie.

En 1968 le rapport Condon cite le cas Craig, R. "Parts of UFOs, or UFO Equipment" in "Direct Physical Evidence", Scientific Study of Unidentified Flying Objects, 1969. En 1971 le capitaine Kervendal cite également ce cas, avec l'autre cas de trace de Valensole, comme significatif d'un problème réel et sérieux.

Figuet, M. et Ruchon, Jean-LouisOVNI: Le 1er dossier des rencontres rapprochées en France, Connaissance de l'étrange, Alain Lefeuvre, 1979, pp. 269-271 Vachon, PatriceMarliens, mai 1967 - Les dossiers du CNEGU, HS, 63 pp.

Marliens ovni 1967

Documents originaux du procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis
 
 
 
 
Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 31-10-2014, 09-11-2014
 
Dans OVNI/UFO
Ovni 07 11 2013

Un OVNI très rapide bouscule un nuage

Par Le 08/11/2014

Un OVNI très rapide "bouscule" un nuage

Ovni 07 11 2013 mini

Cette vidéo, apparue le 07-11-2013 sur la toile, n'est pas truquée à priori et montre un disque inconnu traversant et déformant de part sa vitesse un nuage... le caméraman était proche d'un aéroport et filmait l'approche d'un avion quand il a pu filmer cette scène. Regardez bien le nuage à droite de l'avion, il bouge tout seul d'un seul coup... Un coup de chance extraordinaire quand on voit la rapidité de l'objet, à peine visible à l'oeil nu, il n'a dû s'en rendre compte qu'en visualisant plus tard ses tournages... on ne remarque en fait que le nuage qui se déforme au passage rapide de cet engin. Des ralentis et entourages pour bien montrer l'objet sont effectués dans la suite de la vidéo... 

Drone ou engin provenant d'un monde parallèle, extra-terrestre ou du futur ? La vitesse constatée n'est pas sans rapeller une autre vidéo prise près d'un autre aéroport... voir ci-dessous :

Preuve ou non ? Toujours difficile bien sûr de décider, c'est à vous bien sûr, comme toujours, de décider et d'avoir votre propre opinion...

Yves Herbo, Sciences, F. H, 08-11-2014

Earth nightlights 2012

Archéologie, Anthropologie et Communication Interstellaire 5

Par Le 07/11/2014

Archéologie, Anthropologie et Communication Interstellaire Part 5

 

Pulsarx

Partie 1 ici

Partie 2 ici

Partie 3 ici

Partie 4 ici

Reconstruire les civilisations lointaines et rencontrer des cultures étrangères extra-terrestres par Douglas A. Vakoch - NASA - (Extraits choisis traduits) : Partie 5

Chapitre 8

Anthropologie à distance
SETI et la production de connaissances dans la rencontre avec un Extraterrestre Différent
par John W. Traphagan

Pendant une bonne partie de son histoire, l'anthropologie a explicitement porté son regard intellectuel sur la compréhension des autres, apparemment "Etrangers" (alien), dont les langues, les croyances, les modes de vie et les structures sociales ont été considérés comme éloignés des sociétés de l'industrie de l'Ouest - l'Angleterre, la France, l'Allemagne et les États-Unis, où la discipline s'est développée. Dans les années de l'invention de l'anthropologie, les ethnographes n'ont pas eu normalement la capacité d'être en contact direct avec les autres personnes qui ont fait l'objet de leurs études. En effet, les premiers anthropologues "fauteuil" du 19ème siècle, tels que James Frazer, EB Tylor, et Lewis Henry Morgan (bien que Morgan effectuera aussi une certaine collecte directe de données chez les Iroquois en plus du fauteuil comme variété de la recherche), ont travaillé dans des conditions pas tout à fait différentes de ceux des chercheurs du SETI aujourd'hui; les limitations de la technologie (en particulier les transports et technologies de communications) ont considérablement limité les types d'interaction accessibles aux chercheurs en sciences sociales, intéressés à communiquer et à comprendre un autre (être) lointain. La communication a été lente, nécessitant des semaines ou des mois pour les anthropologues aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, pour demander et recevoir des informations de personnes (souvent des missionnaires religieux) vivant dans des endroits éloignés alors. Lorsque les données ont été finalement reçues, telles que les données de parenté recueillies par Morgan au milieu du 19e siècle de nombreuses parties du monde, l'interprétation était fondée en grande partie sur les cadres théoriques et les hypothèses qui avaient décidément une teinte spécifiquement occidentale, le darwinisme social et l'évolution culturelle d'une variété de Spenceristes, avec leurs fondements théologicaux ouvertement associés à des progrès. Ces cadres et hypothèses étaient difficiles à tester en utilisant les méthodes de contact direct et l'observation participante qui deviendront plus tard la fondation de la recherche ethnographique.

Bien que le style de l'anthropologie fauteuil du 19ème siècle a été remplacé par une enquête ethnographique au début du 20e siècle, les instances de l'anthropologie à distance ont continué à se produire, avec la tentative la plus notable étant celle de Ruth Benedict de développer une compréhension de l'apparence - aux yeux américains - des extrêmement étrangers japonais pendant la Seconde Guerre mondiale, menée sous les auspices du gouvernement américain et publiée en 1946 comme le Chrysanthème et le Sabre.

Dans ce chapitre, j'explore une voie par laquelle l'anthropologie et, plus particulièrement, la sous-discipline de l'anthropologie culturelle ou sociale peut contribuer à la recherche SETI. Michael AG Michaud a noté que les sciences sociales sont un domaine de la recherche intellectuelle qui n'a pas été suffisamment exploité en référence à SETI. Ici, je voudrais suggérer que l'un des moyens les plus puissants des sciences sociales en général et de l'anthropologie en particulier, peuvent contribuer à SETI est par l'analogie, en utilisant une analyse de sa propre histoire de l'anthropologie du contact comme un cadre de réflexion sur le contact potentiel avec une civilisation extraterrestre. Bien qu'il soit extrêmement important de concevoir un modèle et le type de contenu du message interstellaire que nous pourrions construire, il est tout aussi important de considérer le contexte de l'interprétation dans lequel un tel message sera transmis et interprété, ainsi que la façon dont toute réponse pourrait être interprétée par les scientifiques et les autres sur la planète Terre. Plutôt qu'un simple un acte de découverte, le premier contact avec toute intelligence extraterrestre permettra également de créer un nouveau contexte dans lequel la connaissance est générée et comprise. Le contexte de premier contact sera formé sur la base de données très limitées et, inévitablement, interprétées à travers le prisme de nos propres cultures et des cadres théoriques qui sont en vogue parmi les intellectuels et autres au contact à ce moment.

D'abord pour expliquer ce point, je vais considérer le type de «l'anthropologie à une distance" évidente au début et, dans une moindre mesure, à un âge moyen de la discipline, en se concentrant sur le travail de Ruth Benedict pendant la Seconde Guerre mondiale comme un exemple de la façon dont l'interaction complexe entre les hypothèses, les données et les interprétations erronées peuvent parvenir à établir une connaissance reconnue et la compréhension d'une civilisation extraterrestre. Le point central de ce chapitre est que le Japon, en tant que culture et civilisation, n'a pas été simplement révélé par Benedict; c'était à bien des égards créé à partir de cette interaction, au moins autant que le point de vue américain est concerné (et, bien que pas particulièrement pertinent dans cet article, dans une certaine mesure, le point de vue japonais aussi). Je ferai valoir que le premier contact et interaction ultérieure entre les extraterrestres et les humains (y compris les chercheurs de SETI, des politiciens, des universitaires à l'extérieur du SETI, et le grand public) impliquera une production similaire de la connaissance de l'autre étranger. La conscience de ce risque et la capacité de penser par réflexe sur notre propre rôle dans la construction d'une culture étrangère, en particulier lorsque de grandes distances et des retards sont insurmontables avec la technologie actuelle, sont d'une importance fondamentale pour réduire le risque de malentendus et de mauvaises interprétations.

Ruth Benedict et l'invention de la culture japonaise

L'anthropologue Marvin Harris a noté que les débuts de l'anthropologie se trouvent dans l'inspiration des sciences naturelles et de la méthode scientifique. Lors de la fondation de l'anthropologie il y a eu une hypothèse disant que les processus socioculturels sont régis par des «principes légitimes» qui peuvent être compris en termes de causalité et qui sont détectables par un observateur. Les premières formulations sur la culture sont nées de la recherche de chercheurs qui ont vu des cultures distinctes comme des entités relativement bornées, et ils ont postulé la culture comme largement déterministe, façonnant fondamentalement les comportements et les habitudes des personnes habitant un contexte particulier. Beaucoup de travail récent tend à voir la culture comme fluide avec des limites très perméables (si on peut vraiment penser en termes de frontières sur tout), le conceptualise comme un processus d'invention dans lequel notamment les «cultures» découlent d'une dialectique intersubjective entre l'individu et son environnement social, l'anthropologue n'est pas éloigné de ce processus, mais, au contraire, peut prendre une part active dans l'invention d'une culture particulière, comprise comme une catégorie d'analyse ainsi que dans un encadrement populaire d'un groupe social particulier par la traduction, l'interprétation et en écrivant sur ce qu'il observe, ainsi que par l'interaction quotidienne associée à l'activité de terrain.

Nulle part, peut-être, se trouve la question la plus évidente de l'anthropologue lui-même comme instrument de recherche que dans les études que Ruth Benedict a mené pendant la Seconde Guerre mondiale sur la culture japonaise. Pour commencer, le travail de Benedict est, si ce n'est pas exactement de l'anthropologie dans un fauteuil, une expression des derniers jours dit «l'anthropologie à distance». Comme la plupart des anthropologues et autres chercheurs qui travaillent sur le Japon le savent, Benedict a reçu une commande au début des années 1940 par le gouvernement des Etats-Unis pour fournir un rapport qui pourrait expliquer le comportement japonais et pourrait donc être utilisé pour prédire les réponses de l'ennemi au cours de ce qui était, en 1944, l'Invasion anticipée du Japon. En d'autres termes, son travail consistait à être un guide explicatif du projet d'ingénierie sociale qui allait devenir l'occupation du Japon.

Considérablement moins connu du grand public, et même auprès de certains chercheurs ayant des intérêts dans la culture japonaise, est de savoir comment la recherche de Benedict a été faite. Tout d'abord, Benedict n'a pas procédé à une étude de la culture ou de la société japonaise à travers des méthodes ethnographiques traditionnelles de l'observation participante; à la place, en raison de la guerre, elle a été forcée de se tourner vers ce qui semblait être la meilleure chose - les Américains d'origine japonaise qui ont été internés dans des camps d'internement dans le désert du sud-ouest. Évidemment, avec le recul, ceci devrait soulever des drapeaux rouges sur l'étude de Benedict. Comme Eiko Ikegami l'a récemment souligné, les sujets de recherche de Benedict, face à une figure d'autorité représentant le même gouvernement qui les avait enlevés de leurs maisons et les avait emprisonnés dans les camps, étaient «passifs et prudents dans leurs réponses à ses questions." Intéressante, cette question n'a pas été abordée par la plupart des chercheurs qui ont examiné le livre de Benedict; quelques-uns ont noté le problème, mais en général, il a été négligé ou ignoré. C'est seulement récemment que la discussion ouverte a résulté sur la façon dont la recherche de Benedict contient des conclusions erronées en partie parce que les conditions de sa collecte de données ont été limitées par son incapacité à établir un contact direct avec des personnes dans un contexte culturel japonais.

Pour mes fins ici, il est important de ne pas entrer dans les détails sur les erreurs d'interprétation et empiriques qui existent dans le chrysanthème et le sabre. Ryang note de nombreux problèmes et démontre que le développement de Benedict sur des données linguistiques du japonais n'est pas pris en charge soit par des données sociologiques ou historiques. Elle a tendance à choisir des mots de ses informateurs et de la littérature sans contexte avec les termes ou la compréhension de la façon dont ils sont utilisés par la conception japonaise, mais dans son travail, ces termes ont tendance à devenir des mots-clés pour représenter et comprendre la culture et le comportement japonais. Plus important que les erreurs spécifiques à la recherche de Benedict est le fait qu'elle adopte une approche totalisante pour représenter le Japon : des mots spécifiques, des idées ou des concepts évidents dans des sources telles que la littérature japonaise sont utilisés pour expliquer largement, souvent en un seul coup de pinceau, tout ou la plupart des éléments du comportement japonais. Dans le cadre de cette approche il y a une conséquence du cadre théorique que Benedict utilise, ainsi qu'un manque général de données empiriques détaillées sur le Japon, sur lequel fonder ses conclusions.

Alors les défauts de l'étude sont importants, un point plus saillant est que le chrysanthème et le sabre devient, comme le note Ryang, " paradigmatique, joue un rôle crucial dans les discours de l'après-guerre des sciences sociales sur le Japon " à la fois entre les études japonaises et les non-japonaises, en effet, si complète a été l'hypothèse que Benedict avait présentée avec précision la culture japonaise qu'il a été rarement noté que sa recherche n'avait pas porté sur des Japonais. Les attitudes à l'égard du Le chrysanthème et le sabre au moment de sa publication sont résumées dans une revue de 1947 écrite par John Embree, lui-même anthropologue bien connu du Japon, dans lequel il déclare : "Le Dr. Benedict, avec les mots doux d'un esprit rusé, entraîne le lecteur dans la forêt du Japon et avant qu'il le sache, elle l'a ensorcelée en lui faisant croire qu'il comprend et connaît chaque racine et branche de la culture japonaise".

Quand j'ai lu ce commentaire, je pensais que c'était peut-être sarcastique, mais tout au long de l'examen, seule la critique du livre de Benedict par Embree montre ses réelles préoccupations sur son incapacité à reconnaître que le Japon est une vieille culture tandis que les Etats-Unis en est une nouvelle, faisant elle-même plutôt une observation douteuse depuis que le Japon a subi une transformation sociale radicale dans la deuxième moitié du 19e siècle. Il poursuit en déclarant, « Le frontalier et le nomade sont plus susceptibles d'être des fanfarons individualistes que le paysan lié à un village qui doit faire face à son même voisin jour après jour... Un homme d'une ancienne culture paysanne comme les Japonais est susceptible d'être plus méticuleux dans son étiquette et le sens du devoir de réciprocité. » De l'avis de Embree, Benedict  nous a permis de gagner l'entrée dans une presque impénétrable " forêt " culturelle très différente de la nôtre, car c'était une société «paysanne» sur la base de l'organisation sociale du village (je ne suis pas tout à fait sûr de savoir où Tokyo et Osaka entrent dans cette forêt) par opposition à l'organisation sociale américaine individualistique urbaine. Et elle l'a fait tout en traitant avec des limitations considérables, qui étaient inévitables au moment de sa recherche.

Intéressant encore, dans un autre commentaire, où il compare le livre de Benedict à un livre par Andrew W. Lind sur les communautés japonaises à Hawai'i, Embree prend pour accordé l'idée que Benedict n'a, en fait, qu'explicité les modèles culturels japonais et les comportements par le biais de son étude. En effet, Benedict, en identifiant bien clairement son travail de terrain local, représente en fin de compte son travail comme si il était sur le japonais plutôt que sur le peuple japonais-américain et ses valeurs culturelles, et, ainsi qu'il ressort de l'examen de Embree et ceux des autres Chercheurs de l'époque, cette représentation a été largement incontestée, bien que John Morris dans sa revue de 1947, souligne que « dans des circonstances normales, aucun ne songerait à écrire un livre sérieux sans passer d'abord un temps considérable à observer de première main le comportement réel des personnes concernées ". Morris met rapidement ce problème de côté et salue le chrysanthème et le sabre comme « le livre contemporain le plus important jamais encore écrit sur le Japon. Ici, pour la première fois, est une tentative sérieuse pour expliquer pourquoi les Japonais se comportent comme ils le font. "

Ces exemples démontrent clairement que le chrysanthème et le sabre est devenu, comme il est indiqué ci-dessus, la pierre angulaire de l'ethnographie, et non ethnographique, le corpus de l'érudition occidentale sur le Japon, malgré son manque de données empiriques fiables. Les contemporains de Benedict ont en grande partie pris son travail à la valeur nominale et ont accepté comme une donnée l'idée qu'elle avait réalisé une étude de la culture japonaise. Les problèmes inhérents à avoir à faire de l' "anthropologie à distance " ont été négligés par les collègues de Benedict et par beaucoup de ceux qui se sont intéressés à la culture japonaise; au lieu d'être remis en question, son livre a façonné les grandes questions qui se posent et les études produites par les "Japanologistes", plus particulièrement l'accent sur la psyché japonaise ou de la personnalité (ego) qui a dominé la recherche sur le Japon dans les années 1990 et continue à présent. Depuis les années 1980, les anthropologues ont commencé à se déplacer loin de la construction de Benedict sur la culture japonaise, mais son travail a été cité des centaines de fois et continu à être cité, en particulier dans les études psychologiques interculturelles, non pas comme un livre sur les Américains d'origine japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi un livre sur les Japonais et leur essence culturelle.

Essentiellement, la publication du chrysanthème et le sabre a lancé un processus par lequel le concept occidental de la culture japonaise a été inventé. Le travail de Benedict a identifié ce qui pourrait être considéré comme directement ou indirectement les éléments de base et les valeurs fondamentales associées à la culture japonaise et la psyché japonaise pour les années à venir, et une grande partie de la recherche produite pendant cette période a supporté les conclusions de Benedict. Comme les gens lisaient et ont suivi son travail pendant d'autres recherches, l'analyse, et la publication, sur un sens de la culture japonaise et du comportement japonais étant précise et complètement représentée dans les idées basiques formulées par Benedict ont prévalu dans les communautés de chercheurs travaillant dans des domaines tels que la psychologie culturelles croisée et la communication interculturelle, ainsi que dans la communauté plus large de non chercheurs qui étaient tout simplement intéressés par le Japon. En bref, la "prise à distance" de Benedict sur le Japon est devenu le Japon lui-même, pour beaucoup, et peut-être la majorité des Américains dans la plus grande partie de la deuxième moitié du 20e siècle. Cette influence ne peut pas être surestimée: le travail de Benedict était au centre de l'approche du gouvernement américain pour la réorganisation et l'ingénierie de la société japonaise après la guerre et a été largement lu par un public Américain intéressé à comprendre l'ennemi qu'ils venaient de conquérir et donc le pays qu'ils occupaient maintenant.

Biensûr, ce qui a été créé n'était pas une véritable compréhension du Japon, si une telle compréhension de toute culture est effectivement possible. Plutôt, ce qui a été créé est une notion de la culture japonaise qui reflète les valeurs et les orientations psychologiques, en mettant l'accent sur le concept de la honte qui semblait important pour Benedict. En effet, le livre est une application des théories qu'elle a développé dans un ouvrage antérieur, les modes de culture, dans laquelle elle avait l'habitude d'idiomes psychologiques (mais pas freudiens dans leur nature) comme un moyen de créer des configurations ou des catégories de types culturels qui, à leur tour, ont été imprimées dans les esprits de ceux qui vivent dans un milieu culturel particulier. En d'autres termes, la compréhension de Benedict sur la façon dont la culture fonctionne et comment la culture doit être considérée comme une conséquence directe du contexte académique, avec son intérêt dans la psychologie, dans laquelle elle a été formée à Columbia dans les années 1920, et qui a continué à être importante à concentrer dans sa carrière développée.

Conséquences de l'anthropologie à distance pour SETI

Cette incursion dans l'histoire de l'anthropologie a une incidence directe sur la façon dont nous pourrions penser à une rencontre avec une civilisation technologique extraterrestre. Les conditions de guerre en vertu de laquelle Benedict a mené ses recherches ont éliminé la possibilité de faire une vraie ethnographie sous la forme de l'observation participante et sur le terrain à long terme. En effet, peu de données qu'elle a invoqué ont été effectivement perçus par elle; à la place, elle a emprunté des données collationnées par l'anthropologue psychologique Geoffrey Gorer sur des Américains d'origine japonaise internés dans les camps de relocalisation pendant la guerre ainsi que les données recueillies par un autre anthropologue psychologique, Weston La Barre, bien qu'elle recueille certaines données d'entrevues de ses proches.

Comme noté ci-dessus, étant donné le manque de données empiriques et les ressources scientifiques limitées disponibles sur la culture japonaise et leur comportement, ainsi que sa tendance générale à souligner (orienté psychologiquement) une théorie sur les données, Benedict a essentiellement pris le peu qu'elle avait et a travaillé dans le théorique cadre qu'elle avait développé dans son livre précédent, les modes de culture, qui catégorisait les cultures amérindiennes sur la base de traits de personnalité associés à un groupe particulier de personnes. L'étude de Benedict du Japon, de loin, a mis en mouvement une conceptualisation du Japon et du peuple japonais qui a influencé la recherche et l'élaboration des politiques liées à la société jusqu'à nos jours. Et une grande partie de ce qu'elle a écrit est avéré être une représentation / explication très simpliste de la culture japonaise ou fondamentalement inexact; mais son travail continue d'être encore influent.

Si nous nous tournons vers un peu de spéculation au sujet de notre rencontre initiale avec une intelligence extraterrestre, il est difficile d'imaginer qu'un processus analogue se produise. Les premiers scientifiques à rencontrer un signal d'une intelligence extraterrestre seraient susceptibles de recevoir une quantité limitée de données. Si nous capturons simplement un signal qui ne vise pas directement à attirer l'attention d'une civilisation étrangère (comme la nôtre), alors il peut être extrêmement difficile de développer une idée claire de ce que nous regardons. Ce n'est pas simplement une question de traduction; même si nous pouvons trouver des significations spécifiques à des constructions linguistiques qui correspondent à quelque chose dans notre propre langue, nous n'aurons pas de cadre culturel pour interpréter la façon dont ces significations sont applicables à une société étrangère. Même les mathématiques, le langage de la science, ne sont pas sans leurs propres difficultés en termes d’interprétation. Dans le cas de Benedict, qui savait qu'elle avait affaire à une autre société humaine qui avait les mêmes structures de base (bien que différentes dans leurs manifestations) que la société américaine - les systèmes liés à la religion, la parenté, le gouvernement, etc., un manque de données suffisantes et une tendance inhérente à adapter une culture étrangère dans un cadre qui fait sens pour un esprit américain ont entraîné une vision de la culture japonaise le long de lignes particulières qui ont eu beaucoup de flux.

Les choses font que, sans une compréhension d'une culture extraterrestre, l'une dérivant de données pures rigoureusement analysées - nous interpréterons ce que nous trouvons en termes de valeurs, de structures et de modèles de comportement associés à notre propre culture (cela-même est une idée problématique car il n'y a pas qu'une culture humaine sur Terre). À certains égards, nous avons déjà commencé ce processus dans notre tentative raisonnable de penser sur la nature des ETI - la notion d'une asymétrie de l'âge entre les ETI et nous-mêmes est basée sur l'hypothèse que le taux du progrès sur Terre devrait être assez standard ailleurs. Toutefois, étant donné les différences qui existent entre les cultures humaines en termes de comment nous percevons interprétons et classons notre environnement, il est raisonnable de penser qu'une société véritablement étrangère consisterait en des êtres qui font ces choses de façon contraires à celles de l'homme. Peut-être que ces différences, lorsqu'elles sont combinées avec une biologie distincte, conduisent à des taux de développement beaucoup plus rapides, ou beaucoup plus lents, que cela n'a été le cas sur Terre. La capacité de «faire» la culture d'une manière relativement uniforme entre les êtres humains, même avec toutes les différences que nous trouvons dans comment la culture est faite spécifiquement, est fortement tributaire d'un ensemble commun sur les organes des sens. Les études neurologiques ont montré que des expériences différentes et des formes de stimulation au cours du processus de développement façonnent les connexions entre les neurones et influent donc sur la construction des réseaux de neurones qui sont à la base du comportement humain et de la pensée. A quoi une "culture" ressemble lorsqu'elle est appliquée à un être avec des organes différents des sens et, éventuellement, un environnement naturel et social très différent du nôtre ?

Si le premier message que nous rencontrons se trouve être une tentative délibérée de la part d'une civilisation extraterrestre de contacter une autre espèce intelligente, alors il est raisonnable de penser qu'un tel message sera limité dans le contenu. Douglas Vakoch note que les peu de messages que les humains ont déjà envoyés dans l'espace ont été plutôt limités, et un peu déformés, en termes de représentation de notre propre civilisation, montrant principalement les côtés lumineux de l'humanité et en ignorant les problèmes sociaux tels que la guerre et la pauvreté. Même si les extraterrestres tentent de se représenter d'une manière objective eux-mêmes, tout message intentionnel que nous recevrons aura presque certainement des qualités subjectives et représentera une civilisation extraterrestre d'une manière qui va influencer la façon dont nous construisons une compréhension de leurs messages et, au-delà, de leur civilisation.

En regardant le type de communication reçu, nous, les humains, serons plus incroyants de pouvoir recevoir un message et simplement le prenons à sa valeur nominale sans spéculer sur la nature de ceux qui l'ont envoyé. Benedict, comme les anthropologues de fauteuil avant elle, était une interprète qualifiée et théoricienne de la culture et du comportement, mais avec les conditions de sa recherche sur le Japon et son manque de compréhension de la langue japonaise, il était difficile pour elle de se faire une image précise de la culture et des personnes sur lesquelles elle a écrit. En outre, ses intérêts subjectifs dans un cadre théorique particulier ont influencé sa gestion des données qu'elle a pu obtenir et l'ont amenée à organiser sa compréhension du Japon d'une manière qui corresponde à ses hypothèses sur la façon dont fonctionnent les cultures. Cela est compréhensible, surtout quand on a affaire à des données limitées. Toutefois, ce processus ne sera pas limité à quelques chercheurs et décideurs, et progressivement libéré au public.

Au lieu de cela, comme Seth Shostak le souligne, lorsque le contact se produira, la connaissance de l'événement deviendra rapidement évidente à un large public, probablement bien avant que les scientifiques du SETI soient même certains que le signal est vraiment venu d'un contact d'une intelligence extraterrestre intelligence. Cela deviendra largement connu et réfléchi par les experts des médias bien avant que les anthropologues et autres scientifiques, dont l'expertise est l'interprétation de différentes cultures, soient en mesure de comprendre et d'analyser le contenu qui pourrait exister dans un signal. En bref, l'invention d'une culture étrangère commencera presque à l'instant où le contact est fait.

Si jamais nous recevons un message d'une intelligence extraterrestre, nous serons confrontés au même problème que Benedict et les anthropologues antérieures du travail à distance ont rencontré : des données limitées. En outre, nous allons faire face au problème d'un décalage dans le temps, mais pas un décalage de plusieurs mois vécus par les anthropologues en fauteuil du 19ème siècle. Au lieu de cela, nous allons faire face à des décalages d'années, de décennies, de siècles ou de millénaires entre le message et la réponse. Si nous pensons à l'étude du Japon, qui a été si fortement influencée par le travail de Benedict, même si l'accès à de nouvelles données a été facilement disponible au cours des 60 dernières années, il est facile d'imaginer comment de longues périodes avec peu ou pas de données pourraient conduire les humains à créer une image d'une civilisation extraterrestre basée en grande partie sur nos propres théories et expectations sur la façon dont la culture et le comportement agissent. Michaud note que les scientifiques "ne doivent pas laisser la croyance ou la préférence triompher sur des preuves", mais dans le cas des extraterrestres, ce sera un défi difficile. En effet, la grande majorité de ce que nous allons "connaître" des ET, si le contact se produit, sera nos propres inventions fondées sur des données très limitées et qui seront ensuite élaborées au cours des longues périodes d'attente entre les contacts. (p141)

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