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Escroqueries dans la Gestion immobilière
Escroqueries dans la Gestion immobilière - MAJ 7
Le 1 allée des marronniers au premier plan, le 2 derrière. Il y avait des marronniers sur tous les espaces verts derrière les petites barrières.
Cet article est un appel à l'aide et à la justice. Tous ces faits sont réels et il y a de nombreuses preuves l'attestant. Nous avons eu confiance envers le système judiciaire civil français pour réaliser et contrer ces utilisations frauduleuses de lois douteuses passées à l'aide de jurisprudences ou décrets (hors Parlement) par des détenteurs douteux de pouvoirs anormaux. Nous avons eu tord. Il est évident qu'il est impossible d'avoir confiance en une justice gangrénée par la mafia et les politiques, les intérêts individuels et les fausses valeurs (l'argent et la notion de profit).
Il faut bien préciser ici que moi et ma famille ne sommes pas les seuls concernés par cette même escroquerie plus ou moins accompagnée (en fermant les yeux ?) par les administrations de deux communes parisiennes, et par la "justice". Il s'agit d'une résidence de trois tours de 10 et 11 étages (le dernier étage était à l'origine réservé à des séchoirs individuels) et ce grave problème que je dénonce aujourd'hui concerne donc plusieurs centaines de personnes (4 appartements de 3 ou 4 pièces par étage).
C'est une assez longue histoire, et complexe. Il est probable qu'une majorité d'intervenants dans ses différents volets n'ait pas fait l'effort de vraiment la comprendre et de réaliser les origines et manipulations orchestrées dans cette affaire. Je vous demande donc de la patience devant cette longue suite de faits, même devant parfois des détails à priori sans intérêt : c'est un tout et l'ensemble de ce qu'il se passe dans cette petite résidence est, j'en ai bien peur, le reflet de ce qu'il se passe très souvent au niveau de la gestion de ces parcs immobiliers gérés par des entreprises (subventionnées par l'Etat et donc aussi par les mêmes locataires, en plus !) bien souvent liées à des pratiques anti-sociales, voir mafieuses... et qui utilisent de "bonnes" lois et jurisprudences pour faire monter artificiellement (et sans arrêt) le prix du mètre carré...
Voilà donc les faits dans leur intégralité, ils sont le reflet de l'entière vérité, et je ne suis pas le seul à pouvoir en témoigner. Nous avons pu également obtenir un bon nombre de preuves et de documents évidents, qui ont été ignorés par la "justice". Tous ces preuves (avec les noms ou données identitaires cachés pour respecter les droits) sont disponibles et j'en afficherai en cours ou à la fin de cet article (qui n'a pas encore de fin d'ailleurs étant donné que le problème n'est absolument pas résolu), mais le temps pour y enlever les noms propres de gens que je ne peux citer publiquement est long. Ces documents sont en tout cas consultables chez moi (plusieurs quittances de loyers et copies de jugements prouvant mes dires sur la manipulation des juges par l'OGIF et ses défenseurs, preuve de la tentative de corruption par proposition de paiement d'équipement au noir, témoin de manœuvres douteuses et de non augmentations de certains loyers au même endroit, preuves de non mises au normes électriques et au gaz et des dégâts occasionnés par les travaux et sa vétusté dans l'appartement, preuves des accusés de réception de l'OGIF de mes recommandés auxquels ils n'ont jamais répondu... témoin direct aussi de plusieurs évènements : Mr Godron n'était pas de ma famille avant cette année 2013 (mariage cet été avec ma fille) et a été témoin dès 2002 des troubles occasionnés...). Je n'ai personnellement rien à cacher à part une protection minimum de ma vie privée.
Pour retracer l'ensemble de cette affaire, je suis obligé de partir du tout début : mon arrivée au Plessis-Robinson, avec ma femme (à l'époque) et ma fille Delphine (8 ans à l'époque) en août 1992. Contexte : je travaillais depuis 1982, comme employé puis cadre-maison, pour le compte de Thomson-CSF et différentes filiales (Airsys Bagneux, SODETEG), devenue de nos jours Thales, et comme plusieurs dizaines d'employés par an dans ce groupe, j'ai fait appel aux 1% social logements de l'entreprise Sodeteg où je m'étais fait muté en 1990, pour obtenir ce logement. Je précise tout de suite que la tâche de gestion du 1% logement était dévolue à l'époque à la secrétaire principale de notre PDG, Mme L. Le parc immobilier de Thomson-CSF était très important évidemment (énorme entreprise internationale, leader sur plusieurs marchés (armement entre autres)) et j'ai vu des petits pavillons avec jardin partir pour des ingénieurs/cadres avec plus de moyens que ma famille, bien entendu. Mon choix se portait donc sur un assez bel appartement bien clair, situé au 9ème étage d'une de ces trois tours. L'école pour Delphine n'était pas très loin et c'était un plus, ainsi que la meilleure proximité du centre Thomson/Sodeteg où je travaillais à l'époque (Clamart, La Boursidière, et Meudon la Forêt) mais c'est en fait la vue très belle en hauteur sur toute la banlieue sud-est qui a emporté le choix final, l'appartement en question étant tout de même vieux et refait qu'à moitié...
Notez qu'à l'époque (1992), ce sont des francs et non des euros...
Autre particularité importante et non sans conséquences : la résidence est coupée en deux entre deux communes, Chatenay-Malabry avec une tour et Le Plessis-Robinson avec 2 tours. Une voie privée nommée allée des marronniers, à cause à l'évidence des nombreux arbres de ce type qui en font en grande partie le tour (barrée et accessible uniquement pour aménager/déménager et pour les pompiers) fait le tour de la résidence et ne délivre que ces trois tours et cette résidence, les box. Il n'y a donc que 3 adresses possibles pour l'allée des marronniers, le 1, le 2 et le 4 (à Chatenay-Malabry la dernière).
- Lors de notre première visite, l'appartement n'était pas fini d'être rénové. Trois ou quatre ouvriers s'évertuaient alors à reboucher avec du plâtre une grosse fissure transversale dans le mur de soutien (pourtant en béton armé) de la cuisine/salon. Je m'en inquiétais auprès de Mr R., gardien de l'OGIF à l'époque, et celui-ci me rassurait en affirmant que cela ne se verrait plus et que n'importe comment, il n'y avait pas de séismes à Paris en plaisantant. Plus tard, lors de l'état des lieux, le représentant de l'Immobilière Familiale (pas d'OGIF à l'époque) mentionne bien que plusieurs pièces, tapisseries et peintures sont jugées en bon état malgré les 20 ans passés et non refaites, alors que les refaites sont mentionnées en très bon état. Une fenêtre de la chambre principale ne ferme pas mais Mr R. refuse de la mentionner en affirmant qu'elle devrait fermer en insistant (mais un collant d'emballage empêche son ouverture), que des travaux pour les fenêtres et d'autres sont prévus pour 1998 et qu'il y a une garantie décennale à respecter, etc... il mentionne juste des volets cassés à remplacer (qui ne le seront pas avant longtemps !) et un meuble-sous-évier de cuisine vieux de 20 ans mais en bon état (hum !), bien qu'il y manque des planches et un système de fermeture (qui n'a jamais été fourni)...
Pris par le réaménagement qui dure assez longtemps (assez pris aussi par mon travail à Sodeteg en pleine réorganisation), et dans la mesure où les double-rideaux que nous avions posés devant la fenêtre mal fermée me l'ont faite oublier, nous sommes encore dans quelques cartons en décembre quand il commence à faire un peu frais dans notre chambre et que je tente de fermer cette fenêtre pour de bon. J'enlève donc cette bande de scotch d'emballage endurcie et enroulée sur elle-même pour coincer le supérieur gauche de la fenêtre un peu entrouvert. Et je remarque immédiatement que c'est plutôt le bois de la fenêtre qui s'est tordu sur son pourtour supérieur gauche (infiltration d'eau ?)... et que j'ai beau essayer, il n'y a rien à faire pour refermer la fenêtre correctement... Prévenu, le gardien, Mr R., viendra innocemment vérifier la chose (mais je ne peux que supposer qu'il était au courant, d'où sa manœuvre pour que cela ne soit pas marqué dans l'état des lieux) mais se contentera de me prévenir qu'il faudrait sûrement que je patiente pour les changements de fenêtres car il a déjà prévenu son siège de plusieurs problèmes de fermetures de fenêtres et de volets, que c'était prévu (?) mais sans date précise...
Je ne me souviens plus à quelle date au juste, mais je sais avoir mentionné des choses concernant ces problèmes anormaux dans le livre des réclamations disponible alors à la loge du gardien... sans aucune réponse d'ailleurs avant le changement des fenêtres... en 2003 !... 11 ans donc avec une fenêtre de chambre principale qui ferme mal... que j'ai pu recolmater comme j'ai pu bien sûr, mais je ne peux vraiment pas dire que Mr R. ait été le gardien préféré que j'ai connu dans ma vie...
J'écris et mentionne de nombreuses anomalies dans le livre de réclamations du gardien, dont la loge est située à l'époque au 4 allée des marronniers à Chatenay, dont la grosse fissure vite réapparue et les problèmes aux volets et fenêtre... jamais eu de réponses malgré plusieurs visites au gardien représentant de l'Immobilière Familiale à l'époque... sourd et muet... J'ai téléphoné plusieurs fois à l'époque mais j'ai eu à chaque fois une interlocutrice différente qui affirmait s'en occuper... mais non. Je précise ici tout de suite que j'ai commencé à avoir des problèmes de santé peu après la coupe du monde de football et que des soucis supplémentaires personnels se sont ajoutés.
- Années 1996-1998 : la commune de Chatenay-Malabry est en faillite et les impôts locaux des habitants du 4 allée des marronniers sont augmentés à l'extrême (rediminueront par la suite, MAIS PAS LES LOYERS, pourtant obligatoirement impactés par ces hausses anormales de taxes locales...). L'immobilier enchaine puisque c'est lié et les propriétaires de logements, ainsi que tous bailleurs font monter les prix pour payer leurs propres impôts et taxes qui ont augmenté (au détriment bien sûr de ceux qui n'ont rien à faire monter pour eux à part des dettes...)
http://www.liberation.fr/libe-3-metro/1996/10/07/-_184747
- Année 1999, je suis en procédure de divorce à l'amiable d'avec ma femme et le jugement accorde la séparation : dès 1999 mon ex-femme part donc à son nouveau domicile à B et donne un avis de départ (jugement de domiciliation) au gardien représentant l'Immobilière Familiale (Mr DS à priori) comme nous l'avons toujours fait (loyer, correspondances pour le bailleur), et je reste avec ma fille à garde dans le 4 pièces. Séparation confirmée légalement en 2000.
- Pas très sûr de la date (voir avec facture retrouvée récemment) mais en 1999, nous avons été obligés de changer par nous-mêmes le système complet de fermeture d'une fenêtre d'une chambre : le système, trop vétuste, s'était brisé, et c'était en plus la fenêtre où le système de blocage des volets n'existait plus (ces derniers étaient liés par des ficelles)...
- Divorce définitif en 2001 et là j'avoue n'avoir pas fait attention si un changement de bail avait été fait entre temps ou pas : L'Immobilière Familiale a subitement disparue entre temps et aucun travaux n'a été fait contrairement aux promesses et elle n'a pas changé le bail, le prolongeant tacitement bien que mon ex-épouse ne soit plus là.
- vers 2000-2001, c'est donc l'OGIF qui reprend le relais de l'Immobilière Familiale, alors que l'état de ces immeubles et l'environnement (les grosses résidences en face avec des tours identiques sont devenues HLM...) auraient dû inciter à une destruction ou une réhabilitation vers des logements sociaux du type HLM. Surtout que la population est essentiellement composée d'employés et petits cadres d'entreprises et qu'il n'y a pas de professions libérales ou de "docteurs" implantés dans la résidence... et que le Plessis-Robinson est censé être un modèle en matière de logements sociaux puisque c'est une ville-test !... mais l'OGIF est plutôt incitée par ses intérêts situés à Chatenay-Malabry à priori car elle gère aussi l'ensemble de l'immeuble situé juste à côté, Ave de Robinson et d'autres logements dans cette ville...
A la même période, mes problèmes de santé s'accentuent et, à l'indication d'un ami assez proche (à l'époque), je vois discrètement un professeur en Belgique. Discrètement car je suis en plein divorce, que le travail a une grosse pointe (rachat/fusion d'une grosse société et déménagement !) et que ma fille est dans ses années de bac. Mais c'est une autre histoire personnelle, qui a bien sûr détourné également mon attention, temps et réactions pendant longtemps, mais qui ne concerne pas notre sujet principal.
- 2001 : La ville de Chatenay-Malabry est l'une des plus endettées de France et les choses ne peuvent qu'empirer : elle prend au fil du temps des emprunts très toxiques des banques américaines JP MORGAN, GOLDMAN SACHS et BANK OF AMERICA (entre autres) pour un montant total de 16 864 000 €, avec un surcoût de 15.67% en moyenne, remboursables avant 2026, 2029, etc... ! (2 642 000 € qui augmentent sans arrêt, les taux varient de 8.56% à 23,23% suivant les crédits !)... au même moment, les augmentations d'impôts locaux (rabaissés légèrement suite à ces emprunts) ont entraîné et entraînent toujours des augmentations de loyers par ricochet car les bailleurs et propriétaires répercutent toujours les augmentations de taxes sur les mêmes locataires (augmentations de loyers qui, je le rappelle ici, font par retour réaugmenter les impôts locaux (au bénéfice de la mairie donc et surtout de ses banquiers) puisque la valeur du mètre carré augmente automatiquement avec les loyers... regardez vos quittances d'impôts locaux, le détail indique la valeur de votre logement en mètres carrés, servant comme une base de calcul (qui augmente donc chaque année avec les augmentations automatiques de loyers au 1er janvier...). Et oui, voilà une réalité dont on ne parle surtout pas quand on parle de liberté, d'égalité, de fraternité : quand les pouvoirs affirment décréter une taxe pour tous, les propriétaires de biens et les actionnaires les font en réalité payer à leurs moutons, quand les pouvoirs autorisent les propriétaires et bailleurs à augmenter chaque année les loyers et charges automatiquement d'un côté, non seulement elle ne s'assure pas du tout que les citoyens puissent obtenir cette même augmentation (négociables éventuellement chaque année et par corporations bien séparées), mais en plus elle accorde aux plus pauvres et démunies des aides moindres que ces-mêmes augmentations aux propriétaires et bailleurs... et en plus, ces augmentations de salaires, de loyers et de taxes reviennent de toute façon en grande partie (y compris les "aides" diverses et subventions) dans les caisses de l'Etat via les TVA et taxes diversifiées de plus en plus...
Le Plessis-Robinson, curieusement et alors qu'il ne me semble pas qu'il y ait eut mention d'un besoin urgent d'argent, tombe dans les bras de la peu scrupuleuse banque de GOLDMAN SACHS en... 2001 pour un emprunt de 1 364 000 € remboursable en 2016 avec un surcoût estimé de 83 000 € à l'époque...
Preuves, regardez les emprunts toxiques (encore récemment 2010) de la commune de Chatenay-Malabry, et ceux du Plessis-Robinson en zoomant sur la carte sur la banlieue sud : http://labs.liberation.fr/maps/carte-emprunts-toxiques/#Communes-0071962
http://h16free.com/2012/12/19/19604-prets-toxique-et-incompetence-crasse-des-politiciens
Juste pour info et affirmation : ce genre de bidouilles potico-financières sur le dos du peuple sans distinction est criminel en soit et mène inévitablement à ce qui se multiplie dans une société menée par l'argent : http://www.leparisien.fr/reactions/informations/chatenay-malabry-menace-d-expulsion-il-se-retranche-chez-lui-11-07-2013-0.php
- Fin 2001 : Ma fille Delphine rencontre Mathieu Godron, jeune technicien vivant à l'époque dans les Yvelines et leur affinité fera qu'il finira par passer plus de temps chez moi, pour venir s'y installer définitivement en 2003 suite à des différents avec sa famille à l'époque.
- Mi 2002 : je quitte définitivement le groupe Thalès, en licenciement économique pour refus de mutation en province officiellement, pour tenter de me soigner d'après les indications du spécialiste (qui décède lui-même plus tard dans un accident). Très peu d'IRM et de techniques de haute pointe disponible à mon niveau en Europe, ce qu'on m'indique à Houston au Texas semble adapté à ce que je veux dans tous les cas : détection éventuelle et destruction immédiate si nécessaire, sans soins destructeurs chimiques ou radiatifs. Je ne pourrai aller aux USA et à Houston que plus tard (le 1er février 2003, une date tragique d'ailleurs !), à cause de la logistique financière et du temps d'absence qui ne peut être trop long (ma fille ne peut pas payer de loyer ou signer en mon absence...).
- 2003 : deux ouvriers d'entretien sonnent à la porte, envoyés par l'OGIF et son gardien (pas de nom à l'époque, nous avons juste un "chef des gardiens", Mr L. au niveau OGIF, mais localement, il s'agit déjà de Mr P. et de sa femme). Ils sont venus faire l'entretien courant des joints et robinets (contrairement d'ailleurs à ce qui est marqué dans mon bail) et j'en profite pour signaler une petite fuite provenant du joint du robinet d'eau chaude de la cuisine. Il s'agit d'un jeune apprenti et d'un ouvrier vétéran. Je les laisse quelques minutes car j'ai la visite d'un ami (T. H.) mais quand je reviens les voir, je surprend l'apprenti, à quatre pattes sous l'évier avec une pince monseigneur, en train de resserrer violemment la bague au-dessus du siphon de l'évier. On entend un gros crac mais rien ne se passe et les deux ouvriers s'en vont assez précipitamment... j'essaie aussitôt le robinet en principe réparé mais dès que j'ouvre l'eau au grand, une grosse fuite se déclare juste au-dessus du siphon dont le tuyau vient d'être brisé... et je n'arrive pas à rattraper les ouvriers évidemment... Je me souviens maintenant avoir eu au téléphone Mme P. immédiatement pour qu'elle intervienne. Le plombier remontera me voir, un homme du type maghrebin, qui niera que quiconque ait touché en-dessous du lavabo (me disant même qu'il n'a pas le droit - alors que c'est le contraire légalement !)... ce crime (car il en s'agit bien d'un) a entraîné des conséquences encore existantes en 2013 ! et nous sommes restés de mars à juin 2003 sans évier de cuisine du tout à cause de la mauvaise foi de la part de l'OGIF (aucune réponse à mon recommandé !) et de ses représentants gardiens... ce sera le chef des gardiens, Mr L. à l'époque, qui prendra l'initiative de faire réparer et changer (avec du plastique) une partie de la vieille plomberie en ruine... à cause de mes appels répétés et après une intervention du Maire du Plessis-Robinson auquel j'avais dû écrire pour avoir un petit appui... a ce jour en avril 2013, le meuble en bois qui date de 40 ans n'a pas supporté cette fuite de 2003 et ses pieds s'évasent, vermoulus et le meuble s'écroule (plus de joint possible entre lui et le mur) mais l'OGIF contacté il y a 3 ans refuse de répondre par écrit (toujours) : les gardiens m'ont proposé un partage du coût au noir de leur propre meuble (qui fait parti du bail !) (600€ par moitié) sur un post-it manuscrit avec un autre courrier de l'OGIF, réponse a une demande d'info pour le gaz (preuve donnée aux avocats et aux débats (en principe mais nous n'avons jamais pu voir un écrit de ces débats !) mais ignorée).
- Fin 2003 : les fenêtres sont enfin changées après 11 ans de promesses... mais les fissures s'élargissent un peu partout dans tous les appartements... surtout en hauteur. Ma voisine d'en face à l'époque (le mari travaille chez Bouygues) devient folle à cause des multiples fissures qui émaillent son appartement... ils partiront d'ailleurs avant même les travaux. Important : les volets déroulants sont enfermés dans un gros coffre en plastique (moche) qui fait la largeur des double-fenêtres et 20 cm de largeur : ils ont tous été montés A L'INTERIEUR des logements, enlevant autant de M2 utilisables (mais toujours payés en loyer et impôts locaux depuis !) à chaque logement (7 fenêtres avec ces coffres pour le mien)...
- Autrement dit, la valeur de cet ensemble et de ces logements aurait dû diminuer avec évidence en l'absence de tout travaux et en application de la vétusté et leurs loyers avec... ce qui n'a jamais été le cas bien évidemment... il semble bien que les juges sont toujours prêts à accorder une augmentation des valeurs (même fausse) dans l'immobilier plutôt que l'inverse, sans aucune réalité et en contradiction totale avec les lois de la nature et de la physique... les choses sont laissées à l'abandon et en ruine mais ne diminuent pas de valeur mais par contre, il suffit de mettre une "rustine" à l'immobilier pour qu'il augmente de 50 %... : c'est de l'abus et de l'escroquerie de base, tout simplement, et il y a trop de décisionnaires qui sont à la fois juges et parties... combien de juges et politiques sont locataires ????
- En 2003, le Maire du Plessis-Robinson, Mr Pemezec a adressé un courrier à l’Ogif l’intimant d’effectuer les travaux en retard (en précisant qu’il l’avait déjà réclamé à l’Immobilière Familiale) - j’en ai une copie.
Les travaux principaux n’ont commencé qu’en 2005, avec comme premier objectif pour l’OGIF d’éliminer certains services inclus dans les baux de l’époque : disparition des vides-ordures, non remplacement puis finalement disparition des jeux et jardins pour enfants (le 1er au niveau du « bac à sable » (avec sable non prévu et inchangé) actuel a vu ses jeux disparaître par non remplacement bien avant que l’OGIF ne supprime officiellement les jardins d’enfants. La plupart des marronniers de la cité (qui ont donné son nom à l’allée) ont été enlevés par l’OGIF et non remplacés…j’ai un courrier de l’OGIF, signé du chef des gardiens de l’époque, qui affirme que les disparitions de ces services (inclus dans les loyers et charges), vont engendrer une diminution de charges… personnellement, je n’ai vu qu’une augmentation régulière des charges au niveau de la quittance de loyer et une diminution des ajustements annuels de charges, toujours en ma défaveur…
Octobre 2003 : L’OGIF prévient enfin qu’elle va entamer une partie des travaux (une partie seulement sur tout ce qu’il y a de retard d’après la loi), dans les 6 prochains mois (2004 donc). (pièce 10). Dans ce courrier, il est aussi fait mention de la disparition des vides-ordures, afin de réduire les charges. Ce qui est faux car les charges n’ont pas cessé d’augmenter considérablement (voir les pièces sur les ajustements annuels de charges).
2004 : ravalement, changement (enfin !) des fenêtres et volets. Malgré le ravalement, on constatera après un affaiblissement au niveau du balcon, ainsi que la détérioration de la pierre au-dessus du balcon. (pièce 11).
2005 : travaux de peintures des halls et cages d’escaliers (parties communes - hors appartements).
L’OGIF a enfin procédé (ou fait semblant ?) en 2005-2006 à des travaux d’étanchéité du toit du parking souterrain, derrière le 2 marronniers, qui présentait de larges fuites d’infiltration d’eau et de calcaire sur les voitures y stationnant (y compris la mienne)… Travaux non finis en 2013 ! : il y a encore à l’heure actuelle des fuites d’eau et de calcaire sur les toits de certaines voitures (l’OGIF, suite à plainte à mon assureur a fait poser en 2006, comme à d’autres, des plaques de tôles (en principe provisoires) sur les plafonds au-dessus des voitures, sans procéder à de réelles réparations définitives de ce parking… d’ailleurs l’eau et le calcaire commencent à s’écouler des tôles (j’ai à nouveau quelques tâches blanches sur la peinture arrière de ma voiture) et je pense qu’avec les intempéries qui ne vont pas manquer de venir, ça ne va pas arranger les choses…
- 2005 : je repréviens moi-même (écrit et signé sur une quittance de loyer si ma mémoire est bonne) du fait que je suis divorcé depuis 2001 et que le fiancé de ma fille, Mathieu Godron, vit chez moi à titre gratuit question logement. En 2006, le nom de mon ex-femme est enfin enlevé des quittances de loyers (preuve apportée lors des débats) mais l'OGIF ne propose pas de nouveau bail et feint d'ignorer les choses à ce sujet, et n'a jamais voulu répondre à mon courrier de 2003... (copie apportée lors des débats)...
Pour finir, l’OGIF a accéléré son programme d’augmentation générale des loyers de la résidence sans aucune justification réelle, à part le contexte que voici : La commune de Chatenay-Malabry a été mise en redressement suite à sa faillite il y a quelques années (les habitants de Chatenay pourront me confirmer l’année, que je pense être 1997-1998 - au moment des décisions d'attributions de plans de logements sociaux). Les conséquences ont été rapides pour les habitants de Chatenay-Malabry : augmentations énormes des taxes locales, des loyers et charges… L’OGIF en a donc profité dès 2008 je pense (ou 2005-2006 et les lois Sarkozy citées par l'OGIF qui ont, en quelque sorte, invalidé les protections sociales liées aux 1% patronaux et à mon appartement et des autres ?) pour tenter et réussir par tricheries à aligner les loyers de toute sa résidence (qu’ils appellent « Chatenay », alors qu’il n’y a qu’une tour (celle du gardien et des transmetteurs Bouygues sur son toit) à Chatenay, les deux autres étant au Plessis-Robinson, sur les loyers pratiqués à Chatenay-Malabry.
Contre toute logique (mais il y a des doutes parfaitement exprimés, y compris dans la presse et sur internet, sur l’intégrité de certains juges du Tribunal d’Antony…), l’OGIF a présenté des références de loyers pratiqués essentiellement à Chatenay-Malabry, alors que dans la résidence même, se trouvaient obligatoirement un nombre conséquent de loyers aux même prix que ceux contestés par l’OGIF, et les tribunaux ont tous été en faveur de ce dernier, essentiellement à cause de ces fausses informations, ces tricheries mafieuses, voir des complicités politiques ou d'entreprises liées au bâtiment…
2008 : mise aux normes électriques (très en retard). Un encadrement en carreaux de la baignoire dans la Salle de bains empêche la mise à la terre de la baignoire. Cet encadrement ne m’appartient pas, je ne suis pas demandeur des travaux, ni propriétaire : je dis au travailleur de voir avec l’OGIF (seul maître d’œuvre), mais il déclare avoir des délais et ne pas avoir le temps. Je refuse de signer la fiche qu'il me tend. C'est un très grand personnage et très puissant et il se met presqu'en colère mais part devant ma détermination. Il reviendra plus tard (je n'arrive plus à me souvenir si c'était le même jour ou un autre), accompagné de tous les ouvriers, d'un contrôleur de Véritas et d'un représentant de l'OGIF (le responsable des travaux ?). Grosse pression donc de la part de 7 personnes (de mémoire) qui me demandent de signer et de laisser faire les travaux. Je demande juste à l'assemblée que quelqu'un m'amène un papier signé par l'OGIF autorisant cette destruction pour l'autoriser, mais on me répond que non. Point. Je déclare donc que je ne peux signer ou accepter quoique ce soit au niveau de la baignoire et de son coffrage qui ne m'appartiennent pas puisque en même temps, j'en prendrais la responsabilité, et moi seul... Devant mon refus réitéré, le grand technicien (qui fait le plombier et tous les métiers du bâtiment puisqu'il est d'ailleurs toujours présent dans les divers travaux de la résidence) se met en colère et me met sa fiche dans les mains, un stylo et me crie dessus de signer sa fiche, que la baignoire soit faite ou pas. Devant la menace et l'immobilité du groupe, je prends sa fiche et gribouille une signature sur le mur vertical, et j'ajoute en-dessous le texte "NON MIS AUX NORMES". Il se met encore plus en colère et froisse le papier que je lui ai tendu. Quelqu'un le calmera je pense et je ne me souviens plus trop de la fin de cette entrevue qui m'a fortement surpris à l'époque. Ils partiront et, malgré mes remarques aux mêmes représentants ou fournisseurs de l'OGIF et aux gardiens, je n'en entendrais plus parler avant que je le fasse (en vain et dans l'indifférence) auprès de mes avocats et de la court civile... Les normes électriques ne sont toujours pas appliquées à ce jour (09-2013) dans la Salle de Bain... je précise qu'on m'a toujours déconseiller de faire mention de cette scène dans la mesure où j'étais absolument seul contre sept "ennemis", mais dans la mesure où les détails ont fini par ce préciser à force de faire appel à ma mémoire et où je suis certain de la vérité, et que j'ose espérer qu'au moins un employé travaillant pour Véritas ne soit pas un "ennemi" avec intérêt (quoique Véritas a intérêt a donner éventuellement de bons contrôles pour être rémunéré...), je ne vois pas de raison de ne pas en parler ici.
- en 2008 et 2009, quelques voisins (dont le mien à gauche, Mr Rt) viennent me voir pour tenter de comparer leurs loyers au mien devant leur réception de nouveaux baux avec augmentations très conséquentes (peu sont augmentés de 50 € par mois question salaire alors que la loi autorise de le faire aux bailleurs (alors qu’ils bénéficient déjà d’augmentations annuelles automatiques sans rien faire - scandaleux) ! C'est d'ailleurs criminel en soi d'autoriser des augmentations supérieures à l'inflation et aux augmentations des minimas sociaux, surtout en période de crises incessantes... point...). Mais il s'agit d'un trois pièces et il ne peut le comparer trop avec notre quatre pièces (bien qu'il soit évident qu'il n'y ait pas plus de 30 à 50 € de plus en loyer pour cette pièces en plus, et que tous les loyers des trois pièces sont identiques, comme tous ceux des quatre pièces, à l'époque...). D'ailleurs, curieusement, nous ne recevons rien du tout de notre côté (ni les 4 pièces apparemment) car d'autres personnes ayant un trois pièces (au 6ième étage *) nous demande également le service de comparer leurs loyers au notre (ce que nous faisons en vain puisqu'ils ont un trois pièces - du même prix que celui de Mr. R.* d'ailleurs, notre voisin, mais il s'est apparemment enfui vers la même époque, laissant ses meubles, devant les augmentations de loyers excessives pour un retraité seul... Nous n'avons plus aucune nouvelle de notre côté de cette histoire, un peu isolés peut-être en haut de la tour... et par les plans machiavéliques de l'OGIF qui "dispatche" discrètement les augmentations de loyers entre les trois tours et les 3 pièces/4 pièces...
* = Nous avons récupéré comme preuve formelle les montants exacts des loyers de ces deux familles habitant dans notre tour des logements identiques (avec d'autres), via les pièces apportées aux débats lors des jugements civils
Début 2009, je préviens les gardiens que le meuble sous-évier, ainsi que l’évier de cuisine et la plomberie liée, sont vétustes et que le meuble s’affaisse de plus en plus, menaçant d’entraîner le lourd double-évier dans sa chute. J’ai même la représentante de l’OGIF sur la résidence au téléphone à ce sujet, et je lui parle des dégâts occasionnés par l’apprenti, non réparés pour ma part. Elle me dit qu’elle ne connaît pas le chef des gardiens de l’époque qui a réparé (donc reconnu les tords de l'OGIF), qu’il n’y a pas eu plainte à l’époque et que donc pour elle, ça n’a pas existé (Mr le Maire du Plessis-Robinson qui était intervenu, appréciera…). Pour finir, l’OGIF, consciente de sa responsabilité mais ne voulant pas payer le remplacement d'un objet inclus pourtant dans le bail (et restant dans l'appartement) et vétuste de 40 ans, propose un arrangement discret et sans factures par l’entremise des gardiens. (pièce 12).
Autres travaux en 2009 : suppression du bac à sable et des jeux pour enfants (pour économiser des charges ! pour qui ?). Subite maladie des marronniers (hum) et abattage de la majorité des marronniers et arbres de la résidence (sans remplacement) en face des deux tours situées au Plessis-Robinson (un hasard ?) et le parking du 2. Installation de portes d’entrées d’immeuble avec interphone et clé magnétique (non demandée par les résidents). été 2009 : Installation de barrières aux 2 entrées principales de la résidence : ce matériel a dû coûter très cher… et n’a jamais été mit en fonction jusqu’à présent (+ d'un an : septembre 2010 !). Pour info, je n'arrive plus, ou avec beaucoup de difficultés, à ouvrir cette barrière avec la clé magnétique en juillet. Je ne suis pas le seul car un ouvrier tente de régler l'ouverture de la barrière et c'est lui qui me l'ouvre d'ailleurs : j'en profite donc pour faire changer la pile à une mercerie de Chatenay proche et elle ouvre au quart de tour quand je reviens... mais, la semaine d'avant le 15 août 2013, je suis bloqué un moment devant la barrière par le même ouvrier, en train de creuser au marteau-piqueur devant, Mr P. le gardien à ses côtés... je pense que la barrière est à nouveau en panne, bien qu'avec mon changement de pile, celle-ci s'ouvrait même de loin encore récemment... on m'ouvre... mais à mon retour, ma clé magnétique avec sa pile neuve ne fonctionne plus... ou presque plus : il faut que j’insiste 10 minutes et que je place ma voiture à un seul endroit 'lisible" maintenant pour ouvrir la barrière... je me suis absenté seulement deux jours cet été pour aller voir mon père en province : je pars la semaine d'après le mercredi matin, en mettant encore 10 minutes pour réussir à ouvrir la barrière "automatique" (impossible a manœuvrer à la main), avec de la chance apparemment (pour une fois !)... quand je reviens jeudi soir, plus de barrière du tout ! Celle-ci a été apparemment arrachée ou découpée à raz par des gens voulant rentrer chez eux, mais le gardien a choisi de faire ses travaux de barrière juste avant de s'absenter lui-même...
Du 31/08/2009 au 06/01/2010 : remplacement des 3 ascenseurs des tours : notre tour au 1 marronniers (9 étages) est totalement privée d’ascenseur pendant près de 3 mois ! Aucune déduction des charges n’a été effectuée pour cette période, en infraction avec l’article 1724 du code civil. (que j’ai mentionné en vain lors du 1er jugement).
L’OGIF a enfin commencé à remplacer les vieux gros radiateurs (mais qui fonctionnaient très bien chez moi : il fait + froid maintenant !), après avoir remplacé les chaudières au fuel par des chaudières au gaz de ville. Mais ces remplacements ont curieusement été très étalés dans le temps : la majorité sont fait seulement à l’occasion d’un changement de locataire. Commencés dès 2005 en nombre calculé (11 par an de provisionné seulement - j’ai les chiffres transmis par l’OGIF lors des procès) ces changements de radiateurs duraient encore en 2011 ! L’OGIF m’a envoyé une assignation en mai 2010 car il trouvait mon loyer sous-évalué (c’est un comble quand on pense qu’ils osent comparer ces vieux logements a des logements neufs ou refaits à neuf, alors que le mien, en 1992 quand j’y suis entré, n’a vu que deux de ses pièces repeintes et retapissées (les + petites) et la peinture de la cuisine refaite pour masquer principalement une grande fissure qui traverse un mur porteur (fissure qui est réapparue seulement deux ans après mon entrée !). La plupart de mes voisins à l’époque se sont plaints également de ces fissures récurrentes dans les étages supérieurs des tours, ainsi qu’en extérieur sur le balcon… personnellement, je les ai toujours, y compris sur le balcon (une fissure est réapparue récemment sur un morceau du balcon, réparé lors des derniers travaux, mais l’immeuble n’est pas très récent…). J’ai le mur mitoyen du salon et de la cuisine qui présente une fissure (non pas de la peinture, mais bien du mur), un mur qui se déforme (il gonfle) entre deux chambres et des fissures aux plafonds des chambres.
- en mai 2010 donc, l'OGIF m'envoie un courrier avec un nouveau bail (comportant le nom de mon ex-femme !) et surtout une proposition d'augmentation de loyer assez énorme pour mes pauvres moyens : aucune réelle augmentation du pouvoir d'achat depuis 10 ans mais plutôt une diminution constante, alors qu'à l'inverse, tout doit augmenter selon le cercle destructeur de cette société décadente...
- En août 2010, les gardiens affolés et "gênés" appellent pour m'informer que mes radiateurs doivent être changés. Estimant ne pouvoir interdire des travaux du bailleur, plusieurs ouvriers sont donc attachés à changer en catastrophe et en une journée l'ensemble de mes radiateurs. Sur ce fait, ils sont d'ailleurs assez brutaux et des trous assez importants sont agrandis entre certaines cloisons (photos) mais les radiateurs sont changés. Je signe donc une réception des radiateurs à l'un des ouvriers, daté d'août 2010 et je remarque que le nom de l'entreprise de la fiche sur laquelle je signe comporte l'adresse du 4 allée des marronniers : l'adresse de l'immeuble de l'appartement du gardien (la loge a elle été déménagée entre-temps dans une résidence attenante à la notre et aussi gérée par l'OGIF (50 Avenue de Robinson) !!
Début septembre 2010, je reçois une convocation officielle à une Commission de Conciliation qui se tient dans une semaine et à l'autre bout du département (Nanterre) ! Je ne suis pas en très bonne forme physique à l'époque (j'ai eu le pied droit en partie écrasé par un accident domestique stupide (comme toujours) et j'ai du mal parfois à rester debout ou marcher) mais je pars donc (un peu juste en temps et après une nuit blanche à ressasser le sujet), et tente, devant la forte circulation de l'A86, de rejoindre Nanterre directement par le sud et l'A14 je pense, qui passe par un tunnel où il y a personne car il est payant... mais c'est complètement immobilisé bien avant et je suis coincé un moment... plus tard, je me retrouve sans trop le savoir sur la route menant au tunnel payant, que je paye donc (comme si j'étais riche : encore des "aides" récupérées automatiquement par l'Etat...) et j'arrive en vue du plateau de Nanterre lorsque je me faits prendre en léger excès de vitesse (- de 10) aux jumelles par un gendarme (et re-pas de chance ou hasard douteux !), alors que je sortais de l'autoroute à 110 km/heure et que j'ai bien freiné en voyant un subit panneau à 90 et 70 plus loin... il a dû me prendre pile sur le panneau ou était mal positionné par rapport à moi (je rappelle que Thomson où j'ai travaillé (Bagneux) fabrique et à fabriqué beaucoup de radars de toutes sortes, y compris pour la police, et que je pourrai en redire sur la fiabilité des radars...dont je n'ai reçu aucune preuve d'ailleurs). Je recevrai donc une petite amende (allez-y, je suis riche...) en plus de cette visite à la Préfecture, un voyage de 1h30... je trouvais difficilement dans ce dédale le parking et, en plus de mon déjà retard, les contrôles intensifs et la queue à l'entrée de la préfecture n'arrangeaient pas les choses : quand je trouvais enfin la bonne salle dans le dédale de la préfecture, la secrétaire de la Commission m'empêchait d'entrer (pourtant il s'agissait bien d'une affaire de l'OGIF qui était aussi conciliée là, je l'ai entendu (d'ailleurs, ce 9 septembre 2010, il y avait plusieurs personnes attaquées par l'OGIF aux commissions) car mon tour était dépassé et que les représentants de l'OGIF pour mon cas étaient déjà repartis... malgré mes protestations et mon dossier avec photos, le fait que mon ex-femme divorcée soit encore sur ce nouveau bail, rien n'y fait et la secrétaire accepte de noter ma présence (donc mon excuse) et me dit que la commission n'a pu dire que l'augmentation de 40% de loyer indiquée au minimum était trop élevée à leur avis... point final.
Vers novembre 2010, de mémoire, quelqu'un sonne à la sonnette de l'appartement, le temps que j'aille ouvrir, personne, l'ascenseur se referme déjà... plus tard, je découvre un pli dans ma boîte aux lettres mentionnant qu'un huissier est venu et a déposé en mon absence (!!) une assignation à aller retirer à l'office des huissiers, à Montrouge ! Avec un coût assorti de 80 € de mémoire (voir sur le document)... la suite est au niveau des "jugements"...
Nous irons tous les trois, ma fille, Mathieu Godron et moi-même dans l'agence de la Matmut à Antony pour convenir d'une assistance juridique, dans la mesure où je cotise à cette aide avec l'assurance de l'appartement et voiture fin 2010 pour obtenir un avocat nommé par la Matmut. Le jugement sera repoussé à la demande de la défense de l'OGIF jusqu'au 15-12-2011.
L’adversaire a été (le 13 octobre 2011) obligé de donner certaines pièces intéressantes pour appuyer sa plaidoirie pour le (1er) jugement du 15 décembre 2011. Ces pièces supplémentaires (des jugements précédents de personnes ayant comme moi refusé cette escroquerie déguisée et qui n’auraient pas dû perdre !) m’ont apporté confirmation de ce que je soupçonnais et avait déjà trouvé : La grande majorité des logements de la résidence (beaucoup de 1% logement d’entreprises) étaient exactement dans les mêmes prix question loyers et charges (qui sont en principe réparties) jusqu’en 2008… jusqu’à ce que l’OGIF, ne respectant pas l’esprit de la loi de 1989 mais son seul intérêt, profite des augmentations de loyers à Chatenay-Malabry (dûes essentiellement à la hausse des taxes locales envers les propriétaires et bailleurs (sic)) pour faire augmenter individuellement les loyers (et en en proposant des plus chers aux nouveaux entrants, que les travaux extérieurs soient finis ou non). L’OGIF a notamment triché en ne proposant comme références comparatives aucun ou peu de loyers comparables de la résidence ou même au Plessis (alors majoritaires !), mais essentiellement des loyers de Chatenay-Malabry (plus chers, on sait pourquoi), dans des logements d’immeubles de 4 étages refaits à neufs ou d'entrées récentes… Il y avait effectivement, dans la résidence de trois tours et pendant ces assignations, des logements parfaitement comparables, y compris en loyers ! - je ne dirai bien sûr pas les noms des personnes concernées, mais j’ai bien trouvé dans les jugements de quelques personnes ayant perdu (injustement) face à l’OGIF et à un tribunal abusé par de fausses informations, des loyers de : 551,23 € aux 1 et 4 allée des marronniers, des loyers de 558,98 € au 1 allée des marronniers et 1 loyer à 550,85 € au 4 allée des marronniers… et grâce au dossier d'un autre voisin, nous en avons encore d' autres... il s'agit bien de plus de 100 appartements (donc familles) qui ont vu leur valeur augmenter complètement artificiellement et sans aucune justification réelle à l'aide de logements cités systématiquement depuis 2008 - et encore en 2013 dans mon jugement avec les mêmes lieux !) comme étant comparables alors que la preuve a été faite qu'ils ne l'étaient pas : moins de 4 étages pour 100% dès logements "comparatifs", tous dans le secteur huppé et classé de la Vallée aux Loups et à + d'un km, refaits à neufs ou ne correspondant pas sur l'ancienneté d'occupation... les textes ne sont pas respectés par les juges dans leur intégralité, bien volontairement...
- Nous avons perdu le premier jugement (alors qu'il a été fait mention d'une erreur de date et donc d'une erreur de procédure flagrante, qui a entraîné à notre connaissance, et exactement pour le même motif, des annulations pures et simples des procédures identiques lors de précédents jugements ou lors de conciliations). Nous avons également apporté les preuves (avec photos datées) et expertises, que les travaux attestés par l'OGIF n'avaient pas été faits dans les temps, ni même finalisés (toujours pas aux normes électriques et de gaz en avril 2013 !), et avaient occasionné des dégâts. Et également que les soi-disant loyers apportés par l'OGIF via l'OLAP (des références mentionnant des logements tous en Bon Etat - il y a plusieurs références suivant les états proposés par l'OLAP et elles ne sont pas toujours comparables légalement, mais les tribunaux n'en tiennent même pas compte !) sont pour la plupart distants de plus d'1,5 km et sans comparaisons visibles et constatées (photos datées, témoins) par rapports aux textes de loi (il n'y a pas que le prix du m² qui compte, surtout quand ce prix a été monté par tricheries ou erreurs/complicités !). Et ce n'est pas parce que un bailleur ou un propriétaire rattrape enfin son retard en travaux OBLIGATOIRES que la valeur d'une habitation doit automatiquement augmenter (alors qu'elle n'a pas diminué avant !)... une défense jeune et complètement laxiste de la part de mon assureur qui n'a même pas défendu les photos et preuves d'une manipulation sur plusieurs logements voisins par rapport à des logements lointains.
OVNIs : ODH interviews 58
OVNIs : ODH interviews 58
La 58ème édition d'ODH Interview vous est présentée par Gilles Thomas.
Les invités sont Rémy Fauchereau, Frédéric Lecocq et David T. qui vous parlent des moqueries que reçoivent les ufologues, passionnés d'ufologie venant de leur entourage ou de la société française d'aujourd'hui.
Tout ceci est malheureusement extrêmement vrai et je le rencontre même souvent dans mon entourage... et dans le milieu de la culture aussi... autant l'archéologie mystérieuse, la spiritualité de l'esprit humain et une approche avancée et futuriste des techniques humaines engrangent souvent de la sympathie ou de la curiosité, autant le phénomène OVNI en rebute ou fait sourire, grimacer plus d'un... et pourtant, il y a beaucoup plus de témoignages que n'importe quel fait historique, proche ou lointain... beaucoup plus que n'importe laquelle des affaires policières, résolue ou pas... beaucoup plus que n'importe quel fait religieux rapporté souvent que par des témoins... et pourtant, encore de nos jours, des gens s'entretuent pour ces quelques faits religieux ayant beaucoup moins de témoins que le phénomène OVNI, des gens sont condamnés avec quelques témoignages et on sait que les faits historiques sont bien souvent détournés par les vainqueurs, ou tout simplement par les seuls qui savaient écrire à certaines époques... allez comprendre les humains ! Il n'est peut-être finalement pas très étonnant que ceux qui sont à l'origine de ce phénomène, depuis si longtemps, ne veulent pas trop se faire connaître d'un être humain aussi peu logique dans les faits !
Et il en est presque de même en ce qui concerne d'ailleurs le simple fait d'écrire de la Science-Fiction ou de l'Anticipation en France, un genre littéraire "mis à l'écart" et réservé pour beaucoup d'"adultes" peu évolués mentalement comme relevant de l'enfantillage et les ado... C'est bien pourtant à mon avis LE genre littéraire le plus important de nos jours, le seul qui a prouvé à maintes reprises depuis Jules Verne, qu'il est bien le seul à pouvoir annoncer et prévoir où se dirige la société humaine, vers quel avenir nous mènent la bêtise humaine et les politiques (très "terre à terre" souvent, aussi... Yves Herbo
L'émission est en collaboration avec :
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Yves Herbo Relai-Sciences-F, H-05-11-2014
OVNIs : Compilation vidéos septembre-octobre 2014
OVNIs : Compilation vidéos septembre-octobre 2014
ovni octobre 2014
Suite des compilations de Janvier à Mars 2014. avril 2014 mai 2014 - juin 2014 - juillet-août 2014 - août-septembre 2014 -
Filmé à Saintes, France, le 26-09-2014
Compilation septembre 2014 (publiée le 02-10-2014 par 007ovni)
UFO. Planète. Sightings Report 25.09. 2014
UFO Fleet.thirdphaseofmoon. Hong Kong.27.09.2014-pendant les émeutes-manifs
ufo.Hong Kong.pendant la manif.27-09-2014
Une compilation de photos d'OVNI 2014 postée début octobre 2014 :
UFO .aux dessus d un bois Oct. 2014
UFO.thirdphaseofmoon. Inde.10. 2014
ufo.tabriz.Iran.10.2014
Paris France UFO October Night 2014
UFO.thirdphaseofmoon. Malibu.10.2014
Charlotte NC, USA, Man Sees A UFO And Has The Video To Prove It, Oct 2014
UFO. Air France Plane .10. 2014
UFO .Live News Broadcaste, Montréal, Canada, 02.10.2014
Multiple UFOs Light UP Kentucky ! Best UFO Sighting Of October 2014
UFO.Crestone 03-10-2014
UFO .Green . Lima Pérou.Plateau volador . 05.10.2014
Un ovni ou une météorite lente le 05-10-2014 au-dessus de la Suisse
UFO . NYC.10.2014
UFO 2014 over Mexico City - OVNI en Forma Cubo En Mexico DF 07th october 2014
Belgique - Mardi 7 Octobre 2014 à 14h33
Que s'est-il passé dans le ciel de Nivelles ce mardi matin ?
Source :
http://www.lanouvellegazette.be/11190...
Contenu de cet article : "J'ai filmé ces images ce mardi matin, entre 7h45 et 8h, à Nivelles, dans le Faubourg de Soignies", nous explique-t-elle. "Une autre maman a été témoin de l'événement, tout comme la fille âgée de 8 ans. Pour moi, c'est une météorite, pas un ovni. Enfin, on ne sait jamais", nous dit-elle avec un grand sourire.
8 octobre 2014 : L'ovni de Nivelles décrypté par un spécialiste: «Pas d'astéroïde mais deux gros avions porteurs» - Source : http://www.lacapitale.be/1120185/arti...
J'ai des doutes ... Un avion , même énorme , laisse échapper de la fumée , et surtout jamais du feu qu'on pourrait voir en plein jour ... Ce "spécialiste " a-t-il été acheté par quelqu'un qui essaie de nous cacher quelque chose ?!?
Un ovni filmé d'un avion d'Air France, 10-10-2014
Deux OVNIS proches d'un hélicoptère (NYC) - 10 Octobre 2014
UFO L.A. usa.étrange ufo Biologique.thirdphaseofmoon.11.10.2014
ufo.Corée.11.10.2014
UFO .et chemtrail.Amsterdam, Hollande.12 .10.2014, 09-36 GMT
UFO .thirdphaseofmoon.Flying Saucer St.Tropez, France .14.10.2014
UFO .Moscou Russie .16.10.2014
UFO . Tokyo-Japon.18.10.2014
Amazing UFO Stalked by Police Helicopter, Disturbing Activity, 18 Oct 2014 - USA
Un hélicoptère de la police suit un mystérieux engin qui vole au raz des toits puis accélère...
ufo.mexique.Guadalupe, 25 .10. 2014
Nasa Attempts To Hide UFO! UFO Sightings -Red- UFO Visits SpaceX Dragon! 2014
Selon certaines informations fuitées de la NASA, une sphère rouge aurait visité SpaceX et l'ISS et SpaceX aurait tenté d'en prendre de multiples photos... (les flashs à la fin de la vidéo)...
UFO . Mexico City 27.10. 2014
UFO Caught Landing in Milan Italy☻OVNI Bajando en Milan Italia 27102014
UFO-01-11.2014
Beaucoup d'observations en ce mois d'octobre 2014 (ces quelques vidéos n'en sont qu'un petit aperçu, juste le sommet de l'iceberg...)
ovni-octobre 2014 - extrait vidéo
Comme toujours, je vous invite à apprécier par vous même la valeur de ces vidéos, compte tenu de vos propres réflexions et sensibilités, à la lumières des événements historiques actuels également mais de l'augmentation mondiale de ces observations aussi. A vous de décider comme toujours.
YH-Sciences, F, H, 04-11-2014
Les Rapports de Naar-Loor, l'Observateur-5651
Les Rapports de Naar-Loor, l'Observateur-5651
Naar-Loor, rapport 5651, Secteur Sol
- Année terrestre 1758 après JC
L’arrivée des Yakhova dans le secteur Sol fait donc suite à ma demande et à mes premières interventions directes dans la société bourgeoise européenne, dès la fin du 17ième siècle. Plus précisément, j’ai pu influencer directement, grâce à quelques implants psychotropes et mes études de l’Histoire des Yakhova, les Confréries de Métiers les plus prometteuses, en Ecosse et en Angleterre. Mes précédents élèves, Euclide en Egypte, qui a été en quelque sorte le premier diffuseur, jusqu’à Pythagore pour l’Europe et reste du monde civilisé, avaient pu ensemencer et entretenir les bases d’une spiritualité « modérée » et « ouverte », tolérante et pas trop sectaire, bien que secrète en ce qui concerne ses connaissances sur les Métiers et sa Spiritualité profonde. Ces confréries, devenues assez fermées et assez intolérantes avec le temps et les guerres, se sont donc enfin ouvertes à « l’étranger », avec pour but de répandre plus largement ses connaissances des Métiers et spiritualité, mais aussi d’en apprendre d’autres, de confréries et hommes différents, ne possédant pas obligatoirement l’initiation du « Métier », mais l’imagination, la curiosité et approches nécessaires au bouleversement escompté. Mes implants firent merveille dans la diaspora intellectuelle mi-bourgeoise, mi-aristocrate britannique, qui se cherchait déjà naturellement d’autres concepts et renouveau devant une royauté divisée et ruinée par ses interminables guerres inter-dynasties et religieuses. Les Ecossais, notamment, étaient « à point » devant les affronts subits face à un pouvoir (y compris religieux) qui reniait sa culture particulière et son passé glorieux.
Mes hommes ont infiltré donc, assez nombreux, les quelques confréries écossaises et anglaises, commençant assez rapidement à faire évoluer les règles maçonniques locales, les « Anciens Devoirs », issus de Pythagore, et toujours appliqués. Tout commence réellement en 1717, lorsque, grâce à l’influence devenue majoritaire de mes « troupes » implantées, quatre loges maçonniques fusionnent et qu’il est créé, à Londres, la Grande Loge de Londres et Westminster. L’un de mes aides inconscients (mais ravis de leur existence) est le Huguenot français Jean-Théophile Désaguliers qui, à l’aide de fidèles de Newton et de la Royale Society, commence à théoriser les premières constitutions et nouvelles Règles des Loges, qui seront écrites par la plume du Pasteur James Anderson, Ecossais et influant. Discrètement, c’est bien le français qui créé l’appellation « free-mason – franc-maçon » à l’époque. L’une des principales nouvelles règles (qui seront publiées dès 1723) permet un fort démarquage d’avec la religion locale, permettant ce qu’on appelle « la liberté de conscience ». En effet, jusqu’à présent, les Maçons étaient astreints à épouser les religions locales où ils se trouvaient. Ces nouvelles règles leur permettaient tout simplement d’adopter individuellement le choix d’une religion selon sa propre opinion : « aujourd’hui il a été considéré plus commode de les astreindre seulement à cette religion sur laquelle tous les hommes sont d’accord, laissant à chacun ses propres opinions, c’est-à-dire d’être des hommes de bien et loyaux ou des hommes d’honneur et de probité ».
A partir de 1723, le nombre des loges augmente dans toute la Grande-Bretagne, jusqu’à ce que la Grande Loge d’Ecosse soit créée en 1736 et même qu’une deuxième Grande Loge concurrente soit créée en Angleterre en 1751, celle « des Anciens ». Elles sont toutes sous influence de mes troupes implantées et les premières théories libérales, anti-royales mais mettant l’accent sur l’Initiation Rituelle sont émises.
Parallèlement, mes premiers envoyés britanniques en France ont commencé à créer des loges maçonniques dans ce pays, dès 1725, essentiellement dans la couche aristocratique, fortement dominée sous la Régence anglophone du jeune roi Louis 15. Parallèlement, le franc-maçon caché Law, dès 1719, avait créé la Compagnie d’Occident qui, liée à l’État et à la Banque, contrôle l’ensemble du système fiscal et du commerce extérieur français (par la mise en valeur de la Louisiane, dans le Nouveau Monde, surtout), puis a prit le contrôle des compagnies françaises du commerce extérieur et des Colonies, ainsi que des monnaies, des fermes générales, etc… Il sera contrôleur général des finances de France début 1720. L’un de ses principaux objectifs (inconscient) sera la déstabilisation économique du régime royal français, voir sa faillite, en prémisse notamment des tentatives britanniques (profitant ainsi de son influence sur le gouvernement français) sur le Nouveau Monde où la France est un peu trop implantée à son avis… tout ceci prépare déjà la prochaine création des premières loges maçonniques en Amérique du Nord, indispensables pour la prochaine distribution de nouvelles cartes d’influences dans le jeu économique mondial futur (et déjà prévu)… Il y réussira en partie, historiquement…
Caricature économique sur Law (1720)
En France, les nouvelles Grandes Loges, dispersées, centralisent néanmoins le droit de patentes aux nouveaux ateliers des Métiers, se créant petit à petit ainsi plusieurs « loges-filles ». Les premiers Grands-Maîtres sont écossais et anglais, jusqu’à 1738 (l’année où le Pape réagit aux nouvelles règles Maçonniques et tente d’excommunier tous les francs-maçons, à coups de bulles papales, en vain d’ailleurs car les parlements ne les votent pas, et nombre de religieux sont déjà dans les rangs francs-maçons. Malgré quelques autres tentatives pour assimiler les francs-maçons aux Jansénistes hérétiques, l’Ordre se répand dans toute la France en 1740 et en 1743, le comte de Clermont, est élu Grand-Maître, sans trop intervenir dans la gestion de l’Ordre, c’est avant tout un protecteur de haut-rang nécessaire, et il le demeurera jusqu’à sa mort en 1770 d’ailleurs. Pour augmenter l’influence de l’Ordre et recruter, une partie de ses « secrets » et de ses cérémonies sont dévoilées au public et même publiées. Même les petites villes se créent à l’époque leur petite loge maçonnique, où la bourgeoisie, le commerçant et l’artisan célèbrent « la vertu et l’égalité » conviviales.
Lorsque le vaisseau des Yakhova arrive, en 1758, la première Grand Loge des Maîtres de l’Orient de Paris, dite de France et tenue par les « Vénérables » est née, mais n’arrivera jamais à imposer une unité aux Loges françaises, à cause de divisions internes et de luttes de pouvoirs constantes (cela a été souvent le propre des loges françaises, dans la continuité selon certains des tribus gauloises en perpétuelles batailles… jusqu’à leurs propres défaites et trahisons devant les romains…). Le premier travail d’influence des Yakhova sera donc en France, car le caractère particulièrement difficile des français, qui a toujours été un peuple difficile à gouverner globalement, préférant souvent des influences et dirigeants locaux (même en vain et au prix de la ruine, destruction) pas toujours inspirés d’ailleurs, est un challenge intéressant, et même attrayant pour eux. La première Grande Loge française ratera son objectif d’unification des loges françaises et abandonnera même en 1766, mais, à partir de 1773, leurs implants particulièrement efficaces, ainsi que plusieurs enlèvements de personnalités et de séances poussées dans leur propre vaisseau réussiront au-delà de toute espérance (je n’aurai pu arriver à un tel résultat en aussi peu de temps moi-même).
Toutes les loges provinciales sont convoquées à Paris et, après 17 séances plénières et officielles et autant de non officielles mais toutes autant influentes, Le Grand Orient de France est créé. Sous la tutelle du Grand Maître, le Duc de Chartres, et sous la réelle autorité de l’Administrateur Général, le Duc de Montmorency-Luxembourg, la Grande Loge est gérée par trois chambres où siègent les représentants élus des différentes loges. Comme l’affirme une circulaire de 1788 : « le fonctionnement du Grand Orient est essentiellement démocratique ». La quasi totalité des loges françaises se rallient à cette nouvelle structure, juste à temps pour influencer fortement la Révolution Française de 1789 et ses importants enjeux économiques, car les dirigeants y sont des nobles libéraux et des bourgeois intelligents mais influençables…
Entre-temps, l’énorme vaisseau et sa propre influence gravifique avait provoqué volontairement une certaine déstabilisation climatique et, surtout, tectonique… l’explosion subite d’un volcan islandais avait recouvert beaucoup de contrées de cendres, fait se refroidir le climat pour quelques années, entraînant à l’époque famine et épidémies, qui allaient accentuer les sentiments de révoltes des peuples européens déjà exacerbés par des problèmes économiques difficiles… en plus de l’émission d’influences sonores non détectables à l’ouïe humaine mais accentuant la colère d’un côté, la manipulation de masse de l’autre… techniques d’ailleurs maintenant connues de certains services secrets (et organismes terroristes ) des terriens…
Attention, à ce passage, je dois prévenir les Terriens que les Yakhova ont bel et bien non seulement envisagé toutes les possibilités sur l’avenir de la Terre mais sont allés y voir, ont ramené des preuves « filmées » selon vos normes de ces différentes probabilités de futurs suivant les événements qui se sont déjà produits : leurs actions sont certes contraignantes et mortelles pour certains humains et animaux, végétaux et roches-vives, mais ce sont les actions les moins coûteuses en vies locales et provisoires qui ont été choisies, avec un objectif atteint avec sécurité dans les siècles suivants… n’oubliez pas que la situation économique mise en place par les Dimonons sur la Terre mène inéluctablement par une domination totale de leur race sur la vôtre, rendue inconsciemment en esclavage total et éternel dans vos multiples plans d’existences locales… et de vous libérer de leur influence en vous laissant la seule direction des choses ne mène qu’à votre propre auto-destruction, ainsi que celle de la planète, ce que nous ne pouvons permettre de toute façon…
La suite historique de l’influence des Yakhova, en lutte contre les Dimonons, avec les Guilgaa, ainsi que la description de la civilisation et de l’économie des Yakhova dans un prochain rapport, en cours de transmission…
© Yves Herbo
Regroupement des rapports de Naar-Loor également ici : https://www.sciences-faits-histoires.com/pages/ecrits/les-rapports-de-naar-loor-l-observateur.html
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Le mystérieux peuple des Natoufiens, découvertes récentes
Le mystérieux peuple des Natoufiens, découvertes récentes
Les Natoufiens sont appelés ainsi par les archéologues car c’est le long des berges d’une petite rivière nommée Natouf, à environ 15 kilomètres au nord-ouest de la ville de Lod en Israël, plus précisément en Judée occidentale, que les premières traces de leur existence ont été découvertes. On ne connaît pas leur origine réelle, mais on retrouve leur culture sur une large bande du Moyen-Orient, qui s’étale du Jourdan jusqu’à la Syrie. Leur ancienneté les fait toujours assimiler à des chasseurs-cueilleurs, mais leur sophistication de plus en plus démontrée au fil du temps en a déjà fait une culture « intermédiaire entre le paléolithique et le néolithique ».
En fait, il ne s’agit plus tout à fait de simples chasseurs-cueilleurs mais aussi de constructeurs, semi-sédentaires, probablement de cultivateurs-agriculteurs « avant l’âge », mais aussi, on le découvre maintenant, de pratiquants religieux et de guérisseurs-chamans, parmi les premiers connus maintenant, et ayant des connaissances des plantes très avancées.
On situe maintenant leur culture comme étant de « 15.000 ans à 8.000 ans environ » avant maintenant… et comme étant probablement l’une des toutes premières cultures humaines basées sur l’agriculture, l’élevage et la construction de maisons fixes, sédentaires, avec un outillage de plus en plus sophistiqué de pierre polie et la poterie en céramique. Ils se sont donc nourris à la fois des animaux locaux (gazelles, oiseaux, tortues, poissons) et aussi de céréales et légumes sauvages, avant de les domestiquer ou de les faire pousser par eux-mêmes…
Leur répartitions par petits groupes sur de grands espaces fait penser aux spécialistes qu’ils ont réduit volontairement leurs territoires de chasse propre à chaque groupe pour adopter une semi-sédentarisation dans leurs terrains , avec l’utilisation d’outils en pierre pour broyer les céréales sauvages en farines, avec une domestication du chien notamment. :
Voir ci-dessous :
Des découvertes archéologiques bibliques en Israel
Des découvertes archéologiques bibliques en Israel
Ce n'est bien sûr pas la première fois que les anciennes villes citées dans les anciens textes hébraïques, ceux de la Thora et évidemment de l'Ancien Testament soient réellement découvertes archéologiquement. Les spécialistes parlent d'ailleurs maintenant de plus de 20.000 noms de villes et de personnages cités dans ces textes historico-religieux comme ayant été réellement découverts, pour la plupart ensevelis, mais avec des preuves indéniables de leurs correspondances avec ces écrits anciens. Ces dernières années ont été très riches en découvertes de ce type et il devient de plus en plus difficile pour les sceptiques de nier les intérêts immenses de tous ces textes, du simple point de vue historique et archéologique. Et les spécialistes ne désespèrent pas de trouver un jour l'objet ou la "pierre de rosette" qui permettrait de faire le lien avec les anciens noms de sites, de personnages et appellations oubliés, qui donnerait une correspondance avec les plus anciens récits, concernant David, Salomon et même, pourquoi pas, beaucoup plus anciens comme Moïse et fils, Joseph, et même, rêveurs jusqu'au bout, Noé, Loth ou encore Ezekiel...
Il y a presqu'un an, une découverte en Israël confortait en quelque sorte ces idées de découvertes futures, les progrès techniques et la ténacité des archéologues faisant...
Des ruines brûlées et des murs effondrés, ainsi que des poteries brisées, révèlent la destruction au Bronze final de la ville (YH : Dans l'ancien testament, il est dit que Pharaon (lequel ?), apprenant la mort de David, a attaqué et détruit Gezer puis a tenté d'attaquer Salomon, mais, devant la puissance de ce dernier, a donné sa fille en mariage au roi d'Israel et Gezer en dot... qui resta à Israël par la suite). Sur la gauche se trouve la salle où plusieurs outillages de poterie, un scarabée d'Amenhotep III, un coffret de sceaux-cylindres, ainsi que des outils de pierre ont été trouvés. (Photo: Samuel Wolff | Tel Gezer fouilles)
" Les archéologues, creusant les traces d'une ancienne ville en Israël ont trouvé des traces d'une civilisation humaine encore plus ancienne que le site même.
En creusant soigneusement l'ancienne ville cananéenne de Gezer, les archéologues ont déclaré avoir trouvé un coléoptère scarabée ou une amulette avec un marquage du grand-père du roi Toutankhamon, le roi Amenhotep III, et des débris de poterie Philistine. Alors que Gezer montre des vestiges remontant au huitième siècle avant JC, les nouveaux résultats peuvent être attribués au 14e siècle av JC.
" Elle a toujours changé de mains à travers l'histoire ", a déclaré Steven Ortiz, un expert biblique de la Theological Seminary Baptiste au Texas, et co-directeur de l'excavation, dans une interview. Ortiz a découvert les restes plus anciens de la ville avec un collègue de l'Israel Antiquities Authority, Samuel Wolff.
L'emplacement a été un lieu important pendant les temps antiques pour les commerçants, se dirigeant vers la Mésopotamie, l'Anatolie, l'Egypte, ou la Syrie. La ville a une longue histoire et les dirigeants ont changé tout au long de son histoire. Elle a été donnée au roi Salomon quand il a épousé la fille d'un pharaon égyptien, sur la base des textes bibliques, au dixième siècle. La ville a finalement perdu son importance lorsque la-dite route commerciale a été déplacée pendant la domination des Romains. Le site a été conquis, détruit, et ne fut jamais reconstruit complètement, selon les experts.
" Il n'est pas surprenant qu'une ville qui était d'une grande importance dans les royaumes bibliques d'Israël et de Juda aurait une histoire plus ancienne et aurait joué un rôle politique et militaire important avant cette date. Si vous ne contrôliez pas Gezer, vous ne contrôliez pas la route commerciale de l'est-ouest ", a opiné Andrew Vaughn, un bibliste, qui n'a pas participé à l'étude.
Gezer a été étudiée par les archéologues depuis une centaine d'années. Le site est également l'emplacement des anciens tunnels et puits d'eau qui ont été construits sous terre pour protéger l'approvisionnement en eau en temps de guerre, lorsque les ennemis pourraient l'utiliser pour empoisonner la population et finalement affaiblir la défense.
Source : http://www.techtimes.com/articles/1526/20131120/ancient-canaanite-city-in-israel-was-built-on-top-of-even-older-city-archaeologists.htm
Un ancien complexe de Temple de culte découvert en Israël : des sacrifices rituels pour Baal, le dieu de l'orage ?
Les chercheurs ont découvert un ancien complexe de culte en Israël. Le site a pu être utilisé pour faire des sacrifices religieux à Baal, le dieu de la tempête des Cananéens. Sur la photo, l'une des très grandes jarres pithoid trouvées sur le site.
(Photo: Itzhak Shai)
Un complexe religieux impressionnant de culte antique a été découvert récemment en Israël, versant un nouvel éclairage sur la façon dont les gens pratiquaient la religion il y a 3000 ans. Les archéologues pensent que cette découverte pourrait être un lieu où les anciens Cananéens auraient fait dans le passé des sacrifices religieux.
Le complexe de culte a été découvert à Tel Burna, le site d'un projet d'excavation en cours en Israël. Le projet archéologique de Tel Burna est dirigé par Itzhaq Shai, qui travaille à l'Université d'Ariel. Le site de fouilles est situé dans la région Shephelah d'Israël. L'équipe a commencé l'excavation du site en 2009.
L' excavation sur le complexe de culte nouvellement découvert ne fait que commencer, mais les archéologues ont révélé que la zone était très grande. La cour du complexe était de 52 pieds par 52 pieds (env. 16 m sur 16 m). L'équipe a publié une photo de la vue aérienne du complexe qui montre à quel point le site est grand.
Les archéologues ont trouvé trois coupes connectées (faisant partie du même service), qui venaient probablement de Chypre. Ils ont trouvé des pots qui ont à peu près la taille de l'homme. Les très grandes jarres que l'équipe a trouvé sont appelés des jarres pithoi.
" Les pithoi ont probablement été utilisées comme stockage pour les dîmes apportées au complexe cultuel, même si cela est également en cours d'analyse et précisé par des analyses des résidus», a déclaré Shai.
Ils ont également trouvé des restes d'os d'animaux brûlés qui semblent susceptibles d'avoir été utilisés dans les sacrifices religieux. La religion des gens qui adoraient ici est encore inconnue, mais Shai pari sur Baal, le dieu de l'orage cananéen. Shai a déclaré que son équipe a trouvé des lettres dans le complexe à partir d'un langage appelé Ugarit, découvert dans un autre site antique en Syrie, ce qui suggère que les gens ont probablement adoré Baal.
Les chercheurs ont également trouvé des fragments de masques dans le complexe.
« Les fragments de masques de Burna, tous des nez, sont très intéressants, car ils sont assez grands, mais comme on le voit sur cette photo, ils ont été clairement destinés à être portés. Il est difficile de déterminer exactement ce que les masques dépeignent et si c'est une image spécifique. Mais en général, les masques sont connus pour avoir été utilisés dans les cérémonies et processions cultuelles », a déclaré Shai.
Fragments of face masks, like this one, were discovered in the 3,300-year-old cult complex at Tel Burna. YH : de très larges nez de masques en effet, digne de géants comme... Goliath, le philistin, adorateur de Baal...
Entre autres choses découvertes, l'équipe a également trouvé un objet avec l'écriture égyptienne en hiéroglyphes sur lui. Cela jette un peu de lumière sur les façons dont les gens anciens ont pu voyager et communiquer les uns avec les autres, ainsi que la façon dont ils négociaient... "
Sources : http://www.nbcnews.com/science/science-news/storm-gods-home-ancient-cult-complex-found-israel-n225371
http://www.livescience.com/48261-photos-ancient-cult-complex-in-israel.html
Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 01-11-2014