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Momie chincherro

Un apprenti archéologue de 13 ans trouve une momie de 7000 ans au Chili

Par Le 28/05/2014

Un apprenti archéologue de 13 ans trouve une momie de 7000 ans au Chili

Momie chincherro

Momie Chincherro

C'est assez rare pour pouvoir être signalé, un jeune garçon de 13 ans, lors d'une fouille organisée par son école, a découvert une très vieille momie d'une femme, probablement de la culture de Chinchorro, qui est estimée à 7.000 ans environ avant maintenant. C'est le samedi 24 mai  2014 que la découverte a été faite, dans les contreforts de la Morro de Arica, en particulier dans le domaine de la plage Laucho, où des parties de cette momie ont été découvertes, probablement par le séisme du 1er avril 2014.

Chili arica1

Le petit garçon, nommé Mijael Flores (un nom prédestiné !), affirme adorer les dinosaures et vouloir être paléontologue plus tard. Des histoires comme celle de Mijael sont répétées parmi les 17 enfants qui composent l'Académie de l'archéologie, qui a été créée en Mars par le maître d'école Hans Neira, visant à améliorer la socialisation de ses élèves et leur inculquer l'amour et le respect pour le patrimoine (historique). « Vivant dans une zone de trois frontières, les étudiants trouvent qu'il est difficile de s'identifier avec leurs racines. En visitant les vestiges archéologiques in situ, ils témoins de leur propre histoire, des premiers habitants de la région et aussi d'autres époques. Maintenant, la découverte d'une momie nous excite, car c'est le principal objectif de l'atelier ", explique t-il.

Chili arica2

Vendredi et samedi, le groupe couvrait les zones de la région où des traces de cultures précolombiennes pouvaient se trouver. Des pelles, des balais et de l'enthousiasme, ils sont devenus les petits "Indiana Jones" de l'extrême nord (du Chili). Dans leurs excursions, ils ont trouvé de l'argenterie inca, des lances, des poteries et des vêtements de la culture Hamac, ainsi que des vêtements qui pourraient appartenir à l'époque de la guerre du Pacifique.

Chili arica3

Chili arica4

Sourceshttp://www.latercera.com/noticia/nacional/2014/05/680-579840-9-los-pequenos-indiana-jones-de-arica.shtml

Momies chinchorro chililamoneda

A group of Chinchorro mummies on display in the cultural centre of the La Moneda presidential palace in Santiago, on August 27, 2008 (AFP Photo/Claudio Santana)

http://news.yahoo.com/students-discover-7-000-old-mummy-chile-203010649.html

" Effectivement, il y aurait une explication à la présence de cette momie à la surface. Selon certaines sources, ce serait le puissant séisme qui a eu lieu dans la région au début du mois d’avril qui aurait déterré cette momie. D'une magnitude de 8,2 sur l’échelle de Richter, ce séisme avait même causé la perte de six personnes dans la région d’Arica. Concernant la momie en elle-même, cette dernière serait vieille de 7 000 ans et appartiendrait à la culture Chinchorro. A noter que les momies appartenant à cette culture souvent présentes au Nord du Chili et au Sud du Pérou seraient les exemples momifiés les plus anciens au monde. Ces spécimens seraient même plus vieux de 2 000 ans que les momies égyptiennes.

"Un grand cimetière"

"Cette zone doit être protégée car elle recouvre un grand cimetière pré-colonial" a déclaré Hans Neira, l’enseignant chargé de cette sortie scolaire. Cette sortie avait, pour lui, comme objectif d’inculquer "le respect du patrimoine culturel". Rappelons qu’au mois d’avril, des chercheurs avaient mis la main sur plusieurs momies appartenant à la même Civilisation Chinchorro dans le désert d’Atacama, dont certains squelettes non momifiés datant de 9.000 ans avant maintenant ont été aussi trouvés. Une région un peu plus située au Sud que celle d’Arica. Même cas que pour la momie découverte par les écoliers, ces momies ont quitté leurs tombes après des glissements de terrain provoqués par le puissant séisme. "

Extrait et vidéo : http://www.gentside.com/momie/au-chili-des-enfants-decouvrent-une-momie-chinchorro-vieille-de-7-000-ans_art62259.html
Copyright © Gentside

Notons que toutes les découvertes faites jusqu'à présent sur les Chinchorro prouvent qu'il s'agissait d'un peuple ayant principalement vécu de la mer, dès ses origines, et qui possédait déjà des outils de pêche et de mer sophistiqués dès son arrivée (débarquement ?) sur les côtes du Chili... si on suit la logique archéologique actuelle, les Chinchorro ne seraient pas venus à pied du nord des amériques, mais plutôt en longeant les côtes jusque là... à moins qu'ils ne soient issus de la Polynésie en face ou même de l'antique Mu englouti au même endroit par les séismes et tectonique du Pacifique, il y a environ 9000 ans selon certains chercheurs, voir plus vieux car on sait que les hommes sont en arrivés entre 12000 et 10000 ans : " The latest phase of the Central Andean Pluvial Event occurred between 13,800 and 10,000 years ago, when human settlement began in the Atacama. At 9,500 years ago, the Atacama had an abrupt onset of arid conditions, driving people out of the desert; another wet period between 7,800 and 6,700 brought them back. The effect of ongoing yoyo climates was seen in population increases and decreases throughout the period. " - " La dernière phase de l'Evénement Pluvial du Centre des Andes s'est produit il y a entre 13 800 et 10.000 ans, lorsque l'installation humaine a commencé dans l'Atacama. Vers il y a 9500 années, en Atacama est survenu brutalement des conditions arides, les conduisant à partir du désert ; une autre période humide entre 7800 et 6700 les a ramenés. L'effet des climats en yoyo en cours a été observé quand la population augmente et diminue tout au long de la période. "

Intéressant :

Chinchorro et Arsenic

" Le désert d'Atacama où de nombreux sites Chinchorro sont situés  a des niveaux élevés de cuivre, d'arsenic et d'autres métaux toxiques. Des traces de métaux sont présents dans les ressources naturelles en eau, et ont été identifiées dans les cheveux et les dents des momies, et dans les populations côtières actuelles (Bryne et al). Les pourcentages de concentrations d'arsenic dans les momies varie de <0,8 à ~ 700 microgrammes d'arsenic par gramme... "

http://archaeology.about.com/od/cterms/g/chinchorro.htm

https://plus.google.com/+Sciences-faits-histoires/posts/TqyprbjtJfr  "Les momies les plus anciennes au monde"

Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 28-05-2014

Rapaiti

Les mystères de Rapa Iti

Par Le 27/05/2014

Les mystères de Rapa Iti

Monoliths rapa iti

Des monolithes découverts à Rapa Iti

http://lh4.ggpht.com/-Jpu6zpWzv3s/S4H8P ... img416.jpg
http://lh6.ggpht.com/-lN-00yuACZc/S4H7o ... g415_2.jpg

Tout le monde a entendu parler de la fameuse Rapa Nui, l'île de Pacques et ses nombreuses statues géantes, mais assez peu savent qu'une autre île habitée, la plus éloignée du Pacifique sud-est d'ailleurs, nommée Rapa Iti.

Pour vous situer l'île et avoir un bon résumé de son histoire, voici des extraits du rapport " Anderson Atholl and Douglas J. Kennett (eds), 2012. Taking the High Ground. The Archaeology of Rapa, a Fortified Island in Remote East Polynesia, Canberra, anu E Press, Terra Australis 37, 288 p., bibliogr., annexes, cartes, schémas, nombreuses ill. noir et blanc et couleur dans le texte."

" La «  petite  » Rapa intéresse infiniment moins de chercheurs et de lecteurs que la «  grande  », ou île de Pâques, et elle est encore plus difficile d’accès, formant la plus méridionale et la plus écartée des îles Australes habitées, à quelque 1 100 km au sud de Tahiti, et à plus de 500 de sa plus proche voisine, Raivavae. Le relief tourmenté de cet ancien cratère de volcan empêche d’y établir un aérodrome, les liaisons ne se font que par mer et les approches exigent de la prudence. L’île a une superficie d’environ 38 km2 et culmine à 650 m. L’équipe internationale d’archéologues à l’origine de ce volume (Atholl Anderson, Jacob Bartruff, Judith Cameron, Éric Conte, Brendan J. Culleton, Douglas J. Kennett, Sarah B. McClure, Matiu Prebble, John Southon, Katherine Szabó, Alan J. D. Tennyson, Yolanda Vogel et Bruce Winterhalder) y a séjourné une quarantaine de jours au cours de l’hiver austral 2002, et en publiant une décennie plus tard les résultats de cette campagne, ses éditeurs soulignent d’emblée ce qu’a de provisoire, parfois même de sommaire, la synthèse qu’ils en proposent aujourd’hui.

Atlantide acores

Les Açores et fonds marins probablement hors de l'eau dans une période préhistorique.

George Vancouver, le premier Occidental à décrire l’île où il ne se risqua pas à accoster en décembre 1791, s’étonnait d’avoir distingué à la lunette, au sommet de ses six plus hautes montagnes, des forteresses «  semblables à des redoutes  », avec des palissades, des «  ouvrages avancés  » et des hommes s’y mouvant «  constamment  ». C’étaient les seules habitations observables, «  assez vastes pour loger un grand nombre de personnes  », et il s’interrogeait sur ce qui les avait fait édifier, «  la crainte d’ennemis étrangers  » ou «  celle d’une insurrection domestique  ».

Ces constructions, qui existent bel et bien, ont été examinées successivement par John Stokes à la faveur d’un séjour de neuf mois dans l’île en 1921-1922, par Edwin Ferdon et William Mulloy, membres de l’expédition archéologique norvégienne de Thor Heyerdahl en 1956, puis par Jérôme Walczak en 1997, et elles formaient le principal objectif de l’expédition de 2002, mais heureusement non le seul. L’une de ses principales hypothèses de travail était que les premiers occupants polynésiens de l’île, comme en Nouvelle-Zélande et ailleurs, s’étaient d’abord établis à proximité des côtes pour profiter plus aisément des ressources halieutiques, et c’est en fouillant des abris sous roche proches de l’océan que l’équipe d’A. Anderson a recueilli les données les plus sûres et les plus abondantes, suggérant un premier peuplement vers le xiie siècle de notre ère, avec aménagement en tarodières de zones marécageuses, puis, deux siècles plus tard, l’édification des premières fortifications, soit un siècle plus tôt que ne l’estimaient les mêmes chercheurs dans un rapport précédent (Kennett et al., 2006 : 340 et 350).

(...) La culture du taro aurait ainsi constitué jusqu’aux quatre cinquièmes de la diète des insulaires, et deux chapitres (10 et 13) sont consacrés respectivement à l’étude de sa culture, mettant en évidence une déforestation par brûlis, et à des extrapolations sur le nombre d’insulaires que ces tarodières auraient été susceptibles de nourrir, estimé à 2 000 – alors que Stokes, dans ses observations restées manuscrites, chiffrait à 3 000 habitants la capacité des villages fortifiés. Mais s’agissait-il de résidences ou de sanctuaires, comme avait conclu (après d’autres) J. Walczak dans sa thèse restée inédite ? Pour A. Anderson et son équipe (p. 233), une telle dichotomie n’a pas de sens à propos de chefferies polynésiennes imbriquant toujours étroitement le «  civil  » et le «  religieux  ». Du reste, à côté de la trouvaille dans l’un de ces forts d’os de tortue, «  chiefly food  » (p. 232, mais voir aussi contra Vérin, 1969 : 290, mets réservé aux marae), l’étude des édifices subsistants ne laisserait aucun doute sur leur destination de défense contre les intrusions et de protection des tarodières établies dans leur champ de surveillance. Trop brève, l’exploration de ces constructions impressionnantes, dont la plus haute culmine à 608 m et dont la plus large s’étend sur 2,5 ha (0,5 ha de moins que l’Acropole d’Athènes), n’a pas permis aux auteurs d’établir la forme des bâtiments disparus, notamment la «  structure ovale  » observée dans d’autres îles des Australes (Vérin, 1969  : 56 sq.) et de la Polynésie.

L’édification de ces ensembles fortifiés se serait déroulée en trois phases historiquement significatives, interrompues par l’intrusion des Blancs puis des missionnaires (éloquemment décrite par Richards, 2004) : deux ensembles architecturaux auraient vu le jour au xive siècle, suivis de trois autres au xvie siècle et de plus d’une dizaine au xviiie siècle, pour s’en tenir aux constructions principales dont dépendaient des dizaines de fortifications secondaires et de refuges probablement tardifs mais non explorés par l’expédition (p. 227). Ce développement exponentiel serait à mettre au compte d’une croissance démographique exa­cerbant la compétition violente entre chefferies, estiment A. Anderson et son équipe (p. 253 sq.), s’appuyant sur des modèles appliqués ailleurs en Polynésie. ".

Source :  Gilles Bounoure, « Taking the High Ground. The Archaeology of Rapa, a Fortified Island in Remote East Polynesia de Atholl Anderson and Douglas J. Kennett  », Le Journal de la Société des Océanistes [En ligne], 136-137 | 2013, URL : http://jso.revues.org/6867

Scripts prehistoric

Scripts préhistoriques - Heinrich Kruparz

On peut déjà, en cherchant ce qu'en pensent d'autres chercheurs, se rendre compte que le manque de données (et de volonté d'en trouver) semble étonnant pour une île française, habitée de surcroît... en effet, la dernière expédition officielle française de scientifiques sur cette île date de 1984 ! Et encore, elle n'y a été que pour faire des relevés de radioactivités pour un suivi des retombées des essais nucléaires français dans le Pacifique... Et si vous regardez du côté de la cartographie, de photos et vidéos de ces fondations trouvées, on constate également la très grande pauvreté de ces données. Le fait que la cartographie a été très difficile a établir avec certitude apparaît logique si on considère son éloignement et l'impossibilité d'y construire un aérodrome, ainsi que sa couverture nuageuse de plusieurs zones quasi-permanente...

Un chercheur officiel, géologue de profession, le Dr. Heinrich Kruparz, parle de nombreuses îles du Pacifique recèlant un mystère et une culture commune, mais également de légendes proches parlant d'îles englouties, de géants et techniques avancées : l'Atlantide et la Lémurie (Mu) sont également du domaine prouvé géologiquement par ce géologue (en vo) :

L'Atlantis et la Lémurie. Mythes et légendes ou Civilisations Avancées Disparues du passé ? De nouvelles preuves - elles existent !

Lemurie1

Heinrich Kruparz

Dans le flot de la littérature sur Atlantis, un livre ressort, il est écrit par un géologue qui montre des preuves, fondées sur une connaissance substancielle, qu'il y avait des civilisations antiques - les précurseurs de notre civilisation étaient l'Atlantide et la Lémurie. L'auteur a, pour des raisons professionnelles, été dans de nombreuses régions du monde où il a été en mesure de recueillir les informations pertinentes. Tous ceux qui s'intéressent à Atlantis pourront enfin apprendre de ce livre comment, quand et où ces cultures de la préhistoire se sont effectivement développées et disparues...

World lemurie

Heinrich Kruparz

Voir aussi le livre : http://www.weishaupt.at/laender_reisen/370_atlantis_and_lemuria/

Darwinrise 1nowDarwinrise 2

Heinrich Kruparz

En voici une autre du même géologue (et il en existe qui dépassent les deux heures) avec une possibilité de mettre des sous-titres anglais (moyen) ou même français (mauvais) qui montre des preuves :

Nanmadol

La cité engloutie de Nan Madol-Asie du sud-est - les survivants de Mu ?

Le paranormal à Rapa Iti :

Marcliblin

Marc Liblin fut un homme invraisemblable.

Sa prodigieuse existence me chatouilla les oreilles lors d’une visite à Raivavae, un joyau d’île, située à 800 kilomètres au sud de Tahiti.

Génial pour les uns, pathétique pour les autres, Marc Liblin naît à Luxeuil dans les années trente, en Haute-Saône, d’un père maître de forges.

A l’âge de six ans, il fut traumatisé par des rêves incessants dans lesquels un vieux personnage lui enseignait la physique et surtout une langue obscure — qu’il parlera couramment — mais dont absolument personne ne connaissait l’origine.

Son enfance fut dès lors un cauchemar. Dès son plus jeune âge, la fuite, la lecture et la solitude deviendront ses fidèles alliées. Durant ses années-là, faites d’errance et d’expédients, il tentera désespérément de connaître l’origine de la langue mystérieuse qu’il parlait.

A 33 ans, il débarque en Bretagne. Il est seul, fauché et très marginal. Là, le hasard le fait rencontrer deux professeurs de linguistique, et des chercheurs de l’Université de Rennes essaieront de décoder cette langue, d’analyser ces rêves. Les ordinateurs naissants crépitent. Peine perdue.

Il rencontrera un chinois linguiste. Celui-là lui dira que sa langue pourrait s’apparenter à un idiome parlé cinquante ans auparavant dans les plateaux du Tibet.

D’autres linguistes lui diront que le son de cette langue s’apparentait à une langue Mère, archaïque, morte. De l’Araméen, peut-être ?

C’est dans un bar de Rennes qu’il trouvera la réponse. Il fait le rigolo devant un aréopage de marins Tunisiens ronds comme des billes. Le barman les écoute attentivement.

Marc Liblin, dans un texte intitulé « L’indigène », raconte :

Il [le barman] alla directement aux faits. J’ai déjà entendu parler de cette façon, c’était sur une île du Pacifique, à Rapa (…) : je ne pratique pas cette langue, mais il faut voir Mérétuini Make, une Polynésienne.

Cette femme habite dans une ZUP. Mais il n’ose pas. Il n’ose pas l’aborder, lui parler. En septembre 1980, il rencontre Charly, un Tahitien paumé, cherchant de l’aide. L’occasion est bonne. Les Polynésiens aident les Polynésiens.

"Nous fûmes vite devant sa porte (…). Il me fallut avancer seul vers la femme qui apparut, figée et silencieuse, attendant de comprendre le pourquoi d’une visite aussi bizarre. Ce qu’il y a eu en moi à cet instant, je l’ignore. Mais sans aucun préambule, j’adressai à la statue qui nous faisait face, le flot des paroles de cet autre langage que mes recherches passées, infructueuses, avaient tant contenu. Et la statue répondit le même parler…"

Quelques années passent. Marc Liblin épouse Mérétuini. Ils décident de partir à Rapa.

Rapa iti

Rapa (Photo Tahitipresse.fr)

Située à 1400 kilomètres au sud de Tahiti, Rapa Iti est une île isolée aux confins des îles Australes. Elle est surnommée la petite sœur de l’île de Pâques (Rapa Nui). Le climat y est frais. En hiver, la température peut chuter à 5°. Ici, point de cocotiers, ni de frangipaniers, aucune plage blanche, pas d’exotisme. Une population de 400 âmes, reliées au monde par un bateau de ravitaillement épisodique.

Malgré son mariage (dernier et premier de l’année sur l’île, le 31 décembre), Marc Liblin n’est pas vraiment le bienvenu, et ses questions sur l’origine de la langue de Rapa, irritent « la communauté des insulaires ».

Il écrit : « Mes tentatives d’interprétations linguistiques soulevaient les rumeurs d’un dialogue avec les anciens et leurs esprits ».

Le couple vit dans des conditions difficiles. « Durant six mois (…), je dépéris de ne manger que racines et cœurs de fougères, poissons encore vivants déchiquetés avec les dents, bananes vertes salées à l’eau de mer… »

Rapar

Tous les sites préhistoriques ou historiques connus recensés

Il revient un an plus tard. Exerce le métier de secrétaire de mairie. Puis devient instituteur, initiant les jeunes de Rapa à la physique et la métaphysique. Il récolte des informations et échafaudes des théories, dont certaines sont abscondes, sur la lointaine Rapa Iti.

Même marié avec une insulaire, et père de quatre enfants, il ne s’intégrera que lentement à la vie de Rapa. Le personnage dérange. Il agace. Les tentacules de l’administration française parvenant à s’arc-bouter sur cette île, elles le somment de fournir des preuves de son diplôme de baccalauréat. Incapable de s’exécuter, il est reclassé instituteur auxiliaire, forcé de rembourser des parties de son salaire. Il arrive tout juste à subvenir à ses besoins et à ceux de ses enfants.

Rapaiti

Il meurt des suites d’un cancer en mai 1998.

Ainsi se termine l’invraisemblable – mais véridique — histoire de Marc Liblin. La question demeure : Comment se fait-il que ce garçon de six ans de Haute-Saône ait pu parler, sans jamais l’avoir apprise, une langue uniquement parlée et comprise par une petite communauté insulaire recluse du Pacifique sud ?

Sources : Jean Guillin, L’Archipel des Australes, Editions A. Barthélémy & Editions Le Motu, Avignon, 2001, (ISBN 2-87923-138-8).

Le blog de son beau-fils à Rapa :

http://www.tikiserlynepacific.com/tiki_serlyne_pacific.asp

L’article écrit par Marc Liblin, cité dans cet article :

http://www.tahiti-pacifique.com/

Rapaiti 1

" Très peu d'infos sur cette île volcanique, un monde oublié...Rapa Iti, la petite Rapa, en Polynésie française...petite soeur de Rapa Nui, l'ïle de Pâques..fouillée en 1956 par William Mulloy qui trouva les restes d'un ancien village fortifié...il y a des abris de pierre et des constructions/structures un peu partout sur les crêtes montagneuses de l'île, camouflées entièrement par la végétation...certains parlent de 'forts' (28) construits par les colons au 18/19è siècle pour les expliquer...en moins de deux siècles complètement ensevelis par la végétation?...peu convaincant...d'autres parlent de 'guerre interne' entre autochtones au 13è siècle suite à un manque de ressources...les survivants se terrant dans ces 'forteresses'...mais encore...les habitants de l'ïle de Pâques seraient les descendants d'habitants de Rapa Iti...'Rapa Nui' signifie la grande île; 'Rapa Iti', la petite île. "

Rapaiti bucviki p014b

L'une des rares anciennes photos

Rapa

Ce qui étonne surtout les chercheurs, c'est que même avec une population maximum de 3000 personnes possibles dans des temps reculés, le nombre et la taille des forteresses semble largement surestimés... il est tout aussi possible d'imaginer une protection globale de l'île de dangers d'ennemis provenant de l'extérieur... ou encore que cette île faisait partie du continent englouti et que ces forteresse surveillaient les vallées entourant ce sommet (comme on le constate encore aujourd'hui pour les forteresses mayas par exemple...)

En ce qui concerne l'Atlantide, et du côté de l'Atlantique, cette autre découverte par des brésiliens n'a pas été confirmée pour l'instant par d'autres prélèvements :

L'Atlantide brésilienne aurait été découverte par des géologues

Des géologues brésiliens ont annoncé avoir trouvé à 1 500 kilomètres des côtes de Rio de Janeiro, dans les profondeurs de l'Atlantique sud, des morceaux de roches qui pourraient être une partie du continent submergé lors de la séparation de l'Afrique et de l'Amérique du sud, époque où a surgi l'océan Atlantique il y a cent millions d'années. Selon Roberto Ventura Santos, directeur de géologie de ressources minérales du Service géologique du Brésil, des échantillons de granite ont été trouvés il y a deux ans, lors d'une opération de dragage (retrait de sol océanique pour analyses), dans la région dénommée "Élévation du Rio Grande", une cordillère maritime en eaux brésiliennes et internationales. Or le granite est une roche considérée comme continentale. "Cela peut être l'Atlantide du Brésil. Nous en sommes presque sûrs mais nous devons renforcer notre hypothèse. Nous aurons la reconnaissance scientifique finale cette année quand nous aurons fait des forages dans la région pour trouver plus d'échantillons de ces roches", a expliqué M. Ventura cité par le site d'information G1 de Globo. (Le Monde)

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L'originale montrée au début du reportage

Bresil atlantique roches1

Une interprétation d'éventuelles ruines visibles au début de la vidéo ?

Autres sources : http://www.larevelationdespyramides-leforum.com/viewtopic.php?f=35&t=581

ttp://img21.imageshack.us/img21/7505/morongouta2.jpg
http://sphotos-a.ak.fbcdn.net/hphotos-a ... 9888_n.jpg

Rapamap

Rapa Iti Map

Une autre question n'est toujours pas vraiment résolue, c'est celle de la provenance des premiers habitants de l'île de Paques, que certaines légendes pourraient attribuer comme étant des hommes ayant fuit Rapa Iti...

Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 27-05-2014

Dans Sciences
Atom e projet logo

Les actualités ATOM-E TV 1

Par Le 26/05/2014

Les actualités ATOM-E TV 1

Atom e projet logo

Atom-e est un projet initié par un ensemble de plusieurs sites internet dont l'intérêt commun est la science. Ce projet consiste à aborder quatre grands thèmes scientifiques : astronomie, histoire, océanographie et la géographie.

Atom e projet

A travers une série de vidéos, les internautes pourront découvrir une multitude de sujets dont certains sont parfois peu connus...

Atom-e, c'est aussi une chaine ouverte aux curieux: l'actualité des sciences est naturellement mise en avant, tout comme les thèmes qui vous tiennent à coeur. Ainsi, la diffusion des vidéos se fait au gré des envies des internautes et selon les attentes de chacun.

Il va de soi qu'avec un tel projet, la science s'invite chez vous !

Car le projet atome, actuellement disponible sur youtube, offre un contenu accessible en direct mais aussi en différé puisque les vidéos sont visibles n'importe quand, 24h/24 !

De même, en parallèle des émissions en direct, un grand nombre de reportages sont d'ores et déjà proposés, et ce n'est qu'un début... Une vingtaine de vidéos en HD 720p sont disponibles.

De l'infiniment petit à l'infiniment grand, je vous donne rendez-vous dès maintenant au coeur du projet atome...


1 - Les liens entre l'histoire de l'art et l'histoire de l'astronomie

François LEGENDRE, Professeur d'Histoire de l'Art à l'Université d'ARRAS et spécialiste du lien entre Art et Astronomie, vous présente :
Les liens entre l'histoire de l'art et l'histoire de l'astronomie - " Art et Cosmologie, les Expressions Plastiques de l'univers dans l'histoire de l'art. "


2 - "Ces boules de surprises qui nous tombent sur la tête"

1ère partie de la conférence de Michel Deconinck sur "Ces boules de surprises qui nous tombent sur la tête", étoiles filantes et météores aux 8èmes rencontres de l'espace d'Auriol de septembre 2013.


3 - Etoile filante et météore - Michel Deconinck (2)

2ème partie de la conférence de Michel Deconinck sur "Ces boules de surprises qui nous tombent sur la tête", étoilese filantes et météores aux 8èmes rencontres de l'espace d'Auriol de septembre 2013.
http://lesentierdesplanetes.webnode.fr/
http://www.aquarellia.com/


4 - Auriol à la rencontre de l'espace édition 2013

Auriol à la rencontre de l'espace édition 2013, vous est présentée par Eclipse des sites Astropléïades et Rallumons le ciel.
Les 8èmes Rencontres de l'espace se sont déroulées à Auriol dans le département des Bouches du Rhône.
Nous remercions la cité de la jeunesse et la mairie d'Auriol, l'astronaute Michel Tognini, Pierre emmanuel Paulis de l'Euro Space center, Michel Deconinck du sentier des planètes, Fanny des Petits Débrouillards du P.A.C.A.

http://www.mairie-auriol.fr/
http://www.lespetitsdebrouillardspaca...
http://www.eurospace.be/page280415.aspx
http://www.eurospacecenter.be/fr.html
http://www.aquarellia.com/
http://lesentierdesplanetes.webnode.fr/


5- Interview de l'astronaute Michel Tognini

Michel Tognini est un astronaute français de l'Agence spatiale européenne (ESA).
Il a pris part à la mission « Antarès » du 27 juillet au 10 août 1992. Il s'agissait de son premier vol à bord de MIR, où pendant 14 jours il a mené un programme d'expériences franco-soviétiques.
Son second vol spatial, lors de la mission STS-93, a eu lieu du 22 au 27 juillet 1999. Il était principalement chargé d'aider au déploiement du satellite Chandra et s'était préparé à une sortie dans l'espace. L'observatoire dans le rayonnement X Chandra, conçu pour une étude approfondie de l'Univers, est équipé d'un télescope devant permettre aux scientifiques d'observer des phénomènes rares comme les explosions stellaires, les quasars et les trous noirs.
Depuis janvier 2005, Michel Tognini est le Chef du Centre Européen des Astronautes (EAC), Direction Vols habités, Microgravité et Exploration de l'ESA, à Cologne.

Les émissions sont en collaboration avec :

http://www.sciences-fictions-histoire...
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://ovnis-direct.com/

https://www.facebook.com/atome2013

Yves Herbo Relai-Sciences-F, H-26-05-2014

Mehrgarhvillage

La civilisation mystérieuse de Mehrgarh

Par Le 26/05/2014

La civilisation mystérieuse de Mehrgarh

Dentistryaa

L'un des plus grand mystères de l'humanité réside dans l'une des plus anciennes cités du monde, à Mehrgarh, au Pakistan actuel. Mehrgarh est un site néolithique (7000-3200 avant JC) sur la plaine de Kachi du Baloutchistan, au Pakistan, et l'un des plus anciens sites ayant des preuves de l'agriculture (blé et orge) et de l'élevage (bovins, ovins et caprins) en Asie du Sud. Le site est situé sur la route principale entre ce qui est maintenant l'Afghanistan et la vallée de l'Indus. Mais la principale question est bien de comprendre par quel miracle, a quelles découvertes ou rencontre est due la subite transformation de chasseurs-cueilleurs en constructeurs de maisons parfaitement rectangulaires ou carrés et des entrées par le toit, mais aussi des techniques de forages et de soins dentaires performants, puis les premiers systèmes de calculs des décimales et une écriture encore indéchiffrée à ce jour... Sont-ils des descendants de la cité engloutie de Dwarka en Inde, de ceux de Gobekli Tepe en Turquie actuelle ? Ils ont mené à la civilisation d'Harappa apparemment, qui a soudainement disparu... 

Mehrgarhvillage

Selon l'archéologue français Jean-François Jarrige, «Le site couvre une superficie d'environ 500 acres [200 hectares] pour les seuls vestiges pré-harappéens» et montre «la preuve d'une occupation continue depuis plus de trois millénaires avant la civilisation d'Harappa ". L'équipe a également fouillé environ 360 tombes de Mehrgarh où les morts, parfois enterrés avec des paniers goudronnées à leurs pieds, ont eu des effets funéraires, y compris non seulement des objets utilitaires, mais aussi des ornements habilement conçus. Ces ornements ont utilisé des matériaux qui ont dû avoir été introduits d'une assez longue distance : tels que des coquillages, du lapis-lazuli, et de la turquoise.

Figurines mehrgarh

 

Figurines en argiles 9000 ans

" L'analyse métallurgique d'une barre de cuivre d'une sépulture du néolithique (6e millénaire avant notre ère) à Mehrgarh, au Pakistan, a permis la récupération de plusieurs fils, conservés par la minéralisation. Ils ont été caractérisés selon la nouvelle procédure, en combinant l'utilisation d'un microscope à lumière réfléchie et un microscope électronique à balayage, et identifié comme le coton (Gossypium sp.). Les fibres de Mehrgarh constituent le plus ancien exemple connu de coton dans le Vieux Monde et repousse la date de la première utilisation de cette plante textile de plus d'un millénaire. Même s'il n'est pas possible de déterminer si les fibres sont venues d'une espèce déjà domestiquée, la preuve suggère une origine précoce, peut-être dans la plaine de Kachi, de l'un des cotons de l'Ancien Monde. "

Ref. : Christophe Moulherat, Margareta Tengbert, Jérôme-F. Haquet et Benoit Mille: "Première preuve de coton au néolithique de Mehrgarh, Pakistan: Analyse des fibres minéralisées d'une perle de cuivre." Journal de la science archéologique, Décembre 2002, Volume 29, Issue 12, pp 1393-1401.

Laterperiodmehrgarh

Les morts ont été placés dans une position fléchie, dans les premiers temps face au sud avec leurs têtes vers l'est et les pieds vers l'ouest et à une période plus tard, un changement dans l'orientation de squelettes a été trouvé avec la tête vers le sud-est et les pieds vers le nord-est.

Les preuves d'une dentisterie préhistorique ont été identifiées dans un cimetière, sur le site néolithique de Mehrgarh, au Pakistan, sur onze personnes soignées entre 7500 et 9000 ans avant maintenant.

Dentistryaa grande

Maxillaire gauche percé deuxième molaire d'un adulte de sexe masculin (MR3 90) à partir du néolithique de Mehrgarh. L. Bondioli (Musée L. Pigorini, Rome) et R. Macchiarelli (Université de Poitiers).

Selon un rapport publié dans le numéro de Nature du 6 Avril 2006, des chercheurs italiens travaillant sur ​​un chantier de cimetière dans la ville néolithique de Mehrgarh ont découvert des trous de forage sur au moins onze molaires de personnes enterrées dans le cimetière MR3. La microscopie optique a montré que les trous sont coniques, cylindriques ou de forme trapézoïdale. Quelques-uns avaient des anneaux concentriques montrant des marques de foret ; et quelques-uns avaient des preuves de la décroissance (du foret). Aucun matériau de remplissage n'a été noté, mais l'usure des dents sur les marques de forage indiquent que chacune de ces personnes ont continué à vivre après que le forage ait été achevé.

Togauware

Les caries dentaires (ou cavités) sont le résultat des sucres et des amidons dans la nourriture que nous mangeons. Les chasseurs-cueilleurs, qui ne comptaient que sur les protéines animales, n'ont généralement pas de cavités, les cavités sont associées à l'utilisation de racines et tubercules, de céréales riches en amidon (Walker et Erlandson, 1986).

Maleterracotta

Perceuses et forages dans la préhistoire

Les chercheurs soulignent que seulement quatre des onze dents contenaient des preuves claires de soins liés au forage ; cependant, les dents forées sont limitées à des molaires à l'arrière des deux mâchoires inférieure et supérieure, et ne sont donc pas susceptibles d'avoir été faite à des fins décoratives. Les forets fins sont connus à Mehrgarh, longtemps associés à l'industrie de la perle locale. Les chercheurs ont mené des expériences et découvert qu'en utilisant un petit foret de silex attaché à un foret à archet, il a fallu moins d'une minute pour produire des trous semblables dans l'émail humain.

Les techniques dentaires ont été découvertes sur environ 0,3% de la population (11 dents sur un total de 3880 examinées à partir de 225 individus étudiés à ce jour), de sorte qu'elles étaient rares, et, semble avoir été une expérimentation éphémère. Bien que le cimetière MR3 contient du matériel squelettique plus jeune (dans le chalcolithique), aucune preuve d'un forage d'une dent n'a été trouvée après 6500 avant maintenant. (YH : étonnant qu'une telle technique de soins si tôt n'ait pas au contraire été développée et améliorée mais ait disparu !)

Références

Coppa, A., et al. 2006. Début tradition néolithique de la dentisterie . Nature 440 (6 Avril 2006) :755-756.

Walker, Philip L. et Jon M. Erlandson 1986 de preuves Dentaire à changement de régime alimentaire préhistorique sur les îles du canal du Nord, en Californie. American Antiquity 51 (2) :375-383.

Sources : http://www.humanjourney.us/preAxialHarappa2.html + http://archaeology.about.com/od/inventions/ss/neo_dentistry.htm

 

Yves Herbo Traductions, Sciences, Faits, Histoires, 26-05-2014

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Interview radio de Klaus Dona au sujet de nouvelles découvertes

Par Le 25/05/2014

Interview radio de Klaus Dona au sujet de nouvelles découvertes - MAJ 25-05-2014

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Klaus Dona revient sur ses artéfacts dans une interview radio du 27-08-2013 remplie de nouvelles découvertes fascinantes du monde des " ooparts " - Out of Place artefacts.

Ces objets ne devraient pas exister selon la science actuelle. Klaus Dona a fait des recherches sur ces objets dans des endroits différents comme la Colombie, la Bolivie, le Pérou, l'Équateur, le Mexique et de nombreux autres pays. Il a été en mesure d'exposer ces objets - un exploit que personne n'avait réussi à atteindre depuis que les musées avaient enterré ceux-ci dans leurs sous-sols pour éviter de soulever des questions embarrassantes. Une grande partie des pièces sont dispersées dans le monde entier et dans des collections privées secrètes (pour des raisons de fiscalités ou d'achats au noir évidemment). Klaus Dona a été en mesure de rechercher plus de 3500 pièces, qui n'ont aucune explication logique !

Dans cette interview (vous pouvez activer des sous-titres intuitifs anglais assez mauvais) :

De nouvelles découvertes et résultats de recherche en 2013 :
L' "arc de géant" de 6 pieds (1m83) en Arménie
Créationnisme vs Evolution
Les hiéroglyphes égyptiens en Australie
Ooparts et canulars
Les os d'un géant de 25 pieds (7m62)

Pour mémoire, revoici un extrait du documentaire où l'on voit une (petite) partie des artféfacts en question (Sous-titré en français) :

Le film en entier (en VO) chez une autre source :

Et des articles dont j'en parle aussi : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/beaucoup-d-artefacts-etranges-trouves-en-equateur.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/beaucoup-d-artefacts-etranges-trouves-en-equateur-part-2.html

En MAJ du 25-05-2014, voici les vidéos de tous les artéfacts montrés par Klaus Dona et Nassim Haramein :

Yves Herbo-SFH-08-2013/25-05-2014

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Une cité engloutie au large de la Californie ?

Par Le 24/05/2014

Une cité engloutie sur la faille de Mendocino au large de la Californie ? - MAJ 24-05-2014

Californie citymendocino3 300

James Daniel Sims de Salisbury,Maryland, affirme depuis 2010 avoir fait une découverte archéologique extraordinaire mais que les responsables prévenus ont caché les choses depuis.

" Une découverte que j'ai faite à l'aide de cartes bathymétriques, à partir des données de l'US Navy, à partir de Google Earth qui a depuis été cachée. En utilisant ma webcam QuickCam Pro 9000 avec optique Carl Zeiss, avec des détails d'images parfaites et claires, je me suis entraîné avec cette web cam sur la zone de fracture de Mendocino et avec un peu de peaufinage j'étais capable de capturer ces images magnifiques d'une mine d'or archéologique sous-marine, qui n'a pas encore été explorée. Il y a un monument comme un Sphinx à côté d'un monument du Serpent en saillie de la paroi de soutient de cette ville glorieuse. Egalement capturé se trouve un réservoir d'eau avec un morceau de tête d'oiseau frontal avec un câble attaché pour descendre dans l'eau. Des remparts et des routes peuvent être vus partout. Des archéologues sous-marins et des explorateurs sont nécessaires immédiatement pour converger au large de la côte de la Californie, pour découvrir les trésors de la zone de fracture de Mendocino, sous la ville submergée.Veuillez passer cette info dans le monde de l'archéologie que tous puissent connaître l'existence de cette culture de la zone de fracture de Mendocino ".

Mendocinoa pers sm

La partie orientale de la Mendocino Ridge, où elle empiète sur la marge continentale, est appelée le Gorda escarpement. Notre enquête imagée de l'escarpement de 125 ° W à 125 ° 40 'W et montre deux morphologies distinctes. La partie orientale (à environ 125 ° 20 'W) est lisse et a une faible rétrodiffusion, ce qui suggère un manque d'affleurements rocheux. Le long de la partie orientale, il y a des petits canyons qui coupent souvent les pentes inférieures, mais ne parviennent pas à la rupture de pente de l'escarpement. La partie occidentale est bathymétrique rugueuse et a une grande rétrodiffusion, indiquant des affleurements rocheux.
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" Le programme MBARI, dirigée par Debra Stakes, mettra l'accent sur la lithologie de la croûte océanique soulevée. Le programme NURP financé par l'Etat d'Oregon, dirigé par Robert Duncan rejoint par Martin Fisk et Anne Trehu, mettra l'accent sur l'histoire tectonique de l'escarpement Gorda, et sa relation avec l'évolution de la marge de la plaque. La partie ouest de la zone de fracture de Mendocino (la Menocino Ridge) contient des morceaux levés de croûte océanique (?) et des éléments de preuve d'une exposition subaérienne passée (cette zone a été à l'air libre, comme une île ou presqu'île). La partie est de la zone de fracture de Mendocino est appelé Gorda escarpement. A cet endroit, une exploration sismique récente a imagé des parties soulevées du sous-sol de la lithologie inconnue couverte par des sédiments déformés d'âge inconnu. A l'Est, les canaux de drainage qui ont sculpté le profil du Gorda escarpement semblent commencer à la même profondeur où les couches d'hydrate enterrées disparaissent de l'enregistrement sismique. Les sept jours de plongée de cette exploration exploreront la croûte océanique déformée de la Mendocino Ridge, le contact soulevé entre les plaques Pacifique et Gorda et les canaux énigmatiques sur la partie la plus orientale de l'escarpement Gorda. "
 
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" Les plaques d'Amérique du Nord, du Pacifique et de Juan de Fuca sont les trois plaques tectoniques majeures du Nord-Ouest du Pacifique. Les frontières entre ces plaques sont la faille de San Andreas, la zone de subduction de Cascadia, et la faille transformante de Mendocino (MTF) qui répondent à la Mendocino Triple Junction, près du cap Mendocino, en Californie. Le processus de délimitation des plaques complexe semble avoir créé un bloc épais de la croûte au sud et l'ouest de la jonction triple. Les Roches de ce bloc sont la clé pour décider entre les hypothèses sur le mouvement tectonique dans cet endroit, mais les preuves d'une seule drague recueillies en 1960 sont ambiguës. Cette région peut également fournir un laboratoire pour comprendre les effets de mouvements de la croûte sur les hydrates de méthane et de l'impact de la dissociation de l'hydrate de méthane sur la diagenèse des sédiments. Les hydrates de méthane sont actuellement d'un grand intérêt scientifique international en raison de leur potentiel à influencer le climat et parce qu'ils peuvent être une riche source de combustibles fossiles de l'avenir (très polluant comme tout combustible fossile).
 
Mendofaultzone
 

Le Gorda Escarpement expose plus de 1 km de bloc épais de la croûte le long de la MTF, entre les plaques Pacifique et Gorda. Notre objectif scientifique principal est de recueillir des échantillons de cet escarpement afin de répondre aux questions suivantes: (1) Quelle est l'origine de l'escarpement Gorda ? Est-ce l'extrémité orientale de la Mendocino Ridge, une partie exposée de la croûte océanique soulevée par la collision des plaques Pacifique et Gorda, ou la partie la plus septentrionale de la croûte continentale isolée par la faille de San Andreas vers l'est petit à petit ? Comment y arriver ? A-t-il été ajouté à la plaque Pacifique à partir de la plaque Gorda par compression, ou est-ce le bord d'attaque d'une tranche du continent ? et (3) Est-ce que cette partie de la MTF a été soulevée au niveau de la mer comme partie provenant plus de l'ouest ? Si oui, quand et pour combien de temps ?  Est-ce que cette région a connu un épisode majeur de dissociation de l'hydrate en réponse à un soulèvement tectonique, laissant une signature distincte dans le dossier des sédiments ? Les réponses à ces questions sont importantes pour la compréhension de l'histoire géologique de la faille de San Andreas et de la MTF et peuvent également lier les changements climatiques de la côte ouest de la tectonique verticale le long de la MTF. "

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La crète de Mendocino Ridge qui a été probablement hors de l'eau pendant une époque et une durée indéterminée pour l'instant.

" Une grande partie de l'aile nord de la Mendocino Ridge est recouverte par des sédiments et des talus. Nous avons trouvé quelques gros rochers qui étaient de 500 à 1000 mètres au-dessous du sommet de la crête. La source des blocs n'a pas été trouvée, cependant. Quand nous sommes allés au sommet de la crête, nous n'avons trouvé que des cailloux arrondis et des galets. Le contingent d'Oregon State a suggéré que la Mendocino Ridge était au dessus du niveau de la mer à un moment donné. Cela expliquerait à la fois l'absence de la source des blocs et la raison du sommet pavé. "

http://www.mbari.org/expeditions/Mendocino/history&purpose.htm

 
 
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Extraits des photos de James Daniel Sims tirées des études du fond marin local. Des choses très géométriques effectivement et de possibles bâtiments et terrasses, murs et remparts, mais le peu d'expéditions et plongées dans la région (2 X 7 jours depuis 2000 par MBARI) n'ont pas permis de prouver ces reliefs particuliers, recouverts comme précisé par une couche de cailloux et de sédiments. Les études ont surtout été faites par + 2000 mètres de fond pour étudier les roches basaltiques (de la serpentine trouvée) et les sédiments pour étudier la tectonique et origine de cette forte élévation sous-marine. Les résultats ont démontré à priori que cette élévation était bien une extension de la zone de fracture de Mendocino (MTF).
 

 

La page de James Daniel Sims : https://www.facebook.com/PreservationOfCultureOfMendocinoFractureZone

http://s761.photobucket.com/user/Jademan2010/library/Mendocino%20Fracture%20Zone%20Submerged%20City?sort=3&page=1

http://www.mbari.org/data/mapping/West_Coast_Seamounts/mendocino.htm

Liens en rapport ?https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/des-pyramides-pres-des-cotes-est-des-usa.html

https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/une-base-extra-terrestre-sous-marine-au-large-de-la-californie-du-sud.html

MAJ du 24-05-2014 : Plus bas sur la côte californienne : " L'ancienne côte de la Californie, engloutie il y a des milliers d'années, pourrait-elle abriter une antique base au large de Malibu ? " :

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" Une entrée massive sous-marine a été découverte au large de la côte de Malibu, Californie, à Point Dume, et qui pourrait être le Saint-Graal des chercheurs sur les OVNI / OSU qui ont été à sa recherche au cours des 40 dernières années.

La structure en forme de plateau est de 1.35 miles (2.17 km) x 2.45 miles (3.94 km) de large, à 6.66 miles (10.72 km) de la côte et l'entrée entre les piliers de soutien est de 2745 pieds (836 m) de large et 630 pieds (192 m) de haut. Il a aussi ce qui ressemble à un plafond à l'épreuve total d'une bombe nucléaire qui est de 500 pieds (152 m) d'épaisseur.

Base ufo california4

La découverte a été faite par Maxwell, Dale Romero et Jimmy Church, invités à l'émission "FADE to BLACK de la station Dark Matter Radio Network le lundi 12 mai 2014 et a été annoncée sur Facebook, Twitter et l'émission de radio de Church du lendemain.

La base sous-marine a été un mystère pendant de nombreuses années avec des centaines d'observations d'OVNI / USO ... beaucoup de photos ... mais l'entrée de la base était resté inaccessible ... jusqu'à maintenant.

Base ufo california3

L'entrée peut soutenir des sous-marins nucléaires de taille, l'activité énorme d'OVNI / USO et permettre l'accès aux différentes installations militaires qui sont à l'intérieur des États-Unis tels que la China Lake Naval Base qui est au milieu du désert de Mojave et le Naval Undersea Warfare Center à Hawthorne, Nevada, entre Las Vegas et Reno.

Dans les photos vous pouvez voir son lien à la côte, Los Angeles et ses environs naturels qui ne correspondent pas avec la structure elle-même ... ce qui est énorme à l'échelle. Les piliers de soutien à l'entrée sont de plus de 600 pieds (182 m) de haut.

Alien base fainal

La profondeur entre la surface de l'eau et la partie supérieure de la structure est de 450 mètres ou 1476 pieds et la partie inférieure de l'entrée est de 700 mètres ou 2296 pieds. Voici un neuf images supplémentaires prises de plein sud vers le nord, faisant le tour et se terminant au nord vers le sud en direction de Los Angeles et Santa Monica. Incluse est la nouvelle image de l'étude topographique fait le 22 mai 2014 par Dale Romero. "Misteriosa base alien subacuática descubierta en Malibú, California" - SOURCES : http://www.jimmychurchradio.com/ + http://lujanarchivosovni.blogspot.com.ar/2012/12/underwater-alien-base-discovered.html

Base ufo california2 zoom

YH : à prendre avec des pincettes bien sûr car l'érosion naturelle (et la montée des eaux, la tectonique) fait que le même type de structure en piliers semble se retrouver tout au long de la côte californienne... même si ce plateau est remarquable en effet et que les anciens rivages des amériques devraient en effet recéler des traces anciennes de débarquements ou de comptoirs de pêche des hommes par exemple, puisqu'elles ont été à l'air libre dans le passé, rien ne prouve pour l'instant que cette entrée en est une et que c'est bien vide derrière...

Yves Herbo Traductions, Sciences-Faits-Histoires, 18-03-2014/24-05-2014

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