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Comet 67p churyumov gerasimenko medium

Un petit défilé de comètes intéressantes en 2014

Par Le 14/05/2014

Un petit défilé de comètes intéressantes en 2014

Comet 67p churyumov gerasimenko medium

Comet 67P/Churyumov-Gerasimenko (ESA)

Des scientifiques avaient supposé que 2013 était "une année à comètes" et, malgré la déception sur ISON en fin d'année (qui a tout de même réservé quelques surprises à la NASA puisque la comète ne s'est pas tout à fait désintégrée à son passage au plus près du Soleil, car il y a bien des images d'une réapparition d'un morceau), cela a été le cas pour les amateurs d'astronomie principalement, avec donc les visites des comètes C/2011 L4 PanSTARRS, C/2012 S1 ISON, la comète Lemmon, la comète Lovejoy et C/2012 X1 LINEAR en 2013. Plusieurs n'étaient malheureusement visibles que de l'hémisphère sud... et ce sera encore le cas cette année 2014.

Cette année 2014 comporte une liste intéressante de visites de la part de ces corps de roches enveloppés de glace et neige "sale" (avec certaines possédant aussi probablement des métaux (fer) à cause de certaines activités magnétiques apparemment détectées, ou même la vie sous forme de bactéries, ou de la pré-vie sous forme de molécules organiques. Derrière ce lien se trouve la liste des comètes en transit actuel dans notre système solaire, et suivies par les observatoires dédiés, d'autres découvertes de comètes sont attendues... :

http://pgj.pagesperso-orange.fr/magmois.htm

Déjà, à priori et sauf nouvelle arrivée, les deux seules visibles à l’œil nu ou avec de petits instruments (jumelles-lunettes) le seront dans l'hémisphère sud seulement. C/2012 K1 PanSTARRS devrait être visible à l’œil nu (dans l'hémisphère sud) juste après son passage au périhélie le 27 août 2014 et durant tout le mois de septembre 2014. Elle sera inférieure à la magnitude 10 pendant une très grande partie de l'année, à savoir du 25 mars 2014 jusqu'au début de l'année 2015 ! Largement le temps pour que les astronomes amateurs ou non puissent la repérer. La comète K1 PANSTARRS sera même inférieure à la magnitude 6 (et donc être potentiellement visible à l’œil nu) du 10 septembre au 29 octobre ! Mais à partir de la fin septembre, la comète ne sera plus visible depuis l'Hémisphère Nord, c'est-à-dire au moment où elle sera la plus brillante ! Néanmoins, sa trajectoire promet de bien la voir durant une grande partie de la nuit au printemps et durant l'été, elle devrait être repérable dans le ciel du couchant. Et ceux de l'hémisphère austral vont également avoir la chance de pouvoir observer pendant quelques jours à la mi-septembre 2014, la comète C/2013 V5 Oukaimeden (découverte en novembre 2013) qui sera également visible à l’œil nu dans la constellation de l'Hydre femelle. Elle passera au périhélie le 28 septembre 2014 à environ 0,63 UA du Soleil. Quelques jours auparavant, elle passera à 0,48 UA de la Terre. Elle sera inférieure à la magnitude 10 du 17 août au 1er novembre 2014, et promet d'être visible à l’œil nu, puisqu'elle sera inférieure à la magnitude 6 du 13 au 25 septembre 2014. Elle ne sera pas du tout observable depuis l'Hémisphère Nord, si ce n'est dans les derniers jours de sa période de visible.

Mais l'année 2014 nous a déjà réservé une belle surprise (et d'autres sont en cours) puisque plusieurs nouvelles comètes ont déjà été découvertes, dont celle du 13 mars 2014. L’objet en question a une taille encore inconnue, et présente une atmosphère ou coma d'environ deux minutes d’arc. Validée, la découverte de Cristovao Jacques et de ses collègues porte maintenant le nom de C/2014 E2 (Jacques), la deuxième de l’année pour cette équipe de chasseurs d’astéroïdes et de comètes. Cette nouvelle comète est donc en approche vers le Soleil et se sera le 29 juin 2014 qu'elle en sera le plus près (périhélie), à environ 90 millions de kilomètres. Elle devrait donc survivre à son passage et c'est son retour qui risque d'être très intéressant car elle va passer, deux semaines plus tard, à environ 13.5 millions de kilomètres de Vénus (trajectoire précise encore en cours de calculs).

C2014e2 jacques

La comète nouvellement découverte C/2014 E2 (Jacques) photographiée le 14 mars. Elle croisera prochainement l’orbite de Vénus. © Ernesto Guido, Nick Howes, Martino Nicolini

Une autre comète a été découverte en janvier 2013, la comète Siding Spring et promet un événement très intéressant pour l'automne 2014. C'est en effet le 19 octobre 2014 que cette grosse comète dont le noyau se situe entre 15 et 50 kilomètres de diamètre passera, frôlera plutôt la planète Mars, à seulement 138.000 kilomètres de sa surface (un tiers de la distance Terre-Lune) ! Pour mémoire, le plus éloigné des deux petites lunes de Mars, Deimos, orbite à seulement 23.500 kilomètres de sa planète. Lors de sa découverte, les premiers calculs laissaient même présager une collision avec la planète rouge, mais les dernières données semblent exclure cette possibilités, bien qu'un autre phénomène va probablement pouvoir être observé : si le noyau fait bien entre 15 km et 50 km de diamètre, la coma de débris (considérée un peu comme 'l'atmosphère" entourant le noyau) fait elle environ 150.000 km de diamètre... autrement dit, la coma et les débris, gaz et autres devraient bien évidemment passer sur la planète rouge et ses satellites et se mélanger à l'atmosphère de la planète. Cette dernière est principalement composée de molécules d’eau (H2O), mais si l’on tient compte des composés issus de leur dissociation (tels que l'hydrogène et l’hydroxyde), son diamètre s’étend sur plus d’un million de kilomètres.

Cometec2013a1 sidingspring hubble nasa esa

La comète Siding Spring (comète C/2013 A1) observée par le télescope spatial Hubble. L'image de droite a été améliorée et permet de voir ce qui semble être deux jets de poussières sortir de la surface cométaire. © Nasa, Esa, J.-Y. Li (Planetary Science Institute)

En dehors de l'intérêt scientifique, les techniciens de la NASA sont plutôt inquiets des effets possibles sur les sondes en orbite autour de Mars, qui pourraient être affectées en raison de la production des particules de poussières dont le taux est estimé pour l'instant à 100 kilos de poussières par seconde. Mais si le taux atteignait les 300 kilos par seconde, de fortes perturbations agiraient sur la haute atmosphère martienne, mettant en danger toutes les sondes. Les perturbations devraient durer au moins quatre heures, et il faut protéger les sondes au maximum...

L’Agence spatiale européenne et la Nasa travaillent donc à modifier les orbites de leurs sondes afin qu’elles soient le moins possible soumises au plus fort du passage de la comète, tout en laissant une fenêtre pour observer et analyser les choses. Au sol, à priori, il n’y a aucun risque pour les deux rovers encore en service. Curiosity et Opportunity pourront pointer leurs instruments vers le ciel pendant la nuit du passage de la comète. Cependant, ce n'est pas sûr pour Opportunity, qui fonctionne sur batterie la nuit. L'observation scientifique la plus prometteuse proviendra donc probablement du ciel, avec les observations du Mars Express européen de l'Esa et des Mars Odyssey et MRO américains, bien qu’ils soient conçus pour regarder vers le bas.

Mais les scientifiques espèrent comptent beaucoup sur la sonde Maven, actuellement en route à destination de Mars et qui y arrivera un mois avant le passage de la comète. Cette sonde a spécifiquement été construite pour étudier et analyser l’atmosphère martienne. Elle sera donc idéalement placée pour étudier et surtout comprendre les effets de la coma sur l’atmosphère martienne. Enfin, l’interaction de la coma avec la surface des deux lunes de Mars, Phobos et Déimos, sera également visible, bien que les quantités de vapeur d’eau qui y seront déposées soient probablement faibles, voire très faibles.

Mais avant, nous avons la visite de la comète périodique 209/P Linear qui passera à seulement 8 millions de kilomètres de la Terre à la fin du mois de mai 2014. Du fait de sa proximité notre petit corps de roche et de glace présentera un mouvement apparent impressionnant dans le ciel, parcourant près d'un demi degré en 1 heure ! Entre le 24 mai et le 2 juin 2014, la petite comète 209/P devrait atteindre la magnitude 10 ce qui en fait une cible accessible aux télescopes les plus modestes.

Linear map meteor

Le radiant d'où sembleront provenir les météores de 209/P Linear se trouvera dans la constellation de la Girafe. (la France est visible en haut à gauche).

Quelques jours avant son périgée du jeudi 29 mai 2014, la Terre va croiser la trajectoire poussiéreuse de la comète ce qui pourrait donner lieu à une spectaculaire pluie d'étoiles filantes inattendue.

209p linear trajectoire

trajectory 209P Linear - The periodic comet 209/P Linear will pass to only 8 million kilometers from Earth at the end of May 2014. Because of its proximity to the Earth, our small body of rock and ice present an impressive apparent movement in the sky, traveling nearly half a degree in 1 hour! Between May 24 and June 2 the small comet 209/P should reach magnitude 10 making it accessible to the smaller telescopes. A few days before perigee Thursday 29 May, the Earth will cross the dusty path of the comet which could give a spectacular meteor shower unexpectedly. On the night of May 24 between 7am and 8am UT the observers in North America will be better situated to observe the meteor shower.

Jeremie Vaubaillon de l'Institut de Mécanique Céleste et de Calcul des Ephemerides en France annonce une fréquence ZHR comprise entre 100 et 400 météores à l'heure ! Il n'est pas exclu que la pluie d'étoiles filantes se transforme en tempête car notre planète va traverser toutes les trajectoires empruntées par les débris de la comète entre 1803 et 1924 !

Les zones géographiques bien placées pour l'observation de ces météores sont celles qui feront face à l'arrivée des poussières. Dans la nuit du 24 mai 2014 entre 7h et 8h TU ce seront les observateurs d'Amérique du Nord qui seront les mieux situés.

Structure of a comet node full image

Structure of a comet's environment - ESA - As its ices evaporate, instruments on board the orbiter will study the dust and gas particles that surround the comet and trail behind it as streaming tails, as well as their interaction with the solar wind. - Cavités magnétiques des comètes

Un autre événement relié aux comètes est aussi en cours pour cette année : la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko est en effet la cible de la grande mission spatiale Rosetta. Après 10 ans de voyage dans l'espace, la sonde européenne est sortie avec succès d'hibernation le 20 janvier, prête à la prise des premières images de la comète au mois de mai 2014.

Les mois qui suivront seront riches en premières dans l'histoire de l'aventure spatiale, dès le 10 août 2014, Rosetta se mettra en orbite autour du noyau de 67P/Churyumov-Gerasimenko. Dès stabilisation de la sonde, une cartographie complète du noyau sera effectuée à partir du 27 août 2014. Et c'est le 11 novembre 2014 que la première aura lieu avec l'atterrissage du labo Philae sur la surface de la comète. L'enjeu ? « Confirmer ou infirmer l'hypothèse que les comètes ont bien contribué à amener l'eau sur notre Terre » comme le rappelle si bien Christelle Briois dans le numéro 19 du magazine Espace & Exploration.

Sources : NASA + http://splendeursducielprofond.eklablog.fr/la-comete-209-p-linear-et-ses-meteores-traversent-le-ciel-a107396358 + http://www.cidehom.com/astronomie.php?_a_id=604 + http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronomie-nasa-prepare-survol-mars-comete-siding-spring-53651/#xtor=RSS-8 + http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Rosetta/Comet_67P_Churyumov-Gerasimenko

Notons aussi une bien belle météorite le 04 mai 2014, tombée à la verticale de l’Ontario au Canada et de l’État de New York aux États-Unis :

Grâce aux caméras installées sur le tableau de bord de nombreux automobilistes, la chute de la météorite en plein après-midi du 4 mai 2014 a pu être enregistrée. Son éclat fut aussi important que celui du Soleil ! © ccinhk via Youtube

Cette vidéo d'Androbate date du 05 mai mais est bien celle du 04 mai, avec quelques améliorations,et qui suspectée d'être en fait un OVNI par certains (appréciations et opinions libres).

Yves Herbo, Sciences, F, Histoire, 14-05-2014

Thwaitestongue mini

Antarctique : la fonte des glaciers s'accélère et serait irréversible

Par Le 13/05/2014

Antarctique : la fonte des glaciers s'accélère et serait irréversible

 

Thwaitestongue mini

Deux nouvelles études publiées lundi 12 mai 2014 assurent que la fonte des grands glaciers de l'Ouest de l'Antartique est devenue irréversible. Les deux affirment en outre que la fonte de ces glaciers s'accélère sous l'effet des changements climatiques actuels. 

La première étude, qui s'est appuyée sur une compilation de 40 années d'observations et analyses, a conclu que " Le recul des plus grands glaciers de l'Antarctique de l'ouest a atteint un point de non-retour ". Eric Rignot, l'un des auteurs de la publication, estime que l'actuelle fonte des six plus grands glaciers de cette région, Haynes, Kohler, Pine Island, Pope, Smith, Thwaites accompagne déjà de façon importante la montée des océans. Chaque année, cette région relâche pratiquement autant de glace dans l'océan antarctique que toute la banquise du Groenland. Ces glaciers sont en train de reculer plus vite que ne le prévoyaient la plupart des scientifiques et il n'est pas impossible qu'ils déstabilisent l'environnement de plaques de glace de cette partie de l'Antarctique. Les conséquences seraient potentiellement une montée de trois mètres et plus sur le total des océans au cours de la fonte des décennies à venir.

Le spécialiste pense qu'il est nécessaire de mettre à jour, et à la hausse, les diverses projections du Groupe des Experts sur l'Evolution du Climat (le GIEC). D'après ces projections actuelles, les océans devraient s'élever de 90 centimètres d'ici la fin de ce siècle sans mesures supplémentaires pour réduire les émissions de gaz à effets de serre. Rien que ces projections révèlent que des dizaines de millions de personnes vivant dans des régions côtières vont être affectés. Il faut bien dire que les données qui s'ajoutent au fur et à mesure des analyses ne sont guère optimistes non plus. "Ces glaciers seront un contributeur majeur à la montée des océans au cours des décennies et des siècles à venir, a insisté le scientifique. En fondant, les glaciers s'allongent et leur épaisseur diminue, ce qui réduit leur masse et les séparent de plus en plus du socle rocheux, les faisant ainsi glisser plus vite. L'effondrement des masses de glace de cette partie de l'Antarctique paraît ainsi être irréversible", conclut Eric Rignot. "Le fait que ce recul des glaciers se produit simultanément sur une vaste zone laisse penser que ce phénomène a résulté d'une seule cause : un réchauffement de l'eau de l'océan dans laquelle flotte une partie de ces masses de glace", souligne-t-il.

Le plus grand glacier pourrait disparaître

Thwaitesglacier antarctique

Thwaites Glacier from the air. Thwaites Glacier is so low and wide it is hard to get a good picture, but here you can see the fractured area on still-grounded ice where the fast flow is focused. You can also see the tracks from this region being carried out across the floating tongue. The grounding line is marked by the change to brighter white (more broken) ice just below the words “Fastest flow”. The eastern ice shelf is hidden by the wing of the plane, but the broken front of the floating tongue is in approximately the position of the submarine ridge of Tinto & Bell, 2011.

La deuxième étude, parue dans la revue Science, s'est focalisée sur le glacier Thwaites, le plus massif de l'Antarctique occidental, large de 120 kilomètres. Les chercheurs ont montré que la désintégration de ce glacier avait déjà commencé, et qu'il risquait de disparaître d'ici quelques siècles, le scénario le plus probable se situant entre 200 et 500 ans. D'après les chercheurs, cette disparition ferait monter le niveau des océans de près de 60 centimètres.

"Les simulations dans notre modèle informatique semblent indiquer une accélération dans le futur, sans aucun mécanisme de stabilisation en vue", explique Ian Joughin, un glaciologue de l'université de Washington, l'un des auteurs de cette publication. "Toutes nos simulations montrent que la fonte du glacier fera monter le niveau de l'océan de moins d'un millimètre par an pendant 200 ans, avant de commencer à se désintégrer et à disparaître", ajoute-t-il. A certains endroits, le glacier de Thwaites perd déjà plusieurs mètres d'altitude par an.

Thwaitestongue

Image of the tongue of Thwiates Glacier prior to the most recent ice ice section break off. Image from New Hampshire University MODIS Data Viewer tool.

http://news.sciencemag.org/climate/2014/05/west-antarctic-ice-sheet-collapsing

Yves Herbo, Sciences, F, Histoire, 13-05-2014

Dans Paranormal
Legendesurbaines petit

Légendes Urbaines - Edition Paranormale

Par Le 12/05/2014

Légendes Urbaines - Edition Paranormale - MAJ Ep. 13 à 15 - FIN

Legendesurbaines petit

Nous avons tous entendu une histoire abracadabrante relatant les mésaventures de l'ami d'un ami. Présentée par Frédéric Pierre, la série présente des reconstitutions de légendes urbaines.

Par Pierre Couture et Johanne de Bellefeuille, réalisé par Chantal Limoges et Francis Piquette  - Québec

L gendes urbaines

Légendes urbaines S01E01 édition paranormale - Science-Fiction

La série présente des reconstitutions de légendes urbaines. Pour construire une bonne légende urbaine, il faut une bonne dose d'horreur et la présence de phénomènes qu'on s'explique mal. Voilà pourquoi la science-fiction inspire autant les propagateurs de ce genre de mythes. Les adeptes de ce type de sensations fortes seront servis avec ce premier épisode !

Légendes urbaines S01E02 édition paranormale - Sur la Route

Nous avons tous entendu une histoire abracadabrante relatant les mésaventures de l'ami d'un ami. Voyager, c'est aller à la rencontre de l'inconnu. Mais cet inconnu est parfois beaucoup plus terrifiant qu'un nouveau mets exotique ou une étrange coutume. Qui sait ce qui se cache le long de la route nous menant à destination...

Légendes urbaines S01E03 édition paranormale - Le Bien et le Mal

Cette émission est axée sur le combat entre le Bien et le Mal... ou entre Dieu et le Diable.

Légendes urbaines S01E04 édition paranormale - La vengeance des revenants

Tiens, un revenant ! C'est habituellement comme ça qu'on interpelle celui qu'on n'a pas vu depuis longtemps. On est habituellement heureux de retrouver ses anciens amis, ces revenants de notre passé...

Légendes urbaines S01E05 édition paranormale - Magie et Malédiction

La magie a la cote ces derniers temps. On adore se laisser éblouir par les mentalistes et tenter de trouver l'astuce ou le truquage derrière un tour d'adresse. Cette magie nous fait habituellement sourire...

Légendes urbaines S01E06 édition paranormale - Pouvoirs Méconnus

Les personnages des légendes urbaines ont souvent des pouvoirs surprenants et méconnus. Il y a ceux qui parlent au diable, ceux qui peuvent disparaître ou encore, jeter des sorts. Il y en a même qui peuvent se réincarner dans un tout nouveau corps ! Chose certaine, ils peuvent tous nous faire trembler de peur !

Légendes urbaines S01E07 édition paranormale - Les Fantômes

Légendes urbaines S01E08 dons psychiques

Légendes urbaines S01E09 contacts d'un autre monde

Légendes urbaines S01E10 Les maisons hantées

Pour plusieurs d'entre nous, une maison hantée est une attraction divertissante que l'on retrouve dans un parc d'attractions. Pour d'autres, cependant, c'est une réalité ! Et pour certains, il s'agit d'une véritable épreuve...

 Légendes urbaines SO1E11 Sexe

Légendes urbaines SO1E12 santé et hygiène

Légendes urbaines S01E13 protection

Légendes urbaines S01E14 voyages

Légendes urbaines S01E15 crimes

Fin Saison 1 - notez bien que je ne suis jamais et en aucun cas responsable du retrait éventuel de certaines vidéos ne respectant pas certains droits par Dailymotion : c'est bien leurs auteurs et Dailymotion qui les mettent d'abord à disponibilité.

Yves Herbo-S,Fictions, Histoires, 01, 04, 06, 09, 12-05-2014

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OVNIs : ODH interviews 42 et 43

Par Le 11/05/2014

OVNIs : ODH interviews 42 et 43

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L'édition ODH interviews 42 vous est présentée par Gilles Thomas.

L'invité est Joël Mesnard, directeur de la revue Lumières dans la nuit. Il vous parle des ovni en Corse et des problèmes de l'ufologie.

L'émission est en collaboration avec:

http://www.sciences-fictions-histoire...
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
http://investigationsoanisetoceanogra...


L'édition ODH interviews 43 vous est présentée par Gilles Thomas.

L'invité est René Voarino, ufologue, ancien président du Centre d'Etude Ovni France, membre d'Ouranos et veilleur et Philippe Canepa, président de la Commission d'étude OVNI France.

L'Association CEO FRANCE à pour objet l'étude et la recherche ufologique.

Ses moyens d'action sont la tenue de réunions de travail et d'assemblées périodiques, la publication d'une revue, les conférences, l'organisation et toutes initiatives pouvant aider à la réalisation de l'objet de l'Association.

http://ceofrance.puzl.com/

L'émission est en collaboration avec:

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http://odhtv-replay.kazeo.com/

 

Yves Herbo Relai-Sciences-F, H-11-05-2014

Dans OVNI/UFO
Ufos mrzezyno kolberg pologne baltique 22 06 1993 fig8b

OVNIs : Rapport complet Les sphères de Greifswald 1990

Par Le 11/05/2014

OVNIs : Rapport complet Les sphères de Greifswald 1990

 

worgre-1.jpg

 

Rapport OVNI de classe B par la Society for Scientific Investigation of Anomalous Atmospherical and Radar Phenomena

MUFON-CES, Inc. - Le rapport complet
 

Ufo ovni the greifswald lights august 24 1990ufo.-.ovni.-.the.greifswald.lights-.august.24-.1990.pdf (4.44 Mo)

 

Traduction française par Yves Herbo :

Le 24 Août 1990, de nombreux témoins indépendants ont observé des formations de sphères lumineuses dans le ciel près de la ville de Greifswald, située à proximité de la côte de la mer Baltique. De nombreux rapports de témoins oculaires, soutenus par des vidéos et des photographies, font de ce cas l'une des observations les mieux documentées en Europe.

Bien que le degré d'étrangeté dans ce cas n'est pas très élevé, aucune explication scientifique testée et démontrée n'a été trouvée à ce jour. Certains sceptiques ont essayé de réduire les caractéristiques de ce phénomène à un phénomène connu. Mais, jusqu'à présent, personne n'a expliqué avec succès toutes les données observées et documentées. Les sceptiques semblent
être satisfaits de toute explication possible, même sans démonstrations scientifiques le prouvant. Et d'un point de vue scientifique, une possibilité n'est que le point de départ pour la collecte de preuves et la recherche de confirmation. Dans les " cas Greifswald " pas d'explications convaincantes n'ont été trouvées pour aucune des hypothèses. 

Beaucoup d'observations de ce qui semblait être des groupes de sphères lumineuses ont été signalées dans les premiers jours de Août 1990 près de la côte de la mer Baltique, entre les villes
de Rostock, Greifswald et l'île de Rügen et Usedom. Ces lumières ont affiché un comportement inhabituel, contraire aux avions, ballons, munitions et phénomènes atmosphériques lumineux. Les mouvements de ces lumières semblaient incompatibles avec des objets connus, leur accélération semblait trop rapide et abrupte.

M. Gerald Schwab, un touriste de Berlin, a décrit ses observations à un journal Allemand. Il a déclaré que : « Elles étaient là pendant trois minutes avant d'accélérer rapidement vers l'avant " (Bild, le 31 août 1990).

 

The greifswald lights august 24 1990 map

 

Le 24 août 1990, les lumières planaient dans le ciel au nord-est de Greifswald pendant une relativement longue période de temps. Des centaines de touristes et les résidents locaux de Greifswald, Rostock, l'île de Rügen, l'île d'Usedom et Neubrandenburg ont observé, photographié et filmé les phénomènes. (Fig. 1).

Les informations contenues dans les rapports de nombreux témoins ont été confirmés par beaucoup de films vidéo et de photographies. Ceux-ci sont considérés comme des protocoles de mesure dans un sens scientifique. Même si les protocoles individuels n'ont pas été pris en vertu de conditions scientifiques, ils sont aussi bien faits que d'autres analyses scientifiques.

L'équipe d'analyse de photos du MUFON-CES a reçu six vidéos et 11 photos de différentes personnes et interrogé plus d'une douzaine de témoins personnellement. Aucune des personnes interrogées n'a observé le phénomène depuis le début, ni aucune ne pouvait se rappeler le temps de départ exact de leurs observations individuelles. Cependant, plusieurs des caméras utilisées indiquent un code de temps qui est affiché sur le film. Cela nous a permis de conclure que les phénomènes étaient composés de deux groupes de sphères lumineuses qui planaient presque immobiles pendant environ 30 minutes, entre 20h30 et 21h00 sur la mer Pommearnian (14 ° 10 ' de longitude Est et 54 ° 25' de latitude Nord). Le groupe brillant et le plus proche (à une altitude d'environ 13 °) a formé un cercle de 6 sphères lumineuses. Le second groupe (à une altitude d'environ 20 ° comme on le voit à partir de Greifswald) a formé une sorte de "Y" (par la suite dénommé formation-Y) (Fig. 2).

 

The greifswald lights august 24 1990 fig2

Fig. 2 - Grand angle lumières de Greifswald - 24-08-1990

Un groupe de témoins est composée de 40 écoliers et leurs enseignants qui ont observé des objets à partir d'une distance d'environ 30 km. Les garçons passaient leurs vacances à Mukran sur l'île de Rügen. Ils ont observé que les objets de la formation-Y n'étaient pas stationnaires mais avaient effectué des mouvements individuels au sein du groupe. L'un des garçons a confirmé que certains des petits objets avaient voyagé et fait des va-et-vient entre les deux groupes de lumières.

Lire la suite ci-dessous :

Gall peters

Géographie aménagée, réalité déformée, et des Ley Lines

Par Le 10/05/2014

Géographie aménagée, réalité déformée, et des Ley Lines

Gall peters

Je l'ai déjà dit à de multiples reprises : les successions de gouvernements d'un Etat font en sorte de toujours maintenir un fond historique cohérent par rapport aux événements du passé et actuels... y compris quand les événements du passé ne correspondent pas obligatoirement à la réalité historique mais à celle du vainqueur (de l'Etat) du moment, ou même parfois à celle du vaincu (du même Etat) s'il devient vainqueur par la suite bien sûr. Cet état de fait est tellement ancré dans notre civilisation que, même de nos jours, une grande partie de l'humanité n'a pas eu accès à des réalités apprises et admises par d'autres... et que des corrections historiques auraient dues être faites depuis... nous avons bien plusieurs "niveaux" de réalités dans notre monde, et vous croisez tous les jours des gens qui n'ont pas, devant leurs yeux et réflexions, des expériences tout à fait identiques du même monde que vous. L'exemple flagrant de ces différences de réalités admises et entretenues, jugées "acceptables" par certains et inconnues pour d'autres (donc pas de questions ou pas de choix d'admettre en final la réalité "aménagée") est la comparaison entre deux cartes du monde géographique de la Terre.

Vous connaissez tous la Carte de Mercator parce que c'est la carte que vous avez apprise à l'école et que vos enfants apprennent encore probablement de nos jours :

Carte du monde mercator

il s’agit d'une carte du monde réalisée avec une projection de Mercator, c’est à dire centrée sur l’Europe et respectant les surfaces autour de l’équateur. La carte est optimisée pour un affichage en A3

Cartegerardomercator 1602

L'une des cartes originales de Gerardo Marcator (1602)

Et bien ces cartes sont fausses en grande partie. Elles sont basées sur un point de vue colonialiste et sur le fait que le monde occidental dominait (et domine toujours culturellement) : les proportions et tailles de beaucoup de nations ne sont pas respectées du tout avec la réalité du terrain... A commencer par l'Afrique, évidemment. 

En 1973, le cartographe allemand Arno Peters critiqua la projection de Mercator, en la stigmatisant pour surreprésenter les surfaces des pays riches au détriment des pays pauvres. Il propose alors une nouvelle projection en décalant les longitudes de 45 degrés vers le sud, tout en gardant les latitudes en place. Il obtint donc une projection qui maintient la proportion entre les surfaces sur la carte et les surfaces réelles (km²).

Petersprojection over

 

Voici ce qui ressemble un peu + à la réalité. En bas vous pouvez voir les énormes différences entre différents continents ou nations présentées partout dans l'actualité de tous les jours et la réalité... 

Gall petersUne carte satellite plus réaliste

Ce n'est pas une illusion, le continent africain est immense, et l'Amérique du Sud (17 840 000 km²) regagne l'importance que la carte Mercator lui fait perdre par rapport à l'Amérique du Nord (22 080 000 km²).

Cette carte devint un outil très apprécié des tiers-mondistes (devenus les altermondialistes) cherchant le rééquilibrage des inégalités entre les pays du monde. Elle offre une nouvelle lecture en démontrant que les pays du Sud ont un poids beaucoup plus important qu'on peut le penser sur notre planète. Au contraire de la projection Mercator, nous voici devant un exemple concret d’utilisation intentionnelle d’un type de représentation cartographique du monde à des fins politiques, et dans le sens d’un monde plus équitable.

Mais attention, ce n'est pas non plus toute la réalité car cette disposition fausse les directions vers les pôles, écrasent un peu les perspectives : si on la déplace vers le nord ou le sud, les terres reprennent un peu plus d'épaisseur (pour respecter leurs réels nombres de kilomètres carrés) mais sans l'exagération de la mercator...

Dans ces différences de cartes, tout tient en quelque sorte à l'endroit où l'on dispose l'équateur par rapport au plan 2d de la carte à plat, Mercator à gauche avec l'équateur disposé vers le bas (Sud écrasé) et Peters à droite avec l'équateur au centre (plus logique sur la réalité mais qui "écrase" un peu les terres en largeur... :

Mercator 1Peters

Sources : http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/logphil/notions/raison/convers/carto/mercator.htm + http://derrierelescartes.over-blog.com/article-13314963.html + Wikipedia

Mais nous allons en profiter pour aborder une autre carte : celle imaginée par Alfred Watkins et améliorée par beaucoup d'autres chercheurs depuis, tel Ivan P. Sanderson, qui a été le premier à affirmer que la forme icosaèdre était évident et au travail à travers la planète. Voici un petit dossier traduit du site http://ancientexplorers.com/

Ley lines 1 world view

" Il y a-t-il une "grille d'énergie" invisible autour de la planète ? Une grille qui peut détenir le secret pour obtenir la puissance qui peut être utilisée pour le bon ... ou le mauvais ?

Nikola Tesla a dit: « Si vous voulez trouver les secrets de l'univers, il faut penser en termes d'énergie, de fréquence et vibration. "

Aujourd'hui, nous savons que Tesla avait raison. La physique quantique a démontré que toutes les matières, dans leur base sous-atomique, sont en fait de l'énergie. Cela comprend à la fois la vie sensible, les objets inanimés et les particules de l'espace. La matière est, en fait, plus de l'énergie qu'une "chose".

Sous son (apparemment) forme solide, la matière émet aussi de l'énergie, que d'innombrables études ont montré. Et quand il s'agit de la matière qui émet de l'énergie, nul ne peut être plus important pour nous de comprendre ce qu'est un réseau énergétique. Une grille énergétique, beaucoup le soutiennent, entoure la Terre.

Pourquoi est-ce important ? Parce que si la Terre émet de l'énergie le long de lignes spécifiques et points de croisement qui peut être exploitée par les humains, ceux qui connaissent ce pouvoir ont à un net avantage sur ceux qui restent ignorants.

PLUS QUE PEUT VOIR L'OEIL

Comme avec beaucoup de "mystères non résolus», la notion d'une grille qui entoure la Terre a polarisé les théoriciens et les experts en deux camps distincts : ses promoteurs et contradicteurs. Alors que les partisans font valoir que de nombreuses preuves existent pour prouver l'existence d'un réseau énergétique, les sceptiques classent la théorie comme un autre élément de la frange populaire proche des théoriciens de la conspiration.

Mais même si les penseurs traditionnels rejettent l'existence même d'une grille, un examen plus approfondi indique qu'il pourrait y avoir beaucoup plus ici que ce que voit l’œil.

LES LIGNES "LEY" ET DES CENTRES DE POUVOIR PRÉHISTORIQUE

Les lignes qui composent ce réseau (en théorie ou en fait) sont souvent désignées comme des "Ley Lines," et quand nous les étudions de près, on voit que les êtres humains à travers l'histoire semblent avoir été bien au courant de leur existence, grâce aux nombreux sites antiques trouvés sur leur longueur.

Le terme «Ley» lui-même vient de l'anglo-saxon, qui signifie «bandes défrichées de terrain» ou «prairies». Mais ces lignes auxquelles nous nous référons sont principalement énergiques, et existent, que la terre soit dépouillée de sa couverture du sol ou non.

Toutes les lignes Ley répondent à des points d'intersection, formant une matrice ou une grille à travers le corps de la planète. Ces points de la grille, selon les promoteurs de la théorie, sont les plus forts "points de puissance" sur la Terre. Apparemment, beaucoup de nos ancêtres le pensaient aussi, puisque des sites sacrés comme des pierres levées, des monticules, des mégalithes, des pyramides, des vortex d'énergie célèbres, et même des cathédrales sont souvent situés directement au-dessus de ces points de puissance, ces croisements.

En fait, la cartographie de la grille nous montre que beaucoup des sites les plus renommés au monde siègent au sommet des points de rencontre des lignes telluriques. Machu Picchu, les pyramides de Gizeh, l'île de Pâques, Puma Punku, Lhassa au Tibet, les anciennes ruines de Mohenjo Daro, Findhorn en Ecosse, le Triangle des Bermudes, les tourbillons de l'Arizona, Angkor Wat, les lignes de Nazca, de nombreux obélisques, et les structures en forme de dôme sacrés dans le monde entier, tous témoignent de la possibilité très réelle que quelque chose au-delà du monde visible est impliqué ici.

Comprendre exactement comment nos ancêtres connaissaient l'existence de ces lignes peut toujours rester un mystère, mais ce que nous pouvons déduire aujourd'hui de notre propre connaissance, révèle des informations qui peuvent puissamment aider la planète - ou profondément lui nuire - en ces temps trop critiques.

PSEUDOSCIENCE OU RÉALITÉ PLATONICIENNE SOLIDE ?

Selon la pensée dominante, l'étude d'un réseau planétaire est considéré comme une «pseudoscience». Cependant, lorsque nous nous tournons vers les mathématiques précises liées à cette grille, puis nous reportons aux tendances et aux thèmes reflétés dans la géométrie sacrée, un sens au-delà de la pensée scientifique matérialiste commence à émerger.

Platon a reconnu les grilles et a formulé une théorie sur la Terre, qui indique que la structure de base de la planète a évolué géométriquement : des formes les plus simples aux plus complexes.

Il n'est pas surprenant que ces formes soient aujourd'hui connues comme les "solides platoniques" et comprennent les suivants : le cube, le tétraèdre, l'octaèdre, le dodécaèdre, et l'icosaèdre.

Selon la théorie de Platon, ces réseaux d'énergie autour de la Terre ont évolué à travers chacune de ces formes dans le temps, avec la plus complexe superposée à son prédécesseur. Le résultat est un champ englobant tout ce qui constitue la base énergétique de la Terre. Une énergie, selon Platon, qui maintient littéralement la Terre ensemble.

IDENTIFICATION RAPIDE DES LIGNES TELLURIQUES

En 1921, Alfred Watkins, un pionnier anglais de la photographie avait quelque chose qu'il a appelé une «inondation du mémoire ancestrale» tout en regardant une carte de la campagne du Herefordshire.

Englandwales leylines

Watkins remarque que de nombreux lieux préhistoriques, comme des menhirs, tumulus de terre, collines préhistoriques de terre et d'autres fonctionnalités sont placés sur des lignes droites qui s'étendaient sur des miles à travers le pays. Watkins a passé de nombreuses années à étudier ces alignements, à la fois sur le terrain et sur les cartes.

Il a pris des photos, a écrit des livres et donne des conférences. En réponse à son travail, en particulier à son livre le plus important, The Old Straight Track (1925), un groupe de personnes à travers la Grande-Bretagne a formé ce qu'ils ont appelé le "Straight Track Club". Ce groupe a mené des recherches sur le terrain tout au long de la Grande-Bretagne, à la recherche d'alignements de sites, et les restes de vieilles pistes droites situées sur leur longueur.

Il a fallu attendre les années 1960 pour que les recherches d'Alfred Watkins aient été favorisées et modifiées par d'autres. L'un d'eux était Tony Wedd, un ancien pilote de la Royal Air Force. Wedd croyait que les lignes desservaient une fonction tout à fait différente. À savoir : les «réticules» des intersections de lignes ont été utilisés comme sites d'atterrissage d'OVNI. L'hypothèse de Wedd a inspiré d'autres enquêtes, dans les années 1960 et à l'échelle mondiale, sur l'examen de la production d'énergie le long des Ley Lines.

"BUCKY BALLS" ET VILS TOURBILLONS

Comme cela s'avère, il existe plusieurs cartes quadrillées de Ley lignes. La variété peut être attribuée aux différents chercheurs du 20e siècle. Tous, cependant, tirent des conclusions à partir des géométries fondamentales des solides de Platon.

Becker hagens 1983

Bill Becker et Bethe Hagens, par exemple, ont mené des recherches approfondies sur les Ley Lines. Leur révision du code des positions terrestres des solides de Platon a été basée sur le travail d'Ivan P. Sanderson. Sanderson a été le premier à affirmer que la forme icosaèdre était évidente et au travail à travers la planète.

Sanderson a identifié ce qu'il appelle les Vile Vortices” ou «Vortex du mal", distribués géométriquement à 12 endroits clés à travers le monde. Tous ces sites partagent la même qualité, la plupart du temps négative. Les plus célèbres d'entre eux sont le Triangle des Bermudes et de la Mer du Diable.

Becker et Hagens ont supportés, en grande partie, la carte du réseau planétaire comme initialement décrite par l'équipe russe Goncharov, Morozov et Makarov. L'équipe a organisé la grille différemment Sanderson, en se basant plutôt sur la relation entre la Grande Pyramide de Gizeh, et l'axe des pôles nord et sud.

Cependant, Becker et Hagens croyaient que la version russe était incomplète. Cela les a conduit à théoriser et tracer une nouvelle variante, plus complexe, d'une grille de la Terre, sur la base de la base icosaèdre, polyèdre sphérique de R. Buckminster Fuller.

Même si des experts comme Dan Shaw, Nassim Haramein, Becker et Hagens, Sanderson et les Russes ont tous mené des recherches sur les Ley Lines, (les alignements sont prouvés astronomiquement et archéologiquement, les énergies telluriques sont détectables et détectées magnétiquement et par les sourciers de façon naturelle, etc...), la science traditionnelle ne reconnaît pas officiellement leur existence ou leur l'influence. (...) "

http://ancientexplorers.com/blog/ley-lines/

Yves Herbo Traductions, sciences, F, H, 10-05-2014

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