Articles de yvesh
Un squelette d'un géant humain préhistorique de 15 mètres reconstitué ?
Un squelette d'un géant humain préhistorique de 15 mètres reconstitué ?
Bon, nous avons déjà l'habitude des hoax et fausses photos (dont celles commandées par des concours pour photoshop par exemple) de squelettes de géants humains soit-disant découverts un peu partout dans le monde. Cette fois, nous avons droit (éventuellement) à un vrai squelette de géant en train d'être reconstitué par une équipe. Qu'en est-il pour l'instant, avec cet article surprenant qui est tombé dans les tabloïdes :
" RECONSTRUCTION du squelette humain géant "
Genèse 6:4... Il y avait des géants à l'époque...
Reconstruction du squelette géant trouvé à Loja en Équateur, le 19 octobre 2012, dans la province de Loja, au sud de l'Équateur et la frontière du Pérou. Ancien résident, je me souviens avoir entendu il y a longtemps que dans les belles vallées de cette province il y avait des squelettes qui auraient été découverts, très semblables à ceux des humains, mais d'une taille incroyable.
De loin, le plus célèbre de ces découvreurs a été Carlos Miguel Vaca qui avaient gardé jusqu'à sa mort en 1999, plusieurs os et fragments trouvés sur un site nommé « Changaiminas », qui traduit en espagnol signifie « cimetière des dieux ».
Plusieurs fragments ont été envoyés à la Smithsonian Institution aux Etats-Unis, afin qu'ils étudient leur densité, âge et poids. Un fragment de cette collection a été présenté par le célèbre chercheur Klaus Dona.
Plusieurs autres fragments sont connus pour faire partie de collections privées. Du squelette fragmenté suivant, sept fragments ont été étudiées par sept différents scientifiques et anatomistes, qui ont confirmé qu'ils font partie d'un squelette humain de sept fois la taille d'un être humain moderne ! Le scientifique de Californie Alex Putney a participé à la reconstruction du squelette pendant huit mois avec une équipe sur la base des fragments. "
Sources : https://www.facebook.com/1mill.creationist?fref=ts
En attente d'autres sources... Selon une source, ce squelette serait en réalité une "reconstitution" faite au Erich von Däniken’s Mystery Park ancient astronaut theme park à Interlaken, en Suisse... (confirmé)... mais est monté par Alex Putney et contiendrait donc certains moulages de vrais échantillons...
Yves Herbo Traductions, Sciences-F-Histoires, 28-03-2014
Découverte d'une planète naine dans notre Système Solaire et d'un astéroïde a deux anneaux
Découverte d'une planète naine dans notre Système Solaire et d'un astéroïde a deux anneaux
Il y a des jours où les planétologues ne savent plus où donner de la tête. Twitter n'arrête pas de crépiter ce soir avec deux découvertes majeures dans notre système solaire.
La première, c'est celle de l'existence d'anneaux autour de l'astéroïde Chariklo. Ce morceau de rocher de 250 kilomètres de diamètre vient donc rejoindre les géantes Saturne, Uranus, Neptune et Jupiter dans le cercle fermés des objets dotés d'anneaux.
L'European Southern Observatory (ESO) l'a annoncé en début de soirée. Et il n'a pas fait les choses à moitié : Chariklo comporte deux anneaux, de sept et trois kilomètres de large, séparés par un trou de neuf kilomètres. On peut même penser, du fait de leur position nette, qu'il pourrait y avoir un satellite autour de Chariklo qui leur donnerait leur forme régulière.
Vue d’artiste des deux anneaux découverts autour de l’astéroïde 10199 Chariklo. © ESO/L. Calçada/M. Kornmesser/Nick Risinger
La découverte a été effectuée en observant l'occultation d'une étoile par l'astéroïde à partir de plusieurs observatoires d'Amérique du Sud. Il y a eu en effet deux petites baisses de luminosité de l'étoile, en plus du passage de Chariklo. Les chercheurs, sous la direction de Felipe Braga-Ribas ont pu reconstituer la forme de l'astéroïde, et celle de ses anneaux.
Les astronomes ont donné provisoirement aux anneaux les noms de Oiapoque et Chui, qui sont deux rivières situées respectivement à l'extrême nord et à l'extrême sud du Brésil. Les résultats complets de leurs observations doivent être publiés aujourd'hui dans la revue Nature.
Une planète naine peut en cacher une géante ?
L'autre découverte de la soirée, en tout cas son annonce, c'est celle du gros corps céleste le plus éloigné du soleil. On ne le connaît encore que sous le nom de 2012VP113, mais il pourrait fort bien prendre le statut de planète naine, rejoignant dans le club Pluton. Les détails ont été publiés en soirée dans la revue Nature, décidément très prisée des astronomes.
Il mesure environ 450 kilomètres de diamètre, et son orbite est encore plus lointaine que celle de Sedna qu'il vient donc de détrôner. Ces deux planètes naines (même si elles n'en ont pas encore officiellement le titre) pourraient n'être que le début d'une liste d'objets qui naviguent entre la ceinture de Kuiper, dans laquelle se trouve Pluton, et le nuage d'Oort, beaucoup plus lointain, qui marque la frontière entre notre système et le vide intersidéral.
Pour les deux astronomes, il pourrait y avoir toute une population d'objets similaires et qui resteraient à détecter. Les chercheurs laissent même entendre, comme le rapportent le Guardian et Science.com, qu'il pourrait y avoir là-bas un objet de la taille de Mars ou même de la Terre. Ou même beaucoup plus gros, ce que démontreraient des anomalies dans les orbites à la fois de 2012VP113 et de Sedna, mais aussi d'autres objets de la ceinture de Kuiper. Celles-ci seraient consistantes avec la présence d'un objet très massif et extrêmement distant. Super-Terre, fameuse "Planète X"... L'objet en question pourrait être toujours là, à moins qu'il n'ait été éjecté dans un distant passé.
Source : Le blog de Jean-Paul Fritz sur le site du "Nouvel Obs" : Chroniques de l'Espace-Temps
Représentation de l'orbite de 2012 VP113 en rouge et de Sedna en orange. Sedna et 2012 VP113 ne seraient que la partie immergée de l'iceberg parmi les centaines d'autres objets stellaires qui pourraient graviter dans le nuage d'Oort. Trujillo et Sheppard ont déjà repéré 6 autres candidats pouvant appartenir à l'extrémité de notre système solaire.
Yves Herbo-Sciences-F-H, 28-03-2014
Des Egyptiens anciens en Australie ? Part 3
Des Egyptiens anciens en Australie ? - Part 3
Australie - Steven Strong
Cet article fait suite tout d'abord à celui-ci, mes premières recherches sur les pyramides de Gympie en Australie, suite aux très vieilles légendes des aborigènes locaux, qui parlent d'hommes blancs aux yeux bleus, avec des colliers en forme de dauphins et ayant habité les lieux avant eux et qui avaient érigé plusieurs pyramides ici. Ces dernières auraient toutes été rasées par le temps et les colons se sont servis des ruines pour leurs routes et fondations. Une pyramide intacte subsisterait dans une propriété privée, mais peut-être d'autres, enterrées. J'en parlais un petit peu dans ce premier article, voici une traduction des écrits d'un des chercheurs très impliqués sur le sujet, troisième partie de ce premier texte :
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/des-egyptiens-anciens-en-australie.html
Voici des Extraits d'un autre article de Steven Strong, chercheur australien :
" Nous avons filmé des sites connus, et poursuivi la recherche de marqueurs astronomiques ... et tout ce qui a été gravé sur la myriade de plates-formes rocheuses dans la région. La section des hiéroglyphes de Bambara que nous estimons à 92% comme étant du script Proto-égyptien a déjà été examinée dans nos travaux précédents, donc mon objectif principal de ce voyage était les panneaux restants de «glyphes, en particulier, la section d'ouverture qui représente ce que mes collègues et moi soupçonner d'être de la création de l'homme moderne par la manipulation génétique.
Je l'ai déjà indiqué, seulement 44% des textes de cette section est proto-égyptienne, tandis que le reste du texte est constitué de symboles inconnus.
Darkinjung Elder 'tante' Beve (autochtone) est aussi catégorique, il existe deux formes de texte sur les rochers, les hiéroglyphes égyptiens les plus récents et la beaucoup plus ancienne écriture d'origine. Avec une ancienne participation égyptienne / australienne entretenant l'information, il est fort probable que les anciens Egyptiens ont appris l'art de la communication écrite de leurs tuteurs originaux, et les gravures entre les deux murs sont une combinaison de deux cultures et de scripts.
Astro-marqueur australien - 140 autres ont été découverts à présent
Ce qui est encore ouvert à débat ... ce qui a inspiré la genèse de l'ancienne écriture australienne beaucoup plus ancienne ?
Kariong fournit des exemples d'une ancienne forme d'écriture native, et le roc des preuves solides d'une ancienne présence égyptienne en Australie. Et notre dernier voyage à travers le site Kariong a révélé plusieurs nouvelles observations d'importance.
Figure 1
Tout d'abord, nous avons terminé l'examen d'un petit passage de "glyphes" qui paraissaient conclure le segment décrivant la création de l'Homo Sapien - dont j'ai parlé dans mon article précédent (Part 2). Trouvé à l'extrême droite de la narration «génétique», et un peu en dehors de la section suivante, le groupe de huit «glyphes (Figure 1) décrit qui est responsable - et peut-être même leur motivation - pour modifier génétiquement un gène d'hominidé.
Le glyphe le plus grand et central n'est pas Proto-égyptien, et est répété dans une section avec trois ovnis flanquant le même personnage assis. Tous deux montrent un personnage assis avec un bâton-contrôle ou d'un dispositif sortant apparemment de son estomac. Nous croyons que cette personne gouvernait un vaisseau-mère extra-terrestre, et était du plus haut rang. Le drapeau à proximité, ce qui signifie "Dieu", ne fait que confirmer la majesté de l'être ou de la personne représentée. Et l'icône en bas à droite représente l' " oracle ou sanctuaire ", qui renforce le sentiment de l'état et de la bienveillance attribué à cet être.
À côté des pieds du navigateur céleste est un hiéroglyphe que les sceptiques et les fonctionnaires ont préféré attribuer au cadre de la théorie populaire du "canular" , l' «os de chien» mis dans un rectangle deux fois. Bien que les sceptiques nient que le rectangle et os ait une légitimité dans le script Proto-égyptien, le dictionnaire Proto-égyptien de Raymond Johnson "Hieroglyphica de base" (page 38, hiéroglyphe 1172) représente le glyphe exact avec le même rectangle et os. Signifiant «héritier, beaucoup», ce « glyphe représente un patrimoine transmis » d'une persuasion ésotérique et génétique.
Certains peuvent dire que tout cela se résume à de l'interprétation. Mais il y a plus sur ce site de deux murs de hiéroglyphes. Beaucoup plus ! ... Un fait qui a été négligé par les sceptiques et les théoriciens du canular :
OVNIs : Etrange observation sur Nanton (Alberta)
OVNIs : Etrange observation sur Nanton (Alberta)
NANTON - Les habitants de la région de Nanton au Canada continuent de surveiller le ciel, suite à l’apparition de lumières au-dessus de la ville, dimanche soir.
Sam Martine, qui vit juste à l'ouest de la ville, à environ 100 km au sud de Calgary (plus grande ville de la province canadienne de l'Alberta), a déclaré avoir observé deux mystérieuses lumières apparaitre aux alentours de 23h dans le ciel, au-dessus de la maison de son voisin à environ 400 mètres de son domicile.
« La première lumière était grosse et d’un blanc très lumineux », dit Martine, qui se trouvait à l’intérieur de sa maison lorsque les lumières sont apparues.
La deuxième lumière était plus haute que la première. Le phénomène est resté au même endroit durant environ quatre ou cinq minutes, avant de se déplacer en hauteur. C’est alors que Martine et sa fille Baylie sont sorties, et les deux lumières bleu et rouge se dirigèrent vers eux, sans émettre le moindre de bruit, avant de survoler leur maison.
Here is one picture the Martine family was able to take of the flying object that hovered over their cattle fields. (Sam Martine)
Martine a réussi à prendre des photographies des objets.
Le lendemain matin, elle constata que leur bétail était agité.
La dernière fois que l’on a signalé des observations d'OVNIS dans la région de Nanton remonte à la fin des années 1970, lorsque des mutilations animales avaient été signalées dans la région.
Peter Davenport, directeur du « National UFO Reporting Center » de l'État de Washington, a déclaré que ce rapport correspondait typiquement à de nombreuses descriptions d'ovnis.
Il souligne les difficultés que rencontrent les témoins pour convenablement capturer des images, peut-être lié à des interférences électromagnétiques.
On compte en 2013 environ 1180 observations à travers le pays, dont 129 témoins en Alberta.
Sources : CBCNews et Traduction par Ovnis-Direct
Rappelons que si le nombre de rapports d'observations d'ovnis est essentiellement plus élevé dans des pays comme le Canada, les États unis ou même l'Amérique en général, c'est potentiellement lié au fait que des structures spécialisées dans la récolte de témoignages couvrent entiérement leurs territoires.
D’ailleurs, nous entendons très rarement parler d’observations d’ovnis en Afrique, par exemple, étant donné que la population y est moins sensible et moins impliquée dans ce type d’investigation.
Record d'observations d'ovnis au Canada en 2013
Yves Herbo Relai, Sciences-F-H, 26-03-2014
OVNIS : une réalité (Evénement INREES)
OVNIS : une réalité (Evénement INREES)
L'INREES n'a pas tardé a diffuser la vidéo entière de cette conférence-événement qui s'est déroulée le 18 mars 2014 à Paris, ce dont nous les en remercions.
Produit par Stéphane Allix et Sébastien Lilli
Pour aller plus loin : http://www.inrees.com
" En présence du Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l'air belge, et de Jean-François Clervoy, astronaute de l’Agence spatiale européenne, l'INREES a proposé une conférence exceptionnelle avec la journaliste Leslie Kean...
La journaliste d’investigation Leslie Kean, soutenue dans son enquête par les plus hautes autorités jamais encore impliquées sur le dossier, nous livre ce soir le fruit de 10 ans d'enquête à l’occasion de la publication en France de son livre événement : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
Leur origine demeure encore une énigme mais ce que l’on appelle des OVNIS n’en est pas moins une réalité. On parle d’ailleurs officiellement de P.A.N. pour phénomènes aérospatiaux non-identifiés. En effet, chaque année, à travers le monde entier, des dizaines de milliers de personnes disent avoir observé des phénomènes aérospatiaux non-identifiés. Un pourcentage important de ces observations reçoit après enquête une explication conventionnelle. Il peut s’agir d’avions, de débris de satellite, de météorites, de montgolfières ou de ballons, de planètes, ou encore de phénomènes atmosphériques, etc. Les possibilités de méprise sont nombreuses, notamment de la part de témoins peu ou pas habitués à identifier tous les types de phénomènes pouvant être rencontrés ou se produire dans l’atmosphère. Mais au-delà de ces cas expliqués, une part significative des témoignages collectés ne reçoit aucune explication connue. Cette réalité résulte de décennies d’observations et d’investigations de la part de pilotes, de hauts responsables militaires, et de chercheurs. Ce fait, mis en évidence à travers le monde entier par les différents organes ou chercheurs s’étant penchés sur la question, a incité la journaliste d’investigation américaine Leslie Kean, à se lancer dans l'une des plus ambitieuses enquêtes jamais réalisées sur la question OVNI. Le fruit de ce travail est aujourd’hui publié en France sous le titre : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent. C’est un livre événement, salué pour son impartialité et son sérieux. Leslie Kean présentera lors de cette conférence exceptionnelle des indices incontestables sur la présence réelle d’objets volants non identifiés — métalliques, lumineux, et capables de manœuvres qui défient les lois de la physique — dans l’atmosphère terrestre. Elle partagera avec nous le fruit de dix ans d’une enquête acharnée durant laquelle elle a rencontré et interviewé des dizaines d’officiers d’aviation de haut niveau et de témoins à travers le monde, passé en revue des centaines de documents gouvernementaux, de rapports d’aviation, de données radar, et d’études de cas corroborés par des indices matériels.
L’astronaute français Jean-François Clervoy qui a déjà participé à trois missions spatiales, et qui préface l’ouvrage de Leslie Kean sera présent à ses côtés. Il livrera pourquoi selon lui « il est temps de chercher, avec des moyens adéquats, à comprendre ce que sont ces objets ou phénomènes apparemment intelligents surgissant dans notre ciel, dont la réalité est confirmée par de multiples sources. Nous ne savons pas ce que nous trouverons, mais l’ignorance est assurée si nous ne faisons rien. »
Autre invité de marque présent lors de cette grande soirée : le Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l’air belge, en activité au début des années 90 en Belgique alors que le pays était survolé par de mystérieux objets. Ce sujet — des objets au comportement intelligent et à l’origine inconnue évoluant dans l’atmosphère terrestre — est potentiellement l’un des plus importants auquel l’humanité puisse être confrontée. S’y pencher requiert une indispensable ouverture d’esprit, et un solide bon sens journalistique, deux qualités que possède Leslie Kean. Son enquête magistrale permet enfin de séparer les faits de la fiction. "
http://www.inrees.com/videos/571/
Yves Herbo, Sciences-F-H, 26-03-2014
Irak : plus de 1200 villes comme Ur à découvrir encore, Iran : une autre Civilisation
Irak : plus de 1200 villes comme Ur à découvrir encore, Iran : une autre Civilisation
BAGDAD - la province méridionale de Dhi Qar en Irak est "un musée mondial des antiquités", parsemée de centaines de villes anciennes non fouillées dont les trésors archéologiques pourraient rivaliser avec ceux de la grande capitale sumérienne d'Ur, disent les experts.
La ziggourat d'Ur imposante, le lieu de naissance biblique du prophète Abraham et capitale d'un empire prospère qui a régné sur la Mésopotamie il y a plus de 4000 ans, pourrait juste être l'un des nombreux monuments identiques, selon Abdul Razaq Amer, un expert en antiquités irakiennes.
" Les sites archéologiques dans le Dhi Qar peuvent contenir plus d'une ziggourat, qui étaient pour la plupart des lieux de culte pour les gens de Sumer et de Babylone," dit-il.
" Nous devons mettre en évidence les royaumes et les empires importants et significatifs dans la province de Dhi Qar ", ajoute Razaq, comparant la zone à "un musée mondial des antiquités."
" Il y a plus de 1200 villes comparables et équivalentes à la ville archéologique d'Ur, en attente d'être découvertes ", dit-il.
" Ur en Chaldée," a été mentionnée plusieurs fois dans la Bible, a été fouillée la première fois dans les années 1850 par le consul britannique John George Taylor.
Razaq note que le site archéologique de l'ancien sumer de Lagash-Uni, qui se trouve au nord de la capitale Nassiriya de Dhi Qar, est le plus grand au Moyen-Orient et qu'il s'étend sur une superficie de 1600 kilomètres carrés.
La région de Sumer a longtemps pensé avoir été habitée autour de 4.500 Avant JC (il y a 6.500 ans donc). Mais des silex, des outils de pierre et d'autres reliques découvertes conduisent maintenant les archéologues à croire que la région était habitée par un peuple préhistorique inconnu qui sont appelés les "Obeid."
Quatre-vingt dix kilomètres au nord de Nassiriya se trouve une ville appelée Umm al-Ajarib (Mère des Scorpions) et le Royaume de Ki An, dans une zone qui berce l'un des plus anciens villages agricoles de la Mésopotamie.
En outre, il y a plus de 400 sites archéologiques datant de l'ère islamique abbasside.
« Ces sites sont tous non excavés. D'importantes sommes d'argent sont nécessaires pour faire un bond en avant dans le domaine des antiquités et des villes touristiques archéologiques de la province et de mettre en place un musée digne des antiquités ", dit Razaq.
Hussein Sharifi, un député irakien et membre de la Commission du Tourisme et des Antiquités, est d'accord.
« Le gouvernement doit élaborer des plans stratégiques et des programmes visant à améliorer la réalité du tourisme dans le domaine de l'archéologie," dit-il.
Beaucoup des anciens sites dans Dhi Qar ont récemment attiré un grand nombre de missions d'explorations internationales, selon des responsables irakiens.
Le site important de Tel Khyber est fouillé par une mission britannique, à la suite d'un accord entre Manchester University et le ministère de l'Irak de Tourisme et des Antiquités.
" L'équipe britannique revint des fouilles pour la deuxième saison sur le site archéologique de Khyber, après avoir découvert des artefacts dans la première saison qui remontent à l'époque de l'ancienne Babylone, les premières dynasties de l'aube ", explique Wissal Naim, directeur de l'Inspection Archéologique de de Dhi Qar.
Elle ajoute que l'équipe italienne est également retournée poursuivre le travail sur le site de Tal Abu Tberh, et une équipe belge travaillant sur le site de Tel Yuha.
Musée Bagdad - AFP
" Le gouvernorat a attribué deux milliards de dinars irakiens du budget de l'année dernière, dans un premier temps pour l'entretien du cimetière royal et la ziggourat d'Ur ", explique Naim.
Il n'y a pas eu d'importantes fouilles à Ur depuis les fouilles financées dans les années 1920 et 1930 par le British Museum et la University of Pennsylvania. Les experts disent que seulement 10 pour cent du site a jusqu'ici été fouillé, et que des trésors peuvent se trouver littéralement sous les pieds des pelles et des visiteurs.
En Novembre dernier, plus de 150 chrétiens, dont des membres du clergé, les religieuses et les fidèles ordinaires des villes de Bassorah et Amara, ont effectué un pèlerinage spirituel près de la maison du Prophète Abraham, en chantant des hymnes et appelant que la paix soit restaurée dans les provinces déchirées par la guerre de l'Irak.
© 2014 Agence internationale de l'assyrien Nouvelles.
Enquête :
" Goggle Earth pour suivre et détecter les pillages archéologiques "
Irak, patrouille US
" Cette mauvaises nouvelles est venu à la lumière à la fin du printemps 2003, après que la poussière qui avait commencé à s'installer avec l'invasion de l'Irak soit éliminée et que les archéologues aient commencé le bilan des sites archéologiques pillés du pays. Pour mesurer la gravité du problème et déterminer le moment où la plus grande partie avait eu lieu, Elizabeth Stone, un archéologue à l'Université d'État de New York à Stony Brook, a acheté une série d'images de satellites commerciaux à haute résolution prises du sud de l'Irak juste avant et après l'invasion. Stone les a scruté, a examiné les sites connus et a mesuré les fosses des pillards au fil du temps. Ces cicatrices sur le paysage peuvent être vues de l'espace.
Une grande partie du pillage, Stone l'a découvert, a eu lieu juste avant et juste après l'invasion. Et la superficie totale pillée, elle l'a noté dans un article de 2007 dans " l'Antiquité ", était plusieurs fois supérieure à toutes les investigations archéologiques jamais réalisées dans le sud de l'Irak et ont déterré des tablettes, des pièces de monnaie, des sceaux-cylindres, des statues, des poteries de terres cuites, des bronzes et autres objets par centaines de milliers ".
C'était une situation grave, qui exige l'intervention du nouveau gouvernement de l'Irak, et Stone voulait que chacun sache ce qu'elle avait appris. A un moment, elle s'envole pour la Californie pour donner une conférence sur le sujet à l'Université de Stanford, et comme parfois cela arrive, son discours a galvanisé un jeune diplômé en doctorat, Daniel Contreras. Contreras avait passé plusieurs saisons sur le terrain comme un archéologue au Pérou : il avait trouvé l'échelle de l'échelonnement du pillage. " Vous ne pouvez pas conduire sur l'autoroute Panaméricaine sans voir les fosses de pillards," dit-il. " Donc, le pillage n'est jamais vraiment hors du radar."
Contreras a voulu commencer à quantifier le pillage au Pérou, à la Stone. Mais les photos satellites sont chères, et Contreras ne pouvait pas se permettre de les acheter. Ainsi, lui et son collègue de Stanford, Neil Brodie, un archéologue spécialisé sur les questions de pillage, ont commencé à regarder autour de quelque chose de beaucoup moins cher. Ce qu'ils ont découvert est que les photos de Google Earth fonctionnent très bien. Ainsi, dans le numéro actuel de l'Antiquité, Contreras publie les résultats de son étude de Google Earth sur le pillage dans la vallée de Vir'u au Pérou, concluant que la bagatelle de 116 hectares de sites dans cette relativement petite vallée présentent des dommages intensifs. "
http://archive.archaeology.org/blog/could-google-earth-help-us-stop-looting/
" Iran : Une Civilisation Inconnue refait surface " - recherches de Jaime Ortega
" Dans le sud-Iran, un changement soudain dans le cours de la rivière Halil Roud a récemment révélé les traces d'une civilisation vieille de 5000 années sur le plateau iranien qui avait été cachée jusque-là. Plus de 80 sites archéologiques ont depuis été identifiés dans la région. Cinq énormes cimetières ont été pillés, mais les structures de logements associés restent intacts. La grande quantité de reliques trouvées, la richesse culturelle des objets, et la taille de l'agglomération suggèrent une civilisation tout à fait originale. Les scientifiques considèrent cela comme une découverte importante, celle qui peut contester la croyance commune que la civilisation est née d'un seul endroit en Mésopotamie.
Une fouille récente a peut-être découvert le royaume mythique. Si c'est le cas, ce serait la découverte archéologique du siècle. Un nouveau cheval de Troie. Qu'il en soit ainsi, c'est la croyance de l'archéologue iranien Youssef Majidzadegh, qui, avec une équipe internationale (qui comprend également l'Italien Massimo Vidale, archéologue IsIAO) mène des fouilles à Jiroft, en Iran du Sud-Est. Majidzadeh fait valoir que Jiroft est la plus ancienne civilisation orientale, précédant d'au moins la précédente de deux siècles, la sumérienne.
Jiroft est probablement à identifier comme la ville d'Aratta, connue par les textes sumériens, qui était comme Sumer presque certainement une culture dravidienne, maintenant des liens commerciaux avec la culture de Harappa de la vallée de l'Indus, dans un sens, le chaînon manquant entre la culture sumérienne et la culture de l'indus d'Harappa.
Poids en pierre (?) trouvé dans la région de Jiroft. Daté du IIIe millénaire av. J.-C. Conservé au musée de l'Azerbaïdjan,Tabriz.
La légende sumérienne d'Enmerkar et du seigneur d'Aratta, établit que Aratta était hautement qualifiée et très fournie d'artisans, que les Sumériens tentaient d'utiliser pour leur propre utilisation dans la construction d'une ziggourat, à la manière de celle à Aratta, qui a été consacrée à Inana et dont son culte était prééminent, donc la déesse et sa tradition ont apparemment été dérivés d'Aratta.
Aratta est décrite comme suit dans la littérature sumérienne :
Il est un lieu fabuleusement riche plein d'or, d'argent, de lapis-lazuli et d'autres matériaux précieux, ainsi que des artisans et leur artisanat.
Il est éloigné et difficile à atteindre.
Il est la maison de la déesse Inana, qui a transféré son allégeance d'Aratta à Uruk.
Il est conquis par Enmerkar d'Uruk.
Enmerkar et le Seigneur d'Aratta - La déesse Inanna réside dans Aratta, mais Enmerkar d'Uruk lui plaît plus que ne le fait le seigneur d'Aratta, qui n'est pas nommé dans cette épopée. Enmerkar veut que Aratta se soumette à Uruk, apporte des pierres vers le bas de la montagne, de l'artisanat d'or, d'argent et de lapis-lazuli, et doit envoyer, avec "kugmea" du minerai à Uruk pour construire un temple. Inana lui ordonne d'envoyer un messager à Aratta, et il monte et descend les montagnes "Zubi", et traverse Suse, Anshan, et "cinq, six, sept montagnes avant d'aborder Aratta. Aratta, à son tour veut du grain en échange. Cependant, Inana transfère son allégeance à Uruk, et le grain gagne la faveur du peuple de Aratta pour Uruk, de sorte que le seigneur d'Aratta refuse que Enmerkar envoie un champion pour combattre son champion. Puis, le dieu Ishkur fait que les cultures de Aratta grandissent.
Enmerkar et En-suhgir-ana - Le seigneur d'Aratta, qui est ici nommé En-suhgir-ana (ou Ensuhkeshdanna ), défi Enmerkar d'Uruk de se soumettre à lui pour avoir les affections de Inanna, mais il est repoussé par Enmerkar. Un sorcier de la Hamazi récemment vaincu arrive alors dans Aratta, et propose de faire que Uruk se soumette. Le sorcier se déplace à Eresh où il envoûte le bétail de Enmerkar, mais une femme sage surpasse sa magie et le jette dans l'Euphrate ; En-suhgir-ana admet alors la perte d'Inanna, et soumet son royaume à Uruk.
Lugalbanda dans la grotte de la montagne - est un conte de Lugalbanda, qui va devenir le successeur de Enmerkar. L'armée de Enmerkar voyage à travers le territoire montagneux pour une guerre contre la rebelle Aratta. Lugalbanda tombe malade et est laissé dans une grotte, mais il prie les différents dieux, récupère, et doit trouver son chemin dans la montagne.
Lugalbanda et l'Oiseau Anzud - Lugalbanda se lie d'amitié avec l'Oiseau Anzud, et lui demande de l'aider à trouver une armée à nouveau. Quand l'armée de Enmerkar est confrontée à revers, les compagnons de Lugalbanda retournent à Uruk pour demander l'aide de la déesse Inana. Ils traverse les montagnes, la plaine, à partir du bord vers le haut de Anshan et à Uruk, où Inana le permet. Elle conseille à Enmerkar d'emporter à Aratta " du métal et des orfèvres travaillés et de la pierre travaillée et maçonnée " et tous les " moules de Aratta seront siens ". Puis la ville est décrite comme ayant des créneaux en lapis-lazuli et de briques vertes en "cassitérite creusée dans les montagnes où le cyprès pousse".
Statuette trouvée à Jiroft : regardez attentivement la forme du crâne, la tête et le profil : c'est un crâne allongé et déformé artificiellement ou non, le profil est identique à celui des anciens pharaons ou élite égyptienne.
Les premiers chercheurs du 20ème siècle ont d'abord pensé que Aratta était un épithète de la ville sumérienne Shuruppak lié à son nom local de déesse Enlil.
Bien qu'elle n'est plus considérée comme étant le cas. Bien qu'Aratta soit connue seulement comme un mythe, certains Assyriologistes et des archéologues ont spéculé sur les lieux possibles où Aratta aurait pu être, en utilisant les critères des mythes :
les voyageurs terrestres doivent passer par Suse et la région montagneuse d'Anshan pour l'atteindre.
Il est une source de ou a accès aux pierres précieuses et minéraux, en particulier le lapis-lazuli, qui sont fabriqués sur place.
Il est accessible par Uruk avec le cours d'eau, encore distant d'Uruk.
Il est assez proche pour qu'une armée sumérienne ait marché dessus vers le 27ème siècle Avant JC.
Notez que la ziggurat de Jiroft (qui n'est pas la plus grande), avec ses étages, a une base de 400m sur 400 m et un premier étage de 250m sur 250m, alors que la grande pyramide d'Egypte a une base de 230m sur 230m...
En 1963, Samuel Noah Kramer estime qu'un "Mount Hurum" dans un mythe de Lugalbanda (qu'il a intitulé "Lugalbanda sur le mont Hurrum" à l'époque) aurait pu invoquer les Hurriens, et donc spéculé qu'Aratta pouvait être près du lac d'Ourmia. Toutefois, "Mount Hurum", "hur-ru-um kur-ra-ka" , est ce qui est maintenant appelé Lugalbanda dans la grotte de montagne, est lu aujourd'hui "grotte de montagne", et Kramer a ensuite présenté le titre "Lugalbanda, l'errance du héros " pour cette histoire.
D'autres spéculations montrent l'itinéraire précoce du commerce du bijou, la " Grande Route Khorasane " des Montagnes de l'Himalaya à la Mésopotamie, qui s'est déroulée dans le nord de l'Iran. Anshan, qui n'avait pas encore été localisée alors, était supposée être dans la chaîne de montagnes centrales de Zagros. Toutefois, lorsque Anshan a été identifiée comme Tall-i-Malyan en 1973, il a été constaté qu'elle était à 600 km au sud-est d'Uruk, loin de toutes les routes du nord ou des cours d'eau d'Uruk, et posant l'improbabilité logistique d'obtenir au 27ème siècle Avant JC qu'une armée sumérienne à 550 km du territoire Elamite aille faire la guerre avec Aratta. Néanmoins, il y a eu des spéculations se rapportant sur l'est de l'Iran. Le Dr Yousef Majidzadeh croit que la civilisation de Jiroft pourrait être Aratta.
Sur ce bracelet est gravé ce qui ressemble à l'antique cité de Jiroft (ou Aratta éventuellement)
En 1973, les archéologues ont noté qu'il n'y avait aucune trace archéologique de l'existence de Aratta extérieure au mythe, et en 1978, Hansman met en garde contre trop de spéculations.
Les écrivains dans d'autres domaines ont continué à faire des hypothèses sur les endroits de Aratta. Une «connexion possible» a été proposée en sanskrit : Āraṭṭa ou Arāṭṭa est mentionnée dans le Mahabharata et d'autres textes ; Sinon, le nom est comparé au Ararat toponyme ou Ourartou. "
http://thedailyjournalist.com/the-historian/unknown-civilizations-aratta/
" La découverte récente d'une tablette considérée dans un premier temps par ses découvreurs comme écrite en élamite linéaire à Konar Sandal indiquerait des liens avec la civilisation de l'Élam. Il reste néanmoins à établir comment elle se situe par rapport à la civilisation proto-élamite voisine (deux ensembles différents ou un seul ?). Pour P. Steinkeller, Jiroft est le cœur de l'ancien royaume de Marhashi. (« Jiroft is the Ancient City of Marhashi: Piotr Steinkeller », site du Circle of Ancient Iranian Studies, 8 mai 2008.)
La civilisation de Jiroft a été parfaitement intégrée dans les échanges inter-iraniens, bien aidée par sa position centrale. Vers l'ouest, une route menait vers le futur Élam, et plus loin en Mésopotamie. À l'est, une autre route conduisait au Balouchistan et à la vallée de l'Indus à l'est. Vers le nord-est, on rejoignait la route du lapis-lazuli qui traverse le Sistan (Shahr-i Sokhteh), l'Hindou Kouch (Mundigak) puis la Bactriane (Shortughaï), sans oublier au sud la proximité des côtes du golfe Persique. Les habitants de la région peuvent ainsi facilement exporter leurs productions, et importer divers produits. Les objets en cornaline connaissent une très large diffusion, puisqu'on en retrouve dans tout l'Iran, en Turkménie, dans la vallée de l'Indus, en Iran oriental, en Mésopotamie, et même sur la côte sud du golfe persique, en Arabie (Tarut) et en Oman (Tell Abraq). " - Wikipedia
Cartes-Iran-antiques - Jiroft, spécialiste antique unique de la fabrication d'objets en chlorite
Yves Herbo Traductions, Sciences-Faits-Histoire, 25-03-2014