Articles de yvesh
Un drone capture de nouveaux pétroglyphes de + 2500 ans dans l'Utah
Un drone capture de nouveaux pétroglyphes de + 2500 ans dans l'Utah
Un drone a été en mesure de capturer un ensemble de pétroglyphes dans le désert de l'Utah, très difficile, voire impossible à réaliser de manière classique. Certains des pétroglyphes ont été découverts pour la première fois.
Apparemment, les pétroglyphes ont été faits par une culture ancienne de «cueilleurs» de San Juan, qui faisait partie de la population amérindienne Anasazi qui habitait ces territoires il y a environ 2500 ans. La culture est connue pour son grand nombre de paniers faits, découverts par les archéologues dans la région.
While exploring some petroglyphs sites I decided to take the drone up some rock faces. Obviously some of these petroglyphs cant be seen from the ground and repelling is not an option.
Could I of possibly discovered some never before seen petroglyphs.
For example, beyond the main petroglyphs I count over 80 and the ones to the right of the main image with the seemingly storyline seems very interesting and something I cant find anywhere!
Comme vous pouvez le voir dans la vidéo, les pétroglyphes sont inaccessibles car ils sont situés dans un canyon. En ce sens, les images capturées par le drone offrent une occasion unique de les voir dans son ensemble et dans le détail. La plupart des pétroglyphes représentent près de 80 figures, probablement humaines, très particulières.
Selon l'avis du pilote et propriétaire du drone, Bill Clary, certains des pétroglyphes capturés n'avaient jamais été vus et étaient inconnus des archéologues. L'auteur de la vidéo refuse de révéler l'emplacement des pétroglyphes pour empêcher les pillards et les touristes qui pourraient endommager cette découverte unique.
Bill Clary - capture Youtube
Texto completo en: http://actualidad.rt.com/cultura/view/122437-video-dron-descubre-petroglifos-desierto
Yves Herbo Traductions, Sciences-F-Histoires, 17-03-2014
Russie : les mégalithes dévoilés petit à petit, le Stonehenge Russe
Russie : les mégalithes dévoilés petit à petit, le Stonehenge Russe - MAJ
" Dans ce qui pourrait bientôt être considérée comme la trouvaille du siècle, les géologues russes libèrent attentivement les informations sur un site mégalithique récemment découvert, niché dans les montagnes du sud de Kouzbass. Vu la première fois en 1991, le " Stonehenge de Russie " est situé dans la région de Kemerovo à 1200 mètres (environ un mile), au-dessus du niveau de la mer. Selon quelques-uns des premiers tests, le site a environ 100.000 ans, s'élève à environ 40 mètres de haut, (131 pieds) et s'étend sur 200 mètres, (656 pieds), dans une zone des montagnes Shoria. Lorsque vous affichez ces images incroyables - vous remarquerez que les roches sont disposées dans une position d'une manière systématique - et une partie de la maçonnerie a + de 1000 tonnes.
Cette galerie de photos montre quelques-unes des premières photographies prises du site - et la taille massive de la maçonnerie utilisé pour créer les structures.
Voici quelques faits saillants (traduits) du chercheur George Sidorov dans un article sorti en Russie, - l'un des initiateurs de l'expédition - originaire de la région de Kemerovo. Le chercheur George Sidorov écrit, « Ce que nous avons vu était choquant dans son champ d'application. Des blocs de granit énormes empilés dans un mur de maçonnerie polygonale ". Voir ci-dessous:
Une météorite multicolore sur la côte d'Azur le 13 mars 2014
Une météorite multicolore sur la côte d'Azur le 13 mars 2014
Jeudi 13 mars 2014 à 22h, une météorite a traversé le ciel azuréen. Vous avez été nombreux à l'observer.
Montbéliard, Genève, Aix-les-Bains, Montpellier, Toulon, Nice, Antibes, Vérone… La liste est longue des villes dans le ciel desquelles on a pu observer, jeudi soir à 22 heures, un étrange phénomène lumineux.
Après visionnage d'une vidéo captée à Saint-Laurent-du-Var par un Azuronaute, l'enseignant-chercheur Frantz Martinache, joint à l'Observatoire de Nice, tranche: "Je n'avais pas observé moi-même le phénomène, mais les témoignages laissaient penser à une météorite. Cette vidéo en apporte la confirmation; et cette météorite-ci semble particulièrement brillante".
Le maître de conférence décrypte: "C'est ce qu'on appelle communément une étoile filante. Un amas de débris, en orbite autour du soleil comme la Terre. Et parfois, leurs trajectoires se croisent. Freinés par l'atmosphère, ces débris perdent de la vitesse, ce qui crée de l'énergie, donc de la chaleur, donc de la lumière."
L'entrée de l'atmosphère se fait "à environ 90 km du sol".
Une "boule de feu"... de toutes les couleurs
Vous avez été plusieurs dizaines à nous envoyer votre témoignage par mail, sur Facebook ou encore en commentaire de notre appel à témoin.
Un sentiment domine les réactions que nous avons collectées : vous aussi avez été impressionnés par la luminosité de cette "boule de feu", comme la décrit Imed.
Nilla a vu "une forte lumière verte", Paul-Alexandre l'a vue "blanche", Yannick "bleue", Jessica "bleue et rouge". Pour Nicolas, elle était "orange avec une traînée jaunâtre".
Youtube - d'autres témoignages en commentaires sur Youtube
Source : http://www.nicematin.com/derniere-minute/video-phenomene-lumineux-dans-le-ciel-azureen-jeudi-soir-cetait-une-meteorite.1655232.html
YH : Les rencontres approchées avec une multitudes de cailloux de diverses tailles sont très nombreuses cette année, avec parfois plusieurs corps le même jour dans les environs de notre orbite. Et il ne s'agit là d'aucune comète (il y en a plusieurs de prévues cette année aussi, dont peut-être une exceptionnelle en mai) mais que d'astéroïdes. Regardez la liste de la NASA ci-dessous pour vous en rendre compte. Notons aussi que l'astéroïde de 2 kilomètres 2003 QQ47, qui avait été mis dans la liste des NEO dangereux pour le 21 mars 2014 (avec 1 chance sur 900.000 qu'il tombe sur Terre - prévisions en 2003) s'est fortement décalé sur son orbite et ne sera proche de la Terre que le 26 mars 2014, sans danger à priori (mais sa trajectoire non stable est suivie en permanence). Par contre, les liens avec ces nombreuses rencontres depuis le début de l'année et les nombreuses météorites tombées sur Terre pourraient faire l'objet d'une étude prochaine : des scientifiques pensent que chaque objet dans l'espace, par les lois de la gravité, attirent tous les corps plus petit que lui dans sa course : donc, même un corps de quelques mètres ou centaines de mètres peut voir sa masse et sa composition modifiées lors de rencontres de nuages de gaz, poussières cométaires, métaux, etc (sans parler de modifications d'orbites et même de soudains "éclatements" en plein espace si la masse accumulée est déséquilibrée par exemple). Les principales conséquences pour notre planète et satellite est donc bien la chute de plus petits corps (mais qui peuvent varier suivant la taille du principal objet de quelques centimètres à quelques dizaines de mètres) sur les sols terrestres et lunaires, même si le principal objet passe à des millions de kilomètres de nous, de tels objets traînent bien un nuage de débris autour d'eux et sur eux... :
Yves Herbo, Sciences-F-H, 16-03-2014
OVNIs : émission OVNI sur les montagnes - ODH interview 30
OVNIs : émission OVNI sur les montagnes - ODH interview 30
Oeil Saison 6 épisode 1 du 14-03-2014 vous est présentée par Gilles Thomas.
Une série d'émissions spéciales montée à partir de différentes interviews se centrant sur des études géo-ufologiques, axées sur l'analyse de l'environnement des différentes apparitions d'OVNIs. La première de cette série étant consacré à l'environnement des montagnes.
OANI Tv est en partenariat avec:
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://sud-oani.kazeo.com/
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
http://garpan.ca/
http://herboyves.blogspot.fr/search/label/OVNI%2FUFO
La 30ème édition d'ODH Interview du 10-04-2014 vous est présentée par Gilles Thomas.
L'invité est Rémy Fauchereau, responsable de l'AEPA et membre du SCEAU.
Il vous parle de ses catalogues ufologiques.
Autre info donnée par nos amis d'ODHTV :
Mardi 18 Mars 2014 de 19h50 à 22h30 : COMPLET
" En présence du Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l'air belge, et de Jean-François Clervoy, astronaute de l’Agence spatiale européenne, l'INREES vous propose une conférence exceptionnelle avec la journaliste Leslie Kean...
La journaliste d’investigation Leslie Kean, soutenue dans son enquête par les plus hautes autorités jamais encore impliquées sur le dossier, nous livre ce soir le fruit de 10 ans d'enquête à l’occasion de la publication en France de son livre évènement : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
Leur origine demeure encore une énigme mais ce que l’on appelle des OVNIS n’en est pas moins une réalité. On parle d’ailleurs officiellement de P.A.N. pour phénomènes aérospatiaux non-identifiés. En effet, chaque année, à travers le monde entier, des dizaines de milliers de personnes disent avoir observé des phénomènes aérospatiaux non-identifiés. Un pourcentage important de ces observations reçoit après enquête une explication conventionnelle. Il peut s’agir d’avions, de débris de satellite, de météorites, de montgolfières ou de ballons, de planètes, ou encore de phénomènes atmosphériques, etc. Les possibilités de méprise sont nombreuses, notamment de la part de témoins peu ou pas habitués à identifier tous les types de phénomènes pouvant être rencontrés ou se produire dans l’atmosphère. Mais au-delà de ces cas expliqués, une part significative des témoignages collectés ne reçoit aucune explication connue. Cette réalité résulte de décennies d’observations et d’investigations de la part de pilotes, de hauts responsables militaires, et de chercheurs. Ce fait, mis en évidence à travers le monde entier par les différents organes ou chercheurs s’étant penchés sur la question, a incité la journaliste d’investigation américaine Leslie Kean, à se lancer dans l'une des plus ambitieuses enquêtes jamais réalisées sur la question OVNI. Le fruit de ce travail est aujourd’hui publié en France sous le titre : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent. C’est un livre événement, salué pour son impartialité et son sérieux. Leslie Kean présentera lors de cette conférence exceptionnelle des indices incontestables sur la présence réelle d’objets volants non identifiés — métalliques, lumineux, et capables de manœuvres qui défient les lois de la physique — dans l’atmosphère terrestre. Elle partagera avec nous le fruit de dix ans d’une enquête acharnée durant laquelle elle a rencontré et interviewé des dizaines d’officiers d’aviation de haut niveau et de témoins à travers le monde, passé en revue des centaines de documents gouvernementaux, de rapports d’aviation, de données radar, et d’études de cas corroborés par des indices matériels.
L’astronaute français Jean-François Clervoy qui a déjà participé à trois missions spatiales, et qui préface l’ouvrage de Leslie Kean sera présent à ses côtés. Il livrera pourquoi selon lui « il est temps de chercher, avec des moyens adéquats, à comprendre ce que sont ces objets ou phénomènes apparemment intelligents surgissant dans notre ciel, dont la réalité est confirmée par de multiples sources. Nous ne savons pas ce que nous trouverons, mais l’ignorance est assurée si nous ne faisons rien. » Autre invité de marque présent lors de cette grande soirée : le Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l’air belge, en activité au début des années 90 en Belgique alors que le pays était survolé par de mystérieux objets. Ce sujet — des objets au comportement intelligent et à l’origine inconnue évoluant dans l’atmosphère terrestre — est potentiellement l’un des plus importants auquel l’humanité puisse être confrontée. S’y pencher requiert une indispensable ouverture d’esprit, et un solide bon sens journalistique, deux qualités que possède Leslie Kean. Son enquête magistrale permet enfin de séparer les faits de la fiction. "
Lieu :
Centre Malesherbes
Grand amphithéâtre
108 boulevard Malesherbes
Paris 75017
Merci à vous de bien vouloir transmettre l'info... et merci par avance pour le compte-rendu que vous aurez l'amabilité de bien vouloir en faire si vous avez donc l'opportunité de vous y rendre !
http://www.inrees.com/Conferences/OVNIS-une-realite/
http://odhtv-replay.kazeo.com/
Yves Herbo Relai-Sciences-FH-15-03-2014
Des tumulus préhistoriques de 5000 ans étudiés en Nouvelle Angleterre, USA
Des tumulus préhistoriques de 5000 ans étudiés en Nouvelle Angleterre, USA
Le Tailleur de pierre James Vieira étudie l'ancienne maçonnerie des Constructeurs de Tumulus
ASHFIELD - De nombreuses collectivités de la région de la Nouvelle Angleterre ont parmi elles des "buttes" en pierres couvertes de terre, creusées dans la terre et méticuleusement tapissées et recouvertes de pierres ; certaines des pierres qui couvrent les sommets pèsent des tonnes. Certains diront qu'elles sont les restes de grottes profondes, mais un homme à Ashfield, qui a étudié l'ancienne maçonnerie pendant 15 ans, pense autrement.
James E. Vieira, un tailleur de pierre, écrivain et membre de Northeast Antiquities Research Association, croit qu'il y a suffisamment de preuves que l'Amérique antique était un mélange de races venant d'autres pays, notant que d'autres régions du pays ont des ruines antiques de pierre. Il dit que les constructeurs de monticule peuvent être derrière les constructions en pierre dans le Nord (USA-Canada), parce que leurs ossements présentant des anomalies anatomiques qui sont disponibles ici sont tout simplement comme les restes de squelettes dans d'autres monticules de terre.
Les Constructeurs de tumulus sont soupçonnés avoir été les habitants préhistoriques de l'Amérique du Nord qui, au cours d'une période de 5000 ans, ont construit différents styles de monticules de terre pour la religion, les cérémonies, les inhumations et à des fins résidentielles pour élite.
" C'est le terrassement le plus énigmatique de la planète ", a déclaré Vieira à un public qui s'était rassemblé à Buckland au Mohawk Trail Regional High School pour sa présentation, " A la recherche des mystérieux constructeurs de pierre de la Nouvelle-Angleterre " une partie de l'année de célébration du 25e anniversaire du Franklin Land Trust.
The interior of the Goshen Stone Chamber in Goshen
Vieira a passé des milliers d'heures de recherches des tumulus à travers le monde, des constructions en terre géométriques de 50 acres (20 hectares env.) et plus grandes, et il a été surpris par la sophistication mathématique et l'ingénierie utilisée pour les construire. Certains monticules sont en forme de serpents ondulants, l'un dans l'Ohio est d'un quart de mile de longueur (env. 400 m).
Cahokia site
" La Butte des Monks est une pyramide de terre à Cahokia, Illinois, elle a une base de 14 acres (un acre plus grand que la grande pyramide) est de 100 pieds de haut (env. 30 m) et se compose de 22 millions de mètres cubes de terres apportées de plus d'un mile (1,6 km) de là, " a-t-il expliqué. " Vous trouvez les mêmes mathématiques et géométrie dans les travaux de terrassement américains, comme l'angle à 51,84 de la pente de la grande pyramide et la grille de 187 pieds trouvée à Teotihuacan au Mexique. "
Certains monticules ont été ouverts et des objets trouvés de l'Antiquité : des outils, des tuyaux, des sculptures, des tablettes et des bijoux.
" Les constructeurs de monticules avaient une culture très sophistiquée, nous savons très peu de choses dessus ", a déclaré Vieira. " Mais ce n'était pas un peuple nomade dispersé, et ils avaient une bonne compréhension de l'astronomie comme en témoigne leurs pierres qui marquent les équinoxes et les solstices ".
Vieira utilise des données de la ville, des récits historiques, la datation au carbone, les résultats astro-archéologiques, des orientations astronomiques et les histoires orales dans ses recherches sur les civilisations perdues de l'Amérique ancienne et le paysage de pierres mystérieuses de cérémonies du Nord-Est.
April 7, 1988 - vue Satellite des monts Cahokia, Illinois
Sa présentation comprenait un point sur les sites locaux, y compris des chambres de pierre, des effigies de tortues, des murs de serpents et des champs de cairns dans les comtés de Franklin et Hampshire.
Bien qu'il soit dit par de nombreux archéologues que les pierres sont des " ruines coloniales ", Vieira conteste. Pour une raison, ces structures ne sont pas reliées à une fondation coloniale, a-t-il dit.
En outre, certaines des chambres construites dans les monticules sont trop étroites ou inaccessibles pour avoir été utilisées comme des caves profondes, et elles ont des ouvertures de toit qui ne permettent pas de stocker de la nourriture.
À Montville, Connecticut, se trouve une chambre de pierre de 38 pieds (12 m). " Je ne sais pas ce que c'est, mais je peux vous dire ce que ce n'est pas, " a-t-il dit, ajoutant que l'autre chambre à Upton, Massachusetts, dispose d'un tunnel de 14 pieds (4 m). Un monticule de 25 par 25 pieds (8 m) dans Putney, VT, a une datation au carbone de 492 Après JC. " A la chambre Putney, vous devez entrer par le toit à une hauteur de sept pieds (2 m) ", a déclaré Vieira.
The Goshen Stone Chamber in Goshen
Un cairn à Andover contenait des objets comme une hache, un javelot et un marteau qui ont été datés au carbone de 2000 ans avant JC, a-t-il dit.
Vieira est prompt à nommer d'autres endroits de la Nouvelle Angleterre ayant un ancien travail de la pierre, parmi eux Goshen, Southwick, New Salem, Shutesbury et Belchertown dans le Massachusetts, South Woodstock, au Vermont, et Ledyard, Connecticut Putnam County, New York, compte plus de 150 salles, a-t-il dit .
Certaines pierres - y compris des cairns, des dolmens, des roches équilibrées, des murs et des pierres à effigies de tortue - ont été détruites, les agriculteurs les ont effacés des champs ou des pierres ont été réutilisées à d'autres fins.
En recherchant qui étaient ces « bâtisseurs de tumulus », Vieira a trouvé une affirmation d'Abraham Lincoln de 1848 dans " méditation sur Niagara Falls " : " Les yeux de cette espèce éteinte de géants, dont les os remplissent les monticules d'Amérique, ont contemplé le Niagara que nos yeux ne voient que maintenant ".
Ces « géants » avaient sept à 12 pieds de hauteur (2,14 m à 3,66 m), et Vieira en a découvert plus de 2.000 exemples d'entre eux, ce qu'il appelle « une race oubliée. " Certaines données - de rapports de Smithsonian, de magazines, de journaux et histoires des villes - révèlent que les restes squelettiques ont eu une doubles rangée de dents ou d'autres anomalies anatomiques.
Ces exemples sont venus de Gill, Montague, Northfield, Hadley, Chelmsford, Middleboro, du Vignoble de Martha et de Rockingham, Vermont, Concord, NH, Hartford et Trumbull, dans le Connecticut, entre autres.
Vieira soutient qu'il y avait des races en Nouvelle-Angleterre, ainsi que des Amérindiens, qui ont créé ces vieilles pierres. " L'Histoire orale amérindienne dans tout le pays parle clairement d'une race de géants qui existait dans les terres où leurs tribus sont arrivées ", dit-il.
Ses plans pour l'avenir sont de faire un film documentaire et de l'envoyer à PBS ou à History Channel. Il travaille aussi sur un livre.
Pour plus d'informations, e -mail Vieira jv1022jv@yahoo.com.
" Janvier 27 2014 : Richard J. Dewhurst est le gagnant d'un Emmy Award, auteur du long métrage documentaire pour HBO : Dear America : Letters Home from Vietnam. Diplômé de l' Université de New York avec des diplômes en journalisme, le cinéma et la télévision, il a écrit et édité pour la chaîne History Channel, les Arts & Entertainment Channel, PBS, Fox Television et Fox Films, ABC News, TNT, Paramount Pictures, et le Miami Herald. Il vit dans le Vermont (région de la Nouvelle Angleterre). Nous allons discuter de son livre, Les Géants antiques qui ont régné en Amérique. S'appuyant sur 400 ans articles de journaux et des photos, des témoignages à la première personne, des documents historiques de l'Etat, et des rapports de terrain illustrés, Richard J. Dewhurst révèle non seulement que l'Amérique du Nord était autrefois gouverné par une race avancée de géants, mais aussi que le Smithsonian a travaillé activement à la suppression de preuves matérielles pendant près de 150 ans. Il va discuter comment des milliers de squelettes géants ont été découverts sur les sites des Mound Builders (Constructeurs de Tumulus) à travers le continent, pour disparaître du dossier historique. Nous entendons parler de découvertes de géants dans des endroits tels que le Nevada, la Floride, la Californie et des ruines des villes des géants avec une population de plus de 100 000 en Arizona, Oklahoma, en Alabama et en Louisiane.
Dans la deuxième heure, Dewhurst parle plus sur la suppression de ces éléments de preuves et leur couverture. Aujourd'hui, les monticules antiques n'ont pas de protection officielle et sont rasés pour des stationnements. Les Indiens d'Amérique empêchent la recherche de monticules, bien qu'ils admettent qu'ils ne les ont pas construits. Nous entendons parler où certains des os de géants se trouvent aujourd'hui. Richard parle aussi d'une ancienne culture marine de pointe et d'une ancienne migration européenne aux Etats-Unis. Plus tard, nous discutons de l'image déformée de ce que l'Amérique était en dépeignant les preuves d'une structure sociale coordonnée qui a été célébrée en faisant de la région un paysage sacré, bien avant notre arrivée. Liens pertinents (liens réels peuvent être trouvés ici ) + + http://www.redicecreations.com/radio/2014/01/RIR-140127.php. Le cuivre du Michigan en Méditerranée - Lénape - Smithsonian Institution Building - Charles_Hapgood - megalithic.co.uk/index.php. - Spirit Cave mummy - Poverty Point - Portland cement - Native American Graves Protection and Repatriation Act - Pyramid Mound - The Ancient Giants Who Ruled America: The Missing Skeletons and the Great Smithsonian Cover-Up. http://www.disclose.tv/action/viewvideo/168535/The_Ancient_Giants_Who_Ruled_America_Richard_J_Dewhurst__Red_Ice_Radio/
YH : attention tout de même à ne pas se fier à toutes les images : les commentaires (vo) parlent bien d'images truquées volontairement par certaines institutions (et via médias, publicistes) pour convaincre que le peu de restes de géants anciens admis soient considérés comme des géants identiques aux nôtres : des malades génétiques ou exagérés, inexistants... après il s'agit surtout d'infos et de données, et c'est toujours à vous d'avoir votre avis...
Yves Herbo Traductions, Sciences-F-Histoire, 14-03-2014
Cycles d'extinctions sur Terre : la théorie Matière Noire
Cycles d'extinctions sur Terre : la théorie Matière Noire
Une étude publiée récemment sur http://arxiv.org/abs/1403.0576 annonce une nouvelle théorie sur un probable cycle de cataclysmes/extinctions dans le système solaire. Cette nouvelle théorie est une suite logique aux précédentes études des intéressés, deux physiciens théoriciens de l’université Harvard, Lisa Randall et Matthew Reece, qui avaient proposé qu’une petite partie de la matière noire était constituée de particules issues d’une physique encore plus exotique que celle des neutrinos stériles. Contrairement aux autres particules de matière noire qui ne peuvent pas interagir entre elles, ou très peu, autrement que par la force de gravité, elles ne formeraient pas un halo autour des galaxies, mais un second disque à l’intérieur de celui constitué de matière normale. Certaines théories des cordes prédisent par exemple l’existence d’une sorte de monde miroir du nôtre, constitué d’équivalents de nos atomes, mais qui ne peuvent interagir avec eux que par la force de gravité. La matière noire de ce monde pouvant se refroidir en s’effondrant gravitationnellement, elle pourrait donc former des disques comme la matière normale de notre univers.
" Bien que la preuve statistique ne soit pas écrasante, une contribution possible du dossier des cratères sur Terre pour une périodicité d'environ 35 millions d'années pourrait indiquer une augmentation à intervalles réguliers non aléatoire des impacts de météorites. Une explication proposée en termes d'effets de marée sur le nuage de Oort, qui perturbent les comètes lorsque le système solaire passe à travers le plan du disque galactique, est entravée par le manque d'une cause sous-jacente d'effets gravitationnels qui augmenteraient suffisamment sur un intervalle suffisamment court de temps et avec un laps de temps possible entre ces augmentations. Nous montrons qu'un disque de matière noire dans le plan médian galactique pourrait répondre à ces deux questions et créer une augmentation périodique, de la façon dont cela a potentiellement été observé. Un tel disque est motivé par une composante de matière noire exotique avec dissipation par refroidissement, que nous avons considéré dans des travaux antérieurs.
Nous montrons comment évaluer la preuve statistique de la périodicité par l'entrée de mesures primaires appropriées du modèle galactique, justifiant ou excluant des cratères périodiques avec plus de confiance que par l'évaluation de données sans un modèle sous-jacent. Nous constatons que, au-dessus de la marginalisation des incertitudes astrophysiques, le ratio de vraisemblance pour un tel modèle par rapport à un avec une vitesse constante de formation de cratères est de 3.0, ce qui favorise modérément le modèle du disque noir.
Notre analyse donne en outre une distribution a posteriori, selon les données actuelles sur les cratères, de singularités sur une densité de surface d'un disque de matière noire d'environ 10 masses solaires par parsec carré. L'histoire géologique motive ainsi un modèle particulier de la matière noire qui sera sondé dans un proche avenir. "
Position et vitesse du Soleil dans la Galaxie. - Si ce disque de matière noire existe, il est en quelques sorte visualisé ici par la ligne plus sombre au milieu du disque, plus épaisse là où les bras spiraux passent. - Crédit : Montage utilisant un schéma NASA
Les théories sur les raisons des extinctions, surtout sur celle des dinosaures, l'une des plus spectaculaires, sont foison, même si celle de la fameuse comète ou météorite géante des Alvarez gagnait largement de la crédibilité pendant les années 1980, elle a amené de nombreux astronomes et physiciens, dont Richard A. Muller, à proposer plusieurs théories pour rendre compte d’une apparente périodicité dans les extinctions importantes ayant frappé la biosphère au cours des derniers 250 millions d’années. En effet, en 1984, les paléontologues David Raup et Jack Sepkoski ont publié un article dans lequel ils affirmaient avoir identifié une telle périodicité, dont la valeur était d’environ 26 millions d’années.
Muller avait rapidement réagi à l’époque en proposant l’existence d’un corps céleste massif qui se rapprocherait périodiquement du nuage de Oort. En perturbant gravitationnellement ce nuage, ce corps, baptisé Némésis (du nom de la déesse de la juste colère des dieux dans la mythologie grecque), précipiterait un nombre important de comètes vers le Système solaire interne, augmentant le taux d’impact. La nature de ce corps céleste restait indéterminée : il pouvait s’agir d’une compagne lointaine du Soleil, comme une naine rouge très peu lumineuse, une naine brune ou peut-être une planète géante autrefois expulsé du Système solaire lors de sa formation (comme l’hypothétique Tyché).
À l'occasion du passage de la comète Hyakutake en 1996, Jean-Pierre Luminet a donné une présentation générale du phénomène des comètes. Documentaire extrait du magazine Cassiopée, émission 8 intitulée « Les comètes ». Texte et voix off : Jean-Pierre Luminet, France Supervision (1996). © Jean-Pierre Luminet, YouTube
De Némésis à un disque de matière noire
Aujourd’hui, Wise n’a pas permis de découvrir la Némésis de Muller. Néanmoins, l’idée d’une périodicité dans les extinctions, bien que ne faisant pas encore l’unanimité parmi les paléontologues, continue de susciter de nouveaux scénarios issus de l’astrophysique. L’idée de base est toujours d’obtenir une augmentation périodique du taux d’impact des comètes sur les planètes internes du Système solaire à partir de perturbations du nuage de Oort.
L'orbite oscillante du Soleil à travers la Voie lactée.
Une vue d'artiste de la Voie lactée. La trajectoire du Soleil sur son orbite galactique n'y est qu'approximativement celle du cercle en pointillé jaune. Il s'agit en fait de mouvements plus complexes avec notamment des oscillations périodiques de part et d'autre du plan galactique. Elles sont représentées, avec une amplitude exagérée, par la courbe verte. © Esa, C. Carreau
Selon Randall et Reece, le disque de matière noire exotique de notre Voie lactée aurait une épaisseur de 35 années-lumière environ, et contiendrait donc l’équivalent d’une masse solaire par année-lumière cube. La raison pour laquelle sa présence conduirait à des perturbations périodiques du nuage de Oort n’a, elle, rien de mystérieux. Les forces gravitationnelles que ressent une étoile comme le Soleil dans le gaz autogravitant d’étoiles formant le disque et le bulbe de la Voie lactée ne sont pas identiques à celles que le Soleil exerce sur une planète dans le Système solaire. Il en résulte que les étoiles ont des orbites ressemblant aux épicycles des planètes dans le modèle de Ptolémée, et, de plus, qu’elles effectuent aussi un mouvement d’oscillation périodique de part et d’autre du plan du disque galactique. Dans l’hypothèse où se placent Randall et Reece, le Soleil traverse donc périodiquement le disque de matière noire exotique qui serait présent dans notre Galaxie, et c’est à ce moment-là que le bombardement cométaire augmenterait. Les perturbations que ce disque engendrerait seraient en effet plus importantes avec de la matière noire, assez pour rendre compte des extinctions selon une périodicité de 35 millions d’années.
L’hypothèse est ingénieuse, mais les deux chercheurs ne cachent pas qu’ils n’ont aucune certitude à son sujet. En effet, il faut garder à l’esprit que la périodicité des extinctions fait encore débat du fait des incertitudes de datation par exemple. Enfin, il est facile de produire un modèle de matière noire exotique précisément défini pour coller à une périodicité donnée. Pour avancer sur toutes ces questions, il faudra probablement démontrer l’existence du disque de matière noire et ensuite en tirer une prédiction précise sur une périodicité des perturbations qu’il engendrerait. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on pourra comparer cette prédiction à des observations plus convaincantes concernant la périodicité des extinctions dans la biosphère. À cet égard, on attend beaucoup des mesures de Gaia.
sources : http://arxiv.org/abs/1403.0576 + http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/actu/d/paleontologie-disque-matiere-noire-t-il-tue-dinosaures-52727/#xtor=RSS-8
Les observations des courbes de révolution des étoiles autour du centre de leur galaxie montrent qu'elles tournent trop vite (vitesse v, en ordonnée, en fonction de la distance r au centre de la galaxie), si l'on se base sur la loi de la gravitation de Newton ou sur la masse déduite de la luminosité des galaxies. © Gianfranco Bertone
Centre de notre galaxie : Animation basée sur des images infra-rouges du centre de la Galaxie. Elle a été réalisée à partir d'observations obtenues de 1992 à 2007. Sur ces quinze années, il devient possible d'observer les mouvements individuels des étoiles, grâce à un système d'amélioration de la qualité d'image, dite "optique adaptative". Observez plus précisement la trajectoire d'une de ces étoiles, appelée S2, au voisinage de la croix. Ces images ont été obtenues par le "Very Large Telescope (VLT)" avec l'instrument NACO dont les performances en optique adaptative ont été réalisées par une équipe de l'Observatoire de Paris. - Crédit : ESO
Je profite pour répondre à une question par mail sur la position de la Terre par rapport au soleil, et sur les mauvaises interprétations du public sur la stabilité de la Terre sur son orbite autour du soleil. Peu de rapport avec cet article, bien que cela parle aussi de cycles déjà prouvés eux :
La position de la Terre par rapport au Soleil change en permanence en fonction de trois paramètres :
- l’excentricité de l’orbite terrestre qui varie entre 0,005 et 0,05 sur une période de 100 000 ans. Actuellement elle est d’environ 0,016 ; (fausse idée donc : l'orbite de la Terre n'est pas ronde...)
- l’inclinaison de la Terre qui varie entre 22° et 25°, par rapport au plan de l’écliptique, sur une période de 41 000 ans. Actuellement l’inclinaison de la Terre est de l’ordre de 23,5° ; (l'orbite de la planète n'est donc pas "droite" et plane à l'horizontale mais légèrement penchée- la plupart des schémas du système solaire ne montrent pas ces différences d'orbites entre planètes et les placent toutes sur le même plan... ce qui est faux sur le fond).
- la précession des équinoxes qui entraîne un mouvement de l’axe de rotation de la Terre sur un cône de révolution au cours d’une période de 21 000 ans. (la Terre tourne donc en plus comme une toupie un peu déséquilibrée : son pôle nord ne tourne pas sur lui-même mais dessine un cercle).
La variation de ces paramètres orbitaux modifie sans cesse la position et l’exposition de la Terre par rapport au Soleil. Ces variations sont faibles. Elles sont pourtant suffisantes pour modifier la part de l’énergie solaire qui arrive sur Terre. Ces changements sont à l’origine de la théorie qui permet d’expliquer les grands changements climatiques que l’on observe depuis deux millions d’années sur notre planète. C’est la théorie astronomique de Milankovitch. Les petites variations orbitales entraînent de grands cycles climatiques sur des périodes de 100 000 ans. On observe une série de longues périodes glaciaires, suivies par des périodes interglaciaires plus courtes (durée de 10 000 à 20 000 ans), mais aussi plus chaudes. La différence de température moyenne entre ces périodes est de l’ordre de 5°C sur la planète. La période interglaciaire dans laquelle nous vivons a débuté il y a 11 000 ans. Elle pourrait durer encore plusieurs dizaines de milliers d’années... ou s'inverser rapidement comme déjà observé (période interglaciaire de 10.000 ans).
On comprend pourquoi les scientifiques tentent à tout prix de mieux dater les dates des extinctions et événements catastrophiques recensés sur la Terre (nous ne connaissons pas probablement tous ces événements car leur intensité peuvent être différentes : un gros événement à pu effacer toute trace d'un précédent moins important, les traces sont englouties sous les océans, la bioversité n'a pu être atteinte que localement, etc...), car les derniers gros événements connus (extinction des dinosaures il y a environ 70 millions d'années et Grande Coupure Éocène-Oligocène il y a 33,9 ± 0,1 Millions d' années) correspondent assez bien à ces intervalles de passages du Soleil dans le plan médian galactique. Ce qui veut dire que nous sommes à l'intérieur d'une période où un tel événement devrait se produire (depuis combien de temps et pour combien de temps est ce qui reste à déterminer)...
Intensités des extinctions de masses survenues dans les océans. Celle du Permien-Trias, notée End P, est la plus importante. Wikipedia
On voit en regardant la courbe des extinctions de masses survenues dans les océans que leur intensité va en décroissant (avec une forte baisse vers 200 ma) et que l'on trouve des pointes d'intensités difficilement comparables question cycles : il peut y avoir en effet une pointe tous les 35 millions d'années mais elle ne se discerne pas obligatoirement d'autres événements survenus pour les océans. Première remarque (toujours avec la théorie ci-dessus de disque de matière noire) : cette décroissance en intensité serait-elle liée à la dissipation progressive mentionnée de ce disque de matière noire, expliquant la baisse de puissance ? 2ème remarque : une datation très précise de tous les cratères terrestres (et si possible des gros cratères lunaires et martiens pour comparer les événements !) doit être faite, on voit que les premières données semblent correspondre statistiquement... et n'oublions pas que les extinctions océaniques peuvent être décalées par rapport à un événement entraînant un changement climatique...
Yves Herbo, Sciences-F-H, 13-03-2014