Articles de yvesh
L'ordinateur quantique publique progresse...
L'ordinateur quantique publique progresse... et celui de la NSA est en avance de combien ?
Une nouvelle étape dans la miniaturisation des systèmes quantiques
Un système quantique photonique
Des chercheurs de l’université de Bristol ont réussi à miniaturiser un système quantique optique pour intégrer tous ses composants au sein d’une seule puce en silicium. Pour la première fois, il est donc possible de générer et manipuler un photon à l’intérieur d’une puce en silicium. Leurs résultats ont fait la couverture de la revue Nature Photonics.
Un pas important vers l’ordinateur quantique classique grand public
Auparavant, il fallait une source de lumière externe à la puce pour générer les photons qui allaient être utilisés par le système quantique. L’université avait d’ailleurs publié un papier en 2010 montrant qu’il était possible d’utiliser deux photons pour réaliser des calculs complexes (cf. « Vers des puces quantiques multiphotoniques »). Les travaux d’aujourd’hui sont donc une prolongation de ces recherches puisqu’ils montrent maintenant comment miniaturiser ce genre de puce pour s’approcher d’un système commercialement viable.
Jusqu’à présent, il était possible de fabriquer les divers éléments de la puce séparément, mais il était difficile de les intégrer au sein d’un même package. Les universitaires affirment s’être associés avec Toshiba pour la fabrication du composant qui utilise des machines conventionnelles.
Cet autre article sur le même site-source parle et montre les autres technologies en développement, qui peuvent compléter ou concurrencer les recherches sur l'ordinateur quantique... :
http://www.tomshardware.fr/articles/technologies-high-tech,5-223.html
La NSA développe un superordinateur capable de décrypter toutes les données
E. Snowden - Channel4/AFP
D'après des documents d'Edward Snowden, l'agence américaine planche sur un «ordinateur quantique» capable de briser la plupart des programmes de cryptage, ce qui lui donnerait accès aux transactions bancaires ou aux dossiers médicaux.
2013 a beau être finie, Edward Snowden n'en a pas terminé avec ses révélations sur la NSA. Citant des documents divulgués par l'ancien consultant, le Washington Post affirme ce vendredi que l'agence américaine de renseignements tente de développer le Saint Graal de l'informatique: un «ordinateur quantique» capable de briser la plupart des programmes de cryptage de données. Avec une telle machine, la NSA serait à même de déchiffrer n'importe quel code utilisé actuellement pour protéger les activités en ligne: les transactions bancaires, le contenu des messageries électroniques, les données médicales et bien sûr gouvernementales.
La puissance de calcul d'un «ordinateur quantique» est sans commune mesure avec celle des ordinateurs classiques. Dans l'informatique classique, dite binaire, les données sont codées par une suite de 0 et de 1: ce sont les fameux «bits» d'informations. Les «ordinateurs quantiques» fonctionnent eux avec des «qubits» qui peuvent prendre une infinité de valeurs différentes. Pour des raisons mathématiques, les physiciens pensent pouvoir utiliser ces «qubits» pour réaliser des calculs complexes hors de portée des ordinateurs actuels . Cela permettrait aussi de faire des calculs classiques de manière beaucoup plus rapide. Or toutes les sécurités informatiques actuelles reposent aujourd'hui sur la difficulté de réaliser certaines opérations arithmétiques sur des nombres très grands (plusieurs centaines de chiffres).
Un «ordinateur quantique» puissant pourrait donc faire sauter toute la cryptographie classique. Toutefois, ce monde orwellien n'est pas pour demain. Une entreprise canadienne D-Wave System a certes développé un ordinateur quantique il y a deux ans, mais il n'est absolument pas assez puissant pour briser la plupart des programmes de cryptage de données. La faisabilité d'un superordinateur répondant aux besoins de la NSA est loin d'être certaine. Les experts les plus optimistes n'imaginent pas les premiers prototypes avant cinq ans.
Une épée de Damoclès
«Il semble improbable que la NSA puisse être à ce point en avance sans que nul ne le sache», a confié au Washington Post Scott Aaronson, professeur au Massachusetts Institute of Technology. L'agence de renseignements n'est pas la seule à poursuivre cette chimère. Des laboratoires civils mènent des recherches similaires avec des financements de l'Union européenne ou de la Suisse et ont rattrapé leur retard sur les États-Unis. (YH : illusions sur les différences de budgets entre le civil et le militaire... ?)
Outre-Atlantique, le développement de ce superordinateur de la NSA s'inscrit dans le cadre d'un programme de 80 millions de dollars, baptisé «Penetrating Hard Targets» (Percer des cibles difficiles). Les recherches ont lieu à College Park dans le Maryland. La construction d'un tel engin est délicate. Ses composants sont fragiles. «Il faut isoler les atomes, les protons et les électrons» afin de tirer partie des propriétés quantiques de ces entités, un prérequis indispensable pour obtenir des «qubits», écrit le Washington Post. (YH : le Washington Post oublie de citer ici les financements occultes révélés auparavant...)
La NSA mène ce projet dans des pièces spéciales, appelées «cages de Faraday», qui protègent des pollutions électromagnétiques en provenance de l'extérieur. Sur un des documents de Snowden, la NSA affirme avoir mis au point deux semi-conducteurs «qubits». Or, pour déchiffrer l'ensemble des programmes de cryptage, on doit disposer de centaines, si ce n'est de milliers de «qubits».
Yves Herbo : tiens, c'est amusant : l'entreprise dans laquelle j'ai travaillé (Sodeteg-Thomson-CSF puis Thalès actuellement), l'un des numéros 1 mondiaux en électronique high-tech, vente d'armes de pointe, systèmes de radars et détections divers, bâtiments et structures spécialisées, espace, etc... (gros consortium "semi-étatique" français curieusement créé à l'origine... aux USA ! (fusion de Thomson-Houston et de CSF (la Compagnie Sans Fil) dans les années... gaullistes)... s'est procurée au moins une cage de Faraday toute équipée, à la fin des années 1990, pour un projet assez obscur... j'en ai beaucoup entendu parlé à l'époque et un ami ingénieur m'a effectivement montré cette salle très spéciale.
" Paradoxalement, ce superordinateur est aussi une épée de Damoclès au-dessus de la NSA. Dans un monde où chaque pays aurait accès à ce type de technologie, il serait bien plus difficile de collecter des renseignements. «L'application de technologies quantiques aux algorithmes de cryptage menace d'avoir un impact spectaculaire sur la capacité du gouvernement fédéral à protéger ses communications et ses écoutes de communications de gouvernements étrangers», reconnaît l'agence dans un mémo. "
Il y a également des coïncidences plus que douteuses sur l'attributions de certains piratages à des "terroristes informatiques"... dans la mesure où les services de renseignements ou de sécurité semblent faire bien pire... :
" - Décembre 2013 sur des faits de Février 2013 : D'après Der Spiegel et Mediapart, l'Agence de sécurité nationale américaine a espionné un câble sous-marin par lequel transitent des données de télécommunications. Orange, qui utilise ce câble, va se constituer partie civile.
Les révélations d'Edward Snowden continuent. Le journal allemand Der Spiegel a dévoilé dimanche de nouvelles informations sur les pratiques de cyber-espionnage de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA). Selon des documents transmis par son ancien employé, une division spéciale de la NSA a piraté le réseau informatique d'un ensemble de sociétés usagères du câble sous-marin de télécommunications SEA-ME-WE 4, qui relie Marseille, l'Afrique du Nord et l'Asie. Le français Orange fait partie des entreprises concernées, d'après des informations qui ont été confirmées par le site Mediapart.
http://www.01net.com/editorial/613226/orange-pirate-800-000-clients-touches/
" - un an après le piratage du câble... février 2014 : Piratage Orange : la DCRI saisie de l'enquête (MAJ) - Des pirates ont volés les données personnelles de 800 000 clients Orange. L'intrusion date du 16 janvier 2014 mais elle vient seulement d'être révélée. L'enquête est prise en charge directement par les agents de la DCRI. "...
On a plutôt l'impression que les USA s'amusent bien de la naïveté de leurs "alliés" européens (et autres) et confirment les soupçons de plusieurs historiens sur l'obligation historique de cette nation a devenir un empire et a dominer le monde. La théorie suppose que les États-Unis, civilisation moderne très jeune, nouvelle et en expansion, est amenée à devenir comme beaucoup de ses prédécesseurs un Empire dominant, ou disparaître comme tant d'autres. Pour celà, et l'Histoire humaine le confirme, tous les moyens sont bons, y compris et surtout les fausses alliances, les alliances provisoires, les alliances de convenance et d'intérêts (provisoires aussi en général), etc... j'ai à peine besoin d'en ajouter un peu sur les déboires complets du système et modèle économique américain dont le monde se rend enfin compte qu'il n'a jamais été que de crise en crise sans jamais réellement fonctionner (sauf pour les manipulateurs des seuls leviers disponibles) depuis son invention néfaste...
(http://www.internationalnews.fr/article-13008946.html)
Yves Herbo-Sciences-Faits-Histoires-04-02-2014
Les Tourbillons Océaniques
Les Tourbillons Océaniques
Des Trous Noirs dans l'Océan
Les scientifiques savaient depuis longtemps que d'immenses tourbillons se forment dans les océans. Or, pour mieux les repérer, un physicien les a mis en équation. Surprise : les équations sont les mêmes que celles décrivant un trou noir cosmique.
Ils sont 10 mille. Dix mille monstres à dériver à la surface des océans. Dix mille gouffres engendrés par les courants marins qui voyagent durant plusieurs mois entre les continents. Pour autant, rien à voir avec les fantasmatiques maelströms capables d’engloutir bateaux et baleines (voir encadré) : un navire les traverse sans même que son équipage s’en rende compte, de même que la plupart des organismes marins - l’eau n'y tourne qu'à raison de quelques centaines de mètres par heure. Mais, pour le plancton primaire qui vit dedans, pour les gouttes d’eau qui les composent, pour le sel qui y est dissous, pour la chaleur qui y est emmagasinée, ces tourbillons qui peuvent atteindre une centaine de kilomètres de diamètre et dont les racines plongent jusqu’à 1000 mètres sous la surface, forment de véritables trous noirs.
Vous avez bien lu : l’océan est peuplé de trous noirs, ces astres fantastiques imaginés dans le cadre de la relativité générale, et desquels aucun grain de matière ou de lumière, une fois pénétré dans leur giron, ne peut s’échapper. Inimaginable ? C’est pourtant la conclusion des très sérieux calculs que vient de mener George Haller, professeur de dynamique non linéaire à l’Institut fédéral suisse de technologie, à Zurich.
EDGAR POE A-T-IL DÉCRIT UN TROU NOIR AVANT L'HEURE ?
"Le bord du tourbillon était marqué par une large ceinture d'écume lumineuse ; mais pas une parcelle ne glissait dans la gueule du terrible entonnoir"... Ainsi Edgar Allan Poe décrit-il la frontière du monstrueux tourbillon qu'il met en scène dans sa nouvelle Descente dans le maelström. Certes, "ce monstre marin" avalant bateaux et matelots n'existe que dans l'imaginaire de l'auteur fantastique. Et pourtant, George Haller lui-même relève la pertinence scientifique de la description qu'en donne Poe, presque une préfiguration de l'analogie qu'il a mis en évidence entre tourbillons océaniques et trous noirs. "Cette ceinture d'écume lumineuse dont parle Poe n'est outre que cette ceinture d'eau cohérente que nous avons décrite mathématiquement dans notre publication", explique le théoricien. Si l'analogie mathématique avec le trou noir s'arrête là, la vision de Poe n'en reste pas moins troublante lorsqu'il écrit que ses personnages "imaginent qu'au milieu du canal du Maelström est un abîme qui traverse le globe et aboutit dans quelque région très éloignée". Comme si l'écrivain avait entrevu au fond des mers les monstres cosmologiques que les scientifiques découvriront un siècle plus tard.
RÔLE CAPITAL SUR LE CLIMAT
Ces tourbillons océaniques tournant sur eux-mêmes sans altération ne sont rien de moins que les alter ego terrestres de ces Léviathan cosmiques dévoreurs d’étoiles : une fois aspirés dedans, aucune goutte n’a la moindre chance d’entrer en contact avec le reste de l’océan, le long des milliers de kilomètres parcourus. Autrement dit, la frontière de ces tourbillons dessine un véritable “ailleurs”, un espace totalement coupé du reste des mers, une île littéralement en dehors de notre monde...
Ces étranges structures aquatiques sont de vieilles connaissances des océanographes, qui savent l’importance des gigantesques quantités de chaleur, de sel et de biomasse primaire qu’elles transportent d’un bout à l’autre des mers. C’est bien simple, comme le résume Patrick Marchesiello, chercheur au Laboratoire d’études en géophysique et océanographie spatiales (LEGOS), à Toulouse, "sans ces tourbillons, il est impossible d'expliquer la dynamique des océans ou le climat de la Terre".
C’est en cherchant à mettre au point une méthode permettant de repérer plus rigoureusement ces tourbillons sur les images satellites que George Haller a fait son étonnante découverte. “Pour les détecter, la méthode classique est l’altimétrie, qui permet de mettre en évidence des boucles le long desquelles l’altitude de la surface de l’océan est constante, et donc de déduire la présence d’un tourbillon, détaille le théoricien américain. Or, dans une étude précédente, nous avons montré que cette vision est erronée : dans de nombreux cas, les structures hydrodynamiques correspondantes n’ont pas de cohérence et se délitent donc rapidement”. Comptabiliser ainsi ces tourbillons qui, parfois, n’en sont pas, peut in fine conduire à surestimer les transferts océaniques de chaleur ou de sel dus aux véritables tourbillons cohérents et stables dans le temps... et donc à mal évaluer l’évolution globale des océans et du climat.
"UN COMPORTEMENT UNIQUE"
D’où l’idée du physicien américain d’imaginer une méthode mathématique susceptible de les repérer à coup sûr. "Basiquement, l’idée était de résoudre des équations pour caractériser précisément la frontière d’un tourbillon en tant que boucle fermée et stationnaire dans le temps de l’écoulement", précise le scientifique. Or, une fois griffonnés sur le papier, les signes mathématiques étaient on ne peut plus clairs : les orbites décrites par le fluide à la frontière d’un tourbillon océanique font apparaître des équations parfaitement identiques à celles qui décrivent la structure de l’espace-temps aux abords d’un trou noir. “A dire vrai, nous ne nous attendions absolument pas à ce que des outils développés pour la relativité générale jouent ici le moindre rôle, avoue le chercheur. C'était tout à fait nouveau et surprenant”.
Absolument inattendu, mais néanmoins parfaitement valide. “Le raisonnement semble impeccable. C’est mathématiquement très précis et parfaitement identifié”, confirme Renaud Parentani, au Laboratoire de physique théorique, à Orsay, et spécialiste des trous noirs. Précisément, tout comme leurs alter ego cosmiques, les tourbillons océaniques possèderaient ce que les astrophysiciens appellent une sphère de photons. Soit une surface fictive entourant l’astre, et susceptible de piéger indéfiniment des particules de lumières (les photons) sur des orbites circulaires. Un endroit déroutant où, parce que la lumière se boucle sur elle-même, il est théoriquement possible d’apercevoir son dos en regardant droit devant soi ! Pour nos trous noirs océaniques, cela correspond à des lignes singulières du champ de déformation du fluide où celui-ci tourne et se propage sans que sa cohérence géométrique ne soit altérée, conférant à ces structures fluides une incroyable stabilité. Un comportement absolument unique dans un écoulement par ailleurs turbulent”, explique George Haller. Qui précise : "La forme très aplatie des tourbillons océaniques autorise à les considérer, du moins en première approximation, tels des objets bidimensionnels. Cette sphère de photons joue alors le même rôle que l’horizon d’un trou noir, cette frontière au-delà de laquelle on ne peut plus revenir en arrière. Ainsi, un élément fluide qui s’y trouve ne peut plus en sortir, contraignant le fluide situé à l’intérieur du tourbillon d'y rester piégé durablement". Propriété faisant bien de l’intérieur d’un trou noir océanique ce même "non-lieu" qu’est l’intérieur de leur jumeau cosmique : un coin d’espace comme arraché à l'espace. C'est à ce titre que l’analogie trouve sa profonde pertinence. Ce qui est d’autant plus inattendu dans un océan où les masses d’eau se meuvent en se mélangeant et s’interpénétrant à toutes les échelles spatiales, ce qui semble justement garantir qu’aucune partie ne puisse jamais rester longtemps isolée des autres. (...) "
Lire la suite de ce très intéressant article
http://planete.gaia.free.fr/
Yves Herbo-Sciences-F-H-02-2014
Le Mystérieux peuple de la mer : de nouveaux résultats
Le Mystérieux peuple de la mer : de nouveaux résultats mettent en lumière leur origine inconnue
Des archéologues suédois ont découvert un bâtiment de près de 60 mètres de long et bien préservé datant de 1.100 avant JC, dans l'ancienne colonie Tell Abu al-Kharaz, (" le Mont du Père de perles "), situé dans la vallée du Jourdain et à environ 4 km à l'est du Jourdain, en Jordanie.
La nouvelle recherche dirigée par le professeur Peter M. Fischer de l'Université de Göteborg soutient la théorie que des groupes de ce qu'on appelle les Peuples de la Mer ont émigré à Tell Abu al-Kharaz.
Les Peuples de la Mer ont dérivé du sud ou de l'Europe de l'Est et se sont installés dans la région de la Méditerranée orientale tout le long de la vallée du Jourdain.
Sinon, on en sait peu sur les mystérieux peuples de la mer. Qui étaient ces gens et d'où ils venaient, on n'en est pas certain.
Leur nationalité reste un mystère parce que les seuls documents que nous avons de leurs activités sont principalement des sources égyptiennes, qui ne les décrivent qu'en termes de combats (comme le texte de la stèle à Tanis qui se lit, en partie, " Ils sont venus de la mer dans leur navires de guerre et personne ne pouvait leur résister ").
Les Philistins, une tribu de premier plan dans une fédération que les Egyptiens ont appelé «Les gens de la mer», qui se sont installés le long des côtes de Canaan. L'Archéologie révèle que ces nouveaux arrivants sur la terre promise, avec des alliés comme les Sikala, ont apporté de leur patrie Aegeo-anatolienne un patrimoine sophistiqué, dont l'architecture et des innovations dans la technologie navale et la pierre de taille.
Certains peuples de la mer étaient alphabétisés, en utilisant une écriture syllabique appelée chyprio-minoenne. Les Récits bibliques et documents égyptiens décrivent les peuples de la mer comme des guerriers très organisés - des voleurs marins qui harcelaient les villes côtières et les villes de la région méditerranéenne entre environ 1276-1178 Avant JC, concentrant leurs efforts en particulier sur l'Egypte.
Les Philistins composaient la plus grande partie des tribus des Peuples de la Mer
« Nous avons la preuve que la culture de l'Europe actuelle est représentée à Tell Abu al-Kharaz. Un groupe de peuples de la mer d'origine européenne, les Philistins, s'installa dans la ville », a déclaré Peter Fischer.
" Nous avons, par exemple, trouvé de la poterie ressemblant aux articles correspondants à la Grèce et à Chypre en termes de formes et de décorations, ainsi que le poids de métiers à tisser cylindriques, pour la production de textiles qui pouvaient être trouvés en Europe centrale et du sud-est au même moment. "
Tell Abu al-Kharaz est située dans la vallée du Jourdain près de la frontière de Israël et de Cisjordanie. Elle correspond très probablement à la ville biblique de Jabès en Galaad, fondée vers 3.200 avant JC et qui a duré près de 5 000 ans.
Reconstruction of the building from 1,100 B.C. Credit: University of Gothenburg
La première fouille a eu lieu en 1989 et la plus récente à l'automne 2013. Dans l'ensemble, 16 fouilles ont été réalisées. Le Bâtiment récemment découvert a été construit en deux niveaux, dont le niveau inférieur est toujours debout avec des murs atteignant 2,5 mètres de hauteur, après plus de 3.000 ans.
Pottery from one of the rooms from 1,100 BC. Credit: University of Gothenburg
Peter M. Fischer et son équipe d'archéologues et étudiants ont recensé un établissement urbain qui a prospéré trois fois au cours des 5 000 années : vers environ 3.100-2.900 avant JC (Début de l'âge de bronze), de 1600 à 1300 (Age du Bronze) avant JC et de 1100 à 700 (Âge du fer) avant JC.
Les fouilles archéologiques ont révélé des structures de pierre bien conservées, comme les bâtiments, les murs défensifs et des milliers d'objets complets fabriqués localement ou importés de l'Europe du Sud-est.
« Ce qui me surprend le plus, c'est que nous avons trouvé de nombreux objets (provenant) de loin. Cela montre que les gens étaient très mobiles, il y a déjà des milliers d'années », dit Fischer.
source : http://www.fischerarchaeology.se/?page_id=11
Yves Herbo Traductions-Sciences-F-Histoires-31-01-2014
Une particule magnétique étrange révélée dans une expérience de labo avec l'ultra-froid
Une particule magnétique étrange révélée dans une expérience de labo avec l'ultra-froid
Artist’s impression of a hot gas of magnetic monopoles in very cold surroundings. Eventually the surroundings suck the heat out of the monopole gas leaving it frozen at low temperature.
Read more: Frozen magnetic monopoles create new laboratory physics http://www.nanowerk.com/nanotechnology_news/newsid=34041.php#ixzz2rzUNiojU
Un comportement magnétique étrange qui avait été prédit par un physicien célèbre il y a plus de 80 ans a finalement été démontré en laboratoire, selon une nouvelle étude.
Le comportement d'un électron en réponse à un monopole magnétique ou un aimant solitaire avec seulement un pôle nord, a été démontré dans un matériau ultra- froid qui imite un système magnétique naturel. Et le système de monopole et d'électron se comporte exactement comme le physicien anglais Paul Dirac avait prédit qu'il serait en 1931.
Bien que la nouvelle expérience, décrite le 29 Janvier 2014 dans la revue Nature, ne prouve pas que ces monopoles existent en dehors du laboratoire dans d'autres systèmes magnétiques, cela pourrait aider les physiciens à savoir ce qu'il faut chercher dans la nature, a déclaré le co-auteur David Hall, un physicien de l'université d'Amherst dans le Massachusetts.
Tous les aimants connus ont un pôle nord et un pôle sud : Cassez une aiguille de boussole magnétique en deux, par exemple, et il y aura toujours deux aimants plus petits avec les deux pôles.
" Vous pouvez diviser votre aiguille autant que vous le souhaitez et vous pouvez même descendre à l'échelle atomique, et vous aurez encore un pôle nord et un pôle sud ", a déclaré Hall à LiveScience. Même les électrons et les protons ont deux pôles.
C'est un mystère parce que beaucoup de physiciens croient qu'un monopôle magnétique - un aimant avec un seul pôle - devrait exister. Par exemple, les monopôles pourraient expliquer pourquoi les charges électriques des particules subatomiques comme les électrons et les protons sont toujours délivrées en unités discrètes d'une charge fondamentale, a déclaré M. Hall.
Et si ces monopôles magnétiques existent, ils se sont probablement formés juste après le Big Bang lorsque tout l'espace était beaucoup plus chaud et plus dense que ce qu'il est aujourd'hui, les conditions ont peut-être été assez énergiques pour former ces particules magnétiques bizarres, disent les scientifiques.
En 1931, Dirac a essayé d'imaginer comment ce monopôle pourrait être compatible avec le modèle standard, la théorie de la physique régnante qui décrit le comportement des particules minuscules.
Il a prédit qu'un monopôle magnétique devrait laisser un petit sentier à remous en traversant un électron, avec un couloir vide au milieu, où l'électron est complètement absent, se terminant par le monopôle magnétique. (En théorie quantique, les électrons ne sont pas massifs avec des limites fixes, mais plutôt des taches floues que d'autres objets peuvent traverser).
Malheureusement, les scientifiques ont cherché en vain des monopôles naturels, il était donc difficile de tester la théorie de Dirac.
Pour ce faire, Hall et ses collègues ont refroidi des atomes de rubidium à seulement un milliardième de degré au-dessus du zéro absolu. A cette température, les atomes ont un comportement quantique bizarre, agissant essentiellement comme une seule vague à la place d'une agrégation de particules.
Ils ont utilisé un atome de rubidium pour imiter un électron, puis créé le champ magnétique d'un monopôle en ajustant l'alignement de millions d'autres atomes de rubidium, dont chacun agit essentiellement comme le petit pointage de l'aiguille de la boussole d'une manière légèrement différente.
Ils ont ensuite pris des photos de l' " électron " car il interagit avec le " champ magnétique ".
Effectivement, lorsque le monopôle synthétique a rencontré l'électron, il a créé un vortex tourbillonnant et une région à couloir sans atomes qui se termine au centre, comme Dirac l'a prédit, a déclaré M. Hall.
Le travail " est une belle démonstration de simulation quantique, un domaine en pleine expansion qui utilise des systèmes quantiques réels pour en modéliser d'autres qui sont difficiles à faire, calculer, ou observer ", a déclaré Lindsay Leblanc, un physicien de l'Université de l'Alberta au Canada, qui a écrit un article au sujet de la nouvelle étude publiée dans Nature.
Sources et plus d'informations :
• Comment une expérience ultra-froide en 2014 a prouvé une théorie bizarre magnétique posée en 1931
• monopôles magnétiques congelés créent une nouvelle physique de laboratoire
• les recherches sur le monopôle magnétique
Source : http://www.disclose.tv/news/Bizarre_magnetic_particle_revealed_in_ultracold_lab_experiment/99097
Yves Herbo Traductions-Sciences-F-H-31-01-2014
Curiosity photographie un phénomène lumineux dans le ciel de Mars
Curiosity photographie un phénomène lumineux dans le ciel de Mars
Une photo mise en ligne sur le site de la NASA relance les spéculations sur l’existence d’OVNi d’origine extraterrestre. On y distingue en effet un phénomène lumineux atypique que nul ne sait encore interpréter.
Toutes les dernières actualités sur les OVNI
Ce n’est pas la première fois que les passionnés croient reconnaître des phénomènes martiens atypiques depuis l’envoi sur place de la sonde Curiosity et le début de sa mission exploratoire en 2012.
C’est ainsi qu’Internet avait fourmillé de rumeurs variés. On avait ainsi évoqué la présence sur le sol martien d’un mystérieux iguane. On s’était interrogé sur un étrange pénis géant, évoquant les géoglyphes péruviens. Idem pour un surprenant caillou soudainement apparu dans le champ des caméras de Curiosity.
Dysfonctionnement, phénomène naturel, véhicule extraterrestre ?
Mais la dernière photo qui circule, dont l’authenticité est incontestable, soulève de légitimes interrogations puisqu’on y voit nettement un phénomène lumineux dans le ciel de la planète rouge, sans savoir s’il s’agit d’un phénomène naturel (aérolithe) ou plus mystérieux.
Différentes théories circulent sur le net. En zoomant considérablement sur l’image mise en ligne par la NASA, certains croient distinguer un engin de forme conique laissant derrière lui une traînée lumineuse. Hypothèse difficile à valider en l’état.
Pour le moment, l’agence spatiale américaine n’a pas proposé d’interprétation de cette image qui n’a pas fini d’intriguer.
Source via Mimie Maya Ufoetnature/Area51
Yves Herbo-SFH-01-2014
Australie : La Grotte de l'orb
Australie : La Grotte de l'orb : une énergie lumineuse se déplaçant capturée sur la vidéo !
Cet article fait suite à ces autres traductions :
Comme je l'ai noté dans un ancien article sur Wake Up World, un feu de brousse énorme et plutôt tragique dans la région des Blue Mountains of NSW australien, a récemment créé un passage plus facile, et l'accès à toutes sortes de sites archéologiques dans la région. En dehors des circonstances assez terribles, cette occasion a permis à mon équipe et à moi-même de rechercher deux des nombreux sites qui nous ont été référés par le spécialiste autrichien Klaus Dona.
Le premier site visité a tout indiqué qu'il était exactement comme Klaus l'avait décrit, et pour l'instant ce que nous avons découvert est un travail en cours et doit être gardé à l'étude et en secret. Mais pas la deuxième place, elle exige une oreille du public.
Avec la carte dans la main, il n'était pas difficile de trouver cette grotte possédant une immense puissance et d'une grande importance. Alors que nous approchions avec le fondateur de Wake Up World Ryan Mullins en tête, il a été le premier à voir un faucon brun voler hors du trou du côté gauche de la grotte. Il y a quelques années, une telle présence pourrait ne pas avoir attiré mon intérêt, mais notre travail continu avec les personnes natives et les terres sacrées de l'Australie m'a appris que, quand nous allons sur le pays à la recherche de l'archéologie antique, nous sommes souvent témoins et guidés par la nature et les esprits - tout comme nous avons été guidés par huit faucons à la demande de sages quand nous avons visité le site connu sous le nom " Stonehenge de l'Australie " il y a quelques mois :
" Initialement, trois faucons sont venus, comme appelés. Mais comme l'Ancien a été reconnu, il en a appelé plus. Un quatrième, puis un cinquième oiseau a rejoint le cortège... Il a demandé six ... puis sept ... huit ... et enfin, huit faucons en cercle au- dessus de leurs têtes. Il n'y avait pas de question - le présage d'en haut a été envoyé du ciel. "
A cette occasion, comme un présage de bon augure qu'était cette apparition du faucon, il s'est multiplié par dix quand le membre de l'équipe Evan Strong a ramassé la plume du faucon qui nous a laissé quand il est reparti.
Les Premières Impressions
L'entrée de la grotte est protégée par une formation rocheuse plutôt intrigante et peu familière qui ressemble à un visage de chien, et un peu plus loin se trouvent des indices d'une formation rocheuse qui porte des traces d'un mur artificiel. Sur le rebord en saillie se trouvent quatre Dialanthuns (Dreaming Track markers - des traces, marques, empreintes) qui accentuent l'importance de ce qui était, et est encore, dans cette grotte peu profonde.
Pour commencer, aucun des deux pochoirs peints à la main sur la paroi arrière ne représente un sens quelconque. Le contour de la main la plus petite a été créé en soufflant de l'ocre par la bouche et est de la taille de la main d'un enfant avec un doigt exceptionnellement mince. Le deuxième plus grand pochoir à l'ocre blanc est encore plus problématique, en ce qu'il n'était pas tellement un pochoir à la main, mais plus un dessin du coude - au - doigt. Si sa création est un effort solitaire, cela a été une tâche très difficile, et le résultat est contraire à presque tous les autres dessins originaux faits à la main qui utilisent juste la main.
Près de là où le faucon s'est perché se trouvent deux ensembles de peintures fanées ; deux semblent montrer cinq rayons ocrés rouges rayonnant de ce qui semble être une tête. Tout autour se trouvent des restes d'ocre blanc, ce qui était probablement toute une partie d'une peinture originale qui comprenait deux têtes. Juste au-dessus du perchoir du faucon se trouvent deux figures au charbon de bois noir de la même forme. Toutes les deux ont deux jambes, peut-être un pénis, et un corps a deux bras levés au-dessus de la tête. A la droite il y a une ligne courbe gravée très inhabituelle, entourée par une autre figure en charbon de bois qu'il est difficile d'identifier, sinon cela suggère timidement qu'elle pourrait être un animal.
Il existe également des preuves de picotement (une méthode originale de sculpture sur pierre) et en un seul endroit, il semble qu'une grande partie de la roche aurait pu être picotée, abrasée et enlevée. Ce qui semble être une série de coups de ciseaux parallèles peuvent être trouvée au-dessus de la ligne de piquetages. Puis il y a aussi ce qui semble être un type bizarre de revêtement des rochers en algue citron-bleu (blue-lime algae ou http://www.agriculture.gov.sk.ca/Blue-Green_Algae_FAQs) sur le bord gauche de la grotte.
Nous avions passé une heure ou deux sur la recherche et dans un respect profond, et il ne semble pas y avoir de raison de revenir. Cette grotte, portant un art original et des gravures est certainement très sacrée et spéciale. Mais pour nos suppositions, nous n'avons pas trouvé d'archéologie en dehors des normes et rien n'a vraiment repoussé nos barrières de compréhension.
Lumières, Camera...
A une centaine de mètres plus bas, nous faisons une pause pour manger et, plus important encore, me soulager de la sangsue qui (forcément) s'était attachée à ma cheville. Au cours de cette courte pause, Evan a eu la chance de voir ce qu'il avait photographié sur le site. Tout au long de nos enquêtes, Evan était resté sur la tâche, en prenant encore des photos des ocres, des charbons de bois, des murs et autour... ou ce qu'il pensait.
A sa grande surprise - et apparemment grâce à un merveilleux incident ou une intervention divine, ou les deux - Evan avait une fois appuyé sur le bouton « vidéo » à la place du bouton ' photo ' sur son appareil d'enregistrement. Cette erreur s'est produite au même endroit où le faucon a volé lorsque nous sommes apparus en premier sur cette scène, et où les fientes de faucon se trouvaient.
Ce que nous avons vu était au-delà de nos attentes : une paire de lumières blanches en orbe - comme volant en diagonale à travers l'écran.
Tous les objectifs que nous aurions dû chercher ailleurs ce jour-là ont immédiatement disparu. Aucune discussion n'a été nécessaire, et nous étions de retour sur le site et dans la grotte dans la minute de notre première vision. Ce que nous avions vu n'appartient pas juste à une quelconque théorie classique du «ici et maintenant ». Et cela valait certainement une enquête plus approfondie.
Il n'a pas fallu longtemps, à peine quelques secondes après qu'Evan ait commencé à filmer à nouveau, avant que nous voyons une boule de lumière flashant sur l'écran. Pendant les deux minutes suivantes, l'intensité et le nombre de feux a fluctué, mais dès le début nous avons remarqué une nette différence dans la trajectoire de vol par rapport à ce que nous avions vu dans la première vidéo : ils allaient partout ! Ces objets légers se déplaçaient sur chaque orbite possible, droite, diagonale, horizontale, courbe, et dans un cas, une forme en J. La vitesse et l'intensité des feux couvraient toute la gamme complète, tout comme la gamme des couleurs de ces boules d'énergie. Certains changeaient de vitesse ou de la direction à mi- vol. Il n'y avait pas d'uniformité dans leurs mouvements, et donc ce n'est pas une force unique qui les propulsait.
Avons-nous seulement capturé un vol d'orbes sur la vidéo ?
Parmi toutes ces apparitions surnaturelles apparemment, un très bref participant se démarque. Il s'inclina vers le bas dans la partie supérieure du cadre et fit la plus brève des apparitions, un total de trois écrans, mais sans doute il était la plus grande de toutes les formes légères filmées dans le dossier de Evan sur ce défilé d'énergie et de lumière.
Cependant, tout au long de ce tournage, aucun de nous trois n'a rien vu de ses propres yeux. Si il n'y avait pas ce que nous avons vu à l'écran, nous n'aurions eu aucune idée de ces allées et venues autour de nous. Evan se concentrait sur la caméra sur un endroit plus profond de la grotte. Les rayons du soleil n'ont pas atteint le rebord de la grotte et encore moins pénétré dans la grotte elle-même, il n'y avait pas de poussières ou d'insectes visibles, et aucune explication «rationnelle» disponible qui pourrait rejeter cet état caché des choses essentielles - qui semble vivante et sans équivoque à la caméra.
Même si la vidéo de Evan est apparue graphique et vérifiable, nous savions que plus était nécessaire pour répondre aux critiques et cyniques à la fois dans et en dehors de notre équipe. Donc, quatre heures après que nous ayons quitté la grotte, Evan est revenu avec les membres de l'équipe de Sonya Vangelder (chercheuse / historienne ) et Sean Vandenberg (producteur intuitif de documentaires). Cette fois, avec deux caméras différentes - l'une tenue par Sean qui est un cinéaste professionnel et extrêmement doué - avec un tournage à un autre moment de la journée , l'équipe a chroniqué que plus de la même énergie lumineuse à joué. Il y avait des moments où les écrans ont été inondés avec des dizaines de formes légères dansant à des vitesses , des intensités et des orbites différentes.
Parmi toutes les merveilles de ces signes des dieux existait ce que nous croyons être un point de définition ; à partir de ce moment, il est devenu évident que nous avions affaire à des entités intelligentes, des réactions rapides et une pensée consciente. Sean avait glissé près de la source où se tenait Sonya ou lorsque Evan avait précédemment filmé - peut-être même d'un peu trop près les "êtres de lumière" présents. Dans un segment d'un film, Sonya s'est focalisée autour du bras de Sean et un orbe, apparemment destiné à entrer en collision avec son poignet, a changé de cap en un instant, virant à 90 degrés alors en vitesse et aux côtés de son bras, dans une action qui apparaît uniquement faite pour éviter de faire "contact".
Cette interaction s'étend sur plusieurs niveaux. Quelles que soient ce que ces lumières sont, quand vous êtes trop près de l'un des leurs, ils semblent utiliser un processus cognitif pour prévoir et réagir à votre présence physique. Dans ce cas, la lumière choisi un autre chemin pour éviter la chair et le sang du bras de Sean. Et pourtant, aucun de nous n'avait les yeux pour voir tout cela.
Bien sûr, dans le monde empirique où beaucoup s'accrochent, ou sont contraints de résider, il ne suffit pas de faire confiance à la parole des autres. Comme ils le disent, « voir c'est croire ». Donc, pour accueillir le « ce que vous voyez est tout ce qu'il y a " des sensibilités de notre monde, Sean a compilé un court documentaire de nos expériences à l'intérieur de cette grotte spéciale.
Un plus grand objectif
Ce n'est pas un hasard - il ne l'est jamais - que Ramindjeri Elder Karno Walker a essayé de me contacter le même jour, mais comme nous étions sur place à l'époque, cela n'a été possible que quand nous sommes rentrés à la base de la maison en début de soirée et que j'ai répondu à son appel. S'il y avait des doutes sur le caractère sacré et la réalité de ce que nous avons vu et filmé - et il n'y en avait pas, mais jamais - si un cas de doute s'attardait profondément dans les recoins de notre équipe, ils auraient rapidement disparu.
Karno avait appelé pour nous informer que les esprits de la terre étaient maintenant prêts à «s'élever» et se montrer.
Et même si nous n'avions pas eu de contact jusqu'au soir, c'est exactement ce qui s'est passé dans la grotte durant la journée. Cela faisait clairement partie d'un plan plus vaste. Ensuite, après avoir entendu notre expérience, Karno a accepté notre confirmation absolue par sa validité qui était la présence à la fois du faucon gardien et de la plume que l'oiseau a choisi d'abandonner - sur l'endroit même où Evan a capturé par "erreur" le tout sur vidéo.
Donc, ce que nous avons ici sont trois séries de trois. Il y avait trois caméras détenues par trois personnes filmant sur trois périodes distinctes, et tous se sont concentrés sur un emplacement spécifique dans la grotte. Les trois caméras ont enregistré les mêmes événements surnaturels. Cachés à nos yeux il y avait des lumières de toutes les couleurs, de diamètres et intensité, et se déplaçant à des vitesses différentes dans toutes les directions possibles, elles sont venues et sont allées. Certaines étaient très grandes et d'autres petites, et au moins une a montré une intention consciente. Passé ces faits, tout le reste est un mystère mystique.
Photo2011©shauniel
À quelques minutes de la fin de mon entretien avec Karno Darkinjung Elder, tante Beve est arrivée. Elle a été invitée pour le dîner chez Ryan and Andy’s et, comme c'était la coutume, nous avions l'intention de partager tout ce que nous avions vu ou découvert sur le pays et obtenir ses idées. Mais cette fois, c'était différent. Les autres sites que nous avions vus avaient perdu l'excitation des orbes, et jusqu'à ce que Tante Beve ait vu et commenté le film, rien d'autre n'avait de conséquence. Étonnamment, non seulement elle confirma que notre expérience était un signe du royaume spirituel, mais elle a été plus précise et beaucoup plus «hors-monde» dans son avis que nous l'aurions soupçonné. Étant dans une grotte pleine d'art natif, nous avons supposé que les lumières et les esprits étaient d'origine native - mais non, tante Beve était convaincue que nous avions vu les activités des « personnes et des êtres transportés de là-haut " - se référant, comme elle l'a fait lors de consultations antérieures, à des êtres hors du monde.
Il se pourrait bien que l'explication soit que ces orbes volants ne soient pas, tout ou partie de ce qui précède. Ce que notre équipe a capturé sur vidéo est réel dans tous les sens du mot, et est encore bien positionné à l'extérieur de l'étreinte de toute théorie scientifique dominante acceptée. La seule vérité que nous pouvons témoigner est que le film n'est pas faux, que l'expérience était totalement inattendue, et en ce qui concerne nos aînés natifs, l'activité du domaine de l'esprit est une partie intégrante de l'identité de ce site. Les aînés natifs insistent sur le fait que le changement est à venir, et que ce que nous avons filmé fait partie de cette accélération.
Est-ce que les Esprits se montrent ? Essaient-ils de communiquer ou d'interagir avec nous ?
Ou sont-ils simplement des lumières aléatoires battant partout sans rime ni raison ?
Étant donné les circonstances sur place - le faucon qui nous a accueillis, la gamme inexpliquée de mouvement, la taille et la couleur des hasardeuses boules d'énergie que nous avons filmé, et le fait que l'une de ces boules blanches ait fait un demi-tour soudain et navigué aux côtés du bras de Sean - cette expérience n'était pas aléatoire mais délibérée. Et ce concept doit vraiment être le point de départ minimum pour toute recherche. Comme le frère Karno Walker nous a informés, les esprits vont s' «élever » et se faire connaître quand ils seront prêts. Et le jour où nous avons visité " la grotte des orbes ", il semble que c'est exactement ce qui a commencé à se produire.
By Steven Strong - le site Wake Up World m'a demandé d'enlever les liens menant directement à lui à cause de soucis obscurs de SEO...
Note de la rédaction par Andy Whiteley :
" Il me stupéfie combien de personnes contribuent à l'équipe d'archéologie Forgotten Origin, et le tout sur une base volontaire. Venant d'un large éventail de milieux et lieux, chacun apporte une autre compétence, perspective , activité, expertise - ou un fort accent :) - pour une recherche collaborative sur la véritable histoire de l'ancienne archéologie trouvée en Australie largement. En fait, il y a tellement de nombreux contributeurs maintenant - quelque chose comme trente au total, travaillant sur le site et en dehors, partout dans le monde - que nous avons appris à être connu collectivement comme « la tribu - ‘The Tribe’ ». La tribu a une croissance organique avec notre curiosité partagée, l'intégrité et la ténacité, et je me sens vraiment privilégié de faire partie d'une telle équipe inspirante de chercheurs de vérité. "
Si vous êtes intéressé à en apprendre davantage à propos de la tribu, s'il vous plaît visitez le ForgottenOrigin.com / La Tribu.
Source : http://wakeup-world.com/2014/01/08/the-cave-of-flying-orbs-captured-on-video/
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Yves Herbo Traductions-Sciences-Faits-Histoires, 29-01-2014