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Erosion montagne alpessudnz sommet helico isaaclarsen mini

Géologie et refroidissement climatique : limites du taux d'érosion dépassées

Par Le 21/01/2014

Géologie et refroidissement climatique : limites du taux d'érosion dépassées

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Une nouvelle étude publiée dans la revue Science vient de remettre en cause un postulat bien admis en géologie, disant que les taux d'érosion des roches de la planète, produisant donc les sols,  sont très limités et d'autant plus, selon les spécialistes, là où ils sont lessivés, comme sur les pentes raides d'une haute montagne. En effet, cette étude vient de prouver que les pentes abruptes des jeunes montagnes, toujours en cours de formation, situées dans les Alpes du Sud de la Nouvelle-Zélande détenaient un record d'érosion, et même jusqu'au double de la limite théorique fixée. Cette étude est importante car elle concerne aussi notre climat.

Les jeunes montagnes ont toutes les mêmes caractéristiques : sommets pointus, élévation continue et pentes abruptes. Mais leurs roches subissent également dès leur apparition à l'air libre des éléments érodeurs comme le vent, l'eau et les interactions chimiques. Des pentes abruptes régulièrement lessivées par les éléments participaient moins à la création des sols selon les théories.

Erosion montagne alpessudnz sommet helico isaaclarsenAndre Ege, l’étudiant qui a accompagné Isaac Larsen, se balade sur un sommet des Alpes du Sud néo-zélandaises en attendant que le brouillard se lève dans la vallée, car il restreint les vols de l’hélicoptère censé venir chercher les scientifiques ou leurs prélèvements. © Isaac Larsen

Isaac Larsen, un post-doctorant de l’université de Washington (États-Unis), vient de démentir ces théories. Il a passé plusieurs semaines dans les Alpes du Sud néo-zélandaises pour mieux caractériser leur érosion et la formation des sols. En raison de mouvements tectoniques actifs, cette région s’élève encore de nos jours (environ 1 cm par an), ce qui signifie qu’elle expose de plus en plus de roches aux actions des éléments. D’autres arguments en font un site d’étude de choix. Par endroit, il tomberait plus de 10 m de précipitations par an, sur des pentes raides d’environ 35°.

Pour mesurer la vitesse d’érosion des reliefs de cette chaîne montagneuse, le chercheur et un acolyte ont été déposés par hélicoptère sur plusieurs sommets, au-dessus de la limite supérieure des arbres. À chaque fois, et durant trois jours, ils sont descendus à pied vers des sites propices à la récolte d’échantillons de sol, avant d’en remonter 9 à 10 kg au camp de base. Les prélèvements ont ensuite été rapportés en laboratoire, où leur concentration en béryllium 10 (10Be) a notamment été mesurée. Or, la production de cet isotope, qui est généré par le passage d’un rayon cosmique, dépend de la vitesse d’érosion. Résultat : elle est par endroit deux fois plus importante que la limite théorique précédemment établie à partir de mesures réalisées ailleurs dans le monde.

Erosion montagne alpessudnz racine isaaclarsenL’importante production de sols dans les Alpes du Sud néo-zélandaises est également liée à la végétation luxuriante fixée sur les pentes de certaines montagnes, selon l’altitude. En effet, les racines peuvent fracturer la roche. © Isaac Larsen

Les montagnes jeunes, des puits de carbone ?

Le taux d’érosion des sommets étudiés oscille entre 0,1 et 2,5 mm par an. À l’échelle des temps géologiques, il s’agit d’une vitesse considérée comme importante. Notons par ailleurs qu’elle diminue proportionnellement à l’épaisseur des sols. Concomitamment à ce phénomène, les résultats démontrent également que le taux d’altération chimique des roches est lié au taux d’érosion, ce qui a son importance dans des problématiques climatiques.

Le réchauffement climatique en cours est entre autres lié à la présence d’importantes quantités de CO2 dans l’atmosphère. Or, l’altération chimique des roches et la formation des sols s’accompagnent d’une capture progressive de ce gaz. Puisqu’elles seraient jusqu’à deux fois plus importantes que ce que l’on a cru par le passé, on peut s’interroger sur le rôle de puits de carbone des jeunes montagnes en cours de formation.

À l’avenir, des climatologues pourraient ainsi chercher à déterminer ou préciser le rôle de l’érosion des montagnes dans le refroidissement de notre planète. S’il s’avère qu’il n’est pas négligeable, il sera alors intéressant de se pencher sur le cas de l’Himalaya ou des monts Taïwanais, puisque ces montagnes présentes de nombreux points communs avec les Alpes du Sud néozélandaises. Par exemple, ces édifices sont eux-aussi toujours en cours de formation, tout en étant rapidement érodés.

Sources : http://www.sciencemag.org/content/early/2014/01/15/science.1244908  +  http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/actu/d/geologie-record-erosion-montagnes-neozelandaises-51729/#xtor=RSS-8

YH : notons que ces nouvelles données concernent aussi les archéologues qui se servent parfois aussi des limites connues d'érosion sur certains sites.

Yves Herbo-Sciences-F-H-01-2014

Ground zero mini

Réouverture de l’enquête sur les attentats du 11 septembre ?

Par Le 20/01/2014

Réouverture de l’enquête sur les attentats du 11 septembre ?

Ground zero mini

" On vient de m'envoyer une dépêche Reuters vieille d'un mois. Elle est passée inaperçue ici et concerne les attentats de New York. Pour faire court, un juge vient de donner raison aux familles de victimes qui voulaient une réouverture de l'enquête. Les éléments nouveaux visent clairement l'Arabie saoudite et des protections du FBI dont auraient pu bénéficier les pilotes kamikazes. On n'est plus dans le complot fumeux gommant les avions ou dans les élucubrations délirantes, on est face à des éléments factuels. Le sénateur démocrate Bob Graham (ancien gouverneur de Floride) avait déjà soulevé le problème l'an passé. En vain. Comme d'habitude, la vérité prend du temps... "

Un tribunal américain réexamine une affaire opposant des victimes du 11/9 à l’Arabie saoudite

par Jonathan Stempel pour l’agence Reuters

(traduit par François pour ReOpenNews)

NEW YORK (Reuters) – Aujourd’hui (19-12-2013), une cour d’appel américaine a réexaminé des plaintes déposées par des familles de victimes du 11 septembre 2001, des attentats pour lesquels l’Arabie saoudite aurait fourni une aide matérielle.

Cassant la décision du Tribunal de première Instance, la deuxième Cour d’Appel de New York a déclaré que "les intérêts de la justice" justifiaient de réexaminer ces plaintes à la lumière d’une décision de 2011 qui avait retenu des demandes de poursuite similaires contre l’Afghanistan.

Le juge [de la cour d'appel] Chester Straub a écrit à un comité de trois juges qu’il serait "particulièrement anormal" de traiter différemment ces deux groupes de plaignants. Il a renvoyé l’affaire au juge de district George Daniels pour instruction.

Le litige a été porté en justice par les familles des quelques 3 000 personnes tuées lors des attentats du 11-Septembre et par des assurances ayant couvert les pertes immobilières et commerciales.

La plupart des pirates qui ont détourné des avions et les ont précipités sur le World Trade Center à New York, sur le Pentagone à Washington et, après que les passagers se soient révoltés, dans un champ en Pennsylvanie, étaient des ressortissants saoudiens.

"Cette décision est totalement fondée et donnera aux victimes la possibilité de s’expliquer devant un tribunal", a déclaré Stephen Cozen, un associé du cabinet Cozen O’Connor qui représente les plaignants. "On va pouvoir tout reprendre depuis le début et nous sommes très, très satisfaits de pouvoir répondre aux arguments, à la fois légaux et factuels, qui seront présentés par la partie adverse."

Cozen a indiqué que le préjudice pourrait atteindre des dizaines de milliards de dollars.

Michael Kellogg, un associé du cabinet Kellogg, Huber, Hansen, Todd, Evans & Figel qui représente l’Arabie saoudite, a déclaré que ce pays "demanderait un réexamen de cette décision inappropriée" qui, dit-il, est "contraire" aux lois en vigueur.

"Il est extrêmement regrettable et pénible qu’un pays souverain, qui plus est allié des États-Unis, doive encore plaider cette affaire plus de dix ans après qu’elle ait été classée," a-t-il ajouté.

Le litige a débuté en 2002. Des familles de victimes du 11-Septembre avaient affirmé que l’Arabie saoudite, ainsi qu’une association caritative affiliée à ce gouvernement, avaient sciemment fourni de l’argent et une assistance matérielle à al-Qaïda qui les a utilisés pour réaliser les attentats.

Ground zero 5d194Ground Zero - Twin Towers light (CC BY-SA 2.0) - Photo par Eric Mueller http://www.flickr.com/photos/pnoeri...

ETENDUE DE L’IMMUNITE SOUVERAINE

Le juge Richard Casey de Manhattan a débouté cette demande en 2005, arguant que les supposées activités illégales de l’Arabie saoudite relevaient de son "pouvoir souverain" lui conférant l’immunité selon la Loi sur l’Immunité Souveraine des Nations Étrangères.

Une seconde juridiction avait confirmé cette décision sur des bases différentes en 2008, mais son interprétation de la loi sur l’immunité souveraine fut rejetée par une autre juridiction dans le dossier mettant en cause l’Afghanistan.

Dans l’affaire impliquant l’Arabie saoudite, les familles ont alors demandé au juge George Daniels, qui a repris le dossier suite au décès du juge Casey en 2007, de casser le jugement de 2005.

Mais Daniels a refusé, déclarant en mars 2012 que c’était "pure spéculation" de considérer que ces décisions étaient contradictoires "étant donné qu’il s’agit d’accusés différents avec des charges différentes."

Cependant, Straub a déclaré par écrit que la nouvelle loi invoquée dans l’affaire afghane constituait un élément "nouveau et suffisamment important" pour justifier la réouverture du dossier de l’Arabie saoudite.

Il a ajouté : "L’historique de la procédure a produit des décisions incohérentes pour deux groupes de plaignants ayant intenté un procès concernant le même événement. Il a également conduit à ne pas reconsidérer le principe de pouvoir souverain accordée par la cour."

Les juges Jose Cabranes et Ralph Winter ont adhéré à la décision prise jeudi par la Cour d’Appel. Cabranes faisait partie du comité qui a confirmé le renvoi de l’affaire impliquant l’Arabie saoudite en 2008 et de celui qui a réactivé le dossier de l’Afghanistan en 2011.

Références du dossier : Attentats terroristes du 11 septembre 2001 (Royaume de l’Arabie Saoudite), 2ème chambre d’appel des Etats unis, N° 12-1318, 12-1350, 12-1441, 12-1476, 12-1477 et 12-1519.

Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/reouverture-de-l-enquete-sur-les-146570

Pour mémoire, voici une enquête intéressante du Réseau Voltaire sur "l'attentat" au Pentagone. Source : enquête du Réseau Voltaire www.reseauvoltaire.net :

pentagone.doc pentagone.doc

Yves Herbo-S-F-Histoires-01-2014

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Des fossiles prouvent le brusque changement de climat au Dryas Récent

Par Le 20/01/2014

Des fossiles prouvent le brusque changement de climat au Dryas Récent

 

Lake

Les brusques changements de température et l'effet sur ​​l'environnement qui a eu lieu il y a 12.680 années pendant la période du Dryas Récent ont été expliqués par une nouvelle analyse de fossiles qui a été présentée par des scientifiques de l'Université de Potsdam, en Allemagne et au Centre de recherche allemand GFZ des géosciences le 19 janvier 2014, et à l'édition de la revue Nature Geoscience.

Les Modifications dans le cycle de l'eau se sont avérés les principaux facteurs de changement de l'environnement qui a eu lieu après l'événement majeur du refroidissement qui a été lancé il y a 12.680 années. Le délai de 170 ans de l'impact de l'événement sur ​​la vie végétale et animale en Europe a été produit par des changements dans la circulation atmosphérique.

Les changements dans la circulation atmosphérique ont été confirmés par des échantillons de glace du Groenland qui correspondent aux temps des cadres de l'ouverture du Dryas Récent et l'effet éventuel en Europe.

LakeLake Meerfelder Maar

Les chercheurs ont évalué l'impact de l'événement sur la vie végétale et animale dans les sédiments lacustres laminés extraits de Meerfelder Maar Lake, dans la région de l'Eifel de l'ouest de l'Allemagne. La datation de la matière organique a été accomplie par la comparaison des ratios d' hydrogène lourd (deutérium) de l'hydrogène.

Lake

Il s'agit de la première preuve physique déterrée qui indique que l'effet des changements brusques de températures ne sont pas immédiatement ressentis dans les changements climatiques, mais dépendent des cycles de l'eau.

Sources : http://www.examiner.com/article/fossils-explain-the-abrupt-climate-change-the-younger-dryashttps://phys.org/news/2014-01-amplifies-abrupt-climate.html

Yves Herbo Traductions-Sciences-F-H-01-2014

Dans OVNI/UFO
Tfh

L’Iran face à la menace Ovni

Par Le 19/01/2014

L’Iran face à la menace Ovni

F14 forbes

crédit : Forbes

Extrait de cet aricle paru dans Forbes et traduit par Ovnis-Direct

La connexion entre « Iran » et « Ovnis » est d’autant plus accentuée par les informations diffusées récemment par le très célèbre magazine Forbes. L’armée de l’air iranienne a tenté d’abattre des avions ne ressemblant à rien de terrestre. L’article a été tiré par Forbes du magazine d’aviation militaire ​Combataircraft dont certains rédacteurs sont extrêmement respectés dans le milieu.

Par exemple le journaliste Babak Taghvaee raconte dans l’article que l’Iran avait tenté d’intercepter ce que l’armée pensait être des drones-espions américains survolant les installations nucléaires iraniennes.

Le plus intéressant est la manière dont les Iraniens décrivent ces intrus appelés « objets lumineux » vu qu’ils émettaient de la lumière intense pour éventuellement permettre les photographies de nuit.

« Selon des sources iraniennes, « les drones de renseignement de la CIA » affichaient des caractéristiques de vol étonnantes, y compris une capacité à pouvoir voler hors des limites de l’atmosphère, atteindre une vitesse de croisière maximale de Mach 10, et une vitesse minimale de zéro, avec la possibilité de planer au-dessus de la cible.
Ces puissants drones (équipée pour les contre-mesures électroniques) possédaient des capacités de brouillage de radars ennemis en utilisant des niveaux très élevés d’énergie magnétique et perturber les systèmes de navigation. »

Lors d’une interception au-dessus de la centrale nucléaire d’Arak en novembre 2004, un avion F-14 Tomcat essayait de verrouiller son radar sur un objet lumineux, ce qui provoqua de fortes perturbations sur ce même radar à bord de l’appareil. Selon l’article, « Le pilote a décrit l’objet comme étant de forme sphérique, avec quelque chose comme un système de postcombustion provoquant une quantité considérable de turbulence derrière l’objet ». L’intrus a ensuite augmenté sa vitesse avant de disparaitre comme un météore ».

L’histoire prit une tournure mortelle en janvier 2012, lorsqu’un F-14 a été brouillé lors d’une tentative d’interception d’un intrus volant vers la centrale nucléaire de Bushehr. Quelques secondes après le décollage, le F-14 a explosé, tuant deux membres d’équipage. Aucune cause de la tragédie n’a été déterminée.

Ce n’est pas la première fois que les combattants iraniens font face à de présumés ovnis. Durant le règne du Shah et avant que les fondamentalistes n’aient pris la relève, celui que l’on connait aujourd’hui sous le nom de Parviz Jafari (ancien général de l’armée de l’air iranienne) avait tenté, le 19 septembre 1976, d’intercepter un ovni à bord de son F-4, sans succès. L’ovni émettait des lumières clignotantes et colorées, mais lorsque le pilote tenta d’activer sa force de frappe, son système de contrôle d’armement ainsi que sa radio cessèrent de fonctionner.On note que nulle part dans l’article du magazine ​Combataircraft les autorités iraniennes n’assimilent à des ovnis les objets lumineux observés en 2004 et 2012.

Tfh

crédit : Forbes

Il est bien évidemment plus facile d’envisager qu’un brouillage du matériel de contrôle de l’avion F-4 se soit reproduit à bord du F-14 en 2004. Puis que l’explosion de 2012 soit due à du vieux matériel de contrebande (en raison de l’embargo occidental) avec le lequel le F-14 a été conçu au lieu d’une hypothétique action exotique.

À noter que l’ovni a été décrit comme volant à Mach 10, c’est à dire 10 fois la vitesse du son, soit 7,612 miles par heure (le SR-71 Blackbird l’avion-espion légendaire a volé à environ Mach 3, soit 2,283 miles par heure). Le candidat évident à ce type de manœuvre est un avion hypersonique expérimental comme le NASA X-43 qui a volé à Mach 9,68 en 2004. Ce programme a pris fin, et brièvement ressuscité par l’Air Force sous le nom X-51 Waverider, qui a volé à Mach 5 pendant près de quatre minutes en mai dernier avant de se crasher dans le Pacifique.

Les projets sont surtout considérés comme des missiles expérimentaux pouvant un jour devenir des aéronefs avec ou sans pilote. Si les «objets lumineux» décrits par l’Iran ont vraiment volé à Mach 10, comme l’ont constaté les radars, alors cela suggèrerait l’existence d’un avion hypersonique ultrasophistiqué et suffisamment fiable pour mener à bien des missions de reconnaissance sensibles. Peut-être le semi-mythique Aurora ?

Rappelons tout de même que l’avion militaire supersonique américain appelé Falcon HTV-2 (Hypersonic Technology Vehicle), capable de parcourir 27 000 km en une heure à Mach 20, n’a pas réussi sa manœuvre d’expérimentation le 11 aout 2011.

D’autres engins top secret en seraient-ils capables et de surcroit réussir à demeurer stationnaire comme les témoins nous le décrivaient durant la vague Belge ?

Vous comprendrez donc le scepticisme de certains par rapport au fait que les États-Unis aient pu être en mesure de déployer des avions de reconnaissance à Mach 10 il y a une dizaine d’années ou durant cette fameuse vague belge de 1990. Encore pire : durant la vague de 1954 en France.

Pourquoi l’Amérique dépense-t-elle un billion de dollars pour développer un avion de combat, dans le cadre du programme « F-35 Joint Strike Fighter », qui ne peut même voler à Mach 2 ?

Selon Wikipédia, le programme Joint Strike Fighter est un programme de recherche aéronautique menée par le gouvernement des États-Unis d’Amérique depuis la fin des années 1990 en vue de développer un avion de combat multirôle de nouvelle génération destiné à remplacer une grande partie des avions de chasse, de combat et d’attaque au sol en service aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada et dans d’autres pays sous influence OTAN.

Il est toutefois totalement probable que des prototypes militaires secrets traversent fréquemment les cieux iraniens.

C’est certainement le pays le plus surveillé du monde et peut être pas que par les puissances de notre planète.

Si une guerre de grande ampleur devait avoir lieu dans les années à venir, elle proviendrait certainement d’un conflit entre Israël et l’Iran, impliquant les nations du monde entier.

OVNIS-Direct  via area51blog

Yves Herbo-S-F-H-01-2014

Gunungpadang mini

Gunung Padang : Les traces perdues de l'Atlantide à Java ?

Par Le 18/01/2014

Gunung Padang : Les traces perdues de l'Atlantide à Java ?

 

Gunungpadang mini

 

" Tout ce que nous avons appris sur les origines de la civilisation peut être erroné ", dit Danny Natawidjaja, Ph.D., géologue senior au Centre de recherche pour Géotechnique à l'Institut indonésien des sciences. " Les vieilles histoires sur Atlantis et autres grandes civilisations perdues de la préhistoire, longtemps repoussées comme des mythes par les archéologues, commencent à être prouvées vraies. "

Je grimpe avec le Dr Natawidjaja la pente raide de 300 m de hauteur, de la pyramide à degrés au milieu d'un paysage magique de volcans, de montagnes et de jungles parsemé de rizières et plantations de thé à une centaine de miles de la ville de Bandung à Java-Ouest, Indonésie.

La pyramide a été connue de l'archéologie depuis 1914, lorsque les structures mégalithiques formés de blocs de basalte en colonnes ont été trouvés dispersés parmi les arbres denses et les sous-bois qui ont recouvert son sommet. Les populations locales ont considéré le site comme étant sacré et l'ont appelé Gunung Padang, le nom qu'il a encore aujourd'hui, qui signifie " Montagne de Lumière " , ou " Montagne des Lumières " , dans la langue locale Sundanese. Le sommet, où ont été trouvés, disposés sur cinq terrasses, des mégalithes, avait été utilisé comme un lieu de méditation et de retraite depuis des temps immémoriaux, ont dit les archéologues, et cela reste vrai encore aujourd'hui.

Cependant, ni les archéologues, ni, apparemment les habitants, n'ont réalisé que la pyramide était une pyramide. Elle a été considérée comme une colline naturelle, quelque peu modifiée par l'activité humaine, jusqu'à ce que Natawidjaja et son équipe aient commencé une étude géologique ici en 2011. Et puis, le sommet avait depuis longtemps été nettoyé et les terrasses mégalithiques reconnues comme anciennes et faites par l'homme, mais aucune datation au radiocarbone n'avait été déjà faite et l'âge déjà accepté du site - d'environ 1500 à 2500 avant JC - a été fondé sur des suppositions plutôt que sur des fouilles.

Voir la suite ci-dessous :

Egypte newpharao mini

Découverte de la tombe d'un pharaon égyptien mythique

Par Le 16/01/2014

Découverte de la tombe d'un pharaon égyptien mythique

Egypte newpharao mini

© © Ministère égyptien des Antiquités

Des archéologues américains ont découvert la tombe d’un pharaon ayant régné sur l’Egypte il y a près de 3.700 ans, dont le nom était jusqu’ici inconnu, a indiqué mercredi le ministère des Antiquités.

Abydos 2© © Ministère égyptien des Antiquités

L’équipe américaine de l’Université de Pennsylvanie a découvert la tombe du pharaon Senebkay sur le site archéologique d’Abydos dans la province de Sohag, dans le sud du pays, a indiqué le ministre Mohamed Ibrahim dans un communiqué. Le chef du département des Antiquités pharaoniques au sein du ministère, Ali el-Asfar, a précisé à l’AFP que des cartouches royales révélant le nom complet du pharaon avaient été découvertes sur son sarcophage et sur un mur de la tombe dont le plafond était en bois, une découverte inédite.

Abydos 3© © Ministère égyptien des Antiquités

Quelques hiéroglyphes de son nom figuraient sur le "Papyrus de Turin", un document vieux de plus de 3.000 ans recensant quelque 300 noms de Pharaons, a-t-il expliqué.

Les archéologues ont également découvert le squelette du pharaon, qui semble indiquer qu’il mesurait 1m85, ajoute le communiqué. En outre, des vases funéraires destinés à recevoir les organes des corps momifiés ont été mis au jour, mais aucun élément du mobilier funéraire, ce qui indique que la tombe a été pillée durant l’ère pharaonique.

Abydos 4

© © Ministère égyptien des Antiquités

Selon M. Asfar, l’étude de la tombe de Senebkay pourrait également révéler que les Hyksôs — un peuple sémite venu du sud de la Syrie actuelle qui a envahi puis dirigé l’Egypte au 18ème siècle avant Jésus-Christ– n’ont pas régné sur la totalité de l’Egypte.

Abydos 6© © Ministère égyptien des Antiquités

(Sources : Belga - http://jack35.wordpress.com/2014/01/16/decouverte-de-la-tombe-dun-pharaon-egyptien-inconnu/ - http://www.france24.com/fr/20140115-egypte-archeologie-tombe-pharaon-inconnu-archeologie-senebkay-abydos/)

Le papyrus de Turin, appelé également Canon royal de Turin, est écrit en hiératique. La face avant du papyrus, donne des listes de nom de personnes et d'institutions avec ce qui semble être une taxe ou un impôt pour chaque évaluation. Le verso contient une liste des Dieux, des demi-Dieux, des esprits et les noms et années de règne de plus de 300 Rois, souvent précises au jour près, depuis le règne des Dieux jusqu'aux débuts de la XVIIIe dynastie (1549-1295). Presque toutes les dynasties y sont énumérées, y compris la dynastie des Hyksôs (XVe dynastie, v.1663-1530), mais le nom de ses Rois ne sont pas dans un cartouche et un signe hiéroglyphique a été ajouté pour indiquer qu'ils étaient des étrangers. Onze colonnes de texte subsistent, chaque ligne donne le nom d'un Roi dans son cartouche, suivi par le nombre d'année de son règne. Des erreurs manifestes ont été commises sur les durées de règne les plus anciennes, avec des périodes énormément élevées.

Papyrus turin01Vue d'une partie du Papyrus

On constate également d'autres anomalies comme le fait que les Rois de la III e dynastie (2647-2575) possèdent leur nom dans un cartouche, alors que celui-ci n'est utilisé qu'à la fin de cette dynastie, ou encore des imprécisions concernant les noms. Parfois ce sont les noms d'Horus qui sont utilisé parfois non. Il faut encore souligner que le texte ne divise pas les groupes en dynasties. Les Rois sont rassemblés selon leur capitale, de ce fait, ces regroupements ne correspondent pas tout à fait aux dynasties telles que nous les connaissons d'après Manéthon.

Lorsqu'il fut découvert dans la nécropole Thébaine en 1820 par Bernardino Drovetti, il semble que le papyrus était en grande partie intact et devait comporter près de 300 noms entiers. Malheureusement de mauvaises conditions de conservation au Musée de Turin, qui l'a acquis en 1823/1824, l'ont beaucoup détérioré. Le papyrus est aujourd'hui très endommagé et est maintenant composé d'environs 160 morceaux. Il faisait 1,07 m long et 0,41 m de hauteur. Il est actuellement exposé au Museo Egizio de Turin (musée Égyptien).

Source : Listes Royales égyptiennes

Yves Herbo-SFH-01-2014

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