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OVNIs : Emission Matin OVNI du 14-01-2014

Par Le 14/01/2014

OVNIs : Emission Matin OVNI du 14-01-2014

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L'Emission Matin OVNI du 14-01-14 vous est présentée par Gilles Thomas.

Actualité récente Ovni en france et dans le monde.

Rappel Le 22 Janvier 2014, O.D.H-A  :

http://odhtv-replay.kazeo.com/

Yves Herbo Relai-Sciences-FH-01-2014

Ishango molaire

Une dent humaine de 2 millions d'années à l'ouest du Rift africain annule des théories

Par Le 14/01/2014

Une dent humaine de 2 millions d'années à l'ouest du Rift africain annule des théories

© Isabelle Crevecoeur / IRSNB

En examinant la centaine de fossiles d'Homo Sapiens trouvés à Ishango, en République démocratique du Congo, Les archéologues ont fait une découverte très inattendue : une molaire identifiée parmi tous ces fossiles appartient en réalité à un humain archaïque ayant vécu entre 2.5 et 2 millions d'années avant maintenant. C'est la première fois que la preuve de l'existence d'un hominidé aussi ancien a été trouvée en Afrique Centrale.

Les analyses par imagerie (en bas) le confirment :
la molaire de la collection d'Ishango présente les caractéristiques morphométriques
d'une dent appartenant à un Homininé de la période de transition Plio-Pléistocène
(entre 2,5 millions et 2 millions d'années). © Isabelle Crevecoeur / IRSNB

Jusqu'à présent, les spécialistes favorisaient la théorie selon laquelle les premiers hommes se seraient mis en position debout dans la savane, à l'est du rift africain. Mais cette molaire invalide en grande partie cette théorie dans la mesure où cet hominidé ancien vivait bien en Afrique centrale, sur le bord ouest du rift et en lisière de la jungle. La découverte bouleverse un peu la communauté scientifique, surtout quand l'on sait que ce site a été exploré dès les années 1950 et encore dans les années 1980, en République démocratique du Congo donc, a précisé Isabelle Crèvecoeur, paléo-anthropoloque du CNRS, qui est à l'origine de la découverte publiée dans PLOS ONE.

Cette découverte a donc été faite en Belgique, à l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique, où la chercheuse s'était attelée à établir un rapport détaillé sur la collection de fossiles des Homo Sapiens trouvés à Ishango et datés de entre -25.000 à - 20.000 ans avant maintenant. Cette unique molaire ne correspondait à aucune dent d'Homo Sapiens, mais plutôt éventuellement à un Australopithèque. " La conformation des dents est un marqueur génétique fort dans la lignée humaine ", explique Isabelle Crèvecoeur, qui décide alors de mener avec les meilleurs spécialistes une étude de morphométrie géométrique de la molaire.

Aucun doute sur les résultats d'analyses, l'imagerie de la jonction émail-dentine (la zone de contact entre l'émail qui recouvre la dent et les tissus internes) et sa comparaison avec 68 dents d'hominidés, des plus anciens à l'homme moderne, confirment que cette molaire a appartenu à un hominidé de type inconnu ayant vécu il y a entre 2.5 et 2 millions d'années.

" La présence du fossile dans la couche de 25 000 ans serait liée au remaniement géologique d'une couche plus ancienne sous-jacente ", pense la chercheuse. Impossible, en revanche, d'attribuer la dent plus précisément : " ni vraiment Australopithèque, ni Paranthrope (un Homininé ayant vécu en Afrique entre 2,7 millions et 1 million d'années), ni clairement attribuable aux premiers représentants du genre Homo, ce fossile suggère que la diversité des premiers représentants de la lignée humaine était probablement plus complexe que celle imaginée jusqu'à présent ", conclut Isabelle Crevecoeur.

Références :

First early hominin from Central Africa (Ishango, Democratic Republic of Congo), publié dans PLOS ONE le 10 janvier 2014 par I. Crevecoeur, M. M. Skinner, S. E. Bailey, P. Gunz, S. Bortoluzzi, A. S. Brooks, C. Burlet, E. Cornelissen, N. De Clerck, B. Maureille, P. Semal, Y. Vanbrabant et B. Wood

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=12379

Yves Herbo-Sciences-FHistoires, 01-2014

Dans OVNI/UFO
Computer hacker garymackinan

Gary McKinnon, le Hacker Britannique gagne

Par Le 13/01/2014

Gary McKinnon, le Hacker Britannique gagne

Gary McKinnon - The guardian.co

Suite de ces articles : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovni-gary-mckinnon-persiste-et-signe.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/londres-bloque-l-extradition-de-gary-mckinnon-vers-les-usa.html

Information Georges Filer via sa Lettre d’information du 4 Janvier 2014 – Traduction Française Era

Gary McKinnon, le hacker anglais risque 70 ans de prison aus Etats Unis pour avoir fouillé les sites du Pentagone à la recherche de preuves sur les OVNIs, son extradition a été bloquée le 19 Novembre 2013 et il ne sera donc pas emprisonné au Royaume Uni.

McKinnon a déclaré qu’il a réussi a accéder au réseau Américain ’ Space Command où il a trouvé les preuves d’une mission Extraterrestre. “J’ai trouvé une liste de noms d’officiers" déclare-t-il, sous le titre "Officiers Non-TerrestresJe pense que cela signifie qui ne sont pas basés sur Terre. J’ai trouvé une liste de  "transferts flotte-à-flotte» et une liste de noms de vaisseaux. Je les ai regardés. Ce n’étaient pas les navires de la Marine Américaine. Ce que j’ai vu m’a fait croire qu’ils ont une sorte de vaisseau spatial, hors de la planète ".

Le pirate affirmé qu’il y avait des pirates du Danemark, de l’Italie, la Chine, l’Allemagne, la Turquie, la Thaïlande … tous les soirs pendant l’ensemble des cinq à sept ans où il a fait cela.

McKinnon dit que la chose la plus étrange qu’il ait trouvé était une liste d’ " Officiers non-terrestres» et des transferts de la flotte entre les navires qui n’existent pas dans la marine américaine ".

Le Premier ministre David Cameron a déclaré: « Je reconnais la gravité de cette affaire, et le vice-premier ministre et moi avons  effectivement soulevé la question avec le président Obama lors de sa visite. Je pense que le point est que ce n’est pas tellement au sujet de l’infraction présumée, dont chacun sait que c’est une infraction très grave, et nous pouvons comprendre pourquoi les Américains ont un si fort ressenti à ce sujet.

Remarque – Si les donnée de M. McKinnon sont correctes, cela valide l’hypothèse selon laquelle l’US Navy pourrait très bien opérer hors de la planète via une technologie Extraterrestre inversée (rétro-ingénierie) . Ses informations indiquent que la Marine et probablement l’Armée de l’Air maneuvrent une flotte de vaisseaux spatiaux.  Gary McKinnon déclare, " Ce que j’ai vu me porte à croire qu’ils ont une sorte de vaisseau spatial, hors de la planète. ”

 Dans son interview à la  BBC, Gary a déclaré, "Le projet Divulgation" avait des gens très crédibles qui disaient tous qu’il y a une technologie ovnienne, qu’il y a l’antigravité, qu’il y a l’énergie libre, et que c’est d’origine extraterrestre et qu’ils ont capturé des vaisseaux et ont fait de la rétro ingénierie avec. "

Il déclare avoir vu une image détaillée de "quelque-chose  pas fait de la main de l’homme et en forme de cigare flottant au dessus de l’hémisphère nord".  McKinnon dit que la taille de l’image était de 256 mégabits, et que pourtant les détails de l’engin étaient toujours distincts en couleur 4-bit et en basse  résolution.

The guardian.co  + Era via Area51

Yves Herbo-Sciences-FH- 01-2014

Dans OVNI/UFO
Theufoincident aff

Série Docu-Drama " The UFO Incident "

Par Le 12/01/2014

Série Docu-Drama " The UFO Incident " - MAJ Ep. 8 à 10/10 - FIN

Ce téléfilm, réalisé en 1975 par Dick A. Colla, reconstitue avec précision un des cas majeurs de l’ufologie : l’enlèvement à bord d’un OVNI du couple Betty et Barney Hill, en 1961.

Pour ce faire, les scénaristes se sont basés sur les notes de Benjamin Simon, le psychiatre ayant suivi les Hill, et l’ouvrage documentaire écrit par John G. Fuller, « Le voyage interrompu » (« The interrupted Journey »), sur cette affaire.

L’acteur James Earl Jones, qui interprète ici le rôle de Barney Hill, souhaitait à l’origine faire un film cinéma sur la mésaventure des Hill. Constatant le refus ou le désintérêt d’Hollywood, il concrétisa finalement ce projet à la télévision. Estelle Parsons (Bonnie & Clyde 67, Roseanne...) lui donne la réplique. Pour la petite histoire, James Earl Jones deviendra mondialement célèbre deux ans après, en devenant la voix de Dark Vador dans la saga « Star Wars » de Georges Lucas.

En France, il n’a été diffusé (à ma connaissance) qu’une seule et unique fois à la télévision :

le dimanche 2 août 1987, à 20 h 30, sur M6, sous le titre « La nuit des extra-terrestres » (à ne surtout pas confondre avec la soirée thématique de Canal + diffusée en juin 1997).

Sciences-Fictions-Histoires (SFH) publiera les 10 parties en 3 fois, tous les 2-3 jours.

Partie 1 :

 

Partie 2 :

Partie 3 :
 
Partie 4 :
 

Partie 5 :

Partie 6 :

Partie 7 :

Partie 8 :

Partie 9 :

Partie 10 :

FIN

Yves Herbo-SFH-01-2014

Pendantifsindus

Des chercheurs japonais aident à démêler les mystères de la civilisation de l'Indus

Par Le 11/01/2014

Des chercheurs japonais aident à démêler les mystères de la civilisation de l'Indus

Source image: http://asia.nikkei.com/

L'étude a révélé qu'il y a des milliers d'années, dans plusieurs villes de la vallée de l'Indus, dans ce qui est aujourd'hui le Pakistan et l'Inde, a été créé un réseau commercial qui est devenu une civilisation multiculturelle et multilingue, et non une société fondée sur un régime autoritaire centralisé, comme on le croyait auparavant. De nombreuses caractéristiques de cette civilisation antique peut être vu aujourd'hui dans les sociétés d'Asie du Sud, et ces liens entre l'ancien et le moderne suscitent l'intérêt des chercheurs.

La nouvelle image de la civilisation de l'Indus est peinte par une équipe de chercheurs dirigée par le professeur émérite Toshiki Osada de l'Institut de recherche pour l'humanité et la nature, qui est basé à Kyoto. Les résultats de cinq années de recherches, connu sous le nom de projet de l'Indus, ont été publiés en Octobre par l'Université de Kyoto de la presse comme "l'Indus: Explorer le monde fondamental de l'Asie du Sud" et "L'énigme de la civilisation de l'Indus", (Kyoto University Press as “Indus: Exploring the Fundamental World of South Asia” and “The Riddle of the Indus Civilization), les deux compilés par Osada.

L'équipe de chercheurs menée par les japonais est composée de près de 40 chercheurs provenant de divers pays. Deux sites de la civilisation de l'Indus en Inde ont été excavés pour la première fois par une expédition japonaise. L'équipe s'est concentrée sur les changements par rapport à l'environnement ancien. La conclusion de Osada sur la recherche a été que " les différentes communautés régionales ont créé un réseau lié par le commerce. "

Le Désert est venu en premier ?

Deux des ruines les plus connues de la civilisation de l'Indus sont Harappa et Mohenjo-Daro, situées au Pakistan. Actuellement, la plupart des chercheurs se concentrent sur les ruines de cinq grands centres urbains : les deux sites célèbres ; Ganeriwala, qui est dans un désert du Pakistan ; en Inde, Dholavira, qui est sur ​​une île dans un marais, et Rakhigari, également en Inde.

La vision commune est que les sites du désert avaient l'habitude d'avoir d'autres rivières que l'Indus qui coulaient à proximité. Les chercheurs, dirigés par Hideaki Maemoku, un expert de la géographie physique et professeur à l'Université Hosei du Japon, a examiné la zone autour des ruines du désert avec une méthode de datation basée sur des cristaux de minéraux. Ils ont appris que les dunes de sable de la région ont été façonnées par une grande rivière bien avant la civilisation de l'Indus. La conclusion est que les villes ont été construites sur ces dunes après que la rivière soit partie depuis longtemps.

Jarre-Harappa

Au Dholavira, des artefacts ont été trouvés qui suggèrent un commerce maritime prospère. Les candidats les plus probables pour ce commerce sont les sociétés anciennes de la Mésopotamie, qui aurait pu être atteintes par la mer d'Arabie. Le projet de l'Indus a utilisé des ordinateurs pour tracer l'évolution de la côte au cours des siècles pour savoir où les littoraux anciens se trouvaient. Les caractéristiques géologiques ont également été étudiées et les modifications de terrain ont été estimées. Tout cela a constaté que les niveaux de la mer étaient d'environ 2 mètres plus élevés et le littoral était beaucoup plus profond à l'intérieur. Cela donne à penser que beaucoup de ruines dans la région étaient le long de l'ancien rivage et que cette partie de la civilisation de l'Indus était dépendante de l'océan.

Des passeports anciens

Des fouilles ont également été faites dans les ruines de Kanmer non loin de Dholavira. La découverte la plus notable a été trois pendentifs ronds de terre cuite. Chacun a un trou en son centre et l'image d'un animal ressemblant à une licorne. Les versos ont une écriture de l'Indus différente sur eux. Parce que le même dessin d'animal a été pressé sur chacun d'eux, Osada spécule que " ils ont peut-être servi de passeport pour des voyages entre les différentes régions. "

La recherche a également cherché à savoir quand et pourquoi la civilisation de l'Indus a décliné. Lorsque les changements dans la distribution des ruines ont été tracés, en utilisant ce qu'on appelle un système d'information géographique, les ruines commencent à se concentrer dans le nord de l'Inde au déclin de la civilisation. Le Professeur à l'Université Tezukayama Takao Uno, un expert dans les systèmes d'information géographiques archéologiques, souligne : « Peut-être qu'ils ont abandonné les villes et ont migré afin d'éviter des changements dans l'environnement. Par conséquent, le rôle des différents éléments des villes qui avaient soutenu leur réseau peut avoir diminué, entraînant la baisse des villes » .

D'autres chercheurs prennent note du projet de l'Indus. " Ces résultats ont été obtenus en utilisant la dernière technologie dans le domaine des sciences naturelles », a déclaré Yoshihiro Nishiaki, professeur à l'Université de Musée de l'Université de Tokyo et un expert en archéologie de l'Asie occidentale. « Il est très intéressant de noter que la civilisation de l'Indus pourrait avoir des liens vers les sociétés contemporaines d'Asie du Sud. Cela façonne la manière dont nous voyons cette civilisation. "

Les chercheurs européens et américains sont également désireux d'en apprendre plus sur la civilisation de l'Indus. L'Écriture de l'Indus n'a pas encore été déchiffrée, ce qui signifie qu'il y a beaucoup plus à apprendre.

Hindus, de nos jours

source : http://mysticalfiles.com/?p=125 +  http://www.extremetech.com

Autres liens sur le sujet : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/la-mysterieuse-civilisation-de-l-indus.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/apres-le-royaume-d-aratta-c-est-la-civilisation-de-l-indus-qui-devance-sumer.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/rakhigarhi-l-enorme-ville-de-la-civilisation-de-l-hindus-se-devoile.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/decouverte-d-une-ville-antique-entiere-en-inde.html

Yves Herbo Traductions-SFHistoires-01-2014

Dans Sciences
Petitirlandais

Surprises de l'ADN : les Irlandais ont une origine commune aux Basques !

Par Le 11/01/2014

Surprises de l'ADN : les Irlandais ont une origine commune aux Basques !

Le gène des cheveux rouges est le plus courant dans le sang irlandais.
Le sang dans les veines irlandaises est celtique, non ? Eh bien, pas exactement. Bien que l'histoire que de nombreux Irlandais ont appris à l'école présente l'histoire de l'Irlande comme provenant d'une race celtique, la vérité est beaucoup plus complexe, et beaucoup plus intéressante que ça ...

Les recherches menées dans l'ADN des hommes irlandais a montré que les anciens tentatives anthropologiques pour définir l'«irlandais» ont été désavouées. Dans les années 1950, les chercheurs étaient occupés à recueillir des données chez les personnes irlandaises, telles que la couleur des cheveux et leur hauteur, afin de les classer comme une «race» et les définir comme différent de la Britannique. En fait, les peuples britanniques et irlandais sont étroitement liés dans leur ascendance.

La recherche sur l'ADN et l'ascendance irlandaise a révélé des liens étroits avec l'Ecosse, remontant à avant la création de l'Ulster du début des années 1600. Mais les parents les plus proches de l'Irlande en matière d'ADN sont en fait tout à fait d'ailleurs !

Medieval map of Ireland, showing Irish tribes. Irish origin myths confirmed by modern scientific evidence

Le Sang irlandais : les origines de l'ADN

Les premiers colons sont arrivés en Irlande il y a environ 10.000 ans, à l'époque l'âge de pierre. Il y a encore des restes de leur présence dispersés à travers l'île. Mountsandel à Coleraine, dans le Nord de l'Irlande, est le plus ancien site connu implanté en Irlande (à ce jour) - des restes de huttes tissées, des outils de pierre et des aliments tels que des baies et noisettes ont été découverts sur le site en 1972. (YH : -11.000 ans en fait, dans le comté de Waterford).

Mais d'où les premiers irlandais venaient-ils ? Pendant longtemps, le mythe de l'histoire irlandaise a été que les Irlandais étaient les Celtes. Beaucoup de gens se réfèrent toujours à irlandais, écossais et gallois en tant que culture celtique - et la supposition a été qu'ils étaient Celtes, qui ont émigré d'Europe centrale autour de 500 avant JC. Keltoi était le nom donné par les Anciens Grecs à un peuple «barbare» ( à leurs yeux ), qui vivait au nord d'eux, en Europe centrale. Alors que l'art primaire irlandais montre certaines similitudes avec le style d'art de l'Europe centrale des Keltoi, les historiens ont également reconnu beaucoup de différences significatives entre les deux cultures.

Les dernières recherches en ADN irlandaise ont confirmé que les premiers habitants de l'Irlande ne sont pas été directement descendus des Keltoi de l'Europe centrale. En fait, les plus proches parents génétiques de l'Irlande en Europe se trouvent dans le nord de l'Espagne dans la région connue comme le Pays Basque. Ces mêmes ancêtres sont partagés dans une certaine mesure avec les gens de la Grande-Bretagne - en particulier les écossais.

Des tests d'ADN à travers le chromosome Y mâle a montré que les hommes irlandais ont l'incidence la plus élevée du gène haplogroupe 1 en Europe. Alors que d'autres parties de l'Europe ont intégré les vagues continues des nouveaux colons en provenance d'Asie, la position géographique éloignée de l'Irlande a fait que le patrimoine génétique irlandais a été moins susceptible de changer. Les mêmes gènes ont été transmis des parents aux enfants pendant des milliers d'années.

Cela se reflète dans les études génétiques qui ont comparé l'analyse de l'ADN avec les noms de famille irlandais. Beaucoup de noms en irlandais sont des noms de famille en gaélique, ce qui suggère que le titulaire du nom de famille est un descendant de personnes qui vivaient en Irlande bien avant les conquêtes anglaises du Moyen Age. Les hommes avec des noms gaéliques, ont montré les incidences les plus élevées du gène de l'haplogroupe 1 ( ou Rb1 ). Cela signifie que ceux dont les ancêtres irlandais datent d'avant la conquête anglaise de l'île, sont les descendants directs des premiers colons de l'âge de pierre qui ont migré de l'Espagne.

The Kingdom of Dalriada c 500 AD is marked in green. Pictish areas marked yellow. Irish and British DNA : a comparison

Les Mythes d'origine irlandaise confirmés par des preuves scientifiques modernes

L'un des plus anciens textes composés en Irlande est le Leabhar Gabhla, le Livre des Invasions. Il raconte une histoire semi- mythique d'invasion de gens qui se sont installés en Irlande plus tôt. Il dit que les premiers colons à arriver en Irlande étaient une petite race foncée appelée Fir Bolg (vers -11.000 ans donc ?), suivie d'une super-race magique appelé les Tuatha de Danann (le peuple de la déesse Dana).

YH : archéologiquement, on note une deuxième vague d'immigration en Irlande à la période mésolithique, vers - 6.600 ans avant JC : s'agit-il des Tuatha de Danann ? il semble qu’il s’agisse de peuples venus d’Europe du nord, passés par l’Écosse...

La 3ième vague archéologiquement prouvée arrive vers - 2.000 avant JC, construit des mégalithes et apporte l'âge de bronze : pareil, s'agit-il des Tuatha de Danann ? ou des Celtes espagnols ? ou autres ? C’est de cette époque que date l’exploitation de mines de cuivre dans les régions de Cork et Kerry et d’or dans le Wicklow.

Le plus intéressant, le livre dit que le groupe qui est alors venu en Irlande (la troisième vague donc) et s'est imposé entièrement comme dirigeant de l'île a été les Milésiens - les fils de Mil, le soldat de l'Espagne. La recherche de l'ADN moderne a même confirmé que les Irlandais sont des parents génétiques proches de la population du nord de l'Espagne.

" Archéologiquement parlant, c’est vers -500 avant JC que les Celtes font leur apparition en Irlande, leur civilisation sur l’île va durer près de mille ans. Leur arrivée s’est faite par deux routes différentes, par l’actuelle Grande Bretagne et par l’Espagne. La mythologie celtique a d’ailleurs conservé le souvenir de cette origine espagnole puisque, selon le Lebor Gabála Érenn (Livre des Conquêtes d’Irlande), les Milesiens (c’est-à-dire les Gaèls) sont dits fils de Míl Espáine. Avant l’introduction de la civilisation de La Tène (second Âge du Fer), l’histoire d’Erin est largement mythique. "

Bien qu'il puisse sembler étrange que l'Irlande soit peuplée par l'Espagne plutôt que par la Grande-Bretagne ou la France, il convient de rappeler que dans les temps anciens, la mer était l'un des moyens les plus rapides et les plus faciles pour voyager. Lorsque la terre était couverte de forêts épaisses, les villages côtiers étaient courants et les gens se déplaçaient le long de la côte de l'Europe en toute liberté.

Je vis en Irlande du Nord et dans ce petit pays, les différences entre les Irlandais et les Britanniques semblent encore très importantes. Le Sang a été versé sur la question de l'identité nationale.

Cependant, la recherche récente, à la fois sur l'ADN britannique et irlandaise, suggère que les gens sur les deux îles ont beaucoup en commun génétiquement. Les Hommes dans les deux îles ont une forte prédominance du gène de l'haplogroupe 1, ce qui signifie que la plupart d'entre nous dans les îles britanniques sont les descendants des mêmes colons espagnols de l'âge de pierre.

La principale différence est le degré des migrations ultérieures des personnes vers les îles qui ont affectées l'ADN de la population. Des parties de l'Irlande (notamment la côte ouest) ont été gardées presque intactes d'une influence génétique extérieure depuis l'époque des chasseurs-cueilleurs. Les Hommes là-bas, avec les noms de famille irlandais traditionnels, ont la plus forte incidence du gène haplogroupe 1 , plus de 99%.

Dans le même temps à Londres, par exemple, c'était une ville mutli-ethnique pendant des centaines d'années. Par ailleurs, l'Angleterre a vu plus d'arrivées de nouvelles personnes de l'Europe - les Anglo-Saxons et Normands - que l'Irlande. Par conséquent, tandis que les premiers ancêtres anglais étaient très similaires dans l'ADN et dans la culture aux tribus de l'Irlande, les arrivées tardives en Angleterre ont créé plus de diversité entre les deux groupes.

Les Peuples irlandais et écossais partagent un ADN très similaire. Les similitudes évidentes de la culture, la peau pâle, la tendance aux cheveux rouge, ont toujours été prescrits aux deux peuples comme partageant une ascendance celtique commune. En fait, il semble maintenant beaucoup plus probable que les résultats de cette similarité provienne de la circulation des personnes du nord de l'Irlande en Ecosse dans les années 400 à 800 après JC. A cette époque, le royaume de Dalriada, basé près de Ballymoney dans le comté d'Antrim s'est étendu loin sur l'Ecosse. Les envahisseurs irlandais ont apporté la langue et la culture gaélique, et ils ont également apporté leurs gènes.

Caractéristiques irlandaises et l'ADN

Le gène MC1R a été identifié par les chercheurs comme le gène responsable des cheveux rouge, ainsi que de la peau claire d'accompagnement et la tendance à des taches de rousseur. Selon une étude récente, les gènes des cheveux rouges sont apparus chez des êtres humains il y a environ 40.000 à 50.000 ans.

Ces gènes ont ensuite été amenés dans les îles britanniques par les colons, hommes et femmes qui étaient relativement grands, avec peu de graisse corporelle, athlétiques, au teint clair et qui aurait eu les cheveux rouges. Donc tous les roux peuvent bien être les descendants des premiers ancêtres des irlandais et britanniques.

Une parodie ( et très drôle ) d'exploration sur les caractéristiques du sang de tous les hommes irlandais peut être lue sur ce lien : www.irishtimes.com / journal / week-end. Les Gènes identifiés comprennent le IMG ou le Gène Mère irlandais et le GK ( MF ) S Gene Kelly-Michael-Flately - syndrome qui explique l'incapacité de l'homme irlandais à bouger ses hanches tout en dansant !

Marie McKeown pour http://www.sott.net/article/263587-DNA-shows-Irish-people-have-more-complex-origins-than-previously-thought

Yves Herbo : Bon, on a déterminé qu'une grosse base de l'ADN irlandaise avait une même origine que celle existant au pays basque... mais on ignore d'où vient l'ADN des Basques, justement très atypique par rapport aux Espagnols et Français ! Et si, beaucoup plus simplement, un peuple X (de marins à priori) avait envahi à la fois le pays Basque, la Bretagne(où beaucoup de roux se rencontrent aussi) ,l'Irlande , (et probablement Scandinavie), à l'âge de pierre ? Et si ce peuple X était celui qui possédait cette caractéristique des "cheveux rouges" avait débarqué en même temps (-11.000 ans ?) dans tous ces pays (victime d'une catastrophe marine) ? Ne retrouveraient-on pas également la même chose : une forte caractéristique (renforcée par la suite par l'arrivée d'une vague provenant d'Espagne, avec le même sang, en fait que les tous premiers arrivants...) ? En effet, où serait la trace des premiers irlandais dans leur ADN, puisque cette étude semble démontrer que les plus anciens irlandais descendent tous d'arrivants de 500 Avant JC ? Quid de ceux de -11.000, -6.600 et -2.000 ans ? ADN totalement disparu chez l'Irlandais ? Peu probable... On constate donc que quelque chose "ne colle pas" entre cette étude génétique et la "réalité" archélogique actuelle... et au sujet de la race noire inconnue des Fir Bolg citée dans le manuscrit (arrivée en premier vers - 11.000 ans ?), je signale qu'il existe de nombreux cas (dans les îles surtout mais aussi en Asie), de noirs avec des cheveux roux... quelle est la principale race, avec des caractéristiques d'ADN des cheveux roux, née il y a 50.000 ans environ (d'après la génétique), et où est-elle née, pourquoi ne s'est-elle répandue et a subsistée que sur les côtes ouest et nord de l'Europe ? Finalement, les irlandais sont plus proches des basques question génétique, mais ne serait-ce pas plutôt parce que l'irlande a reçu deux fois la même invasion par le même gène, vers -11.000 ans, comme le pays basque envahi aussi, puis - 500 (par des descendants espagnols ayant le même sang sans le savoir) ?...

 

Algérie-Kabylie - Selon une étude génétique réalisée en 2010, les populations d'Afrique du Nord descendent en partie, du coté maternel, de migrants de la péninsule ibérique arrivés il y a environ 8 000-9 000 ans. - Ottoni C, Primativo G, Hooshiar Kashani B, Achilli A, Martínez-Labarga C, et al. 2010, Mitochondrial Haplogroup H1 in North Africa: An Early Holocene Arrival from Iberia [archive]. PLoS ONE 5(10): e13378. doi:10.1371/journal.pone.0013378

" L'origine des cheveux roux (à ne pas confondre avec le blond vénitien, qui est un blond à reflets roux) fut seulement révélée en 1997. Elle est liée au gène MC1R (melanocortin-1 receptor) qui se trouve sur le chromosome 16 et dont l'allèle (version d'un même gène) normal ne conduit pas à la rousseur contrairement à cinq autres qui donnent des cheveux roux, une peau pâle et des taches de rousseur. L'âge du gène MC1R a été estimé entre 50 000 et 100 000 ans mais les recherches ont mis en évidence que les cinq mutations sont apparues dès - 80 000 ans et jusqu'à - 30 000 ans selon les cas (J. Rees). Or, pour pouvoir muter il y a 80 000 ans, il fallait que le gène initial existât déjà. Cela veut dire aussi qu'il y a au moins cinq origines différentes pour la rousseur et qu'une étude basée seulement sur le phénotype (la manifestation du gène, ici la rousseur) peut être fausse si elle est généralisée à tous les allèles roux sans distinction. 

Malgré ce lien privilégié de la rousseur avec le Royaume-Uni (Écosse), il existe une proportion non négligeable de roux en Afrique du Nord, parmi les Berbères : on peut en trouver une occurrence très importante en Kabylie et dans les massifs de l'Aurès (Algérie orientale), et du Rif (Maroc septentrional). On range d'ailleurs parfois certaines populations d'Afrique du Nord dans le groupe des atlanto-méditerranéens, qui comprend les Irlandais de l'Ouest, les Gallois, les Bretons du Sud, les Basques et les Espagnols de la côte Sud-Est. Une recherche récente sur le chromosome Y a mis en évidence la parenté génétique de ces populations. Les atlanto-méditerranéens seraient issus d'un mélange de peuplades paléolithiques qui auraient quitté le Proche-Orient et l'Europe orientale il y a 8 000 ans et auraient couvert une grande partie de l'Afrique du Nord et de l'Europe, se mêlant aux peuples cro-magnoïdes déjà présents.

Les Néandertaliens seraient roux le gêne MC1R étant présent chez eux. Cependant, la rousseur des Néandertaliens et celle des Cro-Magnons (homme moderne) ne serait pas due à une transmission, mais à une évolution convergente : « le gène rencontré sur les deux fossiles comporte une mutation qu'on ne retrouve pas chez l'humain moderne […] Confrontés à des climats semblables, les deux espèces ont donc évolué de la même façon. ». " Wikipedia

 

Les blonds et blondes à peau noire des îles Salomon, dans le Pacifique, possèdent un gène propre, différent de ceux des Européens.

Sur les noirs blonds des îles Salomon : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/05/04/18123-cheveux-blonds-melanesiens-enfin-expliques

Et notons tout de même un détail qui ne correspond pas du tout au scénario celte en ce qui concerne les Basques (ou alors très tardif) : leur langue, le Basque, est considéré comme l'une des 4 langues en provenance directe de... l'Oural, dans le Caucase Russe. Et le peuple basque est en même temps considéré comme l'un des plus anciens présent en France et Espagne...

 

Yves Herbo Traductions-SFH-01-2014

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