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Concours SerieViewer : Star Wars : The Clone Wars Saison 5 - 5 DVD et 5 Blu-Ray à gagner

Par Le 09/11/2013

Concours SerieViewer : Star Wars : The Clone Wars Saison 5 - 5 DVD et 5 Blu-Ray à gagner

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Star Wars : The Clone Wars saison 5 - 5 coffrets DVD à gagner. Serieviewer organise un concours (déclaration à la CNIL n° 1494790) à l’occasion de la sortie de la saison 5 de Star Wars : The Clone Wars. Du 30 octobre au 13 novembre 2013.
Nombre de disques : 4
Durée approx. : 447mn
Langues : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
Sous-Titre : Français
Date de sortie : 16 Octobre 2013

Test DVD

Résumé

Les conflits de la galaxie atteignent un niveau de danger critique au fur et à mesure que l'ombre du Côté Obscur se profile. La rébellion voit le jour avec les combattants de la liberté qui luttent pour la justice sur Onderon, la planète tenue par les séparatistes. Les pouvoirs naissants d'un groupe de Jedis sont testés par les pirates. À la recherche de vengeance, le cruel Dark Maul s'oppose à Obi-Wan Kenobi. La loyauté d'Ahsoka Tano est mise à l'épreuve lorsqu'elle doit prouver son innocence pour un crime qu'elle n'a pas commis.

Le trailer VO sous-titré FR de la saison 5 :


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Lien pour tenter de gagner un DVD :

http://www.serieviewer.com/concours/Star-Wars:The-Clone-Wars-saison-5

Star Wars : The Clone Wars saison 5 - 5 coffrets Blu-ray à gagner. SérieViewer organise un concours (déclaration à la CNIL n° 1494790) à l’occasion de la sortie de Star Wars : The Clone Wars. Du 30 octobre au 13 novembre 2013.
Nombre de disques : 2
Durée approx. : 447
Langues : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
Sous-Titre : Français
Date de sortie : 27 Octobre 2013

sw-clonewars-concoursbluraysv.jpgLien pour tenter de gagner un Bluray :

http://www.serieviewer.com/concours/Star-Wars:The-Clone-Wars-saison-5-Bluray

Yves Herbo-SFH-SV-11-2013

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Hueyatlaco - Anatomie d'une anomalie

Par Le 08/11/2013

Hueyatlaco, Mexique - Anatomie d'une anomalie

 

Hueyatlaco mexique

Les évidences : des ossements d'animaux (dont certains disparus depuis longtemps) trouvés avec des outils de pierre

 

Suite de cet article (MAJ 10-2018) : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/le-mystere-mexicain-est-aussi-a-hueyatlaco.html

 

Le dilemme Hueyatlaco

Des gisements contenant des artefacts humains à Valsequillo, au Mexique, ont été datés à environ 250.000 ans avant le présent par la méthode des traces de fission fission-trace-dating») de la matière volcanique et d'uranium des os d'un bassin de chameau.

Le dilemme posé par ces dates est clairement indiqué dans la citation suivante, tirée des conclusions de l'article soumis.

" La preuve présentée ici indique toujours que le site Hueyatlaco a environ 250.000 ans.

Nous qui avons travaillé sur les aspects géologiques de la région de Valsequillo sommes douloureusement conscients qu'un si grand âge pose un dilemme archéologique.

Si les datations géologiques sont correctes, des outils de pierre sophistiqués ont été utilisés à Valsequillo longtemps avant les outils analogues qui sont cependant censés avoir été développés en Europe et en Asie ".

Ainsi, notre collègue, Cynthia Irwin-Williams, a critiqué les méthodes de datation que nous avons utilisées, et elle veut que nous insistions sur le fait que l'âge de 250.000 ans est pratiquement impossible ".

( Steen -McIntyre, en Virginie, et al ; . " Preuves géologiques d'âge des dépôts à Hueyatlaco site archéologique, Valsequillo, au Mexique, " Quaternary Research, 16:1, 1981)

Commentaire

L'impasse dessus n'est pas sans rappeler l'insistance de Lord Kelvin disant que la terre a seulement environ 100.000 ans sur la base de ses calculs de capacités productrices d'énergie du soleil.

Les géologues pensaient autrement, qu'il nécessitait environ un milliard d'années pour que la nature sculpte la terre telle qu'ils l'ont vue. Kelvin n'a pas été reconnu sur l'énergie nucléaire, et les géologues ont eu le dernier mot !

Ref : De Science Frontiers #21, MAY-JUN 1982. © 1982-2000 William R. Corliss

 

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I. INTRODUCTION

Depuis la publication de Thomas Kuhn "La Structure des révolutions scientifiques" (1970), un grand nombre de personnes dans le domaine des sciences et ailleurs ont utilisé sa distinction entre les paradigmes de la science normale et les anomalies à la fois dans la science normale et les révolutions scientifiques pour expliquer l'évolution de la science contemporaine.

Tous les appels de Kuhn n'ont pas été tout aussi éclairants.

Il a parfois semblé que ceux qui sont sur les franges de la science établie crient au « détour de paradigme » pour expliquer pourquoi leur travail ne retient pas l'attention alors qu'en fait, c'est le travail lui-même qui est à blâmer. Vraisemblablement, certains éléments de preuves qui entrent en conflits avec les opinions reçues sont ignorées pour une bonne raison, et d'autres sans une bonne raison. Quand une anomalie apparente est rejetée sans raison valable, alors les scientifiques en question se comportent mal.

Mais se sont-ils comportés en " non scientifiques " ?

Dans cette étude, nous examinons en détail un cas particulier d'un ensemble de preuves anormales reçues et visibles. Dans ce cas, le point de vue reçu est une théorie sur les origines de l'homme dans les Amériques, et l'anomalie est un site du Mexique, dont l'âge est apparemment en conflit avec cette théorie reçue.

Sans essayer de décider si la vue reçue est correcte, ou si la preuve anormale est intéressante à considérer (ce qui est, après tout, une affaire de spécialistes - YH : c'est un point de vue), nous suivrons l'histoire de ce qui s'est passé pour les scientifiques impliqués, et tirerons des conclusions sur ce qui peut et ne peut être attendu de la science en tant qu'une véritable institution humaine.

En particulier, nous soutenons que, dans les périodes d'instabilité dans la science («révolution», si vous voulez), il est dans la nature même de la science de traiter la preuve anormale avec hostilité et suspicion, même quand il y a peu de raisons de soupçonner ça.

II . LE POINT DE VUE REÇU

Le point de vue reçu, accepté par une majorité des anthropologues et des archéologues, c'est que l'humanité n'a pas évolué de façon indépendante dans les Amériques, et doit donc y avoir migré d'ailleurs.

Pour diverses raisons génétiques, il semble que tous les Américains autochtones sont plus étroitement liés les uns aux autres que ne le sont d'autres populations, et sont plus étroitement liés aux peuples de l'Asie que ceux des autres régions du monde. La conclusion raisonnable à tirer de cette preuve est que les premiers Américains ont migré de l'Asie, que ce soit à travers le détroit de Béring ou à travers un pont de terre.

La migration à grande échelle par bateau est peu probable, même si la traversée est étroite à travers un plan d'eau comme le détroit de Béring, donc l'hypothèse du pont terrestre de Bering est la meilleure hypothèse pour une route migratoire.

Cette séquence de déductions implique un nombre limité de possibilités de migration. Une route de terre était entièrement disponible seulement quand il y avait suffisamment de glaciation du niveau de la mer pour qu'elle diminue d'environ cent cinquante pieds (46 mètres), une telle baisse du niveau des mers est nécessaire pour que le pont de terre de Béring (ou, peut-être plus correctement, la masse terrestre maintenant appelée Béringie) puisse apparaître.

D'autre part, si il y avait une telle glaciation, les voies terrestres en Amérique du Nord étaient impraticables, aucune migration ne pourrait avoir lieu (YH : c'est déjà ici une affirmation douteuse : les Lapons, Inuits et autres prouvent le contraire en y vivant en permanence ! - les hommes actuels seraient en effet incapables de migrer, mais les anciens oui, très probablement !). Ces deux contraintes limitent sévèrement le nombre d'opportunités pour la migration à des périodes spécifiques pendant les périodes glaciaires (YH : limites peut-être imaginaires !)

Le meilleur candidat pour une période de la migration est généralement considérée comme une période au cours de la fin du Pléistocène, il y a environ douze mille ans. Bien que des revendications de migrations antérieures sont parfois publiées à force de découvertes archéologiques, l'idée que les humains sont arrivés relativement récemment semble être assez bien établie (YH : et oui, on établi l'idée et la théorie... jusqu'à ce que la réalité rattrape l'idée ^^).

Donc, c'est en toute confiance que ce point de vue a été jugé et que, en 1962, dans un écrit pour Scientific American, William Haag pouvait dire :

" L' occupation de l'homme du Nouveau Monde peut remonter à plusieurs dizaines de milliers d'années, mais personne ne soutient rationnellement qu'il a été ici, même pour seulement 100000 années. "

Il y a un nombre impressionnant de preuves visibles d'une récente migration, et relativement peu de toute présence humaine plus tôt dans les Amériques. Ce qui semblaient être des traces d'occupations antérieures se sont généralement avérées être trompeuses.

David Meltzer (1993) décrit la situation en ces termes :

Au début des années 1950, il y avait déjà des signes d'une présence humaine beaucoup plus tôt en Amérique. Ces traces deviendraient plus larges au fur et à mesure que les années passaient, jusqu'à aujourd'hui où une multitude de sites soi-disant anciens ont fait leur apparition, certains avec des âges réhaussés estimés de 200.000 ans.

Chaque nouveau candidat à une plus haute antiquité apporte avec lui de nouvelles revendications, mais le résultat reste le même. Les sceptiques posent des questions difficiles. Le débat s'ensuit. La demande est acceptée par les uns, rejetée par les autres, tandis que le reste "attend et voit". Jusqu'à présent, au moins, la barrière Clovis reste intacte. Un avant - 11, 500 B.P. de présence humaine en Amérique n'existe pas aujourd'hui. (YH : C'est maintenant faux au 21ème siècle...)

Il y a au moins trois types impressionnants de preuve pour une migration au Pléistocène supérieur (ou un ensemble de migrations) :

preuve de langues amérindiennes

preuve de la dendrochronologie

preuve de l'ADN mitochondrial 1

Tous les trois types de point de preuve mènent à trois vagues de migration, les premiers au Pléistocène supérieur, comme hypothèse. Les plus anciens sites clairement datables sont très loin de ceux des Clovis et de Folsom, et ils sont au plus tôt de 11.500 BP.

Ajoutez à ces éléments de preuve de l'absence de preuves claires de quoi que ce soit plus tôt, et vous avez un argument puissant pour la vision d'une récente migration, ce qui donne de bonnes raisons de se méfier des découvertes qui sont censées être plus âgées. Considérons les types de preuves à leur tour.

Linguistique amérindiennes

Les centaines de milliers de langues qui ont été parlées sur les continents américains forment une variété déconcertante, mais de nombreux linguistes pensent maintenant qu'elles se répartissent en trois familles :

amerind

Na - Dénés

Eskimo - Aléoutes

Les langues amérindiennes montrent le plus de variété, et sont géographiquement les plus répandues, étant parlées des régions du Canada jusqu'à La Terre de Feu. Ces deux faits plaident en faveur de l'ancienneté relative de la langue commune à partir de laquelle ils tirent tous la leur.

Les langues eskimo-aléoutes sont moins nombreuses et plus semblable à une autre. Elles sont également parlées dans une zone plus petite, autour des régions côtières du nord.

Le groupe Na - Déné est intermédiaire dans la variété et l'étendue. Ces langues sont également parlées dans les régions au sud de la plus grande étendue sud des langues eskimo-aléoutes, mais pas si loin au sud que les langues amérindiennes. Par ailleurs, les groupes linguistiques peuvent être organisés afin de voir des similitudes avec des langues de l'Ancien Monde, avec l'Eskimo- Aléoutes êtant plus, et l'amerindien étant moins comme les langues parlées en Asie.

Cet agencement des langues avec les points à trois vagues distinctes de migration, avec les ancêtres des parleurs de l'amérindien qui arrivent en premier. Toutefois, ce classement relatif nous donne peu sur une manière de datation absolue pour les migrations. 2

La dendrochronologie

Dans le Hrdlicka 1920 est noté un caractère que toutes les dents amérindiennes possèdent, qui est également caractéristique des dents de la population du nord de l'Asie.

Sur la base de cette caractéristique, une particulière forme en pelle - comme la forme des incisives, appelés Sinodontie, il a conclu que les Amérindiens étaient répartis en trois groupes génétiquement distincts : Eskimos , Athabaskans et Sud-Américains.

Christy Turner (1986) fait une analyse statistique des dents américaines pour vérifier cette classification. En regardant les autres, les même caractéristiques héréditaires des dents, et en catalogant les similitudes et les différences entre neuf mille Américains préhistoriques différents, il a également conclu que les Amérindiens sont répartis en trois groupes génétiquement distincts, mais il a identifié les trois groupes plus directement avec les trois groupes linguistiques de Greenberg.

En plus de soutenir le point de vue des trois migrations, la preuve dentaire peut nous donner une chronologie absolue. Les caractéristiques dentaires qui sont identifiées dans l'étude de Turner sont génétiquement déterminées, l'environnement ayant peu ou pas d'impact.

De cette façon, les preuves fournies par les dents, comme celles fournies par les groupes sanguins, peut nous donner une image claire des relations génétiques entre les populations. Les mutations se produisent de façon régulière, nous pouvons également dire il y a combien de temps deux populations ont divergé par le nombre de gènes qu'ils partagent et combien ils diffèrent.

Quand un gène s'exprime dans une partie visible et facilement préservée d'un animal, comme une dent, alors nous pouvons utiliser les variations de cette partie pour dater l'histoire génétique de l'animal.

Dans le cas des humains en Amérique du Nord, nous pouvons dire par des distributions des caractéristiques de Sinodontie que la population nord-américaine s'est séparée de la population nord-asiatique il y a environ douze mille ans - ce qui confirme le point de vue de la migration au Pléistocène tardif.

L'horloge ADNmt

Les similitudes dans les caractéristiques anatomiques brutes, et même dans une certaine mesure dans le code génétique qui les inspire, peut parfois survenir en raison de pressions environnementales similaires, même si les deux populations ne sont pas étroitement liées.

Il y a des parties du code génétique, cependant, qui ne sont pas exprimés du tout, ou ne s'expriment que dans des caractéristiques neutres. Dans ces gènes, le taux normal de mutation n'est pas affecté par les pressions environnementales. En particulier, l'ADN mitochondrial ( ADNmt) n'est pas soumis à des forces de mélange de fertilisation, puisque l'ADNmt de toute créature vient de sa mère uniquement.

Donc, étant donné une estimation raisonnable de la rapidité et de la régularité des mutations qui se produisent dans l'ADN mitochondrial, nous pouvons assez précisément dater lorsque les populations ont divergé. Par cette mesure, les Américains se sont divisés des Asiatiques du Nord il y a quelques 20.000 ans.

C'est plus tôt que ce que les autres méthodes nous ont donné pour une première migration, mais peut être expliquée par l'estimation du taux de mutation.

La réaction aux anomalies

Compte tenu de ce nombre impressionnant de preuves, il semble tout à fait raisonnable de penser qu'une migration au Pléistocène supérieur est établie.

Même si il y a des trouvailles occasionnelles qui semblent être datables à beaucoup plus tôt, il est plus raisonnable de penser qu'il doit y avoir quelque chose de faux avec les dates de ces sites que d'accepter le prix d'un renversement d'une théorie bien fondée.

L'incapacité d'expliquer pourquoi un site semble être antérieur à la fin du Pléistocène n'est pas un obstacle à l'acceptation de la théorie de la migration tardive, surtout si l'alternative est d'accepter une migration plus tôt, tout en étant incapable d'expliquer l'évidence linguistique, dentaires et génétiques.

Meltzer ( . , 1993, p 21 ) caractérise la position de l'archéologue de cette façon :

Ce problème est aggravé par de trop nombreuses fausses alarmes. Des dizaines de sites ont été annoncés comme possédant une grande antiquité. Mais en y regardant de plus près, chacun a réussi à vivre jusqu'à la faillite de son ancienneté. Caveat emptor.

Les archéologues ont la mémoire longue - cela fait partie de notre expertise, après tout - il n'est donc pas surprenant que, dans ces circonstances, toutes les nouvelles demandes pour une grande antiquité dans les Amériques sont accueillies avec un scepticisme bordant le cynisme. La réponse n'est peut-être pas louable, mais elle est compréhensible .

La plupart des archéologues qui donnent cette réponse compréhensible sont nettement moins conciliants que Meltzer. En fait, la réponse de Haag citée plus haut, qui rejette les allégations d'extrême antiquité de la présence humaine dans les Amériques comme irrationnelles, est la norme plutôt que l'exception.

Les plus anciens sites qui ont résisté à un examen minutieux, et dont le témoignage est sans ambiguïté aucune, sont les Clovis et Folsom, tous datables d'après -12.000 AV JC, et donc complètement compatibles avec la dernière migration du Pléistocène. (YH : Mais notons qu'en octobre 2018, des outils du style pré-clovis ont été trouvés au Texas, USA... et ont été datés de -15.500 ans ! Différentes preuves trouvées en Alaska et Canada semblent bien aussi prouver une arrivée bien plus tôt des hommes en Amérique du nord... alors que des datations de -25.000 ans, voir plus, se multiplient au Brésil...)

III. L'anomalie

Parfois, une découverte archéologique semble contester ce point de vue reçu.

Le projet archéologique spécifique qui est au centre de ce travail était situé à Hueyatlaco, Valsequillo, qui est à quelques kilomètres au sud de Puebla, au Mexique. La région était devenue très connue parmi les archéologues en raison des formes animales éteintes variées.

La fouille initiale a débuté en 1962. Au cours de la poursuite du processus de fouille cinq sites ont été découverts et des coupes stratigraphiques séquencées (Irwin-Williams 1967a).

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L'excavation finale à Hueyatlaco été conclue en 1973.

Le travail de terrain s'est poursuivi tout au long du processus excavational par les membres de l'équipe, y compris le Dr Cynthia Irwin-Williams et Dr. Virginia Steen-McIntyre. 3

Les Consultants ultérieurs associés au projet étaient Ronald Fryxell, BJ Szabo, et CW Naeser dans la poursuite des efforts visant à résoudre la controverse entourant la datation des preuves accumulées au cours du processus d'excavation à Valsequillo, Mexique ( Malde et Steen-McIntyre, 1981).

Il n'y a pas eu d'irrégularités dans les méthodes de l'équipe, et le site a été surveillé pour éviter toute falsification ou la destruction accidentelle de preuve ( Irwin -Williams 1967a ).

Le chercheur principal de ce projet, Cynthia Irwin-Williams (1978), a caractérisé le site archéologique comme un domaine qui contenait un "site d'abattage" et les activités indicatives du dépeçage et d'activités de camping de l' "Ancien Homme "

Les artefacts découverts ont établi clairement qu'ils sont d'origine non locale, allant d'un rude objet unifacial de percussion pour des lances ( pointes de projectile ) fabriqué par un groupe moins sophistiqué, jusqu'à des bifaces de découpe, des grattoirs et des arêtes de coupe, des outils bien faits d'un caractère avancé.

Dans son article publié en 1978, Irwin-Williams affirme que l'abondance de la faune maintenant disparues dans la région Valsequillo a attiré les premiers chasseurs.

Il y avait des endroits dans la zone appropriée pour le camping et à proximité se trouvent des sites appropriés pour l'abattage des arbres et des sites qui étaient appropriées pour l'abattage des animaux en raison de la proximité des petits ruisseaux.

Irwin-Williams reconnaît que les estimations modernes concernant la présence de l'homme dans cette localité ont une gamme de 11.000 ans à plus de 30.000 ans. La controverse a commencé en 1967, avant que les fouilles aient été réalisées. Malgré les efforts approfondis et la compétence des membres de l'équipe archéologiques à Hueyatlaco, Jose L. Lorenzo, Directeur de la Préhistoire à l'Instituto Nacional de Antropología e Historia, a lancé plusieurs allégations concernant l'intégrité du projet à Hueyatlaco, El Horno, et Tecacaxco ( communément appelé Valsequillo). :

Dans Sciences
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Retour sur de l'ADN Extra-Terrestre dans l'Humain

Par Le 07/11/2013

Retour sur de l'ADN Extra-Terrestre dans l'Humain

 

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Voici une suite à ces articles concernant les possibilités et même affirmations concernant des liens entre l'ADN Humain et une génétique extra-terrestre : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/adn-extra-terrestre-sur-terre-et-dans-l-homme.htmlhttp://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/les-geneticiens-sortent-l-adn-de-la-poubelle.html  +  http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/l-adn-sera-t-il-le-support-de-stockage-ultime-de-l-humanite.html

Des astrophysiciens pensent qu'un message extraterrestre est caché dans l'ADN humain

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Deux scientifiques originaires du Kazakhstan ont révélé qu'un message de nature extraterrestre serait inscrit dans l'ADN humain. Le physicien Vladimir I. Shcherbak, d'une université du Kazakhstan, et l'astrobiologiste Maxim A. Makukov, de l'Astrophysical Fesenkov Institut, avancent qu'un message de nature extraterrestre pourrait être caché dans l'ADN humain. Ces chercheurs affirment donc que chacun pourrait porter en lui une preuve de l’existence tant controversée des extraterrestres.

La théorie de l'évolution de Darwin trouve ses limites :

Dans OVNI/UFO
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OVNIs : quelques témoignages en vidéo

Par Le 06/11/2013

OVNIs : quelques témoignages en vidéo

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Une petite compilation de témoignages réalisée par Vimeo : https://vimeo.com/50082646

OVNIS : Révélations Troublantes d'Astronautes et Dirigeants, Décryptage :

Une version soutitrée en français des témoignages de 7 officiers US - conférence 2010 : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-la-citizen-hearing-on-disclosure-chd-s-est-deroule-du-29-avril-au-03-mai-2013.html :

Sous-titrage : ProjectAvalon.net
http://projectavalon.net/lang/fr/flag...

transcription complète :
http://projectavalon.net/lang/fr/Temoins_militaires_d_OVNI_sur_des_sites_nucleaires_National_Press_Club_27_09_2010.pdf

Des OVNI survolent des sites d'armement nucléaire américains.

C'est ce qu'ont déclaré en substance 7 officiers à la retraite de l'US Air Force (USAF), lors d'une conférence de presse le 27 septembre 2010 au National Press Club de Washington, retransmise sur CNN.

Elle portait essentiellement sur des observations d'OVNI au-dessus de sites d'armement nucléaire américains dans les années 1963 à 1980. Il n'y a pas de raison de penser que ces visites ne continuent pas aujourd'hui.

Dans certains cas rapportés, les OVNI avaient procédé à la désactivation de missiles nucléaires, une opération dont il reste difficile d'affirmer qu'elle fût en soi intentionnelle ou bien le résultat de radiations électromagnétiques émises par ces OVNI et dont l'intensité et la nature reste indéterminée.

Plusieurs anciens officiers de l'USAF ont témoigné durant cette conférence et notamment :

1. Robert Salas, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.
2. Dwynne Arneson, USAF Lt. Col. Ret., officier responsable de centre de communication.
3. Robert Jamison, ancien officier USAF de ciblage de missiles nucléaires.
4. Charles Halt, USAF Col. Ret., ancien commandant de base adjoint.
5. Jerome Nelson, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.
6. Patrick McDonough, ancien USAF expert géodésique sur site de missiles nucléaires.
7. Bruce Fenstermacher, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.

Pour le capitaine Salas, on parle bien ici d'objets volants non-identifiés. "Ces objets ont un fort intérêt pour nos missiles. A titre personnel, je pense qu'ils ne sont pas de la planète Terre" a-t-il déclaré.

Stephen Bassett, directeur exécutif du Paradigm Research Group (PRG) était présent à cette réunion. Il a diffusé le communiqué suivant :

"Désormais, les acteurs de la presse politique doivent aller interroger les porte-paroles du Ministère de la Défense, de l'U.S. Air Force et de la CIA, et s'adresser directement aux secrétaires Robert Gates, Michael Donley et Leon Panetta. Nous verrons si les journalistes politiques basés à Washington DC, ne sont pas inféodés à ce gouvernement ou ne pratiquent pas l'autocensure."

A ce jour, plus d'une centaine de retraités de l'Armée américaine ont révélé le survol de sites d'armement nucléaire. Ceux-ci sont interprétés comme étant des opérations de surveillance.

Selon Robert Hastings, ceci n'est pas uniquement de l'histoire ancienne. Deux évènements récents ont été signalés : l'un à Nellis AFB, Nevada, "Area 2 Weapons Storage Area", en 2003, et l'autre près d'une base de contrôle de lancement, à proximité de Malmstrom AFB, Montana, en 2007.

L'ancien ministre de la défense du Canada (1963-1967), Paul Hellyer (http://paulhellyerweb.com/), aujourd'hui âgé de 86 ans, la plus haute figure publique à s'être publiquement et ouvertement exprimée sur le sujet des OVNI, accrédite par ailleurs pleinement la véracité de ces témoignages. Il connaît personnellement Robert Sallas et le col. Charles Halt. Il a consacré à leurs témoignages un long chapitre dans son dernier livre : "Light at the End of the Tunnel. A Survival Plan for the Human Species" (Lumière au bout du tunnel. Un plan de survie pour l'espèce humaine).

Yves Hervo-SFH-11-2013

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OVNIs : Jean-Pierre D'Hondt, bientôt 60 ans d'enquêtes

Par Le 06/11/2013

OVNIs : Jean-Pierre D'Hondt, bientôt 60 ans d'enquêtes

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Jean-Pierre D’Hondt était adolescent lorsqu’il a entendu parler des « soucoupes volantes » et des empreintes de pieds palmés de Chéreng. Dès lors, il a nourri une passion pour les phénomènes étranges jusqu’à les traquer dans les moindres détails. Aujourd’hui, il est enquêteur pour le GERU, le Groupement d’études et de recherches ufologiques : le septuagénaire parcourt la région pour tenter d’expliquer ce qui semble inexplicable. Quel regard porte-t-il sur les phénomènes chérengeois, près de 60 ans après ?

Que les sceptiques passent leur chemin. Les phénomènes inexpliqués ne datent pas de la Guerre Froide et de Roswell mais se révèlent bien plus anciens. « De vieux grimoires font état d’objets volants en l’an 920 à Cambrai, en 1461 à Arras, en 1579 à Rumegies, en 1613 à Lille… », détaille Jean-Pierre D’Hondt. Cela fait une soixantaine d’années que l’ancien photograveur interroge la réalité par ses recherches historiques sur les soucoupes, OVNIS et autres bizarreries dans le ciel. « On les appelle aujourd’hui les PAN, les Phénomènes aériens non identifiés. L’appellation a été donnée par le CNES, l’agence spatiale française, en 1977 qui suit toujours ces phénomènes par son département GEIPAN, Groupement d’études et d&rsquo ;informations sur les PAN », explique le Lillois. Police et gendarmerie ont longtemps gardé un service dédié à ces phénomènes. Le très sérieux CNES estime encore que 22 % des témoignages sur les PAN ne donnent lieu pour l’instant à aucune explication.

Expliquer, c’est justement la mission que s’est donnée Jean-Pierre D’Hondt. Une mission entamée en 1954, année faste pour les « soucoupes volantes » : « On parle de vague en 1954, car partout dans le monde, mais surtout en France, on a pu relever ces phénomènes. Rien que dans la région, on a recensé 58 observations entre septembre et novembre », relève-t-il, coupures de presse et témoignages à l’appui. Témoignages sur cette période qu’il affirme recevoir encore. D’autres « vagues » ont fait frémir les amateurs d’étrange, en 1958 et en 1974 (77 observations recensées). Mais ce sont bien les apparitions, parfois inexpliquées de 1954 qui ont créé la discipline.

« Monsieur Sorez, qui a fondé plus tard le GNEOVNI (Groupement nordiste d’études des OVNIS) en 1965 avec moi, avait mené l’enquête à Chéreng en 1954 », se souvient Jean-Pierre D’Hondt. Les amateurs de soucoupes seront déçus : pour le groupement, la sphère ou les « cigares » brillants, vus par une cinquantaine de personnes à la ducasse de l’Autour, le 3 octobre 1954, correspond à un phénomène astronomique. Les Chérengeois auraient été effrayés par un croissant de lune. Mais les empreintes de pieds palmés, observées par le directeur de l’école et trois élèves (notre édition d’hier) le lendemain, laissent toujours les spécialistes perplexes. « Nous avons bien pensé à un vol d’oies sauvages, mais les traces, leur disposition ne co rrespondaient pas. D’autres témoignages font état de pieds palmés, en 1973 à Maubeuge, en août 1954 dans l’Yonne, en août 1967 dans le LimousinOfficiellement, nous n’avons pas d’explications », reconnaît Jean-Pierre D’Hondt.

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Il porte d’autant plus de crédit à ce phénomène qu’il a été servi par une étrange coïncidence : Jean-Pierre D’Hondt et Jean-Luc Bésengez, le seul témoin encore vivant de ces traces bizarres, ont été collègues de bureau… « J’ai pu avoir accès au récit, à la source », reconnaît l’ufologue.

Le retraité de 76 ans bat toujours la campagne en regardant en l’air. Passionné d’astronomie, Jean-Pierre D’Hondt est également membre du CARL, le club de la région lilloise qui a son siège à la ferme du Héron, à Villeneuve-d’Ascq. « Avoir de bonnes connaissances en astronomie est indispensable pour expliquer la plupart des phénomènes : les gens croient avoir repéré des phénomènes inexpliqués alors qu’ils observent Vénus ou Mars ! », sourit-il.

Aujourd’hui, Jean-Pierre D’Hondt est l’un des membres les plus actifs du GERU, le Groupement d’étude et de recherche ufologique, qui se réunit une fois par mois à Roubaix. Son but : cerner avec pragmatisme les objets visuels non identifiés : « L’ufologie est une discipline naissante, à la croisée des sciences humaines, des neurosciences, de la mécanique quantique… », souligne-t-on au sein du GERU. Des témoins de phénomènes étranges peuvent leur demander leur « diagnostic ». « Depuis sa création, le groupement a mené 660 enquêtes. Dans les années 1970, nous pouvions en mener trois par semaine. Aujourd’hui, c’est trois par an et beaucoup d’appels pour des lanternes thaïlandaises (sorte de lampions avec une bougie) qu’on confond avec des soucoupes ! », reconnaît Jean-Pierre D’Hondt. Dernières investigations d’ampleur : en 2011, un Lensois et ses deux enfants auraient observé un engin de forme triangulaire au-dessus de leur immeuble. L’enquêteur n’a pu apporter aucune explication jusqu’à présent. Croit-il aux soucoupes venues d’un autre monde ? En soixante ans, il ne s’est forgé qu’une certitude : " Les gens voient réellement des choses bizarres. En quoi consistent-elles ? Je n’en sais rien. ".

Sources: http://www.lavoixdunord.fr/region/jean-pierre-d-hondt-chasseur-d-ovnis-ia28b50425n1634509 via http://area51blog.wordpress.com/2013/10/29/presse-jean-pierre-dhondt-chasseur-dovnis%E2%80%8F/


Yves Herbo-SFH-11-2013

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La Terre des Incas et ses montagnes sculptées

Par Le 04/11/2013

La Terre des Incas et ses montagnes sculptées

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D'après certains archéologues, les Incas seraient les descendants attitrés de Tiahuanaco, issus du plateau du lac Titicaca et ayant quitté et abandonné leurs antiques cités suite à une série de catastrophes climatiques et volcaniques. Ces cités étaient ensuite redécouvertes par d'autres tribus et réoccupées ou non suivant les périodes. Pendant ce temps, les Téotihuacans (ou civilisation de Tiahuanaco) descendaient vers l'Océan et le Pérou, le Mexique.

peroumachu-pichu.jpgMachu-Picchu

" Différents témoignages ont été recueillis quant à l'origine des Incas. Selon la légende de Manco Capac et Mama Ocllo, les Incas descendent de Manco Capac. Plusieurs versions de cette légende en font la création de Viracocha et de Inti, le dieu du soleil, le faisant naître près de Cuzco (légende de Pacaritambo) ou sortir du lac Titicaca avec sa sœur-épouse Mama Ocllo, envoyés par Viracocha, le dieu créateur, pour apporter la civilisation aux hommes après le grand déluge qui avait tout dévasté.

Selon cette dernière version, ils voyagèrent jusqu'à ce que le bâton magique en or de Manco s'enfonce totalement dans la terre pour leur désigner le lieu où s'établir : la terre de ce lieu serait suffisamment riche pour les accueillir. C'est là qu'ils fondèrent la première ville inca qui deviendra Cuzco, c'est-à-dire le « nombril » en quechua. Manco Capac enseigna alors aux hommes l'agriculture et l'artisanat, et Mama Ocllo enseigna aux femmes l'art du tissage.

Origine admise par les scientifiques

À l'heure actuelle, l'origine géographique des premiers Incas reste discutée, l'hypothèse communément admise étant qu'ils provenaient des rives du lac Titicaca, à la frontière du Pérou et de la Bolivie. Le rapprochement est souvent évoqué avec la civilisation méconnue de Tiahuanaco (en Bolivie). Les Incas seraient donc un groupe d'hommes menés par Manco Capac ; après une migration vers le nord, celui-ci s'allie avec quelques communautés quechuas pour déloger les habitants de la vallée de Cuzco. Ce sont dès lors tous les descendants de ces premiers colons ainsi que leurs alliés qui sont considérés comme Incas.

Hypothèse amazonienne

D'autres sources évoquent une origine amazonienne. La présence des incas en Amazonie est attestée par la découverte de la cité agricole inca de Mameria par deux explorateurs franco-péruviens en 1979, Nicole et Herbert Cartagena. Le jeune archéologue et explorateur français Thierry Jamin a officialisé en 2006 la découverte de trois géoglyphes anthropomorphiques (d'énormes visages gravés à flanc de montagne), répliques d'un visage présent sur la paroi des pétroglyphes (signes gravés dans la pierre) de Pusharo découverts dès 1921 par Vicente de Cenitagoya. Pour Thierry Jamin, qui a découvert de nouveaux pétroglyphes à Pusharo, leur interprétation permet de dresser une « carte mémoire » de la zone. Il espère ainsi trouver de nouveaux sites incas et notamment la mythique cité perdue Païtiti, après près d'un siècle d'expéditions infructueuses dans la forêt amazonienne. "

(Wikipedia.fr)

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En fait, ce n'est souvent que grâce à des photos aériennes, voir par satellites que certaines structures peuvent être révélées, tant la végétation d'un côté, les boues ou les laves de l'autre, ont recouvert tant les anciens chemins ou souterrains discrets incas que les étapes et temples, forteresses et entrepôts... pourtant, en suivant les chemins de certains explorateurs ou même de certains documentaires parfois amateurs de simples visiteurs accompagnés par la population locale, on découvre parfois, outre de merveilleux paysages, de véritables petits trésors archéologiques et même des images surprenantes de certaines parois montagneuses...

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Incas ou prédécesseurs dans certaines régions, ces très anciennes structures, à peine discernables parfois dans la jungle, sont estimées être des signaux de reconnaissance et marquage de routes entre les villes ou peut-être de territoires, un peu comme des panneaux routiers avant l'heure, qui indique un endroit important ou un carrefour... ces endroits et signes parfois énormes gravés dans la roche pouvaient être vus à des distances considérables à l'époque, ou discrets et correspondant peut-être à des chemins sacrés ou réservés (mines, autels sacrés, etc...).

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On ne peut s'empêcher de penser qu'un peuple très ancien à littéralement terraformé tout son environnement, il y a très longtemps et pendant une longue durée. Aplanissant totalement d'un côté, creusant même profondément le sol par endroit, ou utilisant les collines et montagnes environnantes pour ses besoins mais aussi ses loisirs et notions de beauté.

En fait, le mystère sur les origines réelles de toutes ces civilisations demeure ouvert, même si la plupart des spécialistes s'accordent pour dire que les Olmèques sont à l'origine de beaucoup de choses, les traces prouvées d'habitations très antiques en Amazonie pourraient attester d'une seconde origine possible. Passons aux images.

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perou-terreincas-3.jpgSi vous regardez attentivement juste en face dans la végétation dense, vous découvrirez plusieurs entrées de mines et souterrains recouverts par les plantes remontant le relief.

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Yves Herbo-SFH-11-2013

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