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L'énergie Vitale, un début de preuve ?

Par Le 17/10/2013

L'énergie Vitale, un début de preuve ?

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Pour faire suite à cette (petite) série d'articles consacrés au sujet (http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/experience-de-mort-imminente-des-experts-exposent-une-nouvelle-theorie.html + http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/physique-quantique-coma-et-experiences-de-mort-imminente.html - http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/matiere-energie-information-et-la-physique-des-civilisations-extraterrestres-1.html  -  http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/du-nouveau-sur-l-experience-de-mort-imminente.html - http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/deux-scientifiques-disent-prouver-l-existence-de-l-ame-humaine-quantique.html - http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/un-transistor-biologique-pour-controler-les-cellules-vivantes.html), en particulier les deux derniers, voici un développement apporté par le docteur Konstantin Korotkov :

L'énergie vitale, un début de preuve ?

Cette vidéo de 50 minutes 16 fait partie d'une série de documentaires intitulée « le pouvoir de l'esprit ». À la morgue de Saint-Pétersbourg, le docteur Konstantin Korotkov a fait une découverte étonnante. Il existerait une énergie mystérieuse qui émanerait du corps humain et cela même après sa mort.

Il aurait réussi à prouver ce résultat en utilisant un procédé scientifique découvert en 1939 par un technicien russe nommé Semyon Kirlian. Ce procédé, la photographie de Kirlian, consiste à prendre une photographie sur une plaque électronique qui émet un champ électrique à haute fréquence.

Ici, le docteur Korotkov place les doigts d'une main d'un cadavre sur une plaque électronique, sur laquelle a été placée une feuille de papier photographique. Il fait ensuite passé du courant électrique et cette interaction parvient à créer une image sur le papier.

De la main de chaque cadavre il prend une photographie par heure pendant une semaine après la mort clinique du sujet. Ainsi, il a obtenu des centaines de clichés qu'il a ensuite stocké dans son ordinateur afin de pouvoir les analyser ultérieurement et s'en servir de preuves.

Grâce à l'analyse de ces clichés, le docteur Korotkov est capable de définir, sans autopsie préalable ni informations sur le patient, la manière dont celui-ci est mort.

Il reconnait une mort naturelle, par une perte de luminosité régulière et équilibrée pendant 36 heures. Il a remarqué qu'une mort violente retarde la désintégration d'énergie avec un changement rapide autour de 72 heures et qu'un suicide provoque une perte d'énergie prolongée qui ne se termine qu'une semaine après la mort.

En approfondissant ses recherches avec l'autopsie de certains sujets, il s'est également rendu compte que le retrait des organes internes par le médecin légiste avait une influence sur les images de Kirlian. Par exemple, il avait remarqué une excroissance lumineuse sur les photographies de Kirlian d'une personne morte d'un empoisonnement du foie. À son grand étonnement, lorsqu'il a ensuite retiré le foie de ce patient et prit une nouvelle photographie, il a pu apercevoir que l'excroissance avait laissé place à un trou dans l'énergie.

Ses découvertes confortent donc l'idée selon laquelle les photographies de Kirlian sont le reflet de quelque chose de bien réel et prouveraient l'existence d'une énergie qui semblerait ne pas mourir en même temps que le corps.

Par le passé et même encore de nos jours, de nombreuses personnes ont affirmés pouvoir manipuler une énergie qui semblerait similaire à celle décrite par le docteur Korotkov.

C'est le cas aujourd'hui encore, d'un groupe de guérisseurs anglais qui sont convaincus de pouvoir mener une sorte de combat électrique avec le corps humain en utilisant leurs mains comme des senseurs relevant des informations sur les champs d'énergie qui entourent leurs patients.

Il y a 5000 ans, des érudits chinois décrivirent également une mystérieuse force vitale qui selon eux circulerait dans chaque être vivant. Ils la nommèrent le chi. Eux aussi prétendirent et leurs disciples prétendent encore, pouvoir « travailler » cette force en utilisant une forme de relaxation appelé qi gong.

Cette pratique consiste à inhaler et expirer lentement en se concentrant sur le point vital qui est situé au centre du corps et en effectuant une série de mouvements fluides très stylisés. Certains maîtres parviendraient même à projeter cette énergie bien au-delà des limites du corps.

C'est la pratique de cet art ancestral qui aurait donné naissance à l'acuponcture que nous connaissons aujourd'hui. Vous l'ignorez peut-être mais le travail de l'acuponcteur est de vérifier l'équilibre de l'énergie chi de son patient. Il y parvient en ayant préalablement pris connaissance de son dossier médical, puis en en palpant le pouls, en examinant l'abdomen, la langue et plusieurs autres parties du corps. C'est ainsi qu'il parvient à être informé sur le corps de son patient dans son intégralité et sur son flux d'énergie chi. Il ne traitera ce dernier que s'il trouve une erreur dans son flux d'énergie et c'est l'endroit où il trouvera cette erreur qui lui indiquera où placer les aiguilles. Traitant ainsi le corps dans sa globalité plutôt qu'un symptôme en particulier. L'un des points forts de l'acuponcture est qu'elle peut traiter une maladie générale sans avoir besoin d'un diagnostic spécifique.

C'est sur la base de cette approche de la maladie, que certains docteurs occidentaux ont commencé à travailler, tel le docteur Julian Jessel Kenyon qui en Angleterre, utilise l'image de Kirlian pour l'aider à poser son diagnostic. Il lui suffit de trois minutes pour relever une empreinte énergique, la visionner et la stocker pour suivre l'évolution du traitement de son patient. Pour lui chaque zone de la photographie de Kirlian correspond à un organe particulier. Ces photographies lui permettent donc de connaître l'organe responsable du problème et même de savoir si le traitement pris par le patient est le plus approprié. Grâce à cette méthode, il affirme avoir obtenu beaucoup plus de résultat clinique en faisant beaucoup moins de mal au patient et affirme qu'elle a beaucoup à apporter à la médecine conventionnelle.

Malgré toutes ces preuves, l'idée d'un système d'énergie invisible reste un concept que la plupart des scientifiques occidentaux ont du mal à accepter. Beaucoup de temps et d'autres preuves seront probablement nécessaires pour parvenir à faire évoluer les mentalités.

http://www.mystere-tv.com/l-energie-vitale-un-debut-de-preuve-v1515.html

energiehumaine-mini.jpgUn scientifique russe photographie l’âme se détachant du corps !

Pour ceux qui s’intéressent à la vie après la mort, ou à une existence spirituelle après la mort, j’ai trouvé cette information qui va très certainement vous intéresser.

En effet, le moment de désincarnation astrale où l’esprit quitte le corps aurait été capturé par le scientifique russe Konstantin Korotkov, qui a photographié une personne au moment de sa mort avec une caméra bioélectrographique.

Eben Alexander: un neuro-chirurgien parle de vie après la mort

energiehumaine.jpgL’image prise en utilisant la méthode Gaz Discharge Vizualisation ou GDV, une technique avancée de photographie Kirlian montre en bleu la force de vie de la personne qui quitte le corps progressivement.

Selon Korotkov, le nombril et la tête sont les parties qui perdent d’abord leur force de vie (ce qui serait l’âme) et l’aine et le cœur sont les derniers endroits où l’esprit qui le corps avant de surfer vers la fantasmagorie de l’infini.

Dans d’autres cas, Korotkov a noté que «l’âme» de personnes qui souffrent d’une mort violente et inattendue manifestent habituellement un état de confusion des paramètres de puissance et retourne dans le corps pedant les jours suivant la mort. Cela pourrait être dû à un surplus d’énergie inutilisé.

Konstantin Korotkov : Docteur en sciences techniques. Directeur de l’Institut de recherche de la culture physique de Saint-Pétersbourg. Professeur. Auteur de 7 monographies, 17 brevets, plus de 200 articles et plusieurs ouvrages dont Champs d’énergie humaine et Principes de l’analyse GDV.

 

L'énergie Vitale :

YH : j'ajouterai que les progrès scientifiques et techniques en matière de Robotique et d'Intelligence Artificielle alliés aux nouveaux matériaux et aux expériences quantiques vont très probablement également ouvrir des portes sur la propre conscience humaine et ses réalités physiques... après tout, la conscience existe bien... elle est donc dans notre univers et elle est physique, et comporte donc obligatoirement des données scientifiques qui seront découvertes un jour par notre physique ou une autre...

Yves Herbo-SFH-10-2013

Dans OVNI/UFO
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OVNIs : Historique minimal

Par Le 17/10/2013

OVNIs : Historique minimal

 

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Cet article porte le titre de "Historique Minimal" car cet extrait pris sur le site Astrosurf " Le Défi des OVNI " © LOMBRY, 2000 est un résumé assez objectif et à connaître sur l'historique réel de l'existence du phénomène (que beaucoup de contemporains tentent de réserver à leur seule époque ou générations) sur la durée, et en tout cas bien plus tôt que ce qu'on entend encore et toujours par erreur (non, ce n'est pas en 1947 que la 1ère soucoupe volante a été vue et non, ce n'est même pas la bonne date du terme soucoupe volante...c'est le 25 janvier 1878 : voir ci-dessous). Minimal car c'est le minimal que devrait en dire au moins tous les spécialistes honnêtes ou connaissant le sujet, ou tentant de le connaître. Comme tous les sujets liés aux services spéciaux, aux armées et aux gouvernements, aux consortium de hautes-technologies et fabricants associés, c'est un sujet compliqué et où il faut tenter en permanence de voir les diverses possibilités (multiples selon les cas) et implications, exactement comme si vous deviez suivre un détective habitué aux méandres de la surveillance et du renseignement et du contre-renseignement, voir les diversions pour les cas trop explicites, les vrais-faux affichés et le secret absolu cernés par le mensonge mêlé de vérité.

Sinon, voici un historique beaucoup plus détaillé pour les 16 et 17ème siècles, qui ne correspond pas à un résumé plus facile à retenir donc mais à un développement : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-dans-l-histoire-les-16-et-17ieme-siecles.html

 

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" Historique 6

" Les OVNI font partie du décor de l'humanité depuis la préhistoire et l'apparition de l'art pariétal. Mais suffit-il d'interpréter une peinture rupestre ou une statue en fonction de ses émotions pour affirmer qu'il s'agit de la représentation d'êtres extraterrestres ? Bien sûr que non. Et pourtant. Les ufologues idéalistes voient par exemple dans les fameuses peintures des grottes du Sahara ou de Valcamonica en Italie du nord, des figures humaines portant des casques hermétiques hérissés d'antennes. Pour le paléo ethnologue Jean-Loïc Lequellec 7 il s'agirait plutôt de la symbolisation d'un masque "calebasse". Ailleurs, dans les grottes d'Altamira ou en Ardèche les hommes préhistoriques ont dessiné des objets possédant une sorte de "train d'atterrissage". Lequellec ou Anati y voit des symboles initiatiques.

 

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Un recensement de gravures préhistoriques dans des grottes - symboles ou simples témoignages ?

 

Scientifiquement parlant, de nombreux témoignages ont été recueillis depuis l'Antiquité mais ils ne reposent sur aucune donnée fiable. Les comptes-rendus sont allégoriques, fragmentaires et manquent souvent de crédibilité. Tous les auteurs citent toutefois l'observation d'objets brillants en vol ou sur le sol. Citons les "chars volants" et les "dragons de feu" de la Chine impériale, les "buissons ardents" du Proche-Orient ou le projectile "flamboyant, brûlant d'un feu sans fumée" dans le Drona Parva indien. Plus récemment, nous pouvons lire les descriptions de "chérubins s'élevant de terre, accompagnés de roues" chez le prophète Ezéchiel 8 (-593 ACN) ou la poursuite de l'armée d'Alexandre le Grand (-329 ACN) par deux objets volants. Tite-Live, Pline l'Ancien ou Cicéron rapportent des manifestations d'OVNI tout aussi énigmatiques. D'autres soi-disant preuves sont reproduites sur des fresques médiévales ou de la Renaissance. On y voit des objets dans le ciel, renfermant quelquefois une silhouette. Enfin de nombreux "experts" ont reconnus des "extraterrestres" dans des statuettes japonaises, de l'île de Pâques, du Pérou, d'Egypte ou d'Australie. Tous ces indices n'ont encore une fois qu'une valeur anecdotique et chacun sait qu'une oeuvre d'art, comme un texte sacré, peuvent être interprétés par chacun de plusieurs façons.

Nous reviendrons sur ces thèmes et leurs interprétations en temps utile, mais il déjà aisé de comprendre que beaucoup de ces phénomènes s'expliquent aujourd'hui de façon naturelle. Nous pouvons toutefois citer quelques événements historiques qui ont marqué la mémoire des hommes, au point de figurer dans les comptes-rendus scientifiques.

En 1561 par exemple les habitants de Nuremberg observèrent des objets cylindriques et des sphères en évolution au-dessus de leur ville tandis que le même événement se reproduisit à Bâle en 1566.

  • Le 20 mai 1646 au-dessus de Londresd’étranges signes sont apparus dans le ciel et des sons indésirables ”. L’événement fut remarqué par “ divers civils honnêtes, sobres et de bon crédit ” écrivit T. Forcet cette année là. Les témoins ont vu des hommes dans le ciel faisant des efforts, s’acharnant et tirant ensembles, l’un d’eux tenant un glaive. Plus tard “ entre Newmarket et Thetford ont vit un pilier de nuages descendre sur la terre, la garde d’épée dirigée vers le bas ”. Le phénomène dura environ une heure et demi.
  • De 1762 à 1870 de nombreuses observations ont été consignées. Quelques unes décrivent des lumières mystérieuses dans le ciel ou des objets arrondis observés de jour. Il est important de relater ces observations car à cette époque il n’existait pas de télégraphe, ni de téléphone ou de radio pour rapidement propager ces nouvelles.
  • De 1870 au tournant du siècle, une série de notifications font état de la présence d’objets en vol. En Angleterre, le Times rapporta l’observation d’une forme elliptique suivie d’une sorte de queue qui s’étendait sur quelque 30” d’arc et qui traversa le limbe de la Lune. La même année l'astronome français Trouvelot de l'Observatoire de Paris observa dans le ciel des objets qui ressemblaient à ceux de Bâle et de Nuremberg et qui " se déplaçaient comme un disque tombant dans l'eau ". Le 1er août 1871, un grand objet circulaire fut observé au-dessus de Marcinelles, en France. Il se déplaçait lentement dans le ciel, apparemment à haute altitude et fut visible environ 15 minutes.
  • C’est le 25 janvier 1878 que pour la première fois on compara un OVNI avec une soucoupe volante. John Martin, fermier habitant près de Denison, Texas, rapporta dans le Daily News avoir observé le mardi matin un objet sombre dans le ciel qui se rapprochait de lui : “ Sa forme particulière et sa vitesse d’approche ont attiré mon attention. L’objet est passé presque au-dessus de moi à une altitude respectable et avait la dimension d’une grande soucoupe. Il ressemblait à un ballon. Il est ensuite parti si rapidement que je l’ai vite perdu de vue dans le ciel ”.
  • Le 22 mars 1880, plusieurs objets brillamment lumineux furent observés à Kattenau en Allemagne. Observé juste avant le lever du Soleil, ils ont été décrits comme venant de l’horizon et se déplaçant d’est en ouest. Cette observation a été publiée dans la magazine Nature 9.
  • En 1885 le magazine français L’Astronomie publia la première photographie d’un OVNI. Elle avait été prise le 12 août 1883 à l’Observatoire de Zacatecas au Mexique par Jose Bonnila. Alors qu’il observait la surface solaire au télescope, il vit plus de 300 objets traverser le disque du Soleil. Equipé de plaques photographiques humides il prit plusieurs photographies du phénomène au 1/100e de seconde. Malgré les bruits les plus divers, il semblerait toutefois que Bonnila ait observé une formation d’oies sauvages. La même année, M. Mavrogordato observa en Turquie de curieux objets évoluant à basse altitude. L'un d'eux ressemblait à un disque dont la taille apparente valait 4 à 5 fois celle de la Lune.

Lire la suite ci-dessous :

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L'Afrique Australe se réchauffe plus vite qu'ailleurs

Par Le 16/10/2013

L'Afrique Australe se réchauffe plus vite qu'ailleurs

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Une nouvelle étude parue dans Nature Geoscience affirme que le trou d'ozone de l'Antarctique amplifie considérablement les modifications climatiques en Patagonie et en Australie, mais aussi dans le sud de l’Afrique. Le principal responsable de l'apparition du trou d'ozone dans l'Antarctique (mais des mesures prouvent qu'il en existe un aussi, plus discret, sur l'Arctique) a été identifié comme étant les émissions de CFC par l'être humain.

On nous affirme aussi que ces émissions sont maintenant contrôlées et interdites et que cet énorme trou qui perturbe toute la circulation climatique de l'hémisphère sud (et mondial) devrait retourner à des conditions de 1980 entre 2050 et 2060. Mais si on lit attentivement le dernier rapport de suivi sur le trou d'ozone et les émissions de CFC, on voit aussi que de nombreuses dérogations, exceptions ont été aménagées, que tout le monde n'a pas encore commencé vraiment certaines mesures et des dates de 2015, 2036 sont encore citées pour des applications concrètes de ces décisions qui datent des années 1990... on sait aussi que l'influence des banques a fait que le droit de polluer soit possible, en payant des amendes ou même en vendant à d'autres son pourcentage de droit à polluer (et oui, quand le bénéfice l'emporte sur les amendes et les taxes, tout se revend...y compris la conscience...).

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Ces émissions de CFC sont donc interdites en majorité (sauf certaines dérives chimiques qui ont le droit d'exister encore des dizaines d'années, voir le rapport) depuis 1995 et l'organisme contrôleur a affirmé qu'en 2009, 98% des substances contrôlées (mais elles ne le sont pas toutes...) avaient été éliminées. Et, bien que le record d’extension du trou d'ozone ne date que de 2005 (le plus haut jamais enregistré, voir le rapport), les scientifiques sont optimistes et misent sur l'inversion prochaine du phénomène, jusqu'à une stabilisation à son état d'avant les années 1980... mais pour l'instant, il semble bien que les effets perdurent toujours sans s'éliminer, on constate juste une stabilisation et il ne semble pas que la production naturelle d'ozone soit prête à prendre le relais de façon visible pour l'instant... car nous sommes bien d'accord : le trou doit bien être comblé par de l'ozone, celui qui a été détruit (et l'est toujours en partie donc) par les CFC...

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En attendant donc, les conditions climatiques (accompagnées par les émissions en constante augmentation des déchets des énergies fossiles dans l'atmosphère) se détériorent encore plus vite aux abords de ce (ces ? - une zone de la Sibérie subit le même sort) trous d'ozone et le climat se modifie réellement.

Des habitants de Sibérie commencent déjà à regretter la disparition de leur toundra :

http://www.parismatch.com/Actu/Environnement-et-sciences/Siberie-changement-climatique-rechauffement-144413

http://www.actualites-news-environnement.com/30098-fonte-rechauffement-climatique.html

Rapport 2012  :  presentation-sao-reglement1005-2009.pdf presentation-sao-reglement1005-2009.pdf

Autres données sur la désertification de l'Afrique Australe : texte-integral-desertification.pdf texte-integral-desertification.pdf

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Yves Herbo

L’Afrique australe se réchauffe : le trou de l’ozone en cause

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En été austral, le parc national Kruger connaît, depuis le début des années 1990, une augmentation abrupte et intense de la température de l'air. © Valérie Hukalo, Flickr, cc by nc sa 2.0

L’appauvrissement de la couche d’ozone modifie le climat austral, en Patagonie et en Australie, mais aussi dans le sud de l’Afrique. La partie australe de ce continent se réchauffe de façon abrupte et intense au démarrage de l’été. Le trou d’ozone amplifiant le centre d’action dépressionnaire de l’Angola, cela apporterait humidité et chaleur.

Dans le sud de l’Afrique, la température moyenne de l’air augmente plus rapidement que dans les autres régions du monde. Le principal facteur mis en cause est l’émission intensive de gaz à effet de serre, mais l’affaire n’est pas aussi linéaire. Si l’on regarde de plus près les variations de la température, il apparaît que le réchauffement atmosphérique connaît un pic annuel. Durant l’été austral, le thermomètre grimpe de plus belle, et ce depuis le début des années 1990. L’appauvrissement de la couche d’ozone en Antarctique en serait le principal coupable, d’après une nouvelle étude parue dans Nature Geoscience.

Plusieurs études ont déjà suggéré que le trou de la couche d’ozone dans l’hémisphère sud était le principal facteur de changement de la circulation atmosphérique dans la troposphère. Au même titre que le climat européen pulse au rythme de la NAO, la variabilité du climat austral est gouvernée par le Southern Annular Mode (SAM). Ce mode d’oscillation caractérise les variations des centres d’action atmosphériques entre les moyennes et les hautes latitudes. Dans sa phase positive, le SAM est associé à de plus hautes pressions que la normale aux moyennes latitudes, et de plus basses pressions aux hautes latitudes (55° S à 70° S).

manatsa-images.jpgDifférence entre les centres d'action atmosphériques avant (figure de gauche) et après (figure de droite) formation du trou de l'ozone. © Desmond Manatsa

Il y a aujourd’hui un consensus autour de l’idée que l’appauvrissement de la couche d’ozone amplifie la phase positive du SAM. En été, l’Afrique australe connaît un changement de température rapide et abrupte. Durant le printemps austral, le trou de la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique est maximal, et provoque un refroidissement de la stratosphère (couche atmosphérique située au-dessus de la troposphère). Ce refroidissement n’est pas anodin, puisque les variations thermiques engendrent des changements dans les vents, qui déplacent les centres d’action, et modifient in fine le climat régional.

SAM amplifie la dépression de l’Angola

En conditions moyennes, il existe un puissant courant-jet autour de l’Antarctique. Il s’agit d’un vent d’ouest étroitement lié à la présence d’anticyclones subtropicaux, et de dépressions polaires. Durant le printemps austral, l’appauvrissement de la couche d’ozone est à son maximum et aurait pour effet de rapprocher le courant-jet du pôle. C’est le renforcement de la phase positive du SAM : les anticyclones subtropicaux se renforcent aux moyennes latitudes, et les centres dépressionnaires s’activent d’autant plus aux pôles. Ce renforcement du SAM joue un rôle sur le climat estival de l’Afrique australe.

Chaque année, au démarrage de l’été austral, il se forme juste au-dessus de l’Angola un système dépressionnaire nommé Angola Low. Il est le centre d’action dominant la température estivale de toute la région sud-africaine. L’étude, menée par l’équipe du chercheur Desmond Manatsa, suggère que l’intensification du trou de la couche d’ozone estival amplifie ce système dépressionnaire, qui transporte de l’air humide et chaud des basses latitudes vers l’Afrique australe.

Disparition du trou de l’ozone à l’horizon 2065 ?

L’équipe a utilisé des réanalyses pour comparer la variabilité du SAM, de la température et de l’appauvrissement de la couche d’ozone. Ils ont découpé leur étude en deux périodes : les périodes 1970-1993 et 1993-2011. L’année 1993 caractérise l’année du renforcement du trou de l’ozone. Ils ont ainsi trouvé une corrélation (avec 90 % de confiance) entre l’augmentation du trou de l’ozone et du système dépressionnaire Angola Low. (YH : et 2005 c'est le maximum)

Le trou de l’ozone, à son maximum, s’étend sur 28.5 millions de km2. Il résulte principalement de l’émission des CFC, dont l’utilisation est aujourd’hui interdite. Si l’on en croit les modèles de prévision climatique, ce trou pourrait complètement se dissiper à l’horizon de 2065. En attendant, il est toujours présent, et domine la variabilité saisonnière du climat.

Par Delphine Bossy, Futura-Sciences

Yves Herbo-SFH-10-2013

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Interview de Gavin Menzies sur la découverte des Amériques par les Chinois en 1421

Par Le 16/10/2013

Interview de Gavin Menzies sur la découverte des Amériques par les Chinois en 1421

zhengheships.gifflotte de l'amiral Zheng He

L'auteur et ancien capitaine de sous-marin de la marine britannique, Gavin Menzies, a partagé dans une interview le 14-10-2013 ses découvertes les plus récentes au sujet de qui a vraiment découvert l'Amérique du Nord, et comment les étonnants voyages des Chinois dataient d'avant Colomb.

Colomb a navigué de l'Espagne en utilisant une carte qui a été reçue en provenance de Chine en 1434, qui a montré avec précision le placement des Amériques, et il n'était pas en mission de découverte, mais agissait en tant qu'administrateur pour le compte du roi d'Espagne, a soutenu Menzies. Il y a eu des voyages constants vers les Amériques datant d'aussi loin que 40,000 ans Avant JC, de l'Asie et de la Méditerranée orientale, a-t-il poursuivi, ajoutant que de simples navires à partir de l'Asie du Sud et la Chine ont profité des courants. Comme preuve, il a cité la façon dont des restes humains ont été trouvés dans un marécage en Floride, qui remontent aussi loin que 9.000 années, et ils avaient de l'ADN qui vient des peuples de la Méditerranée de l'Est. (YH : une preuve plutôt "minoenne" que chinoise donc !)

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Il y a eu environ 6000 voyages entre les Amériques et l'Asie, et de nombreuses plantes et des aliments autochtones des Amériques ont été ramenés en l'Asie, a-t-il dit. Entre 1405 et 1424, l'amiral Zheng He a fait des voyages continuellement vers les Amériques, mais vers la fin de cette période, les ressources de leur pays surendetté par l'empereur chinois ont stoppé, et tous les autres voyages en mer ont été réduits, détaille Menzies.

Notons que tous les experts ont réfuté les arguments de Menzies jusqu'à présent, bien qu'il ait gagné des suffrages avec d'autres découvertes récentes en Afrique, mais aussi des traces d'antiques présences en Australie et aux Amériques (voir mes précédents articles à ce sujet). Si les historiens ne contestent pas les expéditions maritimes chinoises au début du XVe siècle menées par l'amiral Zheng He qui ont conduit la Chine à établir des relations commerciales et quelquefois diplomatiques en Indonésie, en Inde, en Arabie et sur la côte orientale de l'Afrique, sa thèse sur la sixième expédition de Zheng He est très contestée. Menzies soutient ainsi que cette expédition se serait scindée en plusieurs escadres qui aurait dépassé le cap de Bonne Espérance, navigué sur la côte occidentales de l'Afrique, fait le tour de l'Australie, dépassé le Cap Horn, accosté sur la côte Atlantique de l'Amérique du Nord, longé le Groenland, etc. Pour justifier l'absence de sources chinoises sur ces découvertes, Menzies s'appuie sur la destruction des archives de l'ensemble des expéditions à la fin du XVe siècle, par le successeur de l'empereur Zhu Di.

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Carte dite de Liu Gang, présentée comme la reproduction par Mo Yi Tong en 1763 d'une carte de 1418, mais considérée comme un faux par plusieurs spécialistes (Dr. Geoff Wade)

" Il raconte dans son ouvrage qu’il a découvert un jour une carte vénitienne de 1424 comportant des éléments géographiques précis sur Porto Rico et la Guadeloupe théoriquement inconnus à l’époque. « Cela voulait dire que quelqu’un avait observé ces îles avec précision quelque soixante-dix ans avant Christophe Colomb. Cette révélation semblait incroyable. Certes, Colomb n’avait pas vraiment découvert le Nouveau Monde, mais son voyage était considéré comme fondateur d’une nouvelle ère. Il marquait le moment où les Européens, menés par les Portugais, s’étaient lancés dans leurs grandes expéditions d’exploration, le début d’une insatiable expansion qui devait s’étendre sur toute la surface du globe et marquer les cinq siècles suivants ».

La Chine disposait des bâteaux et de l’expérience nécessaires

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Conclusion de Menzies : « un seul pays disposait à cette époque des ressources matérielles, des connaissances scientifiques, des vaisseaux [voir en vignette ci-dessous le navire amiral de Zheng He comparé à celui, bien plus modeste, de Christophe Colomb] et de l’expérience de la navigation requis pour une telle expédition. C’était la Chine ». Un problème : après les grands voyages de Zheng He, un changement politique amena la Chine à se replier sur elle-même, à renoncer à s’ouvrir au monde et à s’y implanter à l’image des Européens quelques décennies plus tard. « Vers le milieu du XV° siècle, pratiquement toutes les cartes et tous les documents datant de cette période avaient été détruits par les autorités de la Cour impériale chinoise elle-mêmes, à la suite d’un revirement de leur politique extérieure ».

Depuis la conclusion de son livre, Menzies a découvert une carte chinoise, authentifiée par un laboratoire néo-zelandais, contenant tous les éléments qui figuraient sur les cartes européennes antérieures aux voyages de Colomb et des autres navigateurs. La preuve absolue, selon lui, que tout est parti de Zheng He. Gavin Menzies a même ouvert un site internet, www.1421.tv, sur lequel des centains de personnes apportent, dit-il, leur contribution à cette recherche mondiale d’indices du passage des explorateurs chinois. Au point de se demander, en annexe du livre, si les flottes de Zheng He ne sont pas arrivées jusqu’à ... Rouen ! Le plus intrigant, dans cette thèse, est que les Chinois eux-mêmes rechignent à accepter une nouvelle preuve de leur grandeur passée qu’un Anglais leur présente sur un plateau. Une preuve de plus, peut-être, de leur sagesse... "

► Gavin Menzies, 1421, l’année où la Chine a découvert l’Amérique. Trad. Julie Sauvage, ed. Intervalles, 2007. 431 p.

http://www.rue89.com/chinatown/zheng-he-le-chinois-qui-a-decouvert-lamerique-peut-etre

Voilà quelques critiques (assez réalistes il est vrai, mais avec parti pris évident) qui ne supportent pas cette théorie :

http://blogs.histoireglobale.com/les-chinois-ont-ils-decouvert-lamerique-en-1421_56

http://www.scienceshumaines.com/1421-l-annee-ou-la-chine-a-decouvert-l-amerique_fr_21427.html

Menzies a d'autres théories... sur l'Atlantide (en VO) :

Autre interview mars 2013 :

Yves Herbo-SFH-10-2013

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Les rumeurs sur la mort d'Hitler ressurgissent

Par Le 15/10/2013

Les rumeurs sur la mort d'Hitler ressurgissent

hitler-et-braun.jpgHitler et Eva Braun

Cela a été répandu depuis des temps immémoriaux, ou au moins depuis 1945. Pourtant, un nouveau documentaire relance la rumeur, en disant que Adolf Hitler ne s'est pas suicidé dans son bunker de Berlin comme on le croit généralement, mais a vécu sa vie en Argentine.

S'exprimant dimanche (12-2012), le réalisateur / producteur Noam Shalev et le chercheur Pablo Weschler ont révélé les raisons de croire que leur témoignage prouve - mais pas à 100 pour cent de certitude - que Hitler n'est pas mort en 1945.

Shalev a admis que :

" Nous ne saurons jamais la vérité. Mais il y a suffisamment de preuves pour construire une théorie alternative sur ce qui est arrivé à Hitler. "

Weschler a ajouté, " personne ne croyait à l'histoire du suicide de Hitler dans le bunker des Russes. Dès l'été 1945, il y avait des titres qui demandaient : " Où est Hitler ? " partout dans le monde.

Dans le documentaire, " Hitler en Argentine ", les réalisateurs disent que Hitler a vécu ses derniers jours dans un hôtel de luxe argentin. Leur nouveau documentaire est prêt à être publié dans le courant de 2013.

L'envie de compléter le documentaire est venu avec des documents récemment déclassifiés du FBI. Shalev et Weschler avaient longtemps cru que l'enquête de l'officier du renseignement et historien britannique Hugh Trevor-Roper sur la mort d'Hitler était « non professionnelle », car les Russes n'ont pas permis l'accès à de nombreux enquêteurs judiciaires.

Weschler a déclaré :

" En ces jours, le FBI, pas la CIA, était responsable de l'Amérique du Sud. Et dans les documents déclassifiés, nous voyons que le FBI prenait très au sérieux la possibilité que Hitler s'était enfui en Argentine.

En outre, les notes documentaires disant que le FBI était tellement préoccupé par la possibilité que Hitler était en Amérique du Sud étaient viables, l'Agence a créé une équipe spéciale pour enquêter sur ça.

Les cinéastes croient qu'ils peuvent déterminer le lieu exact de Hitler après la Seconde Guerre mondiale. Ils ont utilisé un livre intitulé "Escape Hitler », écrit par le journaliste italien Patrick Burnside comme un guide pour leur film.

hitler.jpgHitler (Wikipedia)

Pour Shalev et Weschler, la preuve la plus significative se présente sous la forme de tests d'ADN effectués sur des fragments de crâne d'Hitler en 2009, des fragments qui ont été récupérés à partir du bunker de Berlin. Weschler a déclaré :

" Ils ont montré qu'ils n'auraient pas pu être le crâne d' Hitler parce qu'ils étaient d'une femme de moins de 40 ans. Plus vous regardez dedans, moins devient crédible la version officielle, et une autre théorie semble plus plausible. "

Il est vrai, cependant, que Eva Braun n'avait que 33 ans au moment de son décès signalé dans le même bunker de Berlin. Ce pourrait-il que les preuves d'ADN ont simplement été mêlangées ?

Il y a plus de preuves, a déclaré Weschler :

L'Hôtel Eden à La Falda, Cordoba [Argentine] était détenu par Ida et Walter Eichhorn, qui étaient des amis intimes de Hitler. Hitler leur a envoyé une Mercedes Benz comme cadeau. C'était la première Benz en Argentine. L'hôtel qui dans le temps était luxueux est aujourd'hui en ruines. On y donnait des fêtes somptueuses et une foule de notables, dont Albert Einstein, y séjourna dans les années vingt et trente. Les Eichhorn ne faisaient pas mystère de leur sympathie pour le parti nazi qu'ils soutenaient financièrement. Les discours d'Hitler, quand il parlait à la radio, étaient retransmis dans l'hôtel. Wechsler cite une lettre du FBI de septembre 1945 (l'un des documents déclassifiés dans les années 1990) qui montre que le FBI était persuadé qu'en cas de difficultés Hitler aurait toujours pu compter sur les Eichhorn.

Weschler a rencontré d'anciens employés qui affirment qu'il ont vu et servi Hitler dans l'hôtel après la guerre. "C'était facile pour eux de le reconnaître, parce que son portrait était partout dans l'hôtel", explique Weschler. Ses recherches démontrent qu'Hitler s'est ensuite installé dans une ferme isolée, où il a vécu ses derniers jours avec Eva Braun et leurs deux filles, et qu'il est mort au milieu des années soixante.

Source : http://www.examiner.com/article/new-hitler-argentina-documentary-claims-hitler-did-not-die-1945

Info complémentaire : " Un archéologue américain, Nick Bellantoni, avait depuis longtemps des doutes sur le fait que le crâne puisse appartenir au dictateur, l’estimant notamment trop fin pour être celui d’un homme. Il a obtenu l’autorisation d’examiner et de récupérer des échantillons ADN du crâne, jusque là détenu par les archives russes, ainsi que du sofa sur lequel figuraient des traces de sang consécutives au suicide, et les a rapportés dans le Connecticut afin d’effectuer des analyses.

Les résultats sont sans équivoque : le crâne, celui-là même qui a été exposé lors d’une exposition à Moscou en 2000, est celui d’une personne de moins de 40 ans ; Hitler en avait 56 ... De plus, ce crâne serait bien celui d’une femme. On pense alors naturellement à Eva Braun, mais pourtant, contrairement à Hitler, celle-ci ne s’est pas, d’après les documents officiels historiques, tiré une balle dans la tête pour se suicider, succombant au cyanure.

À qui appartient alors ce crâne perforé d’une balle ? Ce pourrait être en fait n’importe qui, d’autant que pas mal de cadavres jonchaient la forteresse à l’arrivée des russes.

Par ailleurs, la thèse selon laquelle la version officielle du corps brûlé permettait de nier au dictateur toute sépulture, et d'empêcher ainsi toute forme de pélerinage, est tout aussi problématique dans ses conséquences que l'effet recherché. Sans sépulture, Hitler devenait un mythe. Et comment concilier cette version avec le fait que le bunker d'Hitler à Berlin, fut lui, conservé, et se voit transformé aujourd'hui en boite de nuit, dont on mesure sans difficulté la dimension morbide, mais aussi la récupération de cette dimension de pélerinage dans une Allemagne où fleurit la théorie néo-nazie.

Pour plus de détails, le livre de Henrik Eberle et Mathias Uhl, intitulé "Le Dossier Hitler, le dossier secret commandé par Staline", paru en français aux Presses de la Cité en 2006, ISBN 2-258-06934-3. "

www.hitlers-escape.com + http://fr.wikipedia.org/wiki/Derniers_jours_d%27Adolf_Hitler

Le documentaire :


Secret et fin mystérieuse d'Adolf Hitler 1/3


Secret et fin mystérieuse d'Adolf Hitler 2/3


Secret et fin mystérieuse d'Adolf Hitler 3/3

Un documentaire de National Geographic sur le sujet

Yves Herbo-SFH-10-2013

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Le contrôle de l'esprit à distance : où en sont-ils ?

Par Le 14/10/2013

Le contrôle de l'esprit à distance : où en sont-ils ?

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En 2012, Vladimir Putin annonçait officiellement l'avancée des recherches sur un appareillage électromagnétique permettant la prise de contrôle ou destruction d'un esprit humain à distance. Depuis les débuts de 20ième siècle, on savait que les Russes avaient mis en oeuvres de vastes programmes secrets de recherches sur tous les aspects dits "paranormaux" : télépathie, télékinésie, téléportation, hypnose (faisant encore partie de parapsychologie à l'époque) et voyance à distance ou temporelles. On sait (et pour cause, elle est même appliquée de nos jours dans beaucoup d'hopitaux) que l'hypnose a prouvé sa réalité scientifique, que la télépathie a été également prouvée par de multiples expériences avec succès (et le fait de répéter avec succès une expérience est une preuve en soi), ainsi que la voyance à distance (pouvoir projeter son esprit et voir très loin) qui semble avoir été expérimentée par l'armée avec succès (les américains font d'ailleurs de même que les russes sur le sujet). Il semble également que la recherche sur la télépathie et la vision à distance associées ait amené la possibilité du contrôle des esprits à distance induit.

Vladimir Poutine admet l'utilisation d'armes psychotroniques sur les civils

" Vladimir Poutine a confirmé que la Russie a testé de nouvelles armes psychotroniques qui peut réellement transformer les gens en zombies. Ces armes qui attaquent le système nerveux central de leurs victimes ont été développés par des scientifiques et pourraient être utilisées contre les ennemis de la Russie ou de ses dissidents.

Poutine a décrit que ces armes qui utilisent des rayonnements électromagnétiques, telles que celles des micro-ondes, sont des nouveaux outils pour la réalisation des objectifs politiques et stratégiques. L'utilisation de cette technologie a été annoncé par le ministre de la Défense Anatoli Serdioukov.

M. Tsyganok a déclaré que les armes ont été récemment testés dans le but de contrôler la foule "et ont porté sur un homme en particulier, pour élever la température de son corps immédiatement comme si elle avait été jetée dans une casserole remplie d'eau très chaude". La recherche sur les armes électromagnétiques a été réalisée à la fois aux États-Unis et la Russie depuis les années 50, mais il semble que la Russie a volé la vedette aux Etats-Unis.

Les détails précis n'ont pas été divulgués, mais des recherches antérieures ont montré que les ondes basse fréquence (ou rayons) peuvent affecter les cellules du cerveau, de modifier les états psychologiques et permettent de transmettre les suggestions et les commandes directement dans les pensées de la personne.

Vladimir Poutine a déclaré que cette technologie est en tout point comparable aux armes nucléaires, mais "plus acceptable en termes de« l'idéologie politique et militaire (!). M. Serdioukov a déclaré que ces armes ont été développés sur la base de nouveaux principes physiques. Armes à énergie dirigée, les armes géophysiques, l'énergie des vagues, des armes génétiques et d'armes psychotroniques, font partie du programme d'acquisition de l'Etat pour la période 2011-2020. "

Sources : http://www.heraldsun.com.au/technology/sci-tech/russia-working-on-electromagnetic-radiation-guns/story-fn5iztw3-1226317396841 + http://www.ecplanet.com/node/3605 + http://www.chaos-controle.com/archives/2013/10/13/28190275.html

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Autre Article en lien : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/sciences/lire-dans-les-pensees-d-une-personne-c-est-possible.html


Contrôle électronique de l'esprit

Jim Keith, Mass Control,
" Contrôle électronique de l'esprit ",
Copyright 1999, 2003
Traduction T.G. 2010

Publié avec l'aimable autorisation de l'éditeur.


Les techniques de contrôle de l'esprit ont grandement progressé lorsque l'on a découvert que l'énergie électromagnétique pouvait être utilisée pour influencer, inhiber, ou tuer un homme à distance. Le célèbre scientifique Nicolas Tesla fut un des premiers à approfondir l'étude des effets de l'électromagnétisme sur l'organisme humain, suivi de E. L. Chafee et R.U. Light, qui publièrent en 1934 « Une Méthode pour le Contrôle à Distance de la Stimulation Electrique du Système Nerveux ».

La même année, le scientifique soviétique Leonid L. Vasiliev écrivit Evaluation Critique de la Méthode Hypogénique à propos des découvertes du Docteur I.F. Tomashevsky qui concernaient la possibilité d'influencer le fonctionnement du cerveau par ondes radio. Vasiliev écrivit:

« Dans une autre série d'expériences, afin de pouvoir contrôler le sujet lorsqu'il se situait en dehors du laboratoire, un système radio fut utilisé... peu d'expériences de cette sorte furent menées, mais les résultats montraient que l'utilisation de signaux radio augmentait sensiblement les expériences  possibles».

Dans ce même rapport Vasiliev écrivit: « Tomashevsky (I.F.  Tomashevsky, physiologiste Russe reconnu) mena la première expérience sur ce sujet à une distance de une à deux pièces et dans des conditions ne permettant pas au sujet de suspecter qu'il servirait à une expérience. Dans d'autres cas, l'émetteur n'était pas dans la même maison et une autre personne observait les réactions du sujet. Par la suite des expériences furent menées avec succès à des distances considérables... une expérience de ce type fut menée ... la suggestion mentale, poussant le sujet à s'endormir, réussit en moins d'une minute. » 1

Le Professeur E. Cazzamalli est un autre chercheur qui étudia les possibilités d'utilisation de l'électromagnétisme, dans les années 1930. Cazzamalli bombardait les sujets avec des ondes VHF et il « soutint le propos stupéfiant que les sujets hallucinaient lorsqu'ils étaient sous l'influence de son oscillatori telegrafica » 2
 
Andrija Puharich, de l'Université du Nord Ouest, fut  aussi, dans les années 1940, un des premiers chercheurs sur les effets de l'électromagnétisme qui approfondit l'étude des effets des ondes radio sur les animaux. Puharich créa en 1948 un laboratoire nommé « La Fondation de la Table Ronde d'Electrobiologie », à proximité de Camden dans le Maine, qu'il surnommait modestement « une grange  dans la forêt ». Ce bâtiment à un étage, d'environ 30 mètres par 15 était à peine une étable. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il avait été utilisé par la Marine, officiellement comme entrepôt.

Warren S. McCulloch était un des associés de Puharich à la Table Ronde. Il fut un des fondateurs de la théorie cybernétique et travailla à l'hôpital Bellevue de New York. McCulloch fut un des premiers promoteurs des implants électroniques dans le cerveau, et présida des conférences sponsorisées par Josiah Macy, de la fondation Jr., une officine de la CIA dédiée au contrôle de l'esprit. John Hays Hammond, dont on a dit qu'il fut le seul élève de Nicolas Tesla, était un autre associé de Puharich. Il était lui-aussi intéressé par l'utilisation de l'électromagnétisme pour influencer l'esprit humain.      

Après la dissolution de la Table Ronde de Puharich il passa du temps à étudier les effets de l'électronique sur l'organisme humain avec le sociologue Aldous Huxley à Tecate au Mexique. En 1954 Puharich fut employé par la C.I.A. au Centre Militaire de la Guerre Chimique et Biologique de Fort Detrick au Maryland, à des recherches sur les effets du L.S.D. Il étudia les effets des drogues digitoïdes à la Fondation de la Recherche Permanente grâce à des fonds de Sandoz Chemical Works. 3

Une des réalisation de Puharich est la conception d'un composant radio à implanter dans la dent, dont les spécifications techniques furent vendues à la C.I.A. En 1987, lors d'une conférence sur l'électromagnétisme, Puharich décrivit son invention:

« Nous étions capables de développer un système d'écoute qui tient dans la couronne d'une dent et nous pouvions entendre clairement grâce à un petit relais émetteur/transmetteur et malheureusement ce fut rapidement classé par une agence de notre gouvernement. Mais nous avions trouvé la solution technique. »

L'implant dentaire est peut être encore utilisé. D'après Chemical and Engineering News du 5 février 1996, dans un article intitulé « Un professeur de Hong Kong attaque les USA pour contrôle de l'esprit »: 4

« Le South China Morning Post a rapporté le 25 janvier qu'un Professeur Assistant à l'Université des Sciences et Technologies de Hong Kong, a formulé une demande d'indemnisation de cent millions de dollars au gouvernement américain pour l'implantation d'un dispositif de contrôle de l'esprit dans sa dent. Huang Si-Ming a confié à la reporter du Morning Post, Patricia Young, que cet équipement a été implanté lors d'une opération du canal dentaire en 1991, alors qu'il étudiait à l'Université de l'Iowa. Un autre étudiant de l'Université de l'Iowa, lui aussi né en Chine, avait été pris d'une crise de folie meurtrière et, d'après Huang, les fédéraux lui ont mis cet implant dentaire afin de savoir s'il était impliqué.  

Le Professeur de Hong Kong dit qu'il a souffert d'une maladie de la mémoire, similaire à la maladie d'Alzheimer, qui rendait son travail difficile. D'après lui, cela prit fin uniquement lorsqu'il rechercha une aide légale pour intenter un procès. En plus des USA, l'Université des Sciences et Technologies est poursuivie, considérant qu'elle est impliquée pour avoir continué le travail de contrôle de l'esprit. Un million de dollars sont aussi demandés pour « non respect des conditions d'éthique ».

Huang dit que l'un des composants dans sa dent peut lire ses pensées et parler à son esprit lorsqu'il est endormi. Il croit qu'un deuxième équipement transmet les images de ce qu'il voit à un récepteur, pour enregistrement. Le contrôleur de l'esprit, dit-il, peut l'amener à de mauvais comportements. Il donne deux exemples, dont un ne peut pas être mentionné dans un magasine familial. »

Huang n'est pas le seul à se plaindre d'avoir un implant de contrôle dans ses dents. David B. raconte:

« Les rayons X montrèrent un objet en métal dans la partie gauche de mon corps, sous la mâchoire, dans les tissus mous de mon cou. En mai 1996, je le fit enlever et demandais à plusieurs médecins s'il avait pu s'incruster là lors d'une extraction, ils répondirent 'possible, mais peu '.

La plupart considérèrent qu'il avait transpercé mon cou depuis l'extérieur. Je transmis les radiographies au Docteur Sims et il organisa l'opération. Bizarrement, ceci fut l'occasion de découvrir un petit objet dans mon épaule. Le Docteur Leer m'appela après avoir reçu les radiographies et me demanda si j'avais fracturé mon épaule ou si j'avais été victime d'une explosion. Je lui dis que non. Il me dit que la raison de son appel était que les radios montraient nettement une vis dans mon épaule gauche. Il dit que cela ressemblait à l'opération d'une épaule fracturée. Je n'avais jamais fracturé mon épaule et demandait à ma mère pour confirmer. Elle me dit que je n'avais pas eu d'opération lors de mon enfance. Ceci est un mystère complet.

Pendant les six premiers mois de torture (extrême à cette période), je me rendis chez un dentiste pour lui faire part de ma douleur localisée sous ma nouvelle prothèse dentaire, qui avait été installée quelques mois avant l'attaque. Il l'enleva mais j'étais encore en contact. Je décidais de ne plus m'occuper de la dent et me concentra sur ma gorge, par erreur. Sur les radiographies et le scanner une des dents est très brillante et sur une des images du scanner des rayons blancs en émanent. Les personnes que j'ai interrogé m'ont dit qu'il s'agissait probablement d'interférences dûes au métal. » 5

En Union Soviétique, lors d'une réunion tenue le 22 mai 1963 au bureau du Professeur Zinoniev, situé au Ministère de l'Education Supérieure et Secondaire Spécialisée, une revue des recherches menées par les Soviétiques concernant l'électromagnétisme fut présentée. Lors de cette réunion de 16 scientifiques, le Professeur Artemov mentionna une « machine de travail de l'esprit ». Artemov dit que dans le futur  proche un émetteur d'ondes électromagnétiques de la taille d'un poste à transistor serait utilisé pour stimuler la créativité et l'énergie mentale. Artemov dit que les premiers modèles de cette machine avaient la taille d'un bureau, mais que maintenant des équipements portables étaient utilisés. 6

Les soviétiques travaillaient aussi à des applications moins bénignes de l'électromagnétisme. Aux alentours des années 1960, comme le rappelle le spécialiste des micro-ondes Milton Zaret, il fut  approché par la C.I.A. Zaret avait travaillé sur un projet de l'Air Force pour évaluer le danger potentiel de lésion des yeux pour les techniciens radars et micro-ondes, mais la C.I.A. était intéressée par des sujets plus mystérieux. Ils s'intéressaient aux effets des micro-ondes sur le comportement humain et la possibilité de les utiliser pour le lavage de cerveau.

Plus tard, en 1965, ils révélèrent à Zaret la raison de leur intérêt: l'Ambassade des Etats-Unis à Moscou était bombardée de micro-ondes par les Soviétiques, avec un rayonnement qu'il surnommaient le « Signal de Moscou ». Zaret fut instruit du projet Pandora, mené par le gouvernement dans le but de trouver pourquoi les Soviétiques bombardaient l'ambassade et peut-être de pouvoir utiliser ces recherches dans son propre intérêt. Une des expériences de Pandora consistait à irradier des singes avec des impulsions de micro-ondes. Le chef du programme détermina que « la possibilité d'exercer un certain niveau de contrôle sur le comportement humain en utilisant des micro-ondes de faible intensité semble exister et nécessite d'étudier sans tarder l'utilisation possible de micro-ondes en tant qu'arme. »

Zaret mena ses propres tests et conclut que « Quelques-soient les raisons des Russes, ils croyaient qu'ils modifieraient le comportement du personnel. » 7

Les recommandations de Zaret furent simples. Le gouvernement américain devait demander aux soviétiques d'arrêter d'irradier ses employés. Le personnel de l'ambassade devait être instruit de ce qui se passait, ce qui n'avait pas été fait, et on devait leur proposer la possibilité d'être transféré vers d'autres régions du monde. On assura Zaret que ces recommandations seraient suivies mais la seule mesure qui fut prise fut que le Président Lyndon B. Johnson demanda aux soviétiques d'arrêter l'irradiation. Ils l'ignorèrent.

Les employés de l'ambassade ne surent jamais qu'ils étaient soumis à des radiations électromagnétiques, ni que les tests montraient que nombre d'entre-eux avaient de graves problèmes médicaux. L'ambassadeur Walter J. Stoessel avait des saignements des yeux et on diagnostiqua une maladie du sang similaire à une leucémie. Les deux ambassadeurs précédents étaient morts de cancer. Des tests menés par le Département d'Etat trouvèrent un compte « légèrement élevé » de globules blancs dans le sang d'un tiers des employés, mais en réalité cette augmentation atteignait 40% de plus que la normale. Plusieurs enfants des employés de l'ambassade présentaient des troubles du sang.

Ils n'eurent connaissance de l'origine de leurs maladies qu'en 1972, lorsque le journaliste Jack Anderson alarma le public en publiant un article sur le « Signal de Moscou ».

Ils est possible que le projet Pandora soit à l'origine des propos du Docteur Alan Frey qui rapporta en 1961 que les micro-ondes sont parfois audibles par les humains, bien que sa découverte fut rejetée par plusieurs scientifiques qui considéraient qu'ils s'agissait de bruits extérieurs à l'expérience. L'expérience de Frey fut décrite en détail par James C. Lin, dans Effets Auditifs des Micro-ondes et leurs applications: 8

« Frey détermina que les sujets exposés à des ondes de fréquence 1310 Mhz et 2982 Mhz, à des intensités moyennes de 0,4 à 2 mW/cm2, percevaient des sensations auditives décrites comme des bourdonnements ou des claquements... Les puissances pic étaient de l'ordre de 200 à 300 mW/cm2 et la fréquence de répétition des impulsions variait de 200 à 400 hz... Frey appelait ce phénomène acoustique 'son radio-fréquence (RF)'. La sensation apparaissait instantanément à des densités de puissance bien inférieures à celles causant des dégradations biologiques et semblait être localisée à l'intérieur ou à proximité de l'arrière de la tête. » 10

La découverte de Frey connut d'importantes déclinaisons. Dans son article « Réponse du Système Auditif Humain aux Energies Electromagnétiques Modulées », il explique: « comment des voix peuvent être émises directement dans la tête d'un individu ». D'autres domaines d'étude concernaient l'induction de crise cardiaque par un rayonnement électromagnétique. 11

Parmi les chercheurs impliqués dans Pandora, se trouve le Docteur Nazi Deitrich Beischer, qui fut récupéré lors de l'opération Paperclip et qui irradia, avec des niveaux d'énergie dangereux, 7000 marins au Laboratoire Naval de Recherches Aérospatiales de Pensacola en Floride. Beischer disparut en 1977 et son histoire professionnelle et toute trace de son existence furent expurgées.

Le chercheur espagnol Jose Delgado était lui-aussi impliqué dans Pandora. 9 En 1972, le Département aux Armées publia un rapport titré «Comportement Offensif Contrôlé – U.R.S.S. » présentant 500 études russes sur l'usage d'« Oscillations Electromagnétiques Super-haute Fréquences ». Ce rapport montrait que « les très hautes fréquences peuvent être utilisées pour modifier le comportement humain. »

«Des effets létaux et non létaux ont été démontrés. Lors de certaines expositions non-létales, des modifications précises du comportement ont été observées12

La même année le Centre de Recherches sur les Equipements Mobiles de l'Armée U.S. publia une étude titrée « Analyse des Micro-ondes en tant que Barrière de Défense ». Le rapport présentait l'utilisation d'un équipement transportable sur un camion afin de diffuser des ondes capables d'immobiliser les personnes et affirmait que dans l'état de l'art il n'existait pas d'équipement de protection contre ce dispositif. 13

A la même époque, l'ingénieur en électronique Tom Jaski conduisait des expériences mettant en oeuvre un oscillateur de faible puissance émettant dans la bande de fréquence 300-600 Mhz pour irradier les personnes. Lors d'essais répétés, les sujets étaient capables de ressentir le déplacement du rayonnement et « à des fréquences précises, les mêmes sujets dirent avoir perçu des sensations de pulsations dans le cerveau, de sonnerie dans les oreilles et une envie furieuse de mordre les expérimentateurs. » 14

Alors que les recherches sur le contrôle de l'esprit progressaient, le potentiel des micro-ondes pour influencer de manière directe et précise le comportement humain devint évident. Des technologies  permettant de projeter directement dans la tête de sujet « en aveugle » des émotions et des commandes subliminales furent développées par les gouvernements américain et soviétique. Parmi de nombreux autres projets, le Département de la Défense proposa en 1974 l'utilisation d'émissions radio permettant un contrôle par l'hypnose:

Schapitz écrivit « Dans cette enquête... il sera montré que les mots prononcés par un hypnotiseur peuvent être transportés par énergie électromagnétique directement dans la partie subconsciente du cerveau humain – i.e. sans employer aucun équipement pour la réception et la démodulation du signal et sans que la personne soumise à cette influence n'ait une chance de contrôler volontairement l'information insérée. 

La seconde expérience devait être la suggestion mentale d'actes simples, comme le fait de quitter le laboratoire pour aller acheter un article particulier, qui devaient être déclenchés par une heure donnée, des mots ou des signes. Les sujets devaient être interviewés par la suite.

Il était envisagé que les sujets arrivent à contrôler leur comportement et puissent exercer leur liberté de conscience. » 

Les résultats des expériences de Schapitz ne furent jamais rendus publics. 15

En 1978, le Docteur Andrew Michrowski écrivit que: « potentiellement pratiquement n'importe quoi pourrait être inséré dans le cerveau visé et de telles insertions seraient traitées par le système biologique comme des donnés/effets générés en interne. Des mots, des phrases, des images, des sensations et émotions pourraient être insérés et ressentis par la cible biologique comme des états, codes, émotions, idées et pensées internes. » 16

Le 20 avril 1976, un brevet fut déposé concernant un « Appareil et Méthode pour Capter et Altérer à Distance les Ondes Cérébrales ». Son inventeur était Robert G. Malech, de New York. D'après le résumé du brevet c'est « un appareil et la méthode pour détecter les ondes cérébrales à partir d'une position distante du sujet de telle manière que des signaux électromagnétiques de plusieurs fréquences sont transmises simultanément au cerveau du sujet. » Bien qu'utilisant un jargon technique le « Résumé de l'Invention » comporte des informations intéressantes pour le chercheur:

« Cette invention concerne l'appareil et la méthode pour détecter les ondes cérébrales alors que tous les composants de l'appareil sont situés à distance du sujet. Plus spécifiquement les émetteurs hautes fréquences sont utilisés pour rayonner des énergies électromagnétiques de plusieurs fréquences grâce à des antennes qui peuvent balayer la totalité du cerveau du sujet ou une région précise. Les différents signaux pénètrent le crâne de l'individu et affectent son cerveau ou ils se mélangent avec les ondes induites par l'activité électrique normale du cerveau, générant une onde d'interférence. Cette onde d'interférence est détectée par une antenne située dans une station à distance où elle est démodulée et analysée pour déterminer l'état des ondes cérébrales du sujet. En plus de détecter passivement les ondes cérébrales du sujet, l'état neurologique du sujet peut être affecté en transmettant à son cerveau un signal de compensation. Ce signal peut être issu du retraitement des ondes cérébrales précédemment reçues. » 17

Dans les années 1980 à 1983, le Corps des Marines à financé des recherches d'armes électromagnétiques dirigées par le spécialiste en ingénierie biomédicale Eldon Byrd. La part du lion de ces recherches furent conduites par l'Institut de Recherche en Radiobiologie des Forces Armées à Bethesda, Maryland. Des recherches furent réalisées sur de petits animaux et Byrd lui-même. Son intérêt se portait sur la possibilité d'influencer ou d'asservir l'activité cérébrale d'organismes vivants grâce à des ondes électromagnétiques.          

Utilisant des émissions électromagnétiques, Byrd rapporte « Nous pouvions plonger un animal dans la stupeur en les frappant de ces fréquences. Nous avions des cerveaux d'oiseau in vitro afin d'y déverser 80% des opioïdes naturellement présents. Les effets étaient non-létaux et réversibles. Vous pourriez inactiver une personne temporairement. » Il suggère que « cela aurait été comme un pistolet hypodermique ». Le programme de recherche de Byrd devait durer 4 ans mais il fut fermé au bout de 2. Byrd révèle que ce n'était pas l'échec des recherches qui en était la raison: « Le travail était vraiment de qualité. Nous aurions pu développer une arme en moins d'un an. »

Byrd suppose que ce travail ne fut pas arrêté mais qu'il fut simplement changé en un programme clandestin. Cette affirmation n'est pas excentrique sachant que plusieurs autres chercheurs dans le domaine de l'électromagnétisme rapportent les mêmes faits : leurs travaux leurs ont été retirés au moment précis ou ils commençaient à obtenir des résultats concluants.

Une revue aussi conservatrice que la Revue Internationale de la Croix Rouge a reconnu l'existence, en 1990, d'armes à rayonnement dans le domaine militaire. Les auteurs de l'article titré «Le Développement de Nouvelles Armes Antipersonnelles » affirment:

« Les effets induits dans les êtres humains par les ondes électromagnétiques ont été connus, bien qu'imparfaitement, depuis longtemps et ont donné lieu à des recherches continues. En fonction de la fréquence utilisée, du mode d'émission, de l'énergie émise et de la forme et de la durée de l'impulsion, les radiations électromagnétiques dirigées sur le corps humain peuvent produire un échauffement et causer de graves brûlures ou même changer la structure moléculaire des tissus touchés.

Les recherches dans ce domaine ont été menées dans pratiquement tous les pays développés , spécialement dans les 'grandes puissances' dans le but d'utiliser ces phénomènes pour un usage anti-matériel ou anti-personnel. Des tests ont montré que des impulsions micro-ondes puissantes pourraient être utilisées en tant qu'arme dans le but de mettre l'adversaire hors de combat   (en français dans le texte) ou même de le tuer. Il est possible aujourd'hui de générer des impulsions très puissantes (entre 150 et 3000 Mhz), avec un niveau d'énergie de plusieurs centaines de mégawatts. En utilisant des antennes spécialement adaptées, ces générateurs peuvent en théorie transmettre à plusieurs centaines de mètres assez d'énergie pour cuire un repas. Néanmoins, il est important de mentionner que des effets incapacitants peuvent être obtenus par ce type d'équipement en utilisant des niveaux d'énergie bien plus faibles. En utilisant le principe de la focalisation des ondes, qui permet de contrôler la géométrie de la cible, grâce à des systèmes d'antenne spécialement étudiés, l'énergie émise peut être concentrée sur de petites surfaces du corps humain, par exemple la base du cerveau, où une relativement faible énergie peut produire la mort. »

En 1991, l'agence de presse ITV rapporta le premier cas connu d'utilisation d'une arme subliminale sur le champ de bataille et « la véritable raison de l'attaque, semble-t-il illogique, et apparemment suicidaire, des troupes Irakiennes contre la ville désertée de Al-Khafji … 12 kilomètres au sud de la frontière koweïtienne... » D'après ITV les irakiens réussirent leur attaque destinée à détruire une station radio FM qui avait été installée à Al-Khafji par le service des opérations PSI du Département  de la Défense des U.S.A. Bien que la station semblait ouvertement diffuser de la propagande de type « Tokyo Rose », des déserteurs irakiens ont soutenu que la véritable mission de cette station était de diffuser « le nouveau type de messages subliminaux de haute technologie, dénommé 'son silencieux' ou 'subliminaux silencieux' de ultra haute fréquence. »

D'après ITV, « Bien que totalement silencieux pour l'oreille humaine, les messages négatifs ajoutés sur les bandes au-dessus du programme audible par les spécialistes des opérations PSI étaient clairement perçus par le subconscient des soldats irakiens et ces messages silencieux les démoralisaient complètement en instillant un sentiment permanent de peur dans leur esprit. » 18

En 1993 une « Méthode pour Induire des Etats Mentaux, Emotionnels et Physiques Inconscients, Incluant des Activités Mentales Spécifiques, dans l'Etre Humain » fut déposée par son inventeur, Robert A. Monroe. Feu Monroe était un pionnier de ce qui est dénommé « vision à distance », ou voyage hors du corps, et il fonda l'Institut Monroe à Charlottesville, Virginie. On considère qu'il avait des relations étroites avec la CIA. 19

Le résumé de l'invention de Monroe précise que des états de conscience spécifiques peuvent être induits « par la génération de signaux audio stéréophoniques ayant des formes d'ondes spécifiques » et que « selon l'invention, les ondes cérébrales humaines, du type EEG, sont superposées sur des signaux audio stéréo spécifiques, connus en tant que fréquences porteuses et qui sont audibles pour l'oreille humaine. »

Monroe fit évoluer son invention et déposa le brevet intitulé « Fonctionnement d'un Appareil pour Induire des Etats de Conscience Donnés », apparemment un type nouveau et amélioré de sa proposition initiale. 20

En 1982, la Revue de Biotechnologie de l'US Air Force prévenait que :

« Les champs de radiations radiofréquences (RFR) pourraient constituer une grave et révolutionnaire menace pour le personnel militaire … les expériences portant sur les RFR et la compréhension croissante du fonctionnement du cerveau comme étant un organe électrique suggèrent avec une forte probabilité que des champs électromagnétiques puissants peuvent interrompre le comportement normal et pourraient être capable de connaître et diriger les comportements.  De plus, le passage d'environ 100 milliampères à travers le myocarde peut mener à un arrêt cardiaque et la mort, ceci mettant encore en avant la fulgurance de ce type d'arme. Un système RFR permettant de balayer à grande vitesse le terrain pourrait étourdir ou tuer les troupes sur une grande étendue. »

Il y a peu de doutes qu'il existe des systèmes de contrôle des foules utilisant les radiofréquences. Le développement de ce type d'équipement viendrait en complément des armes acoustiques et à infra-rouge, qui sont bien connues et étaient publiées dans le Catalogue de la Défense Britannique jusqu'en 1983. Ceci incluait le « Valkyrie », un équipement à infra-rouge provoquant une héméralopie et le « Haut Parleur » (dans le texte « Squawk Box ») ou « Son Terrifiant » (dans le texte «Sound Curdler »), développé par les USA lors de la guerre du Vietnam. La "Haut Parleur" était étudié pour induire une sensation de vertige et la nausée. Cette arme est directionnelle, ce qui permet d'atteindre les individus de manière invisible et de répandre la détresse et la confusion dans la foule... En 1984 le Ministère de la Défense ordonna que toutes publicités et toutes références aux « armes à fréquences » soient supprimées du Catalogue de la Défense ». 21

Dès 1993, l'Institut National de la Justice (NIJ), un service du Département de la Justice, recommandait dans son « Initiative du NIJ à propos des Armes Moins Que Létales », que les services de police fédérales et locales d'Amérique utilisent des armes psychotroniques électromagnétiques et autres types d'armes de contrôle de l'esprit contre les citoyens américains qui seraient impliqués dans des troubles à l'ordre public – un terme très large incluant même les querelles familiales. Le rapport mentionnait « Des recherches seront complétées à court terme pour adapter des technologies militaires au maintien de l'ordre public… incluant les lasers, les micro-ondes et l'électromagnétisme ». Le Washington Post rapporte que « le Pentagone et le Département de la Justice se sont accordés pour partager leurs connaissances technologiques avec les agences civiles de maintien de l'ordre, y compris en ce qui concerne les « exotiques » armes non-létales. »

Cette nouvelle approche de maintien de l'ordre fut mise en scène lors d'une conférence secrète de trois jours sur les armes non létales au Laboratoire de Physique Appliquée de l'Université Johns Hopkins dans le Maryland. Le Président de la conférence était le Colonel John B. Alexander, Directeur de Projet de la défense non-létale (psychotronique) au Laboratoire National de Los Alamos. Le Procureur Général Janet Reno, des spécialistes de l'armement militaire et des représentants de la police fédérale et locale étaient conviés. Une grande variété de sujets furent couverts lors de cette conférence, y compris « les armes radio-fréquence, les technologies à micro-ondes de puissance, la synthèse vocale et les applications des champs électromagnétiques de fréquences extrêmes comme armes non-létales. »

L'US Air Force a installé des générateurs de puissance de micro-ondes sur des missiles de croisière aériens. L'objectif officiel du générateur de rayonnement est d'être un élément de la guerre électronique permettant de griller les circuits informatiques, mais ces générateurs pourraient aussi en théorie griller les fragiles composants du cerveau humain. 22

Est-ce que l'armement électromagnétique a déjà dépassé le stade expérimental pour être utilisé sur des humains ? Est-ce qu'il a déjà été utilisé sur une population innocente comme les drogues et d'autres formes de manipulation du comportement utilisées lors du programme MKULTRA ? Des milliers de personnes partout dans le monde le croient. Ils soutiennent que des armes d'assaut électronique ont été utilisées contre eux, soit pour faire des expériences, soit pour harcèlement. Le nombre incontestable de ces récits, la concordance avec ce qui a été confirmé concernant les expériences du gouvernement, et la crédibilité des personnes soutenant fermement ces témoignages amènent à croire à l'utilisation occulte de ces armes sur des civils.

Martin C. Mark est un de ceux qui affirme avoir été irradié par un rayonnement électronique. Dans une lettre ouverte M. Mack décrivit son expérience:

« Je suis un ancien chauffeur routier, maintenant en retraite. Mes problèmes ont commencé à l'automne 1987 quand j'ai loué une chambre à Seattle, Washington. Le locataire … qui était mon voisin avait des visiteurs qui essayaient de n'être pas vu de moi. J'entendais des commentaires sur mes actes, venant me semblait-il de sa chambre. D'une manière ou d'une autre ils étaient capables de me faire entendre et aussi de capter mon audition – entendre ce que j'entendais. Aussi étrange que cela paraisse, ma tête paraissait être une sorte d'antenne et je captais des choses, non pas de manière subliminale mais audible.

Ils connaissaient mes allées et venues et faisaient des commentaires. Lorsque j'étais à l'hôtel, j'entendais des paroles concernant ce que je faisais. Ils pouvaient rapporter la plupart de ce que je faisais dans cet immeuble. J'ai supposé qu'ils devaient avoir un moyen quelconque de me voir.

J'entendais des propositions de se débarrasser de moi en rapport à ce qu'ils étaient en train de faire, tel que 'le stinger va atteindre 35 pieds' et 'il y a un miroir sans tain dans le hall ', 'faisons lui tester!'.

Ceci a eu lieu avant que je sorte, et après: 'il a un microphone dans la gorge'. Bien-sûr, je n'en ai pas. Il était entendu qu'ils pouvaient capter ce que j'exprimais.Tout ceci me semblait irréel. Etant donné tout ce qui a filtré au cours de ces années je sais que ces faits sont réels, quelque soit ce que d'autres personnes peuvent en penser.

Une nuit ma colonne vertébrale devint très chaude. Cette région est sensible à la chaleur et c'est une partie du système nerveux. La chaine de réflexe qui passe dans la colonne fut excitée et mon corps fit un sursaut.

Ils pouvaient chauffer jusqu'à la douleur l'arrière de mes omoplates. L'os qui les couvre est sensible à la douleur. Ils décidèrent de me faire quitter cet endroit et y réussirent avant la fin du mois.

Il y a un moyen de rendre une personne spécifiquement sensible à certaines fréquences radio porteuses modulées et cela fut réalisé sur moi lorsque j'étais là-bas. Avant de partir, je demandais combien de temps étaient restés les deux précédents locataires de cette chambre. 'Un mois ou deux', dit le manager. Je n'étais pas blessé trop gravement après qu'ils m'aient forcé à déménager.   

A propos du contrôle du de l'esprit et du comportement: Il n'y a pas vraiment d'intérêt à stimuler une personne si vous n'avez pas une réponse audible ou visible du sujet. Ce qui est sûr c'est qu'ils m'ont entendu.

Voici comment je pense que cela est réalisé: une fréquence porteuse non modulée est émise depuis un endroit,  de préférence de fréquence basse. Elle passe dans la colonne et la tête du sujet. L'onde porteuse est modulée par l'activité électromagnétique résultant de l'audition (le discours et le discours interne de la victime). Le produit du mélange des ondes est récupéré. Je suppose que les champs parasites sont filtrés par le récepteur. Si ce qui est reçu par les assaillants leur déplait un stimulus douloureux est incorporé à la porteuse pour infliger une peine au sujet afin de forcer le contrôle du comportement et de la pensée.

Il y a encore bien plus que cela. Toutes sortes de réponses peuvent être portées dans le corps et la tête par la modulation d'une fréquence porteuse par diverses fréquence audibles et énergies: des voix et des douleurs crâniennes, des douleurs aux oreilles et autres localisation  et même des douleurs cardiaques, induisant une forme de torture et la mort. Un très fort claquement peut être infligé à l'avant de la tête. Le son peut être modulé avec des pics et causer des  chocs douloureux. Des douleurs et des piqûres aux yeux ont été causées. La torture par une un échauffement aigu est supposément due à une mise en vibration des molécules situées dans l'extrémité des récepteurs nerveux de la chaleur. Pendant qu'ils sont en train de penser à ce qu'ils font ou sont en train de lire, certaines personnes utilisent le discours intérieur ou l'expression silencieuse. La trachée  a un fonctionnement piézoélectrique et agit comme un capteur.

Le discours intérieur a été enregistré directement à partir de la gorge par des chercheurs. Il existe depuis longtemps des éléments montrant qu'ils sont capables d'intercepter le champ électromagnétique lié au discours interne. Ils ont commenté ce que je me disais intérieurement à de nombreuses reprises. Les muscles des épaules peuvent être rendus tendus et douloureux, ceux du cou aussi. Le muscle cardiaque peut être rendu douloureux. Je suis surveillé 24 heures sur 24. Mon sommeil est réduit chaque nuit. Les assaillant avaient besoin d'un cobaye pour tester leur équipement sur le terrain et ils ont largement pratiqué sur moi.. » 23

Regina Cullen, une résidente du Royaume Unis, rapporte elle aussi avoir été victime d'attaques électroniques. Elle pense qu'elle a été visée à cause d'une plainte portée contre la police locale en 1984. Après avoir subi divers type de harcèlement, comme avoir les pneus de son vélo crevés, sa voiture fracturée et avoir été molestée deux fois, elle rapporte que « une nouvelle forme de harcèlement apparue: ma maison était inhabitable à cause 'd'attaques de fréquences'. Je sais maintenant que ce sont des micro-ondes et/ou des infrasons qui transformaient ma chambre en un lieux de torture. »

Cullen rapporte qu'elle était harcelée par un «bourdonnement irrégulier » dont elle ne pouvait pas dire d'où il provenait, apparemment plus intense lorsqu'elle était étendue... Cela se répercutait principalement dans la zone juste à l'arrière des oreilles, vers l'os mastoïde qui est plein de poches d'air et cela me causait des douleurs aux yeux ainsi qu'une sensation de confusion au niveau du front et comme si on agissait dessus. »

Elle fut forcée de déménager plusieurs fois dans les années qui ont suivi. Elle dit que « parfois j'étais contrainte et forcée de quitter ma maison, où je revenais au milieu de la nuit alors que tout était calme et dix ou vingt minutes plus tard les attaques de fréquences recommençaient. »

A propos d'un de ses résidences elle dit:

 « Je pense que la source d'émission était au dessus, à moins qu'un système miniaturisé ait été utilisé dans mon propre appartement, car cela ce passait au 11ème étage. Il n'y avait pas de maison aussi haute dans les environ et l'appartement au-dessus était habité par le gérant de l'immeuble. Le jour où cela est arrivé il y avait un homme semblant dormir dans une voiture rouge parquée à moitié sur le trottoir devant l'entrée principale de l'immeuble. J'ai tout de suite eu peur de lui, mais me retint d'être paranoïaque. Deux semaines plus tard alors que je poursuivais un bus et que le regardais par dessus mon épaule, je l'ai vu se cacher derrière une camionnette pour que je ne le vois pas. »

Cullen rapporte aussi que « Précédemment, alors que j'étais retournée dans le coin nuit de mon studio, j'eu l'intuition de regarder par le judas de la porte alors que, dans le couloir, un homme en imperméable, genre détective, qui prenait garde de ne pas se faire entendre, donnait au malfaiteur une boite étrange, avec des demi-sphères en plastique orange de chaque côté. Peu après je l'ai nettement vu transporter une sorte de petite suspension en forme d'arbre de noël et il semblait irrité que je l'ai vu. »

Une fois, alors que Cullen était dans son jardin, « Quelque-chose qui m'a frappé dans la tête avec un drôle de son comme 'fzzzzzzssst' semblait venir de l'autre côté de la clôture. J'étais terrifiée et ne pouvais plus dormir. Plus ou moins une année après, alors que je me trouvais devant la fenêtre à l'avant de ma maison, avec les rideaux ouverts, le même phénomène eu lieu et ma télé afficha immédiatement de la « neige ». Cette fois le rayonnement provenait de l'autre côté du jardin et en hauteur, précisément de l'endroit ou en 1986 était apparu pendant un court instant une pinceau de lumière blanche visant la fenêtre de ma salle de bain. »

Cullen décrit deux types d'attaques électroniques:

« Les symptômes de type 1 incluent une sensation étrange que les deux hémisphères de mon cerveau se séparent, créant un espace entre les deux, comme si des parties de mon cerveau étaient réorganisées dans l'espace, comme dans les peintures cubistes. Il y a une légère impression de boursouflure du visage, un écrasement du nez et de perte des contours. »

Les symptômes de type 2 incluent la sensation que « je ne pouvais pratiquement pas respirer et avais l'impression d'être dans un four. Chaque respiration était comme respirer l'air brûlant du désert, accompagné des habituels mots de tête et d'une grande lassitude, les yeux douloureux et fatigués, de la fatigue, une peau chaude brûlante, de douleurs cicatricielles et un sentiment accablant   d'oppression, de mal et d'inutilité. » 24

D'autre cas significatifs d'attaques électroniques ont été rapportés par des victimes supposées de harcèlement de l'esprit qui ont vu des équipements suspects dans l'environnement de leur habitation. Plusieurs de ces récits ont été recensés par l'Association des Anciens de la Sécurité Nationale dans le cadre de leur Projet de Surveillance Electronique, dans le but de documenter et faire connaître les cas d'abus de contrôle de l'esprit aux USA.

Une des femmes étudiées par le Projet de Surveillance Électronique rapporte qu'elle avait discuté avec son voisin, qui prétendait être un officier de renseignement militaire employé dans une entreprise de technologie spatiale, et être  actuellement chargé d'un travail d'une année dans leur immeuble. Il fut par la suite trouvé que cette personne n'était pas un personnel militaire. Lorsque ce prétendu officier de renseignement militaire déménagea, sa voisine se rendit dans l'appartement et y trouva un équipement de la taille d'un four à micro-ondes et constata que le mur donnant sur son appartement avait été « creusé ».

Une autre supposée victime de harcèlement par contrôle de l'esprit regarda par le fenêtre de l'appartement de son voisin pour y voir une boîte grise de 30 cm par 1mètre 50. Une lentille noire  pointait dans la direction de son appartement. D'après le témoin, le boite était manipulée par un homme en costume trois pièces qui sembla saisit lorsqu'il constata qu'il était observé. » 25

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