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Mouscron: un OVNI dans le ciel? (vidéo)
Mouscron: un OVNI dans le ciel? (vidéo)
Ils sont plusieurs Mouscronnois à se poser sérieusement la question : était-ce un ovni ce mercredi soir dans le ciel de Mouscron (Belgique) ? En tous les cas, certains ont tourné une vidéo et veulent y croire. L’objet s’est déplacé de façon horizontale vers la lune puis a pris une trajectoire verticale du haut vers le bas.
« Je ne sais pas ce que c'était. Ce point se déplaçait dans le ciel de manière horizontale", explique Vanessa Debay qui a filmé ce qu'il s'est passé. "Nous étions plusieurs dans la rue du Panorama à l'avoir vu. Nous avons vu ce phénomène trois fois de suite entre 21h30 et 23h."
Ce n’est évidemment pas la première fois qu’une vidéo du genre circule et donne lieu à tout une série de théories à moitié scientifique... Ou pas !
Yves Herbo-SFH-07-2013
Des filaments de provenance aérienne collectés en France
Des filaments de provenance aérienne collectés en France
Un communiqué de presse émanant de l'acseipica (Association Citoyenne pour le Suivi, l'Étude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques) nous délivre un rapport d'analyse sur des filaments de provenance aérienne collectés en france.
Des filaments atmosphériques aéroportés, collectés au sol aux quatre coins de la France en fin d'année 2012 par de simples citoyens, ont été confiés à AnAlytikA (Centre Indépendant d'Investigations et d'Expetises en Chimie Organique, situé à Cuers, Var, France).
Le rapport analytique publié récemment par AnAlytikA apporte les preuves scientifiques de l'origine anthropique de ces filaments. Parmi les nombreux composants organiques détectés figurent plusieurs molécules connues pour entrer dans la composition des carburants et lubrifiants de réacteurs d'aviation, y compris plusieurs « phtalates » perturbateurs endocriniens.
Bernard Tailliez, Fondateur et Directeur Scientifique d'AnAlytikA, se déclare préoccupé car ses investigations révèlent l'existence d'une nouvelle forme de pollution atmosphérique, directement imputable au trafic aérien. La communauté scientifique et les autorités compétentes - maintenant alertées - doivent rapidement approfondir leur connaissance de l'origine et des conséquences, sanitaires et climatiques, de cette nouvelle forme de pollution atmosphérique, et publier leurs conclusions, puisque :
« L'obligation de subir donne le droit de savoir » (Jean Rostand).
AnAlytikA remercie l'association ACSEIPICA et les citoyennes ayant participé à la collecte des échantillons et au financement des investigations : sans un tel engagement citoyen la problématique en question n'aurait jamais éveillé l'attention des autorités.
(*Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques )
Atmospheric airborne filaments, collected on the ground from several places in France during the end of year 2012 by simple citizens, have been submitted to AnAlytikA (Independent Center for Investigations and Appraisals in Organic Chemistry, located in Cuers, Var, France).
The analytical report recently published by AnAlytikA gives the scientific evidences of the anthropic origin of these filaments.
Among many organic components detected, several molecules are known to be present in fuels and lubricants of aviation reactors, including several endocrin disrupting "phtalates".
Bernard Tailliez, Founder and Scientific Director of AnAlytikA is concerned that his investigations reveal a new form of atmospheric pollution, directly induced by air traffic.
The scientific community and relevant authorities -now alerted- must quickly improve their knowledge of the origin and consequences, on health and on climate, of this new form of atmospheric pollution.
And publish their findings, since : "The obligation to suffer gives us the right to know" (Jean Rostand).
AnAlytikA wish to thank ACSEIPICA and the citizens who participated in collecting samples and financing investigations : without such citizen engagement the issue in question would never have attracted the attention of the authorities.
via http://www.2012un-nouveau-paradigme.com
Yves Herbo-SFH-07-2013
Cobayes humains : ne jamais oublier la réalité
Cobayes humains : ne jamais oublier la réalité
Cet assez vieil article de Science et Vie par Alexandre Dorozynski et Petra Cambell, (Science & Vie n° 917, février 1994) est précieux pour la mémoire de l'humanité : nous sommes au 21ième siècle et les mensonges, censures et soi-disants "Secrets d'Etats pour le bien du peuple" de la plupart des grandes nations se réclamant "de la démocratie"se révèlent de plus en plus. Les plus intelligents se renseignent et s'aperçoivent qu'il n'y a jamais eu vraiment de démocratie dans ce monde : c'est une utopie que même les anciens grecs n'ont pu mettre en oeuvre. Pourquoi ? Parce qu'une démocratie consiste à ce que les citoyens exercent réellement le pouvoir, en travaillant tous réellement pour leur nation (tous les citoyens sont fonctionnaires en quelque sorte et effectuent un travail pour le compte de la communauté, à TOUS les niveaux, plusieurs jours par mois) et surtout, il n'y a surtout pas de système électoral, mais un tirage au sort entre tous les citoyens en âge d'être président. Les citoyens apprennent a contrôler et faire tourner les rouages de la société et les postes sont échangés régulièrement pour éviter toute corruption ou prise de pouvoir par un ou plusieurs individus. Voilà ce qu'on nomme une vrai démocratie, telle que définie politiquement (avant le détournement de l'appellation par des... politiques) depuis les anciens grecs. Ce qui existe dans le monde depuis les révolutions républicaines européennes n'a jamais été des démocraties, mais des olligarchies, qui consistent à laisser une élite (aristocratique bien souvent et noble ou ayant ses propres régles (fonctionnaires actuels par exemple ou parti politique, ou secte)) se disputer le pouvoir et élire l'une de ces élites (qui n'a souvent pas conscience de la réalité des vies des "vrais" citoyens). Les révolutions ont été trahies dès le début et les citoyens n'ont jamais récupéré le pouvoir en réalité : il serait temps que le monde s'en rende compte...
Ces essais nucléaires sur leurs propres troupes par des sociétés dites "démocraties" ou "communistes" sont une preuve en soi de la réalité des mensonges perpétuels de la part de la classe dirigeante, car il s'agit bien d'une classe qui tient à son pouvoir (et qui a joué d'ailleurs elle-même avec les médias pour affirmer que "la lutte des classes est révolue et dépassée, il n'y a plus de classes..."), mais la réalité est bien là et elle éclate de plus en plus au visage de ces peuples nommés "mouton" par un grand défendeur de l'élitisme inégalitaire (et pour cause, un militaire !), le général De Gaulle... cet homme qui a trahi la confiance d'une partie de ses citoyens (les français habitant depuis les années 1880 en Algérie) contre des négociations secrètes pour le gaz algérien et des essais nucléaires dans le désert algérien (j'ai découvert dans l'archivage de vieilles affaires à l'époque que mon ancienne entreprise Sodeteg/Thales avait bien participé a ces essais dans les années 70 en Algérie), qui a accompagné (sans succès) la tentative de colonisation du Viet-Nam et qui a aussi tenté (aussi en vain) de lutter contre la main-mise des banquiers illuminatis sur le pouvoir économique mondial...
Le scandale des cobayes humains
Entre 1946 et 1991, les grandes puissances ont sciemment exposé des centaines de milliers d'humains aux retombées radioactives de plusieurs de leurs 2 000 essais nucléaires. Le voile vient seulement d'être levé sur ce chapitre atroce de la guerre froide.
En septembre 1954, l'armée soviétique exposa sciemment des civils et des militaires aux retombées d'une bombe atomique de 20 kilotonnes, explosée à 350 m au-dessus de la ville de Totskoye, dans l'Oural. Nous l'avons rapporté dans notre précédent numéro (p. 16). Depuis, de nouveaux chiffres ont été révélés: outre les 45 000 soldats qui furent exposés - quand les généraux décidèrent de leur imposer des exercices militaires sur les terrains encore brûlants de radioactivité -, il y avait aussi des civils: un million de personnes environ, réparties dans un rayon de 160 km autour du site de l'expérience. En effet, Kouibichtchev (aujourd'hui Samara), alors peuplée de 800 000 habitants, se trouve à 130 km à l'ouest du site et Orenbourg, 265 000 habitants, à 160 km à l'est.
Un film, tourné par les services de l'Armée rouge, témoigne de la véracité des faits. Tandis que les cameramen commencent à filmer, un commentateur explique que l'objectif de l'exercice est de savoir si les troupes seront capables de combattre dans une zone sous bombardement atomique. Les soldats, pour la plupart de jeunes recrues, des milliers de véhicules, des centaines de canons et de tanks, sont à proximité du point zéro. A une quinzaine de kilomètres de là, prudents, des généraux soviétiques, des membres du ministère de la Défense et quelques invités des pays de l'Est sont bien à l'abri dans un poste de commandement. Parmi eux, le maréchal Georgi Joukov, héros de la Seconde Guerre mondiale, qui dirige l'exercice.
Le champignon atomique se forma quasiment à la verticale des troupes. Après la dispersion des ondes de choc, les soldats sortirent de leurs abris ou tranchées et s'élancèrent dans la fournaise radioactive à l'assaut d'une cible imaginaire. Dans le film, on les voit courir entre les maisons en flammes, parmi des animaux brûlés par la chaleur et les radiations et le matériel militaire calciné.
Ce n'est pas le seul chapitre de l'expérimentation sur des êtres humains dans l'histoire du xxème siècle, ni même dans celle de la guerre froide: les dossiers du KGB, récemment entrouverts, montrent que dans l'ancienne URSS, des centaines de milliers d'individus ont été eux aussi exposés aux radiations, à leur insu mais en pleine connaissance de cause des responsables. Cela s'est produit surtout au Kazakhstan, comme on va le voir, mais aussi en Nouvelle-Zemble, en Sibérie, dans l'Oural... L'inventaire des victimes sera probablement impossible à dresser. Mais l'institut médical de Semipalatinsk, au Kazakhstan oriental, contient une collection de foetus et d'enfants nouveau-nés conservés dans des bocaux de verre. Ce véritable catalogue de malformations provient de la maternité de l'hôpital voisin, situé à 165 km de ce que l'on appelle "le polygone": 18 500 km2 de steppe où les explosions atomiques se sont succédé pendant plus de quarante ans.
La Kazakhstan tient donc la vedette dans la géographie de l'horreur. Des dizaines de milliers de vies y furent sacrifiées par les dirigeants soviétiques, pour préparer leur "grand coup" contre le capitalisme. C'est dans cette république que la première bombe soviétique explosa le 29 août 1949, donnant naissance à un nuage radioactif qui dériva vers l'est, jusqu'aux montagnes de l'Altaï. Depuis, ce pays devint la terre de prédilection des militaires soviétiques.
Aujourd'hui, le Kazakhstan est peuplé d'environ 17 millions d'habitants (40 % de Kazakhs, 40 % de Russes, et 20 % appartenant à 130 ethnies différentes). Avec 2,7 millions de kilomètres, sa surface équivaut à celle d'environ cinq France. Un quart du territoire kazakh est occupé par les terrains d'essais et des usines militaires. On y a fait exploser 466 bombes atomiques: 26 au sol, 90 en altitude et après la signature en 1963 du traité de limitation des essais nucléaires, 350 sous terre. Le tout dans des conditions qui ont conféré à ce pays le triste record mondial de contamination nucléaire. Ainsi, les explosions au sol ont dispersé des poussières radioactives sur 800 villages jusqu'à plus de 100 km du site - Semipalatinsk a reçu des retombées à 90 reprises, 11 des 90 explosions dans l'atmosphère ont projeté des nuages radioactifs à des milliers de kilomètres. Un tiers environ des explosions souterraines ont projeté débris et poussières radioactives dans l'atmosphère, et, à 30 reprises, la contamination atteignit des régions peuplées.
Les scientifiques parlent enfin librement. Et l'on commence à mesurer la catastrophe infligée à ce pays. Lors de ces essais, militaires et civils continuèrent à être exposés aux radiations. Le Dr Gusuv, qui dirige aujourd'hui l'institut de radiation et d'écologie du ministère de la Santé du Kazakhstan, se souvient de l'essai, en 1953, de la première bombe à hydrogène mise au point par le physicien Andreï Sakharov. 14 000 personnes, rapporte-t-il, furent exposées aux retombées. L'armée fit évacuer 191 habitants du village de Karaoul à 120 km de l'épicentre, mais y laissa 49 hommes adultes auxquels elle ordonna de rester dehors. On fit boire à la moitié d'entre eux de la vodka, dont on pensait qu'elle avait des vertus radioprotectrices. Par la suite, on fit des examens de sang et de tissus des victimes irradiées. Seuls trois hommes survécurent. Des survivants d'autres villages témoignent qu'on leur ordonnait de rester en dehors de leurs maisons pendant les essais atomiques, parfois sous le prétexte que les maisons risquaient de s'écrouler...
Le géologue Evgeni Alexandrovitch, employé pendant neuf ans au polygone, se trouvait dans la cabine d'un camion lorsqu'une explosion atomique se produisit à 70 km de là. " Nous voyions le champignon atomique, et le vent soufflait dans notre direction ", dit-il Protégé par la cabine, il fut le seul survivant. Par la suite, il dut creuser, sans même la protection d'un masque, sur le site d'une explosion souterraine pour y récupérer des roches contaminées. Il est aujourd'hui atteint d'un cancer.
Or, ce n'était pas la seule guerre froide qui motivait cette cruauté, mais aussi des projets "pacifiques" mégalomaniaques. En 1974, une bombe de 140 kt fut ainsi mise à feu à 100 m sous le lit de la rivière Tchagan, pour relier celle-ci à la rivière voisine d'Achys, afin d'améliorer l'irrigation de la région. Au lieu de creuser un cratère de retenue, où l'on pensait édifier un barrage, la bombe projeta dans l'air des tonnes de roches et de poussières radioactives dont les retombées furent équivalentes à celles d'un essai au sol, soit de 3 000 à 4000 fois supérieures à la norme internationale.
On n'en resta pas là : on fit exploser d'autres bombes atomiques sous terre pour creuser des cratères utilisés ensuite comme poubelles pour les déchets nucléaires. Trente-sept cratères ont été dénombrés, dont dix-sept non loin de la mer Caspienne. En 1989, les autorités militaires du polygone apprirent au gouvernement du Kazakhstan qu'un nuage radioactif de 10 km de diamètre avait été dégagé par un essai souterrain. Les Nations unies s'en inquiétèrent et demandèrent une enquête... qui fut menée par les autorités soviétiques. Conclusion : tout allait bien. Les maladies qui avaient été signalées étaient sans doute dues à la "radiophobie" - peur irraisonnée des radiations -, à l'alcoolisme, à une mauvaise alimentation et à une pollution chimique.
Quelles furent les réactions ? Nursultan Nazarbaïev, président du Kazakhstan, alors Premier ministre de la République soviétique du Kazakhstan, ne pouvait interdire les essais (dont Moscou n'ignorait pas les risques, puisqu'il avait offert une compensation de 500 millions de roubles.) Mais il encouragea la création d'un mouvement antinucléaire, nommé Nevada-Semipalatinsk, dont Oljas Suleimanov écrivain populaire et homme politique prit la direction. Nommé premier secrétaire du parti communiste du Kazakhstan en 1989, Nazarbaïev continua à s'opposer aux essais atomiques, au point d'être réprimandé par Gorbatchev lui-même pour avoir mis en cause un programme important. Ce ne fut qu'en 1991 que Nazarbaïev put signer le décret de fermeture du polygone, et il se plaît à souligner que son pays fut le premier, avant les Etats Unis, la Russie ou la France, à fermer définitivement un site d'essais nucléaires.
Les rapports sur la contamination nucléaire du Kazakhstan, même partiels et contradictoires, confirment qu'une vaste région de ce pays est contaminée. Elle a subi une irradiation d'un niveau comparable à celui de Tchernobyl pendant quarante ans.
Cela n'est certes pas "de la vieille histoire" : les conséquences sont présentes. Les reflets les plus sûrs de l'état de santé d'une population sont la mortalité infantile et l'espérance de vie. Or, selon le Dr Gusuv, le taux de mortalité infantile dans les environs de cette ville est dix fois plus élevé qu'avant les essais atmosphériques. Et, selon Rizatay Aytmagenbetov, radiologue en chef au ministère de la Santé, l'espérance de vie dans la région du polygone est abrégée de quinze ans par rapport au reste du pays. Le Dr Gusuv fait encore état d'une augmentation importante du nombre d'avortements spontanés, de cas d'anémie et d'anomalies chromosomiques. Pour le Pr Vyatcheslav Tcherenkov, directeur du service de cancérologie de l'institut médical de Semipalatinsk, le taux de cancers du colon et du rectum a triplé depuis dix ans, celui de cancers de l'ovaire a été multiplié par sept, celui de cancers du sein a doublé.
L'épisode de Totskoye reste certes le plus atrocement spectaculaire qu'on connaisse (à ce jour) de la guerre froide, où les grandes puissances poursuivaient leur course effrénée aux armements et où - on le reconnaît aujourd'hui - l'on foula aux pieds les considérations morales. Il suffirait à la condamnation sans recours d'un régime politique. Mais, stupeur, aux Etats-Unis, des enquêtes commencent à révéler des faits aussi choquants, enfouis dans quelque 32 millions de pages de documents encore classés secrets.
MENSONGES sur LES ESSAIS
La fameuse guerre froide ne fut pas si froide : plus de 2 000 bombes y ont été mises à feu ! Près d'un millier de tirs américains, à peu près autant de tirs soviétiques, de 180 à 200 français, quelques dizaines d'essais britanniques (en Australie et au Nevada), à peu près autant en Chine (desquels on ne sait quasiment rien).
Les mensonges se dissipent lentement. Le secrétaire d'Etat à l'Energie américain, Hazel O'Leary, a révélé que son pays a fait, en quarante-cinq ans, 204 essais nucléaires secrets (le dernier en avril 1990) et mené des expériences sur quelque 700 "cobayes humains". Ces essais ont requis 98 tonnes de plutonium et ont laissé un héritage qui risque de coûter cher au Departement of Energy (DOE), successeur de l'Atomic Energy Commission: 33,5 t de plutonium, dispersées dans diverses "Poubelles" nucléaires dont certaines ne correspondent pas aux normes de sécurité. Au sommet de la liste des sites suspects se trouvent les sites d'essais d'armes nucléaires, qui couvrent quelque 10 000 Km2 dans treize Etats. A Hanford (Etat de Washington), on a jeté tellement de déchets nucléaires que personne ne sait exactement ce que contiennent les réservoirs.
Thomas Grumbly sous-secrétaire du DOE, responsable de la restauration de l'environnement et de la gestion des déchets, a déclaré à notre confrère Newsweek que le nettoyage de toutes ces poubelles coûterait plus de 300 milliards de dollars, mais qu'il faut néanmoins lever le sceau du secret et se mettre à la tâche, car les sous-produits de l'obsession nucléaire du temps de la guerre froide " représentent le plus grand risque pour l'environnement et la santé de la nation ".
Quant à la France, rappelons que, comme la Chine, elle n'a pas signé le traité de Moscou interdisant les tirs aériens. Ce n'est qu'en avril 1992 que Pierre Bérégovoy, alors Premier ministre, annonçait la suspension des essais nucléaires pour un an.
la France a officiellement effectué Près de 200 tirs.
Mais quels en sont les effets sur les Polynésiens ? Secret Défense.
Le secrétaire d'Etat à l'Energie, Hazel 0'Leary, a révélé en effet qu'en plus d'avoir dissimulé à l'opinion nationale et internationale 204 tirs nucléaires, les autorités américaines avaient mené des expériences sur quelque 700 "cobayes humains" et exposé des milliers de personnes à des retombées radioactives, quoique de moindre intensité que celles reçues par des milliers de Soviétiques.
Pour mémoire, le premier essai américain eut lieu au Nevada, à 100 km de Las Vegas, le 16 juillet 1945. Son succès mena à l'utilisation de deux bombes atomiques d'une puissance équivalente à 20 kt de TNT contre le Japon: Hiroshima le 6 août 1945 et Nagasaki trois jours plus tard. A la fin de la guerre, deux des îles Marshall, placées sous tutelle américaine, furent choisies pour les essais américains: le fameux atoll de Bikini et Eniwetok. Les habitants furent évacués vers des îles voisines, et les essais commencèrent avec un tir de 20 Mt le 1er juillet 1946. Le 24 juillet suivant fut marqué par l'échec d'une conférence internationale sur le contrôle des armes nucléaires. Deux jours plus tard, à Bikini, une bombe de 50 Mt explosait sous l'eau, détruisant plusieurs navires vides. Un documentaire de Robert Stone, Operation Crossroads, montre les marins de l'US Navy montant à bord des navires qui n'ont pas coulé, dans le crépitement des compteurs Geiger. Le narrateur a survécu à l'opération, mais en bien piteux état: il a perdu ses deux jambes, amputées après qu'elles ont gonflé démesurément, et son bras gauche fut atteint de la même "mystérieuse" maladie, dont il est mort.
Les essais aux îles Marshall furent poursuivis jusqu'en 1958; ils furent suivis d'une décontamination partielle dans les années soixante. Mais, après un début de réoccupation de Bikini, la radiation resta trop forte pour y vivre en permanence, et l'île fut de nouveau évacuée à la fin des années soixante-dix.
Les effets de la nouvelle "arme absolue" étaient théoriquement mal connus: telle est aujourd'hui la grande excuse de ces expériences. Mais l'assertion laisse sceptique : si l'on ne connaissait pas ces effets aussi bien qu'aujourd'hui, on les savait nocifs. Ainsi, dès 1895, Becquerel avait noté que le radium provoquait une dermite. En 1928, déjà, les radiologues, alertés par le fait que tant des leurs mouraient des effets des radiations, avaient fondé la Commission internationale pour la protection contre les radiations ionisantes. Et plaider l'ignorance sied mal en tout cas aux autorités américaines: quand, en 1942, Fermi construisit à Chicago le premier réacteur nucléaire, celui dont sortit donc la bombe, on se soucia d'emblée de la protection des chercheurs; ce fut l'année où fut fondé le groupe de radioprotection Health Physics, qui essaima des équipes dans d'autres centres de recherche atomique. On s'équipa donc à Chicago, puis, en 1943, à Oakridge, de dosimètres et autres appareils de mesure, ainsi que d'écrans, Néanmoins, sur le reste du territoire, militaires et scientifiques américains se livrèrent à des expériences sur des cobayes humains.
Ainsi, dans les années quarante, on administra à plus de 700 femmes enceintes, venues dans un service de soins gratuits de l'université Vanderbilt (Tennessee), des pilules radioactives exposant les foetus à des radiations trente fois supérieures à la normale, ce qui n'était pas considéré comme dangereux à l'époque. Tous les enfants ne furent pas suivis après leur naissance, mais on sait que trois d'entre eux moururent de cancers, deux à l'âge de 11 ans et un à 5 ans. Dans le Massachusetts, on servit à des enfants handicapés mentaux de la nourriture contenant des éléments radioactifs.
Selon un autre rapport, une contamination radioactive de l'atmosphère fut délibérément provoquée lors d'essais secrets au Nouveau Mexique, au Tennessee et dans l'Utah, entre 1948 et 1952. Ces expériences faisaient partie des "recherches sur la radioprotection", car on craignait que les Soviétiques missent au point une arme spécifiquement radiologique. Dans certains cas, on libéra dans l'atmosphère des radionucléides (isotopes radioactifs produits par une explosion) déterminés, pour en suivre le cheminement. Ainsi, les chercheurs du centre nucléaire de Hanford, à Richland (Etat de Washington), lâchèrent un nuage d'iode-131 contenant plusieurs centaines de fois la radioactivité libérée, en 1979, lors de l'accident de la centrale de Three Mile Island en Pennsylvanie. L'iode radioactif peut s'accumuler dans la thyroïde et y provoquer un cancer (comme ce fut le cas chez de nombreux enfants à la suite de l'accident de Tchernobyl). Ce nuage-là se répandit jusqu'en Oregon et en Californie.
Et cela dura. En 1963 (là, on était pourtant édifié sur les effets de la radioactivité !), 131 détenus de prisons d'Etat de l'Oregon et de Washington se portèrent "volontaires", en échange d'un dédommagement de 200 dollars chacun, pour recevoir de fortes doses de rayons X (jusqu'à 600 röntgens) aux testicules. On put ainsi constater qu'une dose de 15 röntgens ou plus entraînait une stérilité transitoire, mais que la production de sperme reprenait après l'interruption de l'irradiation. Certains de ces détenus furent observés pendant plusieurs années, sans qu'on pût confirmer chez eux l'apparition de cancers résultant de l'irradiation. Après l'expérience, les détenus de l'Oregon furent vasectomisés pour éviter qu'ils n'engendrent des enfants atteints de mutations.
Une autre expérience a consisté à injecter à des patients hospitalisés de petites doses de plutonium afin d'en suivre le devenir dans l'organisme. Une grande partie de ces patients étaient gravement malades et on ne s'attendait pas à ce qu'ils vivent longtemps, mais certains survécurent pour raconter leur histoire. Ainsi, un ouvrier qui s'était blessé à la jambe y reçut une injection de plutonium 239. Trois jours plus tard, la jambe fut coupée et emportée par des chercheurs. L'homme survécut quarante-quatre ans.
Nous décernerons-nous, en France des satisfecit puisqu'il n'existe pas de témoignages comparables ? Ce serait peut-être hâtif. La France, troisième puissance nucléaire, a enregistré près de 200 tirs (officiels, car le nombre exact relève du secret Défense). Alors que les Etats-Unis reconnaissent la contamination des îles Marshall et lèvent le voile du secret sur les expériences biologiques, et que les Russes ouvrent les archives du KGB, en France on ne sait rien, même des effets sur les humains. Michel Daëron, journaliste et cinéaste, a réalisé pour La Sept-Arte-Point du Jour un documentaire intitulé Mururoa, le Grand Secret, où il tente d'évaluer les conséquences de trente-deux ans d'essais français dans le Pacifique. Manque de données, mutisme des militaires qui sont pratiquement la seule source d'informations "officielles", limites imposées aux missions scientifiques indépendantes, projettent une image trouble. Daëron a interrogé des sages femmes, qui évoquent " une flambée de malformations ". Son film montre deux abris atomiques; celui pour la population est une bâtisse en tôles, alors que celui pour les militaires est doté de murs épais d'un mètre...
Pourquoi, demande-t-il, les causes de mortalité à Tahiti disparaissent-elles, dès 1963, à la fois des tables de l'Organisation mondiale de la santé et aussi du Journal officiel où elles étaient régulièrement publiées ? Combien de cancers sont dûs aux expériences nucléaires ? Combien de malformations chez les nouveaux nés, d'accidents de contamination ? Il ne peut répondre à ces questions, et cela même justifie qu'elles soient sérieusement posées...
Alexandre Dorozynski et Petra Cambell
Bon, n'oublions pas tout de même que la France a avoué avoir joué au "terroriste" elle-même en tentant de faire sauter un bateau de Greenpeace qui s'intéressait à ses essais nucléaires... quelle "démocratie", en effet...
Yves Herbo-SFH-07-2013
Des archéologues ont retrouvé le palais du roi David en Israël
Des archéologues ont retrouvé le palais du roi David en Israël ?
Après plusieurs années de fouilles, des archéologues israéliens ont découvert les restes du palais du roi David, datant du Xe siècle avant J-C. Une trouvaille qui apporte de nombreuses réponses sur cette époque décrite dans la Bible. Les archéologues de l'université Hébraïque et de l'Autorité des Antiquités Israéliennes viennent d'excaver, après 7 ans de fouilles, les restes du palais du roi David dans la cité de Khirbet Qeiyafa, en Israël. Cette ville fortifiée a été identifiée comme la cité de Shaarayim décrite dans la Bible, au Xe siècle avant J-C, à l'époque du roi David, deuxième roi d'Israël.
Les fouilles ont mis en évidence deux bâtiments, l'un étant le palais royal, l'autre un entrepôt servant à stocker les produits des impôts royaux. Les professeurs Yossi Garfinkel et Sa'ar Ganor déclarent dans un communiqué que " Khirbet Qeiyafa est le meilleur exemple en date de l'existence de cités fortifiées sous le règne du roi David. "
Des centaines d'amphores portant le sceau du royaume
Le palais devait mesurer près de 1.000 mètres carrés et était entouré d'un mur de 30 mètres de long. Situé au sommet d'une colline et entouré d'une ville où l'on a retrouvé des restes de poteries et d'industrie métallurgique, il offrait une vue idéale sur la Méditerranée à l'ouest et Jérusalem à l'est. " Malheureusement, la majorité des fondations a été détruite 1.400 ans plus tard avec la construction d'une ferme fortifiée par dessus le site. " Le deuxième bâtiment révélé mesure 15 mètres de long pour 6 mètres de large, et servait d'entrepôt administratif. Y étaient stockés les impôts sous forme de produits agricoles, collectés dans les villages du royaume. Selon les chercheurs, " des centaines d'amphores portant le sceau officiel du royaume de Judas ont été trouvées ".
Le roi David, personnage biblique célèbre pour son combat contre le géant Goliath, a vécu en Israël entre 1040 et 970 avant J-C. On lui attribue de nombreuses qualités : grand guerrier, musicien, poète, prophète. Son mythe et son histoire ont inspiré pendant des siècles de nombreux artistes et écrivains : on peut notamment citer la statue de David par Michel-Ange, chef d’œuvre de la Renaissance.
Une "preuve irréfutable de l'existence du royaume"
Le règne du roi David a été marqué par une expansion économique importante, de nombreuses constructions et une centralisation administrative. " C'est une preuve irréfutable de l'existence du royaume ", soulignent les archéologues. " Khirbet Qeiyafa a probablement été détruite dans une des batailles contre les Philistins aux alentours de 980 avant J-C. Le palais et la cité qui l'entoure nous aideront à mieux comprendre les débuts du royaume de Judas. " La construction aux alentours de nouveaux quartiers a été annulée suite à la demande conjointe de l'Autorité des Antiquités Israéliennes et de l'Autorité de la Nature et des Parcs. Le site, une fois nettoyé et aménagé, devrait vite attirer de nombreux visiteurs intéressés par la culture et le fonctionnement de cette époque biblique. (crédits photo : Orientalizing - Flickr)
par Lionel Huot : http://www.maxisciences.com/palais/des-archeologues-ont-retrouve-le-palais-du-roi-david-en-israel_art30265.html
Gentside Découvertes
" Avec cette découverte au potentiel retentissant, le scepticisme sera sans doute important, que ce soit pour des raisons politiques ou intellectuelles. Pourtant, il existe beaucoup de bonnes raisons d'identifier la découverte de Mazar, au moins provisoirement, comme étant le palais décrit dans le livre de Samuel. Ces raisons méritent d'être entendues.
Selon les preuves archéologiques, Jérusalem a été fondée durant deux millénaires, avant que David ne soit arrivé sur la scène, 1000 ans environ avant Jésus-Christ. En raison de sa topographie unique sur une haute colline nichée entre deux vallées profondes qui convergent en son point méridional, bénie par deux abondantes sources d’eau et exposée aux attaques le long d'une arête nord uniquement, l'endroit s’avérait idéal pour y établir la capitale d'un royaume.
Par conséquent, David n'a pas détruit la ville quand il l'a conquise en se battant contre les Jébusiens (NDT: une tribu cananéenne), mais l'a plutôt investie. L'apport le plus notable fut le palais construit par le roi de Phénicie, Hiram de Tyr, en guise de cadeau d’amitié.
Se basant sur le compte rendu biblique, couplée aux indices textuels quant à la topographie et à des résultats précédemment édités par Kathleen Kenyon, Mazar a formulé son hypothèse sur l'emplacement du palais dans un article paru en 1997 dans la revue Biblical Archaeology Review.
« Si quelqu’un considère cette hypothèse comme trop spéculative, je me dois de la mettre en avant dans cet article », écrivait-elle. Sa réponse était la suivante : « Mettons-la à l'essai de la même manière que les archéologues vérifient leurs théories : par des fouilles ». Début 2005, avec l'appui du Centre Shalem, basé à Jérusamen, la Fondation de la Ville de David et l’Université hébraïque, Mazar a alors réalisé son but.
La preuve qu'elle a découverte est remarquable: une section d'un mur massif, qui court sur environ 30 mètres d'ouest en est avant de faire un angle droit vers le sud, implique l'existence d'un bâtiment de très grande dimension. D'autres résultats incluent des tessons de poterie, découverts dans le mastic des murs entre les pierres, qui ont été datés au 11ème siècle avant Jésus-Christ, date probablement la plus ancienne de la construction.
De plus, le bâtiment est placé directement sur le lit de la roche, le long de la façade nord de la ville, sans aucune couche archéologique sous-terraine. Ceci implique que la structure, établie deux millénaires après la fondation de la ville, constituait une nouvelle expansion vers le nord des limites de la ville, ainsi que cela est décrit dans les textes bibliques. On le situe à ce qui était alors le sommet même de la montagne, un endroit raisonnable pour le palais duquel il est dit que David est descendu - 2 Samuel 5:17.
En outre, Mazar a découvert un remarquable bulla d'argile (NDT: ornement, servant ici également de sceau à cacheter), portant le nom de Yehuchal Ben Shelemiah, prince de Judée du temps du Roi Sédécias, mentionné dans Jeremie 37:3. Cette preuve suggère que quatre siècles après David, l'emplacement était toujours un siège important de la royauté de Judée. Ceci concorde avec la description biblique de l’utilisation en continu du palais, de sa construction jusqu'à la destruction de la Judée par les Babyloniens, en 586 avant Jésus-Christ.
Ces preuves semblent confirmer de manière étonnante la théorie de Mazar selon laquelle ce lieu pourrait être palais de David. L'endroit, la taille, le type et l'âge du bâtiment coïncident entièrement avec la description des textes bibliques. D'ailleurs, aucune autre découverte ne vient infirmer cette hypothèse, comme les statuettes idolâtres ou le crematorium rituel trouvés dans les fouilles contemporaines de l'époque phénicienne. De plus, le bâtiment s'inscrit dans une époque antique où de telles constructions étaient extrêmement rares, ce qui nécessitait d'importants travaux publics. " par David Hazony, rédacteur-en-chef du magazine Azure
La découverte a été faite sur le site de l’ancienne ville de Khirbet Qeiyafa, qui est situé au sud-ouest de Jérusalem entre Bet Shemesh et la vallée d’Ellah. Cette ville a été créée il y a une trentaine de siècles. Khirbet Qeiyafa est situé sur un emplacement stratégique dans le royaume biblique de Judée car sur la route principale reliant la plaine côtière et Hévron.
Les archéologues ont mis a jour, à 200 mètres du mur de la ville, deux portes, un bâtiment orné de piliers et 10 maisons. Les archéologue pensent que cet endroit est l’emplacement ou a eu lieu la bataille entre David et Goliath.
professeur yosef garfinkel
Selon l’Autorité des Antiquités, les fouilles de Khirbet Qeiyafa ont permis de déterrer une ville de Judée bien planifiée et fortifiée, qui semble avoir été entourée de fortifications massives et de pierres mégalithiques. Garfinkel et Ganor ont declaré que Khirbet Qeiyafa représente " le plus ancien exemple connu de planification urbaine dans le royaume de Judée " , cela ressemble au mode de construction trouvé dans les sites d’excavation de Beersheba, Tél Beit Mirsim, Tel en-Nasbeh et Tel Beit Shemesh.
Les résultats ‘révolutionnaires’ de ces cinq années de travail sont présentés aujourd’hui dans un livre, ‘Footsteps of King David in the Valley of Elah ’, publié par le Yedioth Ahronoth.
Situé à environ 30 km au sud-ouest de Jérusalem, dans la vallée d’Elah, Khirbet Qeiyafa était une ville frontière du royaume de Juda en face de la ville philistine de Gath. La ville, datée par 10 mesures radiométriques (au Carbone14) faites à l’Université d’Oxford sur des noyaux d’olives brûlées, a existé pendant une courte période, approximativement entre 1020 et 980 avant notre ère, puis a été violemment détruite.
Dans la tradition biblique, le peuple d’Israël pratique un culte différent de toutes les autres nations du Proche-Orient Ancien : il est monothéiste et n’a pas d'idoles (interdisant la reproduction de figures humaines ou animales).Toutefois, on ne sait pas précisément si ces pratiques remontent au temps de la monarchie (10-6ème siècles avant JC), ou sont plus tardives (époques hellénistique ou persane).
L’absence d’objets cultuels représentant l’homme ou des animaux dans les trois sanctuaires fournit la preuve que les habitants du lieu, observant une interdiction sur les images, pratiquaient un culte différent de celui des Cananéens ou les Philistins.
https://www.livescience.com/38318-king-david-palace-found-israel.html
Yves Herbo-SFH-07-2013
De plus en plus de preuves : le SIDA aurait été créé artificiellement
De plus en plus de preuves : le SIDA aurait été créé artificiellement
La vérité n'est pas toujours agréable, mais dans chaque cas elle nous rend libres. Dans le cas, présent, la vérité nous libère de la peur.
La fausse épidémie de SIDA dans les années 80 a déclenché une peur mondiale, la peur d'avoir tout contact physique avec des personnes inconnues, mais aussi avec les plus proches. Souvenez-vous de ce qu'on nous disait ? Quand tu fais l'amour, tu ne le fais pas seulement avec cette personne, mais avec toutes celles avec qui cette personne a eu des rapports physiques.
C'était le vrai but de cette « épidémie ». Le but était de nous faire vivre dans la peur. (En dehors de gagner de l'argent, conséquence secondaire de la peur).
© US Defense Department
Traduction
Le programme Feasibility a été complété en 1974-1975 et le virus entre 1974 et 1979. L'AIDS-laced amallpox vaccine a commencée à être injecté chez plus de 100 millions d'africains en 1977. A plus de 2 000 homosexuels de race blanche (Operation Trojan Horse), il a été injecté avec le vaccin contre l'hépatite A « modifié » en 1978 au Centre de contrôle des maladies infectieuses et au centre de collecte de sang à New York.
Le développement du virus avait apparemment deux objectifs : (1) Arme politique/ethnique à utiliser contre les gens de couleur et (2) la réduction programmée de la population.
Le 29 juillet 1969, quelques jours après que le Département de la Défense ait demandé au Congrès 10 millions de dollars de financement pour la recherche « d'un agent pathogène biologique synthétique, une substance qui n'existe pas dans la nature et contre laquelle il n'est pas possible de développer une immunité naturelle », le Président de la Task Force républicaine sur Earth Resources and Population (Population et ressources terrestres), l'honorable George H.W. Bush a souligné le besoin urgent d'actions destinées au contrôle de la population pour faire face à la « crise croissante dans le Tiers Monde ».
La programmation de l'épidémie de sida
En 1972, sous les auspices de l'Organisation Mondiale de la Santé, un programme de vaccination de masse des populations africaines contre la variole fût porté en avant. Ce vaccin infecté avec le virus du sida a été administré à des millions de Noirs africains indigents et dont le nombre croissait rapidement, problème qui préoccupait GHW Bush, parmi les autres membres de l'élite, les Rockefeller, le Club de Rome et les membres du Bilderberg depuis 1969.
Le virus du sida a été intentionnellement ajouté au vaccin contre l'hépatite-B
Les études sur le vaccin contre l'hépatite B sont désormais sous clé et sous la garde du Département de la Justice à Washington et personne ne peut y accéder.
Le VIH a été créé en laboratoire
Avec une certitude bien-fondée, il y a quelques années, on risquait sa vie en racontant certains passages de la vérité... maintenant il se dit que cela peut se faire, et que c'est même nécessaire. Cela fait peut-être un peu mal, mais on pense que cela peut servir à concilier une prise de conscience plus douce. Tellement de choses se sont passées que maintenant cela ne ferait pas de mal d'être un peu humain.
SFH-07-2013
Le dogme scientifique de 60 ans sur la discontinuité entre le monde viral et le monde cellulaire s'écroule
Le dogme scientifique de 60 ans sur la discontinuité entre le monde viral et le monde cellulaire s'écroule
Pandoravirus salinus observé par microscopie électronique.
© IGS CNRS-AMU
- Pandoravirus salinus, sur les côtes chiliennes ;
- Pandoravirus dulcis, dans une mare d’eau douce à Melbourne (Australie).
Pandoravirus salinus observé par microscopie électronique.
© IGS CNRS-AMU
Notes
1 Arslan D, Legendre M, Seltzer V, Abergel C, Claverie JM (2011) “Distant Mimivirus relative with a larger genome highlights the fundamental features of Megaviridae”. Proc Natl Acad Sci USA. 108: 17486-91.
2 Il s’agit notamment des microsporidies parasites du genre Encephalitozoon.
“Pandoraviruses: Amoeba viruses with genomes up to 2.5 Mb reaching that of parasitic eukaryotes”. Nadège Philippe, Matthieu Legendre, Gabriel Doutre, Yohann Couté, Olivier Poirot, Magali Lescot, Defne Arslan, Virginie Seltzer, Lionel Bertaux, Christophe Bruley, Jérome Garin, Jean-Michel Claverie, Chantal Abergel. Science. DOI : 10.1126/science.1239181
Source : http://www.science.gouv.fr/fr/actualites/bdd/res/4896/decouverte-d-un-chainon-manquant-entre-le-monde-viral-et-le-monde-cellulaire/
SFH-07-2013