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Contacts OVNI : Les Rendez-vous manqués, et les autres
Contacts OVNI : Les Rendez-vous manqués, et les autres
Belo Horizonte, Brésil
Les rendez-vous manqués... et les autres
" De par le monde, divers contactés ont reçu des ET la promesse de revenir. Dans la majorité des cas, les visiteurs leur posaient un lapin ! Quelquefois aussi, le témoin se voyait survolé par un disque lumineux à l'heure du rendez-vous, sans qu'il y ait contact ni dialogue. D'autres, plus chanceux — tel ce couple de Belo Horizonte, Brésil —, purent à maintes reprises rencontrer leurs «frères de l'espace», monter à bord de leur vaisseau et rendre compte par la suite de leur aventure. Voici, en raccourci, celle de Herminio et Bianca R..., ce couple sympathique avec lequel j'eus de longs entretiens au Brésil, en juin 1980 (hors-texte n° 1). Parents de trois enfants, occupant une bonne situation, menant une existence des plus normales, tous deux, au moment des faits (à l'instar de la majorité des contactés), ne s'intéressaient point aux OVNI.
Le 12 janvier 1976 à 23 h 30, à bord de leur vieille Karmanguir (modèle 1965), ils roulent sur la route de Rio à Belo Horizonte. Ayant dépassé la ville de Matias Barbosa, Herminio, fatigué du voyage, s'arrête sur le bas-côté de la route pour se reposer; il s'assoupit tandis que sa femme veille. Une demi-heure peut-être s'écoule et Bianca aperçoit par le pare-brise ce qu'elle prend pour un ballon lumineux, «très joli», dira-t-elle. Le ballon se rapproche, s'éteint, cesse d'être visible. Subitement, il se rallume, dirige vers la voiture un faisceau lumineux qui s'éteint à son tour cependant que le ballon s'immobilise au-dessus de la Karmanguir. Bianca pense à présent à un avion en difficulté qui va percuter leur véhicule. Elle crie. Herminio se réveille en sursaut, s'assied. Tous deux éprouvent alors une étrange sensation de légèreté, une sorte de vide; cela fait songer à Bianca qu'elle pourrait aussi bien se «retourner la tête en bas» et flotter sans dommage. La sensation de légèreté s'accentue et le couple réalise, effaré, que la «chose» aspire la voiture qui s'élève lentement, que la nuit «normale» fait place à une obscurité complète.
La sensation de flottement disparaît, remplacée par une pression sur tout le corps. Ont-ils perdu connaissance? Le fait est que, brusquement, ils se retrouvent (toujours assis dans leur voiture) au milieu d'une pièce circulaire éclairée par une lumière provenant directement des parois; aucune lampe apparente. «Il me semblait être à l'intérieur d'une ampoule répandant une lumière analogue à celle du jour», expliquera Bianca. Ni elle ni son époux ne comprennent en quel lieu ils peuvent bien se trouver; ils n'ont à cet égard aucune idée préconçue, sont simplement déroutés.
Dans le plafond de cette pièce circulaire s'ouvre une trappe: un escalier métallique s'étire jusqu'au plancher. Deux «jeunes gens» paraissent, grands, la peau mate, les cheveux noirs, les yeux verts. Revêtus d'une sorte de survêtement, ils descendent les marches: l'un se dirige vers l'avant de la voiture, l'autre vers l'arrière, tous deux l'examinent avec attention (la Karmanguir est sale, couverte de boue car il a plu). L'un des «jeunes gens» (c'est ainsi qu'au début nos amis les désignent, toujours sans idée préconçue) s'approche de Bianca et lui fait signe de descendre. Elle est si nerveuse qu'elle ne parvient pas à ouvrir; la portière, au demeurant, est un peu coincée. Le «jeune homme» saisit alors la poignée et aide Bianca à sortir. Sitôt dehors, la Brésilienne a la désagréable impression d'être ivre. «Si je posais le pied sur le sol, je titubais, je ne pouvais pas me tenir debout. Alors, le jeune homme m'a tenu le bras; puis Herminio est sorti et l'autre jeune homme l'a également tenu.» Les époux ne comprennent toujours pas où ils se trouvent. Les deux «jeunes gens», fort aimablement, les guident vers un autre escalier métallique et ils le descendent pour aboutir dans une salle immense que Bianca appellera «le hangar». Une idée inquiétante s'insinue dans l'esprit de Herminio qui, non sans hésitation, demande à sa femme :
« Est-ce que nous ne serions pas dans une soucoupe volante?» Bianca tressaille violemment, manque s'évanouir de terreur, songeant qu'elle et son mari ne reviendront plus chez eux. Que vont devenir leurs enfants ?
Auparavant, répétons-le, ni l'un ni l'autre ne croyaient aux soucoupes volantes et moins encore à la possibilité qu'il puisse s'agir de vaisseaux extraterrestres. Alors que les deux «jeunes gens» les amènent dans cette vaste salle, ont-ils changé d'avis? Non! Certes, force leur est de se rendre à l'évidence: cet appareil ressemble à ce qu'on pourrait appeler une soucoupe volante mais, pour eux, cet engin est bien terrestre.
Herminio déclara: «J'ai pensé d'abord qu'il s'agissait d'une expérience des Américains, des Russes et qu'ils s'étaient trompés de personnes, qu'ils nous prenaient pour ceux que nous n'étions pas. J'ai commencé à gesticuler, à leur crier qu'ils se trompaient, mais j'avais l'impression qu'ils ne m'entendaient pas. Affolée, Bianca aussi criait, pleurait. Les deux jeunes gens étaient pourtant aimables, prévenants. Ils nous ont conduits dans une autre pièce, parlant entre eux une langue que nous ne comprenions pas. Ce local était carré. Ils examinèrent notre peau, nos yeux, puis ils firent s'allonger Bianca dans une sorte de caisson transparent qui commença à changer de couleur, comme du fer porté au rouge. Je ne savais pas ce qu'ils allaient faire et commençais à crier désespérément, leur demandant ce qu'ils nous voulaient. Ils ne réagirent pas, ne me prêtèrent aucune attention. L'un des jeunes gens restait auprès de moi. La coloration rouge du caisson s'atténua, disparut et l'autre aida Bianca à sortir de ce caisson, à se remettre sur pied. Ce fut mon tour de m'allonger dans le caisson et la même expérience se renouvela. Quand j'en sortis, il y eut une conversation entre les jeunes gens, toujours incompréhensible pour nous. Ensuite, ils apportèrent une petite boîte et l'approchèrent de ma poitrine ; cet instrument était relié à un autre appareil, de grande dimension. Il me sembla que le fond de la boîte sauta, s'appuya sur ma poitrine... ensuite, j'ai dû m'évanouir; je ne me souviens plus de rien.»
Bianca subit la même expérience et «dormit» tout comme son mari. Quand ils reprirent conscience, ils étaient couchés sur quelque chose d'assez haut qui ressemblait à une table ronde mais souple. Ils s'assirent et le «plateau» accompagna leur mouvement, s'enfonça un peu, se modela étroitement selon les formes de leurs corps. Plusieurs «personnes» en survêtement moulant les observaient, toujours avec une expression bienveillante. Il y avait là quatre «hommes» de grande taille (supérieure à deux mètres) et une femme de la même stature, très belle, avec de longs cheveux noirs, des yeux verts au regard étrange, indéfinissable. Tous ces êtres se ressemblaient énormément et l'on aurait pu les prendre pour des jumeaux. Très féminine, la jeune femme présentait pourtant les mêmes traits que ceux de ses compagnons: même peau mate, mêmes yeux verts arrondis, même corps harmonieusement proportionné. Ses longs cheveux noirs tombaient sur son buste. Elle portait des chaussures basses sans talons.A proximité des «fauteuils», un grand appareil un peu comparable à un standard téléphonique. A son tableau furent reliés quatre casques: un pour Herminio, un pour Bianca, les deux autres pour les «jeunes gens» qui leur avaient servi de cicérones. Nos amis adaptèrent le casque sur leur tête; ils entendirent leurs interlocuteurs s'exprimer dans leur idiome incompréhensible et aussitôt après venait la traduction en portugais. Bianca s'écria soudain, interloquée :
Un scientifique du MIT réclame des droits pour les robots
Un scientifique du MIT réclame des droits pour les robots
Cette nouvelle était passée assez inaperçue à cause de l'actualité assez mouvementée et fournie de ce début d'année, mais une chercheuse du MIT suggère qu’on protège les robots contre la maltraitance comme on le fait pour les animaux. Les tous derniers progrès techniques annoncés ces derniers jours remettent d'autant plus ce sujet des lois et protections sur le sujet, qui va devenir de plus en plus brûlant, de la robotique domestique et professionnelle.
Kate Darling n’aime pas torturer Pleo, un petit dinosaure robotique, mignon, du genre à n’avoir jamais fait de mal à une mouche. Pourtant, au cours de l’atelier qu’elle organisait vendredi à Genève, à la conférence sur les nouvelles technologies Lift13, cette chercheuse en propriété intellectuelle et en politique de l’innovation au MIT de Boston, a demandé aux participants de maltraiter la créature jusqu’à ce que mort s’en-suive. Le but était de sonder le ressenti de chacun. C’est du malaise, provoqué chez elle par les mauvais traitements infligés au menu engin, qu’est née sa réflexion sur le droit des robots.
Le Temps: Pour beaucoup, la question d’accorder des droits aux robots reste de la science-fiction. Pensez-vous que nous soyons déjà arrivés à un niveau technologique qui soulève ce genre de question?
Kate Darling: La loi est toujours très en retard sur la technologie, les deux domaines ne se parlent pas. Les gens qui développent ces technologies ne pensent pas aux implications légales et éthiques de leur travail. Je ne parle pas de robots futuristes qui seraient aussi intelligents que nous, mais de robots qui existent déjà. Nous sommes toujours davantage entourés par une technologie qui interagit avec nous au niveau social, qui essaie de se «brancher» sur nos émotions. Cela va des jouets pour enfants aux robots de compagnie, comme ceux qui sont utilisés à des fins médicales ou dans des foyers pour personnes âgées. Ils vont devenir beaucoup plus sophistiqués, et nous devons nous poser certaines questions dès maintenant.
– Lesquelles?
– Des études montrent que, bien que sachant que ces robots sont des objets, nous avons tendance à les traiter comme s’ils étaient vivants, en projetant des émotions sur eux et en créant des liens affectifs avec eux. On observe que les gens ont beaucoup plus de peine à éteindre ce type de robot que les autres. Cette technologie pourrait être utilisée de manière abusive. Si les compagnies exploitent cet attachement à des fins de marketing, par exemple. La protection de la vie privée pourrait aussi être menacée. On peut imaginer que ces robots amènent leurs utilisateurs à divulguer des choses. Certaines personnes estiment que l’on devrait restreindre la recherche dans le domaine des technologies qui jouent avec nos émotions.
– Et vous?
– Je ne crois pas que ce soit responsable. Cette technologie est utile dans le domaine éducatif ou de la santé. Et puis, nous aimons nous attacher à ces robots, penser que leurs émotions sont réelles, que ce sont nos amis. De toute façon, je ne pense pas que ce serait possible, l’industrie du jouet a trop de pouvoir.
– Et quels droits devrions-nous donner à ces robots?
– Je pense que les projections que nous faisons sur les robots sociaux, et les liens que nous créons avec eux pourraient nous amener à vouloir leur donner une forme de protection juridique. Je ne parle pas d’une sorte de droit à la vie, qu’on n’ait pas le droit de les éteindre, etc. Je parle plutôt de quelque chose comme les lois qui protègent les animaux. A eux non plus, on n’accorde pas le droit à la vie, mais on a édicté des lois pour les protéger contre la maltraitance. A mon avis, pas tant à cause de la douleur qu’ils peuvent ressentir, qu’en raison de la réaction que leur douleur suscite chez nous. Ce n’est pas pour rien que nous protégeons beaucoup plus les animaux que nous trouvons attachants, ou auxquels nous pouvons nous identifier. Lorsque Pleo est sorti, des gens ont mis en ligne des vidéos où ils le torturaient: ils testaient ses limites. Les réactions ont été extrêmes, les internautes étaient bouleversés, bien qu’ils connussent très bien sa nature de robot. Regarder cette chose se tordre de douleur provoque en nous des réactions qui vont bien au-delà de ce qu’il y a dans l’engin. D’où l’idée de donner aux robots des droits de «second ordre», dans le sens où ils ne leur sont pas inhérents. Ils existent plus pour notre bien et celui de la société.
– Comment cela?
– La loi a tendance à réguler aussi notre comportement d’un point de vue éthique, et à décourager des agissements qui peuvent se révéler nocifs dans un autre contexte. En décourageant la maltraitance des robots sociaux, on promeut des valeurs que l’on juge bonnes pour notre société, comme de bien traiter toutes les choses et les êtres. Si un enfant donne des coups de pieds dans son jouet robotique, il le fera peut-être aussi à un chat ou à un autre enfant. Dans certains pays, lorsqu’un cas de maltraitance d’animaux est découvert, cela déclenche automatiquement une enquête sur d’éventuelles maltraitances envers les enfants. Parce que ce genre de comportement à tendance à se transférer.
– Mais les animaux sont des êtres vivants, pas les robots.
– Comment définit-on la vie? Et pourquoi est-ce important?
– Est-ce que la réponse ne varie pas selon les cultures?
– En effet. Dans la tradition shintoïste japonaise, chaque objet a une âme. Et cela explique, dans une certaine mesure, pourquoi la culture japonaise accepte mieux les compagnons robotiques. Elle ne divise pas les choses entre «vivant» et «non vivant», comme dans la culture occidentale.
– Comment définit-on le périmètre? Est-ce que mon toaster serait aussi protégé?
– La ligne de séparation sera de toute façon floue et arbitraire. Mais les systèmes légaux sont habitués à ça. Des études ont montré que ce qui suscite le plus de réactions émotionnelles chez nous sont les robots qui combinent plusieurs facteurs, qui sont incarnés, autonomes et interagissent socialement avec nous. On pourrait se baser là-dessus.
– Il y a des gens qui sont attachés à leur voiture.
– C’est vrai. Les militaires américains ont testé un robot qui désamorçait les mines. Il avait l’air d’une araignée géante, à six pattes. Chaque fois qu’il passait sur une mine, il en perdait une. Le colonel qui était chargé du projet l’a interrompu en arguant que c’était inhumain, qu’il ne pouvait pas supporter la vue de ce robot qui se traînait sur ses pattes restantes. Cela montre que la ligne est floue, que l’on s’identifie même à des choses qui ne sont pas anthropomorphes. Le fait que ce robot ressemblait vaguement à un animal, même s’il n’avait pas été conçu pour, suffit. Et donc, lorsque c’est fait à dessein, cela va beaucoup plus loin.
– Dans les films de science-fiction, les robots prennent le contrôle de la planète. Pensez-vous que si nous leur accordons des droits, ils nous en accorderont également en retour?
– C’est mon plan (rires). Sérieusement, je pense que nous sommes très loin d’atteindre ce niveau technologique.
Géopolitique de l’homme nouveau
Les nouvelles technologies émergentes promettent une révolution du corps et de l’esprit humains: soldats aux forces décuplées, citoyens plus performants intellectuellement, etc. Par-delà les craintes suscitées par ces recherches, la compétition mondiale est déjà engagée. Par Johann Roduit
D’aucuns prédisent, dans un futur proche, la possibilité de perfectionner le corps humain ou d’augmenter ses capacités grâce à la convergence des NBIC (nano, bio, info-technologies et sciences cognitives). Au-delà des questions éthiques que ces technologies émergentes peuvent poser, nous risquons d’assister à une course effrénée à l’«amélioration humaine» (Human enhancement), qui pourrait sortir du cadre strictement scientifique pour revêtir des aspects géopolitiques. Les rapports de force et les luttes d’influence dépendront dans une certaine mesure de leur maîtrise des technologies permettant ces perfectionnements humains. Un petit tour d’horizon des intentions d’améliorations humaines dans le monde s’impose.
En Russie, le milliardaire Dmitri Itskov a récemment lancé le programme 2045. Son ambitieux projet, également soutenu par le dalaï-lama, a pour but de créer un avatar cybernétique qui remplacerait notre corps biologique, dans le but de vivre éternellement. Ayant récemment publié une lettre ouverte adressée au secrétaire général de l’ONU pour que la communauté internationale prenne au sérieux son dessein, il a également fondé le parti politique Evolution 2045 afin de se donner les moyens d’action nécessaires pour la mise en œuvre de son objectif. Avec le soutien de plus de 20 000 membres et de scientifiques, Itskov organisera également à New York une conférence mondiale en juin prochain, dans le but de discuter d’«une nouvelle stratégie pour l’évolution humaine».
Aux Etats-Unis, c’est l’Agence pour les projets de recherche avancée de défense (Darpa) qui fait le plus parler d’elle. Les projets qui s’y développent visent «à utiliser certaines avancées scientifiques dans le but d’améliorer biotechnologiquement leurs soldats: force physique démultipliée, agilité et vitesse augmentées, résistance accrue à la douleur, à la faim, à la soif et à la fatigue, capacité de guérison rapide, meilleure mémoire et sens supérieur de la stratégie» (J. Roduit, V. Menuz,Huffington Post, 14.09. 2012).
Les services de renseignement ont déjà révélé que les services secrets américains s’intéressaient de très près à l’ADN des dirigeants du monde et s’efforçaient de protéger celui du président américain. Connaître le matériel génétique de quelqu’un, c’est aussi connaître ses faiblesses biologiques. Selon le journal The Atlantic du 24 octobre 2012, «dans un avenir proche, l’ADN pourrait fournir les informations nécessaires pour créer des armes biologiques personnalisées pour abattre un président sans laisser de traces».
La Chine, elle, s’intéresse à l’amélioration des capacités intellectuelles de sa population. Le Beijing Genomics Institute (BGI) a récemment créé la controverse. Un de ses projets, le Cognitive Research Lab aurait pour but non seulement d’améliorer génétiquement l’intelligence de l’être humain, mais également d’aider les futurs parents à choisir le «meilleur embryon» (ou l’embryon le plus intelligent). Pour certains, les dérives eugéniques sont telles que le projet doit être stoppé. Pour d’autres, il n’y a pas de quoi s’alarmer car ce projet est loin de présenter des risques majeurs.
En Europe, les projets sont – à première vue du moins – moins ambitieux. Ils semblent toujours se présenter comme des projets thérapeutiques, sans visées amélioratives. Le passé européen, terni par ses dérives eugéniques au cours de la première moitié du XXe siècle, fait sans doute partie des raisons de cette retenue. Toujours est-il que l’Italie possède, en la personne de Giuseppe Vatinno, le premier politicien au monde se revendiquant ouvertement du «transhumanisme», un courant de pensée ayant pour but l’amélioration de l’être humain par l’intermédiaire de la science et de la technologie, afin de libérer celui-ci de ses limites biologiques. Nous pouvons également mentionner ici le projet européen Virtual Embodiment and Robotic Re-embodiment («incarnation virtuelle et réincarnation robotique»), qui vise à permettre à une personne de connecter son cerveau à un avatar-robot et de le percevoir comme son propre corps.
En Suisse, on évoquera le projet Nano-Te ra, «un petit laboratoire de tests sanguins personnel portable: un dispositif minuscule implanté juste sous la peau qui présente une analyse immédiate des substances dans le corps, et un module radio [qui] transmet les résultats à un médecin sur le réseau de téléphonie cellulaire». Ce genre d’innovation aura très certainement des bénéfices thérapeutiques, mais pourrait également être utilisé dans une perspective d’amélioration de l’être humain. Les informations récoltées ont de quoi réjouir l’Etat, qui y gagnera certainement un plus grand contrôle de ses citoyens!
La course à l’amélioration humaine posera donc des défis géopolitiques. Bien que, dans le monde, les gouvernements totalitaires sont de nos jours plutôt dans le déclin, il est envisageable que certains dirigeants choisissent d’utiliser ces nouvelles technologies sur la population pour faire de «meilleurs» citoyens. Comme le rappelle Jacques Fellay, généticien à l’EPFL, «[il] n’est pas exclu qu’un jour, un gouvernement dérangé essaie de mettre au point les technologies de génie génétique pour modifier la race humaine, mais cela ne va probablement pas se faire. Le risque théorique existe mais, du point de vue pratique, on en est vraiment loin» (Le Matin du 26.03.2013).
Au-delà de la possibilité théorique d’un tel gouvernement, un impérialisme nouveau pourrait advenir, grâce à la maîtrise des améliorations humaines. Dès lors, les équilibres internationaux pourraient également être considérablement affectés par ces révolutions technologiques futures. Sur le plan militaire tout d’abord, les courses à l’armement traditionnel pourraient laisser place à une modification biologique des soldats, de leurs compétences physiques et mentales, afin que ceux-ci soient plus efficaces et évitent de se blesser ou de périr au combat. Nous pouvons donc imaginer l’impact de la maîtrise de ces technologies sur les combats armés futurs.
Certains Etats pourraient être tentés d’améliorer intellectuellement leur population afin de développer leur économie plus rapidement. A l’image de l’utilisation non généralisée des OGM dans l’agriculture mondiale, nous pouvons imaginer les conséquences sur les équilibres économiques internationaux de différentes législations nationales sur l’utilisation de ces nouvelles technologies. Les économies des pays qui adopteraient ces technologies pourraient développer des avantages compétitifs considérables grâce à une main-d’œuvre améliorée.
Dans de telles circonstances, certains chercheurs en bioéthique se posent déjà la question suivante: «Quelle attitude devront alors adopter les pays qui, sur la base de leurs valeurs fondamentales, jugent éthiquement problématiques de telles modifications? Devront-ils suivre le mouvement afin de rester compétitifs face aux pays constitués d’une population d’individus améliorés technologiquement?» (V. Menuz, J. Roduit, T. Hurlimann, Huffington Post, 13.03.2013)
Si les principes d’amélioration posent déjà d’énormes problèmes et désaccords vis-à-vis d’OGM, qu’en sera-t-il vis-à-vis de l’être humain? Certains commencent déjà à adopter des pratiques s’apparentant à celles des amish, communauté vivant à l’écart de la société moderne. Pour les amish, les technologies sont adoptées seulement si elles renforcent les relations entre les membres de leur groupe. Dans un futur proche, il se peut que certaines communautés refusent ces nouvelles technologies, leur vision d’une vie réussie et d’une société saine s’y opposant. Aux yeux d’autres sociétés, elles risqueraient alors de paraître «dépassées». Il sera donc crucial que les différentes collectivités et le droit des individus de ne pas «s’améliorer» puissent être respectés. Finalement, il faudra s’assurer que les différents individus au pouvoir ne puissent pas utiliser ces technologies pour contrôler leur population. Les effets sur les équilibres internationaux de ces projets d’amélioration de l’être humain devraient donc être pris au sérieux par les différents acteurs globaux.
Emily bouée-robot
Voici un long article très intéressant sur ce sujet de L’introduction sociale des robots
A lire ici : http://shyrobotics.com/lintroduction-sociale-des-robots_20120918.html
Yves Herbo-SFH-05-2013
La Californie est en train de s’effondrer
La Californie est en train de s’effondrer
Oubliez les scènes apocalyptiques du film « 2012″, c’est à une catastrophe au ralenti à laquelle on est en train d’assister dans les collines du Nord de la Californie.
En Californie des maisons s’enfoncent lentement sur les collines où elles sont construites. Dans un seul lotissement à Lakeport, en Californie, à environ 100 miles au nord de San Francisco, huit d’entre elles ont déjà étés détruites et beaucoup plus sont menacées.
Parfois elles s’effondrent de plusieurs mètres en une seule journée, d’autres jours seulement de quelques centimètres mais le résultat final est que les maisons finissent par s’enfoncer dans le sol. Jusqu’à présent, rien n’a pu être fait pour y remédier.
Les maisons qui risquent de sombrer dans les sinkholes géants de Californie présentent des fissures dans les murs et les planchers ainsi que des fractures béantes.
Les autorités pensent que des remontées d’eau jouent un rôle dans ce processus. Certains responsables se demandent quel le rôle le volcan éteint, le Mont Konocti, pourrait jouer. Un géologue a averti que l’intégrité structurelle du sol pourrait être compromise jusqu’au substratum rocheux situé à une profondeur de 25 pieds. Des fissures sont récemment apparues sur les routes.
Alors que les autorités tentent de comprendre ce qui se passe, de plus en plus de maisons s’enfoncent dans la terre.
http://lesmoutonsenrages.fr/2013/05/12/la-californie-est-en-train-de-seffondrer/ Via sott.net
Autre article traduit par Yves Herbo : Des Maisons en Californie passent entre les mailles du filet, littéralement.
A environ 100 miles (160 km env.) au nord de San Francisco, Californie du nord, dans une commune appelée Lakeport, des fissures dans le sol se sont transformées en multiples cavernes qui écartèlent les maisons, qui se cassent et s'effondrent sous le sol.
La communauté a été construite sur le flanc du volcan en sommeil du mont Konocti, les fonctionnaires ne peuvent pas dire si oui ou non le volcan est un facteur contribuant à l'étrange apparition de fractionnement du sol.
« Nous avons un volcan en sommeil, et je suis certain que beaucoup de choses qui se passent ici (dans le comté de Lake) sont à la suite de cela, mais nous ne savons rien sur ce sujet," a déclaré à Yahoo News le directeur des travaux publics du comté Scott De Leon.
Les résidents Scott et Robin Spivey ont remarqué des fissures dans les murs de leur maison de style Tudor qui se sont creusées dans la journée.
« Nous voulons savoir ce qui se passe ici ", dit Spivey.
Spivey, ancien inspecteur en bâtiment de la ville, et son épouse ont été parmi les huit ménages qui ont maintenant été évacués dans la région de Clear Lake de Lake County. 10 autres sont sur avis d'évacuation imminente.
« C'est une catastrophe au ralenti ", a déclaré Randall Fitzgerald, résident de Lakeside Heights .
Ces types d'écroulements se produisent dans les régions volcaniques, avec des collines abruptes qui peuvent se déplacer de nombreux pieds en un jour, et un quart de pouce de l'autre.
Certains, y compris le Consultant Tom Ruppenthal de Utility Services Associates à Seattle, disent que l'eau souterraine est en partie à blâmer. L'eau a refait surface dans la zone - il y a eu tout à coup une source d'eau au sommet des collines, où pas beaucoup d'eau souterraine existait - qui érode une partie de la terre jusqu'à ce qu'elle se sépare.
« Il est très fréquent pour les eaux souterraines de changer leur cours, dit-il. Je pense que la nappe phréatique a changé."
Tant que les propriétaires peuvent régler les finances des entreprises avec les compagnies d'assurance - certaines ont laissé à sec des résidents, car ces types de situations d'urgence à domicile ne sont pas souvent couverts, ils devront faire cause ensemble.
« C'est une tragédie, vraiment," dit l'entrepreneur Dean Pick en prenant des photos de Lakeport pour une compagnie d'assurance. « Je n'ai jamais rien vu de pareil.".
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Alors que certains mouvements de lotissement se passent sur un remblai peu profond, De Leon a déclaré qu'un géologue a averti que le sol pourrait être compromis jusqu'au substratum rocheux de 25 pieds (env. 8 m) au-dessous et que des fissures récemment apparues sur les routes bien au-delà du remblai.
« Considérant que c'est une année de faible pluviométrie et le fait que cela a lâché maintenant, après toutes ces années, et l'ampleur de se relâchement, et bien c'est assez monumental, dit De Leon.
Les fonctionnaires du comté ont inspecté les plans originaux pour le projet (de constructions) et ont dit qu'il a été développé par une firme d'ingénierie réputée, ensuite signé par le directeur des travaux publics à l'époque.
« Je ne peux que présumer qu'ils ont été contrôlés avant leur approbation », a déclaré De Leon.
L'écroulement a incité les équipes du comté de rediriger les eaux usées de la subdivision de 300 pieds à travers un tuyau par terre sour les regards dans le territoire de 10 acres qui s'est effondré.
Le Consultant Tom Ruppenthal a trouvé deux petites fuites dans le système d'eau du comté mais il a dit qu'elles n'étaient pas assez grandes pour tenir compte de la quantité d'eau qui coule le long des tuyaux de l'infrastructure et des fissures souterraines, mais elles pourraient contribuer à une autre source.
Si le comté ne peut pas obtenir de l'eau et des services d'égout stabilisés, De Leon a déclaré que toutes les 30 maisons dans le lotissement devront être abandonnées.
Les propriétaires de six maisons endommagées ont dit qu'ils ont besoin d'aide du gouvernement...
Lake County, avec des fermes, des vignobles et plusieurs casinos indiens, a été marqué par un mouvement de faille sismique et des explosions volcaniques qui ont contribué à créer les plages de la côte de la Californie. Clear Lake, populaire pour le canotage et la pêche, est le plus grand lac d'eau douce entièrement situé dans l'État.
Il n'est pas inhabituel pour les eaux souterraines de la région de faire leur chemin vers la surface puis de disparaitre. De nombreuses sources chaudes naturelles et des geysers sousterrains ont été trouvés dans les années 1900 et ont depuis lors été exploités pour l'énergie géothermique.
Les propriétaires se demandent maintenant si les fissures se sont ouvertes en dessous de leur sommet, permettant à l'eau de s'infiltrer à la surface. Mais ils sont tellement perplexes qu'ils parlent aussi de la terre comme étant hantée, et envisagent de demander à la tribu amérindienne locale si le sommet était un ancien cimetière.
« Quelqu'un a dit qu'on doit avoir jeté un sort », a déclaré Blanka Doren, une immigrante allemande vieille de 72 ans qui a versé ses économies d'une vie dans la maison qu'elle a acheté en 1999, pour qu'elle puisse vivre sur des revenus locatifs.
Extraits traduits par Yves Herbo : http://www.dailyherald.com/article/20130511/business/705119819/
Tout ceci me donne l'occasion de reparler d'un de mes vieux articles de 2011 et sur un événement en Allemagne du 1er novembre 2010 et qui se trouve ici, sur la page Facebook de Sciences, Fictions, Histoires :
Yves Herbo Traductions-SFH-05-2013
Les Mayas retrouvés dans l'Illinois ?
Les Mayas retrouvés dans l'Illinois ?
Comparaison Illinois-Chiapas/Mexique
Il y a beaucoup de débat autour des monticules de Cahokia dans l'Illinois du Sud et sur les personnes qui ont établi la région. Un certain nombre de chercheurs indépendants réclament que les Mayas se seraient installés à cet emplacement il y a plus de mille ans, leur influence s'étendant profondément dans le nord des États-Unis. Les historiens affirment que les tribus locales (sans l'influence d'autres cultures) ont construit des monticules, puis pour une raison inconnue, ont abandonné la ville 500 ans avant l'arrivée des Européens.
Cahokia était la colonie urbaine la plus grande et la plus influente dans la culture du Mississippi qui a développé les sociétés avancées à travers une grande partie de ce qui est aujourd'hui le sud des États-Unis. La population de Cahokia, à son apogée, était aussi grande ou supérieure à n'importe quelle ville européenne de l'époque, et son ancienne population n'aurait été surpassée par n'importe quelle ville des États-Unis que vers les années 1800.
Aujourd'hui, Cahokia Mounds est considéré comme le plus grand et le plus complexe site archéologique au nord des grandes villes précolombiennes du Mexique. Ce parc historique se trouve dans le sud de l'Illinois entre East St. Louis et Collinsville. Le parc s'étend sur 2200 acres, soit environ 3,5 milles carrés, et contient environ 80 monticules, mais l'ancienne ville était en réalité beaucoup plus grande. À son apogée, Cahokia couvrait environ 6 miles carrés (9,6 km²) et comprennait environ 120 monticules de terre faits par l'homme dans un large éventail de tailles, de formes et de fonctions différentes.
J'ai trouvé un vieux catalogue du début des années 1960 sur une série de sculptures qui ont été photographiées à partir des Cahokia Mounds, et chacune est remarquable. Une pièce appelée la 'figurine Birger' a été trouvée dans un temple rituel, et à mes yeux est une représentation classique d'un individu maya. Malheureusement, aucune de ces sculptures n'est dans un musée pour affichage, en fait, l'auteur mentionne qu'ils sont des artéfacts stockés. (Une partie de ce matériel a été prise à partir des Archives Historiques Supprimées de Max Dashu) :
Source : http://www.facebook.com/media/set/?set=a.342025182586142.1073741857.208845839237411&type=1
Traduction Yves Herbo-SFH-05-2013
Erreur d'identification archéologique avec Google Earth
Erreur d'identification archéologique avec Google Earth
L'érosion éolienne a conduit à une découverte incroyable à travers des cartes Google.
Comparable aux lignes de Nasca en taille, et encore plus impressionnants en complexité, une potentielle ville perdue énorme ou un site a été révélé dans une zone nommée "verneukpan", une zone inhospitalière de marais salants en Afrique australe.
Depuis plus d'un an maintenant, un jeune Hollandais déterminé a utilisé Google Earth pour cartographier les sites antiques du monde, un très bon projet avec une foule de sources, avec plus de 900 marqueurs placés jusqu'ici de sites qui sont connus et des liens vers des articles de Wikipedia les liant.
Archeomaps est le fruit de Jaimy Visser, qui a posté cette image hier sur sa page Facebook www.facebook.com / Archeomaps après que Shaun Kirwen l'ait apportée à son attention.
Jaimy avait constaté que, dans ses recherches, il a pu trouver de nombreuses structures circulaires inexpliquées dans le monde entier et a commencé le projet "Esthar" pour tenter de cartographier ces derniers au mieux et dans le processus, il a trouvé d'immenses étendues de désert avec des preuves de civilisations anciennes similaires dans le monde entier, mais pas aussi frappantes que ces ressemblances avec des sculptures à Knowth, Newgrange, Malte et divers autres sites préhistoriques.
Le complexe sur l'image a plus de cinq miles carrés (8 km²), avec des motifs bien marqués répartis sur une vingtaine de miles carrés (32 km²) au moins.
Jaimy Visser avait ceci à dire au sujet de la découverte :
" J'ai trouvé des centaines de ruines circulaires à travers le monde en travaillant sur mon projet Esthar, mais le plus souvent, sur des terrains où nous n'aurions même pas pensé à nous installer de nos jours. Ces spirales sont incroyablement grandes, et alors que ça a été un symbole important pour tant de cultures à travers l'histoire, je ne pense pas que nous devrions exclure la possibilité qu'ils sont vieux - très vieux. "
Dans les heures suivant l'affichage de l'image, cela a atteint l'ancien enquêteur de renom Michael Tellinger, qui pouvait à peine contenir son excitation :
" Well done guys - c'est une énorme nouvelle étape et une page passionnante sur les civilisations disparues d'Afrique australe - c'est l'une des découvertes les plus excitantes depuis les lignes de Nazca. Je vais plonger dans ce sujet et ses liens avec les cercles de pierres et le calendrier d'Adam. Vous avez peut-être trouvé la preuve de la cité perdue de Kalahari "
Nous attendons avec impatience une confirmation de l'endroit où sont ces formations, il n'y a pas de dossiers sur Internet à leur sujet que nous pouvons trouver. Apparemment, elles n'étaient pas visibles sur Google Earth en 2006, donc soit elles sont faites par l'homme très récemment, ou elles ont été révélées par l'érosion et très très anciennes. Les spirales ressemblent à des marquages (connus) sur la plupart des sites antiques humains à travers le monde. Quand notre histoire ancienne est-elle devenue si excitante ?
Allez voir par vous-même .. copier ces coordonnées dans google maps, et voyez si vous pouvez trouver une explication : -30 ° 0 '21.64 ", +21 ° 6' 21.69"
http://www.exposingthetruth.co/lost-city-found-in-kalahari-desert/
D'après des recherches faites sur internet, on découvre qu'en 1929, ce site a été découvert et identifié comme d'anciennes mines de diamants (pouvant dater éventuellement de plusieurs siècles mais surtout du siècle dernier et très récemment...) et qu'un des découvreur y a même trouvé 100 pierres précieuses sur place :
http://trove.nla.gov.au/ndp/del/article/11087352 + http://sajg.geoscienceworld.org/content/109/3/301.abstract
Mieux, voici deux photos prises sur place montrant les sillons faits par des tracteurs : recherches de diamants en surface. Production locale en chute (25000 personnes en 2003, 6000 en 2006...) :
Yves Herbo : Bon, une alerte pour rien et ceci prouve que si c'est une bonne chose que de plus en plus de personnes passent du temps à observer les cartes satellites pour tenter de repérer des traces antiques, le manque de réalisme lié à la distance et de possibilités de vérification au niveau du sol peuvent entretenir des interrogations non justifiées sur plusieurs jours (voir pire quand il s'agit de réels déserts ou endroits inaccessibles). La prudence est donc de mise dans toute annonce, y compris de la part de chercheurs sérieux mais parfois trop enthousiastes et enclins à créer des "buzz"... décevants par la suite. Un autre exemple a eu lieu en fin d' année dernière avec les fausses découvertes via Google Earth de pyramides inconnues en Egypte...
Cela n'empêche pas en effet la réalité de l'utilisation de la forme de la spirale depuis des millénaires, et sous toutes les latitudes : symbole spirituel, symbole d'agriculture, symbole de l'industrie minière antique... peut-être la même stratégie utilisée pour diverses choses, tout simplement (y compris la chasse comme piège/enclos...).
Irlande-Newgrange-RiverBoyne
Yves Herbo-SFH-05-2013
Operation Suricate le 11 mai 2013
Operation Suricate le 11 mai 2013
Ce soir 20H sur PULSE émission spéciale soirée suricate.
Durant une heure, nous serons en compagnie de Weissmuller François, actif participant des soirées suricate.
Les opérations Suricate sont simples. Vous êtes chez vous, seuls ou entre amis. Le soir de l’opération, des centaines de personnes comme vous sont chez elles ou dehors entrain de regarder le ciel. Ainsi, nous avons une multitude de personnes qui regardent le ciel en même temps, et dès lors qu’un participant voit un objet insolite, il lui suffit d’envoyer un sms ou un d’effectuer un appel téléphonique au réseau Suricate afin que l’observation soit relayé instantanément à l’ensemble des participants, et ainsi confirmer la nature de l’objet…ou pas…
Ce Vendredi 10 Mai à 20H sur PULSE 90FM - www.radiopulse.fr
+ d'infos sur la soirée d'observation suricate du samedi 11 sur http://
Relayé par Yves Herbo-SFH-05-2013