Articles de yvesh
Les phénomènes lunaires transitoires : un petit pas vers leur explication
Les phénomènes lunaires transitoires : un petit pas vers leur explication ?
(c) Mathieu Godron/Yves Herbo
La British Astronomical Association vient de publier les résultats d'une enquête particulièrement détaillée concernant les phénomènes lunaires transitoires (LTP). Ces curieuses et éphémères modifications à la surface de notre satellite naturel divisent les chercheurs depuis des décennies.
Rares sont les sujets d'études concernant la Lune qui font autant débat. Bien qu'on en dénombre plus de 2.800 au cours de ces trois derniers siècles, les phénomènes lunaires transitoires sont toujours autant controversés qu'inexpliqués. C'est en 1968 que l'astronome sir Patrick Moore créa le terme de LTP (Lunar Transient Phenomena) pour englober d'étranges phénomènes rapportés par des observateurs. Brève augmentation de brillance, point lumineux, assombrissement, coloration ou effet de brouillard sont des exemples typiques de LTP remarqués sur des zones lunaires de quelques kilomètres. La British Astronomical Association(BAA) a présenté, au mois de mars dernier, les résultats d'une minutieuse enquête sur le sujet.
Historiquement le premier LTP fut observé le 18 juin 1178, par cinq moines de la cathédrale anglaise de Canterbury qui admirèrent à l'œil nu un flash lumineux sur le bord du croissant de Lune. Ils venaient d'assister en direct à la chute d'une météorite qui donna naissance à un jeune cratère de 22 kilomètres de diamètre, nommé Giordano Bruno.
Depuis cette date les rapports d'observation se succèdent. Bien entendu, beaucoup de ces signalements sont sujets à caution. Très souvent rapportés par des individus isolés sur la base d'une observation visuelle limitée par les possibilités de l'instrument optique utilisé, ils sont sans aucun doute à mettre sur le compte d'effets atmosphériques ou d'optique. À ce sujet, les statistiques réalisées par la BAA sont éloquentes : seuls 2 % des rapports d'observation (53 sur 2.806) rédigés entre les années 1700 et 2010 font état de véritables LTP.
Pour ou contre les LTP ?
53 phénomènes lunaires transitoires, c'est à la fois peu et beaucoup. Ceux qui ne croient pas aux LTP font judicieusement remarquer que le développement de l'imagerie numérique ces dernières années n'a pour le moment permis d'enregistrer aucun de ces phénomènes avec certitude. Leurs opposants rappellent l'observation de Nikolai Aleksandrovich Kozyrev en novembre 1958. Cet astronome russe, qui travaillait avec un télescope de 1,25 m de diamètre à l'observatoire d’astrophysique de Crimée, étudia pendant 30 minutes une coloration rougeâtre dans le cratère Alphonse. Le spectre photographique qu'il réalisa révéla une émission de vapeur de carbone. Même à la Nasa les avis sont encore partagés.
En juillet 1969 on demanda à Neil Armstrong d'observer en détail le cratère Aristarque (souvent cité par les observateurs de LTP) au cours d'un des survols d'Apollo 11. L'astronaute américain signala une zone beaucoup plus lumineuse que les alentours, qui semblait avoir une légère fluorescence.
La sonde Ladee (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer) ici à droite au cours d'un test de ses instruments. Son lancement est prévu dans le courant de l'année 2013, et elle sera chargée d'étudier la fine atmosphère et la poussière lunaires. Les astronomes espèrent également qu'elle apportera des réponses concernant les très controversés phénomènes lunaires transitoires. © Eric James, Nasa Ames
Les LTP ne sont pas liés à l’activité solaire
Bien qu'elle ne permette pas de trancher le long débat autour des LTP, l'étude de la BAA révèle, par contre, que la fréquence de ces phénomènes n'est pas liée à l'activité solaire. Une idée largement répandue dans la communauté astronomique, depuis la formulation de cette hypothèse en 1945 par Hugh Percy Wilkins, un astronome amateur gallois.
Si les LTP se produisent sur la Lune, leur origine sera sans doute à rechercher du côté du dégazage de cette dernière. La distribution de ces phénomènes à la surface de la Lune révèle en effet une forte concentration sur le bord des fausses mers, là où la croûte lunaire est la plus fragile. La remontée ponctuelle de gaz par des fissures lunaires pourrait alors expliquer les effets de brouillard observés au cours de certains LTP. On peut également imaginer la formation de décharges électriques au sein de ces gaz (par effet triboélectrique) à l'origine de phénomènes lunaires lumineux.
C'est peut-être la sonde Ladee (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer) de la prochaine mission d'exploration de notre satellite naturel, qui permettra de mieux comprendre les LTP. Elle devrait être mise en orbite lunaire cette année, avec comme objectif l'étude de la fine atmosphère et de la poussière de la Lune. On en saura alors peut-être un peu plus sur ces étranges phénomènes lunaires transitoires...
Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les-phenomenes-lunaires-transitoires-un-petit-pas-vers-leur-explication_45956/#xtor=RSS-8
Sciences,Faits,Histoires-04-2013
Un Garde des débris de l'Accident de Roswell : J'ai reçu l'ordre de tirer pour tuer
Un Garde des débris de l'Accident de Roswell : "J'ai reçu l'ordre de tirer pour tuer"
Une équipe d'enquêteurs (dont l'auteur fait partie) a renouvelé ses efforts pour trouver et contacter les derniers vétérans en vie de l'Air Force qui étaient à Roswell au moment d'un crash d'OVNI qui a eu lieu au début de Juillet de 1947. Certains de ces témoins aujourd'hui octogénaires se sont ouverts au public pour la première fois et certaines choses qu'ils disent ne peut être décrites comme du reniement. Si le témoignage d'un particulier, vétérinaire à Roswell est vrai, alors l'explication de la Force aérienne d'un système de ballon Mogul comme étant un OVNI écrasé ne peux pas être. C'est parce que le vétérinaire soutient que le dirigeant de la base lui avait ordonné la plus extrême et redoutable des directives : On lui a ordonné de «tirer pour tuer» quiconque pourrait essayer d'entrer dans le hangar où les débris de l'accident ont été stockés. On ne serait pas ordonné de tuer pour un ballon. L'homme de service Calvin Cox a tenu secrète son expérience inquiétante à Roswell depuis des décennies. On lui a ordonné de ne jamais parler de lui. Et il ne l'avait jamais fait... jusqu'à maintenant.
L'Ordre Ultime
Le "tirer pour tuer" des ordres de l'officier remplace le protocole normal d'appréhender et d'arrêter. Cela signifie mettre fin instantanément à la vie d'une autre personne en tant que juge, jury et bourreau.
Un tel militaire assez consciencieux comme l'était le PFC Calvin Cox pourrait le faire. Cox est décrit dans l'Annuaire de la base à Roswell Army Air, sur le terrain en 1947 et d'autres informations indiquent qu'il a été attaché au 3ème Laboratoire Photo. Cox a été trouvé par moi pendant que j'essayais de localiser ceux qui étaient avec le laboratoire de photos à ce moment. Un militaire qui a été également affilié au laboratoire, Gene Neiderschmidt, avait suggéré que je contacte un Calvin Cox " qui savait des choses qu'il pourrait maintenant être ouverte à révéler." Gene a expliqué que Cox avait effectivement gardé le hangar où les débris ont été stockés. Gene a ajouté, « et ce qu'il vous dit est vrai. Il aurait fait n'importe quoi si on le lui avait ordonné, n'importe quoi. C'était une rude sorte de gars. ".
Je suis arrivé à joindre Calvin Cox par téléphone très récemment. Son histoire était celle qu'il était d'abord réticent à raconter. Mais ce qu'il a rapporté a été remarquable. Calvin a expliqué qu'il était tenu au top secret. Lorsque les débris du crash de Roswell étaient arrivés à la base, Calvin affirme qu'il lui avait été commandé d'effectuer une garde très urgente au Hangar 84. Ce serait pour un changement dans quatre heures. Le dirigeant, le major Edwin Easley, a chargé Calvin de garder une partie de l'intérieur de l'immense hangar. Et Calvin a fait cela. Mais ce qui lui provoque un arrêt, même aujourd'hui, ce sont les ordres énergiques qui lui ont été donnés ce jour extraordinaire :
Le Major Easley avait ordonné à Calvin, en termes absolus de « tirer et tuer quiconque tenterait d'entrer dans le hangar qui n'avait pas été autorisé à le faire."
Et Calvin ajoute qu'il lui avait alors été dit par le major qu'il ne pourrait pas utiliser son arme standard pour monter la garde. Au lieu de cela, Easley a montré à Calvin une mitraillette à être utilisé avec une force meurtrière au cas où on tentait de traverser.
Autres révélations du garde des débris :
Hangar 84 à Roswell base Aujourd'hui
Cox a dit qu'il y avait un garde placé à l'extérieur et un à l'intérieur à l'entrée du hangar. Il ne devait pas aller au-delà d'une corde qui avait été placée à quelques mètres après l'intérieur de l'entrée du hangar. Malgré cela, Calvin a eu l'occasion de voir certains des débris de Roswell à une certaine distance. Il a vu une partie du matériel de l'accident qui débordait d'un plateau de 60 pieds (18 m), rempli peut-être juste à la moitié de sa capacité de remorque. Il indique qu'il est apparu que le matériel de l'accident peut avoir été semblable à du métal, mais qu'il pouvait dire qu'il y avait des projections de poutres et que cela semblait brillant et lisse. Certains d'entre eux avaient peut-être eu une coloration bruni ou terni. Loin dans le hangar mal éclairé, il pouvait voir environ 30 pieds (9 m) d'une étrange matière, structurée comme du métal et cela était semblable à ce qu'il avait vu dans le plateau.
Cox affirme qu'à aucun moment au cours de cet événement il n'a vu quelque chose ressemblant à un ballon ou un système de ballons. Il se souvient des journaux affirmant plus tard que le disque qui avait été découvert avait été un ballon finalement et savoir personnellement que ce n'était pas vrai, mais être incapable de dire quoi que ce soit.
Calvin croit que les divulgations tardives dans la vie de l'Intelligence Officer Major Jesse Marcel au sujet que le matériau trouvé dans le désert n'était pas de la Terre étaient vraies. Calvin dit que Jesse était «simple» et que Jesse a été mis en place comme un «bouc émissaire».
Après le crash, Calvin a remarqué qu'il y avait du personnel autour de la base en grand nombre qu'il savait avoir été affilié avec les agences de renseignement, y compris à la fois le FBI et l'OSI.
Quand je lui ai demandé ce qui est arrivé aux débris, Cox a dit qu'il savait que le pilote Captain Oliver "Pappy" Henderson a été impliqué dans le vol aérien de certaines d'entre elles vers un autre emplacement. (Il y a plusieurs années, les chercheurs ont documenté que Henderson avait avoué à sa famille qu'il avait personnellement vu des corps étrangers et des débris étranges.)
Calvin aujourd'hui soutient que ce qu'il a gardé doit avoir été d'une telle importance que cela a affecté la sécurité nationale. Et il croit que ce qui s'est écrasé était "piloté". Quand j'ai demandé par qui, il a répondu par une question: « Croyez-vous aux extraterrestres ? "
Le major, ses ordres et ses aveux
Major Edwin Easley, Provost Marshal
Le Major Edwin Easley a été le grand fonctionnaire à Roswell Army Air Field en Juillet 1947. Un grand prévôt est à la tête du groupe de la police militaire dans une base d'opérations militaires. Il est le responsable de cette unité et est donc responsable de la discipline militaire, du maintien de l'ordre et d'autres fonctions de police. Easley a été celui qui a donné l'ordre de tuer à Calvin Cox. On croit que Easley, comme prévôt, a également connu le lieu de l'accident.
Quand Easley a été joint en 1991 par le chercheur Kevin Randle, on lui a demandé s'il pensait qu'ils «suivaient le bon chemin" sur la vraie nature de l'accident de Roswell. Easley a demandé: « Que voulez-vous dire ? " Quand il a été précisé comme se référant à " la voie extraterrestre ", Easley a répondu : « Eh bien laissez-moi vous dire que poser la question de cette façon-là n'est pas la mauvaise voie." Il n'en dira pas plus, ce qui indique qu'il était «tenu au secret».
Sa fille, Nancy Johnston Easley a déclaré que son père lui a dit qu'il avait fait une promesse au président Truman de ne rien révéler. Au cours de ses derniers jours, Easley a finalement confirmé aux membres de sa famille (et à son médecin, le Dr Harold Granik) qu'il y avait un «véritable crash» qui a eu lieu "au nord de Roswell." Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il avait vu là-bas dans le désert, Edwin a répondu : «Créatures».
par Anthony Bragalia, InterAmerica, Inc
posté par RRRGroup au Thursday, 18 Avril, 2013
http://ufocon.blogspot.fr/2013/04/roswell-crash-debris-guard-i-was.html
Traduit par Yves Herbo pour Sciences,Fictions,Histoires-04-2013
Communication de Bill Ryan sur une information mondiale importante
Communication de Bill Ryan sur une information mondiale importante
Bill Ryan
Bill Ryan (BR) : Au cours de l'été 2010 j'ai été abordé par un homme très inhabituel. Il raconte l'histoire de ce contact dans cette interview. Je l'ai appelé « Charles ».
Il a travaillé pendant de longues années pour le groupe élitiste qui considère que la responsabilité de gérer la planète lui incombe. Charles n'est ni universitaire, ni historien, ni scientifique. Mais il souhaitait communiquer des informations importantes sur la vision mondialiste et la philosophie de ce groupe -- vues de leur côté : ce qu'ils essaient de réaliser, pourquoi et comment. Lui et moi avons jeté les bases d’une amitié fondée sur l’estime réciproque. Dans cette interview, Charles expose son propre ordre du jour. Il aspire à ce qu’il appelle une « compétition loyale ».
De nombreux sujets n'ont pas été traités dans cet entretien. Il s'agit ici, dans une certaine mesure, du début d'un dialogue. Le groupe de 33 personnes, pour lequel Charles travaille, saisit indirectement cette occasion de communiquer. J'ai rapporté cet entretien aussi fidèlement que possible.
Conformément à l’habitude journalistique, on m'a demandé qu'une partie des informations données à ce stade le soit hors micro. Vous constaterez au fil de cette interview que de très nombreuses questions demeurent sans réponse. Je souhaiterais qu'un entretien complémentaire ait lieu. Mais la décision ne m'appartient pas.
J'ai trouvé intéressante la seconde moitié de 2010. Son point culminant est cette occasion qui m'a été offerte de communiquer indirectement, par l'intermédiaire de cette vidéo et de Charles lui-même, avec le groupe des gens qui dirigent la planète. Voici ce que j'aimerais dire à ce propos : je comprends l'histoire et le contexte que Charles a expliqués -- en partie reproduits dans cette interview. Mais il y a une autre façon de voir les choses.
Si vous êtes appelés à être les véritables dirigeants de cette planète, vous pourrez être les capitaines du Vaisseau Terre, et investis de la responsabilité de l'ensemble de la Famille Humaine. Une opération de nettoyage à grande échelle pourra avoir lieu. Vous savez que la technologie existe. Si nous y participons tous, c'est faisable.
De l'eau potable, de l'air pur, des océans propres, de l'énergie gratuite, une faune abondante, la santé et l'éducation pour tous.
La Terre pourrait être une planète paradisiaque, un modèle pour ce secteur de la galaxie.
La Race Humaine est une expérience à grande échelle et sur le long terme. Cette information, que vous avez confirmée par l’intermédiaire de Charles, ne paraîtra pas nouvelle à bon nombre de ceux qui regardent cette vidéo. Charles a expliqué que la race extraterrestre qui a initié ce projet, laisse tous les événements se dérouler, avec pour politique de ne pas intervenir. On peut soutenir que la conclusion optimale aux yeux de tous -- un résultat qui enchanterait ceux qui sont à l'origine du projet -- serait que la Race Humaine se prenne en charge, et qu'elle montre ce dont elle est capable.
Ce que vous laisseriez en héritage, ici et ailleurs, pour l'éternité, pourrait être :
« Nous avons réparé les dégâts. Nous avons inspiré et financé ce qu'il y a de mieux et de plus génial au monde dans chaque nation, dans le but de travailler ensemble pour résoudre les problèmes. Nous avons entièrement restauré ce beau, ce magnifique joyau de ce système solaire. Regardez ce que nous avons fait quand la Famille Humaine tout entière, organisée, déterminée, placée sous une direction inspirée, a travaillé ensemble, pour montrer simplement ce qu’on pouvait faire. »
Interview intégrale en PDF : les-dirigeants-du-monde-project-avalon-jan-2011.pdf
Yves Herbo : une information a prendre comme telle, c'est à dire que Bill Ryan (dont l'honnêteté n'est pas mise en cause) peut aussi avoir été victime d'une certaine désinformation volontaire... qui indiquerait d'ailleurs elle-même que le sujet est important et que les citoyens du monde entier doivent être vigilants, tant sur les apparences des choses que sur leurs réalités concrètes et résultats visibles... Comparez ce que vous voyez et entendez de plusieurs sources et non pas d'un seul journal d'information télévisé ou d'un seul gouvernement, d'un seul parti politique ou d'une seule autorité religieuse, d'une source... et si on fait vraiment abstraction de toutes ces influences psychologiques de la société, on ne peut que constater froidement la misère de l'immense majorité du genre humain à l'avantage de quelques nantis qui ne peuvent l'admettre...
MAJ : j'avais laissé le temps aux plus curieux de chercher la suite et l'actualité de cette communication (il suffit de cliquer sur le lien Bill Ryan en haut pour trouver facilement) mais voici un lien direct pour ceux qui ont demandé : http://projectavalon.net/lang/fr/whats_new_fr.html
Yves Herbo-SFH-04-2013
Déclassification de documents secrets sur les ovnis en juin au Brésil
Déclassification de documents secrets sur les ovnis en juin au Brésil
La décision a été prise suite à une réunion entre le ministère brésilien de la défense et les ufologues, réunis autour d'une table.
Selon le colonel Alexander Spengler, coordonnateur des services d'information des citoyens, le Ministère de la Défense brésilien diffusera publiquement en juin 2013 des documents classés "secrets" et impliquant des objets volants non identifiés.
On évoque une opération, réalisée entre 1977 et 1978, ayant révélé la présence de lumières dans la ville de Colares, ainsi que des rapports de pilotes à propos de lumières étranges.
La décision de libérer les documents a été prise après une réunion tenue le jeudi 18 avril 2013 entre les représentants du ministère de la Défense et des membres du Comité ufologique brésilien. " C'est la première fois que le ministère de la Défense d'un pays est assis sur la même table que des ufologues ", a déclaré Ademar Gevaerd, président de la commission ufologique brésilienne.
Rappel : en 1977, l'île brésilienne de Colares est visitée par des objets volants inconnus pendant des mois. On observe tous les jours toutes sortes d'engins de toutes tailles et toutes formes, arrivant par le Nord, depuis le ciel, voir sortant des eaux.
Trente-cinq habitants de l'île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L'armée intervient, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, tous les habitants évacuent l'île.
Selon le colonel Alexander Spengler, suite aux règlements sur la Loi sur l'accès à l'information (mai 2012), le Ministère de la Défense a reçu 107 demandes de renseignements liés à l'ufologie pour la divulgation de documents dont 65 pour l'armée de l'air brésilienne, 26 pour l'armée, 9 pour la marine, 5 pour le ministère central administratif et 2 pour l'école de guerre.
Selon le colonel, l'armée a dit qu'elle ne détenait guère de documents concernant l'événement connu sous le nom de "Varginha ET" en 1996 dans le Minas Gerais, parce qu'ils ont été égarés ou détruits, tel que la loi le prévoyait...
Les évènements de Colares 1977
Pas moins de 35 habitants de l'île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L'armée intervient, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, tous les habitants évacuent l'île.
Les événements se sont principalement concentrés sur la ville de Colares, environ 2000 habitants, sur l'île du même nom, qui se trouve dans l'Etat du Pará, dans le delta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil. Mais la région entière a été visitée par le même phénomène.
colares-reconstitution
En Août 1977 sur l'île de Colares, une phénomène étrange à commencé à se produire, que les autochtones nommaient Chupa-chupa (vampire, suceur). Des objets lumineux étranges sont apparus au-dessus des quelques villes de la région. Ces objets projetaient souvent de minces rayons, apparemment de lumière, dirigés vers les gens. Les personnes touchées s'évanouissaient et se réveillaient avec une anémie étrange. Elles témoignent qu'elles se sentaient comme si une partie de leur sang avait été prélevée par les rayons étranges.
Par exemple, le pêcheur Manoel João de Oliveira Filho, âgé de 44 ans, marié et résidant au 64 de la rue Carneiro de Mendonça, flânait vers la plage tôt pendant un matin avec quelques compagnons, avant de passer une journée de pêche en mer. Avant qu'ils aient rejoint leurs bateaux, ils ont vu - au-dessus de la plage de Rio Novo - un objet formé "comme un parapluie" stationnaire à environ 4m du sol. De sa partie la plus basse, une lumière blanche vive était émise. Aucun bruit n'était audible depuis l'endroit où ils se tenaient. L'objet s'est alors écarté toujours en silence vers Machadinho, éteignant sa lumière quand il commença à s'éloigner.
Un charpentier du nom de João Dias Costa âgé de 44 ans et un pêcheur nommé João Da Cruz Silva de 54 ans, tous les deux de la ville de Colares, virent des "sphères lumineuses" et ont été très effrayés car celles ci étaient près de balayer leurs embarcations.
Un autre homme de la ville de Colares, Zarcarias Dos Santos Barata, 74ans, a vu des boules incandescentes pendant deux nuits. La première fois, l'objet est venu de la direction du comté de Marajó, et a rapidement disparu vers l'intérieur de l'île de Colares. La deuxième nuit une autre boule, de couleurs bleues, a volé au-dessus du terrain de football local. "Elle a éclairé tous les arbres autour du terrain et puis a filée vers le centre de la ville," a indiqué monsieur Zacarias.
Monsieur Sebastião Vernek Miranda a décrit son expérience comme suit:
"J'étais là avec mon épouse, Palmira, devant l'église sur le front de mer, quand vers environ 20h00, nous avons vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville. Pendant qu'elle s'approchait, elle s'est élevée, et puis, se déplaçant rapidement, a disparu vers la partie intérieure de l'île."
Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, vivant au numéro 231 de la Travessa Deodora Da Fonseca, a eu une rencontre plus encore plus rapprochée avec des "lumières", comme il le rapporte lui-même :
" Tout le monde était endormi à part moi. J'étais en train de fumer une dernière cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison vers le haut près du pignon. Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis est finalement venue très près de mon hamac. Elle est remontée le haut de ma jambe droite jusqu'à mon genou (sans toucher ma peau). Je l'ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu'elle se déplaçait vers mon autre jambe. Alors j'ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant. L'aérolithe a rapidement disparu et tout le monde s'est réveillé. Je pense qu'elle avait recherché une veine dans mon corps mais n'est pas parvenu à le faire. Pendant que son éclat croissait j'ai senti une sorte de chaleur venir d'elle."
OVNI à Colares, vu de près.
L'ouvrier Raimundo Costa Leite, très bien connu dans la ville de Colares pour sa compétence dans les réparations des filets de pêche, décrit sa propre expérience:
"A environ 4,00 du matin, tôt, je suis allé pêcher avec mon ami "Baixinho" (Orivaldo Malaquias Pinheiro) au large de la plage de Cajueiro. Je me rappelle que "Baixinho" a crié " regarde ! Il est là " et a pris ses jambes à son cou, me laissant seul sur la plage. L'engin était de la taille et de la forme d'un hélicoptère, ne faisait aucun bruit, et volait très haut. J'aurais pu tirer jusqu'à lui si j'avais eu un pistolet avec moi. J'ai été terrifié quand la machine a émit une sorte de rayon lumineux vers le bas sur la plage. Cette lumière balayait le sol, illuminant tout ! C'était une lumière bleuâtre (une sorte de "lumière froide"). C'était assez facile pour moi de le voir parce que l'engin avait plusieurs petites lumières rougeâtres sous sa cloison avant. L'engin semblait chercher quelque chose au sol. J'avais peur qu'il puisse me toucher et, en dépit de mon état physique faible je suis parvenu à courir sur une grande distance, et alors "Baixinho" m'a retrouvé et m'a aidé. L'objet était venu de la direction de la mer et il se dirigeait au loin dans la partie intérieure de l'île."
En fait, tellement de gens ont rapportés avoir été attaqué par des faisceaux de lumière sortis de petits moyens ou grands OVNIS dans ce secteur que seulement quelques un sont mentionnés ici.
Le 20 octobre, trois femmes ont été frappées sur leur poitrine par les faisceaux de lumière: "chacune des trois a été atteinte d'une tension nerveuse énorme et d'une sorte inconnue de lassitude" comme si elles recevaient des décharges électriques constantes" écrivit un journal.
Dans la soirée du 29 octobre, Benedito Campos et son épouse de dix-sept ans Silvia Mara étaient à leur domicile quand "ils ont reperé un objet ovale et argenté émettant un faisceau verdâtre comme un phare, vers la salle où ils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont rapproché d'une petite fenêtre et, au moment ou ils faisaient cela, un rayon se projeta à travers la fenêtre et atteignit directement Silvia, la jetant dans une sorte d'état de transe." Silvia, qui était alors enceinte, s'est évanouie, sur quoi deux entités sont apparemment entrées dans la maison portant quelque chose ressemblant à une torche dorée et "le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet. Ses veines ont semblé "se soulever" comme gonflées par le faisceau qui les frappaient."
Plus tard, alors qu'il s'était rendu chez un voisin, Benedito a été également brièvement paralysé par un rayon lumineux. Craignant la perte du bébé à naître, le mari et l'épouse ont été transportés de nuit par bateau à la clinique médicale de Mosqueiro, suivis pendant tout le trajet par l'OVNI, qui n'a plus fait d'autre tentative de leur nuire. Ils sont restés là pendant trois jours, où l'épouse put récupérer, mais Benedito "était dans un état de dépression grave pendant quelques jours, ses fonctions motrices perturbées et, selon les propos de sa mère, "pleurant fréquemment."
L'activité des OVNIS au-dessus de l'île de Colares était si intense que les gens ont commencé à penser que les "Chupa-chupas" essayaient d'établir une sorte de contact avec eux. Telle était l'opinion exprimée par le Sr Raimundo Ferreira "Mimi" Monteiro. Il pense toujours que les engins provenaient des fonds de la mer ou d'une sorte de base sous-marine située dans le comté de Marajó ou peut-être dans la région du Caldeirão.
Alfredo Bastos Filho, un ancien maire de ville, a confirmé ceci et a indiqué: "oui, en effet je puis vous dire qu'il n'y avait alors pas un instant de tranquillité. La population était terrifiée par cette affaire de "Chupa-chupa". Je suis même parvenu à voir en personne "Mirota", une des femmes victimes des rayons qui était en traitement médical à la clinique de santé."
Les autochtones ont été tellement effrayés que plusieurs des femmes et des enfants ont quitté la ville. Les hommes qui sont restés allumaient des feux pour monter la garde la nuit, faisant en outre éclater des feux d'artifice et frappant des bidons à chaque fois qu'ils ont vu l'approche des Chupa-chupas. D'autres s'enfermaient dans leurs maisons par crainte du phénomène. On a mentionné plus tard que plus les gens faisaient de vacarme et de feux d'artifice pour les éloigner, plus ces engins s'approchaient d'eux.
Des blessés et un mort
En Novembre 1977 le médecin en charge de la santé publique dans l'île, le docteur Wellaide Cecim Carvalho, a pris soin d'environ 35 personnes prétendant avoir été touché par l'étrange rayon. Elle a pris des échantillons de sang, et a conclu que les victimes ont souffert d'hyperémie généralisée, de maux de tête chroniques superficiels, de brûlures, de fièvres intenses, de nausées, tremblements dans le corps, raideurs, asthénie et présentaient des très petits trous dans la peau là où ils avaient été frappés par les rayons.
Elle a écrit: "tous avaient souffert de lésions au visage ou dans la région thoracique." Les lésions, ressemblant à des dommages de radiations, "ont commencé par le rougissement intense de la peau dans le secteur affecté. Plus tard les poils tombaient et la peau tournait au noir. Il n'y avait aucune douleur, seulement une légère chaleur. Des marques de petites piqûre dans la peau pouvaient également être notées. Les victimes étaient des hommes et des femmes d'âges variables, sans liens entre eux."
En décrivant leurs expériences avec ces faisceaux lumineux, la plupart des victimes ont affirmé qu'elles ont été "immédiatement immobilisées, comme si un poids très fort a poussait contre leur poitrine. Le faisceau avait environ sept ou huit centimètres de diamètre et était de couleur blanche. Il ne les traquait pas mais les frappait soudainement. Quand ils ont essayé de crier aucun son ne sortait, mais leurs yeux sont restés ouverts. Le faisceau était ressenti comme chaud, "presque aussi chaud qu'une brûlure de cigarette," à peine tolérable. Après quelques minutes la colonne de lumière se rétractait lentement et disparaissait." La plupart des symptômes ont disparu en général après une semaine.
A Agulhas Fincadas, Mme Maria Lopes, habitante de Vila Gorete, aux confins du Rio Tapajós, dans le voisinages de Santarém (Pará), raconte son cas impliquant des engins étranges qui absorbent l'énergie des être humains, connus sous le nom de Chupa-Chupa. "J'ai vu un objet se poser tranquillement dans les buissons ici tout près... Il avait attaqué deux hommes et une femme, qui avaient commencé à se déplacer avec deux pêcheurs", raconte Maria. D'autres gens de l'endroit avaient été paralysés en observant la scène et des hommes ont été tués dans des circonstances identiques. Au coeur de chacun des décédés il y avait eu des ensembles de petits trous comme des dizaines d'aiguilles."
Beaucoup s'étaient blessés en essayant d'échapper à un de ces objets étranges. Dans de nombreux cas, les marques laissées par les rayons sur la peau de victimes étaient des marques qui pouvaient avoir jusqu'à huit petits trous. Dans ces occurrences, l'appellation de Chupa-Chupa (vampire) semblait bien appropriée car elles avait perdu jusqu'à approximativement 300 ml de sang par ces blessures.
Ce fut le cas pour Claudomira, une habitante de l'île de Colares. Elle affirme que sa famille ne trouvait déjà plus un sommeil normal à cause de la crainte de ces engins. "En un de ces jours, après minuit, je me suis réveillée en raison d'un flash puissant, une sorte de rayon de lumière verte claire focalisée qui est descendue du haut du toit vers ma poitrine gauche. J'ai essayé de crier, mais ma voix n'a pas fonctionné. J'ai senti une agréable chaleur... Plus tard, ce faisceau de lumière a diminué et j'ai vu que j'ai été brûlée."
Claudomira a indiqué qu'elle a aperçu un objet étrange, ressemblant à un parapluie, duquel un être de peau claire, avec des yeux "orientaux" et de grandes oreilles sortit. Selon elle, la créature était habillée d'un vêtement verts serrés et avait eu une sorte de pistolet dans la main, qui a émis le faisceau lumineux. A ce moment, Claudomira s'est senti perforé comme par des aiguilles sur son sein. "
Après cela, j'ai ressenti une migraine et une grande faiblesse, qui m'a laissée prostrée pendant plusieurs jours." Le lendemain de l'événement, elle avait été dirigée vers l'unité sanitaire de la ville, où elle a été prise en charge par le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui l'a envoyée à l'institut médical Renato Chaves, à Belém, pour des examens de complément. Son malaise et ses migraines constantes ont duré de nombreux jours, suivis de fatigue et de faiblesse. Des années après, Claudomira ne se sent toujours pas complètement remise. "Ma santé n'est jamais redevenue la même depuis cette nuit." Elle n'est pas la seule avoir vécu une telle situation. Une estimation dit que des milliers de gens, également des hommes, avaient souffert les attaques du Chupa-Chupa dans les années de 1970 à 1980, et ces incidents se produisent toujours aujourd'hui, bien que moins fréquemment.
"Les séquelles émotives et physiques sont très communes dans ces cas," affirme le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui a pris soin de Claudomira. Bien qu'elle ait été sceptique et qu'elle ait d'abord cru que les histoires de Chupa-Chupa étaient des croyances populaires ou de la sorcellerie, le Dr Wellaide a fini par être convaincue de la véracité des cas quand elle a été confrontée à leur fréquence croissante. "Avec l'augmentation du nombre des personnes blessées, j'ai commencé à accorder plus d'attention aux dommages existants. J'ai vu les choses qui n'existent pas dans mes livres médicaux," dit-elle. Selon elle, les victimes de Chupa-Chupa présentaient des brûlures des plus étranges, pas comme celles provoquées par le feu ou l'eau chaude, comme on pourrait le penser, mais très semblables à celles produites par des irradiation de cobalt.
"Les dommages changeaient avec le temps. D'abord cela commençait par une raideur intense dans le secteur touché, ce que l'on appelle une hyperémie. Plus tard, la peau de la région affectée commençait à tomber (alopécie) et des jours plus tard la peau pelait. "Dans cette période de développement," a dit Wellaide, "il était possible de noter des trous, semblables aux perforations par des aiguilles." Un des cas les plus intéressants dont elle a assuré les soins s'est produit avec une dame qui avait des problèmes cardiaques. Elle est arrivée au bureau du docteur très nerveuse et immédiatement elle a montré son sein gauche, sur lequel il y avait deux trous étranges.
La brûlure.
Elle s'est plainte de nausée, de souffle court et de faiblesse, symptômes caractéristiques déjà connus par les personnes frappés par le phénomène. Le docteur a essayé de la calmer et elle est rentrée à son domicile. Mais vers environ 15:00, cependant, le Dr. Wellaide a été appelée au chevet de cette femme, qui était tombée très malade. Son corps entier était immobile et elle avait du mal à respirer mais elle n'avait ni fièvre$ ni vomissements. Voyant le sérieux de la situation, le docteur l'a transportée à un hôpital de Belém.
Des heures plus tard, elle a reçu les papiers médicaux et l'extrait d'acte de décès expédiés par l'institut médico-légal Renato Chaves, qui a énoncé qu'une crise cardiaque comme cause de la mort. Le fait intrigant est qu'à aucun moment les médecins de Belém n'aient seulement mentionné les dommages sur son corps et n'ont pas même dit s'ils avaient effectué des examens de compléments.
Electricité :
Concernant les effets possibles des OVNIS sur l'approvisionnement en électricité, le Senor Geraldo Aranha de Oliveira du C.E.I.P.A. (centrale électrique de Pará) a expliqué:
" En 1977 la sous-station du C.E.I.P.A. se composait de trois moteurs Scania de 125 kilowatts, assurant l'éclairage de la ville à partir de 18:00 jusqu'à minuit. Je ne me rappelle pas avoir vu le moindre OVNI au-dessus de l'usine. Je me rappelle simplement que pendant cette période, un bon nombre de tiges de paratonnerre ont été brûlés et, parfois, également des fusibles."
Les forces aériennes alertées :
La COMAR (Comando Aéreo régional, le commandement régional de l'Armée de l'Air Brésilienne), est arrivé à Belem, et fait une série de recherches dans la région, sous le nom d'opération "Prato" (assiette, ou soucoupe"). Le Capitaine Uyrangê Bolivar Soares Nogueira De Hollanda Lima a dirigé toutes les opérations dans la région. Pendant les investigations, l'Armée de l'Air a tourné quatre films et pris des centaines de photographies des soucoupes volantes dans le bassin de Marajó. Ils ont également été d'un grand secours pour la population, fournissant l'aide de psychologues, pour éliminer la panique qui s'était emparée de toute la région.
Les rayons de lumière des engins ont été décrits comme étant si lumineux qu'ils ressemblaient à ceux employés pour éclairer les stades sportifs la nuit. Ils ont "toujours été nettement définis, dirigés avec une précision parfaite vers toutes leurs cibles - les maisons, les gens, bateaux, arbres, et même les hélicoptères de la force aérienne Brésilienne déployés au-dessus de l'île pendant les investigations. En une occasion on rapporta qu'un de ces puissants faisceaux obligea l'un des hélicoptères à atterrir, cependant la raison technique exacte ne fut pas communiquée. (...)
Suites, développements et enquêtes ci-dessous, en attendant les documents déclassifiés de juin 2013 :
http://www.forum-ovni-ufologie.com/t6938-l-affaire-de-colares-1977-merite-toute-notre-attention
http://ufologie.patrickgross.org/htm/colareshollanda.htm
http://www.prufon-news.com/2010/05/colares-island-ufo-attacks.html
http://ovnis-direct.com/actuovni2013/index.html#bv000006
http://ufoetscience.wordpress.com/2012/12/10/dossier-bresilien-operation-pratoles-observations-de-colares/
Yves Herbo-SFH-04-2013
Le sujet OVNI a toujours intéressé le gouvernement russe
Le sujet OVNI a toujours intéressé le gouvernement russe
Aujourd’hui, les thèmes paranormaux font si souvent la une des tabloïdes que les scientifiques sérieux préfèrent se taire, ne voulant y être associés. Crédit : Leonid Savinov / RIA Novosti
A question surprenante, réponse non moins incroyable de Dmitri Medvedev lors d’une interview récente sur la chaîne russe REN-TV. Une journaliste a demandé à l’ancien président s’il était vrai que, lors de la prise de fonction, en plus de la valise nucléaire, on lui remettait aussi un dossier secret sur les ovnis. Ce à quoi le Premier ministre a répondu sans sourciller qu’en effet, c’est un dossier confidentiel des services de renseignement sur les extraterrestres présents sur le territoire russe. Il ne peut en aucun cas en dévoiler le nombre pour ne pas semer la panique. Pour toute information complémentaire, il a conseillé de visionner le film « documentaire » Men in black.
Cet humour sert à masquer une réalité intacte depuis l’époque soviétique : les ovni et autres phénomènes paranormaux restent un sujet classé secret défense et qui ne peut être discuté en public, tout du moins par les représentants officiels.
En revanche, certains scientifiques ou anciens haut gradés soviétiques n’hésitent pas à lever le voile sur le secret des ovnis, comme lors de la dernière « conférence de Ziguel » qui s’est tenue en mars dernier à Moscou. Du nom de Felix Ziguel, astronome et mathématicien soviétique et célèbre ufologue reconnu, ce cycle de conférences biannuelles est consacré à l’étude de phénomènes paranormaux.
Ziguel a été le premier en Union soviétique, dans les années 60, à attirer l’attention sur le sérieux du thème des ovnis, considérés jusque-là comme un élément de l’imaginaire fantastique. Grâce à lui, un grand nombre de personnes a commencé à s’intéresser et à recueillir des informations sur le sujet.
C’est en 1978 que les autorités officielles ont changé leur attitude face au phénomène. Après que des milliers de gens en état de choc ont témoigné avoir observé pendant quelques heures un objet étrange briller dans le ciel et que les pays voisins aient exigé de rendre compte d’étranges exercices militaires aériens.
La dernière goutte d’eau fut la lettre adressée par l’académicienAlexandrov, inventeur des centrales nucléaires, au gouvernement, pour le convaincre de prendre ce sujet au sérieux et de mettre en place un programme spécial pour étudier ce genre de phénomènes.
L’Etat désigna le général-major Vassili Eremenko, membre de l’Académie sur les problèmes de sécurité et de l’ordre, représentant de l’aviation militaire, qui fut chargé de créer un département spécial pour recueillir les informations concernant les ovnis.
Vassili Efremenko raconte à La Russie d’Aujourd’hui avoir alors réuni une multitude de témoignages de phénomènes paranormaux. Des consignes ont même été dictées aux forces aériennes pour prévenir toute forme de représailles en cas de rencontre avec un ovni.
Au début des années 80, une première prise de contact avec un ovni a été tentée, sur le polygone militaire de la région d’Astrakhan. Les experts avaient observé que ces phénomènes se multipliaient dans les endroits de concentration d’activité militaire.
« Nous pouvons affirmer que, durant ces essais, nous avons réussi à contacter les ovnis. Pour celà, il suffisait de procéder à des déplacements massifs d’engins militaires, de multiplier les décollages d’avions de chasse. Nous arrivions à obtenir l’apparition d’un ovni dans presque 100% des cas », explique Vassili Eremenko. Ils se manifestaient sous forme de grosses boules de lumière.
Avec le temps, tout le monde s’est habitué, c’était devenu normal. Certains ont alors tenté d’entrer en contact direct avec ces manifestations extraterrestres.
« Ça se passait ainsi : depuis la terre, quelqu’un agitait les mains, deux fois à droite, deux fois à gauche. Et la forme dans le ciel se déplaçait deux fois à droite, deux fois à gauche. Nous ne savons cependant pas comment l’expliquer », avoue le général-major.
Les spécialistes militaires et les scientifiques russes ont fini par émettre trois hypothèses : ce peut être le résultat d’un phénomène naturel que la science ne peut encore expliquer. Deuxième solution : ce sont des appareils espions américains ou japonais. Ou encore la manifestation d’une civilisation extraterrestre.
Aujourd’hui, les thèmes paranormaux font si souvent la une des tabloïds que les scientifiques sérieux préfèrent se taire, ne voulant y être associés. Eremenko assure qu’à plusieurs reprises, dans le cadre de conversations privées, des pilotes et cosmonautes lui ont raconté avoir été confrontés à de tels phénomènes. Mais ils refusent d’en parler en public. Notre spécialiste reste convaincu que ce sujet mérite d’être pris au sérieux car il touche à la sécurité du pays.
Sources : La Russie d’Aujourd’hui + http://area51blog.wordpress.com/2013/04/16/le-retour-des-ovnis-en-russie/
Yves Herbo-SFH-04-2013
Rakhigarhi : l'énorme ville de la civilisation de l'Hindus se dévoile
Rakhigarhi : l'énorme ville de 2 240 000 m2 de la civilisation de l'Hindus se dévoile
Les restes sont presque imperceptibles près du petit village de Rakhigarhi dans le nord de l'Inde. Les caractéristiques les plus visibles sont constituées de monticules bien ordonnés de galettes de bouse de vache, l'engrais naturel pour les exploitations agricoles des villageois d'aujourd'hui...
Sous la surface, cependant, se trouvait un vaste réseau de ruines et d'objets, autant d'indices d'une ancienne ville. Elle devait rivaliser, et probablement dépasser, l'énorme site archéologique le plus connu de la civilisation de l'Indus : Mohenjo-Daro.
Avec 224 hectares (2 240 000 m²), le site de Rakhigari peut se vanter d'être le plus grand site Harrapéen connu (civilisation de l'Indus) en Inde.
Depuis 1997, l'Archaeological Survey of India a entrepris une fouille minutieuse du site, révélant non seulement sa taille, mais aussi de nombreux objets, y compris des routes pavées, un système de drainage, un grand système de collecte des eaux pluviales, un système de stockage, une fabrique de briques en terre cuite...
Ils ont aussi trouvé des métaux finements travaillés, des bijoux, des coquilles de conque, de l'or, des pierres semi-précieuses, des cachets, des autels, et au moins un site funéraire.
Certains des artéfacts et éléments ont plus de 5000 ans. Les restes sont dispersés parmi cinq tertres, dont trois peuvent être fouillés. Les deux autres sous-tendent des zones peuplées et des parcelles agricoles.
La culture Harappéenne, dont Rakhigari faisait partie, était l'une des premières civilisations les plus avancées et était un important partenaire commercial de l'Egypte antique et de la Mésopotamie.
Néanmoins, on en sait relativement peu sur celle-ci. C'est la raison pour laquelle Rakhigari est un site clé pour la recherche et la conservation.
La plupart de la superficie du site reste à fouiller, et son intégrité archéologique est confrontée à un certain nombre de menaces graves, dont l’empiétement urbain, l'agriculture et l'érosion.
Pour faire face à ces menaces et protéger et préserver le site (pour des fouilles supplémentaire et pour le tourisme), des équipes d'experts, ainsi que des participants de la communauté locale, vont mettre en œuvre un certain nombre de mesures de conservation et de planification pour assurer sa pérennité.
Ainsi, le Fonds du patrimoine mondial (Global Heritage Fund - GHF), une organisation américaine à but non lucratif, espère mettre en place une approche holistique pour la protection et l'aménagement du site en intégrant la planification, la conservation, le développement communautaire et des partenariats stratégiques.
Asie : sites antiques en danger
Comme les anciennes structures ont été construites avec des briques de boue, l'érosion peut survenir rapidement après la mise au jour, il est donc impératif de commencer la conservation de suite.
Jusqu'à présent, le GHF et ses partenaires ont déjà terminé les sondages au géoradar et à la résistivité électrique du site. Ils ont effectué des relevés d'échantillons en surface pour identifier les zones d'activité et orienter les fouilles.
Pour la communauté scientifique, il s'agit d'un véritable trésor de nouvelles information et de données qui peuvent apporter un éclairage précieux sur la compréhension d'une ancienne grande civilisation.
Les tertres de Rakhigarhi tels qu'ils apparaissent aujourd'hui. Notez l'utilisation extensive pour le stockage du fumier; Photo Credit: Sourav De, courtesy Global Heritage Fund
"Par sa taille, sa dimension, son emplacement stratégique et l'importance unique de la colonie", rapporte GHF ", Rakhigari correspond aux grandes villes harappéennes de Dholavira, Harappa et Mohenjo-Daro. Par ailleurs, les phases anciennes, mature et tardives de la culture Harappéenne sont toutes représentées à Rakhigari, offrant un excellente et rarissime endroit où étudier le développement et le déclin de cette civilisation antique énigmatique".
Source:
Popular Archaeology: "Little-Known Archaeological Site Could Answer Questions About The Enigmatic Indus Valley Civilization"
Yves Herbo-SFH-04-20132