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L’ASSOCIATION QUEBECOISE D’UFOLOGIE REJOINT LE RESEAU DES VILLES OVNI
L’ASSOCIATION QUEBECOISE D’UFOLOGIE REJOINT LE RESEAU DES VILLES OVNI
L’association Québécoise d’Ufologie (l’AQU) qui organise chaque mois à Montréal, au Québec, les soupers ufologiques, rejoint le réseau du Mufon France et Francophone en tant que ville ovni : OVNI MONTREAL. Les villes ovnis sont des lieux ou sont organisés régulièrement des réunions, rencontres ou repas qui ont pour le thème le phénomène ovni.
L’AQU est présidée par Gilles Milot, Théoricien, il pratique et s’intéresse à l’étude du phénomène ovni depuis près de trente ans. Gestionnaire de projets de profession pour une importante firme d’ingénieurs conseils du Canada, Gilles se passionne plus particulièrement pour la théorie des astronautes de l’antiquité. Riccardo Melfi en est le Vice-président Senior et Responsable du contenu WeB. Bachelier universitaire (majeur en étude anglaise et mineur en étude allemande). Anciennement sur le comité d’enquête de SOS OVNI QUÉBEC et de l’Organisation de Compilation et d’Information sur les Phénomènes Étranges (OCIPE), il est le cofondateur à l’origine de Énigma, la revue de l’actualité insolite. Il a été recherchiste et chroniqueur durant la première année de la défunte émission Énigme qui fut diffusée sur le câble Vidéotron de septembre 1996 à janvier 1998. Il fait de la recherche active depuis environ une quinzaine d’années. Il est l’auteur de quelques articles sur les phénomènes inexpliqués. Sa spécialité est l’étude des phénomènes paranormaux. Il se définit comme un ” mystériologue “. Et enfin, Pierre Caron, Ps, C.ht. est le Vice-président Senior et Spécialiste des Enlèvements. Psychanalyste. Ex membre enquêteur de l’Organisation de Compilation et d’Information sur les Phénomènes Étranges (OCIPE), Pierre a donné de nombreuses conférences sur les phénomènes inexpliqués. Il a été conseillé dans les cas d’enlèvements extraterrestres pour le CEIPI dans lequel il a animé des groupes de soutien aux victimes de ces supposés ravisseurs de l’espace.
L’Aqu a été créé en 1998 et fête donc cette années ses 13 années d’existence. Cette association qui s’intéresse au phénomène ovni est ouverte à toutes les personnes souhaitant s’impliquer dans l’étude de ce phénomène et ne prône aucune idéologie ou hypothèse quant à la réalité ou non de ce phénomène, propose à ses membres une tribune pour s’exprimer, débattre et échanger des hypothèses sur ce mystère dont l’origine remonte aux temps anciens. Elle est aujourd’hui la plus importante association au Québec, elle est réputée pour son sérieux et pour la qualité de son travail. Elle applique d’ailleurs un code éthique qui donne une certaine garantie sur sa façon de travailler. En voici les grandes lignes :
- Responsabilité envers les témoins,
- Responsabilité envers le public,
- Responsabilité envers l’Association Québécoise d’Ufologie (A.Q.U.),
- Responsabilité des Directions Régionales,
- Déclaration de l’adoption du code d’éthique
Un souper Ufologique à Montréal
Chaque mois, un Souper ufologique est organisé par l’Aqu ou vous êtes cordialement invité à y participer. (Pas de cotisation, pas d’adhésion, vous ne payez que vos consommations) Après le souper, une conférence sur un thème défini à l’avance est donnée par un participant, un membre de l’Aqu, un invité extérieur et chacun peu s’y exprimer librement. Ces Soupers sont organisés à partir de 19 h 00 au restaurant Al-Raouché situé au 4953 boulevard Henri Bourassa Est à Montréal. (Programme sur le site de l’Aqu : http://www.ovni-expert.com/ ).
Si vous vous posez des questions à propos du phénomène Ovni, n’hésitez pas à contacter L’AQU, ville OVNI MONTREAL et de suivre ses activités sur son site Internet ainsi que sur la page qui lui est réservé sur le site du Mufon France (http://www.mufon-france.fr)
Yves Herbo : je n'appartiens à aucun groupe spécifique d'ufologues ou d'adeptes quelconques à telle ou telle théorie (ni même idéologie ou religion/spirituelle ou scientifique). J'ai bien sûr comme tout le monde quelques préférences mais je me refuse à fermer définitivement la porte à toutes possibilités, ce que font par défaut la majorité des groupes qui finissent par se spécialiser entre gens ayant en "majorité" le même avis et qui finissent par se débarrasser naturellement de ceux "qui sont totalement opposés à la majorité" et leur avis. L'histoire du genre humain prouve malheureusement cette tendance aliénée de l'Homme à vouloir tirer pouvoir et intérêt à la moindre occasion, dès qu'il y a regroupement de motivations communes dans un groupe. La diversité d'opinions, d'avis différents, est nécessaire même au sein de groupes ayant un thème, un objectif, un objet même en commun. Et on constate trop de "batailles verbales", d'exclusions, de censures et même d'insultes qui viennent en contradiction à ces simples principes dans la grande majorité des groupements censés et même affirmant parfois leur ouverture à tout questionnement ou avis, justement... De plus, je sais (certitude, oui) que des phénomènes physiques encore inconnus et qui restent à découvrir couvrent l'ensemble des phénomènes que nous distinguons comme "ovnis", "paranormaux", "spirituels", "mythiques"... je suis donc ouvert aux initiatives diverses qui proviennent de tous ces groupements d'avis divers ou en commun ou simplement locaux et prêt à les relayer à titre d'informations, de données et d'études, sans toutefois adhérer pleinement bien sûr aux écrits et opinions diverses relayées. Il m'arrive de donner ma propre opinion parfois, mais j'affirme qu'il ne s' agit que de ça dans la majorité des cas. J'ai mes certitudes et preuves mais je n'entends pas obliger quelconque à y croire contre sa volonté : ce n'est pas ce qui m'importe... un peu comme St Thomas, je ne crois toujours que ce que je vois, mais j'ai vu, tout comme lui à priori...
Relayé par Yves Herbo SFH/04-2013
Antarctique : Un cas d’OANI historique
Antarctique : Un cas d’OANI historique
Lors d’une soirée froide et sombre pendant l’opération "Deepfreeze" de la Navy (1955-1956), une rencontre étonnante a eu lieu en baie de l’Amirauté (région de l’Antarctique), à laquelle ont assisté deux membres d’équipage et un scientifique à bord du brise-glace américain Eastwind Coast Guard Cutter.
Note spéciale : Plus de détails sur cette affaire seront révélés dans la partie 2 de cette série. Référence # 4 (non associé à la collection Leonard Stringfield)
Tous les autres membres d’équipage étaient sous le pont au moment de l’incident. Aux alentours de 21h00, un engin en forme de balle de couleur argentée » a été vu transpercer 37 pieds (11,30 mètres) de glace solide à environ ½ mile (800 mètres) du navire, et s’envoler dans le ciel à une vitesse élevée. Un chercheur brésilien du nom de Dr Rubens Villela J. a été choqué en voyant le vaisseau se propulser à travers la glace. En la traversant, l’étrange engin a projeté d’énormes blocs de glace haut dans le ciel, qui sont retombés à la surface avec fracas.
L’engin a laissé un trou de forme circulaire dans la glace en partant. Deux témoins oculaires supplémentaires (un officier et un barreur ) ont également remarqué que de l’eau bouillante et de la vapeur émanaient du trou d’où l’engin avait jailli.
Ce cas particulier d’ovni/oani se classe parmi les plus importants dans l’ensemble des historiques en raison du fait que l’engin a voyagé à travers quatre milieux différents: l’eau, la glace, l’air et l’espace (Source: Les Invisibles Sous les Mers par Ivan T. Sanderson) (Deepfreeze Opération USO illustration par William McDonald -. Merci à Michael Schratt
Source : George Filer’s Files Traduction Era pour Investigations Océanographique et OANIS et http://area51blog.wordpress.com/2013/04/05/antartique-un-cas-doani-historique/
SFH 04-2013
JT ODHTV Ovni en France du 26-03-2013 et Direct du 06-04-2013
JT ODHTV Ovni en France du 26-03-2013 - Direct le 06-04-2013
L'émission JT Ovni en France édition du 26 mars 2013 vous est présentée par Gilles.T.
Dans cette nouvelle édition, nous vous partageons l'actualité ovni en France de septembre à décembre 2012, le témoignage de David qui a observé avec de nombreux autres témoins, lors de l'été 2005, un immense triangle volant à côté du Grand Quevilly dans le département seine-maritime. Lors de l'observation, un rayon est sorti de l'engin, qui a paralysé les témoins. Ils se sont réveillés le lendemain dans leurs tentes, sans aucun souvenir de leur nuit après l'observation.
Dans la page régionale de l'édition, je vous fais découvrir les observations d'Ovni dans le département de la Vienne en collaboration avec Joël Mesnard du journal "Lumières dans la nuit".
La prochaine édition du JT Ovni en France sera disponible dans un mois.
Notre page Facebook: http://www.facebook.com/pages/ODH-Tv/.
Infos ODH : Ce soir, le 05-04-2013, à partir de 21h sur le t'chat sirus/suricate, Tyron29 créateur et blogmaster de la Taverne de l'étrange vous parlera de son blog, ses observations et ses enquêtes. Rendez-vous au lien suivant : http://sirus.forumgratuit.org/
Direct le 06-04-2013 : La prochaine soirée se déroulera le samedi 06 Avril 2013 de 21h à 23h, le thème sera l'avenir de l'ufologie Française. http://www.facebook.com/
Relayé par SFH-04-2013
Les portraits préhistoriques de la Grotte de la Marche
Les portraits préhistoriques de la Grotte de la Marche
Contrairement à un préjugé très enraciné, nos ancêtres nous ont laissé des portraits d'eux-mêmes, mais ils ne sont mentionnés dans aucune source officielle relative à la préhistoire (à l'époque de cet article et sur le web).
A partir de 1937 le français Léon Péricard, aidé de Stéphane Lwoff, fouille le site de la grotte de la Marche pendant plus de 5 ans.
En 1940, il publie un ouvrage intitulé "iconographie humaine du magdalénien" concernant ces dalles gravées mobiles, mais le tort de cette étude est de présenter des documents qui prouvent que nos ancêtres, loin d'être des hommes-singes, avaient les traits du visage identiques aux nôtres, et portaient robes, bottes et chapeaux.
Ces dessins sont ensuite refoulés du savoir pendant plus de soixante ans: ils ne figurent nulle part, et de ce fait sont méconnus du public, et il faut attendre 2002 pour qu'un scientifique allemand, le Dr Michael Rappenglueck, de l'Université de Munich, les "authentifie" ! (ceci illustre le trop grand conservatisme et "cartésianisme abusif" de la science française très longtemps, et qui existe encore d'ailleurs, retardant sans arrêt les progrès à ce sujet...).
¨Il y a là 155 représentations humaines, montrant des hommes étonnamment identiques à nous-mêmes." (quoi d'étonnant en fait, puisqu'il s'agit d'Homo Sapiens totalement identiques à nous et possèdant les mêmes capacités mentales...).
La représentation humaine est rarement traitée dans l’art paléolithique, et quand elle l’est, c’est le plus souvent de façon schématique. A la Marche, de nombreux visages sont représentés, traités de profil mais également parfois de face, faisant apparaître des traits individualisés, très accentués. L’ensemble de ces gravures constitue donc une exception, ce qui le rend unique au monde.
Plus étonnant encore, les auteurs furent des portraitistes remarquables, sachant saisir et accentuer les traits distinctifs d'un visage. Nous voyons là, les tout débuts de la caricature.
Il semblerait même que l'on ait à faire à une école de dessin car des artistes différents se sont exprimés successivement sur le même support qui devait régulièrement être enduit à nouveau d'ocre jaune. Ce qui fait que ces blocs et plaquettes en calcaire présentent de multiples représentations sous formes d’incisions fines enchevêtrées, superposées dans toutes les directions. De nombreux traits parasites viennent s’ajouter aux représentations, rendant leur lecture particulièrement délicate. Toutefois, à partir de l’observation visuelle sous différents éclairages, Léon Pales – à la suite d’Henri Breuil - a pu étudier et publier la représentation de centaines de plaquettes. Aujourd’hui, de nouvelles gravures sont en cours d’étude à l’aide de techniques modernes faisant intervenir les rayons laser. (pour rappel, le laser date des années 1960 et est directement issu de la physique quantique).
Ci-dessus l'original, ci-dessous sa lecture.
Le moins que l'on puisse dire est que ces portraits sont vraisemblablement très réalistes !
Les exemples de lecture aisée comme celle-ci, sont rares !
Représentation de deux personnages en action (?)
Relevé J. Airvaux - Grotte de la Marche
Autre particularité: sur le sol de cette grotte ces magdaléniens avaient gravés la Constellation des Pléiades, qui du reste se retrouve en bien d'autres grottes similaires dans toute l'Europe. Pourquoi cet intérêt si particulier ? Quels rapports nos ancêtres entretenaient-ils avec les Pléiades ? Pour rappel, nos lointains ancêtres semblent avoir été d'abord "obsédés" par la constellation des Pléiades avant de se tourner, pour des raisons inconnues, par celle d'Orion (connue aussi comme "Chasseur d'Orion")...
Profil humain avec scarification
Relevé J. Airvaux - Grotte de la Marche
Homme-oiseau avec des chaussures
Découverte et fouilles à la grotte de La Marche
La cavité a d'abord été explorée par H. Lavergne en 1914 qui retrouva dans le sol des outils en silex. Il ne vit rien d'autre d'exceptionnel et ses "fouilles" s'arrêtèrent là.
En 1937, un amateur local, L. Péricard, recommença des fouilles et mis au jour des pierres gravées, des restes de parure ainsi que des objets lithiques et osseux. Avec Stéphane Lwoff le chantier de fouilles dura cinq années. Durant cette période l'abbé Breuil s'y rendit à deux reprises (1939 et 1940) pour expertiser les trouvailles.
De 1957 à 1958 Louis Pradel entama de nouvelles fouilles.
Enfin, de 1988 à 1993, une étude plus complète de la stratigraphie et des couches sédimentaires de la Grotte de la Marche fut menée par Jean Airvaux.
La Grotte de la Marche - Copyright J.C. Péricat
La grotte de la Marche, les plaquettes
La Marche n'est pas une grotte ornée mais c'est pourtant un site préhistorique majeur qui a livré une impressionante quantité de représentations humaines... Contrairement à Lascaux (peintures murales) ou aux Combarelles (gravures pariétales), à la Marche tous les ornements ont été réalisés sur des plaquettes de calcaire que l'on a retrouvées dans le sol.
A première vue ces plaquettes sont de simples morceaux de calcaire sans forme précise : non taillés, sans couleur, sans forme particulière. Il suffit pourtant de les exposer à un éclairage latéral pour voir apparaître les gravures.
Pour vous aider à mieux percevoir les gravures le Musée de Lussac-les-Châteaux propose à côté de chaque plaquette exposée un dessin qui reprend les grands traits de la représentation, comme l'exemple ci-dessous de la gravure d'une tête.
Plaquette ornée d'une tête gravée
Musée de Lussac-les-Châteaux
Lire la suite ci-dessous:
Retour sur le Mythe des Géants
Retour sur le Mythe des Géants
Théories sur l'existence historique de géants
Les théories sur l'existence historique de géants sont popularisées par des auteurs de pseudo-science, de pseudohistoire, des théoriciens du complot ou des ufologues. Leur véracité n'est pas démontrée par la science ou l'histoire, mais le thème est évoqué dans la Bible. La théorie de l'évolution ne laisse aucune place à d'éventuels géants humains. Des auteurs affirment toutefois que, loin d'être des créatures légendaires ou mythiques, les géants humains ont bien existé. Des découvertes d'ossements de géants sont périodiquement publiées, apportant de la matière aux tenants de ces thèses, dénoncées comme d'autant de canulars par d'autres.
Les géants dans la Bible
La Bible mentionne l'existence de géants à différentes reprises. Dans la Genèse, il est dit « Et il y avait des géants sur la Terre en ces temps-là (…) ». Le roi David combat également le géant Goliath. La taille présumée du Goliath biblique est d'environ 2,80 m, tandis que Robert Wadlow qui détient le record de l'homme le plus grand ayant existé dans l'histoire moderne mesurait 2,72 m à l'âge de 22 ans.
Dans le Livre des Nombres, il est fait référence aux géants : « nous vîmes des géants, les fils d’Anak… et à nos yeux nous étions devant eux comme des sauterelles ».
Dans le Deutéronome, il est fait référence à l'Og géant, le roi de Basan : « (…) et nous prîmes toutes leurs villes, car Og seul restait, des fils des géants, et voyez, son lit était un lit de fer, et n'est-il pas à Rabbath, chez les enfants d'Ammon, et il était de neuf coudées de long et de quatre de large, des coudées d'homme (…) ». Une coudée était d'environ 45 ou 50 cm. Par conséquent, le lit du roi Og était de 4,5 mètres de long et environ 2 mètres de large
Dans le Livre de Josué, il est fait référence à la « terres des géants ».
Une légende parmi beaucoup d'autres :
Empreintes et ossements fossiles de géants
xixe siècle
1844, Ohio : http://solomonspalding.com/SRP/saga2/sagawt0a.htm
En 1877,
on aurait découvert, à Spring Valley (Nevada) près de la localité d'Eureka, en partie scellés dans du quartzite, les ossements d'une jambe humaine mesurant un mètre du genou à l'extrémité des orteils.
En 1879,
un squelette de 2,95 mètres de haut a été extrait d’un tertre funéraire, à Brewersville (Indiana).
Il avait un collier de mica autour du cou et, à ses pieds, une figurine humaine incrustée de silex.
En 1890,
L'anthropologue Georges Vacher de Lapouge a déterré le bras et os de la jambe d'un homme de 3,5 mètres de hauteur à Castelnau-le-Lez, France. Les os ont été étudiés à l'Université de Montpellier et a confirmé leur appartenance à l'être humain et de doubler sa taille normale. Ses conclusions ont été publiées dans la revue "La Nature" Vol. 18, Numéro 888. pages 11 et 12.
http://scienceray.com/biology/human-biology/craniometry-technique-to-measure-skull/
http://www.thetallestman.com/whoisthetallest/viewtopic.php?f=8&t=559
En 1894,
Comptes rendus de presse américains parlent de la découverte de gigantesques ossements humains trouvés à Montpellier, France par des ouvriers travaillant sur un réservoir d'eau. Des crânes humains de 71, 79 et 81 centimètres de circonférence ont été signalés parmi des ossements humains qui ont indiqué une race d'hommes de 3 et 4 mètres de haut. Les os auraient été envoyés à l'Académie de Paris.
En 1895,
un géant fossilisé de plus de 3,70 m aurait été découvert par un orpailleur dans le Comté d'Antrim (Irlande). Il est exposé et photographié dans le dépôt de marchandises de la London and North-Western Railway Company's Broad Street, puis à Liverpool et à Manchester. Une photo a été prise lors de l'événement.
xxe siècle
En 1912,
dans la région du Transvaal de l'est (actuellement Mpumalanga) en Afrique du Sud, une empreinte géante de pied humain pétrifiée aurait été trouvée par le chasseur Stoffel Coetzee, le site est popularisé par le musicien sud-africain et essayiste Michael Tellinger.
En 1925,
de gigantesques empreintes de mains de l'homme ont été trouvés à Glozel, en France. Ces empreintes de mains de 25 cm à 35 cm de long et indiquer les personnes de plus de 3 - 4 mètres de haut. Le musée de Glozel a certaines de ces empreintes de mains.
En 1935,
le géologue Clifford Burdick aurait relevé sur les bords de la Paluxy River (Glen Rose, Texas) des empreintes de géants jouxtant celles de dinosaures.
En 1936,
l'anthropologue Ludwig Kohl-Larsen aurait découvert, sur la rive du Lac Eyasi (Tanzanie) des ossements humains géants. Il est connu pour la découverte de la grotte Mumba (Mumba cave). En 1956, il fit paraître un livre sur les mythes Hadzabe, dont certains à propos de géants.
En 1937,
deux paléontologues allemands, Gustav Heinrich Ralph von Koenigswald et Franz Weidenreich, auraient trouvé en Chine plusieurs ossements humains d’une taille étonnante. Weidenreich est l'auteur d'un livre sur le sujet faisant référence au Gigantopithèque, qui est un singe et non un humain. En 1944, Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants à l'American Ethnological Society.
D'après Louis Burkhalter, des outils préhistoriques géants ont été exhumés à Safita en Syrie et dans le sud du Maroc, par le capitaine R. Lafanechere. Les outils syriens pèseraient de 2,5 à 3,5 kg et ceux du Maroc de 4 à plus de 8 kg, ce qui validerait selon lui la théorie de l'existence historique de géants humains. La découverte d'autres outils géants a été mentionnée.
En 1964,
dans une grotte d'Alguetca située près de Manglisi (province de Kvemo Kartli, Géorgie), des archéologues auraient mis au jour des squelettes d’hommes mesurant près de 3 mètres. En 2002, la ville de Dmanisi dans la même province a vu la découverte de vestiges attribués à Homo georgicus, qui n'est pas un géant.
En 1976
Le squelette d'un être humain géant a été découvert près du château "Trezzo d'adda" province de Milan, en Italie. Le squelette a été identifié comme "Rodchis" le fils du roi de Lombardie Poto au viiie siècle. Son squelette était trop grand pour le tombeau de 2 mètres de long, et ses genoux et la tête ont été pliés pour aménager sa taille énorme qui était d'environ 2,5 mètres de haut.
Rex Gilroy, auteur australien, aurait découvert à Mont Victoria, des empreintes fossiles de pieds de géants.
En 2004,
l'équipe de prospection Aramco Exploration team aurait découvert en Arabie Saoudite un squelette humain de proportions extraordinaires qui pourrait se rattacher au peuple Ad cité par le Coran.
Selon le professeur Lee R. Berger de l'Université de Witwatersrand, de nombreux os fossiles montrent que certaines populations de Homo heidelbergensis étaient des "géants" régulièrement de 2,13 m (7 pi) de hauteur et durée de vie en Afrique du Sud entre 0,5 millions et 300.000 ans. Il le confirme dans une interview en 2007.
En 2008,
les os d'un être humain géant auraient été retrouvés dans les gorges de Borjomi, en Géorgie (Caucase). La nouvelle a été rapportée par 1TV, la première chaîne de télévision en Russie. Le géant a été estimé à 2,5 ou 3 mètres de haut. Ses os ont été étudiés par le Dr. Abesalom Vekua, du Musée national Géorgien.
Source : http://projet-civex.com/Articles_projet_civex/Le%20mythe%20des%20geants.php
Document sur découvertes en Géorgie
En avril 2010,
Des chercheurs allemands ont découvert de vieilles lance en bois anciennes de 400.000 années sur ce qui semble être un ancien rivage d'un lac. Magnifique terrain de chasse avec des preuves que les ancêtres de l'homme ont systématiquement chassé le gros gibier beaucoup plus tôt qu'on ne le croiyait. Les trois lances, chacun creusé dans le tronc d'un sapin, sont de 6 pieds à plus de 7 pieds de long (2mètres13). Ils ont été retrouvés avec plus de 10.000 ossements d'animaux, principalement des chevaux, dont un grand nombre évidemment massacrés. Qui indique les anciens chasseurs étaient suffisamment organisés pour les chevaux pièges et assez forts pour les tuer en jetant des lances, peut-être en embuscade troupeaux qui se sont présentés pour l'eau. Les analyses et datations ont bien confirmés des dates de 380000 à 400000 ans d'ancienneté pour ces 3 puissantes lances. Il ne s'agit pas de fins javelots mais bien de solides lances dont l'une dépasse les 7.5 pieds (2m30) et ces outils d'hommes très puissants, voir des géants, sont attribués à Homo heidelbergensis par défaut...
" Ce que cela nous dit, c'est que ces gens étaient très sophistiqués, les chasseurs compétents», a déclaré Robin Dennell, professeur de préhistoire à l'université de Sheffield en Angleterre. " Ils étaient parfaitement capables de planification à long terme et de prévoyance." Et " ils doivent avoir été terriblement forts, beaucoup plus forts que moi. Ces lances sont plus longues que je ne le suis. "
Une autre découverte en angleterre fait mention de la découverte d'un rinocéros préhistorique tué par un projectile il y a 500 000 ans ! " The Clacton lance tip suggested that people may have been hunting; the three spears from Schöningen now make it fairly certain that they were not merely scavenger-gatherers. That early man hunted big game is supported by the recent discovery of a fossilized rhinoceros shoulder blade with a projectile wound at Boxgrove, England, dated to 500,000 years ago. "
http://reinep.wordpress.com/2010/04/07/400000-year-old-spears-found-in-an-german-coal-mine/
Ce squelette est celui d'un enfant mesurant 1m93, daté de plusieurs milliers d'années par les chinois
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires - attention de possibles photos truquées bien sûr, principalement vers le bas - 04-2013
L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
La Station spatiale internationale. Le détecteur AMS est positionné sur l'un des bras de la station, comme indiqué par la flèche
La collaboration internationale du spectromètre magnétique Alpha AMS, qui implique le CNRS pour la partie française, publie ses tout premiers résultats dans sa quête d'antimatière et de matière noire dans l'espace. Les premières observations, basées sur l'analyse de 25 milliards de particules détectées durant les 18 premiers mois de fonctionnement, révèlent l'existence d'un excès d'antimatière d'origine inconnue dans le flux des rayons cosmiques. Ces résultats pourraient être la manifestation de l'annihilation de particules de matière noire telle qu'elle est décrite par certaines théories de supersymétrie, même si des analyses complémentaires seront nécessaires pour vérifier une telle origine révolutionnaire.
Située à bord de la Station Spatiale Internationale, l'expérience AMS est un détecteur de particules dont le but est l'étude des rayons cosmiques. Les rayons cosmiques sont des particules chargées telles que des protons ou des électrons, qui bombardent en permanence notre planète. Les positons, quant à eux, sont des particules d'antimatière qui ressemblent de très près à des électrons, mais qui s'annihilent avec eux et sont de charge opposée. Les premiers résultats de l'expérience AMS indiquent ainsi avec une précision sans précédent la présence d'un excès de positons dans le flux des rayons cosmiques. Il apparaît que la fraction de positons augmente de façon continue de 10 GeV à 250 GeV. Cette variation ne peut pas être expliquée par la seule production de positons secondaires, c'est-à-dire par ceux résultant uniquement des collisions des noyaux d'hydrogène avec le milieu interstellaire. D'autre part, les données ne montrent pas de variation significative temporelle ou d'inhomogénéité spatiale. Ces résultats ont été obtenus à partir d'un an et demi de données qui ont permis l'enregistrement de 25 milliards de particules incluant 400,000 positons dans des énergies de 0.5 GeV à 350 GeV.
Le trajectographe d'AMS dans la salle propre avec ses plans de capteurs en silicium
et ses modules d'électronique associés
Un tel excès d'antimatière avait déjà été observé par le satellite PAMELA en 2008, puis par le satellite Fermi, à des énergies inférieures. Les données d'AMS dépassent le domaine en énergie précédemment sondé et viennent confirmer avec une précision et une quantité de données sans précédent qui ne laissent plus place au doute quant à l'existence de cet excès de positons. L'origine de ce signal, en revanche, reste inexpliqué. Il pourrait être le fait de pulsars proches de notre galaxie ou être la signature de l'existence de particules de matière noire. Les théories de supersymétrie prédisent en effet l'observation d'un tel excès de positons qui résulterait de l'annihilation de particules de matière noire. De tels modèles prévoient également une "coupure" aux énergies élevées. Plus de données seront nécessaires pour déterminer avec précision la proportion de positons au-dessus de 250 GeV.
La présence de matière noire dans notre univers n'est jusqu'à présent détectée que de manière indirecte au travers de ses effets gravitationnels. Cependant, la nature de cette matière noire reste l'un des plus importants mystères de la physique moderne alors qu'elle compterait pour près d'un quart de l'ensemble de la balance masse-énergie de l'Univers, contre seulement 4 à 5 % pour la matière ordinaire visible. L'une des hypothèses favorites des physiciens est que cette matière noire serait constituée de particules interagissant très peu avec la matière.
L'aimant supracoducteur d'AMS qui entoure le trajectographe
Les premiers résultats d'AMS sont publiés dans la revue Physical Review Letters. AMS est le fruit d'une large collaboration internationale réunissant près de 600 chercheurs, avec une très importante participation européenne. Le détecteur a été assemblé sur le site français du CERN, l'organisation européenne pour la recherche nucléaire. C'est également là que se trouvera le centre scientifique de traitement des données d'AMS.
Sources : CNRS + http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=11540
SFH 04-2013